au vent léger
respire la lumière
embrasse la vie
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in light wind
breathe light
embrace life
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♥ … BONNE ANNÉE, DOUCEUR ET HARMONIE SUR VOTRE CHEMIN … ♥
L'Oeil Ouvert : photo et poésie
Haïkus et calligrammes, rêverie sur le monde… le voyage imaginaire d'Ossiane
au vent léger
respire la lumière
embrasse la vie
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in light wind
breathe light
embrace life
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♥ … BONNE ANNÉE, DOUCEUR ET HARMONIE SUR VOTRE CHEMIN … ♥
Bel haïku Ossiane plein d’enthousiasme pour commencer cette nouvelle année….. Soyons fous !!!!
et comme l’écrit Erasme ce « prince de l’humanisme », dans l’éloge de la folie :
« Oh le plus fou de tous les hommes, toi qui aspires à la sagesse »
Ah si seulement…..Aspiration !
C’est un 31 décembre
Ce matin sur les ondes j’ai appris que l’année prochaine il fallait fêter 2031 et non 2024 car Jésus Christ ne serait pas né en l’an 0 mais en l’an -7…J’ai aussi entendu Jérôme Garcin qui quittait avec émotion le Masque et la Plume après 35 ans d’un bonheur partagé…J’ai pensé à l’Ukraine …aux nouvelles frappes russe d’hier et à cette guerre qui durait depuis bientôt 2 ans…
J’ai éteint le poste de radio…
Le temps est décidément une chose bien fragile qu’on aimerait modeler ou effacer au gré de nos humeurs et de nos espérances…
Je suis descendu dans le salon…le vent courait après les nuages…le mimosa dansait avec légèreté entre le ciel et les souvenirs…derrière la vitre les voitures dépassaient en silence les passants…C’est le temps calme des écoliers…du soir qui se pose avec douceur sur les murs et les paupières…des enfants et petits-enfants que l’on serre contre soi…
On s’évade…on est maintenant près de la Madeleine…l’Olympia est à deux pas…le théâtre et Arditi nous tendent les bras…on est presque à l’année prochaine …On pense à ses amis et à sa famille…à une année plus douce…à des voeux accessibles…pour toutes et tous…
Pensées
pierre.b
Quel plaisir de vous retrouver Pierre.b et de vous lire, merci
Instants fragiles
« Ô temps, suspends ton vol »*
La fébrilité
de silhouette presque humaine
en proie au souffle du temps
*(emprunté à Lamartine)
Quel plaisir de lire à Nouveau les textes de Pierre.b.
Merci Ossiane pour cette photo.
Les notes du piano
s’égrènent peu à peu.
Le chat à la fenêtre…
Bonne année 2024 à tous.
Une fort belle image comme j aime.
Fragilité vivante des feuilles d une branche
Quand la lune si lourde depuis la nuit des temps
Mystères de la Vie pour combien de temps on vit
Vous me faites Tellement plaisir en étant Là !
J aime vos mots à vous tous.
Merci pierre.b, c est tellement élégant.
Et je vous cite:
« »A une année plus douce, à des voeux accessibles, pour toutes et tous…
Pensées. » »
Si seulement une pensée universelle « que le monde en amour »! Ce n est pas accessible mais on ne sait jamais ce que la Vie réserve. Elle décide Tellement, la Vie.
Une vie sa paisible
Douce et plus douce encore
Brodée avec des joies
Mes voeux pour chacun, tous, sur cette terre d’Humains vraiment Humains vraiment, que la Nature se calme et offre son meilleur.
Annick / étrange ce début 2024, l impression d être hors temps, juste être vivante/
Une broche si belle
Que l amour de la vie
Qui se danse étincelle
Des mots de plume ! c’est joli Annick et donne en ces moments difficiles un peu de baume au cœur.
J’ai aéré le texte et il apparait sans blancs ni passages, ni sauts à la ligne ????
Mon texte a disparu ????
Je tente le remettre d’abord les mots de Jacques Brel :
« Je vous souhaite des rêves à n’en plus finir et l’envie furieuse d’en réaliser quelques uns.
Je vous souhaite d’aimer ce qu’il faut aimer et d’oublier ce qu’il faut oublier.
Je vous souhaite des passions, je vous souhaite des silences.
Je vous souhaite des chants d’oiseaux au réveil et des rires d’enfants.
Je vous souhaite de respecter les différences des autres, parce que le mérite et la valeur de chacun sont souvent à découvrir. Je vous souhaite de résister à l’enlisement, à l’indifférence et aux vertus négatives de notre époque.
Je vous souhaite enfin de ne jamais renoncer à la recherche, à l’aventure, à la vie, à l’amour, car la vie est une magnifique aventure et nul de raisonnable ne doit y renoncer sans livrer une rude bataille.
Je vous souhaite surtout d’être vous, fier de l’être et heureux, car le bonheur est notre destin véritable. »
–
Je ne sais si Ossiane accepte encore que l’on puisse mettre une vidéo mais si oui, je vous
offre cela pour 2024…
Merci à vous tous pour les merveilleux moments que nous avons passés grâce à elle.
https://www.youtube.com/watch?v=j8kS-7wkI7s&list=RDj8kS-7wkI7s&index=1
–
Merci Ossiane pour la magie de ton album qui sait aimer.
Merci Monique Nath et Bourrache….je m en vais partager vos mots de Jacques Brel et Gregoire dans mes pagds partagées.
Je les aime ces mots.
Je te remercie Ossiane de ne laisser qu Annick en signature. Merci.
J’ai remis un texte après les mots de Brel le 12/01 et il n’apparait plus … ??? Je ne comprends pas et pas de chance je ne les ai pas conservés … Pour une fois que j’essayais d’écrire …??? Ca m’a l’aire de ‘bugger’ parfois
Se laisser aspirés par la beauté, emportés par le charme d’une image… d’une constellation…
Un souffle qui passe
dans un rayon de lune
une mélodie
les mots s’envolent en musique
les mots se fondent dans le ciel
Elle est jolie ton image, Ossiane.
Merci d avoir rectifié mon nom.
Erreur d étourderie de tête dans les nuages parfois….le monde peut être si lourd.
Pour moi aussi Nath, des disparitions….alors au présent…
Toute en délicatesse
Le soleil éclaire la Lumière
Tout en finesse
Soir de pleine lune
c’est le bal des herbes folles
nuit blanche, insomnie !
Splendide, merci, trop content de vous retrouver
Et nous donc Thierry ! il y a si longtemps !
Pouvoir de la lune
Dans l’ombre d’une herbe sauvage
une apparition !
Au vent leger
Respire la lumière
Embrasse la vie
D Ossiane
Merci Ossiane c est si doux.
Belle journée
« Aurions-nous connu, une fois, la grandeur hors tout sens de ce qui est, sans manquer à la joie de son accueil sans condition, nous aurait été donnée la grâce d’échapper, une fois, à la misère des jours
Jean-Paul Michel, “Injonctions et censures intimes des Morts“, Le Pauvre Songe, 14 p. , décembre 2023, ( recension sur le site Poesibao
Aspiration
Cette vallée est triste et grise : un froid brouillard
Pèse sur elle ;
L’horizon est ridé comme un front de vieillard ;
Oiseau, gazelle,
Prêtez-moi votre vol ; éclair, emporte-moi !
Vite, bien vite,
Vers ces plaines du ciel où le printemps est roi,
Et nous invite
À la fête éternelle, au concert éclatant
Qui toujours vibre,
Et dont l’écho lointain, de mon cœur palpitant
Trouble la fibre.
Là, rayonnent, sous l’oeil de Dieu qui les bénit,
Des fleurs étranges,
Là, sont des arbres où gazouillent comme un nid
Des milliers d’anges ;
Là, tous les sons rêves, là, toutes les splendeurs
Inabordables
Forment, par un hymen miraculeux, des chœurs
Inénarrables !
Là, des vaisseaux sans nombre, aux cordages de feu
Fendent les ondes
D’un lac de diamant où se peint le ciel bleu
Avec les mondes ;
Là, dans les airs charmés, volèrent des odeurs
Enchanteresses,
Enivrant à la fois les cerveaux et les cœurs
De leurs caresses.
Des vierges, à la chair phosphorescente, aux yeux
Dont l’orbe austère
Contient l’immensité sidérale des cieux
Et du mystère,
Y baisent chastement, comme il sied aux péris,
Le saint poète,
Qui voit tourbillonner des légions d’esprits
Dessus sa tête.
L’âme, dans cet Éden, boit à flots l’idéal,
Torrent splendide,
Qui tombe des hauts lieux et roule son cristal
Sans une ride.
Ah ! pour me transporter dans ce septième ciel,
Moi, pauvre hère,
Moi, frêle fils d’Adam, cœur tout matériel,
Loin de la terre,
Loin de ce monde impur où le fait chaque jour
Détruit le rêve,
Où l’or remplace tout, la beauté, l’art, l’amour,
Où ne se lève
Aucune gloire un peu pure que les siffleurs
Ne la déflorent,
Où les artistes pour désarmer les railleurs
Se déshonorent,
Loin de ce bagne où, hors le débauché qui dort,
Tous sont infâmes,
Loin de tout ce qui vit, loin des hommes, encor
Plus loin des femmes,
Aigle, au rêveur hardi, pour l’enlever du sol,
Ouvre ton aile !
Éclair, emporte-moi ! Prêtez-moi votre vol,
Oiseau, gazelle !
Paul Verlaine.
Des temps plus légers
Dans les moments présents
L horizon reste flou
L Etat il démissionne
Plus de créations d’institutions
Il souhaite que la personne
En situation de handicap
Reste chez les parents ou à son domicile
Cela sera douloureux pour les isolés
4 réunions de reflexions ces six mois
Sur le vieillissement
Sujet si lourd de son poids réel
Parfois rêver de légèretés
Fait du bien de bien
L insouciance c est du passé
Merci à Hélène et Maria D
J ai du mal à comprendre les lignes partagées par Helene.
Comment vas tu Ossiane dans ce monde difficile ?
Je vous embrasse » les ceux de l album d Ossiane ».
Le temps passe et le monde semble être en survie
Y-t-il une prière pour apaiser les souffrances
Ou faut-il pour vivre devenir un surhomme
Jusqu’où peut-on rester insensible à ce jour
Le printemps demain est une saison douce
Quand le mot « douceur » ne trouve plus de nid
J’ai chanté naïvement il y a très longtemps
Je voudrais être un oiseau et m’envoler
Des mots sans doute en pleine innocence
Car les cieux eux-mêmes sont habités de bombes
Mais les mots aussi vrais et réels qu’ils soient
Ne doivent pas contribuer au massacre des idées
Comme se plaisent à faire les indéfinissables
Massacreurs de moral aux idées noires
Les prairies continuent de donner naissance
Aux violettes, aux pâquerettes, aux jonquilles…
C’est le printemps avec des ciels encore bleus
C’est la beauté, celle dont parle Hölderlin
Celle qu’il faut sauver et qui peut nous sauver
Cueillons les étoiles du ciel pour éclairer
Tant qu’il se peut ces terres de misères
Et puisque c’est le Printemps des poètes
Peut-être nous accordera-t-il « SA GRÂCE! »
Comme c est joli, Monique.
Bonjour Ossiane
J aime beaucoup ton ecrit.
Un oril joli bon et leger s etonne d être en vie quand ses propres souffrances, celles des autres. La Nature cette pommade miraculeuse qui fait peau douce et pousser des ailes pour s envoler.
Merci Annick ; Ah si seulement les mots avaient ce pouvoir de rendre le monde plus sage, de panser les blessures, de soulager et guérir les âmes et les corps en souffrance, de mettre l’intelligence au service des hommes et non de l’argent, du pouvoir, et de la guerre. La vie n’est qu’un passage…si court parfois, si précieux et si fragile ! Il mérite le respect et l’attention la plus absolue pour chacun. Tu sais tout cela Annick et peut-être plus que d’autres !
Merci Monique pour tes mots sages.
Je t embrasse.
Youps mon comment passé. Les 2 precedents evapores.
Au plus son sens tragique de vie
Au plus la survie embrasse l essentiel
Garder l’œil Ouvert
Humant l’ombre d’un indice
Sans vouloir savoir
Aux aguets sans intrusion
Et laisser le temps au temps
« Le vent souffle où il veut
Et toi tu entends sa voix
Mais tu ne sais pas d’où il vient
Et tu ne sais pas où il va
Le vent…… »
Paroles de Michel Scouarnec.
Tres jolis mots de Michel Scouarnec.
Merci pour le partage.
Si souvent impossible
Un moment offre son tan de vie
Battement d ailes de l âme
En me relisant…je n entends pas mes mots.
La vie si souvent impossible
Délicatesses et joies
Leurs essences pures de vie
La vie est fragile, à l’image de la rosée délicatement suspendue aux herbes, en gouttes de cristal qu’emporte la première brise du matin.
Dilgo Khyentsé Rinpoché
Des mots fort delicats, Nath. Merci.
La fragilité de la vie
Exige bien des forces
Pour se rester en vie
Au vent léger
Respire la lumière
Embrasse la vie
C est vraiment beau!
Il est mort le poète Henri Gougaud . N’oubliez pas d’aimer … SVP ! à lire et relire sans modération :
https://henrigougaud.com/paroles-a-savourer/
Merci de vous avoir rencontré vous tous les passagers et à Océane …Parfois, il faut savoir aller ailleurs pour pouvoir chanter sans déchanter, un sacré chantier … En champ temps, en chantant NOUS !
C est gentil Nath.
Comment vas tu Ossiane?
J’espère que vous allée bien
» En nous sont une maison et un jardin. Dans la maison mentale, tout est rangé, classé. On y a des repères, de la sécurité. Le jardin, au contraire, foisonne d’ombres cachées, de recoins ignorés. La nature (notre nature) y est reine, tout peut y arriver. C’est le lieu de la vie et de la création. Tout le monde veut voir le ciel, mais nombreux sont ceux qui restent dans leur maison.
Vous voulez voir le ciel ? Sortez dans le jardin, sinon vous ne verrez jamais que le plafond ! » (Henri Gougaud en atelier)
Les armes les larmes
Aux enfants, à la mère, aux arbres et aux forêts, je verse mes larmes dans le creux de mes reins, je m’élève me lève et soulève les peuplades du monde qui m’inondent afin que tombe le miracle et la fronde, et mon sang et ma séve. Tu plonges, je répands la couleur partout, du vent, des temps, des tombes de n’importe où, Tu es l’ange qui longe qui dépend et reprend la langue des savants, des vivants, des survivants ; Je suis celui-là et celle-là, tu l’entend le comprend écartelée en tourments, en tournants. Funambule je suis, tu es et je fuis la misère des hôtes, tu te caches dans l’ombre dans les ongles de mes mains. J’attends tu entends le son des ondes des fleurs de demain et quand tu arroses la rose, tu es belle tu es beau quand recueil et accueil d’autres voix ne font qu’un. Tu es et je suis la voie de ceux qu’on ne voit pas et pourtant et par tous les temps, je te suis enlacée parfois en chantant.
Il faut venir et aller claquer des bottes enchantées avec la prose et la rose et des verres divers avec toutes nos deux mains, c’est pour ceux de demain.
Tu me donnes et j’étonne et puis t’en fais souvent des tonnes. Je suis celle rouge qu’on appelle souvent, tu es rayée ou blanche, je suis franche, tu déroutes et j’écoute tout le temps, et parfois je déchante quand tout fout le camp.
Allons aux allées ailées du soleil, tu es celui et celle-là qui aiment, même s’ils trainent un peu parfois quand même. Viens chanter avec nous et plonger des instants dans le bleu du ciel à donner, recevoir des mots et jouer pour déjouer le sombre de ton ombre, pour tous les jours et merci pour ceux qui font danser les trains, là ici pour la terre et la haut pour ça explose debout de beaux, en équilibre sur le fil des eaux, s’ils portent la musique des toits de ton quartier qui te donnent ta force pour que tu sois alignée sur le vent qui souffle gaiement, doucement sur nos enfants en brillant pour eux, pour elles pour nous ensemble, pour ceux qui nous ressemblent et ne font pas semblant, qui partagent en rêvant.
Bravo à ceux et celles qui pensent, dansent, qui font la fête avec d’autres qui cherchent parfois en silence qui s’expriment en rimes et construisent en secret à se créer pour que de belles nouvelles épopées bourdonnent à nouveau encore et toujours et toi tu portes, ce corps que je porte au secours pour al cour des grands…
Allez hop stop on y court là-bas , on y GO..C’est par où ?
J’étais dans mon jardin où les abeilles dansent plus que les mots
sous le soleil et l’odeur des lavandes le cœur serein l’âme apaisée
la sueur au front la soif au ventre l’envie me vint de faire une pause
Bien m’en a pris quand ouvrant la porte d’un autre jardin plus intime
J’y trouve des mots entrelacés enchanteurs tout en charme et poésie
Bouquet d’idées enchevêtrées nectar qui désaltère et font du bien…….
merci Nath…merci Ossiane de laisser cette porte ouverte.
Merci chacun et chacune de nous, cest ceci qui fait vivre aussi ce site. merci Ossiane. On revient parfois !!
Belle journée.
Titre Un tableau ne vit que par celui qui le regarde.
Pablo Picasso
Je pense que le meilleur titre pour un tableau est un titre poétique un titre compatible avec l’émotion plus ou moins vive que nous ressentons en regardant une toile. Je suppose qu’il faut de l’inspiration pour trouver un tel titre. Un titre poétique n’est pas une espèce d’indication qui nous dit, par exemple, le nom de la ville représentée sur la toile ou le rôle symbolique attribué à une figure peinte. Un titre qui a une telle fonction ne demande aucune inspiration pour être donné à une toile. Le titre poétique n’a rien à nous apprendre ; au contraire, il devrait nous surprendre et nous enchanter.
René Magritte
Comme il est grand et beau Ton jardin, Ossiane…
J y passe fort souvent…
Avec tellement de plaisirs de m asseoir mon café…
D y fleurir quelques lignes…
Je vous embrasse tendre à vous lire chaque page..
Merci tellement large qui sent bon …
La Tendresse
Voir texte Texte : Accompagner – Soren Kierkegaard
https://www.lestexteschoisisdanik.com/2012/08/accompagner-soren-kierkegaard.html
Une poésie chinoise
https://arbrealettres.wordpress.com/2018/04/21/une-femme-devant-son-miroir-textes-chinois/
question. Une nuit / entre sommeil et veille / j’ai eu la révélation du sens / pas seulement de ma vie / mais je crois de la vie : accomplir / l’âpre ébauche. / Mais je ne sais pas bien ce que cela veut dire. / Et pourquoi l’ébauche est-elle si / âpre ? […] Peu importe. Injonction incisée dans le crâne / de l’humanité : oser l’âpre ébauche.
Michèle Finck ( Méditations)
Merci pour ce regard du Livre de Jade et en parfait accord avec cette image lointaine d’Ossiane et dans le souffle de ses mots.
Bonne question Alice qui demande réflexion !!!! et une approche de Michèle Finck, professeur, écrivain, poète et musicienne
et merci pour ce petit détour sur ce site d’Ossiane au silence si mystérieux !
Silence d un album……..Monique
Qui vibre et respire
Ses feuilles au doux parfums
Qui parlent à Ossiane
Tellement d agitations
En un temps tellement proche
L Album parle en Silences
Ses chuchotis discrets
Plus justes qu un tapage……..Annick
Je relirai les pages offertes mais tant secouée ces derniers mois….la Paix revient ses douces et cela laisse plus libre!
Une vie à happer chaque liberté d Etre qu un parcours en Autisme! Je vous aime!!
Dans ce Grand Livre Ouvert
qu’il est doux de tourner les pages
coupe offerte jusqu’à l’ivresse
dans un aura d’amour et d’espoir
de beauté, de rêves et de poésie.
Les mots s’entrecroisent, se confondent
s’échangent se donnent en partage
Petits brins de vies et d’histoires
que l’on aurait pu croire oubliées
pourtant gravées au fil des ans
dans la complicité et l’amitié.
Des noms qui font le tour du monde
et puis de temps à autre une petite escale
Œil Ouvert sur les quais d’un joli blog
le temps d’une agréable rencontre.
Mes mots déguisés en vers pour mieux se chanter parce qu’ils résonnent en moi, n’ont pas prétention d’être des poèmes, le fond vaut parfois plus que la forme, un sourire parfois plus qu’un baiser.
‘ vous en reprendrai bien encore un peu?’
» avec plaisir j aime m ennivrer!!… »
Ah que oui il m est bon de te lire, Monique, j aime te lire tes mots serrer sans me lasser.
Espoirs de beautes rêves poésies , amour…tout ce que j aime, ce pourquoi je me vis…
Je ne suis belle pour qu’on remarque la moelle de mes os survivante d’un récit qu’on ne raconte pas
J’ignore si demain me gardera intacte
Je dis que l’espoir de se laisser être
Éloigne le désespoir
Je lis et écris vos mots, Josephine.
« »L espoir de se laisser être éloigne du désespoir » »
Et je te relis Ossiane.
« Au vent léger
Respire la lumière
Embrasse la vie »
Et ça continue…le manque de libertés phagocyté l être ! Embrasser la vie ? Ou juste quelques petits bouts…tant de drames.
Depuis 4 mois, des mois fort compliqués…après déjà 2020 le Covid…puis les suites de vie douloureuse….2021 2022 2023.
Et si un autiste exprime par des troubles de comportements, quand il se met à exprimer avec des mots, le désespoir est là.
» je ne veux plus aller au Foyer, à l Esat! » il y a 3 jours….alors il redort à la maison, part zen au travail qu il aime.
Les weeks Foyer mal passés en Juin Juillet.
Le Covid a enlevé des capacités pour les intérêts …
Etre encore est ce possible ? Ou dans une bulle irréelle….
Plus de remplacants, turnover, plus d argent…les soeurs dans leurs vies…plus confiance aux institutions…restent nos santés à serrer. Et tous ces enfants, ces humains sans toit, sans rien. Pour le moment en apparence ici ça va.
Je vous embrasse.
Annick
« Aspiration » tel est son nom
qui du vent pousse les hommes
sur les chemins de nos vies
nul ne connait à l’avance
les difficultés du parcours
mais chaque pas que l’on fait
est une victoire sur la distance
aspirés que nous sommes d’avancer…
Tres joli Monique
On s etonne souvent
Mais quelle aspiration
Me donne telle force
D etre simple vivant
Je lis vos messages si riches d’émotions.
L’aspiration nous pousse vers le meilleur.
Respirer plus profondément le souffle de la vie,
ne retenant que les moments qui nous transportent
au delà de la tristesse et de la morosité.
C est tres bien résumé Jo.S, merci.
Aspirer par le vivant
Rien que ça
En émotions aspirantes
Quand juste un souffle
tient l’espoir dans l’illusoire
le temps d’un mirage
Il vous revient des images
celles du temps des partages
et comme le vent dans les herbes folles nous propulsons dans nos mémoires des fragments de branches qui s’envolent de cet arbre de vie et nous tentons vaille que vaille oui bien sûr « d’embrasser la vie » en soignant nos blessures. Les mots nous aident les vôtres sur cet espaces comme celui-ci sur lequel nous nous trouvons et qui maintiennent cette flamme, cette autre flamme dont nous avons besoin dans quelque circonstance que ce soit. Merci
L’oeil ouvert cette flamme
Qui pupille l’iris
En beautés délicates
C est Tellement beau de beau
Un regard qui aime
Que la vie pleine de vie
Je vous embrasse Ossiane, Monique, …
merci Annick pour tes mots chaleureux *
Les dates défilent
les calendriers du temps
la toile d’araignée
plus solide qu’on ne le pense
tisse l’avenir
« Le livre de la vie est le livre suprême
Qu’on ne peut ni fermer ni rouvrir à son choix
Le passage attachant ne s’y lit pas deux fois
Mais le feuillet fatal se tourne de lui-même.
On voudrait revenir à la page où l’on aime
Et la page où l’on meurt est déjà sous nos doigts ! » Lamartine
Ils sont fort tristes les mots de Lamartine.
La Vie entre ses mains
Des grains leur sable doux
D autres tellement rugueux
Des gros des minuscules
Qui se donnent leurs tels
Déjà ouvrir son œil
Chaque matin vivant
Pour happer le Bonheur
Le Joli le plus Simple
Pour le distribuer
Son sourire bienveillant
Tant de gens malheureux
Leurs existences coincées
Dans des pays de terreurs
Un jour sans s’y attendre
la vie fait une déviation vers l’enfer
retrouver le chemin
demande patience et volonté
défricher, désherber, ratisser
et retrouver sous les branches
ce passage qui vous ramène
vers la beauté, la sagesse
« Faire avec » dit-on, oui peut-être !
plutôt « aspirer » encore et toujours
certains disent : courage,
d’autres disent : espoir
moi je dis vouloir !
Ce n’est pas que de la chance
mais un concours de circonstances
qui font ne pas chavirer
dans le mélo mais dans l’amour
le sourire, la joie, la vie
On va dire sans aucun doute
avec beaucoup d’acceptations
mais ces mots trop souvent hélas
face aux horreurs de l’existence
semblent dérisoires presque indécents !
…et pourtant…il faut vivre….
Quelques mots lancés à la volée pour un petit clin d’Œil dans le souffle du vent -:))
Il faut de la force
pour qu’une plante grandisse
au désert des dunes,
de la chance et de l’amour
dans un voile de brume
pour vivre ou survivre
sur un rayon de lune.