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– Le Journal de Voyage:
Pas de faits notables à signaler ce mois-ci. Une petite croisière tranquille avec un équipage hors pair, de plus en plus expérimenté et soudé. Ah si, j’avais oublié … une petite fantaisie … nous avons décidé de nous lancer tous ensemble dans un jeu de damier poétique que je vais publier très prochainement … et si vous aimez, j’ai ma petite idée pour la suite … ce sera à vous de me dire si on continue ou pas …
Bienvenue à lusyamcoga; à Jo. S, à Balmolok, à Jean avec sa belle poésie ainsi qu’aux nombreux copains et copines de Bernard ! Clin d’oeil à Annemarie, Phil, Candide, Jane, Nigra, Johal, Emma et Raphaëlle, Fauki, Gérard et Pierre 1 qui sont revenus nous faire un signe sur le blog.
– Articulation du Voyage: Sortir du noir, regarder vers le ciel lumineux à l’intérieur du sombre PIGEONNIER. Les lumières subtiles d’une CLAIRIERE à traverser pour aboutir au ¤ SIECLE DES LUMIERES ¤ face au château. Les lignes verticales des statues et des arbres en reflets appellent la multitude de lignes enchevêtrées des CHAISES. Le fractionnement se poursuit avec les pierres suspendues du – – -GUE- – – puis avec de nouvelles PISTES ouvertes. C’est signe qu’on va changer d’univers. Les grains multicolores s’enchaînent avec les grains de c éréales du ˜˜ CHAMP ˜˜. Puis, une descente à pleine === PENTE ?s°øó8°¿¿¿ et nous voilà dans un autre champ d’herbes mordorées. Nouvelles cabrioles à venir, on relève la tête et voici que s’offre à nous un champ de blé qui nous conduit en roulé boulé jusqu’à une ==C=L=O=T=U=R=E==. Une fois la clôture franchie, il faut suivre les chemins à flanc de coteau jusqu’au /// VIGNERON /// qui s’occupe ardemment de sa vigne. Toujours à travers champs, s’ensuit une ~~C~O~U~R~S~E~~~ poursuite avec les balles de paille. Des traces sinueuses s’inscrivent dans les blés coupés. Il faut suivre le circuit et faire une PIRØUETTE. Ce parcours est très sportif, j’avais oublié de le préciser au début et de vous dire d’amener vos chaussures de randonnée virtuelles;-) Enfin pour finir, je vous offre un grand vol plané sans parachute au-dessus de la terre cultivée et FÉCONDE. J’espère que vous continuez à me suivre et que vous n’avez pas abandonné en cours de route 😉
A Monique de s’envoler en poésie par monts et par vaux ce mois-ci !
Les Quatre Saisons de Vivaldi sont à savourer encore et encore.
De Saisons en saisons
Oubliant la grisaille de l’automne,
Prenons notre envol en haut du PIGEONNIER
Vers la Champagne radieuse,
Détour faisant en Normandie,
Laissant dans la CLAIRIERE, le vieux manoir
Dans la fraîcheur des sous-bois,
Aux souvenirs « DES SIECLES DES LUMIERES ».
Les CHAISES empilées,
Attendront le retour du printemps
Et c’est à GUE que nous nous rendrons,
Sur les PISTES de la sagesse,
Où le GRAIN de la terre
A laissé à travers CHAMPS
Les empreintes de lumière
Couleur miel et caramel,
Sur les PENTES de Champagne
Entre CLOTURES et vignobles
Dans les sillons du VIGNERON
Sur les prairies fauchées,
Dans une COURSE folle
A travers les balles de foin,
Nous garderons la mémoire de l’été
« Dernière ligne droite » dans la belle saison,
Quelques PIROUETTES et puis s’en vont,
Laissant la terre aimée
Sous la caresse du vent
En promesses FECONDES
Pour le printemps à venir.