L'Oeil Ouvert : photo et poésie
Haïkus et calligrammes, rêverie sur le monde… le voyage imaginaire d'Ossiane
Nombre de billets : 9
Le Journal de L’Oeil Ouvert:
Arrivée remarquée de Johal qui nous enchante avec sa poésie.
Les jardins de la villa Olmo nous font aboutir sur une autre photo avec les bancs. Le vert fluo de la pelouse m’entraîne vers la sculpture blanche. Je m’approche des vitrages et traverse le miroir vers un autre Ailleurs.
Nombre de billets : 13
Le Journal de L’Oeil Ouvert:
Bienvenue à Pascal qui nous rejoint en poésie !
Une série nocturne toute en lumière commence avec le rond des réverbères et de la lune. Toujours le noir et la lumière mais sur l’eau dans Tentation dont le rouge amorce le Disque du soleil. Le soleil fait le lien avec l’aube qui se lève sur la Dordogne. L’eau de la rivière appelle celle du lac de Côme et les jardins de la villa Olmo avec les bancs. Les jardins nous entraînent à l’ombre d’un cèdre et de grands arbres.
Nombre de billets : 12
Le Journal de L’Oeil Ouvert:
L’Oeil Ouvert accueille Noisette qui nous livre ses pensées et souvenirs et prend un grand plaisir à lire les poèmes comme dans un salon de lecture.
Le rouge de la série sur le jardin japonais de la bambouseraie d’Anduze s’estompe dans Dialogue et me permet de faire le passage vers le pavillon de thé avec deux calligrammes rouges. L’eau du Vallon et le rouge me conduisent à amorcer une nouvelle série rouge sur les péniches du Canal du Midi, le temps de trois notes. Le blanc et les fenêtres de Cabine me font dériver vers les cercles du hublot et du gouvernail. La péniche fait la pause pour passer la nuit. Le noir et l’eau font le lien avec le ponton de Refuge au crépuscule. C’est le début d’une nouvelle série nocturne.
Nombre de billets : 12
Le Journal de L’Oeil Ouvert:
Beaucoup de petits nouveaux talentueux ce mois-ci: Nigra, Fanou, Chris, Nath et Franck.
Une longue série sur la bambouseraie d’Anduze commence avec les bambous bien sûr et dans tous leurs états. De la pousse de bambou qui se dresse, je passe aux troncs d’arbre qui se courbent ou s’élancent vers le haut. La barrière rouge de Caprice me permet de faire le lien avec une série rouge sur le jardin japonais de cette bambouseraie pendant cinq notes.
Nombre de billets : 14
Le Journal de L’Oeil Ouvert:
La nouvelle année commence bien avec trois belles venues sur le blog, celles de Maria-D la poétesse, Pam la sculptrice équestre et Bonbonze l’humoriste qui nous met de bonne humeur le matin.
Un ange prend son envol pour commencer la nouvelle année. Vol au-dessus du lac de Lugano qui permet d’entamer une série de quatre notes sur le graphisme des sillages sur l’eau. Le bateau de Boucle nous fait longer les côtes de Lugano et du lac pendant deux billets. Le bleu du lac nous entraîne vers le bleu cobalt du ciel. Commencement d’une nouvelle série sur les nuages joueurs ou pleureurs. Le bleu infini avec le parapente nous emporte vers les plateaux des Causses pour trois articles. Le cœur rond de la cardabelle nous conduit tout droit vers les cœurs de bambous du sommaire suivant.
Nombre de billets : 12
Le Journal de L’Oeil Ouvert:
La cage ouverte de Solo dans le sommaire précédent nous transporte en Gironde sur le lac de Carcans, le temps de trois notes. Après le vent, la neige et les crayons, nous observons sur l’eau de Camargue des îlots minuscules et des signes déposés sur le rivage. Le morceau de bois de Froid nous conduit vers l’allumette de Rouge Cœur. La flamme dans le noir nous guide naturellement vers les rues brumeuses, les réverbères, les amants enlacés pour la nuit du 31 décembre.
Nombre de billets : 12
Le Journal de L’Oeil Ouvert:
Quatre belles arrivées en écriture en novembre; celles de Bernard, Brigetoun, Yves, MioModus qui deviennent des visiteurs assidus.
Série en cinq notes autour des arbres, de la lumière rasante dans les jardins du parc Monceau. L’ombre des arbres autour de la fenêtre ovale débute une nouvelle suite sur les fenêtres en quatre billets. L’Hôtel Terminus où l’on cherche son chemin nous téléporte dans le parc de l’Enclos et ses créations de land art, le temps de quatre articles.
Nombre de billets : 13
Le Journal de L’Oeil Ouvert:
Série dans les jardins de la Villa del Balbaniello. La statue nous invite à les visiter ; elle amorce une série de sculptures végétales et minérales en cinq billets. L’eau de l’Embarcadère nous emmène en voilier vers Arromanches et son panoramique à 360°. De l’eau, du bleu, c’est le début d’une série sur la mer et le mouvement des vagues en cinq notes. La Dérive me conduit vers Aurélie et la publication de son livre « Rien ne sert de parler si fort », puis c’est la trêve, le début d’une série reposante dans le parc Monceau.
Nombre de billets : 13
Le Journal de L’Oeil Ouvert:
Anne-Marie vient écrire de la belle poésie chaque soir.
Fin de la série sur les ruelles de Sala Comancina, la nuit. La Nuit Blanche et l’odeur du café noir nous conduit vers le Plouf dans le lac de Côme vers une autre destination. Atterrissage sur une plage déserte et amorce d’une série solitaire de trois notes sur le sable et dans l’eau. Le bleu du calligramme du Journal Intime conduit au bleu du Poète. Le fil bleu se poursuit avec trois photos expressives sur les nuages. Le soleil de Soie éclaire le bas de la montagne ; nous sommes de nouveau sur le lac pour aller visiter la Villa del Balbaniello.
Nombre de billets : 15
Le Journal de L’Oeil Ouvert:
Belle arrivée! Cristina M, Sven, Pierre b, Daniel rejoignent L’Oeil Ouvert pour écrire et deviennent de fidèles et fervents visiteurs.
Retour à la réalité. Transition grâce à l’escargot se reposant contre un platane, vers les écorces et les troncs d’arbres. Le vert de l’herbe dérive vers d’autres épis sous le Couchant, la lavande et le Papillon, Isola Bella et le paon bigarré. Ce dernier fait la transition vers une série blanche et animale avec le paon blanc, les canards et le cygne. L’eau nous amène devant la maison bleue qui elle-même amorce une série bleue avec les trois bateaux et la barque. Toujours l’eau comme lien pour nous conduire sur le lac de Côme puis dans le village de Sala Comancina, la nuit.
