Eclipse

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Belvédère de Sighignola

Balcon d'Italie

Belvédère de Sighignola

Balcon d'Italie

Dans le bleu saphir, sur les vagues engourdies, je m'évapore

Lecture du Haïku Calligramme: du premier plan vers le fond.

Dans le bleu saphir
Sur les vagues engourdies
Je m’évapore

Photo du lac de Lugano prise du belvédère de Sighignola surnommé « Balcon d’Italie ». A droite, le lac Majeur. C’est un très beau promontoire à 1.302 m d’altitude, à cheval entre la Suisse et l’Italie depuis lequel on a une vue étendue panoramique sur les massifs alpins et les grands lacs. Voici la deuxième moitié du panoramique.

62 réflexions sur « Eclipse »

  1. Le long ruban du lac Majeur
    Serpent d’eau qui lentement se love
    Sous un ciel bleu teinté de mauve
    Au pied de montagnes pataudes
    en Immobiles vagues émeraudes
    Semble un chemin de vrai bonheur

    Le suivant nous irons aborder
    Aux merveilleuses îles Borromées
    Aux jardins luxuriants et parfumés
    A la beauté florale inouïe
    Tandis qu’enchanteront notre ouie
    Une chorale d’oiseaux-orchidées

    Et du haut du « balcon d’Italie »
    En contemplant émus et ravis
    Un paysage si doux que notre vie
    Dont l’âme s’évapore au soleil
    Se rêve un songe sans pareil
    Où douceurs et beautés s’allient

    Le lac Majeur ouvre son coffre
    Cette écharpe de vert soyeux
    Qui a la couleur de tes yeux
    Je la prendrai dans ton regard
    Cette parure d’eau de brocart
    Est une étole que je t’offre

  2. ECLIPSE

    Eclipse énigmatique
    Venue des feux célestes
    Danse méphistophélique
    Ou festin fantasmagorique

    Le ciel invoque la clémence
    La fraîcheur de l’air le nectar
    L’obscurité le mystère
    Et la lueur divine la démence

    Dans deux minutes le soleil
    Se lèvera pour la moisson
    Et fera naître la lumière
    Entre ses doigts de magicien

  3. une vue vertigineuse sur un paysage somptueux.
    Tu t’es donné la peine de monter en haut du belvédère, et cet effort fut grandement récompensé. D’ici, la civilisation est minuscule et se perd dans la nature.
    je t’embrasse.

  4. Chère Ossiane,
    tes photos de Lugano sont splendides !
    Quelle chance d’y être allée !

    Ce vert émeraude étincelle,
    Lugano, ville merveille,
    Entre « mar y munt »*,
    Je m’éclipse…

    Bises à vous tous mes Amis et surtout à notre hôtesse Ossiane,
    OLIVIER
    * »Entre mer et mont » en catalan.

  5. Eclipse

    comme un papillon dans l’éther crucifié
    se moque des empreintes du temps qui passe

    Tu écoutes,
    Toi, le Gardien des détroits interdits
    Toi, le Magicien aux portes de l’irréel

    battre le pouls de nos vies sans rêve
    dans l’univers fatal qui nous a mis en cage

    mais un soir, pourtant, dans la vague des nuances
    dans la fragmentation de la lumière à l’ infini

    alors que vibraient les dernières lueurs du crépuscule
    mon âme, sans un soupir et sans un mot, s’ éparpilla…

  6. Bonjour. Merçi pour ces beaux paysages et pour le précédent la région de Lugano. Les pays méditérranéens se ressemblent tous et sont baignés par cet mer bleu qui les unis et les rends attirants. Toutes ces couleurs de rouge, des toits à l’anciennes nous changent de ces grand s immeubles. Ces petites maisons aus toits pointus à l’anciennes nous montre que les gens d’ici sont restés un peu nature. La province est restée belle car elle est entretenu par le soleil qui m’intiends ces gens de bonne humeur. Les provinciaux sont des bons vivants, nature sans chichis, pasb comme nos fameux Parisiens qui jouent les chics du style nous n’avons pas les mêmes valeurs et nous regardent toujours de haut. J »aimais les Corses qui me faisaint beaucoup rire. J’ai employé le passé parceq ue la Corse a changé elle tue la différence et ce n’est pas beau. Dommage pour l’île de la beauté s’est le comble. Bonne journée chez vous et bons bisous du soleil levant.

  7. J’irai peut-être un jour
    à Lugano,écrin
    de verdure,îlot
    et de tout mon coeur
    je prierai,Tessin
    que la beauté,halo
    de lumière,toujours
    éclipse nos chagrins
    et nous jette,dévots
    à tes pieds
    monde de merveilles

  8. Et assis tout là haut
    Les pieds pendants
    Sur notre petit nuage
    On regarde cet écrin
    Nos yeux plongent dedans
    Et nos mains qui se serrent
    Se déserrent et se serrent
    Douces promesses au temps

  9. Ces paysages sont superbes
    Et si frais,
    Dans la monotonie
    De la chaleur de l’été
    Qui part et puis revient
    Je plonge
    Dans ce bleu saphir
    De tes vagues
    Où tu nous a invité à rêver
    Je lis ces beaux commentaires
    On sent une grande paix
    Que ces belles photos
    Donnent des ailes à l’imagination,
    On reste sur place
    Mais notre imagination
    Est bien au belvédère de Sphignola.

  10. La pierre,
    précieuse évaporée,
    caprice au lointain clair,
    intense transparence.

    Bleu plus bleu que le bleu
    de tes yeux? Bleu profond,
    en son regard se noie,
    entend la vague étale.

    Absente trajectoire
    essaie de décrypter
    éclipse, corindon…

    Est-ce engourdir mon âme,
    saphir panoramique,
    un nuage immobile?

  11. Du balcon d’Italie
    Les montagnes et les lacs
    Avec leurs entrelacs
    Quelle leçon de géographie!

    Le soleil eclipsé
    Le ciel brumeux
    Se dilue et se voile
    Estompe dans le paysage.

    Et de ce toit du monde
    L’on voit partout
    La vie humaine s’accrocher
    Comme elle peut
    Dans les replis et les creux
    S’y logeant douillettement.

  12. ………………………………………

    >>>>>> Grosse coupure de réseau pour moi depuis ce matin… d’où mes commentaires retardés. Voici la première tournée de mes réponses. La suite dans quelque temps…

    ……………………………………….

    >Les larmes du phoenix :
    Toujours de très beaux haïkus imagés. Je suppose qu’il y en a un pour chaque photo. En tout cas, je les perçois comme çela. Bonne journée et merci.

    >Annie-Claude :
    Oui Annie-Claude, j’ai failli appelé la note « Plongeon » 😉 Merci pour ton haïku vertigineux. Je t’embrasse au pays des lagons.

    >amichel :
    Tu es vraiment tombé sous le charme de ce lieu, Michel 😉 Paysage envoûtant au long ruban vert. Petite rectification cependant car je me suis sans doute mal expliquée. Ce serpent émeraude est toujours le lac de Lugano. Le lac Majeur se trouve en petit par delà les vagues de montagnes sur la droite. Le lac de Lugano est draîné par la Tresa qui conduit au lac Majeur. Lugano est une ville de 25000 habitants. Ce n’est pas grave du tout et cela n’enlève rien à la beauté visuelle et à la douceur de ton poème. Merci beaucoup pour cette somptueuse écharpe de mots qui ensorcèle. Je t’embrasse.

    >Bonbonze :
    😉 En tout cas, j’aimerais bien savoir l’origine du mot « lugano ». Si parmi vous, certains ont la réponse, je suis preneuse. Merci pour ta visite.

    >sven :
    Superbe poème, tu as vraiment plongé dans ces vagues d’infini, tel ce papillon assoiffé de lumière et de rêve. Très belle image que l’âme qui se dissème dans la lueur du crépuscule. Un moment unique de la disparition. Merci sven pour la sensibilité de tes évocations. Je t’embrasse.

    >Maria-D :
    Voilà que tu nous proposes deux exercices de style bien différents 😉 Tu as raison de te frotter à plusieurs approches. Leurs points communs, les rimes et une atmosphère empreinte de mystère. Ambiance ésotérique pour cette éclipse, sensations de l’invisible et l’impalpable, magie de l’instant. La lumière va bientôt emplir le monde de l’ombre. Merci Maria pour ton écriture fertile et magicienne. Bises de là haut.

    >Annick :
    Un joli partage Annick pour cette osmose entre l’eau, le minéral et l’air. Ce paysage n’existerait pas sans cette symbiose parfaite. Je t’embrasse et te remercie.

    >james :
    Oui james, c’est l’un des plus beaux panoramas que j’ai jamais vus. Tu as bien compris ce que je voulais faire passer. De là haut, on se sent éphémère et poussière d’homme immergé dans cette belle nature généreuse. Merci d’être venu, je t’embrasse.

    >brigetoun :
    Quelle image étonnante ces doigts d’eau bleus ! Je regarde la photo d’un autre œil maintenant 😉 Merci pour ce bel haïku. Bises à toi.

    >Olivier :
    Oui Olivier, je mesure la chance que j’ai eue de séjourner là-bas. Malgré les quelques images négatives que la Suisse véhicule, c’est un endroit de rêve où je retournerai volontiers. Merci pour ton poème étincelant; j’espère que tout va bien de ton côté. Bises émeraude.

    >Yo-cox :
    Bonjour yo-cox, j’espère que tu vas bien 😉 Merci pour ce poème très bien senti. Les montagnes protectrices enserrent le lac dans son écrin émeraude et lui permet de resplendir. Bises du lundi, merci.

    >les larmes du phoenix :
    Le regard d’un dieu sur l’humanité à ses pieds dans ce bel haïku. Belle image que ce jeu de dés à propos de la vie humaine. Merci beaucoup.

    >feu romeo :
    Comme toujours, tu nous proposes un poème original au niveau de sa forme et de son rythme grâce à cet arrêt au bord du vers suivant. C’est comme si on était au bord du précipice à admirer sans retenue les merveilles de la nature. Lugano te fait chavier toi aussi 😉 Bien à toi, je t’embrasse.

  13. Facile:
    « Le toponyme « Lugano » dérive du nom commun latin lucus qui signifie « bois sacré » ou bois en général; à l’origine, Lugano se serait donc implantée auprès d’un bois. »
    Aucun mérite, j’ai Internet à la maison :-))

  14. eaux de source

    dans l’eau au coeur de jade
    écho lisse et opaque
    mes mots galets roulés

    dans l’eau de vert-pré
    écho clair et sonore
    mes mots acidulés

    dans l’eau de l’émeraude
    écho de pierre taillée
    mes mots perles nacrées

    dans l’eau de port lointain
    écho de vents marins
    mes mots bulles d’air frais

    dans l’eau claire des lagons
    écho des farandoles
    mes mots îles flottantes

    dans l’eau pure de la source
    écho d’or des sésames
    mes mots chant de voyelles

  15. >Annick :
    Merci Annick pour l’acrostiche en tiers et pour ta tendre rêverie poétique au bord du nuage. Bises du soir.

    >Les larmes du phoenix :
    Les quatre haïkus en ont appelé quatre nouveaux tout aussi beaux, à découvrir dans l’ordre des photos. Merci à toi.

    >Cristina M :
    Ca me fait vraiment plaisir que tu accroches aussi bien à ce paysage. Je craignais qu’il ne vous lasse pour la deuxième partie du panoramique. Je vois que non et je constate que vos poèmes sont toujours aussi inspirés. Merci de jouer le jeu avec autant d’élégance. Je t’embrasse claeureusement, Cristina.

    >Bernard :
    Un très beau poème sur la transparence du saphir, la signification du bleu. Je décèle quelques questionnements sur l’éclipse et les mots de mon haïku. Le mot Eclipse amorce une transition vers un autre ailleurs. Il s’associe avec « évapore », verbe que j’ai choisi car il faisait très chaud. J’ai même pensé à mettre « vagues de chaleur » 😉 « Engourdies » car les vagues sont minérales et donc statiques. Comme quoi, les poèmes peuvent être composés à partir de sensations toutes simples faisant partie de l’ordre du vécu. En tout cas, c’est comme ça que je fonctionne souvent. J’espère avoir répondu à tes interrogations. Un grand merci à toi. Bonne soirée.

    >pierre (2) :
    Merci de nous livrer ton beau regard de poète et de géographe dans ce poème. J’aime bien ton expression « toit du monde ». On se sent effectivement observateur de l’activité humaine qui choisit ses endroits préférés pour se lover. Quelque part, c’est attendrissant. Bonne soirée, je t’embrasse.

    >Bruno :
    Bruno, je ne fais pas dans la violence 😉 Ce n’est pas vraiment mon truc 😉 J’espère que ton bobo se soigne bien. Bises à toi.

    >Bonbonze :
    C’est vraiment sympa d’avoir cherché pour moi l’origine de « Lugano ». Cet environnement boisé est toujours d’actualité des siecles après. Ca rassure un peu quelque part. Merci et bonne soirée !

    >bouldegom :
    Formidable poème autour du vert de l’eau que tu déclines en différentes teintes. Nuances qui évoquent des choses très différentes dans chaque strophe. La première strophe est très zen, la deuxième est campagne, la troisième évoque la pierre taillée, la quatrième est marine, la cinquième est paradisiaque, et la dernière est chant de la poésie. Bravo à toi, ton poème est très graphique. Je t’embrasse.

    >Maria-D :
    C’est chouette Lugano si le blues disparaît 😉 Beau parallèle avec mon bleu saphir. Bises et merci.

  16. « Je ne cherche pas la définition, je tends vers l’infinition. » Une enivrante pensée de Paul Klee qui m’a marquée, et qui rôde sur tes photos…

  17. Soyons admiratif, Apollinaire
    Ce calligramme est merveilleux.

    Flânons dans la légèreté
    La mer étincelle
    Le soleil éclaire les bois
    Ce bleu du ciel , fête de la lumière

    Eclipssons nous……
    Bonne nuit Ossiane

  18. Le bleu
    le bleu de l’immensité, le bleu ne représente rien concrètement. Il génère une impression d’espace, de distance, de pureté. Il est le mouvement qui élargit, qui élève, il ne s’enferme pas, il est la conversation sans le carcan des mots, le bleu de l’encre, le bleu de l’écran, le bleu du vague à l’âme… dilué , il parait inquiétant, le rêve, le souvenir, apaisant, il peut à la longue inviter à la mélancolie, à l’intériorité… insaisissable, insondable bleu…

  19. Comme le vitrail cathédrale
    sait en s’épanouissant
    ce bleu et l’éclat divin
    dont il sera amant
    Ainsi ton œil émérite
    avait songé d’avance
    d’être le doux miroir
    de nos instants si pleins
    Ossiane tu es la fée
    de nos âmes éclairées

  20. cela suit son cours, je suis un peu moins présent mais je lis beaucoup et je commente un peu moins. Je prépare un nouveau post même si pour l’instant je suis fort occupé avec mon nouveau site mais je n’abandonne absolument pas l’écriture une fois ce petit problème réglé cela va partir de plus belle.
    Je sais que tu ne fais pas dans la violence.
    Je t’embrasse à bientôt

  21. Ossiane, c’est magnifique, merci.
    On…je …reste sans voix devant un tel panorama, j’aime ces courbes , ces couleurs , passer des verts aux bleus…et m’évaporer.

  22. Tant de bleus sur ton blog.
    Tout le monde s’est plongé dans le bleu.
    Bleu plus bleu que le bleu de tes yeux? (Bernard)
    La verité c’est, comme a dit Cristina M., nous sommes tous au belvedère de Sphignola, avec toi Ossiane.
    Merci.

  23. des ricochets d’oiseaux
    ailent des cordes musique
    ils se laissent planer
    d’un flanc à un autre
    les notes se cristallinent
    avec l’écho si tendre

  24. un jour ou l’autre…

    le soleil un jour pour nous aussi s’éteint
    personne ne viendra nous prendre la main

    les pierres s’enfonceront dans nos pieds
    plus personne dans nos coeurs à convier…

    plus de soleil, plus de pierre, pour s’attarder
    plus de lumière, plus d’ombre pour nous diviser

    plus aucun repère aux croisements des chemins
    plus de pierre pour graver nos noms et nos destins…

  25. A Sven
    Toujours, tu me touches très fort en mon âme dans tes écrits
    Et là encore une fois, je lis et je relis, j’ai une boule dans la gorge, les larmes aux yeux et pourtant je ne suis pas triste, Mais…. je pleure.

    Connais-tu cela ?
    C’est un poèmes que j’aime beaucoup et que je lis très régulièrement.
    Je t’en fais cadeau
    De coeur à coeur
    Maria

    LE PROGRAMME EN QUELQUES SIÈCLES

    On supprimera la Foi
    Au nom de la Lumière,
    Puis on supprimera la lumière.

    On supprimera l’Âme
    Au nom de la Raison,
    Puis on supprimera la raison.

    On supprimera la Charité
    Au nom de la Justice
    Puis on supprimera la justice.

    On supprimera lˆAmour
    Au nom de la Fraternité,
    Puis on supprimera la fraternité.

    On supprimera lˆEsprit de Vérité
    Au nom de lˆEsprit critique,
    Puis on supprimera lˆesprit critique.

    On supprimera le Sens du Mot
    Au nom du sens des mots,
    Puis on supprimera le sens des mots

    On supprimera le Sublime
    Au nom de l’Art,
    Puis on supprimera l’art.

    On supprimera les Écrits
    Au nom des Commentaires,
    Puis on supprimera les commentaires.

    On supprimera le Saint
    Au nom du Génie,
    Puis on supprimera le génie.

    On supprimera le Prophète
    Au nom du poète,
    Puis on supprimera le poète.

    On supprimera les Hommes du Feu
    Au nom des Eclairés
    Puis on supprimera les éclairés.

    On supprimera lˆEsprit,
    Au nom de la Matière,
    Puis on supprimera la matière.

    AU NOM DE RIEN ON SUPPRIMERA L’HOMME ;
    ON SUPPRIMERA LE NOM DE L’HOMME ;
    IL N’Y AURA PLUS DE NOM ;

    NOUS Y SOMMES.

    Armand Robin / Ma vie sans moi / Poésie Gallimard

  26. Ma petite Marie à moi,
    si tu as envie de pleurer, pleure… et quand tu auras vidé toute les larmes de ton coeur, quand tu auras totalement vidé ton esprit de ses chagrins, de ses peines qui viennent comme ça, comme un raz de marée nous emporter, quand les larmes auront noyé toutes tes aspirations, toutes tes joies au quotidien, quand tu n’auras plus assez de volonté, , quand tu seras complètement silencieux à l’intérieur de toi, dans un total abandon, alors sous la poussière des journées ensevelies, la beauté et l’amour renaîtront… quand tu ne chercheras plus, quand tu ne désireras plus, quand tu ne poursuivras plus rien, l’amour et la beauté seront là. A Marie-D, sven

  27. éclipse

    des vagues de larmes
    obscurité d’ outremer
    mots à la dérive

    abysses inconnus
    surf sur la crête des flots
    regard hors de l’eau

    reste de lumière
    camaïeu de bleus célestes
    éruption de l’énergie

  28. A Maria-D
    le plus beau des cadeaux n’a pas jamais de papier…et le plus beau des cadeaux ce soir, c’est le tien. Merci.

  29. Avec mes semblables
    je m’élève vers le soleil
    Petite bulle de vie

    ps : merci Ossiane pour ce petit bijou comme je les aime
    du camaïeu de bleu, aux lignes du haiku, tout nous emporte vers le ciel

  30. les poëmes, sa rend la vie plus belle, sans faire partie de la vie elle m^me, les poëmes c’est les rèves, et les rève c limaginaire, a un moment i faut reprednre contact ac la réaliter avant de décrocher, je c ke révé c beau, mais comme de tout, fo consomer ac moderation. chapeau kmeme, c bien écrit, ya ke des sentiments pour exprimer sa!

  31. Cette photo me donne un grand sens de paix, comme je suis perdu dans le bleu et dans les vagues…c’est comme un reve!

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