T r i o

Parc de L'Enclos à Deauville

Parc de L'Enclos à Deauville

Parc de L'Enclos à Deauville

Parc de L'Enclos à Deauville

Jeu de société, une course contre le temps pour attraper quoi.

Lecture du Haïku Calligramme: de bas en haut.

Jeu de société
Une course contre le temps
Pour attraper quoi

Photos prises au Parc de l’Enclos près de Deauville.
Interdit de s’asseoir sur les chaises, une création de Daniel Grimaud.

Un petit clin d’oeil amical à James et à son désir d’apesanteur. Prenez de la hauteur avec Le Regard de James et son beau voyage photographique. En tant que régisseur général de L’Ensemble Intercontemporain de Pierre Boulez, James vous emmènera en musique dans ses tournées avec L’Ensemble. Il vous fera découvrir l’univers de grands compositeurs et musiciens ainsi que les plus grandes salles de concert européennes. Bien à toi, James.

46 réflexions sur « T r i o »

  1. Voir le monde depuis sa chaise
    et faire de sa chaise un manège
    qui nous ferait tout voir
    dessus, dessous, à côté, très vite, lentement, la tête dans tous les sens.
    Voir le monde depuis sa chaise
    mais ne jamais la retirer du manège…
    Catherine

  2. Si les objets ainsi déposés, accrochés, transportés étaient autres que des chaises, les aurions-nous remarqués ?
    Comprendre et montrer que dans la vie tout, et surtout ce que nous en voyons, est subjectif, voilà une belle idée.
    Merci à toi, Ossiane. Je te souhaite une agréable semaine.

  3. Un envol de chaises :

    Des chaises en liberté
    Dans un parc en été
    Jouant à chat perché
    Sautant les haies
    Grimpant aux arbres
    S’amusant follement
    A nous faire des pieds de nez
    Sans rester une fois en place
    La tête y perd la raison
    A suivre cette flottaison
    Le corps est un ballon dans l’air
    Si l’on marche c’est de travers

    Que croyez vous ?

    C’est la révolte des objets.
    Les chaises alignées
    Toute la journée
    Sur la plage ou l’allée
    Rêvent aussi de prendre le large
    Avec les blancs voiliers
    De folâtrer dans la prairie
    Avec les rires des enfants
    Que nenni vous vous égarez

    En vérité

    Tout cela n’est qu’un songe
    Un rêve de promeneur fatigué
    Courant après ses jeunes années
    Quand il faisait valser les chaises
    Avant de se résigner
    A attendre que le temps passe
    Assis dans un parc
    Au soleil
    Sur une chaise bien trop sage
    Usée
    Par les intempéries de la vie
    Et qui ne pense plus à vagabonder.

  4. Attraper quoi?
    Peut-être le temps perdu
    D’ avoir resté
    Trop lontemps
    Les peids sur-terre,
    Les chaises se révoltent
    Car il est temps de jouer
    Et d’oublier ce monde trop sérieux!

  5. Une image symbolique avec l’impression de n’avoir sa place nulle part, de n’être jamais à la bonne place, d’être toujours en déséquilibre au bord de la vie, de ne jamais espérer pouvoir se poser sur ces basculantes chaises. Une implication volontaire cette fois de l’ Oeil Ouvert ?

  6. Depuis trois jours la tempête ne cesse de souffler, mais de là à renverser les chaises et à les accrocher aux arbres il doit faire un sacré vent à Deauville… C’est renversant !-)

  7. Bonjour Ossiane,

    Tiens, spontanément ces photos m’ont évoqué l’établissement
     » La Chaise au Plafond ‘.’ – autrefois appelé le Café des Sportmens, sis à Reims – Bezanne.
    Une civette-estaminet et journaux maintenant, rendue célèbre lors de la première guerre.
    Début septembre les *prussiens* envahirent la ville de Reims, au cours d’une contre attaque française menée le 14 septembre 1914, à grand renfort d’artillerie, un obus frappa le café et projeta une chaise qui
    s’encastra dans le plafond de cet établissement.
    Cette chaise toujours fichée au plafond de l’établissement est une curiosité de la région,
    et cette enseigne est de nos jours encore restée le symbole de la bravoure et d’une victoire de l’armée française,
    un souvenir à nos poilus qui ont durement combattu et souffert dans la région.

    Si tu passes par Reims,
    une curiosité à ne pas manquer, une photo à faire :

    La Chaise au Plafond
    190, avenue d’Epernay
    à Reims.
    C’est aussi la plus belle (le plus grand choix) civette – cave à cigares de la region.

    Désolé, ce n’est pas gai, mais c’est historique, du vécu et auithentique.

    Bonne journée et bonne semaine,
    Des bises,

    Francis

  8. En triolet de proses éclate la matière, en voltige des songes de mon imaginaire. Reflets d’illusions au hasard des rêves surgit le vol en poésies pour attraper le temps de la perception d’une course en toutes dicacité…

    Tu commences à faire dans l’abstraction, le virus passe ;-)) je ne vais pas m’en plaindre !

    Je t’embrasse et merci pour l’article

  9. TRIO

    T – ant des chaises
    R – estent vides,
    I – mmaculées,
    O – scillantes.

    T- rois, quatre, cinq,
    R – éunies par les
    I – mages des photos
    D – ansent,
    U – nes avec les autres,
    O – bstinées.

    T – andis qu’
    E – lles dansent,
    R – ajeunit le parc
    C – hangeant le silence
    E – n vive chanson
    T – répidante et agitée.

    T – rès fatiguées, les chaises
    R – éposent silencieuses,
    I – mmobiles,
    A – ttendant
    D – e nouveau, l’ordre de s’
    E – lancer.

  10. Y

    Y euse trés surpris
    Y oga en toute liberté
    Y eux dans de beaux rêves

    yeuse : chêne vert, qui conserve ses feuilles en toutes saisons

    j’arrive au bout de ma chaîne de lettres….
    j’ai joué avec les lettres en t’envoyant mes ballots de petites phrases parfois bien maladroites !
    qu’importe , je ne suis pas poète, juste a m’essayer de jongler aux mots et d’avoir ta surprise et ta petite réponse, parfois accompagnée d’une joute dans la lettre du jour, merci de ses petits mots a nos commentaires, sans eux, c’est serait comme du chocolat sans sucre!!

    bises

    à demain pour le final DU Z Z Z Z Z Z
    Z
    Z
    Z
    Z
    ZZ Z Z Z Z Z Z Z

    BISES

    JANE

  11. Fous de chaises, chaises de fous

    Elle:
    C’est insensé d’accrocher ta chaise au tronc!
    Lui:
    Mais ma chaire, tu n’as pas les pieds sur terre!
    Elle:
    Fais donc comme il te sied…
    Lui:
    Oui, j’ai rendez-vous avec une chaise du doux nom de Cassiopée!
    Elle:
    Pff! Des mots en l’air.
    Une chaise au pied cassé! Il aura bonne mine…
    Lui:
    Tout est affaire de sens.
    Nous jouerons à chaise perchée, aux chaises musicales…
    Elle:
    Y aurait-il un sens caché?
    Lui:
    Choisir l’ascension, c’est trouver la Chaise-Dieu!
    Elle:
    C’est ça, la cathedra!
    Lui:
    Alors le cul entre deux chaises, tu préfères?
    Elle:
    Ta remarque ne vaut pas chaire!
    Je te haie, tu m’as renversée!

    Arrive la loueuse de chaises, les sens en émoi: elle regarde le ciel:
    Ça n’a pas de sens,
    des évaporés! Des illuminés!

    Morale:
    Quand la chaise est vide, il faut la plier

  12. >Catherine :
    Ton poème est sorti très vite 😉 Merci pour ta vision du manège; je n’avais pas pensé à ça 😉 Bien à toi.

    >Annie-Claude :
    Ta question est très juste. Je pense que c’est l’emplacement hors normes de ces chaises qui fait réagir. On aurait pu mettre des pots de fleurs ou des brouettes, ces objets nous auraient également interpellés. Merci pour ta visite Annie-Claude. J’ai vu qu’on était programmées le même jour chez UU 😉 Bises.

    >amichel :
    Ah ! Michel, comme ton retour me fait plaisir 😉 Tu as retrouvé toute ton énergie et inspiration pour ce poème en liberté et à plusieurs lectures. Ton idée de révolte des objets est amusante. Il est vrai qu’on peut parfois se poser la question dans ces espaces très ordonnés. Une chute émouvante avec ta dernière strophe. Evocation du rêve d’un promeneur fatigué qui regarde le temps passer assis sur un banc et n’attend plus rien de la vie. Merci beaucoup pour ton bel envol de mots et d’idées. Je t’embrasse.

    >Cristina M :
    Tu as peut-être raison 😉 Merci Cristina, je t’embrasse.

    >Sven :
    Ces images font tilt dans ta tête 😉 C’est en effet une façon de voir les choses; c’est bien vu. Ce n’est pas vraiment une implication volontaire. Cette course de chaises s’est juste trouvée là 😉 Dans mon esprit, je pensais davantage au temps qui régit beaucoup de nos actes et devient l’élément moteur de la société. Je me demandais à quoi servait cette course incessante pour aller toujours plus vite.

    >bonbonze :
    C’est fou, tu es incollable 😉 Quel est ton secret ?

    >François :
    Pas de vent 😉 Belle journée ce jour là. J’ai fait les photos cet été. Je ne vous montre que quelques exemplaires. Il y en avait partout 😉 Des visibles, moins visibles ou invisibles ,-) Bises

    >Pierre (2) :
    Décidément c’est un vrai délire dans ce parc 😉 Ca saute dans tous les sens sauf pour les jardiniers qui vont avoir un scré boulot pour tout ranger 😉 Bises sautillantes.

    >fran6 :
    Merci pour cette anecdote historique que je ne connaissais pas. C’est vrai que c’est nettement moins gai. Difficile pour toi de ne pas l’évoquer. Bien à toi, bonne semaine à toi aussi.

    >brigetoun :
    ;-)) Vraiment excellent, Brigitte ! Je délire avec toi !

    >Bruno :
    Je vois que tu n’as pas perdu ta verve poétique 😉 Ca triole et ça rêve dans tous les sens 😉 Je ne crois pas que je vais arriver à te battre dans ce domaine là 😉 Mais j’ai toujours bien aimé l’imaginaire même;-) Je suis mi air mi terre. Bises au rêveur.

    >Neyde :
    Tu m’impressionnes vraiment, toi brésilienne de Sao Paulo 😉 C’est ta période acrostiches puisque tu viens d’en déposer aussi sur Duo 😉 En tout cas, bravo pour ces acrostiches autour du trois. Le poème est bien construit avec le départ des chaises puis, le ballet trépidant et enfin le temps du repos pour mieux recommencer ensuite. Un grand merci pour la gaieté que tu fais passer. Bises vers ton Brésil.

    >jane :
    Un grand bravo à toi aussi pour être arrivée presqu’au bout du parcours. Ton haïku se tient 😉
    Tu n’es pas poète ; c’est que tu dis 😉 Tu nous as donné souvent à lire de belles choses. Merci pour tes partages. Je t’embrasse en ZZZZzzzzzzzzz

    Yes tu as gagné
    Yeah, les chaises te saluent
    Yeux brillants de joie

    Bof bof … peux pas mieux faire …

    >Maurice :
    oh oh beau le haïku ! Il a pris de la hauteur. Merci pour tes mots. Je t’embrasse.

    >Bernard :
    Désolée, je t’ai en effet repêché dans la boîte à spams 🙁
    Tu t’en es donné à cœur joie avec ces chaises en folie 😉 Ton petit dialogue de fou qui joue sur les mots m’a bien amusée 😉 Un grand merci à toi. Bonne soirée !

    >… :
    Désolée, je n’arrive pas à reconstituer ton calligramme 😉 C’est vraiment dommage qu’on ne puisse en écrire sur la page des commentaires. Merci d’avoir essayé.

  13. >A tire d’aile:
    Bonjour Flo, quel bon vent t’amène;-) Où étais donc-tu passée? On ne te voyait plus sur les blogs. Ben oui les CVI volantes… il suffit de les inventer pour qu’elles commencent à devenir réalité dans notre imaginaire;-) Bises à toi.

  14. Il ne me fut jamais gré
    D’avoir entre deux chaises le fessier…
    Mais je dois vous l’avouer:
    Par cette apesanteur affolée,
    Cette nuit, oui, j’ai rêvé
    D’un rencart avec Monsieur Morphée
    Sur mon bon vieux canapé!

    Bonne nuit à tous,
    Annemarie

  15. Petite visite bien tardive sur ton blog.
    Un premier coup d’oeil, amusé, et rêveur, l’apesenteur m’envahit, je perds pieds, je m’envole, je me noie dans cet océan de verdure sans dessus dessous, je cherche à me raccrocher à quelqu’un, assis en face de moi et à parler avec lui. Peut-être que nos mots seront également dans des dimensions différentes et que je ne pourrai jamais le comprendre.
    Joli clin d’oeil Ossiane, très touchant, très troublant, très généreux et délicat. Très Ossiane, tout simplement.
    Je ne m’attendais pas à cela. Et je me sens un peu honteux d’arriver si tard.
    Douce nuit à toi pleine de rêves et de douceurs.

    Je t’embrasse mille fois.

  16. Bonsoir. Je suis désolée de vous avoir laissais tombée tout à l’heure à17h30. c’est vrai qu’on a bien rigolé et que la bande de cirés à rappliqué mais ce n’est que partie remise car plus on est de fous plus on rit. Je vous embrasse et à bientôt.

  17. étrange
    étrange
    cette vision
    je me sens tant vivante
    de tant
    sur ma chaise
    suspendue
    entre ciel et terre
    je me pince
    et ouilleeeeeeeeeee
    je suis tellemnt vivante
    sur ma chaise vivante
    ou moi vivante sur ma chaise!
    la rencontre vivante
    de deux chaises
    de deux corps!

  18. Un éléphant rose
    m’a écrit en prose
    endiablée salsa
    hurlé Guernica
    une vénus chauve
    ouvert son alcôve
    un asticot bleu
    marché sur du feu
    patte de grenouille
    surmonté la trouille…

    pourquoi pas l’ivresse
    quand le monde blesse

  19. Bonjour Ossiane

    cett photo inhabituelle, mi-symbolique, mi-humoristique, m’a surpris un peu car la plupart de tes photos sont plutôt « contemplatives de la nature, il n’y a pas souvent cet « arrangement » des choses… c’est comme s’il y avait là, comment t’expliquer, une intention, une réflexion, dont tu voudrais nous faire part et nous rendre complices.. c’est pourquoi j’ai parlé d' »implication volontaire »… Pour nous lecteurs, et pour qu’un échange fructueux s’établisse, nous avons besoin aussi de nous mettre en retrait pour écouler parler l’auteur…

  20. >Anne-Marie :
    Merci pour ce petit poème plein d’humour 😉 Un peu de repos bien mérité après cet affolement 😉 Tu as raison, rien ne remplace le bon vieux canapé pour passer une bonne nuit. Bonne journée, je t’embrasse.

    >Le Mosquito :
    Buenos dias. Muchas gracias. Hasta pronto.

    >james :
    Un petit bain d’apesanteur bienfaisant après une longue journée de travail 😉 J’ai simplement voulu t’adresser ce petit hommage bien mérité pour saluer la qualité photographique, la richesse et la grande originalité de ton blog. Bien à toi, je t’embrasse.

    >Lyriann :
    C’était ce que je voulais 😉 Bises.

    >Annick :
    Hello Annick ! You are back ! Et bien vivante ma foi! Contente de te retrouver;-)

    >feu romeo :
    Un petit chef d’œuvre d’humour surréaliste 😉 Bravo, j’aime beaucoup.

    >Sven :
    Non seulement tu es un fin observateur mais tu es aussi très attentif ) à ce que je montre, Sven 😉 C’est vrai que je fais plutôt dans le contemplatif d’habitude. Mais si l’occasion m’est donnée au hasard de mes balades de montrer des choses plus vivantes, je la saisis. En fait, je me laisse guider par mon intuition, l’humeur du moment tout en construisant une progression. Je ne veux pas non plus m’enfermer dans un style donné. J’expérimente, je tâtonne, je pense aussi à vous pour essayer de ne pas vous lasser. Est-ce que ma réponse te satisfait ?

    >Fugitive :
    Superbe haïku musical dans lequel tu évoques les absents. Trois mots (musique, mélodie, vent) pour symboliser cette symphonie de chaises. Merci pour tes partages que je découvre toujours avec plaisir.

    >jubelle :
    Bonjour et bienvenue sur le blog. Il me semble que c’est ta première intervention. A nouveau la musique est évoquée 😉 Tu as bien compris l’esprit malicieux de cette note. Merci pour ta visite. Au plaisir de te revoir.

  21. Bonsoir Ossiane
    Pour ma part, je suis content que nous puissions échanger aussi de temps en temps sur l’origine de telle ou telle photo, ce qui a déclenché en toi cette envie de la saisir au vol et de nous la faire partager… surtout quand elle est insolite !!! mais peut-être que je suis un peu trop curieux parfois… j’ai cette déformation… de chercher le pourquoi des choses afin de pouvoir rejoindre l’autre dans son essentiel… Pour le moment, je n’ai pas trop ce désir de poésie, je sais pas pourquoi, c’est sûrement passager, peut-être que cela ne me comble pas complètement d’emballer les mots, de mettre de jolis rubans dessus, de les enfermer dans du papier cadeau… ça paraît un peu vain, un peu dérisoire après coup… j’ai besoin d’écouter, juste écouter pour ne plus m’entendre.

  22. Bonsoir, Ossiane
    Je viens m’excuser d’avoir copié sur ma petite page -http://matebarco.multiply.com/ – votre magnifique « DUO » sans vous demander la permission. J’ y ai laissé aussi un link pour votre page que j’admire beaucoup.
    Bons bisous,

  23. Le vert est mousse, il est sapin,
    Olive, émeraude,
    Il est fougère, citron, marin,
    Printemps, amande…
    Le vert est clair, foncé, brillant,
    Ou même d’eau,
    Il est multiple et si changeant
    Parfois fluo !
    Il est marié à la lumière
    Qui le décline
    En des nuances éphémères
    Subtiles, câlines…
    Auprès de lui même le gris
    Le plus austère
    Sans s’en étonner resplendit…
    Et quand le vert
    Caresse des chaises trop blanches,
    Elles font les folles
    Et, ô magie d’un beau dimanche,
    Elles s’envolent !

  24. Tous tes visiteurs sont des poètes, ça m’impressionne pour oser te laisser un simple et banal commentaire. Moi cette exposition me fait penser aux photographies de Philippe Ramette ;o)
    Belle et douce nuit Ossiane.

  25. je rebois la troisième photo
    si insolite
    qué bazar
    de jambes en l’air de chaise
    et voilà
    que les chaises se mettent
    à danser
    c’est rien
    c’est juste l’air du large
    et qulle jolie danse
    si pure de belle
    flux et reflux
    douceurs vapeurs

  26. Grand MERCI ossiane pour les liens référencés sur la gauche, je clique ainsi avec délice et partage avec émotion avec des plumes et des photos qui me bercent…

    MERCI à tous pour vos blogs uniques d’eux et touchants Là!

  27. Je suis remontée à la surface du blog parès une longue plongée en apnée; tout est réparé;-)

    >MTO:
    Une fois de plus au cachot;-( Et pourtant ton IP a changé. Je pense que ton adresse est sur liste noire. Tu devrais essayer de prendre une autre adresse chez yahoo ou hotmail qund tu viens me commenter. C’est tout simple à faire.

    En attendant ton poème est sautillant et acrobatique. J’aime bien ta retombée avec le fauteuil. C’ets bien trouvé. Merci pour ta fidélité à toute épreuve. Bises vers la Bretagne.

    >Sven:
    Je suis toute ouverte à tes suggestions. Il ya beaucoup de poésie sur le blog mais il est bien sûr possible d’y parler d’autre chose. Je veux bien répondre à tes questions concernnant mes choix. Pas de problème;-) Ce n’est pas une déformation mais une preuve de grande curiosité;-) Laisse les mots décanter un peu en attendant de retrouver l’envie. Ces petits passages à vide me paraisssent naturels. Bien à toi Sven je t’embrasse.

    >fsm:
    Un mail privé va suivre…

    >Anne-Marie:
    Mes papilles sensorielles frémissent à te lire;-) Une très jolie évocation du vert toute en sensualité et légèreté. La nature dans tous ses états. Je ne sais plus quoi dire tellement c’est bien senti. J’aime bien tout ce qui tourne autour du symbolisme des couleurs. Belle chute avec les chaises. Quel talent tu as! Merci beaucoup pour tes mots. Je t’embrasse.

    >Barbarette:
    Vu tes heures de passages, tu fais l’oiseau de nuit un peu comme moi;-)
    Je t’en prie, ne sois pas impressionnée par les poètes. Personne ne se prend au sérieux ici. Tes commentaires spontanés sont tout aussi bien les bienvenus. Trop sympa le rapprochement avec Philippe Ramette qui me surpasse de beaucoup. Ses photos sont à la fois stupéfiantes et pleines de poésie. J’aime beaucoup. Bises à toi.
    http://www.xippas.com/fr/artiste/philippe_ramette

    >Annick:
    Alors Monsieur AOL ne fait plus de caprices? Liberté retrouvée dans ce jardin de chaises. Bonnes promenades ici et ailleurs. Je t’embrasse.

    >Fred de Toulouse:
    Ton sens de l’humour a repris le dessus:-)) Tu vas essayer de concurrencer Bonbonze? Merci pour ton sourire.

  28. brio

    passer avec brio l’épreuve de l’intrus
    l’inattendu dans le concerto des duos

    en musique le triolet c’est plutôt croche-pieds
    le rythme de galop c’est l’écriture du coeur

    entre nous deux ping-pong de funambules
    métronome à la dali balancier des échos

    passer avec brio …ricochets des ondes
    énergie et feeling…brio d’un slow extra

  29. >bouldegom :
    Contente de te revoir 😉 Tu m’as manquée.
    Trio duo brio. Comme toujours tu passes avec brio les obstacles de mes photos 😉 Tu nous proposes un poème drôle et étourdissant dans lequel tes mots caracolent à grande vitesse. Ca jongle et ça se cogne. La vie émane de tes mots. Un grand merci pour ta verve poétique. Je t’embrasse.

  30. Salut. Je vais quand même corriger une grosse erreur « tu es ma mollécule CO2 que je respire je suis vraiment une bourrique je voulais dire mon oxygène O et non pas mon gaz carbonique. Mon CO2 c’est celui que j’ai en ce moment qui m’etouffe. Alors bon vent! J’aime le vent frais et j’aime aussi le vent qui souffle très fort et que je suis à l’abri. De voire tous les arbres et les feuilles bouger suivant la force du vent. J’aime aussi le vent tiède des pays chaud du magreb qui nous caresse le visage gentiment. J’aime le vent qui ballaye les impuretés sur le champs de notre vision et nous amène de l’oxygène pure. Le vent glacial par contre nous gifle le visage et agresse notre peau et oui toute matière à sa manière de s’exprimer et d’avoir contact avec l’être humain. La pluie mouille notre corps et nettoie notre environnement (surtout les trucs des chiens y’en a partout, ils sont vraiment sale tout compte fait). Le soleil nous réchauffe le coeur, le ciel nous ébluoie de sa clarté et ses nuages en les regardants de très près on y voit des formes comme des éléphants de tout en faisant marcher son imagination. Essayez si cela vous ne l’avez jamais fait. Moi je suis souvent dans les nuages et parfois quand je tombe de mon nuage je me fais très mal. Bons baisers de Hong Kong.

  31. sisi je suis encore pas connectée dans le NoRD, dit ma fille restée là bas..mais comme je suis encybercentre à l ouest, cela me va…
    Je risque d être sans connection à mon retour dimanche et j espère vite retrouvée connection avec autre opérateur, j ai demandé doc à distance, et agi dès lundi.. J AIME VOUS LIRE, et VIVRE VOS PHOTOS…alors ma connection m’apaise…me fait du bien!

  32. >Annick:
    Moi qui croyais que tu avais résolu ton problème avec le grand méchant aol ! Finalement, ce n’est pas si mal d’être devenue cybercentriste;-) Tu t’en sors très bien. Bises.

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