Blanc

Paon.

Traîne de paon

Il Neige du Coton, Elle se Pare de Flocons, Sage comme une Image.

* Lecture du Haïku Calligramme: de gauche à droite.

Il Neige du Coton,
Elle se Pare de Flocons,
Sage comme une Image
.

* Photo de Paonne blanche blanche prise dans les jardins d’Isola Bella, une
des trois îles Borromées qui se trrouvent sur le Lac Majeur en Lombardie.
Pour en voir ou en entendre davantage sur le paon blanc,
faites un détour éblouissant par L’oeil vagabond ou allez ici

59 réflexions sur « Blanc »

  1. Coucou Ossiane ! Je ne t’oublie pas ! petit passage rapide ce soir après plusieurs jours sans ordi. Que de belles notes encore et toujours ! Bravo !

    —————————

    Rêve blanc
    %%%%%%%%
    Il y a tant de rêves
    au bout de ma plume
    qu’aucune couleur d’encre
    ne saurait les dire.
    Ainsi elle reste blanche
    tout comme le papier
    blanc lui aussi.
    Mais sauras-tu
    lire mes rêves blancs
    jusqu’à y voir les couleurs
    qui gardent leur secret ?
    Ma plume est blanche
    comme le silence nécessaire
    pour suggérer les songes
    où nait la vie
    rouge d’imaginaire.
    Ma plume est blanche
    mais toutes les couleurs s’y réunissent
    en tournoiement
    jusqu’à son envol.
    Peut-être viendra-t’elle caresser tes cils…
    Tout doucement alors,
    reçois sous tes paupières
    le don d’un rêve blanc
    où une larme de joie
    fera naître l’arc en ciel
    comme une palette
    à inventer la vie
    qui te fera sourire.

    Ma plume est blanche
    mais tout est à imaginer.
    Les rêves blancs
    sont les terres rouges
    où battent les coeurs
    au vent de la vie,
    là où il faut oser partir
    pour comprendre les couleurs
    jusqu’à ne plus rien dire
    mais juste sentir
    les mots invisibles.

    Ma plume reste blanche
    mais elle suggère tous les possibles…

    Catherine

  2. *************
    Sorcière quel cri
    Quand dans le miroir du lac
    Tu vis Blanche Neige

    **************

  3. es-tu là

    entre lumière du jour qui vient
    et profondeur de nuit obscure
    telle une vestale du soleil
    en silence tu te laisses absorber
    par le mystère de l’immensité
    astre brillant du jour qui fuit
    sculpture éphémère de kaolin
    tu es la promesse de secrets
    ton oeil fixé sur la conscience
    voit le visible et l’invisible
    dans la naissance de l’aube
    tu peux ou naître ou mourir
    le cheval fou de tes rêves
    est un poète vêtu de blanc

  4. >Kaïkan :
    Balade bien tardive Kaïkan 😉 Si je pouvais, je me ferai un plaisir de te l’offrir pour remplir ton grand livre des seiches. Ca doit pouvoir se trouver quelque part.

    >Catherine :
    Coucou Catherine ;-)) Contente de te voir revenir de si loin 😉 J’espère que tu vas bien. Cette plume de tous les possibles démarre très fort avec ce grand rêve blanc à colorier du rouge de la vie. Tes mots d’une grande fraîcheur s’envolent en légèreté et en délicatesse. Merci beaucoup pour ce bel arc-en-ciel imaginaire qui se glisse sous nos paupières et fait battre les cœurs. Je t’embrasse très fort.

    >amichel :
    Tu as vu que j’ai trouvé le cri du paon 😉 Incompatibilité entre la laideur du cri et la beauté de l’animal. C’est un peu comme une voix laide dans une belle enveloppe charnelle. Merci Michel pour ce haïku sonore. Bon 15 août.

    >Fran6b :
    Hé hé, tu sais de quoi tu parles, monsieur le champenois 😉 Belle journée.

    >Sophie :
    Merci Sophie. J’ai eu de la chance d’avoir l’arbuste fleuri en arrière-plan. Ca bouge beaucoup ces petites bêtes-là. Je lui ai tout simplement dit « Action » et il n’a plus bougé 😉

    >bouldegom :
    Waouh ! Quand est-ce que je vais pouvoir te dire que c’est moins bien 😉 Tu as bien su tirer parti de la posture de l’oiseau que tu as comparé à une sculpture éphémère qui ausculte le monde. Superbes les deux derniers vers. Bises de kaokin.

    >Daniel :
    J’espère qu’une certaine magie opère ; merci de me le dire. J’aurais voulu vous montrer le paon blanc mâle avec sa longue traîne mais j’ai préféré de ne pas le mettre car je ne trouvais pas la photo assez bonne. Bien évidemment, j’aurais aimé avoir la roue que Chris montre sur l’œil vagabond. Merci d’être venu, Daniel. Passe un bon 15 août.

    >Guillaume :
    Tu te laisses emporter toi aussi par la matière duveteuse et un peu irréelle de ces plumes 😉 Merci beaucoup pour la grande douceur de tes deux haïkus, Guillaume. Je t’embrasse.

  5. Ballade tardive et tempête matinale…Le Kaïkan est en pleine tourmente informatique….Galère….J’ essaie de résoudre le problème….

  6. Quelle explosion de pureté, Ossiane
    Magie de notre connivence
    Serions-nous perchées sur le même fil
    Superbe fragilité, splendeur de ces images
    Et merci pour ce clin d’Oeil
    Je t’embrasse

  7. >Kaïkan:
    Aïe! Courage pour résoudre ce problème d’accès tout en gardant ses nerfs. Malheureusement, je n’ai pas de mécanicien à t’envoyer à bord…

    >L’oeil vagabond:
    Connivence de nos « oeil », fil poétique tendu entre nos deux blogs sur lequel on essaie de garder l’équilibre;-) Merci joyeuse funambule de l’image et des mots. Je t’embrasse sous la pluie.

  8. pas de temps pour un haïku, mais du temps pour poster :
    je suis absolument subjuguée par ton 2e cliché…
    à bientôt

  9. Propos de.. basse ..cour

    (Qu’Ossiane me pardonne ..je me repaons
    j’ai mérité cucul paonpaon )
    ————————-

    Dans une pose altière
    Dévoilant son derrière
    De sa beauté princière
    Nous croyant convaincu
    Le paon n’aura vécu
    Que pour montrer son cul
    C’est un mystère de nature
    Que cette destinée obscure
    Qui se moque de la beauté
    En dévoilant sa face cachée
    L’envers gâche l’endroit
    De son manteau de roi

    Paonne Précieuse ridicule
    Sa roue en écume éjacule
    Pour un jeune paon
    (Qui se dit chenapaon
    Dans le Land de Bavière)
    Oie blanche et fière
    Dont le ramage nous déçoit
    « Sois belle et tais toi !»
    Supplions nous cette pimbêche
    Dont un plumage plus revêche
    Conviendrait bien mieux
    A son caquet odieux

    On les verrait bien
    Montrant leur truc en plumes
    Au « Paradis Latin »
    Dans une revue sans costume
    Ils joueraient de la flûte de paon
    A vous en crever les tympaons

    Pour de si beaux oiseaux
    La roue est un supplice de Tantale :
    Gloire de Paraître et dénuder le dos
    Par où la broche les empalle

  10. Merveilleuse cette symphonie en blanc….les hortensias tout frisés sont beaux comme dans un rêve…
    Merci pour cette composition exceptionnelle….

    Les vacances sympa, avec en prime un joli plâtre en harmonie avec la photo du jour !!

  11. Chère Ossiane
    Après une panne informatique qui a duré toute la journée, j’accède enfin, entre deux valises, au blog! Tout juste pour un dernier message avant septembre.
    Tes photos sont superbes.

    La mariée est trop belle et bien sage!
    J’aime beaucoup la seconde photo: quelle belle robe de dentelle!

    Je te souhaite une bonne continuation et te prie d’excuser ce passage en coup de vent qui risque de décoiffer la mariée.

    Bises de Savoie (les ultimes) avant mon séjour traditionnel en Cévennes. A la rentrée.

  12. >Michel (2):
    Peut-être Michel:-) IL me semble que j’ai les pieds sur terre maintenant quoique…

    >Chaval:
    Quoique… avec le drôle d’oiseau qui se cache sous le nom du dessinateur Chaval… je suis comme l’oiseau sur la branche et je vais en perdre mes plumes ;-)) Monsieur Chaval, je vous ai reconnu; je ne suis pas une bécasse;-) Depuis quelque temps, amichel accomplit des métamorphoses mais il ne m’y prendra pas! Il se repaont, il se repaont… je crois que le subterfuge mérite quelque chose de bien croustillant… tiens, un billet pour une soirée au Paradis latin, Michel;-)) Le pire est que j’ai fait cette photo sur la paonne vue de dos mais je n’ai pas osé la mettre;-) Pa(on) pa(on) à toi et merci pour ton humour déca(paon)t qui m’a bien amusé. Ci-joint un lien vers une page avec un dessin de Chaval et des limericks de l’Oulipo sur les oiseaux.

    >MTO:
    Marie-Thérèse, tu m’honores de tes mots. Je suis contente que ça te plaisie après la sortie de Michel;-) Je reconnais la jardinière qui a repéré l’Hydrangéa. Que t’es-tu donc cassé? J’espère que ce n’est pas trop grave au moins.

    >Fred de Toulouse:
    Et voilà un autre drôle d’oiseau que je connais bien et qui a pris le relais de amichel;-)) Vous vous êtes donnés le mot! Super, Fred! Ton poème autour de cette partie de chasse est très amusant ;-)) Pas facile de caser tous ces noms d’oiseaux dont le barbu que je ne connaissais pas. Et ton histoire tient debout. Vos initiatives pour mettre un peu de gaieté sur le blog sont les bienvenues. Merci beaucoup , je t’embrasse sans nom d’oiseau.

    >Pierre (2):
    Je comprends mieux pourquoi tu n’as pas publié;-) C’est le genre de chose qui énerve. Remarque, ça te donne un avant-goût de Cévennes sans internet;-) Tu pars pas mal de temps cette fois.
    Merci pour ce passage en coup de vent et bon séjour dans cette magnifique région. La mariée tient bien le coup même après les frasques de amichel;-) Bises des prés.

  13. Ce jour là….. c’était dimanche
    On s’observait et on se cherchait
    Du regard parfois on se croisait
    Ce jour là……dans ta robe blanche.

  14. >amichel:
    Tu fais ton coquin, Michel;-)) Je vais te plumer le cou… Impaonsable le bec de paon… euh… bof pardon…

    >p’tit papillon:
    Merci pour cette jolie transposition poétique pleine de tendresse. La paonne inspire enfin de belles rencontres après les moqueries de cet après-midi écrites ci-dessus;-) Je te souhaite une bonne nuit.

    >Fred07:
    Tu as bien fait de rajouter 07 à ton pseudo car tu as un concurrent sur cette page;-) Fred, tu a fait la part des choses entre toutes ces interprétations;-) Hautaine certes mais envoûtante aussi;-) Merci beaucoup pour ton beau poème.

  15. paom! paom! paom! paom

    la part des choses…j’ai l’impression que le paon ne m’inspire pas vraiment, j’ai du trop les entendre « léooonider » je vias essayer de retrouver le rouge gorge que j’ai vu passer cette semaine…

  16. >Fred07:
    Tu vis sans doute à la campagne pour dire cela. Quant à moi, c’est la première fois que j’entends ce cri mais en virtuel seulement;-) Bonne nuit silencieuse.

  17. Coucou Ossiane,
    Je reviens d’un séjour en GB et je trouve tes photos éblouissantes de paons. On dit souvent que les oiseaux mâles sont plus beaux que les femelles mais là Madame est majestueuse.
    Bravo pour ces photos magiques.
    Je t’embrasse.
    Judith

  18. >Rene:
    Merci beaucoup pour ton enthousiasme. Sois le bienvenu.

    >Vi:
    J’ai remarqué que ce sont surtout les femmes qui apprécient la silhouette de la demoizelle blanche;-) Bien à toi, Vi; je t’embrasse.

    >Judith:
    Hello Judith! Glad you are back! Oui, le charme des dames paons est un peu plus discret;-) Lorsque j’ai photographié ces paonnes, il y avait des bébés paons tout simples qui gambadaient avec leur mère dans les jardins. Merci pour ta visite. Bises de l’été revenu.

  19. Oublions le cri
    Admirons la beauté
    De ce bels oiseaux:
    Les paons,
    Si fiers
    De leurs robes
    Si parfaitement
    Sorties d’un magicien:
    Le couturier de la forêt!

    L’imagination sur ton blog prend sa liberté…

  20. envolées nuptiales

    mon nuage d’organdi
    ma voile de brume
    mon duvet de bulles
    ma houppe d’angora
    mon pompon de mohair
    ma rêverie de neige
    mes battements de cils
    les palpitations de mon coeur
    les émois de ma peau
    mon doudou de flocons

  21. >Cristina M:
    C’est bien ce que je disais, les femmes réagissent plus positivement;-) L’imagination peut en effet se laisser aller à de nombreuses fantaisies;-) Rien de tel que la diversité. Merci beaucoup Cristina pour ce poème haute-couture. Tu as utilisé une comparaison originale. Je te souhaite une bonne soirée ou journée; ça dépend où tu te trouves en ce moment;-)

    >bouldegom:
    Quelles envolées! Les cloches vont bientôt sonner;-)) Tu me coupes l’herbe sous le pied une nouvelle fois. Merci beaucoup pour ces frous frous poétiques à faire succomber tous les paons de la basse-cour;-) J’adore le doudou de flocons;-)

  22. Solitaire mais digne… Majestueuse et pure…
    Je te suis toujours Ossiane…
    silencieusement mais sûrement. Amitiés

  23. >lkjlkj:
    Bonsoir et bienvenue. Peux-tu me préciser ta pensée?

    >Fabien:
    Je sais que tu aimes cette couleur, Fabien puisque tu écris en blanc sur ton blog de poésie;-) Merci pour ton compliment et que les visiteurs de ce blog fassent un petit détour par ton blog pour découvrir ta belle plume poétique.
    http://fabienmeier.blogspot.com

    >Lydie:
    Bonsoir Lydie;-) Ca me fait plaisir et en meêm temps ça m’impressionnne de te voir te découvrir après ces semaines ou mois de fidélité silencieuse à L’Oeil Ouvert;-) N’aie pas peur de t’exprimer qunad tu le souhaites, tu es la bienvenue. Merci pour tes impressions sur cette photo. Au plaisie de te revoir. Amitié chaleureuse.

  24. Damoiseau

    Comme un morceau de ciel qui vient plumer l’azur,
    Il nous lègue une esquisse au milieu du silence :
    Un reflet majesté au berceau de l’alliance
    Que lui offre l’Aurore épanouie d’un Oeil sûr.

    C’est ainsi couronné d’un Espoir féodal,
    Enivré d’un esprit à la tendre escalade,
    Que l’humble messager enfante sa ballade
    Brisant tous les remparts de l’Amour boréal.

    Il flâne dans les mots comme un passant sans nom
    Les bras chargés d’émoi – tant de bouquets fébriles
    Qu’il nous ange du bout de ses doigts vagabonds.

    Sous ces touches d’ivoire où l’envol est docile,
    Sa passion réfugie aux cheveux de Minuit
    Une moitié de souffle au baiser infini.

  25. Confessions

    Comme un saule en son Temps
    Goûte à l’onde gazelle,
    Ton voeu nourrit l’instant
    Où frémit l’Hirondelle.

    Regarde…
    Mon oiseau renaissant
    L’Amour est célestine
    Au berceau tout puissant
    D’une écoute intestine.

    De ton âme de Pan,
    Se dessine le zèle
    D’une plume de paon
    Pour l’esquisse d’une aile.

    Regarde…
    Mon oiseau renaissant
    Ta Cendre est libertine
    Et tu t’en vas paissant
    A sa foi féminine.

    Ta voie est un étang
    Où la paix se révèle
    Sensible au subtil chant
    De sa moindre étincelle.

    Prends garde…
    Mon oiseau renaissant
    Elle est vile et mutine
    Cette fée régissant
    Ta faiblesse câline.

    Ton coeur est le tympan
    De l’éclat d’une Belle
    Qui ne sème que vent
    Et te laisse pour grêle.

    Prends garde…
    Mon oiseau renaissant
    Dans ton orbe opaline
    Ne grandit que croissant
    Le nom de cette Epine.

  26. >les larmes du Phoenix:
    Cette note semble avoir emporté ton adhésion avec ces deux beaux poèmes très différents qui frôlent l’abstraction poétique et picturale;-) On dirait que tu peins un tableau en touches d’opale quand tu écris ces vers. Merci beaucoup pour cette effervescence imaginaire. Je t’embrasse.

  27. j’adore ce montage tout doux, vaporeux, cotonneux, rêveur et serein, avec tes petits mots tout doux par dessus…mmm voilà petit plaisir pris entre deux boulots,… j’y retourne, merci ossiane !

  28. >Malisan:
    Coucou Malisan, contente de te revoir;-) Tu m’as l’air bien occupée. J’espère que tu as pu prendre un peu de repos. Merci pour tes gentils mots douillets. Douces pensées vers toi.

  29. >James:
    Merci pour ton enthouiasme en majuscules; je ne pensais pas que tu serais sensible à ces animaux à plumes;-) Belle après-midi en douceur.

  30. >Emma:
    Merci Emma. Il est vrai que j’ai eu de la chance que l’oiseau ait bien voulu inconsciemment à mon jeu;-)

    >Bén:
    Te revoilà à parcourir d’anciennes notes;-) Telle que je te connais, tu ne pouvais rater ce haîku autour de ces plumes douillettes. Quel souffle! Bises.

  31. Chère Ossiane,
    j’ai flashé totalement sur cette note, le jour où tu l’as publiée… mais j’avais le nez dans 200 pages de budget à saisir et à formater (j’y suis encore !)…
    l’image de ce nid de plumes persistait dans mon champ de vision… et je m’étais promis de lui dédier un haïku quand mon angle de vue s’élargirait au-delà de mon écran !
    belle fin de journée à toi

  32. >Bén:
    Je comprends ton désir de retarder le haïku Si tu avais réellement flashé sur la photo;-) J’imagine qu’il faut être très concentré pour faire ce genre de rédaction sans commettre d’erreur. Surtout ne craque pas. Courage, la fin approche!

  33. >Bén:
    C’est curieux en effet;-) Les goûts et les couleurs ne se commandent pas. C’est à toi de faire comme tu le ressens.
    Quelle grisaille déprimante! Profite pour bien avancer ton travail. Il fait grand beau temps chez moi. Je te souhaite cette chance ce week-end. Bonne trêve!

  34. je pense qu’il faut être concentré dans un cas comme dans l’autre…
    je ne voulais pas faire le haïku sur un coin de table au risque de le bâcler et d’en brader les mots…
    en ce qui concerne le budget, c’est sûr, les coquilles sont toujours promptes à se glisser sous les doigts !! heureusement, on travaille en équipe !
    et la perspective du WE va remettre les choses à leur juste place !!
    bises

  35. alors la belle délicate
    au teint de lait
    cherche un coin d’ombre
    sous les pomponettes
    jette un oeil rapide à droite
    derrière et à gauche
    et s’en va gracieusement
    laisse sa douce plume blanche
    la plus soyeuse
    s’abandonner à la plume bleue
    et……..

    bonne soirée

  36. Tiens, deux personnes en même temps sur cette note ce soir et histoire de cheveux blancs pour vous deux également 😉 Merci Nath.

    Un poème tout blanc, Franck. Joli parallèle avec l’écume, le temps qui passe. Un bel hommage à la beauté et à la pureté qui fait un peu suite à ton commentaire d’hier. Merci beaucoup et bonne fin de soirée.

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