84 réflexions sur « Pulsations »

  1. pulsation
    elle s’accélère
    elle monte
    elle ne s’arrête pas
    elle pulse sa vie
    à coups de
    pulsations

  2. PULpeuse et juteuse l’orange de la vie apporte
    SA raison en chaque quartier
    TItillé avec ONdes douces et belles chaque jour.

  3. Ossiane, tu gâtes, ce mot  » pulsation » j adore, il y a la vie dedans dedans ce sang qui avance pulsé par le petit coeur qui s’accroche à la vie du malade qui perfusé, tient à un fil, ce mot est si plein de musiques, de saveurs, il est fort beau..
    et ton image est tendre, j’aime ce bleu vivant des petis bâteaux qui se croisent un jour de vie…
    le calligramme me charme par le rose qui borde le bleu, complices du bel oeil qui se réjouit fort.
    je te souhaite une belle nuit dans de douces pulsations bercées par ton coeur si gentil ton album est une splendeur..je vis!

  4. J’ai mal aux coeur des hommes
    entre deux airs entre deux eaux
    celui qui coule en sang dans l’ombre de nos veines
    J’ai souvenir des temps d’infini qui questionne
    où je gonfle la voile à l’écoute du vent
    je courrai l’océan emporté par la vague
    laissant dans mon sillage
    des écumes d’argent
    à la merci des cieux, des oiseaux et des larmes
    Sel de vie
    j’ai aux lèvres, comme un goût de ce drame:
    se griser de vitesse et de bruit, de vacarme
    il brûle les espaces son engin pétarade
    à volonté j’existe, en course je les croise
    très fier
    je domine l’espace inflige ma victoire
    aux autres qui se disent,
    à nous l’immensité du destin bleu pétrole
    c’est la couleur fossile
    attention pour autant
    s’épuisent mes réserves
    retrouvons nos fortunes
    de mécanoculteurs assoiffés de la pompe
    c’est ailleurs c’est demain peu importe le mal
    à l’heure tatouages
    comme des cicatrices
    j’embellis ma nature encore trop primitive
    Quand pour l’amour de moi
    j’appelle en désespoir
    au secours?
    Excès de ralenti?
    La machine s’emballe?
    Un lien impermanent
    rend mon avenir sombre
    l’angoisse existentielle
    étouffe mon désir
    au plexus tout se serre
    j’ai peur de nulle part
    ici gît l’inconnu
    Il est mort au travail
    en traçant des sillons
    écris dessus sa tombe
    « non classé »

  5. Houlà … ça commence fort ce matin … bon j’y vais de ma modeste contribution pour un haïku très, mais alors très libre …

    Reflets argentés
    Sur la mer imense –
    Les petits hommes s’agitent.

  6. Mer de nacre
    Lucioles s’affolent
    Tempo de la vie

    Lumières magnifiques
    Lignes subtiles
    Calligramme plein de vie
    Merci Ossiane

  7. Moi, j’aimerais justement que notre peau et notre corps soit à l’image de cette mer = un immense réservoir à sensations, sur lequel toutes les plus infimes sensations peuvent résonner et se répondre à l’infini… j’aimerais être une mer à fleur de peau.

  8. Bonjour Ossiane,

    Jolies prises,
    cependant, quand je n’ai pas l’origine du lieu,
    pour bien resentir les émotions,
    j’ai l’impression de faire du voyeurisme virtuel.
    de regarder une photo *synthétique*.

    Par exemple : cette photo est-elle prise, a t elle comme origine :
    le Cap Fréhel / le Cap Horn,
    la Mer de Chine, les Caraïbes, l’Océan Indien, l’Antarctique … ?

    Pour bien me câler dans le cadre,
    en spectateur qui resent la photo épidermiqument,
    de l’endroit / du terroir,
    l’ambiance , l’atmosphère, toute la chaleur / ou le froid, toute la lumière qui enveloppent ces couleurs et ces mouvements…

    Amitiés,

    Francis d’Australie
    ou du pôle nord, par exemples

  9. consultation

    que tu viennes à me frôler
    et ma peau en frissonne

    un baiser par-ci par-là
    et des ondes sens dessus-dessous

    l’épiderme radiographié
    vire au rouge à chaque approche

    le diagnostic est clair
    mon coeur bat toujours

  10. mmh. c’est tendre bouldegom. Merci.

    la main caresse le corps aimé,
    et bien longtemps après
    le bleu du corps
    si doux partage
    ondule encore
    sous les frissons

  11. PULL fort large pour être désirable et rempli de ton toi
    SA maille bat respire de te savoir vivant
    SCIONS la pulsation du temps et arrêtons l’instant!

  12. Mon coeur bat et chariote ses douces pulsations…ce mot je l’aime à l infini, je laisse la place à d’autres, tant de mots, tant d’envies, tant de chaud, tant de beau, j’adore ce petit mot qui me fait frissonner des secondes des heures des mois et des années!

  13. > Annick, tu pulses, ton pouls à 140, c’est trop mon amie!
    Regarde cette risée, ce frémissement, cette prémonition
    A fleur de peau
    A fleur d’eau
    Tout est calme
    Quelques rides troublent la surface
    L’effleurent, la caressent
    Un friselis
    Et le miracle surgit
    Part dans tous les sens
    De tes sens réveillés
    Et tu souris.

  14. Ecoute petit homme!

    Ecoute battre son cœur
    Colle ton oreille à la terre
    Entends son sang qui chante
    Son feu et sa douleur
    Flûtes de cristal échos de verre
    Laisse toi emporter
    Par sa respiration latente
    Et calme tes angoisses
    A ses sons répétés
    La mer que le vent froisse
    Ou la grande houle
    Rythme ses pulsations
    Qui dans l’univers roulent
    Musique des sphères
    Tendres palpitations
    Qui toujours bercèrent
    Le temps des hommes
    Hymne d’ « amor fati »
    Epopée de la vie
    Qui fit ce que nous sommes
    Ecoute battre son cœur
    Qui nous implore
    D’éloigner d’elle ce malheur
    La mort de sa faune et sa flore
    Par notre avidité
    Inconscience coupable
    La pollution insupportable
    Qui croît avec rapidité
    Ecoute battre son cœur
    Avant qu’il ne s’arrête
    Que son feu intérieur
    En glace ne se change
    Et que l’épée de l’archange
    A jamais nous rejette
    D’un paradis sans fleurs
    De ce qui fût notre planète

    Ecoute petit homme !

  15. …….M O Z A R T……….

    noire
    blanche
    clé de sol
    clé de fa
    un dièse
    un bémol
    tu sens les notes qui traversent ton âme
    la pulsation de ton esprit appelle ton ange
    qui passe
    frôle ta peau
    pose doucement
    comme une plume
    un baiser doux au creux
    de ton oreille
    noire
    blanche
    Wolfgang est là…
    toute sa vie de ……… A à Z
    il l’a construit sur son ………. Art
    toute sa vie en pulsation ………  » d’Amor  »
    jusqu’à la …………………………. ……… mort
    ……………………………………………………Mozart……
    tu es toujours là !

  16. ohlala vos mots sont splendides, *mince comme vous me gâtez, comme tu nous gâtes avec ce mot Ossiane…

    Viens
    Pose
    Ta main
    Sur la soie
    De mon corsage
    Et ressens
    La pulsation
    De mon petit coeur
    Qui bat
    Il bat de VIE
    A 1400
    Mon cher jeandler!
    *sourire*

    et je vous relis car vous êtes si beuax…merci grand.. je ressors à 1800 quand je passe ici… bises à tous!

  17. Douces
    douces
    Mes chéries
    ma vie
    Je veux la vivre
    encorps
    Un peu
    alors
    Douces
    douces
    Mes chéries
    calmez
    Le joli courant
    de cette cascade
    De perles si tendres………..

  18. la pulsation d’un P avance son pas de danse, et puis le U de l’ubac le refroidit doucement, le L de la lumière surgit et le S de saison se presse tout à côté, le A d’amour se glisse doucement tandis que le T de tentation le I de idylle le O de oser brillent devant le N de la nuit des temps magiques et si beaux…

  19. .
    .
    Première tournée de commentaires, la suite arrive 😉
    .
    .
    >Annick :
    Merci beaucoup pour tes sensations et tes deux poèmes. Je me doutais que tu aimerais ce mot 😉 Tu en parles fort bien et tu as bien compris ce que j’ai voulu faire passer. Le temps ralenti de la première photo et les accélérés de la deuxième avec le sang qui coule et le cœur qui bat avec ses fulgurances. J’espère que tu es bien réveillé depuis et que ton cœur bat fort. Je t’embrasse.

    >Anne-Marie :
    Un bel haïku plein d’énergie et d’espoir. Cela s’appelle mordre la vie à pleines dents, Anne-Marie. Merci à toi.

    >bouldegom :
    Après Annick, Anne-Marie, voilà la troisième princesse de la nuit 😉 Merci pour ton bel haïku cadencé et musical.

    >Bernard :
    Que tu es matinal ou couche-tard 😉
    Un superbe poème dans lequel tu évoques ta douleur face au bruit, à la vitesse, à la destruction de l’environnement et ta nostalgie de la lenteur et du silence. On y retrouve le cœur, le sang, les sillons, un appel au secours pathéthique mais avec la note d’humour du non classé 😉 Tu remarques décidément tout 😉 Un grand merci, je t’embrasse.

    >Guess Who :
    Ecris d’abord et lis ensuite; ça impressione moins 😉 Merci pour le bel haïku, tu as tout compris 😉 Bon week-end; je t’embrasse.

    >bonbonze :
    Beau jeu de mots 😉 Merci et bon week-end !

    >Marie-D :
    Tu me gâtes aujourd’hui 😉 Un bel haïku cadencé qui prend de la vitesse et ne sait plus où donner de la tête 😉 Merci pour tout ce que tu dis. Je t’embrasse.

    >pierre (2) :
    Amusant que la photo t’ait fait penser à ça 😉 C’est bien vu et senti. Quelle imagination !

    >Emma :
    Tu écris bien Emma. Ce que tu dis est sensible. Le fœtus n’est-il pas déjà dans cette mer de sensations. Je sais, vu tes recherches actuelles et antérieurses que tu es particulièrement attirée par tout ce qui touche au corps et à la peau. Bises du week-end.

    >Francis :
    Je comprends ton point de vue, Francis 😉 Mais, dès le début de mon blog, j’avais pris le parti de faire un voyage imaginaire. Effectivement, il n’y a pas de repères et c’est déstabilisant. Mais c’est aussi l’occasion de faire vagabonder l’imagination, de rêver et d’obtenir tous ces magnifiques poèmes qui seraient certainement plus réalistes et moins intéressants si je disais l’origine du lieu dès le début. Tu peux remarquer que mes notes sont en Non classé 😉 Je compte dire où j’ai pris ces photos mais un peu plus tard 😉 Je constate toutefois que tu as bien fait marcher ton imagination vu la quantité de lieux que tu cites 😉 Bien à toi Francis de nulle part pour l’instant mais de quelque part bientôt 😉 Je t’embrasse bien fort.

  20. > Annick mais aussi Ossiane et tous les autres:
    Le diapason? A quelle fréquence, pour cette romance?
    C’est une chanson douce
    Ce friselis, ce roulis
    Presque du Debussy
    Sur l’eau
    A moins que Ravel vous ravisse
    Ecoutons
    Quelques arpèges
    Un trait soudain
    Et les notes fusent
    En tout sens
    Sans-dessus dessous
    Foin des bémols
    Vive les trémolos
    A la surface de l’eau

  21. >bouldegom :
    Superbe ! Tu me fais frissonner aussi 😉 Finalement, la peau est toujours là vivante et sensible et le cœur continue de battre plus que jamais. Merci. Bises du soir.

    >Annick :
    Merci pour toute la belle série de poèmes sur le corps et les pulsations de l’amour. J’aime tout particulièrement le premier. Ca bat fort chez toi 😉

    >Pierre (2) :
    D’ailleurs, Pierre ne s’y est pas trompé 😉 Une jolie déclinaison frissonnante à partir du thème d’Annick. C’est amusant car les idées dérivent vers des choses plus sensuelles au fil des commentaires. Ca ricoche fort ! Bises.

    >amichel :
    Superbe ! Michel, tu as choisi de rester l’oreille collé à la terre avec ton petit homme pour écouter battre son cœur. C’est une belle image forte qui fait penser au médecin au chevet de son malade. Problèmes de respiration que tu mets en évidence en choisissant quantité de mots qui évoquent des rythmes, des sons. Bravo, c’est vraiment très bien fait, écrit et ressenti. Comme quoi, on peut rendre une poésie musicale sans entendre le moindre son. Fabuleux pouvoir des mots. Bises du week-end. J’espère que tu vas bien.

    >Fugitive :
    Splendide ! Quelle concision et force dans tes mots pour exprimer ce qu’on voit sur les photos. J’aime bien cette vie qui fuse et file. Bises chaleureuses.

    >jane :
    C’est fou, ça ricoche de plus en plus 😉 Nous voilà avec des poèmes autour de la musique maintenant. Que ne ferait-on pas pour exprimer sa passion pour un de ses musiciens préférés 😉 C’est beau ! La photo te fait penser à des notes qui traversent, l’âme, caressent, bouleversent. Emotions, sensations. Une vie en pulsations jusqu’à la mort. C’est vraiment très chouette, jane. Bravo !

    >Annick :
    Ca pulse beaucoup encore plus fort que sur les autres notes ! L’aldrénaline monte à vitesse grand V 😉 1400, 1800 tu ne vas pas tenir le choc à ce rythme là 😉 Bien fait ton morceau d’écriture avec les lettres de pulsations. Tu Oses 😉

    >feu romeo :
    Etonnant poème décalé et plein de fantaisie, roméo 😉 Je n’ai pas tout compris notamment « bicar » mais est-ce important ? Je ne le crois pas 😉 Je dirais « symphonie d’une nouvelle poésie par roméo » qui arrache un sourire amusé 😉 Bises à toi et merci d’être là.

    >pierre (2) :
    Coucou Pierre, je suis là. Je prends Debussy 😉 Les mots fusent dans tous les sens mais en douceur. En revanche, incapable de dire la fréquence au scientifique que tu es, certainement très fort 😉 Merci pour cette romance friselante (je ne sais pas si ça se dit…)

  22. ça va
    ça va
    car quand les pulsatiosn s’affolent
    ensuite elles se tamponnent
    et puis elles s’abandonnent
    avant de se ralentir doucement
    ça va
    ça va

  23. On a été trop haut…j’ai le vertige…prends moi la main..j’ai mal au coeur…je l’ai blessé…on a été trop vite…Ils vont dans tous les sens..rien de rectiligne..Et maintenant que va-t-on faire ?
    On va les déposer..une à une..doucement…dans les sillons de la mer…Certaines vont germer..grandir…s’épanouir…éclore..d’autres vont certainement voir le temps se ralentir..s’évanouir..peut être mourir..
    Tu vois..elles s’envolent…c’est drôle je ne les imaginais pas comme cela…elles perdent de l’altitude…plongent …dans le coeur des autres…
    A quoi tu penses ? A rien…j’ai la tête vide…plus de pensées…Elles m’ont quitté…Et toi …tu sembles absente..lointaine…Moi..? non..tout va bien…J’écoute ton coeur vivre…il me parle…C’est tendre et doux…

  24. A amichel, dont je « goûte » toujours trés fort les vers:

    Regarde, petit homme !

    Regarde dans mon cœur
    Ecoute comme il bat
    Une valse, un, deux, trois,
    Viens danser avec moi…

    Ouvre les yeux sans peur
    Respire autour de toi
    Tous tes amis sont là.
    Comme c’est beau, ici-bas !

    Caresse le bonheur
    D’un rayon de soleil
    Et goûte les merveilles
    D’un innocent sommeil…

  25. Etrange coïncidence bleutée
    Que l’eau et le vent enlacés
    Pareils aux comètes de l’espace balayé.

  26. >Annick :
    Je t’avais bien dit que ça finirait par un carambolage 😉 Heureusement, elles finissent par reprendre leurs esprits. Bises de nuit.

    >Pierre b :
    Superbe morceau d’écriture. Comme souvent, tu nous proposes une réflexion intérieure émouvante et mélancolique avec les mots qui se posent sur le papier en point de suspension, par petites touches et respirations, un peu à la manière de ces pulsations qui plongent, vont, viennent en mode ralenti ou rapide. C’est tendre et doux comme le battement du cœur que tu évoques. Merci beaucoup pour ta belle plume. Je t’embrasse.

    >Anne-Marie :
    Tu as le don de rebondir en poésie sur les poèmes que tu aimes. Ce petit homme t’aura certainement entendue et Michel aussi. La bise de 1h.

    >MTO :
    Tu as donc réussi à poser ton commentaire sans passer par le cachot. Mais dis-moi, c’est une grande nouvelle !!! Comment as-tu fait ?
    Superbe petit poème ! Des comètes, le vent et l’eau enlacés, personne n’avait encore évoqué l’espace. Merci beaucoup, je t’embrasse.

    >Marie-D :
    Vioilà deux jolis petits haïkus bien différents, l’un évoque le cœur en détresse avec ses éraflures et l’autre le cœur battant ivre d’aventure. Merci pour tes contributions de plus en plus nombreuses et intéressantes. J’espère que tu te plais ici. Bon dimanche.

  27. Jane,
    Toujours Mozart!
    En voyant que tu aimes Mozart, je t’ai envoyé par email (17/07) un Mozart que surement tu ne connaissait pas.
    Tu l’as reçu?

  28. dans la nuit rousse
    les étoile scintillent
    anne-marie la douce
    dont les yeux brillent
    valse avec moi
    et je suis roi …

  29. Vte! Vite! dit-il
    Encore plus vite!
    Quelle urgence?
    La vie, il répond
    N’attend pas.
    Prends ton temps.
    Elle attendra
    Et la tienne aussi?

    J’aime la vie.
    Distille-la
    Pourquoi cette gloutonnerie?
    L’envie, l’envie de vivre
    La fureur de vivre?
    La vitesse, la violence
    Les hauts et les bas de la vie
    Ses cahots, ses ornières.
    Module!

    Goûter demande réflexion
    Temps et compétence
    Affluence trop plein
    Ne sert à rien!
    Tout est dans tout
    La vie dans une goutte d’eau
    Point besoin d’océan.

    « Rien ne sert de courir… » dit la fable
    Que ta fable aille au diable!
    Le vent m’emporte
    Le vent me pousse
    Le vent me tire
    Entre mes jambes
    Ma monture se cabre

    Que fuies-tu?
    N’aimes-tu donc point?
    Si, toi. Ma vie.

  30. Coucou me revoilou

    En pulsation chamade délire notre vie en prose de folie vitesse à la recherche du temps perdu que l’on ne rattrapera jamais

    je t’embrasse

  31. de biens jolies pulsations sur cette page que je lis avec beaucoup de plaisir,
    le pouls est tendre ce matin si tendre et la pulsation bien heureuse apaisée et vivante bellement en douceurs tendres si tendres..

  32. Le voyage en chemin est bien bon et généreux quand l’âme qui s’apaise doucement marche tranquillement dans la pulsation paisible de ce jour qui commence tranquillement sa vie de jourd’aujourd’hui….

  33. Bonne Année , Ossiane
    ton blog est toujours aussi magnifique, la source de ton inspiration toujours aussi fraîche et abondante….
    je ne passe pas très souvent, mais tu es toujours dans mes liens, bien sur… et sache que le fait d’avoir trouvé ton blog au printemps quand j’ai ouvert le mien m’a permis de prendre conscience de la richesse artistique et créative qui se trouve dans la blogoshère, parfois noyée dans un océan trop vaste…Mais pour cet océan , le tien est un phare. Bonne continuation

  34. Murmures de l’océan
    Courants marins
    Ressources de vie

    Vertiges, palpitations
    Ivresse des sens
    Friselis.

    Bon dimanche Ossiane

  35. >Neyde :
    Sympa de rebondir de cette façon sur mes mots. C’est bien vu. Merci à toi.

    >amichel :
    Beau retour à Anne-Marie, Michel 😉 Ce début d’année est décidément pleine de ricochets.

    >pierre (2) :
    Tu es très en forme le dimanche 😉 Quel beau poème avec cet ode à la vie plein d’élan et de gourmandise. La vitesse est ici désir de vivre pleinement et inténsément. Point de pause, vivre à fond aux côtés de cette goutte d’eau qui est un concentré de passion et d’énergie. Merci beaucoup pour ta belle plume qui excelle de jour en jour. La bise du dimanche.

    >brigetoun :
    Tu as choisi de rester sur la peau et les éraflures de l’âme. Tu es dans le ton de la série. Merci pour ton bel haïku.

    >les bullillys / lilly :
    Lilly rose, pas vraiment de mal à te répérer sous ton déguisement de bulles 😉 Merci pour ton beau poème sur le temps qui passe et qui marque. Nuée de Bullossys vers toi 😉

    >bruno :
    Ah ! te revoilà, te revoilou et j’espère riche de mots, sensations et émotions ! Bonne analyse sur cette folie des hommmes et ce temps qui file à jamais entre les doigts, Bruno. Ton cœur bat déjà la chamade. Je t’embrasse bien fort pour ton retour.

    >Annick :
    Quel changement dans tes posts 😉 C’est dimanche, tu as adopté le mode ralenti qui apporte un temps de répit dans la fureur du monde. Belle journée à toi.

    >Maryse :
    Bonne année Maryse et bienvenue sur le blog 😉 Je ne sais plus quoi te répondre devant tant de compliments… je sais que ça me touche. Il y a toutes sortes de blogs dans la blogosphère mais je crois qu’il y a vraiment de la place pour ceux qui ont envie de faire des choses créatives. C’est un outil fabuleux qui permet de trouver son mode d’expression. Merci pour ta visite, je t’embrasse.

    >Michel (2) :
    Voilà un beau poème bien ressenti, Michel ! Tu as laissé sortir naturellemnent tes sensations visuelles et tu as trouvé les mots qu’il faut pour évoquer ces perceptions fugaces. Bien à toi et continue en ce sens. Je t’embrasse.

    >Maurice :
    Toi aussi, tu laisses échapper spontanément de toi les premiers mots qui te viennent à l’esprit. Beaucoup de choses ressenties dans ton poème à la fois l’océan du monde marin mais aussi l’océan qui communique et provoque des émotions. C’est bien senti, merci. La bise du dimanche.

    >Alain de la communauté :
    Oui pas mal de haïkistes, je crois que c’est le terme exact. Tu n’épuises jamais les jeux de mots 😉 Quelle ressource 😉 Bise au grand cœur que tu es.
    >Marie-D :
    Je suis ravie que tu te plaises ici 😉 Tous ces poèmes généreusement déposés chaque jour sont un régal de lecture et de partage. J’aime beaucoup tes haïkus qui sonnent juste. Bonne après-midi !

  36. Je me souviens…

    Je me souviens de vous
    Au printemps de mes paumes,
    Naissant comme un frisson dont le coeur fait moisson ;
    Une ode au toit de chaume,
    La sensation d’un Tout.

    Je me souviens de moi
    Sous vos closes paupières ;
    Je semais baladin l’écho de ce parfum
    Répondant aux prières
    D’une course sans lois.

    Je me souviens de nous…
    De nos doigts qui se cousent,
    Témoins de l’Infini que nous offre la Nuit
    Quand nos rêves s’épousent.
    S’Aimer serait-il fou ?!

    N’étions-nous qu’une fois
    Que le hasard distance
    Au fantasme préau de ces diffus échos ?
    Ou Demain nous fiance
    A sa vague d’émois ?

  37. L’empreinte océane (ou devrais-je dire Ossiane ;-))
    Fresque les échos
    De la mémoire du Temps.

  38. J’ai vu ce jour dans les moissons d’or
    Et dessous la pupille j’ai bu ses caresses
    L’onde en sillage au profond de ma chair

    J’ai su ce jour mille fois de mots inaccessibles
    Mais qui se revêtaient d’un velours de pétale
    Pour faire naître aujourd’hui, la plus belle des fleurs

    …Seras tu y trouver mon baiser ?…

  39. >bouldegom :
    Que de choses perçues dans cette photo 😉 Merci beaucoup.

    >Les larmes du phoenix :
    Merci pour cette foison de beaux poèmes que je ne peux commenter un à un tant il y en a. C’est un beau cadeau de début d’année pour ton retour. Un grand merci à toi.

    >… :
    Décidément, cette photo inspire plusieurs poèmes d’amour; je ne m’attendais pas à ça. Merci beaucoup, ton poème est très beau.

    >Pam :
    Les mots sortent un à un du plus profond de toi avec ce parallèle entre la mer et la mère. Merci beaucoup pour ce fil de sensations intérieures. Je t’embrasse.

  40. Un petit doigt posé sur
    LE TEMPS RALENTI
    Un doux baiser sur
    LES EXCES DE VITESSE
    Et vit
    LE COEUR DE LA VIE

    Ossiane, j’ai repris tendrement tes mots pour qu ils vivent encore….

  41. Une petite perle
    Cinq doigts l’enserrent
    Très tendrement
    Et voilà que son petit coeur
    Emet des pulsations…
    D’une petite perle de vie

  42. Bonsoir. Toujours des beaux poèmes plus je m’absente et plus je suis pressée de lire et relire ces mots de luxes. Ces mots riches, ces mots fortunés qui enrichissent le coeur et apauvrissent les ruses du mal. Le bonheur de ces mots fleurissent le jardin de mon coeur. J’ai depuis une multitude de roeses variés de toutes les couleurs des rouges, blanches et j’ai découvert une rose rose différente couleur lèvre elle est très sensuel. Je vais l’arroser de tes mots pour que cette rose rose fleurisse toute l’année. Continue jardinier de mes rêves a cultiver et semer tes mots dans les champs et les horizons couleurs coucher du soleil. Tes mots se lévent dès l’aube avec le soleil et continue à briller durant toute la journée et tes mots se couchent avec le soleil. Mais tes mots sont si vivants et si forts qu’ils luient avec la lune et les étoiles la nuit. Tes douceurs de mots sont variables avec le mouvement du soleil et de la lune. Tes poèmes couleurs soleil me réchauffent le coeur le jour et tes beautés de mots me bercent tout au long de la nuit et me feront vivre tout au long de ma vie. Merçi que du bonheur, merçi que de l’amour, merçi que de l’amitié, merci que de la fraternité. Bientôt le paradis merçi mon Dieu. Des bisous doux comme tes mots de coeur.

  43. PULSATIONS

    dans l’océan pourpre, dans l’eau rythmique,
    dans le va et vient et son mouvement cahotique
    ma tête flotte dans la nuit liquide, tombe dans la faille
    horizon bleuté, couloir obscur et obsédantes entrailles…

    bercement des vagues dans la matrice mon corps lové
    se balance et heurte les douces parois sans se cogner
    la houle, le ressac, vitesse de la puie, flaque de sang
    couloir sombre, rails immergés, éclair rouge aveuglant…

    bruit métallique, les wagons crissent dans mon sommeil
    le rythme s’accèlère, la barrière s’ouvre, la voie est libre
    je sens vibrer les plusations de son coeur contre la vitre
    qui me ramènent au seuil du rêve, jusqu’à l’éblouissant réveil…

  44. Bonjour Ossiane

    Retification, si tu en as le temps, pourrais-tu supprimer la première strophe de mon texte qui ne me convient plus après réflexion, merci à toi et bonne journée, a bientôt.

  45. >Sven:
    Spendide! J’espère que tu n’en as pas assez de mes qualificatifs mais que dire d’autre;-) En tout cas, je suis vraiment ravie que mes photos te permettent de voyager aussi loin et aussi fort. Un corps lové dans le liquide ammiotique qui se laisse bercer, le coeur qui bat de plus en plus vite dans l’océan rouge du sang, l’arrivée dans le royaume du rêve comme une naissance. Merci beaucoup sven pour ta belle poésie qui me touche.

  46. Non Ossiane, ne me fait pas tant de compliments que je ne mérite pas… aujourd’hui tout va de travers, j’ai voulu régler une embrouille en faisant de l’humour et ça mal tourné ! pourtant je sais très bien que cet humour était mal venu, que la personne allait mal le prendre et je l’ai fait quand même parce que j’ai saturé, comment dire, je n’ai pas su puiser à l’intérieur de moi, comme tu me dis si bien, alors maintenant je suis à cran… comment réparer ? et à quoi ça servirait puisque le mal est fait ?
    bon allez , je vais aller boire un ti-punch avec un zeste de citron vert, qu’en penses-tu ?

  47. >Sven:
    Ce n’est peut-être pas si grave, sven. C’est avec les gens que tu aides que tu as eu ce problème? Ce n’était pas ton jour, c’est tout. On ne peut pas être toujours au top de sa forme. Que faire? Tenter de reprendre le dialogue et expliquer la maladresse peut-être… boire un ti-punch pour te détendre mais de façon raisonnable;-) Bises de réconfort.

  48. le beau moyen, dire de suite que c’était de l humour, parfois l autre n est pas en état de comprendre l humour si il est en grand chagrin…bon courage sven..

  49. Merci à toutes les deux,
    oui je sais tout cela… j’ai fait plusieurs formations sur l’écoute, mais parfois la violence nous paralyse, bloque notre raison, ça me fait peur car j’ai l’impression d’être « démobilisé »c’est comme glisser sur une plaque de verglas… ne serais-je pas violent aussi ?????

  50. Trop tard boit un bon coup ton petit punch et ouvre grand tes beaux yeux ainsi que toute la merveilleuse compagnie. Un verre ça va deux bonjour les dégats. Montre leur la danse des mille et une nuit c’est prévu pour bientôt a votre santé mes cirés. Des baisers pour tous.

  51. Emprunté:

    En ce temps là je vivais dans un pays sans paysage
    comme un fuit accroché à la branche d’un arbre
    seul me parvenait l’écho lointain d’un monde inconnu
    et à cette vie, je ne voulais rien ajouter de plus…

  52. >Sven :
    Sven, ne dramatise pas à ce point ce qui t’est arrivé. Tu verras tout cela avec plus de recul demain. On a tous des moments où on se laisse aller à dire des choses qu’on regrette après. La fatigue, la maladresse, l’erreur d’appréciation. Pas facile les relations humaines. Pour te rassurer sincèrement, je ne te crois pas du tout violent vu les choses que tu écris. Ton erreur est réparable, crois-moi. Je t’embrasse.

    >… :
    C’est incroyable ce que la photo t’inspire. Merci beaucoup pour ta sensibilité poétique.

  53. Le temps

    Le temps passe ralenti
    La distance s’accentue
    L’amour tout petit
    Déteste qu’on le tue.

    Le temps accélère
    Les excès de vitesse
    L’amour se désespère
    Ralentit avec finesse.

    Arrêtons de suite ce temps
    Pour qu’aujourd’hui la nuit
    Amour de temps en temps
    Pour que demain ont fuient.

    Je te veux pour confident
    Mon amour de nuit,
    Ton amie pour longtemps.
    Des amours d’elle à lui.

    Les coeurs de notre vie soeurs
    A l’unisson, nous nous aimerons
    Les battements de nos coeurs
    S’harmonisent en diapaspons.

    Mon coeur de la France
    Souhaite encore ton soutien.
    Dévoiler mes souffrances.
    Ma main dans la tienne.

    P.S : Oui le dernier vers ne rime pas mais il fallait bien que je termine. Des baisers fragiles mais précieux.

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