74 réflexions sur « Voler »

  1. J’aimerais autour d’elle voir voler les mots avec la même aisance
    ____

    Cambrure des reins
    L’élégance du mouvement
    Gracile silhouette
    ____

    Bonsoir et bonne nuit à chacun.

  2. Voler au temps du temps, quand le corps se dérobe
    et changer d’horizon tout en restant probe
    la tête en arrière et pas dans le guidon
    prendre un recul aérien et sa vie aérer
    quand on a passé son temps à errer
    que tout ceci ne soit pas bidon
    et de l’enfance retrouver
    cette douce envolée
    lyrique
    sans hic
    mais et nunc
    car il faut révêler
    plus que de petits secrets
    et en apesanteur

  3. pirouette, pirouette
    ma pirouette est chouette
    j’ai du ciel par dessus la tête
    du soleil plein les mirettes
    et du sable en étoiles
    dans mes bras
    en balancier
    agile
    portés par l’élan
    qui tourbillonne
    légère
    légère
    ma pirouette
    ciel par dessus la tête
    ma tête d’enfant
    ma tête
    qui s’envole
    qui disparaît dans l’infini du monde
    voltige
    équilibres acrobates pris au temps des bonds et des sauts
    pirouettes

  4. Les pieds sur terre
    Le cœur à l’envers
    Une baie de lune

    Pieds sur le sable
    Ton silence m’accable
    Le ciel azur

    L’enfant léger
    Voltige et pirouette
    Contre tes baisers

    Les pieds sur terre
    Le cœur au travers
    D’une flèche brisée.

  5. La gymnaste

    Elle est rigide et souple sa taille est élastique
    Elle a les reins solides d’une bouteille en plastique
    Et des abdominaux comme des touches de piano
    Elle possède la force et la met en musique
    Posant ses mains comme des notes sur la portée
    Elle tourne dans l’espace comme un disque de lumière
    Variant les accords mesurant les effets

    Alain

  6. Le plongeon de haut vol

    Les pieds sur le rebord le corps en équilibre
    Percher comme un oiseau jugeant de la hauteur
    Faites abstraction du vide et gardez l’esprit libre
    respirez sans effort dominez votre peur

    Les jambes faisant ressort donnez une impulsion
    Prenez de la hauteur basculez dans l’espace
    Tournant comme un rocher plonger comme un rapace
    Concentrer dans l’instant toutes vos émotions

    Agissez comme l’acteur utilise son trac
    Mettez en parenthèse la peur qui vous contracte
    Ne vous dissociez pas au moment du contact

    Un beau plongeon si il est réussi
    Doit soulever le cœur comme une poésie
    Où se mêle rigueur couleur et fantaisie

    Alain

  7. Voler… voler sans liens
    sans donner à la vie
    le temps défiler
    voler…voler pour rien
    pour s’enfoncer plus loin
    dans un rêve de ciel bleu
    voler…voler soudain
    au plaisir de renaître
    Et celui de passer
    voler voler…enfin
    pour dormir apaisé
    dans une danse sans fin

  8. Le corps en virgule, le cœur sans pesanteur,
    D’une corde en cheveux de fée s’élancer,
    Ne pas retomber surtout, ou bien si tard,
    Que l’on pourra faire un petit peu rimer,
    Dur renoncement et doux soulagement.
    _________

    Chacun donne délicatement de soi, ici, comme d’habitude. Comme c’est précieux…
    Thierry, j’admire toujours ta si jolie manière de jouer avec les mots.
    Bonne journée, je vous embrasse tous.

  9. Coquillage

    L’été au bord de l’eau les filles sont magnifiques
    L’une écarte les bras et s’apprête à voler
    L’une danse sur un pied pour montrer qu’elle à froid
    une autre à chaque vague émet un cri d’effroi
    leurs rires sont sonores et leurs grimaces comiques

    Alain

  10. Elle chante avec le vent
    Elle vole sur la plage
    Elle dessine des arabesques
    Elle est légère comme l’air
    Elle est belle, elle est jeune
    Tous ses gestes sont expression
    Son corps exulte de volupté
    La poésie est dans sa grâce
    Elle joue…… elle est oiseau
    Elle est papillon, grenouille et sauterelle
    Elle glorifie l’été, le soleil et la joie d’être

  11. Icare

    Quel bonheur ce doit être de voler sans raison
    sans barreaux aux fenêtres hors de toutes prisons
    De quitter la terre ferme en quelques mouvements
    D’écouter sur la mer les sirènes du vent
    Comme le roi Ulysse qui erra d’île en île
    voler comme une note entouré de silence
    comme la feuille morte au gré du vent fripon
    Et sentir ce frisson qu’ont les plumes dans l’air
    En découvrant la terre et le toit des maisons

    Alain

  12. souvent je regarde le plafond.
    Soudain les lustres sont des arbres
    Les fenêtres sont basses
    El les portes doivent s’enjamber.

  13. Voler ou lover
    voleter ou velouté
    dans ces suspensions…des soupirs…ou des happenings
    figer l’instant
    fixer le mouvement
    viser au plafond
    changement de repères, pas orthonormé
    et se mettre la tête à l’envers à s’étourdir
    penser un autre endroit sans défaillir
    se prendre pour une mouche ou une araignée
    passer au tumbling et sur le tremplin
    se payer quelques secondes de ressource
    en micro pesanteur
    bref toujours s’envoyer en l’air
    ou flotter dans l’azur

  14. youps, s’envoler tout de bel, parfois dans le plus lourd, rend le léger tellement, et engage à se vivre, dans ses douceurs la vie, de belle volupté,

    aérienne, la photo,
    yaouh, je n’ai jamais réussi cette figure de gym…
    quelle légèreté!

    belle journée pour chacun!

  15. Pourquoi s’apesantir et ne pas s’esbaudir
    dans des rebondissements sans arrondissements
    décaler sans caler, tressauter sans sursauter

  16. Acrobatie

    Dans toute création aérienne, esthétique
    se mêlent figures acrobatiques et pas de danse,
    c’est à une balade sensorielle émotionnelle.
    Qu’invite l’acrobatie derrière les apparences

    Les acrobates se propulsent dans les airs,
    Enchaînent les salto les sauts les pirouettes
    Ils déboulent tourneboulent et repartent en arrière.
    Et leurs figures au sol deviennent planétaires

    A l’image des étoiles qui éclairent l’univers
    se trament tout un réseau de relations humaines,
    de luttes de solidarités de concurrences.

    le danseur acrobate par la force du geste
    traduit les sentiments de l’homme qui grandit.
    Ses échecs, ses espoirs et son obstination

    Alain

  17. Pirouette légère
    Dans l’azur et la liberté
    Oiseau bleu sans fil qui te retiens à la terre
    Pirouette de l’esprit piégé
    Pirouette pour tout recommencer
    Infiniment
    Belle image Ossiane
    AA

  18. plonger dans le grand océan de la vie
    le souffle habile transporte
    s’accordent le corps le cœur et l’esprit
    embrassant la terre et le ciel
    petite fille rêve sa vie
    solide arc en soi se déplie


  19. alors Hermès
    et le sol me lâche

    il raconte Hermès :
    le seul dieu qui fit rire Zeus
    lorsqu’il affirma
    qu’il ne mentait plus

    moi empoisonnée
    (l’hypothèse du mensonge)
    je perds ta main ferme
    ton dos de statuaire grecque
    et m’enlise dans la misère du commun
    – disparition donc tromperie –
    existe-t-il, existe-t-il
    quelqu’un qui soit à l’abri
    toujours
    de la pensée vulgaire ?
    il y a si peu de grandeur
    en nous
    donc : Hermès aux semelles ailées
    mentait
    je l’ignorais
    et alors ?
    nous ne sommes pas des dieux,
    nous

    Catherine Weinzaepflen / Le Temps du tableau…

  20. Saltimbanque, acrobate,
    Artiste du mouvement ,
    Equilibriste de l’été,
    Marionnette désarticulée,
    Danseuse des sables,
    Elle se veut tout à la fois
    Sauter, voltiger, s’envoler
    Légère comme l’air,
    Frôler l’apesanteur,
    Libre et maître de son corps
    En dépit des lois physiques.
    Encore un rêve de petite fille
    Comme on en voit souvent
    Dans l’insouciance des vacances,
    De ces fillettes dont la souplesse
    Laisse les plus grands émerveillés
    Un petit ressort lancé sur la plage
    La tête en bas, les pieds en l’air
    Entre sable blond et ciel tout bleu

  21. Changer les perspectives
    et renouveler la vision
    afin de laisser dans la remise
    tout ce qui serait directives

  22. signer
    de son corps
    le sable infertile

    assaut de la LETTRE
    sur la portée
    des traces
    passages antérieurs
    de tant de tentatives
    à tendre sa raison
    contre le caisson froid des convenances

    effort
    pour promouvoir
    hors de la finitude
    le souffle de la VIE

  23. Tenir la terre entre ses bras
    Voler entre ciel et sable
    Insouciance et force de la jeunesse
    Tout est possible

  24. Trapèze volant

    Je ne suis pas marchand mais simplement artiste
    Mon cœur n’est pas à vendre mon amour c’est la piste
    J’écris des poésies pour montrer que j’existe
    De simples friandises dont j’agrandis la liste

    Qui rendent la vie meilleur et les regards moins tristes
    Les projecteurs s’allument je m’attache à un fil
    La salle fait silence ma plume se balance
    Chacun retient son souffle tous les regards se figent

    Chacun ressent la peur que donne le vertige
    Quelques cris retentissent quand enfin je m’élance
    Devant les spectateurs ainsi qu’un projectile

    Je jongle avec les mots je suis un trapéziste
    Je fais des cabrioles au-dessus de la piste
    Je tombe et me rattrape aux mots in extremis

    Alain

  25. L’avion

    Pour s’élever de terre et voler dans les airs
    Pour grimper vers le ciel azuré des conteurs
    Il doit compter sur l’aide de ses puissants moteurs
    Et sur l’art du pilote qui sait lire les compteurs

    Les ailes déployées le bel oiseau rapace
    s’affranchit de la terre et découvre l’espace
    il vole suivant des lignes comme une pointe de crayon
    et reflète le soleil qui lance des rayons

    ses ailes n’ont pas de plumes et sa tôle est en zinc
    il brille dans le ciel comme ferait une épingle
    Pour rapprocher les hommes aux fragiles cœurs de verre

    Il traverse la nue en lançant des éclairs
    tel un ruban flottant aux cheveux d’une femme
    Il laisse dans le ciel comme un peu de son âme

    Alain

  26. Voici l’heure
    enfin l’heure de voler

    Impulsion salutaire
    pour le sablier de nos heures
    oubliées

    Voici l’enfance
    de l’épure
    il ne reste à traquer

    Que les souvenirs
    de chemins creux et de veillées
    bric à brac d’arbres à plumes
    et de fleurs à grelots

    Encore l’enfance
    qui bat ses vieux tambours.

  27. Faut il avoir un grain
    pour changer d’optique
    et se voir bien en train
    d’égarer les sceptiques
    sans « fosse » combine
    rien de plus ascétique
    que de brasser de l’air
    fouler les convenances
    sans air d’abstinence
    et dans la voltigeance
    avoir tant d’obligeance
    que de se mouvoir
    sous se voussoir
    c’est créer l’espoir
    de retournements
    de situations

  28. En clin d’oeil à  » l’insoutenable…..  » Voir ici l’admirable « légèreté de l’ëtre »…

    Un salto arrière
    pour prendre de la hauteur
    L’envol magistral

  29. il sont beaux tes mots, Monique,
    je les vis dans ce moment,
    je vis tes images, Ossiane,
    je sors d’une réunion de la retraite à considérer POUR VIVRE pour une adulte handicapé, des assos de Sarthe, Maine et Loire, Loire Atlantique…
    UN MOMENT FORT DE FORT,

    *et puis ce petit livre déjà papillonné de lu, si FORT DE FORT
     » C’est plus fort que moi dans ma tête c’est un enfant de l apei Les papillons blancs Ouest 44  »
    yaouh, c’est fort et je te cite, Monique,

    «  »En clin d’oeil à ” l’insoutenable….. ” Voir ici l’admirable “légèreté de l’ëtre”… » »


  30. … et une bouée … pour l’atterrissage ?

    Christineeeeee : je me marre !
    et j’retourne dans mon jardin
    sous le soleil
    sans déployer mes ailes !

  31. Nous rappelons à nos aimable bloggers que les substances illicites ne sont pas recommandées. Hein Christineeeeeeeeeeeee !!!!!!! (sourire).

    Tu nous amuses bien cavalière ! Et dès que y’a des bêtises les deux Bourrache sortent du bois. Sont pas les dernières à faire les zouaves moi j’vous l’dis!!!


  32. Sé où kon peu la trouver cette liste : « Ils l’y citent » … ???

    .. encore un site macho, je présume !

    Remettez-moi une troisième Bourrache, siouplaît…

  33. Les moteurs du ciel

    Pour parcourir le monde comme les caravelles
    Comme il n’avait pas d’ailes l’homme a crée l’avion
    Moderne oiseau du ciel qui porte sous ses ailes
    Des moteurs en étoiles et d’autres à réaction

    Alain

  34. Bonjour Ossiane, cela faisait bien longtemps, mais une envie, quel plaisir.

    Voler

    Qui, poète à ses heures et amoureux des mots,
    N’a pas cherché de sa plume légère
    A les faire s’envoler telles des montgolfières
    Enflées de sens cachés et multiples signaux ?

    Écrire la tête dans les nuages blancs ;
    Survoler les âmes sur les ailes du désir ;
    Mélanger les rimes ; imaginer l’avenir ;
    Se changer sans vergogne en chevalier blanc.

    Des histoires pour rire et enfourcher le vent ;
    Raccommoder les rêves ; redevenir enfant ;
    Voler aux mots, la force et la faiblesse.

    La mine sur le papier comme la trace d’un avion,
    Dessine les contours d’un voyage d’exception,
    Car il vole celui que les mots renversent.

  35. Lettres

    Les unes volent de leurs propres ailes
    Elles se nomment voyelles
    Les autres attendent qu’on les sonne
    Elles sont dites consonnes

    Gardons un œil sur elles
    Elles circulent comme les atomes
    Comme les feuilles en automne
    Ou comme les hirondelles

    le monde qu’elles dessinent
    bien souvent nous fascine
    prenez les comme elles sont

    chacune d’elle a un son
    et quand l’une nous fait signe
    c’est pour en tirer leçon

    Alain

  36. Sa vie de gravité
    Elle la vole légère
    En choisissant de vivre
    La poésie du temps
    La bise douce de l’air
    Lui murmure le petit bois
    Les fleurs sont ses fidèles
    L’amitié s’aime sincère
    Cette vraie belle de pure
    Respire par tous ses sens

  37. Il n’y a que les baisers que l’on vole ..et les ailes blessées ..les sacs qui se tirent..par des ados égarés ..C’est une soirée ordinaire..clignote le curseur..d’un oiseau moqueur..pour une histoire familière ..par elle racontée…Il n’y a que les baisers qui s’envolent..la page abandonnée..plancher et herbe folle..la nuit en réalité ..C’est une chambre sans air..une allure mansardée ..un I Phone de verre..les mots abandonnés..Il y a dans le sac..un baiser blessé..un drap qu’on tire..les rêves déplies..

  38. Passage tardif, le temps d’une petite envolée. Bonsoir tous

    Marcher la tête dans les nuages
    Ne serait-il pas plus aisé d’y poser les pieds
    Pulsion du sol, rebond des mains
    Exercice périlleux pour atteindre le ciel
    La tête à l’envers se souvient
    Qu’en caressant le ventre des oiseaux
    Elle avait imaginé s’accrocher à leurs ailes
    Planer un moment, caresser les étoiles
    Ecouter le secret des hauteurs
    Redescendre et chanter leur histoire
    Mais tout cela devait se faire très vite
    Le temps d’un tourbillon, d’un coup de vent
    Abandonner toute idée de bon sens
    Le temps d’être un peu fou
    Gesticuler comme un petit pou de sable
    Repartir la tête basse vers d’autres folies encore
    Et au final, voir la vie autrement, sous un autre angle.


  39. Avec le ciel au-dessus d’ici pour me rappeler que le ciel
    est également de là-bas, qu’il peut voir par dessous la ligne
    où, pour nous ici, ce qui a cessé d’être visible.

    Et le cri de cet oiseau qui reprend, qui est un appel.
    Sans doute vient-il d’un autre monde, il en rapporte l’or
    quelque paille, au plus creux de son nid que l’on ne voit pas

    Yves Bonnefoy

  40. E vola vola si sa

    coeur éperdu
    la vie s’en va
    l’enfant perdu

    A pigeon vole
    l’enfant qu’on fut
    toujours s’envole
    au coin des rues

    il court il court
    le temps furet
    des anciens jours
    bonheurs regrets

    il a passé par ici
    il repassera par là
    fuyant les soucis
    d’amour jamais las

    enfant perdu
    la vie prend la
    à coeur éperdu
    e vola vola si sa

  41. Il y a une chose qu’on ne peut voler à personne : c’est l’amour que l’on reçoit.

    « Aimer est la seule richesse qui croit avec la prodigalité. Plus on donne et plus il vous en reste » (Romain Gary)

  42. Vole cent vols
    Aujourd’hui
    Serrer ses parents
    Puis une fille
    Et l’autre
    Partager un repas succulent
    Avec la seconde
    Un verre de blanc
    Et de rosé
    Après un punch de mmmhh
    Quels bonheurs purs
    Que ces enfants
    A eux de quatre
    Si douces serrailles
    L’envol précieux
    Comme c’est bon
    D’être accueillie si bel joli
    Merci la vie
    Pour ces bels vols

  43. Vole vole papillon
    Jette au vent ta svelte silhouette
    juste le temps d’un tourbillon
    Au-dessus de la planète

    Vole vole la fillette
    Comme feuille dans le vent
    Une belle pirouette
    En petit salto avant

    Vole vole enfant du rêve
    Vers l’infini inaccessible
    Qu’un léger souffle t’enlève
    Au pays des impossibles

    Vole vole demoiselle
    Dans ton petit corps d’enfant
    Laisse et sens pousser tes ailes
    Elles t’emporteront loin des méchants

  44. .

    Alain a passé son week-end en parapente sans filet; il avait emmené son pique-nique et sa thermos de café. Juste le souffle d’une brise…
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    >Petit coucou à amichel et Sylvaine !!!

    >Un grand coucou à Jean-Louis qui s’est enfin décidé à sortir un beau poème de sa malle aux trésors;-) !!!

    >Bienvenue et merci à Harmonie pour ses jolis mots de poésie !!!

    >Un super grand coucou et un mille merci à tous ceux qui se sont lancés sans parachute dans l’espace de cette page avec leur plume véloce et aérienne! Ils nous ont fait planer en beauté, en émotion, en légèreté, en gaieté, en tendresse !!! Pas de blessés ni de rescapés à l’arrivée mais que des poètes aux ailes d’ange pleins de sérénité.

    Belle nuit à tous, je vous embrasse !

    Ossiane
    .

  45. Bel envol pour toi Annick aujourd’hui le bonheur au dessus du sol le coeur heureux le coeur léger c’est bon de s’envoler en joie pure, bouffée d’air et gourmandise, contente pour toi . Bonsoir et bonne nuit

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