Bonsaï

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Bonsaïs

Jardin aquatique de la bambouseraie d'Anduze

Fontaine

De la terre au ciel, arbre de la sagesse, la vie s'écoule

Lecture du Haïku Calligramme: brun, bleu, vert, rose.

De la terre au ciel
Arbre de la sagesse
La vie s’écoule

C’est mercredi. Alors, je vous offre un petit cocktail vitaminé de poèmes courts avec Pierre (2) et sa poésie colorée qui touche à l’universel, avec Pam et sa réflexion sur la souffrance du bonsaï, avec Bonbonze et ses bonzaulx qui m’ont beaucoup amusée ce matin, avec la richesse et l’humour des deux haïkus de Yves.

L’eau qui coure
L’eau qui chute
L’érable le pin et le prunus
Le bois le rouge le vert
Et la lumière
Le cercle des planètes
L’élan apprivoisé
Un monde en réduction.

Pierre (2) (son blog)

Petit arbre torturé
admirer ta souffrance
pourquoi ?

Pam (son blog)

Un bonze, des bonzes
Un ail, des aulx
Un bonzaï, des bonzaulx ?

Bonbonze (son site)

volubiles muets
à la table des bonsaïs
où sont les big bonzes

Yves Tissot (son blog)

icônes du temps
le vers de l’instant verdit
cigale et fourmi

Yves Tissot (son blog)

Photos du jardin aquatique de bonsaïs de la bambouseraie d’Anduze.
Pour en savoir plus sur les bonsaïs

56 réflexions sur « Bonsaï »

  1. très interresant « le savoir plus « sur les bonsaîs que le panoramique illustre dirait-on .

    Penché par le vent
    C’est le fier Shakan
    Courbé vers la terre

    Tombant dans le vide
    Du tronc du Kengai
    Cascade en verdure

    Noueux et difforme
    Torturé Bankan
    Arbre de souffrance

    Pinceau du lettré
    S’écrit le Bunjingi
    Tel un caractère

    Eventail du ciel
    L’harmonieux Hôkidachi
    Balaie les nuages

    Cinq bonsaïs
    Sur leur socle rouge
    Gardent le bassin
    D’où l’eau
    Rideau de lumières
    En riant s’écoule

  2. Parcours talentueux,
    Je pense à ta vie
    Et je ferme les yeux.

    Similaire à ce bonsaï
    Aux formes majestueuses,
    Racines bien encrées.

    Tu rayonnes sur la terre.

    Branches bien formées
    Formes harmonieuses
    Ramures abondantes.

    Atteindre sa maturité
    En équilibre de ses formes,
    Connaître la sérénité.

    Tu es solitaire
    Mais point de souffrance
    Emerge de ta force.

    Vivre et résister
    Grandir et croître lentement
    Dans une douce plénitude.

    Vers la lumière du ciel.

  3. Pensée Zen,

    Le lâcher prise… nous désirons sans cesse saisir, obtenir quelque chose, nous sommes des esprits affamés, de vrais vautours de la pensée.
    Il nous faut apprendre le détachement. C’est une attitude intérieure, un regard sur la situation, une distance à garder entre soi et soi.
    Une éthique de vie. Trouver la paix intérieure et la dimension originelle de notre esprit, de notre être. Car la paix trouvée en nous permet de créer de la paix autour de nous.

    Juste cette pensée qui s’harmonie si bien avec cette culture du bonsaÏ.

    Je profite de cette note, pour remercier tous ceux qui apprécient mes petites notes sur ce salon, lire vos commentaires me réchauffe l’âme et m’encourage à aller plus loin , avec vous.
    délicieuse Ossiane, nous ne pouvons cesser de te dire Merci.

  4. L’eau qui coure
    L’eau qui chute
    L’érable le pin et le prunus
    Le bois le rouge le vert
    Et la lumière
    Le cercle des planètes
    L’élan apprivoisé
    Un monde en réduction.

  5. volubiles muets
    à la table des bonsaïs
    où sont les big bonzes

    icônes du temps
    le vers de l’instant verdit
    cigale et fourmi

  6. vouououhvouh tuifluifoulououloutuipuifluiouloutuipluiflououhou
    ploplououtouplouiilupliiuplououhoupliiiglouououpluiifluiouwhououvouvouvouvouh
    boire aux racines secrètes
    la sève intemporelle
    l’âge cicatriciel renoue le bois de l’être
    martyr éternisé en forge symbolique
    trouvère emprisonné
    libère ton tourment de folles cataractes
    exprime de ton corps la nature sauvage
    aux confins de l’éther
    la porte du néant
    le silence de l’eau la nage cristalline
    caress intersticielle à boire infiniment

  7. Bonjour Ossiane
    Bravo pour la qualité de tes photos , de ton caligramme et ton haïku
    De même que pour le choix de tes textes
    Tous sont de qualités
    Je me sens très soeur de Pam
    Le bonzaï malgré son côté esthétique me renvoie à la torture et j’ai du mal avec cela, quelle s’applique à l’homme, à l’animal ou au végétal.

    _____

    Des corps torturés
    Entre ciel terre et eau
    Jardin japonais

    _____

    Dans la nuit noire
    Rouge et vert s’assemblent
    Rêve suspendu

  8. Merci Ossiane de ce coktail « Bonsaï » avec ses cinq notes vitaminées.
    > Pam, devant une Piéta, ne dit-on pas « une belle douleur »? Une contrainte, certes, l’arbre est taillé, corseté, muselé… Regarde sur ce rocher qui se dresse devant toi, là où tu trouves une fissure qui le fend, une graine s’y loge et le bouleau ou le pin surgit, nain, souffreteux, difforme, bonsaïfié, mais heureux de vivre, de prendre sa part de lumière;
    > Bonbonze, une comptine souriante pour enfants sages. Les bonsaïs sont rares et chers; les aulx sont rares au pluriel, aussi on les préfère-t-on en tête singulière.
    > Yves, le bonsaï est à l’arbre ce que le haïku est au poème: une quintessence.

  9. Décidément les coïncidences sont troublantes : je prépare hier pour la première fois un de mes enregistrements audio tirés de mon APN, (je viens enfin de comprendre comment exporter le fichier son), couplé à un montage diapo sur Quick time, et je me retrouve aujourd’hui face à un fichier son étrangement semblable. Même thème sonore…
    Non ce n’est pas du plagiat de ma part Ossiane, juste une convergence, une complicité.
    Allez découvrir ce diaporama dans quelques instants sur ahah…

  10. Soeur Maria-D et frère Amichel… ;°)

    Ossiane,
    Merci de mettre mon petit message sur le devant de la note, je suis flattée.
    « Gauche inclinaison »…certe… mais c’est surtout : « Petit arbre torturé »…qui m’a fait froncer les sourcils ce matin…et mes doigts taper sur les touches du clavier…
    Je t’embrasse Ossiane et te félicite une fois de plus.

  11. .
    >Pam:
    Mille pardons pour cette erreur; c’est corrigé maintenant. Bises.

    >>>>>A tous:
    Je ne pourrai vous commenter qu’en fin d’après-midi. A tout à l’heure.
    .

  12. Cio-Cio-San

    Pays charmant,
    Soleil Levant,
    L’eau qui chante
    Et enchante
    Au jardin japonais
    Petits arbres bonsaï,
    Force et souffrance,
    Gueisha seduisée
    Coeur en croyance.
    Cérisiers en fleur,
    Beauté et espoir,
    Tendresse et amour,
    Gueisha en attente
    Toujours
    Regardant la mer
    Madame Butterfly

  13. Entre Ossiane et nous
    Branches de sagesse
    C’est cool
    😉

    Je suis très sensible à ton choix de bonsaïs … j’ai commencé une collection il y a peu de temps …. pas facile pour une débutante comme moi mais je leur apporte beaucoup de tendresse donc ça devrait marcher !
    En ce moment je me muscle en charriant de la terre …. ça va être beau
    ( je parle du jardin, pas de mon musculature ! )
    Bises musclées
    Judith

  14. L’eau de sérénité
    Calme et vive
    Emplit le bassin du levant
    Des îlots bonzaï de-ci de-là
    Fleurissent dans ce jardin japonais
    Parmi des passerelles aux couleurs cerise
    Se poser là insouciante
    En attendant le retour de la brume parfumée
    Se poser là oublieuse
    Et écouter le murmure du temps au fil de l’eau
    Se poser là songeuse

  15. Mercredi des bonsaïs jouaient à chat perché
    Jeudi il n’arrivaient pas à descendre
    Une généreuse photographe a installé de jolies planches
    des rouges, c’est mieux pour la photo
    vendredi ils sont toujours entourés d’eau
    Samedi! que feront ils samedi???
    devenir poisson rouge

  16. Ose

    Taillés au laser
    Soignés, bichonnés, encadrés
    Exposés

    Plaisir des yeux
    Soit
    Respect du labeur
    Soit

    Ordre
    Rigueur
    Perfection

    Tellement précieux
    Qu’on n’ose les approcher
    Tellement fragiles
    Qu’on n’ose les toucher
    Tellement parfait
    Qu’on n’ose y pénétrer

    Ose le désordre
    Ose l’imperfection
    Ose la différence

    Ose la liberté !

  17. Superbes photos de bonzaïs dont je suis « fan » ! je leurs trouve une grâce incroyable !

    L’ARBRE DE SAGESSE

    Il ressemble à la perfection,
    Il ressemble à un sage,
    Telle est mon impression,
    Sur cet arbre sans âge,
    Mon souhait serait d’atteindre,
    Un soupçon de sa perfection,
    Il faut donc apprendre,
    Et tous les jours j’essaie,
    De comprendre, d’analyser,
    La vie, ses bons et mauvais côtés,
    Et de ces méditations,
    Viendra peut être la Vérité,
    Qui guidera vers la perfection.

    Un poème que j’ai écrit voilà 10 ans.
    Je vous embrasse surtout Neyde, Bouldegom, Annick et Michel !

    Chère Ossiane, je t’embrasse et te félicite pour les deux ans de ton blog fort beau et inspirant !
    OLIVIER

  18. là, tu joues sur ma corde sensible amoureux des Bonsai, et des orchidées, en amour nature, je ne peux qu’ être subjugué . Je ne me lasse pas des photographies, qu’est que je voudrais avoir un pareil jardin

    Je t’embrasse

  19. Bonzaï et haïkus, le Japon est à la mode ! Rappelons quand même qu’un haïku est un poème en 3 vers de chacun 5 – 7 – 5 pieds et que ces poèmes sont une impression qui passe, la plupart du temps en rapport avec la nature, donc la saison. Très philosophique, le tien sur les bonzaï et joli celui de Pam !

  20. Ossiane,
    Trés belles images et le bruit de l’eau qui coule
    Et de trés beaux poèmes sont déposés,
    Le temps, lui seul est maître pour appaiser le chagrin.

  21. être en réduction
    ce petit arbre amputé
    a subi ta loi

    je connais quelqu’un qui a de très beaux bonzaïs mais cela me gène toujours quand je les regarde, quand je le regarde faire
    même si c’est une création patiente et que le résultat est beau

  22. toi … j’aurais aimé te créer, t’inventer…

    On se réalise plus ou moins à travers des mots,
    on ne devient tout à fait que ce qu’on a su écrire avec nos mots à nous…

    ainsi c’est vrai, il fut un temps où j’aurais aimé t’emporter sous mon aîle loin du regard des autres, te donner tout de moi, mettre mon empreinte sur ta vie… te créer chaque jour, t’inventer au grè de ma fantaisie…

    c’est trop grand ce monde…on était séparé depuis si longtemps,
    on a vécu si seuls, séparés, éparpillés parmi tous ces gens, perdus dans une grande forêt depuis l’aube des temps… il est tellement grand ce monde que nous aurions pu ne pas nous recontrer et puis nous aurions pu jamais nous reconnaître…

    j’aurais tant aimé prendre soin de toi, bien l’abri… estomper les contours imprécis, te donner la couleur de mon imaginaire, l’espace de nos vies…

    et nos mains tourmentent la surface liquide, et c’est nos coeurs malades comme des branches inutiles qui se brisent … et c’est nos vues qui se brouillent et ce sont nos jours insipides qui résistent et la pluie à l’intérieur si dense qui insiste, et une triste présence qui s’effeuille….

  23. rectif. Ossiane…
    et nos mains tourmentent la…
    et c’est une triste présence (à retirer à la fin du commentaire)…
    merci Ossiane, si tu as la possibilité de rectifier.

  24. …………………………………………

    >>>>> A tous:

    Journée chargée… Je n’ai pas réussi à dégager assez de temps pour faire mes commentaires. J’interviendrai sans doute demain sur cette même note. La journée sera plus calme. Nouvelle publication ce soir comme prévu. Amitiés à vous tous.

    …………………………………………

  25. Tous ces poètes m’intimident.. mais la poésie de tes images me touchent toujours autant! je suis heureuse de retrouver ton oeil! 😉
    Amicalement

  26. Hola Ossiane,

    Décidément, faut que je reprenne les bonnes habitudes… Je viens de passer un bon petit moment chez toi… Merci pour ce moment de détente et de tranquilité…

    Je t´embrasse!

    Alain

  27. … et mes mains auraient bien voulu emprisonner ton visage, retourner le sablier…
    mais mon regard par-dessus ton épaule se perd en un point du jour…

    j’aurais tant aimé recueillir ton image sur les petits miroirs qui frissonnent au bout de tes doigts…
    mais la lumière fait miroiter tant de facettes de toi que je m’y perds…

    mes mots déposeront peut-être une empreinte sur ta vie mais la sagesse c’est certain comme le cours de l’eau m’éloignera sans fin de toi…

  28. >amichel :
    Oui, j’ai trouvé cet article intéressant car j’y ai découvert le sens de toutes ces formes de bonsaîs que je ne connaissais pas non plus. Il est possible que les bonsaïs d’Anduze s’inspirent de cette palette de formes. Une belle inspiration pour le poème que tu as écrit. A chaque forme, l’expression d’un sentiment, d’un trait de caractère qui à eux tous symbolisent peut-être la complexité de l’être humain. Merci, c’est très réussi.

    >MioModus :
    Beau poème qui exprime beaucoup de choses sur la place de l’être humain. Je m’y retrouve tout à fait. Tu dois sans doute aimer les grands espaces et la nature. Merci.

    >Bouldegom :
    Le bois, les couleurs, l’eau, la matière, l’espace, le temps et bientôt l’infini peut-être. Une belle brochette de haïkus. Merci à toi.

    >fanou :
    Un beau poème émouvant à cause de ce parallèle entre la croissance harmonieuse du bonsaï et l’évolution d’un parcours humain qui atteint l’équilibre. C’est très positif.
    Autre idée intéressante ce rappel de la longévite du bonsaï. Calme et sagesse en découlent. Ta pensée Zen fait corps avec tes poèmes. Elle nous appelle à l’humilité. Merci pour toutes ces contributions qui enrichissent le cœur et l’esprit. Alors lâchons prise 😉

    >Pierre (2) :
    J’ai bien aimé ton poème plein d’élan qui part du réel. Tes mots s’enchaînent; on a l’impression de les voir couler comme l’eau de cette fontaine. A propos d’eau, j’ai mis une ambiance aquatique tout en bas de la note. Elle dure assez longtemps. Je trouve que ça peut aider à s’immerger dans un univers. J’aimerais faire ça plus souvent. Bises.

    >feu roméo :
    Spécimens très beaux à regarder mais pas faciles à entretenir;-)

    >Bonbonze :
    J’ai bien ri 😉

    >Pam :
    J’ai choisi ton poème car il exprime cette notion intéressante de souffrance qui peut choquer bien sûr puisqu’on fait tout pour empêcher l’arbre de grandir. Mais je ne pense pas que les japonais voient cette taille sous cet angle là. Nos cultures sont si différentes. Merci de participer.

    >Yves :
    Grand maître du haïku, ces poèmes sont le parfait reflet de toi et de ton style d’écriture. Voilà pourquoi je t’ai choisi 😉

    >Bernard :
    Tu commences très fort avec cet énoooOOOrme cri ;-)) Tu vas faire peur aux bonsaïs ;-))
    Quelle précision dans le choix de tes mots pour exprimer la forme symbolique du bonsaï ! Ces cataractes qui expriment le tourment et le côté sauvage dans ce corps comprimé sont superbes. Bravo à toi.

    >Maria-D :
    Petite sœur de Pam, je comprends ton point de vue 😉 Ton haïku torturé en témoigne. Le deuxième tout coloré est plus léger; il se libère de tes appréhensions. Pour ma part, j’arrive à m’abstraire de cette torture; je trouve de la beauté dans ces formes. Bises à toi.

    >Pierre (2) :
    Merci Pierre de rebondir sur cette souffrance pour la faire voir autrement. Cet élan de vie qui régit la planète se loge partout.
    Tu sais que tu pourrais faire un très bon commentateur de L’Oeil Ouvert 😉 Tu peux postuler si tu veux 😉 Merci pour tout, je t’embrasse.

    >François le jardinier fontainier de Marandon :
    Voilà que tu as rajouté un nouveau terme à ton état de jardinier. Ce sera quoi la prochaine fois 😉 Normal qu’il y ait des correspondances entre nos deux blogs puisqu’on y parle de nature. Je vais rattraper le retard que j’ai chez toi. Bises.

    >Neyde :
    Univers de la gueisha Cio-Cio-San et de sa triste fin. Ton poème est pathéthique car plein d’espoir pour la pauvre Madame Butterfly. De belles images de printemps et d’amour qui restera sans réponse. Merci pour l’originalité de ton poème. Je t’embrasse.
    Un petit lien sur cet opéra :
    http://fr.wikipedia.org/wiki/Madame_Butterfly

    >Judith :
    J’aimerais bien être habité par cette sagesse. La vie serait plus paisible 😉
    Je suis de tout cœur avec toi pour l’élevage de ces bonsaîs. La tendresse doit marcher mais la taille et la vaporisation aussi 😉 Faut surtout pas oublier. Bises et bon courage.

    >brigetoun :
    Tu évoques le cadre comprimé et artificiel de ces arbres. Hé oui, l’homme est passé par là avec sa manie de vouloir tout contrôler. J’aime bien ton image d’arbre savant. Merci Brigitte.

    >Maria-D :
    Jolie poésie pleine de sérénité. Le temps s’est arrêté, envie de se poser. J’aime bien les îlots de ton bassin du levant. Un beau paysage imaginaire. Merci beaucoup.

    >MTO :
    Superbe petit poème ! Belle idée ce manège aquatique. Dommage que tu sois arrivée si tard… Bon week-end !

    >Marco :
    Ce jardin aquatique te fait bien gamberger 😉 Dommage qu’il ne m’appartienne pas. Ce rouge est réellement saisissant. S’il n’était pas là, cette petite scène aurait une toute autre allure. Amusant ton plouf du samedi 😉 Il va falloir leur demander leur avis avant car la vie de poisson rouge est bien différente. Merci pour ta visite et à bientôt.

    >Nigra :
    Bien vu Nigra ce contraste entre perfection et désordre. J’ai l’impression d’entendre le sécateur tailler les bonsaïs à causse de tes sonorités sèches et tes mots courts. J’ai remarqué que ce sont surtout les femmes qui ont envie que la liberté reprenne un peu ses droits. Il doit bien y a voir une raison 😉 Continuons à oser. Bises.

    >Olivier :
    Je sais que ces thèmes te sensibilisent beaucoup. Merci de nous faire partager ce poème plus ancien. Tu avais donc déjà des prédispositions et une attirance pour l’écriture. Sage méditation qui conduit ta vie maintenant. Ne sois pas trop parfait tout de même sinon tu vas nous donner des complexes 😉 Bises chaleureuses, Olivier.

    >Bruno :
    Je ne te savais pas jardinier botaniste, Bruno 😉 J’espère que tu as la main verte avec ces plantes fragiles. La bise du vendredi.

    >Argoul :
    C’est vrai que ces cultures orientales interpellent beaucoup. La dureté d’une époque, la perte des utopies et des repères sont peut-être à l’origine de ce phénomène. Je ne suis pas une spécialiste du haïku mais j’ai lu ici ou là (voir les sites dédiés au haïku que j’ai en lien sur mon blog) qu’on peut prendre des libertés par rapport au 5-7-5. La nature est effectivement au cœur d’un haïku. Je ne sais pas si je respecte toujours très bien l’esprit de ces poèmes. Merci à toi.

    >Cristina M :
    Contente que tu me parles de mon ambiance aquatique. Je l’aime aussi et aimerais en utiliser davantage. Courage à toi, je t’embrasse chaleureusement.

    >Candide :
    Tu es la quatrième femme perturbée par cette taille 😉 Ton haïku est fort d’émotion. Merci de ton passage.

    >Sven :
    Que de choses autour de ces petits arbres. A partir de la forme de leur ramure, tu y projettes toute ta philosophie de la vie, tes rêves, tes désirs, tes espoirs de rencontre. C’est presque une calligraphie qui prend forme sous tes mots. Belle idée de mêler l’eau qui se brouille à ce tableau. Ton poème est bouleversant. Merci beaucoup, je t’embrasse.

    >Fugitive :
    Magnifique haïku coloré, très imagé et torsadé. Tes mots rigoureusement choisis évoquent bien ces ondulations du bois. Merci pour ta belle plume, Fugitive.

    >Christine :
    Bonjour Christine, contente de te voir réapparaître à la surface 😉 J’ai cru comprendre que tu avais eu de gros soucis de connection. Surtout, ne te laisse pas intimider et exprime-toi à ta façon. Bises.

    >Alain du Mexique :
    Hola amigo ! Je n’ai pas encore repris mes bonnes habitudes ; trop de choses en route de mon côté mais je ne t’oublie pas. J’espère que tu vas bien. Bises chaleureuses vers le Mexique.

    >Daniel :
    Voilà un cœur sensible au charme du bonsaï;-) Masculin cette fois 😉 Je te laisse à ta rêverie. Merci de ta visite.

  29. bisous OLivier, merci de tes mots!

    bisous à Pierre2, bonbonze, pam, yves…je nage dans vos mots…..

  30. Une chûte d’eau
    Une chûte de reins
    Je vous entends aimer mes petits bonzais
    Je vous regarde pousser mes petits amours
    Au fil du jour qui court l’amour
    Au fil de nuit qui fait l’amour

  31. >Michel:
    Si tu as l’occasion, je te conseille vivement car c’est très dépaysant. On se croirait presque à l’autre bout du monde;-) Merci de ton passage.

  32. J’ai eu plaisir à découvrir ce site au hasard d’une balade sur internet …
    Bien tard semble-t-il, Ossiane, pour laisser ma plume courir au gré du vent léger de ce jardin de mots …
    Délicat bonzaï, tes maux à toi nous offrent tellement de poésie !

  33. je suis très émue, Olivier, de relire tes mots de Mars 2007…
    je suis profondément émue que tu ne sois plus…

  34. bonjour Monika,

    ossiane ne m’en voudra pas de laisser un petit mot de bienvenu.

    il n’est jamais trop tard….et les plumes continuent à se poser même s’il est vrai que certaines périodes furent d’une émulation incroyable. avec des personnes d’un talent inouï

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