Caprice

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Bambouseraie d'Anduze

Colonne cambrée, son doux regard se courbe, sa peau soyeuse

Lecture du Haïku Calligramme: gauche, droite, centre.

Colonne cambrée
Son doux regard se courbe
Sa peau soyeuse

J’ai eu envie de mettre en lumière les beaux poèmes d’Annick, de Fred de Toulouse, d’Annie-Claude et de Daniel pour la grande diversité de leurs interprétations. Amour, nature, douceur, jeu et humour.

Hésitante et rampante
Fouillant le sol d’ombre
Un beau jour elle osa
Se cambrer de sa grâce
Et offrir son pur corps
Aux mains de la lumière

Annick (son blog)

autruche du caprice
poésie des lumières
tête dans la canopée

Fred de Toulouse (son site)

Gauche inclinaison
La cambrure se redresse
Sous l’oeil des bambous

Annie-Claude (son blog)

Fantaisie d’une pousse,
Toboggan de mousse,
La vie en pente douce…

Daniel (son site)

Photos prises dans la bambouseraie d’Anduze dans les Cévennes.

86 réflexions sur « Caprice »

  1. Gauche inclinaison
    La cambrure se redresse
    Sous l’oeil des bambous.

    Le frisson d’être la première. Je me lâche. Merci à toi, Ossiane.

    Tendance gauchiste.
    Les bambous manifestent.
    Retour vers le ciel.

    Ou

    Vert tendre ou sombre
    Bambouseraie opaque
    Un coin de ciel bleu.

  2. Un rêve de Robinson
    ————————-

    Perdu sur une île cachée dans l’océan
    Robinson solitaire de vivre s’efforçait
    Par la pêche la chasse l’enclos ensemencé
    Le temps semblait sans fin laissant passer les ans

    Un jour, désespéré, qu’il allait explorant
    Son royaume de vent fatigué d’avancer
    Il s’assit à l’ombre d’un grand fût élancé
    Dont la vue raviva des souvenirs latents

    La cambrure du tronc lui rappela le corps
    D’une du vieux jadis aimée dans quelque port
    Surprise nue brossant ses très longs cheveux noirs

    Ses formes juvéniles à la peau ambrée
    La grâce de ses gestes et son dos cambré
    Son visage ses seins ses yeux dans le miroir
    ……….
    La tête de chaleur de désir lui tourna
    Il s’endormit vaincu par la fatigue
    Et des rêves érotiques
    L’emportèrent au-delà des mers
    …………

  3. c’est magnifique, amichel.

    Hésitante et rampante
    Fouillant le sol d’ombre
    Un beau jour elle osa
    Se cambrer de sa grâce
    Et offrir son pur corps
    Aux mains de la lumière

  4. Ossiane, Annick
    c’est très beau ce que viens d’écrire Annick n’est-ce pas ? … »s’offrir aux mains de lumière »,
    lumière nous sommes et lumière nous retournerons…au jour naissant, au jour de ma naissance…

  5. Chair de sable

    prisonnier du sable
    je marche lentement
    suivi par mes pas
    mes propres pas
    ma chair de sable
    ma chair s’efface…

    à l’or et au rouge
    au rouge et au sang
    au combat fasinant
    des éléments
    mon âme insoumise
    délire et me tord
    au goût fugitif
    au goût captif
    de ton corps…

    sur la plage assoupie
    l’océan caressant
    sous le soleil tremblant
    lentement se blottit…

    et dans nos rêves de nuit
    tes reins se creusent
    et mes mains s’y plongent
    encore plus doux qu’un songe
    ta chair de sable…

    Poème que j’ai retrouvé dans mon « carnet noir » un peu de nostalgie aujourd’hui, bah, c’est une fois par an seulement, heureusement ! bonne journée.

  6. Que de beauté !!!!!!!!!!!!!!!!!
    Bonjour à tous
    _______

    Deux corps épousés
    Caresses de lumière
    Un frémissement

  7. alarme

    arcades de lumière
    de tes yeux en amande
    fluo flirtant avec les cuivres

    la corne de brume
    répond au cornet à pistons
    en trompe d’éléphant

    de l’afrique à l’inde
    les sirènes font vibrer l’air
    signal onndulatoire

  8. Bonjour Ossiane,
    C’est bizard;Sans voir le Haiku, mon premier regard me guidait directement vers une imagination doucéreuse de la représentativité de l’amour.Le haiku vient dès lors subjuguer nos sensations les plus tendres et nous conduire vers une harmonie des couleurs et de la lumière présente dans cette image.
    Bravo, vraiment très réussi ce haiku.
    Passe une bonne journée Amicalement a++

  9. Sa taille s’est fort cambrée
    De ses jambes écartées
    La vie sort de son ventre
    Le tit Homme roule boule
    Puis il se niche contre ce sein
    Au doux parfum de celle mère
    Et puis, il se lange, redresse la tête
    Il tente vers le haut, observe
    Il s’asseoit, puis il s’ose
    Un pas puis un autre
    Miracle de la vie
    Du sol vers l’infini

  10. Caprice

    La nature, imprévisible, s’offre ainsi :
    Sous cet arbre se cache certainement une femme
    De ces formes généreuses, s’arrêtant ici
    L’homme, drogué aux vapeurs d’écorce, s’enflamme.

    Grattant ce tronc qui ne cesse de résister
    Cette déesse ne sera point découverte ce jour
    Résistance et charme sont ses plus beaux atours
    Une seule solution s’imposa alors : la supplier.

    L’homme à genoux lui conta sa plus belle poésie
    Déposant à ses pieds les plus beaux refrains
    Une rafale de vent annonça pourtant cette fin :
    Aveuglé par ce sable dans les yeux, il se coucha ici.

    A l’abri du vent, dans ce lit allongé
    Il comprit enfin toute la vérité
    Des plus malins avant lui se sont ici reposés !

    Chris

  11. Caprice d’Olivier,

    Quand l’Amour reviendra frappait à ma porte ?
    Quand irais-je au pays du soleil levant ?
    Quand Michel m’écrita t’il un poème ? 😉
    Quad serais-je guéri ?
    etc…
    La complainte…

    Bisous Ossiane et à toutes ces dames, Amitiés à ces messieurs,
    Bonne semaine !

  12. Retour aux sources
    ************************************************************

    Échouée en pleine forêt,
    Figure de proue
    De jonque chinoise,
    Navire égyptien ou viking.

    Point de caprice,
    Mais loi du destin :
    En s’affaissant, le pachyderme
    Offre ses défenses à la terre.

  13. Ossiane
    Derniers vers : « Des plus malins avant lui se sont ici reposés »

    Excuse-moi pour l’oubli.

    Bonne journée à toi ainsi qu’à ceux et celles de ce blog

    Chris

  14. Souvenirs d’un arbre…

    Nous nous souvenons de toute la hauteur de nos cimes
    des chemins empruntés, des contrées traversées,
    des ciels balayés…

    nos nous rappelons la tête pointée vers les nuages,
    la douceur des vents, la fraicheur des torrents
    des amours tourbillonnants…

    nous avons croisé des milliers de voyageurs de rêveurs,
    qui semaient la misère, l’infortune, la richesse
    aussi parfois la sagesse…

    nous avons lutté contre les brises les secousses les tempètes,
    les épreuves, les victoires, les défaites
    pour soutenir ou abattre…

    dans nos coeurs nous nous rappelons les hommes et les femmes
    un peu de chaque être reste gravé,
    sur nos troncs qu’ils ont caressés…

  15. J’aimerais être cette courbe élancée et gracieuse, cette taille fine et gracile, cette allure cambrée, ce doux regard de lumière, ce tronc caressé, cette courbe désirée, cette peau soyeuse et ambrée, cette trop longue chevelure sombre, cette grâce miraculeuse, cette innocence ré-inventée, ces mains offertes … pour inspirer à Michel de si belles pensées poétiques… mais pas que

    Signé : La sentinelle de l’invisible, alias  » La Fiancée du Pirate » (des Caraïbes ou d’ailleurs)

  16. AIMER
    Il y a les heures lumineuses. L’indolence sage. Ils sont là, enlacés dans le théâtre de cette clairière où il pleut du soleil dans les branches. Ils s’écoutent, ils s’enlacent, ils s’unissent. La lumière les inonde. La beauté les enveloppe. Elle dit quelques mots. Il dit quelques mots. Ils se disent des mots tendresse, des mots caresse, des mots enlacement, des mots oubliés qui se disent sans mots. Des mots d’amour glissent en kyrielle le long des corps. Des mots je t’aime.
    « Je t’aime »
    Un verbe qui se dit de lui-même. Un verbe qui naît d’un parfum, d’un saisissement, d’un émoi. Un verbe, un mot qui se perd dans le souffle des amants. Un mot qui coule d’un silence à l’autre. Un mot qui jaillit d’un soupir à l’autre. Une beauté infime, une caresse de lumière, un caprice d’amants, une béance divine. Il faut beaucoup aimer pour la reconnaître.

  17. Arbre de vie
    On se regarde
    Et on se rit
    Car par mégarde
    Il s’est endormi
    Son tronc a dévié
    On s’est sourit
    Il s’est réveillé
    Car rien ne vaut la vie
    Dans toute sa beauté
    Celle qui éblouit
    Par l’étincelle éternité

  18. Merveilleux, ce que tu viens de doucement déposer, MariaD.
    Merci pour tous vos beaux textes qui me donnent le dinguedong depuis ce matin, j’ai larme à l’oeil, si fort encore, si beau, si fort…que caresser doucement le mot amour dans toute son essence…je vais sortir un peu mes bottes, il pleut dehors.. yaouh, si fort parfum d’amour dans ton album, Ossiane que la tête me tourne, ennivrée de beautés. Bises de lundi.

  19. Avec la complicité des arbres…

    leurs colonnes se courbent
    sous les caresses du vent
    l’air murmure et cadence,
    rythme en doux complice
    le balancement des branches…

    leur feuillage tinte et se penche
    dans l’aria miroitant blond et vert
    papillonnent vibrantes sensations
    notre regard dans le végétal se perd.
    où le soleil froufroute en complice…

    les sens s’éveillent et le jour salive
    les silences se bordent d’agitations
    les oiseaux plissent un bout du ciel
    les corps peu à peu s’enchevètrent
    les rires étouffés vibrent à l’unisson…

    le mouvement du vent confond l’écho
    des battements de leurs coeurs réunis
    perturbe l’azur clair au-dessus de nous
    le jour décline et le calme déconcerte
    nos désirs vont lentement s’étourdir…

  20. Dimanche
    Elle frappe doucement à la fenêtre du salon… » Pierre…il fait beau..laisse la ouverte..cela fera entrer le soleil.. »
    J’ai hésité..je contemplais le visage..j’écoutais la voix et, je ne savais pas qui je devais inviter…Je ne voulais pas choisir..je désirais tout..la chaleur et la douceur…la sérénité et la luminosité…Et je n’ai rien dit….
    Les rayons du soleil ont alors mordu le plancher du salon…effleuré les murs…joué avec les rayonnages de la bibliothèque..et se sont perdus..avec mes rêves..sur les marches de l’escalier…
    Lundi
    « Elle s’offre aux mains de la lumière…. »
    Annick a posé sur ces pages ce matin ces mots délicieux…Je la remercie du fond du coeur…En la lisant j’ai en effet compris qu’entre un être aimé et un astre de lumière..on ne pouvait pas choisir…

  21. >>>> A tous:
    Pardonnez-moi d’avoir fait disparaître cette note à un moment donné mais j’ai eu beaucoup de soucis de mise en page. Plus difficile à faire qu’avec Word. J’espère que ça ne vous a pas occasionné de dommages.

  22. Entendu à l’hotel des Dieux à Capri ce mardi
    Apollon voyons,ne sois pas capricieux,mange ton fromage

  23. >Annie-Claude :
    Merci pour ces trois beaux haïkus dont un contestataire, déposés au cœur de la nuit. D’être la première, ça te libère 😉 J’ai privilégié la douceur du premier dans mon choix. Bises.

    >amichel :
    Superbe idée que l’ïle d’un Robinson solitaire qui imagine les formes de la femme au travers des éléments de la nature. Un beau rêve d’amour aux touches sensuelles Bravo à toi, je t’embrasse.

    >Annick :
    Tout comme Sven, j’ai été séduite par ton premier poème et l’offrande de ce corps à la lumière. Un poème bien abouti.
    L’amour, toujours l’amour baignent tes deux autres poèmes. L’amour maternel et l’amour de la femme. Elévation aussi vers le haut. Merci à toi. La recette cuisinée d’Annick à la ciboulette me plait. Continue sur ta lancée.

    >bouldegom :
    Eloge de l’esquive dans ton premier haïku. Trois mots qui l’évoquent sans détour.
    De beaux échos sonores entre l’Afrique et l’Inde. De superbes images un peu surréalistes comme les yeux en amande, les cornes et la trompe. Le regard est ébloui.
    Masculin, féminin.. Ton dernier haïku évoque également des sons, des rythmes. Beau thème également. Merci beaucoup, je t’embrasse.

    >Daniel :
    Ton poème est très doux à l’oreille sans doute à cause de la présence du son « ou ». Belle idée ce toboggan. La vie rêvée. J’aime beaucoup. Bises.

    >Sven :
    J’avais aussi repéré le premier poème d’Annick.
    Magnifique poème que cette chair de sable qui emprisonne. Amour passion qui finit par retrouver la sérénité et la douceur dans les rêves de la nuit. C’est beau. Un grand merci, je t’embrasse.

    >Maria-D :
    Je suppose que tu as pensé à l’arbre penché de droite pour évoquer cette fusion. Ton poème est plein de douceur.
    Très beau morceau d’écriture autour du verbe AIMER des amants. Un mot qui enlace, des corps qui s’unissent, la beauté d’un moment, déclaration lumineuse et caressante. Il me semble que c’est la première fois que tu écris en prose, Maria. Joli ballon d’essai. Merci beaucoup.

    >Dominique :
    C’est sans doute cette courbe douce et sensuelle qui t’a conduit à y penser. Je pense à une sculpture quand je regarde cet arbre. Beauté unique des caprices de la nature. Merci de nous faire partager tes sensations. Je t’embrasse.

    >Chris :
    Quelle belle histoire tu nous racontes ! Embrasement du cœur de cet homme pour une illusion. Sa tentative de séduction est pathétique. Merci beaucoup Chris pour l’originalité de ton poème plein de mélancolie. Bonne après-midi.

    >Fred de Toulouse :
    J’ai beaucoup aimé ton haïku plein d’humour. Merci à toi, je t’embrasse.

    >Olivier :
    Beaucoup de questionnement dans ton poème, Olivier. Je ne vois pas cela comme une complainte ni un caprice. Juste ton état d’âme du moment qui me semble un peu mélancolique. Les beaux jours vont bientôt revenir. Courage à toi, je t’embrasse.

    >Patricio :
    Je suis contente que cette photo vous fasse voyager dans des pays si lointains. Un retour aux sources tragique cette jonque échouée ou ses défenses d’éléphant enfoncées dans le sol. Que se passe-t-il là-bas ? Merci pour ta belle plume et ton retour Patricio, je t’embrasse.

    >Sven :
    Très beau poème plein de souffle. Et l’homme qui laisse toujours ses empreintes dans la nature. Ces arbres grandissent, résistent, observent et reçoivent. Les totems de l’être humain peut-être. Merci pour la beauté de tes mots. Bises.

    >Enna :
    Bonjour Enna ou sentinelle de l’invisible, il me semble qu’on s’est déjà croisées ici ou ailleurs 😉 Sois la bienvenue. Hé oui, Michel est le spécialiste pour écrire des poèmes d’amour 😉 En tout cas, ta façon de dire ce que tu aimerais être est tout à fait délicieuse. Tu as fait mis en avant avec grâce ce que dégage cette photo. Au plaisir de te lire à nouveau.

    >Yves :
    Je reconnaîtrai tes haïkus sans signature avec tes images et associations de mots qui déroutent 😉 Tu as l’art de nous désarçonner. Bravo pour la richesse de ton écriture.

    >bonbonze :
    ;-)) C’est fou, tu trouves toujours quelque chose d’amusant à dire. Tu as ça dans la peau. Merci beaucoup.

    >Sven :
    Quelle inspiration débordante aujourd’hui, c’est lundi 😉 Toujours les arbres mais cette fois, tu évoques davantage, la musique du vent dans les branches et les feuilles, le silence qui s’ensuit, une ambiance propice à l’abandon du cœur et des sens. Ton poème est très imagé et sonore, on se croirait assis sous ces arbres par un beau jour d’été. Merci Sven pour ces beaux partages que tu nous offres à lire.

    >pierre b :
    C’est amusant de voir comment ton écriture et le choix de tes thèmes évolue au fil des semaines. Loin des embouteillages parisiens, tu nous offres maintenant des morceaux de vie, des esquisses de portraits des visiteurs du blog. C’est très bien fait, émouvant, chaleureux et généreux. C’est la fête à Annick aujourd’hui 😉 Je t’embrasse.

    >feu roméo :
    Voilà que tu te mets à donner la réplique à bonbonze 😉 Merci pour ton humour. Qui veut relever ce nouveau défi ?

    .

  24. et quand l’être aimé est l’ être de lumière.. le choix est fort grâcieux.. clin d’oeil Pierre b.

    je te remercie, Ossiane, et je te rassure, cela va, je tremble pas, je syncope pas, juste cela m’a émue fort de cliquer, de lire mes mots que je n’avais pas lus.. juste posés dans le départ de mon fils, ce matin..

    il y a encore une fois de très beaux textes posés, sous une bien belle photo, et ton haiku si délicat.. MERCi, Ossiane, merci pour tout! ma modeste ciboulette, j’aime bien qu’elle pousse ici, car ta terre est bien bonne! et les jardiniers de ton album fort gentils! j’apprécie max leurs plumes d EUX!

    Je vous prie de m’excuser mais je ne sais pas faire de compliments, alors sven, amichel et boudegom…… mmmh de mmmmhh….. j’aime vous lire!

    Il est si beau et bon de se donner en amour, et c’est fort bien semé ce bel amour, chez toi, Ossiane. Bises de fin d’après midi.

  25. Annick
    Fred de Toulouse
    Annie-Claude
    Daniel
    C’est très bon lire vos poèmes.
    Je vous embrasse.
    Bises carnavalesques du Brésil-São Paulo.

  26. C’est vraiment un régal de se promener dans la bambouseraie d’Anduze, merci Ossiane, ce lieu à l’air magnifique et a la chance d’être photographié par toi… mis en Haïku Calligramme…et maintenant en poèmes !

    Depuis quelques jours que nous sommes ici c’est un plaisir de reconnaitre au fond les bambous d’hier, la cage de l’autre jour, découvrir d’autres angles… toutes ces tiges verticales…plus on moins grosses , plus ou moins droites… toutes ces teintes de vert, de bruns, de jaunes et de bleutés… cette lumière…
    C’est un ravissement.

    Ossiane j’ai remarqué que tu as classé une bonne partie de ces notes dans  » la sculpture » ? pourquoi ?

  27. Annick je suis heureuse pour toi, gros poutous ma belle.
    Fred, Annie-Claude, Daniel bravo

    J’aime beaucoup çà :
    « autruche du caprice
    poésie des lumières
    tête dans la canopée »

  28. alors, j ai des petits soucis, je suis allée chez Daniel, cet aprem, pour revoir et découvrir d’autres jolies photos, et mince, où je ne vois pas clair mais impossible de mettre un message.. c’était idem, qd j ‘ y suis allée plusieurs fois.. je dis au cas où il y un souci qui peut être résolu, pourtant je clique sur contact..et puis aussi à écouter les poèmes de Fred, et les couleurs de ces dames de Annie Claude, tellement de dépaysement avec le Nord gris de gris aujourd hui….
    c’est chouette, vraiment..

    je me disais en sortant de ces trois délicieux voyages, que c’est bon de voyager en restant chez soi, car d’autres partagent. MERCI BEAUCOUP, à tous les trois..il est impossible dans une vie de faire tout cela, alors comme c’est sympa de partager autant.

  29. Caprice

    Tu m’as regardé
    Avec attention
    Clignant les yeux
    Doux et charmant
    Mais, je sais,
    C’est un caprice

    Tu m’as souri
    Avec malice
    Et m’as jeté
    Un gros bisou
    Mais, je sais
    C’est un caprice

    Tu m’as dit
    “Je t’aime”
    En fermant les yeux
    En indiquant le coeur
    Mais, je sais
    C’est un caprice

    Masqué le bal
    Masqué toi aussi
    Mais, je sais
    C’est un caprice
    Caprice surréal
    Caprice de Carnaval.

  30. Dans le Dos

    A ce tronc adossé,
    Lui
    A ce Lui lovée,
    Elle

    Paisibles
    En Paix
    Ils respiraient à l’Unisson

    Sans un mot
    A pas feutrés
    A pas de loup

    Deux êtres
    D’eux
    Se sont approchés

    Rusés
    Dans le dos
    Leur attaque a débuté

    Attaque fulgurante
    Pluie de balles
    Explosions de cris
    Assourdissants

    Surpris
    Lui, Elle
    Sont restés sans réaction

    Accusant les projectiles,
    Un temps seulement
    Le temps du réveil

    Bien réveillés
    Bien décidés
    Décidés à ne pas se laisser faire

    Lui, Elle
    Ont rendu
    Balle pour balle
    Cris pour cris

    Lui, Elle
    N’ont pas cessés de se défendre
    Mais se sont tus

    Tus pour écouter
    Ecouter ces Rires de Gosses
    Tus pour les dévorer

    Balles multicolores
    Couleur de Carnaval
    Combat de Carnaval

    Balles de Carnaval
    Bal de Carnaval

    Tus pour écouter
    Ces Rires de Gosses

    Echo,
    ne t’arrète pas
    Propage les à l’infini
    s’il te plait…

    Vous avez dit Bonheur ?
    Sans aucun doute…

  31. >>>>>A tous :
    Je sais qu’il y a certains d’entre vous qui ne peuvent pas déposer des poèmes très tôt. Soit vous intervenez dans l’après-midi, le soir ou même le lendemain. Pas question pour moi de vous oublier. Il va falloir que je trouve une solution pour vous faire participer à cette mise en lumière car jusque là, j’ai mis en ligne les poèmes choisis, le lendemain de la publication en début d’après-midi. Soit, je choisis plus tard, en fin de soirée par exemple … Si vous avez des idées, je suis preneuse….

    >Brigetoun :
    Joli, Brigitte ! Tout à fait dans l’esprit. Merci à toi.

    >Annick :
    Je sais bien que tu ne syncopes pas; la mise en lumière était méritée 😉 Continue à bien prendre soin de ta ciboulette poétique. Bonne soirée.

    >Pam :
    Hello Pam, Si tu as l’occasion d’aller dans le sud, n’hésite pas à faire un détour en choisissant ton moment pour te balader en paix. Bien observé, c’est vrai que je suis très tige en ce moment mais j’aime bien ces lignes graphiques et ces jeux de lumière 😉 Bien vu encore. J’ai hésité mais j’ai effectivement choisi de classer ces notes dans la sculpture. Pas de pierre, certes. Pour moi, ce sont des sculptures végétales naturelles avec ou sans intervention de l’homme. Je pense également aux créations du land art qui disposées et conçues en pleine nature, offrent au regard du volume en 3D, des formes, des lignes, de la matière, de la texture, du mouvement à la manière d’une sculpture. J’espère que tu n’en es pas trop choquée. Dis-moi… Je t’embrasse.

    >Neyde :
    Neyde, la grande amoureuse de la vie 😉 Ton poème est adorable et je t’imagine, le sourire en coin en train de l’écrire. Ton cœur aime donner et recevoir. Tu nous offres un beau caprice aux couleurs du carnaval de Rio 😉 Merci Neyde, je me demande toujours comme tu arrives à écrire si vite de la poésie en français. Quelle classe ! Un bisou à toi.

    Caprice surré(e)l

    >Nigra :
    Un petit rebond sur le Carnaval. Ta poésie est très originale. Elle fleure bon l’insouciance, la joie, les jeux et les rires de l’enfance. Toujours ton style très personnel simple et efficace qui fait passer les émotions. Phrases, courtes, respirations, actions et pensées successives, associations de mots. Merci pour ton bel écho poétique. Ca fait longtemps que tu écris ?

  32. Merci Ossiane pour ta réponse,

    Non non je ne suis pas choquée du tout au contraire je me sens tout à fait en accord… je trouve aussi que la nature nous offre de magnifiques oeuvres d’art…

    Alors encore une question : pourquoi tu n’as pas classé dans « la sculpture » la note du 2 février « tropique » ? sur la photo cela ressemble bien à une « installation » de land art ?! non ?

    Je t’embrasse

  33. >Pam:
    Pam, je vais te nommer Ange gardien du blog si ça continue car tu es très observatrice et ça me rend service 😉 J e n’ai pas classé Tropique dans Sculpture par simple oubli 😉 Bonne fin de soirée.

  34. Bonsoir Ossiane,
    déjà te dire que je me disais vraie en parlant de syncope, quand tu as parlé il y a plusieurs mois du justesimplevivre, en mettant l’adresse de mon blog, je ne me pas sentie fort bien, j’ai été prise de court…tellement d’émotions….pour ma petite personne, j’aime assez les trous de souris..je suis vraiment extrémement émotive, et c’est aussi une lourdeur….

    cette fois, on était prévenus, et puis, cette fois, il m’a fallu plusieurs jours pour oublier que je pouvais être choisie.. cela va , je m’y suis fait.. j’ai l’adrénaline facile, voilà tout..

    pour répondre à ta question, pourquoi ne pas laisser les commentaires jusqu’au dernier… et mettre le texte choisi lorsque la publication suivante parait ( bien sûr sous l ancienne photo )….C’est bien de m’encourager, car je suis vite satisfaite, youps j’écris je déballe, j envoie, youps… je peux pas trop me compliquer mon intérieur, c’est impossible, je souhaite simplesimplesimple..bises de nuit, Ossiane.

  35. A Ossiane :
    Merci Ossiane. Si je m’attendais ! Je t’embrasse.

    A Annick, Fred, Annie-Claude…et les autres :
    Vos beaux écrits, vos regards, toutes vos émotions si différentes autour d’une même image instruisent et passionnent le photographe que je suis. C’est un vrai plaisir que de partager tout cela avec vous. Amitiés à tous.

    A Neyde :
    Neyde, c’est la première fois que l’on m’offre des bises carnavalesques…Je t’embrasse.

    A Maria-D :
    Merci pour tes mots. Amitiés.

    A Annick :
    Merci de l’intérêt que tu portes à mes photos Annick. Elles ont besoin de regards comme le tien pour continuer d’exister après que notre histoire, à elles et moi, se soit terminée. Pour les messages, c’est curieux que tu ne puisses pas poster ?? D’autant que j’en reçois tous les jours sur cette boite. Bon, nous allons essayer de comprendre le pb, je te contacte en privé. Je t’embrasse.

  36. Mon toi
    Mon regard t’admire
    Ma tête se laisse aller
    A toi
    Mon corps se cambre
    Mes veines frissonnent
    Par toi
    Mon île offre son port
    Mes yeux fermés vivent
    Mon moi

  37. >Annick:
    Je trouve que ces petites mises en lumière fonctionnent bien pour l’instant. Heureuse que cela te fasse plaisir et te stimule. Je les fais en toute simplicité sans chercher à jouer à celle qui sait tout, ce qui est bien loin d’être le cas;-) Je les fais en fonction de l’émotion que je ressens et de ce que j’ai envie de mettre en avant sur le plan poétique. Pas toujours facile de décider car le niveau général est bon;-) Je suis très sincère dans ce que je dis.
    Pour ce qui est de ta suggestion, si je mets les poèmes choisis au bout du deuxième jour, je crains que ça n’ait pas le même effet et que les gens n’aillent plus lire la note précédente, non? Continuez à me donner votre avis, je continue de réfléchir… Ce serait bien que les visiteurs qui ne peuvent pas écrire tôt se manifestent.

    >Daniel:
    Que de regards et de mots croisés,; c’est vraiment sympa. Bien à toi Daniel; ce petit clin d’oeil est bien mérité. Je t’embrasse aussi.

  38. Dans cette sensation probable
    Dans cette grâce d’ouverture
    Dans cette chevelure de douceur
    Sans tracas sans ombrages
    Mes yeux sont soumis à l’image
    A l’image que je regarde
    A l’image qui me regarde
    Dans ce foisonnement végétal
    Entre cette averse de lumière
    Je perçois le subtil de la matière

  39. Ossiane, quel honneur tu me fais ! merci encore pour tes encouragements ;o)
    Si Annick se dit vite satisfaite (je crois surtout Annick que tu as des émotions et des sentiments à exprimer, et tu les exprimes spontanément, je t’envie cette capacité-là), pour moi c’est vraiment l’inverse. J’ai tellement peu joué avec les mots…. que je me délecte chaque jour de votre capacité à tous à écrire vos ressentis, émotions…
    J’apprends doucement. Alors, encore une fois, merci pour tout ça, à tous.

  40. A travers les branches des arbres

    il nous écouter le chant du vent…

    ces appels d’amour sans pareils

    venus de toutes parts
    et gorgés de soleil…

  41. L’enfant escalade le tronc
    Puis il se laisse glisser
    Son short tout blanc
    Le parent gronde et pourtant
    La vie juste imprimée
    De vert dessus le blanc

  42. >Maria-D :
    Merci Maria pour le bel abandon poétique de tes yeux dans cette chevelure végétale que la lumière illumine. J’espère qu’il adoucira ta journée. Bises.

    >Annie-Claude :
    Encouragements mérités, Annie-Claude. Les débuts de nuit te sont propices 😉 L’intérêt de ce salon est que toutes sortes de sensibilités s’expriment. Il y a des lents, des spontanés; peu importe. Je suis un peu comme toi; je ne suis pas très rapide 😉 C’est ce qui fait la richesse de tous ces écrits car les poèmes ne sont pas formatés. L’essentiel est dans ce qui sera donné à partager. Alors, continue à ressentir et écrire avec ce qui te ressemble et te met à l’aise. Je t’embrasse.

    >Annick :
    Belles idées que cet œil qui roule ou cet enfant qui fait du toboggan en salissant son short. Tu devrais continuer à travailler la dernière idée. Belle journée.

    >acede :
    Bonjour et bienvenue, acede. Merci pour tes mots sympathiques. A bientôt.

    >Sven :
    Comme Maria, tu aimes écouter le chant des arbres le matin. Beau parallèle entre les feuilles frissonnantes et ces appels d’amour. Ta journée sera belle auprès de ceux que tu aides, sven. Bises.

    >Fred de Toulouse et Bouldegom :
    Quels beaux échanges entre vous deux ! Pas moins de sept poèmes en 1h ! De cil en fossile, de fossile en faux-cils, Fred dégomme bouldegom avec ses jeux de mots et elle ne s’en laisse pas raconter 😉 Merci beaucoup à tous les deux et bravo.

  43. étrange

    étonnement

    découverte
    tendresse végétale
    image
    pieuse
    inclinaison palpable

    voile rose
    enveloppe fragile
    par touches fines
    pudeurs grises
    ocres bleues

    ses yeux verts
    clairs et dansent

    vers les cîmes

    élancement

    désir
    d’être ange

  44. Toboggan

    comme une plaie ouverte sur le côté
    on sait qu’un jour le destin va frapper

    comme la lave crachée d’un volcan
    poussière de cendres ou duvet blanc

    l’innocence fragile vacillera incrédule
    sur les tourniquets, les chevaux à bascule,

    on ne sait rien des lendemains qui mordent
    un jour on perd ses repères,puis saute à la corde,

    un jour on se pend et puis, on pense ses plaies,
    on se sait rien des lendemains qui sourient

    on ne sait jamais quand le destin va frapper
    sur le toboggan on laisse étourdis filer nos vies…

  45. >Bernard:
    Ton poème a beaucoup de rythme avec ces espacements, ces phrases découpées et ses mots lâchés comme des ballons. Ca donne beaucoup de fraîcheur et de douceur à cette découverte végétale spontanée. Que cet ange des cimes veille sur toi. Je t’embrasse et te remercie.

    >Fred (de Toulouse):
    Tu tiens une sacrée forme aujourd’hui;-) Je crois que tu viens d’inventer une nouvelle expression; il ne manque plus que le son;-) Bises au e-slammeur.

    >Sven:
    Sympa d’avoir repris cette belle idée du toboggan qui est riche en imaginaire et qui a été amorcée par Daniel. Ta glissade poétique évoque le toboggan de la vie avec ses blessures, l’insousciance éphémère et fragile de l’enfance, l’incertitude du lendemain, l’envie de se laisser emporter malgré tout par le flot bouillonnant. Un très beau poème lucide, émouvant et vivant. Je t’embrasse.

  46. Je monte à l’étage, je suis la première, alors, je remonte le store, ouvre le rideau.. et dirige mon oeil vers le parc aux canards…ma guitare attend posée dans un coin, et mon oeil se prend de face l’arbre d’Ossiane, qui courbe sa jolie forme coquette.. cela me fait sourire, la tendre poursuite d’Ossiane…..la même ondulation, le même frisson partagé, le ciel cambré, et le tronc appelé vers la lumière…

  47. OMBRAGE
    Les arbres buveurs de lumière
    pulvérisent le jour
    sécrètent la clarté
    pour décrasser nos yeux
    souillés de cendre et de fange
    pour immerger dans un calice d’ombre
    les scintillements trop violents
    d’un monde trop aiguisé
    de la brûlure du soleil

  48. >Annick:
    Tu m’as fait peur avec ton oiel, j’ai cru que tu t’étais cognée dans l’arbre;-) merci pour ces douces traces poétiques.

    >l’oeil vagabond:
    Belle imagination cette danseuse étoile en train d’éxécuter ses pointes. Elle a la tête dans les nuages. Bises et merci.

    >Maria-D:
    Un poème plein de sensualité qui rebondit sans doute sur le poème précédent. Délicates images. Merci Maria, bonne soirée.

  49. Aimer ton blog:)
    Je suis biologue et ecologiste et jai mon blog aussi.Je tái ajouté a mes liens de blogues environmentales et de photo.
    Embrasse
    Joao Soares
    Portugal

  50. Quand son oeil
    Amoureux

    Roule
    Délicatement
    Sur la courbure

    Son oeil à elle
    S’allume

    Et jamais
    Non jamais

    Son oeil se satisfait
    D’un petit sillon tracé

    Car son oeil qui se roule
    Laisse la délicate trace
    Des parfums de l’amour

    Et leur regard à eux
    S’éclaire de découvertes
    De leurs deux corps

    Sur le chemin de lumières
    Poudrées d’or sublime

  51. >Joao Soares:
    Bonsoir Joao, merci de t’exprimer en français. Je te souhaite la bienvenue et te remercie pour ce lien et ton compliment. Malheureusement, je cne comprend spas le portuguais. Au plaisir de te revoir.

  52. Un arbre tendre. Il a voulu pousse autrement. Plusieurs chemins menent au ciel. Chacun a son propre ciel. Merci pour l’elegance, la souplesse, la caresse de cet arbre. Sincerement, Frederique.

  53. >Frédérique:
    C’est juste d’évoquer la douceur, la tendresse de la courbe. Cet arbre a poussé comme il l’a senti et bien lui en a pris car il nous offre un pur plaisir visuel. Sincères amitiés à toi.

  54. Qui a dit
    Que les arbres poussaient droits
    Comme les i ?
    Ils aiment aussi se coucher
    Longuement ramper
    Caresser les mousses
    Cueillir les confidences
    Au ras des oreillers.
    En un mot
    N’en faire qu’à leur tête.
    Pris d’un élan soudain
    Se relèvent se montrent
    Se poussent rivalisent
    Se cambrent et s’érigent
    Amoureusement.
    Ils gagnent les hauteurs
    Vers la lumière
    Portant leur canopée fiérote
    Avec langueur.

  55. >Pierre (2):
    Magnifique poème plein de sensualité sur la douce courbe de cette arbre qui ne pouvait que t’interpeller. On se demande comment il a pu prendre cette trajectoire. Quelque chose a dû le gêner, je suppose. Cet arbre semble bel et bien vivant sous tes mots. On a l’impression de le voir s’étirer vers le haut. Un grand merci pour ta belle plume généreuse.

  56. > Ossiane, rien ne gêne cet arbre. C’est une sorte de bouture naturelle du pied-mère (situé sur notre droite). Les basses branches de ce cyprès-mère se courbent, touchent terre et s’enracinent. On voit parfaitement ceci sur ta photo et, en particulier, la liaison avec le pied-mère. La branche ainsi enracinée devient pousse, se redresse et continue de croître par son apex. C’est une sorte de marcottage. Tout autour du pied-mère se crée ainsi un bosquet qui deviendra une forêt en miniature. Ici, à Anduze, le phénomène s’est, je crois, répété une deuxième fois, produisant des marcottes de marcottes!
    Toutes ces explications vont décevoir nos ami(e)s poètes sans aucun doûte mais pour les consoler, nous pourrions les inviter à méditer sur le thème suivant: poésie et réalité. Un beau sujet, n’est-ce pas!

  57. >Pierre (2):
    J’apprends deux choses dan ta réponse. L’identité de l’arbre qui m’avait échappée et cette histoire de marcottage. Je ne suis pas du tout déçue de ta réponse. L’inventivité de la nature m’impressionne toujours. C’est une forme d’art aussi. Merci pour ce partage de connaissance. Toi et François êtes mes botanistes attitrés;-)

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