Lecture du Haïku Calligramme: de haut en bas
salto solo
voltige dans l’infini
légère
L'Oeil Ouvert : photo et poésie
Haïkus et calligrammes, rêverie sur le monde… le voyage imaginaire d'Ossiane
Lecture du Haïku Calligramme: de haut en bas
salto solo
voltige dans l’infini
légère
Comme une plume au vent
Légère comme un papillon
La belle envolée
Oh la belle audacieuse !!!
Retenir la terre
De mes petits bras musclés
Tourner avec elle
J’aimerais autour d’elle voir voler les mots avec la même aisance
____
Cambrure des reins
L’élégance du mouvement
Gracile silhouette
____
Bonsoir et bonne nuit à chacun.
Voler au temps du temps, quand le corps se dérobe
et changer d’horizon tout en restant probe
la tête en arrière et pas dans le guidon
prendre un recul aérien et sa vie aérer
quand on a passé son temps à errer
que tout ceci ne soit pas bidon
et de l’enfance retrouver
cette douce envolée
lyrique
sans hic
mais et nunc
car il faut révêler
plus que de petits secrets
et en apesanteur
fine comme une lettre,
dominer
la âge
vertige
carte du ciel à l’heure de midi
le sablier du temps retourné
compte à rebours
Bonjour matinal !
En admirant ces photos,
J’en suis toute retournée
Comme les photos !
Biseeeeeeeeeeeeeeees de Christineeeeeeee
PS/ rudement bonne idée !
pirouette, pirouette
ma pirouette est chouette
j’ai du ciel par dessus la tête
du soleil plein les mirettes
et du sable en étoiles
dans mes bras
en balancier
agile
portés par l’élan
qui tourbillonne
légère
légère
ma pirouette
ciel par dessus la tête
ma tête d’enfant
ma tête
qui s’envole
qui disparaît dans l’infini du monde
voltige
équilibres acrobates pris au temps des bonds et des sauts
pirouettes
Légèreté et beauté … fraîcheur de la jeunesse
Les pieds sur terre
Le cœur à l’envers
Une baie de lune
Pieds sur le sable
Ton silence m’accable
Le ciel azur
L’enfant léger
Voltige et pirouette
Contre tes baisers
Les pieds sur terre
Le cœur au travers
D’une flèche brisée.
Retournement
espace de liberté
loin des tourments
Sur les cordes
en pizzicato
dans aérienne
La gymnaste
Elle est rigide et souple sa taille est élastique
Elle a les reins solides d’une bouteille en plastique
Et des abdominaux comme des touches de piano
Elle possède la force et la met en musique
Posant ses mains comme des notes sur la portée
Elle tourne dans l’espace comme un disque de lumière
Variant les accords mesurant les effets
Alain
Le plongeon de haut vol
Les pieds sur le rebord le corps en équilibre
Percher comme un oiseau jugeant de la hauteur
Faites abstraction du vide et gardez l’esprit libre
respirez sans effort dominez votre peur
Les jambes faisant ressort donnez une impulsion
Prenez de la hauteur basculez dans l’espace
Tournant comme un rocher plonger comme un rapace
Concentrer dans l’instant toutes vos émotions
Agissez comme l’acteur utilise son trac
Mettez en parenthèse la peur qui vous contracte
Ne vous dissociez pas au moment du contact
Un beau plongeon si il est réussi
Doit soulever le cœur comme une poésie
Où se mêle rigueur couleur et fantaisie
Alain
Voler… voler sans liens
sans donner à la vie
le temps défiler
voler…voler pour rien
pour s’enfoncer plus loin
dans un rêve de ciel bleu
voler…voler soudain
au plaisir de renaître
Et celui de passer
voler voler…enfin
pour dormir apaisé
dans une danse sans fin
« de défiler » sorry
Le corps en virgule, le cœur sans pesanteur,
D’une corde en cheveux de fée s’élancer,
Ne pas retomber surtout, ou bien si tard,
Que l’on pourra faire un petit peu rimer,
Dur renoncement et doux soulagement.
_________
Chacun donne délicatement de soi, ici, comme d’habitude. Comme c’est précieux…
Thierry, j’admire toujours ta si jolie manière de jouer avec les mots.
Bonne journée, je vous embrasse tous.
Coquillage
L’été au bord de l’eau les filles sont magnifiques
L’une écarte les bras et s’apprête à voler
L’une danse sur un pied pour montrer qu’elle à froid
une autre à chaque vague émet un cri d’effroi
leurs rires sont sonores et leurs grimaces comiques
Alain
un defit au temps qui nous opprime
oublieux des oripeaux de l’ombre
l’esprit et le corps en apesenteur
Elle chante avec le vent
Elle vole sur la plage
Elle dessine des arabesques
Elle est légère comme l’air
Elle est belle, elle est jeune
Tous ses gestes sont expression
Son corps exulte de volupté
La poésie est dans sa grâce
Elle joue…… elle est oiseau
Elle est papillon, grenouille et sauterelle
Elle glorifie l’été, le soleil et la joie d’être
Icare
Quel bonheur ce doit être de voler sans raison
sans barreaux aux fenêtres hors de toutes prisons
De quitter la terre ferme en quelques mouvements
D’écouter sur la mer les sirènes du vent
Comme le roi Ulysse qui erra d’île en île
voler comme une note entouré de silence
comme la feuille morte au gré du vent fripon
Et sentir ce frisson qu’ont les plumes dans l’air
En découvrant la terre et le toit des maisons
Alain
souvent je regarde le plafond.
Soudain les lustres sont des arbres
Les fenêtres sont basses
El les portes doivent s’enjamber.
Voler ou lover
voleter ou velouté
dans ces suspensions…des soupirs…ou des happenings
figer l’instant
fixer le mouvement
viser au plafond
changement de repères, pas orthonormé
et se mettre la tête à l’envers à s’étourdir
penser un autre endroit sans défaillir
se prendre pour une mouche ou une araignée
passer au tumbling et sur le tremplin
se payer quelques secondes de ressource
en micro pesanteur
bref toujours s’envoyer en l’air
ou flotter dans l’azur
Flip sans porto
ça porte haut les espoirs
et ça n’est pas que rétro
youps, s’envoler tout de bel, parfois dans le plus lourd, rend le léger tellement, et engage à se vivre, dans ses douceurs la vie, de belle volupté,
aérienne, la photo,
yaouh, je n’ai jamais réussi cette figure de gym…
quelle légèreté!
belle journée pour chacun!
j’en suis tout retourné…
Pourquoi s’apesantir et ne pas s’esbaudir
dans des rebondissements sans arrondissements
décaler sans caler, tressauter sans sursauter
Acrobatie
Dans toute création aérienne, esthétique
se mêlent figures acrobatiques et pas de danse,
c’est à une balade sensorielle émotionnelle.
Qu’invite l’acrobatie derrière les apparences
Les acrobates se propulsent dans les airs,
Enchaînent les salto les sauts les pirouettes
Ils déboulent tourneboulent et repartent en arrière.
Et leurs figures au sol deviennent planétaires
A l’image des étoiles qui éclairent l’univers
se trament tout un réseau de relations humaines,
de luttes de solidarités de concurrences.
le danseur acrobate par la force du geste
traduit les sentiments de l’homme qui grandit.
Ses échecs, ses espoirs et son obstination
Alain
Pirouette légère
Dans l’azur et la liberté
Oiseau bleu sans fil qui te retiens à la terre
Pirouette de l’esprit piégé
Pirouette pour tout recommencer
Infiniment
Belle image Ossiane
AA
plonger dans le grand océan de la vie
le souffle habile transporte
s’accordent le corps le cœur et l’esprit
embrassant la terre et le ciel
petite fille rêve sa vie
solide arc en soi se déplie
–
alors Hermès
et le sol me lâche
il raconte Hermès :
le seul dieu qui fit rire Zeus
lorsqu’il affirma
qu’il ne mentait plus
moi empoisonnée
(l’hypothèse du mensonge)
je perds ta main ferme
ton dos de statuaire grecque
et m’enlise dans la misère du commun
– disparition donc tromperie –
existe-t-il, existe-t-il
quelqu’un qui soit à l’abri
toujours
de la pensée vulgaire ?
il y a si peu de grandeur
en nous
donc : Hermès aux semelles ailées
mentait
je l’ignorais
et alors ?
nous ne sommes pas des dieux,
nous
–
Catherine Weinzaepflen / Le Temps du tableau…
Saltimbanque, acrobate,
Artiste du mouvement ,
Equilibriste de l’été,
Marionnette désarticulée,
Danseuse des sables,
Elle se veut tout à la fois
Sauter, voltiger, s’envoler
Légère comme l’air,
Frôler l’apesanteur,
Libre et maître de son corps
En dépit des lois physiques.
Encore un rêve de petite fille
Comme on en voit souvent
Dans l’insouciance des vacances,
De ces fillettes dont la souplesse
Laisse les plus grands émerveillés
Un petit ressort lancé sur la plage
La tête en bas, les pieds en l’air
Entre sable blond et ciel tout bleu
Changer les perspectives
et renouveler la vision
afin de laisser dans la remise
tout ce qui serait directives
signer
de son corps
le sable infertile
assaut de la LETTRE
sur la portée
des traces
passages antérieurs
de tant de tentatives
à tendre sa raison
contre le caisson froid des convenances
effort
pour promouvoir
hors de la finitude
le souffle de la VIE
Tenir la terre entre ses bras
Voler entre ciel et sable
Insouciance et force de la jeunesse
Tout est possible
Trapèze volant
Je ne suis pas marchand mais simplement artiste
Mon cœur n’est pas à vendre mon amour c’est la piste
J’écris des poésies pour montrer que j’existe
De simples friandises dont j’agrandis la liste
Qui rendent la vie meilleur et les regards moins tristes
Les projecteurs s’allument je m’attache à un fil
La salle fait silence ma plume se balance
Chacun retient son souffle tous les regards se figent
Chacun ressent la peur que donne le vertige
Quelques cris retentissent quand enfin je m’élance
Devant les spectateurs ainsi qu’un projectile
Je jongle avec les mots je suis un trapéziste
Je fais des cabrioles au-dessus de la piste
Je tombe et me rattrape aux mots in extremis
Alain
L’avion
Pour s’élever de terre et voler dans les airs
Pour grimper vers le ciel azuré des conteurs
Il doit compter sur l’aide de ses puissants moteurs
Et sur l’art du pilote qui sait lire les compteurs
Les ailes déployées le bel oiseau rapace
s’affranchit de la terre et découvre l’espace
il vole suivant des lignes comme une pointe de crayon
et reflète le soleil qui lance des rayons
ses ailes n’ont pas de plumes et sa tôle est en zinc
il brille dans le ciel comme ferait une épingle
Pour rapprocher les hommes aux fragiles cœurs de verre
Il traverse la nue en lançant des éclairs
tel un ruban flottant aux cheveux d’une femme
Il laisse dans le ciel comme un peu de son âme
Alain
Voici l’heure
enfin l’heure de voler
Impulsion salutaire
pour le sablier de nos heures
oubliées
Voici l’enfance
de l’épure
il ne reste à traquer
Que les souvenirs
de chemins creux et de veillées
bric à brac d’arbres à plumes
et de fleurs à grelots
Encore l’enfance
qui bat ses vieux tambours.
Faut il avoir un grain
pour changer d’optique
et se voir bien en train
d’égarer les sceptiques
sans « fosse » combine
rien de plus ascétique
que de brasser de l’air
fouler les convenances
sans air d’abstinence
et dans la voltigeance
avoir tant d’obligeance
que de se mouvoir
sous se voussoir
c’est créer l’espoir
de retournements
de situations
En clin d’oeil à » l’insoutenable….. » Voir ici l’admirable « légèreté de l’ëtre »…
Un salto arrière
pour prendre de la hauteur
L’envol magistral
Bonjour à la compagnie !
___________________
Qui n’a pas déjà volé
Ne sait pas
Ce que voler veut dire
___________________
Biseeeeeeeeeeees de Christineeeeeee
il sont beaux tes mots, Monique,
je les vis dans ce moment,
je vis tes images, Ossiane,
je sors d’une réunion de la retraite à considérer POUR VIVRE pour une adulte handicapé, des assos de Sarthe, Maine et Loire, Loire Atlantique…
UN MOMENT FORT DE FORT,
*et puis ce petit livre déjà papillonné de lu, si FORT DE FORT
» C’est plus fort que moi dans ma tête c’est un enfant de l apei Les papillons blancs Ouest 44 »
yaouh, c’est fort et je te cite, Monique,
« »En clin d’oeil à ” l’insoutenable….. ” Voir ici l’admirable “légèreté de l’ëtre”… » »
Je suis envolée ce jour,
ma vie qui me fut volée,
me donne ce bel envol,
qui ne me lasse pas de voler!
Je vais continuer encore un peu :
« VOLER »…
___________________
En rêve,
Rien de plus facile
Il suffit de nager !
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Hello Annick !
ça vole bien par chez toi ?
_____________________
En réalité,
Un peu plus difficile
Mais on peut y arriver !
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_____________________________
Ils ont été nombreux à essayer
Les pionniers de l’aviation
Ont réalisé leur rêve
_____________________________
(suite)
________________________
Icare en premier
N’avait pourtant pas prévu
Le coup de soleil fatal
(le pauvre !)
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(suite)
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Vol stationnaire
Attaché au ballon
Prendre de la hauteur a du bon
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(suite)
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Vol plané
Bras déployés,
Glisser dans les airs sans bouger
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(suite)
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Vol en piqué
Tête la première
Le plongeon sera exemplaire
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(suite)
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Avec ou sans moteur
Avec ou sans fusées
Le tout est d’arriver à décoller !
_____________________________
(suite)
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Avec ou sans moteur
Avec ou sans fusées
Le tout est d’arriver à décoller !
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Et pour terminer cette série aérienne…
une petite vidéo que j’adoreeeeeeeeeee !
http://www.tagtele.com/videos/voir/17531
–
… et une bouée … pour l’atterrissage ?
–
Christineeeeee : je me marre !
et j’retourne dans mon jardin
sous le soleil
sans déployer mes ailes !
–
de l’eau de l’air
c’est tout pareil
bleu de bleu
Nous rappelons à nos aimable bloggers que les substances illicites ne sont pas recommandées. Hein Christineeeeeeeeeeeee !!!!!!! (sourire).
Tu nous amuses bien cavalière ! Et dès que y’a des bêtises les deux Bourrache sortent du bois. Sont pas les dernières à faire les zouaves moi j’vous l’dis!!!
–
Sé où kon peu la trouver cette liste : « Ils l’y citent » … ???
.. encore un site macho, je présume !
Remettez-moi une troisième Bourrache, siouplaît…
–
Les moteurs du ciel
Pour parcourir le monde comme les caravelles
Comme il n’avait pas d’ailes l’homme a crée l’avion
Moderne oiseau du ciel qui porte sous ses ailes
Des moteurs en étoiles et d’autres à réaction
Alain
Bonjour Ossiane, cela faisait bien longtemps, mais une envie, quel plaisir.
Voler
Qui, poète à ses heures et amoureux des mots,
N’a pas cherché de sa plume légère
A les faire s’envoler telles des montgolfières
Enflées de sens cachés et multiples signaux ?
Écrire la tête dans les nuages blancs ;
Survoler les âmes sur les ailes du désir ;
Mélanger les rimes ; imaginer l’avenir ;
Se changer sans vergogne en chevalier blanc.
Des histoires pour rire et enfourcher le vent ;
Raccommoder les rêves ; redevenir enfant ;
Voler aux mots, la force et la faiblesse.
La mine sur le papier comme la trace d’un avion,
Dessine les contours d’un voyage d’exception,
Car il vole celui que les mots renversent.
Lettres
Les unes volent de leurs propres ailes
Elles se nomment voyelles
Les autres attendent qu’on les sonne
Elles sont dites consonnes
Gardons un œil sur elles
Elles circulent comme les atomes
Comme les feuilles en automne
Ou comme les hirondelles
le monde qu’elles dessinent
bien souvent nous fascine
prenez les comme elles sont
chacune d’elle a un son
et quand l’une nous fait signe
c’est pour en tirer leçon
Alain
Sa vie de gravité
Elle la vole légère
En choisissant de vivre
La poésie du temps
La bise douce de l’air
Lui murmure le petit bois
Les fleurs sont ses fidèles
L’amitié s’aime sincère
Cette vraie belle de pure
Respire par tous ses sens
Envole moi ma vie
Fais moi vibrer mes ailes
Dans le ciel en amour
Voltige le précieux
Il n’y a que les baisers que l’on vole ..et les ailes blessées ..les sacs qui se tirent..par des ados égarés ..C’est une soirée ordinaire..clignote le curseur..d’un oiseau moqueur..pour une histoire familière ..par elle racontée…Il n’y a que les baisers qui s’envolent..la page abandonnée..plancher et herbe folle..la nuit en réalité ..C’est une chambre sans air..une allure mansardée ..un I Phone de verre..les mots abandonnés..Il y a dans le sac..un baiser blessé..un drap qu’on tire..les rêves déplies..
Passage tardif, le temps d’une petite envolée. Bonsoir tous
Marcher la tête dans les nuages
Ne serait-il pas plus aisé d’y poser les pieds
Pulsion du sol, rebond des mains
Exercice périlleux pour atteindre le ciel
La tête à l’envers se souvient
Qu’en caressant le ventre des oiseaux
Elle avait imaginé s’accrocher à leurs ailes
Planer un moment, caresser les étoiles
Ecouter le secret des hauteurs
Redescendre et chanter leur histoire
Mais tout cela devait se faire très vite
Le temps d’un tourbillon, d’un coup de vent
Abandonner toute idée de bon sens
Le temps d’être un peu fou
Gesticuler comme un petit pou de sable
Repartir la tête basse vers d’autres folies encore
Et au final, voir la vie autrement, sous un autre angle.
–
Avec le ciel au-dessus d’ici pour me rappeler que le ciel
est également de là-bas, qu’il peut voir par dessous la ligne
où, pour nous ici, ce qui a cessé d’être visible.
–
Et le cri de cet oiseau qui reprend, qui est un appel.
Sans doute vient-il d’un autre monde, il en rapporte l’or
quelque paille, au plus creux de son nid que l’on ne voit pas
–
Yves Bonnefoy
Je m’élance et empoigne l’air
Je m’étends en l’air
Comme un courant d’air
E vola vola si sa
coeur éperdu
la vie s’en va
l’enfant perdu
A pigeon vole
l’enfant qu’on fut
toujours s’envole
au coin des rues
il court il court
le temps furet
des anciens jours
bonheurs regrets
il a passé par ici
il repassera par là
fuyant les soucis
d’amour jamais las
enfant perdu
la vie prend la
à coeur éperdu
e vola vola si sa
Il y a une chose qu’on ne peut voler à personne : c’est l’amour que l’on reçoit.
« Aimer est la seule richesse qui croit avec la prodigalité. Plus on donne et plus il vous en reste » (Romain Gary)
Vole cent vols
Aujourd’hui
Serrer ses parents
Puis une fille
Et l’autre
Partager un repas succulent
Avec la seconde
Un verre de blanc
Et de rosé
Après un punch de mmmhh
Quels bonheurs purs
Que ces enfants
A eux de quatre
Si douces serrailles
L’envol précieux
Comme c’est bon
D’être accueillie si bel joli
Merci la vie
Pour ces bels vols
Vole vole papillon
Jette au vent ta svelte silhouette
juste le temps d’un tourbillon
Au-dessus de la planète
Vole vole la fillette
Comme feuille dans le vent
Une belle pirouette
En petit salto avant
Vole vole enfant du rêve
Vers l’infini inaccessible
Qu’un léger souffle t’enlève
Au pays des impossibles
Vole vole demoiselle
Dans ton petit corps d’enfant
Laisse et sens pousser tes ailes
Elles t’emporteront loin des méchants
.
Alain a passé son week-end en parapente sans filet; il avait emmené son pique-nique et sa thermos de café. Juste le souffle d’une brise…
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>Petit coucou à amichel et Sylvaine !!!
>Un grand coucou à Jean-Louis qui s’est enfin décidé à sortir un beau poème de sa malle aux trésors;-) !!!
>Bienvenue et merci à Harmonie pour ses jolis mots de poésie !!!
>Un super grand coucou et un mille merci à tous ceux qui se sont lancés sans parachute dans l’espace de cette page avec leur plume véloce et aérienne! Ils nous ont fait planer en beauté, en émotion, en légèreté, en gaieté, en tendresse !!! Pas de blessés ni de rescapés à l’arrivée mais que des poètes aux ailes d’ange pleins de sérénité.
Belle nuit à tous, je vous embrasse !
Ossiane
.
Bel envol pour toi Annick aujourd’hui le bonheur au dessus du sol le coeur heureux le coeur léger c’est bon de s’envoler en joie pure, bouffée d’air et gourmandise, contente pour toi . Bonsoir et bonne nuit
Bonsoir Ossiane je t’embrasse.
MA-GNI-FI-QUE
La joie de l’enfance
S’envole et se voie
On vit seulement une fois