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Le Journal de Voyage:
– La Galerie des Passagers a vu le jour ce mois-ci pour permettre aux visiteurs de mieux faire connaissance. Elle comporte une petite dizaine de portraits de visiteurs et peut être à tout moment complétée si on m’en fait la demande par email.
– Je souhaite la bienvenue aux petits nouveaux: Max. Haddon, Anne V., Rachel et Véronique.
– Un problème de vigilance exagérée qui encourage la délation avec l’ajout de la mention « Alerter » en bas de chaque note et commentaire. Le mouvement de résistance continue sur d’autres blogs afin qu’on revienne au mode plus raisonnable d’alerte original.
– Articulation du Voyage: Après les bulles de la fête, les bulles de la glace dans l’eau. L’eau nous mène au bord de la mer avec le pêcheur. Qui dit pêcheur dit poisson, puis on remonte à la surface de l’eau avec les algues qu’on retrouve accrochées sur les pieux. Le regard s’élève pour aller à la rencontre de quatre silhouettes à l’horizon. De quatre on passe à une, celle du marcheur puis à deux, celles de l’enfant et du père. Le père nous mène tout naturellement vers l’enfant et plus particulièrement trois petites filles téméraires et volontaires. Le château de sable conduit la dernière fillette à faire un voeu. Son rêve se concrétise sous la forme d’un vrai château. Un ciel sombre au-dessus de la surface du lac nous conduit à pencher notre regard vers le miroir d’eau nocturne.
◊ A Neyde du Brésil de jouer maintenant !
CARAVANE de rêves
Affrontant les trêves.
Poète solitaire
À l’air austère,
PÊCHEUR d’illusions
Prend le POISSON–Papillon
Qui glisse à la lumière
Sur la SURFACE de l’eau.
Son âme sourit
Son âme gémit
En INTERVALLES
Des hauts et des bas.
Tout d’un coup
Silence partout
Silence de la brume
Silence du ciel
SILENCES …
Rien ne bouge,
ni le vent, ni les ondes
Silence profond
Et seulement le MARCHEUR
Regarde le bonheur
D’un PÈRE et son ENFANT
Ensemble bâtissant
La CONSTRUCTION en sable,
Près de l’eau, peu durable.
Il faut construire sur la pierre …
Personne ne le voit, mais
dans son coeur, le père
Grave le VOEU de ne pas faire
CHATEAU en Espagne
Pour son enfant
Et en rêvant
Il ferme les yeux
Et sa pensée
Monte aux cieux
Gagne l’infini
En toute vitesse,
En douce MÉLODIE
De paternelle tendresse.
Chère Neyde,
Voilà un bien bel hommage que t’offre Ossiane !
Ton poème me laisse rêveur…
Je t’embrasse ma Brésilienne adorée,
et toi aussi chère Ossiane,
OLIVIER
Merveilleux enchainement de mots dans ce poème Neyde, où tout en silences, tout en tendresse tu nous fais revivre ces moments de bonheur sur les chemins parcourus ensemble au cours du premier mois de cette nouvelle année. Merci et félicitations du fond du coeur.
Bises et pensées tendres pour toi Neyde
>NEYDE
La chaleur de ton grand pays se sent dans tes mots qui nous stimulent.
« Orden y progresso », c’est bien ça et c’est plus à la fois, nous avançons dans
ce lacis et telle une liane tu nous enveloppe de cette douce méloppée
sans onomatopée. Ce n’est pas rien que de pouvoir comme celà embrasser
un mois de rencontres, de chassers- croisés, de phrases échangées, d’impressions révélées, ta façonde est certaine, ta pésence agréable.
Merci de cette somme qui évoque et rappelle, attire et cristallise.
Je me rapprocherai de toi bientôt en allant vers l’équateur guyanais.
Belle suite proposée par Ossiane, où nous découvrons apès coup le fil conducteur qui se dévoile, belle année qui commence bien, merci encore .
DE CARAVANE A MELODIE
Caravane qui aboie
Sous les pas du pêcheur
Quand surgit le poisson volant
Pour enluminer la surface aigre
Et libérer les intervalles des silences
La marcheur devient père
A la naissance de l’enfant
Au moment où construction et voeu
Coulent comme château en espagne
Et que resplendit la mélodie
sorry, il y a une faute, c’est mieux comme cela a priori:
Caravane qui aboie
Sous les pas du pêcheur
Quand surgit le poisson volant
Pour enluminer la surface aigre
Et libérer les intervalles des silences
Le marcheur devient père
A la naissance de l’enfant
Quand construction et voeu
Coulent comme château en espagne
Et que resplendit la mélodie
Attention Ossiane !
Les liens ne fonctionnent pas 🙁
>Egatop:
Bonsoir, j’ai testé, tout marche pour moi. De quels liens parles-tu?
sur les images du sommaire…
>Egatop:
Merci de ton alerte. Ca fonctionne maintenant sur cette page de commentaires alors que ça marchait sur la page d’accueil d’ou mon incompréhension. Bonne soirée à toi.
Olivier
Monique
Maria-D
Thierry
merci de vos mots
Ils me touchent le coeur.
Si loin dans le space,
si proche dans les sentiments.
gmc
j’aime tes mots qui enchainent les mots d’Ossiane.
Thierry
Même l’équateur guyanais est très. très loin de chez moi – São Paulo.
Mais, je vais regarder là haut, vers le nord pour essayer de te voir!
Pour vous bisous du carnaval
Neyde