Fantôme

Ruelle de Sala Comacina, un petit village au bord du lac de Côme

L'Ombre d'un Instant, Inconnue Fugitive, son Souffle m'Effleure.

* Lecture du Haïku Calligramme: cercle extérieur puis intérieur.

L’Ombre d’un Instant,
Inconnue Fugitive,
Son Souffle m’Effleure.

* Ruelle de Sala Comacina, un petit village au bord du lac de Côme.

64 réflexions sur « Fantôme »

  1. Je marchais seule
    dans les ruelles éclairées
    du village endormi
    quand j’ai vu tes rêves
    courir après les fantômes
    des certitudes de ton ennui.
    Ils voulaient déchirer leur blancheur
    et y inscrire la couleur du doute.

    Avais-tu les lèvres roses à ton réveil ?
    Avais-tu les joues rouges ?
    Ton coeur battait-il plus fort ?

    J’ai vu tellement vite
    que je ne sais pas
    si tes rêves ont gagné
    l’aventure de ta vie.

    Catherine

  2. Bonjour, Ossiane!
    je suis toujours fidèle, mais me décide seulement à déposer mon petit commentaire…
    Annemarie

    La lueur sauta,
    Glissa, puis se releva,
    Et s’enfuit,là-bas…

  3. Chimère

    Dans la clarté verte d’une ruelle
    Court un blanc feu follet
    Il a passé sous l’arcade
    Il va où ? Je ne sais
    Peut être chanter l’aubade
    A quelque beauté cruelle
    Mais laquelle ? Je ne sais

    Il court il court le fantôme
    Droit vers un petit escalier
    Dans la rue personne personne
    Est-il songe est-il vrai ? Je ne sais
    Cette vision fort m’étonne
    Etrange féerie du lac de Côme
    Ou souvenir d’un été ? Je ne sais

    Cette lumière dans une venelle déserte
    Me semble un paysage familier
    La recherche éperdue d’une âme égarée
    L’ai je vu l’ai je rêvé ? Je ne sais
    Dans un souvenir immobile effaré
    Et cherchant en vain porte ouverte
    L’elfe me guide ou me perd ? Je ne sais

  4. Bonjour Ossiane …
    ton nom est une invitation au voyage…

    A TOI

    Tiens moi captive et femme
    dans ton corps et dans ton âme

    mais si dans son tourment la nuit m’emmure
    laisse moi partir vers l’aventure…

    On … ne peut pas retenir un fantôme…
    SVEN

  5. Je me suis levé ce matin sous une pluie tenace
    Mon âme à mes pieds, le coeur dans une nasse
    Avec un seul désir , assommer ces mots qui m’angoissent
    Et ce froid et ce gris qui prennent toute la place

    Je n’ai qu’une envie, que la nuit s’efface
    Quitter cette ruelle, fuir cette impasse
    La lumière est blafarde, un fantôme me dépasse
    …..son souffle est de glace…..

  6. Tout lui disait d’ aller de l’ avant mais elle voulait retrouver ses rêves d’ amour dans les seigles, se coucher dans ses draps de plumes d’arc en ciel tendus…
    Elle fit demi-tour se réfugier dans ses songes…
    Le monde serait pour demain, juste profiter un peu encore de ces instants de répit…

  7. Jolie photo … belle couverture pour un polar bien angoissant !
    Te souviens tu encore de ton temps de pose et du diaph. que tu as utilisé pour faire cette photo ?

  8. Densité
    **************************************

    Plus fort qu’une montagne
    Plus dur qu’un diamant
    Plus épais que la jungle

    Plus clair que le jour
    Plus solide que l’acier
    Plus souple que le vent

    Énivrant
    Aveuglant
    Apaisant

    Présent, hier et demain
    Le temps á pétrir
    Dans la voúte de mon regard

  9. Bonjour, Ossiane.

    Après avoir déposé mon texte, que j’ai appelé « Certitudes », j’ai regardé à nouveau la photographie. Et je m’aperçois que mon titre devrait être « Densité ». En effet, c’est la sensation que j’ai non pas « devant » l’image, mais en y entrant. Je n’y vois nul fantôme, ni ne suis saisi de solitude, ou d’effroi. Au contraire, je me sens à l’abri, reconforté par une lumière que je ne ressens pas comme froide, mais sobre, discrète. Ces parois et ces formes, ont pour moi quelque chose d’anatomique, de biologique. Je n’ai qu’un petit pas a faire pour me retrouver dans un tuyau protecteur, le ventre de ma mère. Puis, en passant a la seconde photo, c’est á la fois la palette de l’artiste et le tour du pottier. Il y a la trace, une partie du cheminement du peintre, mais aussi le toucher du façonneur de glaise, ou du souffleur de verre. Je ne peux pas échapper à la chaleur de ceux qui travaillent la matière. Je ne peux pas me soustraire au tournis de la vie.
    Pourrais-tu donc ajuster le titre de mon texte ? Merci.

    Patricio.

  10. Dans le dédale de ta vie
    Tu cours bel ange,
    Dans tes ruelles obscurcies,
    Parcours étrange,
    Enfin vas-tu trouver le jour ?
    Saisir l’amour…
    Enfin transcender ta poussière ?
    Finir Lumière…

  11. cours plus vite
    petit fantôme
    cours plus vite
    car si les vivants ont peur
    ils risquent de te faire du mal
    cours plus vite
    petit fantôme
    le mystère de l’après nous a besoin de toi!!

  12. syndromes schizophréniques…

    distorsion de nos âmes
    nous nous arc-boutâmes
    comme évadés d’un rêve

    te souviens-tu mon ectoplasme
    cette ruelle et ce marasme
    portes oubliées, barreaux brisés

    berceau des délires de morts
    fines hallucinations retors
    des vibrations de l’air

    ce marathon nocturne
    de nos souvenirs diurnes
    aux regards hagards

    cette course effrénée
    tympans voûtés et l’escalier
    la déraison en évasion

    étrangeté de l’ambiance
    le fantôme de Stendhal
    courant vers le mur végétal

  13. « En haut de la porte, tout à gauche, la tête du fant’Homme, sans trop d’originalité, il crie son Ouhhhhhhhhhhh.. Ouhhhhhhhhhhhhhhhh….alors elle se retourne.. ne voit rien.. elle court, elle court à en perdre son souffle… et lui, le fant’Homme pierré, homme ou femme, qui sait?, en haut de la vieille porte qui en vu mille ans, se rendort, avant de trouver une nouvelle victime ..et de rire de la peur qu’il provoque…. car elle, elle court encore…encore….vers son Home »

  14. Superbe photo!!!! Perspective, lignes, ruptures de ligne, luminosité, couleur, équilibre, tout ça c’est nickel chrome! Et en plus de la qualité technique, l’atmosphère y est!!! Félicitations… Puisque je suis en pleine période de correction d’examens partiels, je dirais 150/100! Plus points extras pour cette générosité constante:)

    Une question à part: tu n’as pas de problème avec le Typepad dernièrement? De mon coté, une fois sur deux je suis « bloqué »: le typepad perdrait-il la boule?

  15. Merci pour tous ces beaux commentaires et bienvenue aux aoûtiens! Un peu de patience pour mes réponses. Je ne pourrai les donner qu’en fin d’après-midi car je dois m’absenter. A tout à l’heure.

  16. Cette ombre floue, ou fantome !…nous fait oublier tout le reste.
    La voute, les grilles, le sol, l’escalier….
    J’ai failli passer à coté de ça.
    Merci Lumière.

  17. Moi, je suis etonnée.
    En Italie, un fantôme ne traîne pas de lourdes châines?
    À mon avis, être un fantôme au bord du Lac du Côme est plus léger.
    C’est un fantôme que, tel qu’une Muse, a fait rêver les poètes du Blog.

  18. Ooooh j’ai peur !
    Magnifique photo.
    Je n’ai pas le temps d’écrire beaucoup ces temps-ci mais j’ai beaucoup aimé tes photos de bateaux bleus et je les ai admirées en silence.
    Bises spectrales ( j’espère que ce mot existe )
    Judith

  19. Pas facile de rattraper d’une seule traite mon retard de commentaires ;-)) Je suis un peu en retard mais je préfère cela plutôt que de vous répondre à côté de la plaque;-)
    Amitiés à vous tous!

    >Catherine :
    Prems Catherine ! Ca me rappelle des souvenirs où toi et amichel répondaient présents à l’appel de minuit. Je constate que c’était le cas cette nuit 😉
    Ce n’était pas évident Catherine de partir en poésie dans le sens que tu as choisi. Cette évocation de rêves trop sûrs fonctionne très bien. J’aime bien la façon dont tu nous fais revenir dans la réalité avec ce réveil aux couleurs de la vie tout en émettant des doutes. Tes lignes sont toujours pleines d’émotion. Je t’embrasse.

    >Anne-Marie :
    Bonjour Anne-Marie, je me souviens bien de toi 😉 Je te remercie d’être aussi fidèle dans l’ombre et le silence. C’est une bonne chose que tu te décides à venir partager tes émotions avec nous en pleine lumière 😉 Merci pour ce petit poème qui peut en effet évoquer une chute ensuivie d’une fuite éperdue dans le noir. Au plaisir de te lire à nouveau.

    >amichel :
    Hello amigo, content de ton escapade ? Heureuse de te retrouver ;-))
    Rêve ou réalité ? Une âme égarée ou la vision d’un songe ? Merci de t’immerger aussi fort dans les rues de ce petit village, Michel. Tu ne nous donnes pas la clé et moi non plus 😉 A nous de nous projeter et de recueillir nos perceptions dans cet univers nocturne. Merci beaucoup pour ce beau rêve éveillé, grand poète de la nuit. Je t’embrasse.

    >SVEN :
    Bonjour Sven 😉 Contente de te voir revenir sur ces pages 😉 Tu as bien compris ce que je tente de faire. Tu me fais trop d’honneur de me dédier ce joli poème 😉 Je me souviens bien de l’extrait de Jacottet que tu avais déposé ici la dernière fois. Ta poésie m’y fait penser. Partir à l’aventure si ce noir sensé faire découvrir son intériorité, emprisonne trop. Le repli sur soi permanent n’est jamais bon à long terme. Bonne fin de journée et merci !

    >Ark :
    Te voici de retour aussi 😉 Bienvenue à nouveau ! Un ode à la lumière qui accompagne la vie, qu’elle soit intérieure eou extérieure. Décidément, cette photo fait parler beaucoup de soi. J’aime bien ce que tu as écrit. Merci beaucoup.

    >Pierre b :
    Voilà donc une autre perception plus angoissée de cette ruelle qui ne mène nulle part.. Elle est tout aussi pertinente. Belle évocation d’un matin blême dans lequel on retrouve un peu de soi. Il est des jours où on n’a qu’une envie c’est de voir revenir le soleil dans sa vie et effacer ses fantômes intérieurs et glacés. Merci beaucoup pour ta belle plume sensible. Je te souhaite une bonne soirée.

    >Kaïkan :
    Champ imaginaire grand ouvert, Kaïkan avec cette quête généreuse vers des rêves d’amour perdus ! Cette première ligne constraste très fort avec le retour progressif vers la réalité plus plate du quotidien. Féérie des songes en attendant le lendemain. Merci pour tes beaux textes, poétesse des rêves. Je t’embrasse.

    >Bruno 1:
    Venant de toi, cet enthousiasme me touche. Le thème que j’aborde en ce moment me fait un peu penser à tes dernières photos de rues. Correspondance de pensée amicale avec toi. Bises.

    >Guess Who :
    Merci Tiago. Même chose qu’à Bruno. Deux secondes de temps de pose et ouverture à 2.8. Je me souviens que cette balade m’a épuisé. Je n’avais pas de pied avec moi. Et comme je voulais éviter les bougés au maximum, je m’arrêtais de respirer, les bras bien calés contre le corps à chaque fois que je déclenchais. Tu vois, c’était un peu comme une visite en apnée. J’ai un stabilisateur d’image ce qui m’a beaucoup aidé je pense mais j’ai du déchet qu’il a fallu trier bien sûr. Bises.

    >Patricio :
    A lire et sans même regarder ton deuxième commentaire, j’ai senti que tu étais rentré à fond dans cette photo et que tu te l’étais complètement approprié;-) Un très beau poème au regard limpide. Ne t’inquiète pas, j’ai tout de même lu ta deuxième intervention qui exprime très fort tout ce que tu as ressenti 😉 Ventre chaud de la mère, des matières chaleureuses à pétrir des murs et du sol, une matrice protectrice. Grande richesse de sensations
    Pour en revenir au fantôme, je voulais juste souligner cette impression fugitive que j’avais eue dans le silence de ces rues désertes. Ce fut une promenade très sereine dans la douceur du soir. Merci beaucoup Patricio pour ce poème quasi charnel. Je t’embrasse.

    >Reflex :
    Pseudo prédestiné 😉 Bonjour, je te souhaite la bienvenue. Merci pour tes impressions et ton passage. Au plaisir de te revoir.

    >Daniel :
    Un très beau poème plein de légèreté qui m’évoque également le nom de ton site. Cette lumière, on la poursuit tout au long de sa vie pour finir par la faire sienne. Bravo à toi. Je t’embrasse.

    >Véronique :
    Bulle réconfortante mais qu’il faut faire éclater de temps en temps pour prendre l’air 😉 Bien à vous.

    >Fugitive :
    Je n’ai pu m’empêcher de penser à toi et à ton nom quand j’ai fait cette note 😉 Et voilà que tu passes toi aussi à toute allure avec ce poème qui palpite de lumière. Merci Fugitive pour tes mots toujours harmonieusement choisis. Je t’embrasse.

    >brigetoun :
    Tiens aujourd’hui, tu as développé un peu plus ton haïku habituel 😉 Bonne idée cette petite plume fragile qui s’enfuit. Ephémère mais qui laisse des traces à jamais au plus profond de soi. Merci beaucoup pour ce poème émouvant. Bonne soirée !

    >Alain de la communauté :
    Touchée Alain de ces belles traces poétiques déposées sur mon blog 😉 Un poème haletant car le temps presse. Les hommes sont ils si cruels ? Reviendront-ils à la raison en l’appelant à l’aide ? Bises.

    >Fred :
    En ce moment, Fred, tu me surprends beaucoup sur le plan poétique 😉 Tu pars sur des registres très différents et audacieux et ça fonctionne ! J’ai comme l’impression que tu laisses filer les émotions et que les mots s’enchaînent assez facilement derrière ? Je peux me tromper, bien sûr. Tu as peut-être mis énormément de temps à écrire ce poème. Cette scène de rue t’a évoqué un univers perturbé, chaotique et hallucinatoire. Ton titre est assez parlant tout comme tes associations de mots et d’images. Merci beaucoup pour cette plongée angoissée dans le labyrinthe intérieur del’âme. Je t’embrasse sereinement 😉

    >Annick :
    Anncik, on peut dire que tu as marché à fond dans cette histoire de fantHomme et home avec cette petite histoire à nous glacer le sang 😉 Je t’assure que je vais regarder les vielles portes d’une autre façon maintenant 😉 Merci pour ton humour. Je t’embrasse.

    >Miradas :
    Alain, je ne sais plus où me terrer 😉 Tant mieux si ça fonctionne et si ça provoque des choses en toi. Merci pour ton regard expérimenté. J’aime bien ces atmosphères de nuit. C’est rare de pouvoir faire cela si tranquillement.
    Pas eu de problème avec Typepad dernièrement. Que veux-tu dire par « bloqué » ? Si tu veux diagnostic plus précis, il va falloir t’installer sur le divan, Alain 😉
    Bises à toi et Nora. Merci pour tes visites toujours très chaleureuses.

    >MTO :
    Beaucoup de sérénité et de douceur dans ton poème. Les rondeurs de l’arche apaisent le regard. Cette forme imprécise devient alors une parcelle de vie. Merci beaucoup pour ta sensibilité. Bises vers ta Bretagne.

    >PPL :
    Bonjour, je te souhaite la bienvenue 😉 Merci de t’être arrêté sur cette page pour donner gentiment ton avis. A très bientôt sans doute. Bien amicalement.

    >Ark :
    Merci Ark pour ces instants de poésie. Ton regard est aspiré par cette silhouette mais même si tu n’en as pas conscience, les murs, la voûte, la ruelle qui s’enfonce au loin ont guidé ton regard vers elle. Imagine la photo sans eux ; je crois qu’elle n’aurait pas le même effet. Bonne soirée !

    >Neyde :
    Oui Neyde, ce fantôme est tout léger et est prêt à s’envoler. La vie là-bas est pas loin d’être paradisiaque 😉 Bises vers ton Brésil.

    >Judith :
    Pas besoin d’avoir peur Judith, je t’assure qu’il n’y aucun danger là-bas 😉 Une bonne étoile y veille. Ne te sens pas dans l’obligation d’intervenir. On n’a pas toujours l’inspiration pour écrire quelque chose. C’est déjà très sympa de me suivre en silence 😉 Bon courage pour la suite. Je t’embrasse chaleureusement.

  20. >Alain Rio du Mexique et de Miradas:
    Pour en revenir à Typepad, je retire ce que j’ai dit car je viens d’essayer d’y rentrer mais sans succès. Sinon, tout le reste marche. Je vais leur signaler le problème. Bien à toi.

    >A tous:
    Il reste des coquilles ou des erreurs dans mes commentaires mais je ne peux pas les corriger. Pardonnez-moi.

  21. Je t’invite donc moi aussi à t’installer sur un divan:). Bonne chance: ce Monsieur typepad est de caractère très instable actuellement… On l’invite à s’installer lui aussi sur le divan?

    Merci de tes longues et chaleureuses réponses,

    Bises nocturnes pour toi,

  22. >>Alain Rio du Mexique et de Miradas:
    Docteur Rio, je n’ai rien à raconter, moi;-) Sauf que j’ai envoyé un mail au Monde:-) Apparemment, c’est bloqué au moins depuis le début de l’après-midi, non? Ils sont assez longs à réagir. Bises diurnes pour toi.

  23. plongée

    dans ce monde marin
    j’ai cru t’apercevoir
    à cette profondeur
    rien ne semble troubler
    la transparence de l’eau

    à regarder de près
    j’ai cru te voir fondre
    dans les couleurs mouvantes
    qui ont dû t’emporter
    dans ce monde secret

    dans ce monde marin
    tu as dû plonger
    à cette profondeur
    les mystères de l’eau
    sont encore à chercher

    ……………………………
    bouldegom, qui émerge d’une
    plongée dans les mystères de
    l’informatique…

  24. Bonsoir Ossiane,

    je n’avais pas vu cette note, j’étais resté sur la précédente. J’ai donc mis un nouveau commentaire sur « Nuit ».
    bonne nuit à toi,

    Guillaume

  25. Sous les yeux de l’œil-de-bœuf s’écoule un monde
    Qui ne s’intéresse jamais à lui.

  26. >Bouldegom:
    Je me demandais où tu étais passée:-) Contente de te voir revenir à la surface en pleine forme;-)) A la fin de l’été, il y a beaucoup de tornades informatiques 😉 Ca t’a tellement marqué que tu en as fait un poème sur le monde marin:-) Mystères des profondeurs malgré la transparence de l’eau. Perceptions faussées. Disparition qui n’a perçu le grand secret. Ma pauvre bouldegom, merci de nous avoir fait part de cette expérience malheureuse avec autant d’élégance. Bien à toi.

    >Guillaume:
    J’ai vu ton commentaire sur Nuit. Merci.
    Tu as raison pour l’oeil-de-boeuf;-) Je ne vois plus que lui. Observatoire invisible et solitaire. Bonne nuit Guillaume. Je t’embrasse.

  27. c’est incoyable Ossiane, photos, dessins, haikus ce n’est déjà pas mal (euphémisme). Mais comment arives-tu à répondre à tout le monde ?

  28. >Brigetoun:
    Depuis le début de mon blog, je réponds toujours à mes visiteurs car j’aime ces échanges et je ne me vois pas ne pas réagir à tous ces beaux textes généreusement déposés et qui vous ont demandé beaucoup de temps à écrire. Je ne veux pas faire de commentaires formatés qui ne prêtent pas attention au contenu. D’habitude, les réponses que je fais s’étalent tout au long de la journée si bien que ça se passe bien. Mais aujourd’hui, je n’ai commencé que vers 18h et là j’ai fait 25 réponses différentes pas toujours faciles à faire d’ailleurs car je lis attentivement tous vos poèmes. Ca me prend pas mal de temps mais je crois que c’est important de faire ainsi. Voilà Brigetoun, tu sais tout;-) Bonne nuit, je t’embrasse.

  29. Ce matin, le ciel invite à la douceur..
    Je m’imagine ..les mains posées sur la terre..les pieds dans le ciel..
    Chausser des patins de couleurs….
    Décrire des arabesques et dessiner dans l’espace un arc en ciel…
    « Une promenade très sereine dans la douceur .. » de ce blog..

  30. >Pierre b:
    Pas de matin blème aujourd’hui et tu m’en vois ravie:-) C’est un matin et un poème comme on les aime plein de douceur et de couleurs. Le soleil est là! La tête à l’envers, tu te transformes en véritable artiste peintre des mots, Pierre. C’est gai, frais et léger de quoi démarrer la journée de bonne humeur et surtout c’est très gentil de penser cela. Merci beaucoup, je t’embrasse.

  31. Moi je sais ou il va…Notre fantôme
    Dans la Nuit, sur son Embarquement Bleu
    Retrouver la Maison de ses reves
    Comme l’Artiste
    Qui peint des Doubles V
    Dans ses habits Blancs
    Au Paradis
    Comme un Papillon…

    A Bientot Lumière.

  32. L’Amour d’un courant d’air…

    dans la cour
    au long cours
    sans détour
    sans secours

    il court
    à la bourre
    et recourt
    à rebours

    ce parcours
    souffle court
    faire la cour
    à la cour

    d’un pas lourd
    par la tour
    pour son tour
    il accourt

    faire le tour
    du pourtour
    pour toujours
    il est pour

    un retour
    à l’amour
    sans débours
    sans recours

  33. Chère Ossiane,
    Juste un coucou en glissant silencieusement comme cette ombre sur ta photo.
    Bizz de retour de vacances !

    As-tu lu le dernier polar de Fred Vargas, ça parle très joliment d’ombres et un peu de fantômes !

  34. euh j’oubliais…
    un peu de politesse dans ce monde de brutes : coucou à tout le monde [amichel, Catherine, Miradas, Annick, etc. les habitués et les autres !]

  35. excuse moi Ossiane,

    juste je réponds au coucou de uu,
    et j en profite pour dire que je vous serre tous bien fort, vous tous, et tous les autres très tendrement….

    et si j’ai aimé contempler ton bel album, Ossiane, lire tes haikus superbes,
    j ai ausi apprécié Ô combien de vous retrouver tous dans vos jolis mots, tendres, collés, serrés, lâchés, qui sentent bon le coeur vivant….

    excuse moi Ossiane, uu m’a tendue la perche, je te rappelle, je suis une grande timide..heinhein..je t’ embrasse.

    et puis merci à toi uu d’avoir fait un coucou, je suis une grande planeuse peu ordonnée, j avais plus tes coordonnées, et je devais revenir en arrière sur les pages pr retrouver ta trace… tu m as fait gagner du temps sur son précieux..bisous..

  36. >Ark :
    Belle plume. Merci beaucoup Ark pour ce poème habilement parsemé de références aux titres des notes précédentes 😉 C’est vraiment bien fait et ça me touche que tu t’impliqes autant dans tes écrits sur le blog. Je t’embrasse.

    >Daniel :
    Humeur taquine et badine, Daniel 😉 J’aimerais pourtant le savoir…

    >Fred de Toulouse :
    Quelle forme poétique tu tiens en ce moment. 😉 C’est devenu ton jogging qutotidien. On le sent bien dans celui-ci. Bon exerccice que tu réussis parfaitement bien. Il fallait oser avec tous ces « our » 😉 Merci d’être là. Je t’embrasse.

    Beau parcours
    On savoure ton humour
    Sans détours

    >L’œil vagabond :
    Bonjour Chris, de retour de séjour? Petit bonheur du jour qu’il faut savoir attraper dans ton poème. Merci à toi. Bises légères.

    >UU :
    Une apparition !! Le petit fantôme de la rue est bien UU 😉 Bien contente de te retrouver après cette longue pause pendant laquelle tu as sans doute pu te ressourcer et profiter des tiens. Je commençais à me demander où tu étais passé vu que ton blog ne bougeait plus;-) Je n’ai pas lu ce polar mais j’en ai entendu parler en bien. Un bouquin de plus sur ma liste alors. Merci pour ta chaleureuse amitié. La bise à Choupinette, Marie et à toi of course 😉

    >Annick :
    Tu as le cœur qui déborde d’amour, Annick 😉

  37. Côme … aussi des souvenirs là bas
    d’un printemps à Laggio

    … Tous ces verts Ossiane
    comme ils me plaisent

    tes photos sont toujours aussi esthétiques
    et me ravissent cher Ossiane

  38. Mes pas n’effleurent jamais le sol
    Car ils n’en sont pas.
    Je ne relève jamais mon col
    Pour me protéger du froid.
    Car je ne suis pas.
    Disons, je ne suis plus, nul ne me voit,
    Mais je persiste, je reste là.
    Ni fantôme ni esprit,
    Pour quelques-uns je survis.
    J’accompagne leur avenir
    Je suis le souvenir.

  39. >Raphaëlle:
    ;-))

    >Sylvie:
    De nouveau sur les terres de blogs;-) Peux-tu me situer Laggio sur le lac? Merci pour ta gentillesse.

    >Guillaume:
    Je n’ose plus rien te dire après ce que tu m’as écrit;-) Je file sur la pointe des pieds. Chuuuttt!

    >Vi:
    Lègère comme ta poésie. Clin d’oeil complice;-)

    >Claire:
    Douce nuit Claire;-) Merci de suivre le blog.

  40. amichel, Catherine et autres visiteurs de la nuit, je ne parviens pas à publier. Petit souci technique sur la plateforme du Monde. J’attends un peu pour voir mais je n’y crois pas trop. Désolée.

  41. Snif… J’attendais ! Je finissais par croire que c’était ça le fantôme, ta note du 31 !!!
    A demain alors Ossiane !
    Je m’en vais lire !!!
    Bonne nuit
    Catherine

  42. êtes vous bénévole? pour soigner tant de malades, ou vous soignez-vous vous-même? dans ce dédale de fantômes qui errent dans le vert, dans la nuit et dans la mort
    trouvez-vous votre lumière dans ce blog-thérapie où ne passent que des ombres?

  43. >Catherine:
    Pas de chance! Ca s’est décoincé juste cinq minutes après que j’ai reçu ton commentaire.

    >Fred de Toulouse:
    Je crois comprendre que tu fais allusion à ta situation, TSN ? Si c’est le cas, ce n’est que temporaire;-) MSN va bientôt se transformer en MSR;-))

  44. Vos photos sont fantastiques! Elles m’ont plongé dans un monde irréel. Est-ce qu’un blog est suffisant dans ce cas? Vous n’avez pas le droit d’enterrer vos images. Essayez de montrer un porfolio ou un book à Réponses photos ou Chasseur d’images. Partagez avec nous vos photos!
    Sur le web, vous pouvez aussi vendre celles dont vous ne tenez pas à garder l’exclusivité (rejoignez nous sur http://www.fotolia.fr/partner/130874 ).
    Votre blog est très bien placé dans mes favoris, mais ce n’est pas suffisant…

  45. Bonjour Ossisane,

    Je viens de découvrir votre blog qui est pure merveille. Amoureux de l’Italie en général et de Rome en particulier, j’ai particulièrement apprécié le jeu de correspondances que vous établissez entre vos photos et ces petits textes en forme de haïkus.

    Merci de partager au grand jour ces éclats de beauté.

  46. Bonjour Ossiane,

    J’ecris des Etats-Unis. Comme il est bon de lire le francais sur de belles images de la vie? Cette image me rappelle les ruelles de Normandie que j’ai visite l’ete dernier. Apres une longue marche, a la fin d’une journee, en campagne ou en ville, les ruelles me traverssaient et j’avais l’impression de me lassier glisser dans des spirales. Bon souvenir, cette image me rapelle aux ruelles de Normandie. Amicalement, Frederique.

  47. >Frédérique:
    Bonsoir, quand j’ai vu l’averse de commentaires tomber dans ma boîte à lettres, je me suis doutée que c’était toi;-) Je vois que mon blog t’intéresse toujours;-) Ces ruelles sont italiennes pourtant;-) Merci pour vos promenades poétiques. Je t’embrasse.

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