Parure

Villa Olmo

Lumière d'ocre, tu inondes mes parois, fenêtres d'azur

Lecture du Haïku Calligramme: droite, gauche, centre.

Lumière d’ocre
Tu inondes mes parois
Fenêtres d’azur

Fanou et Bernard se sont emparés avec émotion de ce palais d’ocre. Beaucoup de souffle dans leurs mots.

Ocre chair de terre, ma blonde pierre éveillée de regards bleus,
« Ouvre à mes désirs des cieux d’airs purs et d’infinies rencontres,
Chante aux arbres millénaires l’éclat de l’orbe sacré,
Offre aux ombres vertes aux fraîches frondaisons
L’apaisement d’une harmonie savante ».

Hier,
Aux marches du palais,
Nous dormirions ensemble.

Bernard

Mon nid est un palais,
d’où je refais le monde en rêve
bien au sec sous les étais
d’un toit de tuiles qui se soulèvent.

Lorsque le mistral trop violent
me ramènent les rires, les humeurs,
les échos d’un songe d’enfant,
leurs espoirs d’un monde meilleur.

Ma seule fenêtre est grande ouverte
où l’aurore inonde sa féerie,
je régne au dessus de la nature si verte!
les murs se parent de couleurs d’orfévrerie.

Mon domaine s’étend sur l’horizon,
je suis riche d’espace libre,
les oiseaux sont parfois polissons
ils survolent ma pitance et mes livres.

Ils sont ma joie, les amis de solitude,
s’étonnent parfois de mes guenilles
je me console de leur sollicitude
il n’est d’yeux qui se dessillent!…

Je suis leur reine sans palais!!!
c’est dans un chant d’amour que je vais « gouverner »
pour cette nature qu’il faut protèger!!!

Fanou

Photo de l’arrière de la villa Olmo à Côme.

55 réflexions sur « Parure »

  1. Mon nid est un palais,
    d’où je refais le monde en rêve
    bien au sec sous les étais
    d’un toit de tuiles qui se soulèvent.

    Lorsque le mistral trop violent
    me ramènent les rires, les humeurs,
    les échos d’un songe d’enfant,
    l’espoir d’un monde meilleur.

    Ma seule fenêtre est grande ouverte
    où l’aurore inonde sa féerie,
    je régne au dessus de la nature si verte!
    les murs se parent de couleurs d’orfévrerie.

    Mon domaine s’étend sur l’horizon,
    je suis riche d’espace libre,
    les oiseaux sont parfois polissons
    ils survolent ma pitance et mes livres.

    Ils sont ma joie, les amis de solitude,
    s’étonnent parfois de mes guenilles
    je me console de leur sollicitude
    il n’est d’yeux qui se dessillent!…

    Je suis leur reine sans palais!!!
    c’est dans un chant d’amour que je vais « gouverner »
    pour cette nature qu’il faut protèger!!!

  2. Ocre chair de terre, ma blonde pierre éveillée de regards bleus,
    « Ouvre à mes désirs des cieux d’airs purs et d’infinies rencontres,
    Chante aux arbres millénaires l’éclat de l’orbe sacré,
    Offre aux ombres vertes aux fraîches frondaisons
    L’apaisement d’une harmonie savante ».

    Hier,
    Aux marches du palais,
    Nous dormirions ensemble.

  3. Calligramme et Haïku magnifiques
    Je t’embrasse Ossiane
    ____

    Fresque murale
    Vestige d’un autre temps
    Jaune de Naples

  4. Un petit coffret à joyaux
    Une pièce pour le musicien
    Qui compose le rythme
    Du temps délicat
    Une autre pour le modèle
    En Nature qui se pose
    Sur le chevalet de couleurs
    Et encore cette plume
    Aimante du monde
    Qui nage la page blanche
    La couturière crée une robe
    Façonnée aux odeurs de l’été
    Qui sera porté aux nues
    Des pièces et des pièces de vie
    Qui se vivent pleine vie
    Pour la donner à d’autres

  5. Nigra,
    j aime beaucoup relire les mots de Jacques Brel qui diling mon tit coeur.
    J’adore….les murmures du coeur inventés jamais dits juste doucement inventés dans la beauté de l instant avec l’aimé’e’….

  6. Sous l’ocre des lumières
    surgit Oh sagesse en sanguine nature
    Emerge ta beauté de tes rayons lumineux.

    Je ne m’en lasse pas de ce petit coin de paradis !!

    Bises Ossiane

  7. Magnifique Fanou et Bernard, j avais adoré à la lecture.. c’est fort tendre et délicat, et aérien, féérique, une bise d’un souffle beau..

    Palais
    Tu me fais tienne
    Je te fais mienne
    Parure

  8. Ton calligramme du jour m’emmène à Venise

    Un palais vénitien
    Un rêve de lagune
    Se lève dans la brume
    Des maques vénitiens

    Un bal s’annonce
    Costumes et parures
    Au palais du vieux doge
    La fête bât son train

    Dans ce palais antique
    Courant sous les portiques
    Des couples roucoulent
    Sous des jeux de masques

    Venise dorée
    Venise poudrée
    Venise grimée
    Venise adorée

  9. Ça donne envie de
    Faire les bagages
    Et de s’envoler
    Vers ce lac magnifique
    Mais le plus merveilleux
    C’est que l’on pas besoin
    Ni de bagages, ni de s’envoler
    Pour ce pays de belles poèsies,
    De Bernard et Fanou et de tous.

  10. Bernard
    Fanou
    parmi nous
    Les deux
    et un palais mystérieux:
    Mille fenêtres
    aucune porte.
    Bravo à vous.
    Vous avez dévoilé le palais!
    Bises

  11. hors sujet ..(pardon ossiane )

    Ogre trouverait son étymologie dans hongrois

    Ténèbres d’ogre
    Tu inondes les François
    Visions d’obscur

  12. Feu
    Au palais de l’Elysée
    Feu
    Au palais d’hiver
    Or
    A tous les étages
    Or
    Qui défie le ciel
    Parure
    D’incendies
    Parure
    Orgueilleuse
    Ocre
    Sang de la terre
    Ocre
    Cri des moissons
    Lumières
    Qui dorment dans la pierre
    Lumières
    Qui rient dans l’ombre
    Fenêtres
    Rets pour le jour
    Fenêtres
    Sans regards

  13. poésie clandestine

    m’as-tu entendue
    mes pas sur la terre nue
    dans les ruelles embrasées
    sans mystère pour le soleil

    m’as-tu entendue
    les pans de ma burka
    couleur de bleu des sables
    frôlant le pied des murailles

    m’as-tu entendue
    l’air frais des moucharabiehs
    où filtre le silence ténu
    de nos langages muets

    m’as-tu entendue
    la fenêtre à jalousie
    inondant notre chambre
    où tes pensées s’envolent

    m’as-tu entendue
    j’ai écouté les murmures
    j’ai deviné les craintes
    j’ai perçu les douleurs

    ouvre-moi je suis là
    notre prison est un palais
    où nos voix s’apprivoisent
    enfin nos mains se touchent

    berce-moi je suis là
    des misères faire un courage
    de nos pleurs faire un cantique
    de nos mots faire un poème

  14. bonsoir les amis,

    une grand merci pour vos impressions,et à toi Ossiane pour tes choix.
    je suis touchée….en plein vol! javais du mal à sortir des élections, et je vous ai fait partager mes univers. ceux qui me permettent de supporter les « n’importes quoi ». de ce monde.
    ici, au salon, nous le refaisons chaque jour , à coups de mots, d’échange d’amitiè, d’amour…. et si c’était çà la solution?
    aller dire çà aux hommes de la politique !
    j’ai fait deux rectificatifs au texte que j’ai écrit une fois de + trop vite!
    il faut lire:
    lorsque le mistral trop violent
    me ramène les rires, les humeurs,
    les échos d’un songe d’enfant,
    l’espoir d’un monde meilleur.
    bonsoir au salon, et tendresse à vous tousssssssss

  15. Merci Ossiane de m’ouvrir ta porte
    en compagnie de Cendrillon, qui nous offre un poème si naturel!
    Et je vois qu’elle est accompagnée de charmantes princesses…Merci Annick, Neyde et Maria!

  16. Je découvre ce soir votre blog. Il me fait un bien fou. Comme vous pouvez le lire sur mon blog de ce jour j’avais l’intention ce soir de prendre un bouquin afin de m’évader de ce monde de l’argent, de la finance et autres qui font la fête… Par hasard je tombe sur votre blog et là je m’évade en liant la poésie à la photo…. tout un programme et pourtant… en effet cela fait des années que mes photos sont interpretées par des poètes lors de mes expos. Je débute une nlle exposition à Paris et ce serait avec une grande joie de vous inviter ce jeudi 10 mai au vernissage de celle-ci. VIve la Phoésie ( association PhotoPoésie que je suis entrain de créer ) et encore Merci, ma soirée est sauvée

  17. Dans ce palais,
    Je me suis perdu,
    A la recherche de ma Princesse,
    Elle avait quitté les lieux,
    Je me suis installé devant un bureau,
    J’ai griffonné quelques mots,
    De tristesse, de solitude,
    Et d’amour,
    J’ai franchi les portes,
    Pour continuer ma quête…

    Bisous Ossiane et à vous tous,
    OLIVIER

  18. correction
    ………………………

    à la place de:

    « dans la ruelle ensoleillée
    sans mystère pour le soleil »

    ………………………

    lire:

    « dans les ruelles embrasées
    sans mystère pour le soleil »

    ………………………..

  19. >>>>>A tous :
    J’ai du mal à trouver du temps pour vous répondre car j’ai des choses urgentes à boucler. Je serai plus rapide dans mes commentaires.

    >Fanou et Bernard :
    J’ai bien aimé vos poèmes ; vous n’avez pas eu peur de vous moiller dans toute cette ocre qui fait remonter des choses en surface. Bien à vous deux.
    Fanou, j’ai corrigé ton poème. Bises.

    >Pierre (2) :
    Jolie idée ce joyau ; il est vrai que ce sont de villas comme on voit pas très souvent. Bises.

    >Maria-D :
    J’aime beaucoup tes trois poèmes qui évoquent des temps anciens, la magie de Venise et bien sûr les couelurs si chaudes de la méditerranée. Belle plume tu as, Maria. Je t’embrasse.

    >Pam :
    Miam, miam 😉 Un peu pimbêche cette villa 😉 Ton association d’idée est amusante 😉 Merci chère Pam, bonne journée.

    >nigra :
    Je crois comprendre, Nigra, merci à toi.

    >Annick :
    Ton poème est très réussi avec ce chevalet, cette robe et cette évocation de la musique; il me rappelle l’ambiance du film Meurtre dans un jardin anglais de Peter Greenaway. Merci Annick, je t’embrasse.

    >Feu roméo :
    Je crois voir à quoi tu fais allusion pour ton premier poème 😉 Merci à toi.

    >Bruno :
    Beau poème, Bruno qui te change de la prose poétique que as l’habitude d’utiliser 😉 J’ai du mal à quitter ce coin aussi 😉 Bises.

    >Cristina :
    Toujours tes pensées adorables qui viennent de si loin et qui nous touchent, Cristina. Je t’embrasse.

    >amichel :
    Tu es tout à fait pardonné, je suis sur la même longueur d’ondes que toi 😉 Ton passage sur l’ocre est magnifique dans son symbolisme par rapport à l’or de l’apparat. Fais attention à la sortie 😉 Je t’embrasse.

    >bouldegom :
    Ton premier poème est magnifique, bouldegom. Superbe poésie clandestine dans l’univers du sable. Tes haïkus respirent l’espoir. Et ce texte de Nougaro que tu as bien fait de faire remonter à la surface. J’ai corrigé ton poème. Belle après-midi.

    > Boutillot-cauquil :
    Si j’avais su que mon blog pouvait être bienfaisant, je l’aurais commencé plus tôt 😉 Bonjour Denis, je vous remercie pour ces impressions qui me font très plaisir. Le rêve, l’imaginaire, l’humour, la poésie, la création sont des petite bulles d’espérance et de bonheur à saisir quand ils sont à portée de main pour s’évader. Mots et images font un bon duo car ils expriment tous les deux des émotions qui sont d’autant plus fortes lorsqu’elles sont conjuguées. Dès que j’ai un peu de temps, j’irai vous rendre visite. Très touchée par votre invitation à laquelle je me serai rendue avec plaisir mais malheureusement, je ne vis pas à Paris. Vous êtes le bienvenu sur le blog, au plaisir de vous revoir ici.

    >brigetoun :
    Hé oui, Brigitte, ce palais est bien campé sur ses fondations dans ce petit trou de verdure. Merci pour le bel haïku.

    >Olivier :
    Beau poème Olivier plein de la sensibilité qui te caractérise. Belle quête à continuer sans relâche ; je t’embrasse.

  20. S’explose un bouquet de fleurs
    En plein dans le mille
    Et dégouline l’opaline
    Tandis que s’échappe le bonheur
    Le ventre de la maison git ouvert
    Et l’oeil de passage se sert
    Il y a tant à voir l’univers
    Tant de mystères que la vie fait faire
    Et le pied marche la pierre devenue sable
    Le même qui construisit ce palais
    Le panier se remplit des années
    Et la vie encore une fois écrit sa fable

  21. Certains jours
    Le souvenir est trop fort

    Certains jours
    On n’est paré à rien

    Certains jours
    Tout tourne mal

    Certains jours
    Sont si gris…

    Certains jours
    Les fidèles se manifestent

    Certains jours
    Un rayon de soleil inattendu se dévoile

    Certains jours…

    Force toi à sourire
    Les étoiles ne disparaissent
    Jamais …

  22. Je hais les jours de longue absence
    et puis ceux là qui nous foudroient

    Il y a des jours sans espérance
    de tristes jours comme une croix

    J’aime les jours de connivence
    au point du jour
    au jour le jour

  23. >Annick:
    Tu ouvres les fenêtres et laisse échapper tes mots colorés avec plénitude et bonheur. Ca explose de partout, c’est riche, c’est gai, c’est la vie. Ton moral est au plus haut ce soir;-) Je t’embrasse.

    >Nigra:
    Superbe encore une fois! Simple, beau et fort. J’aime la façon dont tu déroules tes idées noires et ton approche très construite qui aboutit à la lumière d’un sourire, à la beauté de la vie. Bravo à toi.

    >feu roméo:
    C’est beau aussi Roméo! Cette ocre en vient à évoquer des choses sombres mais toujours avec la petite lueur d’espérance qui donne envie de continuer. Finalement, vous trouvez plein de choses à dire autour de ce palais alors que je doutais de mon choix au départ. Merci pour ta sensibilité.

  24. .
    __________________________________________________________________

    >>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>> A tous:
    .
    Je n’ai pas réussi à dégager de temps pour réaliser la note que je prévoyais de publier ce soir. Je vais devoir la reporter à demain. Je dois boucler un projet en urgence. J’ai encore de longues heures de travail devant moi cette nuit.
    .
    Merci à vous d’être là si fidèles. Amitiés.

    Ossiane

    .
    __________________________________________________________________
    .

  25. Olivier,

    Ta princesse est là, sûrement !
    Là, Trop prêt pour la voir,
    Trop loin pour l’imaginer
    Trop seule, pour la discerner dans la foule.

    SEUL ton cœur te guidera vers elle
    Tes yeux pour l’exhaler
    Ton sourire pour la convaincre
    Ton inconnaissance pour la faire renaître.

    Notre princesse est celle que l’on regarde avec le cœur…
    Et si elle ressemblait à Cendrillon ! (Relire la note de Bernard !)
    Il suffit de laisser sa porte ouverte (ou d’en confier la clef !) (Plus efficace dans ce monde de ouf…)
    Et surtout d’ouvrir grand la fenêtre pour y faire pénétrer la lumière…une princesse en a grand besoin …

    (Je ne te garantie pas le résultat de cette recette, mais j’espère au moins que ton sourire s’est affiché sur ton visage…)
    Bonne journée à vous tous,

  26. Parure

    Ici, dans cette villa éclairée par Ossiane
    Des vers fusent de diverses ramures
    De grands coeurs se cachent derrière ces armures
    Qu’il fait bon se balancer à toutes ces lianes.

    Donner aux autres, faire rêver : telle est la devise
    Ecrire pour le plaisir, Ecrire pour faire plaisir
    Ecrire pour partager nos douleurs, nos joies : c’est notre élixir !
    Ecrire l’amour, écrire la passion, sur le papier, cette bise.

    Chacun trouve ses mots, chacun trouve sa place
    Chacun son style, moderne ou d’antan, passionné(e) ou las(se)
    Chacun ajoutant son bijou à cette magnifique parure
    Merci Ossiane, merci à vous, je vous quitte mais je reviendrai, c’est sûr !

    Chris

  27. le bonjour en passant, je vous relirai en toute tranquillité, dans l’après midi, je vous emmène en ballade en campagne…bises.

  28. votre passage comme une plume m’ a beaucoup plu,mais apres vous le l’ avoir dit ,j’ ai oublié de signer le nom sansdoute.Bonne promenade et peut être donnerez vous de vos nouvelles ?Elles seront les bien venues.
    Donc a bientôt? Noisette.

  29. Bon voyage Chris sur votre sentier d’écriture
    nos mots voleront vers vous
    et les votre un jour nous reviendront
    Merci

  30. grands fonds

    couchées sur les galets
    les balustres du vaisseau
    laissent échapper les bulles
    des chants
    modulés par les vagues

    enlisée dans les sables
    l’armature des diadèmes
    laisse voir les traces
    des pierres
    érodées par les vagues

    englouties par les eaux
    les barreaux des prisons
    laissent entrer les couleurs
    de l’azur
    détrempé par les vagues

    extirpés des grands fonds
    les vestiges du temps
    laissent entendre les remous
    de la terre
    submergée par les vagues

    hissés à la surface
    les palais de mes rêves
    laissent résonner les voix
    des bardes
    emportés par le vent

    enchantés par le ciel
    les contes et légendes
    laissent dire les mystères
    des hommes
    égarés dans l’espace

  31. >MTO:
    Pêché de gourmandise, MTO;-) Ce palais se transforme en un rêve de sucre coloré. Tu as l’air de bien connaître le vacherin mandarine;-) Merci pour ton humour.

    >Fanou:
    Olivier sera touché par tes mots.

    >Bouldegom:
    Magnifiques poèmes plein d’élan et de souffle. Tu as créé un superbe univers proche du rêve intérieur autour de ce vaisseau échoué. Bravo à toi.

    >Chris:
    Merci de ta gentillesse et de tes mots, Chris. Tu ne peux pas me faire plus plaisir en me disant que tu reçois ces images de cette façon.
    Images qui vous donnent matière à rêver, à imaginer et écrire. C’est un très beau cadeau que vous me faites à chaque fois et qui me donne toujours envie de continuer. Bon voyage à toi et reviens-nous vite!

    >Annick:
    Bonne balade, Annick.

    >Noisette:
    Je vais bien malgré ma nuit courte et je m’en vais préparer ma nouvelle note. Bien à vous.

    >Maria-D:
    Bisous Maria; il est temps que je publie une nouvelle note car mon palais est train de fondre sous le sucre et vos papilles gourmandes;-)

  32. je m en prendrai bien une belle tranche ..
    du palais des amours..en palais tendre…..
    alors je m’en prends une bonne tranche …

    je souhaite ta journée pas trop chargée et ton sommeil plus long ce soir, Ossiane, prends soin de toi. BIses.

  33. Après tout, je vais peut-être rester
    Car ici, tout le monde prend soin de ces pensées
    Parfois, il est dur de garder l’oeil ouvert
    Ce monde, maintenant plongé à l’envers
    D’un élan, je me remet alors à écrire
    Juste quelques mots, pour vous dire
    Avec ma touche musicale si caractéristique
    Mon accord à moi, c’est la douceur
    Si je puis apaiser quelque peu votre douleur
    J’en serais ravi. Vous êtes dans la confidence.

    Chris

  34. j’aime toujours autant
    passer ici
    me laisser porter par
    les formes des mots
    du rendu des photos
    faut, pourtant,
    se frayer un passage au milieu de tous les
    commentaires.
    l’affluence ne nuit pas
    elle témoigne de l’attachement
    à la qualité
    d’ici.

    biZ.

    Laurent

  35. La façade se farde et parade
    Avec un peu de poudre aux yeux
    Elle se fait belle et le veux
    Et surgit tout feu dehors
    Puissante et fière.
    Tandis que sous les arbres
    Des enfants jouent et rient
    Ou qu’au temple de l’Amour
    Se nouent des serments en secret.
    Un théâtre, vous dis-je.
    Amadeus, à l’affiche, ce soir.

  36. >Annick :
    Merci de ton conseil mais je ne vais pas si mal que ça malgré ma plongée dans le sommeil vers 5h du matin. Je suis contente, j’ai bouclé ce que j’avais à faire. Tu as droit à deux tranches, gourmande 😉

    >Chris :
    Il ne faut pas grand-chose pour te dissuader de partir 😉 Un très bon accord la douceur qui permet de prendre les choses avec philosophie. Merci Chris d’être là.

    >Maria-D :
    Tu as bien choisi ton heure pour écrire ce haïku 😉 Comme Annick, tu as droit à deux parts 😉
    Bises.

    >Immemory :
    Bonsoir Laurent, tes mots me touchent et je pense que la qualité photographique et humaine de ton blog exercent également une grande attirance. Les gens vont et viennent comme ils veulent, déposent leurs mots librement par pur plaisir d’écrire, de découvrir, de partager. Bonne fin de soirée. Je t’embrasse.

    >Pierre (2) de Loire 😉
    Superbe poème qui intègre les éléments et les secrets avoués de ce jardin. Théâtre en parure d’ocre pour un fabuleux programme musical. Quels beaux concerts on pourrait organiser en ce lieu. Merci Pierre, je t’embrasse.

  37. Et PASOLINI poète de dire :
    « …Ah! Non posso
    neanche pronunciaire questa parola della passioni… »
    « …Ah! je ne peux même pas prononcer ce mot des passions… »

    significatives craintes
    doutes
    et la haine et la gloire
    plus cruelles et mortelles que le désir même
    la médiation du vivant
    confrontée à l’expérience de l’absolu
    nul refuge
    nulle halte
    harcelé de lui même
    Pocolo PASOLINI
    je ne peux prononcer ce mot des passions
    signification
    d’un signe
    bleuté d’espaces rectilignes
    « prendre d’assauts …Les poursuites brèves
    tentations d’eaux
    dans les coulisses de l’espérance…

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