Lecture du Haïku Calligramme: bas, haut
Chute d’un soleil
la trace d’un sillage
le fil de l’exil
L'Oeil Ouvert : photo et poésie
Haïkus et calligrammes, rêverie sur le monde… le voyage imaginaire d'Ossiane
Lecture du Haïku Calligramme: bas, haut
Chute d’un soleil
la trace d’un sillage
le fil de l’exil
Lecture du Haïku Calligramme: gauche, droite, centre, haut
La proie des flammes
une brûlure dévorante
le coeur consumé
◊ Depuis les hauteurs du village de Sant’Antonino en Balagne. Voir la Carte de Corse …
Lecture du Haïku Calligramme: centre, haut, bas
Caresse de soleil
lumière du silence
une femme endormie
◊ Orléans, face à la cathédrale …
« La Pensive » du sculpteur Volti (1985)
« Amoureux de la femme, toute son oeuvre forme un chant à la gloire du corps féminin, courbes et rondeurs sont pour lui les images même de l’art et de la vie. Jamais de mièvrerie dans les sculptures de Volti qui traite le corps de la femme en recherchant davantage force et vérité que grâce facile et élégance légère. »
« La sculpture est un témoignage. Il s’agit de prendre une matière et de lui faire exprimer quelque chose d’émouvant pour le coeur, la chair et l’esprit. » citation de Volti.
Lecture du Haïku Calligramme: haut, bas
Le coeur qui bat
dans l’ombre des lumières
le rouge et le noir
◊ Les quais de la Loire à Orléans…
◊ « La Guitare classique », le poème qu’Alain a écrit sur la note « Amoureux » et que son ami Jean-Marie Djibedjan a mis en musique et vous interprète. Cliquez ici pour lire son poème en même temps.
Lecture du Haïku Calligramme: centre, bas, haut, centre
L’onde des doutes
en friselis de vagues
la houle des regrets
◊ La Loire à Orléans
Lecture du Haïku Calligramme: horizontle, triangle, cercle
L’eau, l’air, le feu
la trinité des oiseaux
l’oeil en lumière
◊ Il y a trois ans, L’Oeil Ouvert ouvrait doucement sa paupière… une belle aventure émouvante pour moi qui prends toujours autant de plaisir à photographier, créer mes calligrammes, écrire et partager. Les visiteurs toujours plus nombreux dépassent les 500000 par mois et le blog compte 30000 commentaires déposés. C’est un vrai challenge que de répondre au courrier, aux commentaires et de faire vivre le site sur le long terme. Je remercie du fond du coeur la fidèle tribu de poètes qui vient écrire, lire, rencontrer, échanger avec toujours autant d’enthousiasme depuis le début. De forts liens d’amitié et d’estime se sont tissés entre nous. J’ouvre bien sûr la porte à ceux qui n’osent pas, à ceux qui ont malgré tout l’envie de s’exprimer sur cet espace d’écriture bien vivant.
Lecture du Haïku Calligramme: de bas en haut
Au bord de la nuit
théâtre de lumières
la mémoire d’un jour
Lecture du Haïku Calligramme: centre, droite, centre
L’arc des songes
la caresse du soleil
le temps suspendu
◊ Atmosphères du château d’Azay-le-Rideau.
Lecture du Haïku Calligramme: bas, haut, bas
Lumières de vitrail
mosaïque de miroirs
transparences
◊ Lumières dans le château d’Azay-le-Rideau
Lecture du Haïku Calligramme: de haut en bas
Suivre le fil
ruminations paisibles
songe dans le pré
◊ Le silence … un instant bucolique, simple, paisible, authentique de nos campagnes, loin de la foule, des embouteillages, des gaz d’échappement, de la viande en barquette et de la technologie … Claudie, Monique, Brigetoun, Tay et Marc l’ont merveilleusement bien transcrit en poésie
Dans l’enclos scellé
L’heure de la tétée
La vache et son bébé
Douceur partagée
Le temps en arrêt
Un instantané de beauté
Le bonheur est dans le pré
En ombreschinoises…………………………………………………….
Maman et bébé au pré………………………………………………….
Le repas du soir…………………………………………………………
……………………………………………………..Tendresse animale
…………………………………………………..Dans une semi liberté
……………………………………………………… Douce protection
Diner aux chandelles…………………………………………………….
Dans cet enclos familial………………………………………………….
La douceur de vivre……………………………………………………..
…………………………………………………………La planète verte
………………………………………………Tant qu’il y aura de l’herbe
………………………………………………………..Belle progéniture
vos masses rassurantes
découpées franchement
sur cette nuit pétrie d’un souvenir de lumière.
Sombres et pesantes êtes,
concentrées sur l’essentiel,
la profondeur de la vie.
Nourriture pour vous
qui deviendra nourriture pour nous.
Et lestés par vous,
corps assurés, nous pourrons
nous élancer vers la lumière,
elle qui, amicalement,
veille sur vous et, malicieusement,
ponctue vos formes
Petit
Dans les prairies de ton enfance
Tu goûteras à l’herbe douce
Aux tendres mousses
Au chardon et à l’ortie
Tu apprendras aussi
Que la vie a le prix
De ce fil
Que l’on ne franchit pas
Nourriture céleste
L’âme rejoint l’univers
Nourriture terrestre
Le Corps s’enfonce dans la terre
Nourriture poétique
L’âme et le corps
S’étirent de l’un à l’autre