Ecrin

Perle d'Orient, Sors de ta coquille Rose, l'Océan t'attend.

Perle d'Orient, Sors de ta coquille Rose, l'Océan t'attend.

* Lecture du Haïku Calligramme: de haut en bas.

Perle d’Orient,
Sors de ta coquille Rose,
L’Océan t’attend.

* Photo de rocher aux formes étonnantes
sur le sentier des douaniers de Ploumanach.

41 réflexions sur « Ecrin »

  1. L’océan t’attend
    ———————

    Dans la mer dorment des trésors
    Tous les bijoux perdus, les ors
    Des Golcondes , et des Eldorados
    Les perles d’Orient du Mikado
    Dans leur écrin de nacre rose
    Au fond de l’eau reposent

    Si tu cherches Fortune
    Vas
    l’océan t’attend

    Dans le ciel valsent les goélands
    La vague court prend son élan
    Des dauphins vifs comme le vent
    Ouvrent la route loin devant
    Les bateaux partis d’Armorique
    Pour le Pérou les Amériques

    Si tu cherches Aventure
    Vas
    L’Océan t’attend

    Dans la bruyère et les genêts
    Il fait si bon se promener
    L’écume lave les rochers
    Et les embruns en ricochets
    Portent à grandes volées
    Aux lèvres air et mer mêlés

    Si tu cherches Paix et Liberté
    Vas
    L’océan t ‘attend

  2. Bonjour demoiselle,
    Je fais quotidiennement un tour sur ton blog depuis deux mois, sans avoir jusqu’ici oser prendre la plume (ou plutôt le clavier…)
    Voilà, j’admire en silence, quoi.

    J’apprécie beaucoup ton travail, surtout le thème de la mer et de la marée basse, car c’est un sujet qui me touche tout particulièrement puisque je lui consacre mon site.

    Et, ce matin, surprise avec ce cliché « Ecrin »! J’ai pris la même photo! Même angle, mais pas la même lumière…
    C’est tout bête mais, c’est vraiment amusant d’avoir eu le même regard!

    Alors voilà, je me décide à te faire un petit coucou, et m’inscrire en bas de la liste de ceux qui viennent chercher un peu de poésie et de rêverie sur ton blog…

    Merci pour ton Oeil ouvert.

    Mélanuit

  3. Et oui, la nature est ainsi, surprenante mais tout le monde ne l’a voit pas. La forme de ces cailloux est effecivement « amusante ». L’un va tomber, c’est sûr ! un jour !

  4. Ouf!
    Ma muse a retrouvé mon do.
    Je vais pouvoir sortir de ma coquille et aller vers cette Bretagne qui m’attend.

  5. Magnifique image .!
    Je suis ému par elle , sans bien comprendre comment cette accumulation de lourds blocs horizontaux arrive à dégager une telle expression de force , de mouvement !
    Mouvement et stabilité .

  6. Quelle belle série nous offres-tu Ossiane cette semaine!
    La diagonale qui partage ton image… J’admire la coquille nonchalemment posée (oubliée) par quelque monstre marin sur la diagonale. Mais je reviens à cette ligne: le rose presque agressif à force d’être présent et le bleu tendre, séparés, se mariant. De grands aplats, la matière omniprésente, les rocs rouges, vindicatifs, d’une part, le frémissement de l’eau, étale, si calme pour une fois, des vaguelettes toute juste soulignées d’une mince ligne blanche, d’autre part. Un écrin, deux mains réunies pour accueillir l’amitié précieuse. Cette photo me touche tant que je n’en finis pas de l’analyser. L’analyser? pourquoi?
    Non, m’en régaler, m’y perdre serait plus exact.
    Bises de la journée.

  7. Rochers dans l’eau reflets brisés
    Rampe la vague en léchant le rocher de sa langue salée.
    Je me suis lancée , mais ce n’est pas fameux!
    en tout cas belle photo , mais je ne voudrais pas être à la place du rocher en équilibre car je crois bien qu’il ne tardera pas à tomber!
    Bonne journée
    Martine

  8. Petite Vénus laissant son esquif pour aller se baigner…
    a posé la première pierre d’un dolmen dédié à l’Amour et à la Beauté…

  9. >Michel:
    Merci beaucoup de prendre si bien la suite de mon haïku avec ces parfums d’aventure, de trésors enfouis et de grands espaces. Les dauphins tracent la route; il ne reste plus qu’à plonger dans ce berceau mystérieux qui tend ses bras pour laisser vagabonder sa pensée. Bises chaleureuses des abysses.

    >Michel (2):
    C’est rare que les deux Michel se suivent 😉
    Ou équilibre instable. C’est en effet ce qui accroche l’oeil. Les mystères de la gravité sans doute. Bonne journée. Je t’embrasse.

    >Mélanuit:
    Bonjour, je te souhaite la bienvenue;-)) Ton silence fidèle me touche tout comme ton envie de t’exprimer à cause de cette photo. J’ai visité ton site. Il est clair que nous aimons traiter les mêmes thèmes:-) Il y a de très belles choses. J’aime ta façon de jouer avec la lumière sur le sable eet au ras de l’eau. Je n’ai pas trouvé la photo qui rappelle « Ecrin ». Merci beaucoup pour ton regard sensible. Rendons-nous visite mutuellement si le temps le permet. A bientôt. Bien amicalement.

    >Etincelles:
    Je ne sais plus comment t’appeler, Francis mais peu importe puisque le coeur y est;-)) Cet écrin est une prison dorée qui permet de grandir tranquillement à l’abri des hostilités extérieures. Merci beaucoup pour ton attachement. Ca me touche. Je t’embrasse.

    >Véronique:
    Quand on prend des photos, on est plus attentif à ce qui nous entoure. Je ne vais pas passer en revue tous les rochers insolites de cet endroit car il y en a pas mal. On peut découvrir un phoque, une tortue, le chapeau de Napoléon et multiples figures fantastiques qui sollicitent l’imaginaire.
    Je laisse ce lien pour ceux qui voudraient en voir davantage.
    http://docarmor.free.fr/valarmor/valouest/plouman2.htm
    Merci pour ta visite. Je t’embrasse.

    >Le musicien:
    Cette perte n’a donc pas duré bien longtemps;-) Tu vas y aller quand? Si tu montes en haut de ce phrare, joue un peu de clarinette aux dauphins et marins de passage. Bonne après-midi.

    >Hello Jean,
    Tu as un peu le même sentiment que Michel (2). La coquille parait presque fragile à côté des autres blocs. Je crois aussi que l’érosion très douce de ces roches et leur couleurs chaudes accentuent leurs formes presque généreuses. Une belle leçon d’harmonie pour l’homme d’être en mouvement tout en étant en équilibre. Ca traduit un appétit de vivre sereinement. Bonne journée et merci.

    >Pierre:
    Ton enthousiasme m’émeut. Quelle belle analyse toute en finesse tu nous livres! Je suis très honorée. Il ne te reste plus qu’à prendre ton chevalet afin de retranscrire en peinture ce que tu as ressenti? Une partie du travail est déjà fait. J’aime bien ton idée des deux mains qui recueille l’amitié. C’est peut-être la fragilité de cette vie en équilibre qui te touche tant. Merci beaucoup Pierre pour ton regard sensible. Je t’embrasse.

    >Martine:
    Ces premiers pas en poésie sont pas mal troussés;-)) J’aime bien cette image de langue salée. Ne fais pas de complexe et laisse-toi aller à tes émotions. Les mots sortiront tout seuls. Fais de cet espace un champ d’expérimentation comme d’autres l’ont déjà fait. Continue d’oser;-) Quant à cette pierre, elle tient en équilibre depuis des milliers d’années. A moins d’un gros séisme, elle n’est pas prête de tomber. Bonne fin de journée et merci de ta visite.

    >Bén:
    Que de délicatesse et de justesse dans cet essai poétique! Bravo Bén! Bises du dolmen.

    >Petite Lilly, fée des mots :
    Ces bulles que tu me souffles à l’oreille me touchent. Je les vois s’envoler à partir de ta souris magique. Ces ronds d’amitié finissent par sortir par ma bouche, un peu comme les poissons au fond de l’océan, tu vois;-)) ooOoOO°°Ooo Bulles de vie. Toutes mes pensées affectueuses.

  10. Subtil équilibre de vie fragile et solide à la fois, Ossiane !
    Je continue l’histoire avec écrin et coquille…
    —————–

    Elle battait à son cœur et lui donnait un nouveau rythme, une nouvelle mesure. Il ressentait une délicieuse panique de vie ; des explosions et des tremblements à chaque fois qu’il pensait à elle. Les femmes l’avaient toujours ému mais jamais à ce point.
    Avec les autres, il avait joué à la perle et à l’écrin. Il n’aimait tant rien d’autre que d’y satisfaire ses stratégies ; cela lui devenait une évidence. Il n’avait fait que s’amuser en augmentant la subtilité. Il inventait les règles à chaque nouvelle rencontre mais le but du jeu restait toujours le même : la femme devait se croire devenue perle unique en robe de nacre et ne trouver pour écrin que ses yeux à lui. Alors, il pouvait fermer les paupières et jouir de son gain ; les jeux étaient faits.
    Avec elle, tout devenait différent. Si le jeu le taquinait encore par habitude, il sentait bien par ses tremblements qu’il y avait autre chose. Il sentait bien les explosions l’ouvrir comme une coquille qui respire.
    Il savait déjà qu’avec elle, il ne jouerait pas. Ses paupières ne seraient jamais l’écrin qui endormirait cette femme là dans un lit de soie. Non. Il était trop ému, trop bouleversé. La vie soudain lui faisait un clin d’œil radieux et on ne met pas la vie en écrin, il le savait. Il respectait trop la vie.
    Catherine

  11. une forme incroyable en effet… mais je reste émerveillée par ces couleurs que je n’avais vu… cette série illumine mes yeux… j’aime ton haiku et je le garde… sans ajouter un mot !

  12. Bonsoir Ossiane

    Merci encore pour ses belles images et surveille ton e-mail car une surprise t’attend.
    A demain

  13. Bonsoir Ossiane,
    Défiant les lois de la pesanteur cet écrin attend qu’une vague le repose dans les fonds marins. Contrastant fortement avec l’usure et l’arrondi des autres rochers, tu nous montres à quel point la nature ne cesse de nous étonner. Que fait il là ce gros coquillage rose, quel est son passé?

  14. Pas de doute, Ossiane, chacun a quitté sa coquille pour suivre les courants marins. Puis ce fut à nouveau le havre où, balourd, un gros tourteau surveille la petite colonie d’otaries en mouvement lent et nonchalence feinte. Manque la perle. En nos coeurs, sûr !

  15. Je suis comme Guess, je connais si peu la Bretagne…, moi la méditerranéenne.
    Mais les couleurs sont si belles, comment ne pas aimer la Bretagne que tu nous montres ? comment ne pas avoir envie d’y aller faire un tour, un jour…?

    Cet empilage de pierres, empilées on ne sait comment, me fait plutôt penser à ces repères de promenade que l’on trouve au bord des sentiers.
    Suite et complément des légendes précédentes ?? pour un Petit Poucet égaré ?
    Amicalement.

  16. Tiens, je ne savais pas Annie Claude était une fille de la Grande Mare !
    Bon je voulais dire quoi ? ah oui je sais… j’ai vu un crabe !

    Crabe crabe !
    Je te suis à la trace,
    marches tu à l’endroit ?

  17. bonsoir le continent!!!

    j’ai quitté mon île pour quelque temps, et je trouve le gris du ciel mais une belle énergie dans tout ce que je rencontre ici dans l’est de la france!

    ______________________

    RICOCHET

    Il s’est penché plusieurs fois
    le nez au ras des galets
    en avait ramassé quelque uns
    soupesé, manipulé, caressé,
    puis les avait laissé glisser de ses doigts bruns
    le choix devait être en phase avec son instinct
    car pour atteindre la ligne d’horizon
    il fallait qu’il soit bien plat et bien rond!
    Tiens celui là sera le bon

    …et hop d’un geste élégant, rapide et précis
    il envoya ce caillou plat…

    mais où est-il passé?
    ah là bas sur l’autre rive il a glissé pour se poser en équilibre comme un bateau ivre!

  18. >Catherine:
    Tu restes bien droite sur le fil de ton histoire malgré la difficulté de mes thèmes proposés. Notre séducteur commence à trembler sur ses bases;-) Ses fibres intérieures commencent à vaciller. Va-t-il finir par s’ouvrir? La femme mène le jeu. A demain soir pour la suite de cette rencontre. Merci Catherine pour ta créativité et ton émotion. Je te souhaite une bonne nuit.

    >Malisan:
    Merci beaucoup Malisan. Ton émerveillement me fait plaisir. Et surtout si tu as l’occasion, va faire un tour là-bas. Je t’embrasse.

    >Maurice:
    J’ai vu et lu. Je te réponds en mp.

    >Mikaëlle:
    Cet écrin apparemment instable t’interpelle. C’est bien sûr un pur et bel hasard qu’il se soit trouvé là. Il enchante notre imagination. Si tu veux des précisions plus géologiques, retourne sur ce lien:
    http://docarmor.free.fr/valarmor/valouest/plouman2.htm

    Merci beaucoup de revenir partager nos discussions. Bonne nuit.

    >JPB:
    Merci pour cette nouvelle interprétation. Pourquoi pas un crabe protecteur, en effet. En plus, cet animal ressemble à la couleur de ces rochers. Quant à la perle, elle est déjà partie ailleurs;-) Merci beacoup pour ta visite. Bonne nuit.

    >Quedeville:
    Beaucoup de petits nouveaux en ce moment;-) Bonjour, je te souhaite la bienvenue. Prends le temps de visiter en allant dans les archives et exprime-toi quand tu veux. Merci pour ton compliment. Amitié.

    >Annie-Claude:
    C’est en effet dommage que tu ne sois pas passée par là. Mais qui sait? Peut-être quand tu rentreras de Tahiti, tu feras le détour. Ce sentier est en effet jonché de rochers mais un peu plus gros que ceux du Petit Poucet 😉 mais quelqu’un reprendra peut-être la balle au bond. Merci pour tes mots et ton amitié. Bonne sieste;-))

    >Guess Who:
    Qu’appelles-tu la Grande Mare? La Méditerrannée?
    Même chose que JPB.
    Merci pour ce joli haïku couleur crabe. Attention de ne pas te faire pincer 😉 Bises roses.

    >Jane:
    Coucou, tu as le ton bien enjoué. Tes petites escapades te réjouissent le coeur sans doute;-) En tout cas, ça donne quelque chose de bien sur le plan poétique. Sympa cette idée de ricochet qui laisse cet écrin en suspens au-dessus de l’eau. Bel équilibre!Merci beaucoup, des bises vers l’est. Travaille bien.

  19. Quand l’océan l’emportera
    Plongeur je me ferai
    Quand la coquille s’ouvrira
    Sa perle je t’offrirai
    Quand de tout cœur tu le voudras
    Avec moi je t’emmènerai
    Nous irons où tu le voudras
    Goéland je me ferai
    Quand notre amour s’envolera
    Tout ce que je dis est vrai
    Qui vivra verra

  20. Une coquille comme ça, je préfère ne pas en sortir, mais plutôt m’y blottir pour admirer le paysage, écouter le ressac incessant de la mer, surprendre une mouette venue chercher quelque chose à grignoter, me laisser bercer par les vagues qui viendraient s’aventurer jusqu’à moi.

  21. LE PLUS BEL ECRIN que je connaisse : « LA FEMME ».
    « Je t’offrirai des perles de pluie… » M. Brel.

    En fait qd je suis venu la 1ère fois, j’ai pensé à un dolmen, normal en Bretagne. Par conséquent à mon Héros OBELIX !!!

    Ta photo, ton haïku inspirent mille et une choses. J’appelle ça : le TALENT !!!

    Chère Ossiane Olivier-Obélix t’embrasse chaleureusement.

  22. Bonjour à tous et à toutes,

    Je n’ai pas de repère visuel sur la photo qui permette d’évaluer la taille de cette « coquille ». Je l’estime à 4 ou 5 mètres de long. Si vous avez plus d’informations là-dessus, ça m’intéresse.

    Bonne fin de journée.

    Ossiane.

    >Michel:
    Joli poème d’amour tout en légèreté dédié à cette perle. Un bel envol au-dessus de l’océan qui attend. Merci beaucoup. Bonne fin d’après-midi, je t’embrasse.

    >Zebu32:
    Casanière, Zebu pas complètement puisque ta coquille s’entrouvre ;-)) Je comprends cette envie d’être à l’abri des regards indiscrets et de contempler en toute tranquilité. Belle après-midi au creux de ton cocon douillet. Je t’embrasse.

    >Colette:
    Bonjour, je souhaite donc la bienvenue à une bretonne de plus sur cette série de photos;-) Va visiter mes archives dans la colonne de gauche et reviens t’exprimer quand tu voudras. Merci pour ta visite. Bien amicalement.

    >Olivier:
    Tu as des cordes très différentes à ton arc 😉 C’est très bien si tu ressens plein de choses et que tu les exprimes. Au moins, tu n’es pas insensible. Mais je sais que ce sentiment ne t’habite pas. Merci pour ton enthousiasme et ta fidélité. Bises à Olivelix.

  23. De retour de Paris, je me précipite sur ton blog… Ca fait du bien après 500 Km d’autoroute dans la brume et la pluie.
    Quelle belle idée que cette coquille Saint Jacques chargée de longues marches sur le chemin des pélerins..

  24. [en penchant la tête vers la droite…]
    vers qui se tend cette main gauche tournée vers la mer, pouce orné d’un cabochon ?…
    qui viendra poser ses doigts au creux de cette paume ouverte ?

  25. Super ! encore une photo de la Bretagne ! Merci Ossiane, tu nous gâtes vraiment.
    Ce rocher est très étrange et c’est vrai on dirait vraiment une coquille.
    Quand je promène au bord de la mer, j’aime observer la forme de certains rochers. Pour certains on dirait vraiment qu’ils ont été sculptés (peut être les géants des mers ont-ils réalisés ces oeuvres ?)

  26. Une main sur une autre posée
    Une main qui apaise
    Une main qui encourage
    Comme pour dire n’est pas peur du fracas des vagues
    Viens en moi

  27. Salut, je viens de découvrir ton blog. Je fais de la photo aussi, en amateur et je suis vraiment sous le charme de tes photos. C’est vraiment super. Je te souhaite bonne continuation et je reviendrai faire un ti tour de temps en temps sur ton blog.

  28. >MTO:
    Tu n’es pas complètement ancrée là-bas si tu continues à aller à Paris;-)Je suis très honorée d’être ta pause détente après une si dure journée;-) Je n’ai pas voulu prononcer le mot de coquille St-Jacques mais c’est à cela que je pensais. Merci pour ta sympathique visite. Je t’embrasse.

    >Hello Bén:
    Cette paume de main offerte est une très jolie idée. En plus, elle est de la couleur de la peau. Un goéland viendra peut-être s’y nicher un jour de tempête. Merci pour tes passages qui me font plaisir alors que ton temps est compté. Bises d’amitié.

    >A tire d’aile:
    Je vois que tu commences à t’accoutumer à la côte de granit rose ;-)) Ces roches de granit ressemblent en effet à de vraies sculptures de mondes fantastiques. Ces géants des mers y sont sûrement pour quelque chose ;-)) Bises chaleureuses, Flo.

    >Bonjour Virgile;-) De retour après une coupure? Ton poème est vraiment sensible. J’aime beaucoup cette image de mains sécurisantes et stimulantes qui invite à se lancer vers l’océan et l’inconnu. Une belle plume, Virgile. Merci beaucoup, je t’embrasse.

    >Jojotte:
    Bonjour, je te souhaite la bienvenue. Je te remercie pour ton compliment. N’hésite pas à consulter mes archives dans la colonne de gauche et à venir t’exprimer autant que tu le souhaites. Bien amicalement.

  29. Bonjour,
    De toutes ces combinaisons que le temps peut dé-couvrir pour nous, il se trouve des moments extraordinaires qui nous laissent toucher chacun de notre coté, chacun à notre heure, une part de son oeuvre. Sans y croire vraiment nous sentons pourtant que cette image porte plus que quelques sons, plus que quelques grains de sel, plus que quelques brins de laine. Comme une part de la puissance d’un ciel de là-bas, de l’immobilité d’un granit ou de l’impétuosité de la septième vague. Qui pense ici à un bonheur partagé comme celui-là:

    « Juste voguait par là le bateau des copains;
    je me suis accroché bien fort à ce grappin.

    Et, par enchantement, tout fut régénéré,
    L’espérance cessa d’être désespérée. »

    ou qui peut-être à ces derniéres lignes de Pär Lagerkvist:
    « Seul barabbas vivait encore. Quand il sentit venir la mort, dont il avait toujours eu si peur,il dit dans les ténébres, comme s’il s’adressait à la nuit:
    « A toi je remets mon âme. »

    Et il rendit l’esprit. »

    Quel extraordinaire véhicule que ces Bretonnes photographies pour un lundi matin loin de ces Côtes. Allez, il est l’heure de s’enivrer…

  30. >Adéle Blanc-sec:
    Bonsoir, je vous souhaite la bienvenue. Merci beaucoup pour votre belle écriture et vos profondes réflexions. Je suis contente que ces photos vous aient plu. Revenez quand vous voudrez. Bien amicalement.

  31. ………………………………..

    palourde oubliée
    l’attente d’une grande marée
    une soif de plancton

    …………………………………

    andrée wizem

  32. L’une de mes connaissances vient de m’adresser ce message, pour infos à toutes et tous

    http://www.ville-portlouis.fr/Vie_municipale/Mediatheque/default.aspx?Art=2179&qry=qry=

    Les Litt’Orales de Port-Louis
    Categories: Vogue la galère , C’est la Fête , Chemin Faisant |

    Comme son nom l’indique, Les litt’orales est un festival où l’on fait l’amour oral aux mots. (Ça promet n’est-ce pas !)
    Le festival des Litt’orales, qui a pour thème « les traversées » se déroulera au Port-Louis du vendredi 25 au dimanche 27 juillet.

    Festival qui a lieu chaque année depuis 2003, (ça fait 6 ans déjà)… dans la poétique presqu’Île de Port-Louis en Bretagne, Morbihan Sud.

    Les litt’orales 2008
    Litt’Orales de Port Louis.
    Au programme, bien d’autres délices, tant poétiques que bretons, sont prévus. En commençant par une soirée de contes en cie. du conteur Achille Grimaud qui nous racontera « la légende de la mort », textes d’Anatole Le Braz: « Des récits à vous couper le souffle où paysans et lavandières croisent sur leurs chemins l’Ankou. Mais comme Achille a peur du noir, il a préféré s’accompagner du quatuor à cordes, Zeste »

  33. Coquillage

    Qui m’a possède tous les trésors de l’Orient
    Faits de vers réguliers de mots simples et beaux
    où les sons se répondent et s’écoulent comme l’eau
    qui procure à la terre un aspect souriant

    Alain

  34. La nacre

    Prise en main par les hommes dégrossie policée
    Elle fait très vite partie des meubles où elle s’incruste
    Elle se remarque en mercerie où elle s’entoure
    avec sagesse et habileté de fil très fin
    en joaillerie elle sert d’écrin aux pierres précieuses
    Elle tient aussi une place de choix dans les écrits

    Alain

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *