Embellie

Lac de Côme

Pluie de lumière, un torrent de larmes dorées engloutit mon coeur.

* Lecture du Haïku Calligramme: de gauche à droite.

Pluie de lumière
Un torrent de larmes dorées
Engloutit mon coeur

* Photo du village de Lezzeno situé au bord du lac de Côme.

* Un petit signe d’amitié à Frédéric Clément qui vient tout juste de sortir son nouveau livre LUMINUS TOUR. Je vous invite à découvrir son univers plein de rêverie ainsi que son blog Instants Cléments qui regorge de recoins, de tiroirs, de dédales et de trouvailles très poétiques. Bravo à vous Frédéric et bon vent au LUMINUS TOUR !

49 réflexions sur « Embellie »

  1. Les bras tous doux de la montagne, poussent tendrement les petites maisons en bouées, et les incitent au barbotage, à piailler sur l’air du temps, il fait bon, juste chaud, les maisons glissent tranquillement, et puis trempent, bavardent, rient de leurs charmes, et puis, fatiguées par ce bon bain d’été, elles remontent la pente, la pente tout doucement, et se laissent sécher au soleil, sur les manches du temps vert, vert, qui perdure et qui dure, et qui donne la paix éternellement….

  2. Quand la lumière arrose le village
    le lac se dessine en puits de couleurs
    où la montagne s’enfonce à perte de vue.
    Les maisons deviennent des perles scintillantes
    où bat la vie comme un coeur s’oxygène.
    Et c’est de là que je t’écris
    Et c’est là que je t’attends
    là-bas au bord du lac de Côme
    Où le soleil italien
    allume l’espoir
    des amours embellies…

    Viendras-tu par le chemin des sourires
    cueillir mes larmes de joie
    qui feront un lac au creux de tes mains
    jusqu’à refléter ce que tu n’as jamais su voir ?

    Bientôt, il fera nuit ici,
    la montagne glissera ses paupières
    jusqu’à poser, dans l’eau, ses cils
    où s’accrocheront les étoiles tombées du ciel.
    Et moi, je ferai un rêve
    l’entendras-tu ?

    Catherine

  3. Pluie de lumière
    ——————-

    Le ciel a tiré
    Ces rideaux de pluie
    Le soleil vagabond
    Ecarte les nuages
    L’ombre se perd dans la montagne
    La lumière dorée
    Glisse sur le lac qui s’éveille
    Les toits de tuiles rouges
    Chantent dans la clarté
    Le jour s’avance
    Et le matin danse en riant
    Dans l’air léger
    Tes yeux s’ouvrent
    Encore habités
    Des rêves de la nuit
    Sur ta bouche étonnée
    Fleurissent des baisers
    Que tu offres aux oiseaux
    Dont le vol écrit dans le jour qui commence
    De tendres mots
    Que le vent murmure à mon oreille :
    « Bonjour mon amour »
    Alors
    Ouvrant grand les fenêtres
    Les volets claquent dans mon cœur
    Inondé de lumière

  4. Un bouchon dont je ne vois pas la longueur…
    Un bocal en mouvement sur les boulevards extérieurs..
    Etiquettes jaunes ou blanches sous mes projecteurs..
    92,95,93,75..quel est le meilleur..
    Banlieue du hasard ou Paris ordinaire..
    A tous les coups on perd..
    Préférer prendre la file de l’air..
    Rêver à contre sens sur des contes pas ordinaires..
    Un baiser sur ses paupières…
    Un voyage à la lisière des montagnes et de la vie..
    Pas d’interdits..pas de barrière..
    Lèvres de soie sur un lac endormi…
    Belle et douce alchimie..
    Sous mes pas s’envolent les feuilles de pluie..
    Nos coeurs emportés par une embellie..
    Hélas….je suis arrivé à Paris…

  5. Un petit village
    Niché entre mer et montagne
    Un petit bord de soi
    Bercé par la main apaisée
    Laisse échapper des bisous
    Des bisous si doux et si délicats
    Qui frôlent le bord du rivage
    Et bercent les lèvres de la mer
    D’un doux sillage

  6. Sur la montagne
    Un grand voile de lumière
    Passe en douceur
    …………….
    Ossiane, c’est beau, beau! La photo, le calligramme (qui ne retient que les lignes et les reflets),le haïku. Vais-je, encore, pouvoir dormir tranquille?

  7. Aux pieds de la montagne, colosse de roches et de temps, s’illumine l’éphémère abri des Hommes ; Sous la masse écrasante du verse eaux s’éclaire l’insignifiance des toits, l’insignifiance des mois.

  8. c’est vrai Ossiane, ce village paraît si calme avec ces petites maisons blanches adossées à la fourrure des montagnes regardant son reflet doré dans les eaux miroir d’un lac…on a l’impression que nulle trace de lutte, nul hiver brutal ne viendront jamais changer la trame paisible de la vie… et nous on regarde de loin et on s’interroge, pourquoi la vie ne pourrait-elle pas de dérouler ,partout et toujours,comme la-bàs, enveloppée des draperies d’or dans l’embellie du ciel.

  9. Je serais colosse aux pieds d’argile,
    C’est contre les flancs de ces collines
    Que j’aurais élu domicile.
    Le temps d’une sieste et terrasser ce spleen.

  10. >Camille :
    Prem’s pour la première fois 😉 Ces villages sont vraiment coincés entre le lac, une route unique qui fait le tour du lac et la montagne. J’imagine que l’hiver ce doit être un peu opressant surtout si le soleil ne parvient pas au pied de la montagne. Bonne journée Camille !

    >L’œil vagabond :
    Rendez-vous fort matinal qui n’est pas dans tes habitudes 😉 Amusant ce que tu as fait à partir du haîku 😉 Tu l’as désarticulé pour mieux jongler avec les mots 😉 Merci Chris, je t’embrasse.

    >Annick :
    Toi aussi, tu joues avec les mots 😉 Tu as une vision bien douce de cette photo. Je me demandais si elle n’allait pas vous faire peur 😉 Tes petites maisons sont toutes mignonnes et on se prend à les aimer 😉 Un joyeux bain de village qui rappelle les beaux jours de l’été. Merci Annick pour tes mots.

    >Catherine :
    Quelle belle façon de t’approprier cette embellie ! On y retrouve tous les éléments de la photo et du haïku puisque ces petites maisons palpitent de vie. Tu y ajoutes cet appel vibrant, cette attente et ce retour improbable de l’être aimé dans lequel tu évoques l’eau du lac, les paupières de la montagne, les étoiles du ciel. Ton poème est d’une grande richesse.Merci Catherine de venir parsemer tes mots sur ces pages. Je t’embrasse bien fort.

    >Brigetoun :
    Ca manque peut-être d’élévation mais je n’y vois aucun problème. Ton haïku m’a beaucoup amusée 😉 Je trouve que c’est une très bonne idée d’avoir imaginé ce pied aux ongles vernis. Cette photo est tout à fait pour toi puisque la précédente t’opressait. Bon bain de pieds à toi 😉 Je t’embrasse.

    >amichel :
    Comme tu as bien su tirer partie de la photo et des mots du haïku. Ces images de rideaux qui se tirent et de jour qui se lève sont superbes. Tu passes du général au particulier. On a l’impression de voir la caméra s’avancer petit à petit vers cette bouche de femme qui clame son amour puis vers ce cœur ébloui. Tes trois derniers vers sont formidables. Quel poète tu fais 😉 Un grand merci de nous faire partager tout cela et aussi fidèlement que toi. Je t’embrasse.

    >Désolée pour les suivants….Petite interruption de mes commentaires… Je reprends un peu plus tard… et ne vous oublie pas.

  11. la montagne s’arrête de respirer pour ne pas déranger village endormi au clair de l’eau , profitez en dans 10 000 elle aura repris son souffle !
    bises Ossiane

  12. En versant de lumière, J’angoisse dans ma solitude, une ellipse éphémère, pour mieux plonger dans le reflet du miroir de l’eau du village dessiné en huile pastel de bruine de pluie du lac sirène.

    Je t’embrasse et passe une bonne fin de journée

  13. coucou Ossiane, c’est tout vu, c’est vrai que la montagne est fort proche des maisons qu’elle s’écroule sur eux et les pousse dans l’eau.. mais ce matin mon air de large, mon air de bien, voyait les choses si plein d’envol, que la photo donna juste beaucoup de quiétude, de sérénité, de calme, d’apaisement….c’est vrai que j’aime bien être en haut de la montagne plutôt que dans son nid, mais Là, les bras sont tendres tous de vert habillé, la maille des feulles laisse passer de l’air, et les maison ventilent, respirent, s’amusent à nager jusque la bouée rouge qui prend son bain du matin..bises..

  14. >Me revoilà 😉

    >Pierre b :
    Je ne sais si tu as écrit ce poème juste avant de partir au travail ou juste en y arrivant mais en tout cas, c’est un beau texte d’un lundi matin un peu difficile 😉 J’aime bien ces morceaux d’écriture un peu tristes et désabusés que tu jettes sur le papier. S’y mêlent la vie quotidienne, ce qu’elle t’inspire et tes rêves de l’instant. Monotonie, absurdité, étouffement de la vie de banlieue. Prendre la fille de l’air et partir en voyage en pensée sur ce rivage d’Italie pour finalement se retrouver dans Paris. C’est une belle façon de faire la liaison avec la photo et le titre. Ca me plait de vous faire voyager si loin 😉 J’espère que ton moral est un peu remonté ce soir 😉 Merci beaucoup, je t’embrasse.

    >Annick :
    Je suis contente que tu te sentes si bien dans ce petit village. Ton deuxième poème en témoigne une nouvelle fois 😉 Sans doute que ces versants nimbée d’une douce lumière participent à cet état de béatitude 😉 Bonne soirée !

    >Pierre (2) :
    Merci pour la douceur de ton haïku . Je te sens conquis 😉 Je pense que tu vas passer une bonne nuit cette fois 😉 Bises.

    >Daniel :
    Tu as raison de souligner cette énorme masse rocheuse qui s’oppose à la fragilité de la vie humaine. Le temps n’a pas de prise sur elle. C’est très bien vu. Merci beaucoup Daniel pour tous ces mots que tu viens déposer ici régulièrement. Je t’embrasse.

    >Fugitive :
    Superbe haïku teinté d’humour 😉 Beaucoup de douceur et de talent dans ta plume. J’aime beaucoup.

    >Sven :
    Vous êtes donc tous sur la même longueur d’onde à propos de la tranquilité de ce lieu 😉 Cette fourrure des montagnes semble protéger le village. Il faut savoir qu’il y a des activités nautiques de toutes sortes sur ce lac. Activités de loisir, bien sûr mais aussi de transport. Tous ces petits villages qui constellent les rives sont très bien desservis par les bateaux. Il n’y a quasiment pas besoin de voiture pour aller d’un village à l’autre. Merci Sven pour la justesse de tes impressions.

    >UU :
    Un beau poème UU. L’image du colosse que tu as utilisée se prête bien à ce lieu. La puissance et la force mais aussi la fragilité de la vie. J’espère que ce spleen s’est enfui depuis tout à l’heure sinon Marie va dire que mon blog te plonge dans des pensées noires 😉 Bises au colosse.

    >Alain :
    C’est amusant que tu aies pensé aux poumons de la montagne gonflés d’air 😉 Bien trouvé mais le village risque d’être englouti quand elle va reprendre sa respiration. Bises à toi aussi.

    >Bruno :
    Décidément, il y en a plusieurs qui ont le spleen aujourd’hui 😉 Merci beaucoup Bruno pour cette belle évocation lumineuse en pastel d’eau. J’aime bien ton lac sirène. Ca donne envie de plonger. Bises chaleureuses au rêveur solitaire.

  15. Patte de velours
    D’un gros matou placide
    Rêvant sur la rive.
    J’ai déposé sur la soie
    De bronze liquide, mon coeur

  16. >Bén:
    Coucou Bén, te voilà revenue à la surface des blogs;-) J’espère que tu vas bien. Superbe cette posture féline! Je crois voir l’animal arriver vers moi. Tu as vraiment tout utilisé même la petite bouée rouge;-) De belles images. Bonne fin de soirée, je t’embrasse.

    >André-Claude:
    Bonsoir et bienvenue, André-Claude mais il me semble qu’on s’est déjà croisés il y a quelques mois;-) Contente que ça te plaise; cet endroit est un lieu magique et vaut le détour. A bientôt. Bien amicalement.

  17. ritournelle

    embellie
    bel canto

    ma belle île
    belle-de-jour

    belladonna
    belle-de-nuit

    belle embellie
    en belle eau

  18. main d’orfèvre

    or et argent en fusion
    pépites en suspension
    maillons enchaînés

    crépitements de fête
    flammèches incandescentes
    sillons lumineux

    signature de rêve
    lettres d’amour
    gravées sur le coeur

  19. Les dernières âmes
    Dévalent de la montagne
    Rejoignent les maisons entassées
    Au bord du lac qui chante la vie
    Un spectacle magique
    A lieu
    A trouvé lieu tout au milieu du lac
    Un coeur rouge
    Palpite de vie
    Et ce spectacle vivant ravit
    On applaudit
    Puis les maisons se disent bonsoir
    Les yeux émerveillés des fenêtres
    Se frottent les yeux
    D’émoi et de fatigue
    Car assister à
     » le coeur bat dans le lac! »
    C’est pas tous les jours
    Que telle scène se voit
    La vie au coeur
    Tout en coeur d’un lac
    Grand argenté et si calme
    Spectacle voluptueux vraiment

  20. Insomnie… Ce lieu semble être un hâvre de paix… où l’on oublie tout… je m’évade le temps d’une courte nuit…

  21. c’est un beau lieu, ton lieu, Ossiane, et parfois, je m’envole tant, plus loin encore, je suis une grande rêveuse. quoique.. dans le réel aussi..
    alors parfois je rêve que tes amis avec lesquels tu partages si généreusement ici, je rêve que tes amis et toi, soient appréciés par tant tant et encore.. que ton joli album frissonne dans leurs mains, que ces délicieux poêmes animent de coeurs, que tes jolies photos emmènent, que les haikus les séduisent…j’aime entrere dans ton havre de paix, sur la pointe des pieds, m’asseoir dans un petit coin, et me laisser aller, en douceurs, tendrement, dans le blotti de moi…je te souhaite une belle journée, Ossiane.. bises tendres…

  22. Un point
    Rouge
    Dans l’eau
    Dodelinant
    Doucement

    Des reflets s’attardant
    Pris au piège
    Du lac

    Un village blotti
    En douceur
    Au pied de l’éléphant

    Tendres pentes
    Se coulant
    S’étirant
    A la rive
    Se baignant

    Dérive de la lumière
    Soleil bas

    Tendrement tu m’attendris

  23. j ai eu la meme vision que brigetoun…
    ce pied que l homme essaye timidement de maquiller
    et mere nature toujours patiente
    face aux simagres du petit homme
    elle qui pourrait l ecraser sans effort
    cet imposteur de l equilibre de lenvironnement

    larmes de lumiere…
    ce cri qui ne sort pas
    retenu par un amour si grand
    invitant avant tout le laisser-faire

  24. juste une mise en garde…

    comme une
    mise en forme, en évidence
    mise à nu

    mise en veilleuse, à l’index
    mise à la porte

    mise au point
    mise en lumière
    mise en scène

    mise à feu ou en orbite
    mise en bouteille

    mise à l’endroit
    mise à l’envers
    mise à prix

    Blog aux pubs
    Blog aux tunes
    Blog austère

  25. Quelle photo paisible ! Je suis un peu débordée en ce moment par nos travaux de bassin mais dès que j’aurai plus de temps je me replongerai dans ton blogunivers.
    Ici la pluie n’est ni lumineuse ni dorée. Dommage, c’est bien plus beau comme ça.
    Bisous
    Judith

  26. Larmes or et sang

    par delà le temps déverse
    dans un reflux lancinant
    l’écume un peu teintée de sang
    d’une ancienne tendresse

    quand les cris des goèlands
    griffent au coeur la lumière
    un voile se déchire sur la mer
    par où la blessure s’ouvre

    mêlant sur les joues de la page
    les larmes sang à l’encre sage
    comme pleure une bougie
    sur le tombeau d’un ami.

  27. >bouldegom :
    Superbe ce poème dans lequel tu as joué avec les glissements de sens et de sonorités à partir du mot « embellie ». Le son « b » l’emporte et le « i » n’est pas mal placé non plus 😉 Tu as réussi à placer trois « b » dans la toute dernière strophe et ton poème a du sens. Belle prouesse.

    Un beau poème aussi le deuxième avec cette évocation des métaux précieux en fusion semblables à la lave qui descend d’un volcan. J’aime beaucoup ta dernière strophe avec ce cœur que tu parviens à replacer au centre du poème. C’est important de parvenir à écrire de belles fins (pas forcément happy end) aux poésies et je dois dire que tu y arrives magistralement. Jusqu’où vas –tu aller ? Je t’embrasse.

    >Annick :
    Merci beaucoup Annick pour ce joli poème qui palpite de vie. Tes petites maisons vont faire la sieste. Tu sembles trouver dans ce petit coin la part de rêve et de douceur que tu cherches. Tu es la bienvenue ici et je suis touchée par tes mots. Bien à toi Annick, je t’embrasse.

    >Lydie :
    Bienvenue Lydie, je me souviens de toi qui regardes en silence 😉 Je vois en effet que ta nuit a été sérieusement entamée 😉 Je suis heureuse que cette photo ai pu mettre fin à ton insomnie. Il est vrai que la vie au bord de ce lac inspire la paix. Bonne journée quand même et à bientôt !

    >Pierre (2) :
    Je trouve qu’au fil des mois, tu te laisses aller de plus en plus à la poésie. Tu t’es complètement immergé dans ce paysage et tu laisse filer par petites bribes les mots et les émotions qu’il t’inspire. On part d’un simple point rouge sur l’eau et on remonte doucement la pente du pachyderme. C’est simple, c’est beau. Toi aussi ta plume m’attendrit. Merci beaucoup de t’implique autant dans ce blog. Je t’embrasse.

    >cokhun :
    Bonjour, te voilà donc de retour 😉 Oui, ce pied s’impose de plus en plus 😉 Belle idée de faire ce parallèle entre les caprices de l’homme et de Dame nature qui observe, s’adapte patiente à ses humeurs. Merci beaucoup, tu écris bien et de façon sensible. Au plaisir de te lire à nouveau.

    >Fred (de Toulouse) :
    Ton premier poème me déroute un peu avec cette mise en garde que tu déroules très bien d’ailleurs. Ferais-tu allusion au renvoi que j’ai fait sur la note de UU ? Je sais que tu aimes que ce lieu soit préservé et réservé à ce qui se dit autour des photos. Si c’est le cas, tu me vois désolée de t’avoir contrarié mais je ne pouvais me taire sur ce sujet.
    Merci pour ton joli petit haïku un peu plus triste que ceux des autres visiteurs. La montagne te chagrinerait-elle… 😉 Bises à toi, Fred.

    >Anne-Laure :
    Oui Anne-Laure, tu as remarqué que j’essaie de faire des transitions entre les séries 😉 Bon œil mais c’est normal venant de toi 😉 Je conseille aux visiteurs d’aller visiter le beau blog photo d’Anne-Laure à cette adresse : http://www.annelaurelechat.canalblog.com Bon après-midi et merci d’être passée !

    >sounya :
    Sounya, tes mots me touchent 😉 Mais je sais à lire ta poésie et au fur et à mesure que je te découvre que tu as une capacité étonnante à ressentir et à restituer les choses même imperceptibles de façon très sensible et personnelle. Merci à toi. je t’embrasse.

    >Judith :
    Hello Judith ! Je vois que tu n’es pas dépaysée en venant ici puisque tu as les pieds dans l’eau aussi ici 😉 J’espère que tes travaux avancent bien et que tu n’es pas trop bousculée. Belle lumière dorée de septembre chez moi. J’en profite 😉 Bises de l’ouest.

    >Sven :
    Ton poème est très beau et émouvant Sven. De cette lumière dorée et de ces cris de goélands, jaillissent des griffures, quelques gouttes de sang d’une blessure profonde qui s’ouvre, laissant échapper des mots bouleversants sur cette page. Merci beaucoup pour ta plume sensible; je te souhaite une bonne fin de journée.

  28. >Ossiane :
    Non non rien à voir avec UU !
    même si on peut s’interroger sur la notion de secte
    et l’église catholique 😉

    Je suis juste allé voir « Instants Cléments » et le concept
    de Blog Marchand ne me passionne pas plus que ça 😉

    bizZz

  29. Je suis passée jeter un coup d’oeil sur ton blog et finalement je suis restée un bon moment en contemplant tes photos .Tu es vraiment très douée !C’est très agréable de se promener d’articles en articles autour de ces calligrammes et de ces instant immortalisés par l’appareil .
    Bonne continuation 😉

  30. “Tes yeux s’ouvrent
    Encore habités
    Des rêves de la nuit”
    amichel

    Fermer les yeux
    Retourner aux rêves
    Au paradis d’amour
    Me laisser aller
    Pour la vie.
    Pas m’eveiller.
    Pas des larmes
    Qui glissent,
    Pas des tristesses
    Qui tuent,
    Pas des angoisses
    Qui oppriment

    Fermer les yeux
    Retourner aux rêves
    Au paradis d’amour.
    Où le ciel,
    Clair et tranquille,
    brille en bleue.
    Où les fleurs poussent
    En couleurs et parfuns.
    Où les oiseaux
    S’envolent,
    Parmis les nues
    En gaze blanche.

    Fermer les yeux
    Retourner aux rêves
    Au paradis d’amour
    Retourner aux rêves
    Pour toujours…

    amichel
    j’ai bien aimé ton poème
    et les vers qui nous parlent
    des yeux habités des rêves.

    Ossiane,
    feu vert!

    Ben
    Quel plaisir de te revoir.
    Bises brésiliens.

  31. A la jonction de deux univers naturels, l’homme construit son village, utilisant l’eau, utilisant le bois. Acquis ou instinct ? un héritage qui remonte à la nuit des temps.

    Bonne nuit Ossiane.

  32. >Fred de Toulouse:
    Je comprends ce que tu veux dire et je suis moi-même plutôt réfractaire à tout ce qui touche à la pub qui commence malheureusement à envahir les blogs. Cependant, j’ai envie de mettre en avant des amis de blog qui font des choses créatives et poétiques, prennent des risques, sortent des sentiers battus et ne se retrouvent pas en tête de gondole car ils ne correspondent pas aux critères demandés par les médias traditionnels. Tu connais Lilly et tu aimes son travail tout comme moi; elle va bientôt sortir son livre. Il est sûr que si je peux lui donner un coup de pouce sincère avec mon blog, je le ferai. Voilà, j’espère que tu me comprendras, Fred et que tu ne m’en voudras pas. Bonne nuit à toi; je t’embrasse.

    >Lilly:
    Justement, la voilà;-) Tout comme moi, tu aimes ce que fait Frédéric Clément et tu l’exprimes d’une manière très poétique qui n’appartient qu’à toi;-) Bisous de nuit, lilly.

    >Sylvie:
    Bonsoir Sylvie, contente de te voir réapparaître sur les blogs;-) Merci pour ton petit haïku très très calme;-) Bonne nuit!

    >Pauline:
    Bonsoir et bienvenue Pauline:-) C’est très sympa de t’être arrêtée aussi longtemps à contempler. Ca me fait plaisir de savoir qu’on peut vagabonder de note en note sans se lasser. Au plaisir de te revoir sur ces pages. Bien amicalement.

    >Neyde:
    Coucou Neyde, j’espère que tu vas bien;-) J’aime bien quand le poème de l’un en appelle un autre. De beaux regards croisés que les vôtres. Ton poème est émouvant avec ce refrain que tu scandes comme pour mieux te convaincre. Retourner aux rêves pour oublier la douleur et les angoisses. Un paradis parfumé de couleurs et d’oiseaux. Bravo à toi grande poétesse du Brésil. Aucune faute de français mis à part dans « bises brésili(ennes). Pourquoi me dis-tu « feu vert » ? Bonne fin de journée pour toi. Mes pensées vers Sao Paulo.

    >Guillaume:
    Oui Guillaume, c’est vrai qu’ils sont plutôt gais et conviviaux les italiens du lac de Côme. Jeunes et vieux discutent et font la fête jusqu’à une heure avancée de la soirée. Un vrai petit paradis alpin. Bises à toi et fais de beaux rêves.

    >James:
    Oui, james, tu as raison de te poser cette question. Quand on voit la hauteur de ces montagnes boisées et la rigueur de l’hiver, nous citadins, on se demande ce qui a bien pu pousser les hommes à s’établir dans ces coins si perdus et inacessibles. Il faut croire que la matière première comme le bois et l’eau étaient les éléments de base pour se loger, construire des bateaux, boire, cuisiner, se laver. Un mélange d’acquis et d’instinct sans doute qui émeut toujours autant des millions d’années après la naissance de l’homme. Douce nuit à toi aussi. Je t’embrasse.

  33. Oh… perché sur mon confetti de lumières pour cette sortie du « LUMINUS TOUR », je n’ai pas vu le coup d’éclair que vous avez fait à mon opus et à mes « instants cléments », chère Ossiane… Pardonnez au merle étourdi et quelque bousculé que je suis en ce moment… (pour l’étourderie, en fait, c’est tout le temps, je l’avoue ! )

    Un vernissage/scénographie autour du LUMINUS aura lieu le 10 octobre… si vos souliers de 7 lieues vous portaient jusqu’à Paris dans ces dates… dites le moi… Plaisir de vous accueillir dans cette galerie « L’ART à LA PAGE », à la Bastille – Paris 11e- …

    Sourire et douce amitié à vous…

    frédériC
    http://www.fredericlement.net

  34. >Vi :
    Bonjour Vi, te voilà donc de retour sur nos ondes 😉 Je prends ton embellie avec plaisir. Sourire vers toi.

    >Frédéric:
    Le merle étourdi est tout pardonné 😉 Mais ce n’était pas un problème car j’avais de toute façon envie de faire découvrir votre bel univers poétique. Merci beaucoup pour cette invitation qui me touche. Mes souliers de sept lieues me porteront vers Paris pour mon travail avant et après le 10 otobre malheureusement. Si jamais, j’entrevoyais une éclaircie, je vous le ferai savoir. Que cette fête et cette sortie du Luminus soient des plus réussies. Je n’ai pas encore eu le temps de me le procurer mais je n’y manquerai pas. Sourire de l’autre rive vers vous.

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