Lecture du Haïku Calligramme: de haut en bas
Crinières au vent
amazones au galop
à perdre haleine
L'Oeil Ouvert : photo et poésie
Haïkus et calligrammes, rêverie sur le monde… le voyage imaginaire d'Ossiane
Lecture du Haïku Calligramme: de haut en bas
Crinières au vent
amazones au galop
à perdre haleine
Rêve d’insouscience
D’aventure et de connivence
Un bain de jouvence
Dans l’insouciance on fait mieux!!! merci d’enlever la première version qui salit cette page. merci Ossiane
Rêve d’insouciance
D’aventure et de connivence
Un bain de jouvence
chevaux dans la nuit,
armée d’ombres intenses
dans le poudroiement
L’orage
Les éclairs luisent de tous côtés l’orage roule
comme le soir durant l’été les jeux de boules
se mettent à faire les carreaux
sans écouter chacun s’explique, on dit des mots.
Sans ridicule chacun retourne à ses travaux .
quand l’un avance l’autre recule.
C’est une sorte de bascule.
c’est une danse à l’évidence pour le piano.
Alain
C’est frais, c’est tendre, c’est beau.
Belle journée.
Faisceau de lumière
Cavaliers de l’orage
D’or et de sable
…
et une pensée pour Alix … et pour toi un bisou
Coquillages
Ils possèdent les chansons dont ils ont hérité
Qui ont trait à l’enfance à des cheveux mouillés
A des poneys sauvages qui se ruent vers les plages
Achevant sur le sable leur splendide équipée
Sans rêne sur l’encolure, sans guide pour les tenir
Sans selle sur le dos ils courent au grand galop
A chaque gerbes d’eau simulant les éclairs
le bruit de leurs sabots fait entendre le tonnerre
Alain
Merci Annick !
Christineeee mène la danse …
Carrousel
jusqu’au bout de l’envie
la ligne tracée
Cheveux de feu
A brins solides
Touchés par le blanc du soir
A Monique : « l’insouscience », ce n’était pas mal non plus… Sous la science, le rêve de l’Un…
Amicalement
Telle une fresque antique ..
Cavalcade d’eau et de feu
vers un autre ailleurs
pensées à Christineee qui elle aussi chevauche les prés fleuris de » l’insouciance »
Cheveux au vent bien sûr….
Avec les autres galopins
Alors on rigolait un brin
On enfourchait balais de paille
Et nous allions livrer bataille
C’était le temps des galopades
Celui qui était le plus gras
Il jouait le sergent Garcia
Alors on lui portait l’estocade
D’un Z au bruit de zip
Zic ! zic ! zic !
Il y a moins de justicier de nos jours
Plus de Sergents dans les cours
Avec S, est-ce S ?
S ! SS !
Je ne vois pas leur visage…je ne sais pas comment ils voyagent..j’imagine mal leur âge…Je sais qu’ils peuvent être provocants ou sages…passeurs d’images…fidèles ou volages… « Amazones »….Juste un mot posé sur une page…..ou….?
On devine les traits..on imagine les jambes de côté…ou..cette vie entre femmes… »qui ne s’unissent aux hommes que pour enfanter »…sourire..et on trouve un autre passage…
Les mots ont un visage…des jambes..un passé…Ils se posent sur les touches d’un clavier..s’égarent sur les lèvres ..hésitent..fondent en larmes..passent d’une ligne à l’autre..d’un rêve à une couleur..Les mots ont des courbes et des déliés..des jupes légères ..des ouvertures éclairs…Passagère…mer..crinière…cavalière..des mots en air que l’on trouve sur …les bords de terre..les confidences à la lisière..le passage à la lumière..
J’aime bien cet éclair Ossiane…ce chemin de mer..je ne vois pas leur visage mais je sais maintenant comment les mots voyagent..
Dans l’or du levant
L’aventure au galop
Liberté feu-follet
Un bel « Eclair », Ossiane, splendides photos…Un bonjour amical à toutes et tous..et aux amazones du blog..
apocalypse
Quatre galops à cheval
Le tapotis des pattes
Et le roulis de la mer
Les cheveux volent au vent
La bise si doux baiser
Si tendre filet de lumière
mmmhhh, joli, PierreB…
Les épaules légères
Son sac à dos resté
Le galop prend l’allure
Joli tout droit devant
La liberté embrasse
L’horizon happe aussi
Pas de camisole de terre
L’être est bel vivant
Il fait tendre à la tombée du jour, le ciel est fort doux dans l’instant, un bel spectacle que celui ci, quatre cavaliers et cavalières, l’oeil est trop loin, il peut se tromper, et ce qu’il voit il se regarde être, il est grimpé sur un cheval, et au galop, il se désorbite, quitte le corps, nage la mer, prend son galop avec le sable, il crie de joies, exprime si fort, puis il se calme, reprend le trôt, enfin, la marche légère et douce…le cheval se souffle, son hôte se laisse aller, un grand moment de liberté. La main caresse la crinière si tendre, le cheval et la main si douce osmose pleine, de la chaleur, du doux, du bon,
et la caresse du vent.
Sabots et fers aux frais
Ratissant le sable
Démarche funambule
Sur un rayon de lumière
Il fait tendre à la tombée du jour, le ciel est fort doux dans l’instant, un bel spectacle que celui ci, quatre cavaliers et cavalières, l’oeil est trop loin, il peut se tromper, et ce qu’il voit il se regarde être, il est grimpé sur un cheval, et au galop, il se désorbite, quitte le corps, nage la mer, prend son galop avec le sable, il crie de joies, exprime si fort, puis il se calme, reprend le trot, enfin, la marche légère et douce…le cheval se souffle, son hôte se laisse aller, un grand moment de liberté. La main caresse la crinière si tendre, le cheval et la main si douce osmose pleine, de la chaleur, du doux, du bon,
et la caresse du vent.
le trot, sans le trop de ^, c’est plus léger…sourire…
il y a des fois ou il faut savoir s’effaçer… le moment est venu… je laisse les poemes et les mots à ceux qui savent vraiment nous faire rêver.. tel un éclair. ceci et mon dernier passage sur le blog… Amitités.
Le cheval
Le dieu bon qui m’a fait, m’a sorti de la mer
J’ai le don de la course et l’allure toujours fière
D’un splendide vaisseau, mais mon sort est amer
Je cours sans être libre, et je vis dans les fers
Alain
–
Salade : hippocalypse…
–
Bonjour à la Compagnie !
Merci Ossiane pour cette note équestreeeeee !
Et clin d’œil à ceux qui m’en ont envoyé un !
eeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee
Sur le sable mouillé,
Espace illimité,
Etendue à perte de vue,
Frappent les sabots légers
Et soufflent les chevaux
Pris d’une extrême « excitation
Qu’il ne faudrait pas confondre
Avec la bonne impulsion ! » (1) !
Mais aujourd’hui, tant pis,
La carrière de dressage
A pris des allures de vaste plage
Où l’allongement des foulées
Ne sera ni retenu, ni entravé,
Où aucune cabane, aucun « algéco » (2)
Ne pourra faire dévier d’un pouce
Une Cambo lancée en plein galop !
Dans un lâcher tout, bride abattue,
Chacun pour soi, on ne se suit plus…
Devinez qui sera première à l’arrivée ?
Une Cambo, bien essoufflée,
Et une Christineeeeee
Bien contente d’avoir enfin trouvé…
Où se cachaient les freins,
Qui ne répondaient plus vraiment bien ! (3)
Biseeeeeeeeeeeees de l’amazoneeeeeeeeee !
(1) Expression directement tirée de mon protocole de dressage d’hier !
(2) Un « algéco » bien près de la piste n’a pas été très apprécié de Cambo !
(3) Essayez donc d’arrêter votre voiture lancée à toute allure… sans les freins !
Et pour que vous puissiez mieux situer l’histoire de « algéco »…. suivez le lien !
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http://2.bp.blogspot.com/_30E2V-5E6Nc/ShqY8BMRqXI/AAAAAAAADRI/t7JBhqU9S-8/s1600-h/P1250052.jpg
___
Merci de confier tes ressentis, christineeeeeee,
je ne suis pas à l aise avec la vitesse, j’aime le plus lent,
et j avoue qu’à cheval au galop, je ne sais pas si …peut être ma dernière heure…
et puis si le cheval s’emballe, ou ruade???!!
Bravo à toi d’être intrépide!
Ou alors que peut être
Serrée collée en cavalière
Avec mon cavalier
Sécurisé par lui
Né presque sur un cheval
Alors je me laisserai aller
Conquise apaisée
Dans un galop fou
Sur une longue plage
Et oui de oui
Ressentir la bise dans mes cheveux
Son souffle chaud dessus ma nuque
C’est un bel galop qui me plait
Magnifique!
Sur les rails du tant
Les chevaux prennent du bon temps
La fermeture éclair du ciel
S’ouvre ses couleurs de miel
Le sable est doux tout émouvant
Les cavaliers galopent ô temps
L’objectif fixe ce délice
La main appuie le bouton lisse
Cet instant là éternellement
Se donnera son bel instant
De l’orge à l’orage, le trot peut et le trop peu, le mors aux dents aussi
le pas appât, qui concentre et attire, pas miroir aux alouettes mais avec un cheval on fait bien un paté et sur la plage même plusieurs et parfois de crottin
quand au galop il suspend l’espace d’un instant les jambes et pour qui tâte du paturon et pas que du paturin, l’espace est primordial pas que comme un cordial
il faut du licol lacher la bride, lacer les éperons d’acier et dans les arçons mettre un peut de vitamine.
Désolé si je suis un peu fougueux voir rétif, on pourrait être festif et plus rugueux
mais quand le vif argent jaillit sous les sabots, que les fers jettent de brefs mais clairs éclats c’est une histoire à s’emballer alors que raison et calme il faut garder.
Un galop peint…oui mais du Turner alors !
Pas de mise sous séquestre de nos émotions
un trop plein, flot impétueux ou impénitent
c’est dans la cavalcade qu’on cale ou se gâte
Pâle effroi qui renacle et nous sort du cénacle
Piquer des deux, des phares ou des fards
jeter inconsidérement toutes ses forces dans la bataille
à la tonalité équestre de milieu de trimestre
choir ou choisir faute de mieux le bourrelier
rapetasser et rembourer une selle de crin
cingler et harnaché courir le vent sonné
monter à cru après l’étreinte dans la mise à nu
Mordre la poussière et sortir des glissiéres
descendre la visiére, serrer la mentonniére
et faire la bombe comme si c’était la dernière
mordre l’épis et la jachére, fouler la paille et la jonchée
hennir de peur et d’amitié, calmer son ire assomée
Pour monique: la science du cheval est le fruit d’un long travail alors un sou est ce bien suffisant pour ce qui vous paie au centuple de flatter l’encolure et de parler à ce noble animal au port de tête altier; des steppes Kazakhs on semble pouvoir situer le début d’une domestication qui ressemble plus à une acclimatation réciproque des équidés précoces et de sélection de races.
J’aimerai te faire rire, Rachel, mais seul le silence me paraît du moment un sûr allié,car de mes mots fous je me méfie qui pourraient faire jaillir contrariété.
Christine comment parle t on du souffle des naseaux, je me sens limité dans l’expression ?
Bonne soirée lourde et orageuse, et merci ossiane de cette charmante promenade d’ado à dos, c’est équitable pour qui table sur un sûr moyen de locomotion tout terrain.
Jeu d’horizontales et cette verticale perpendiculaire. Très beau.
De votre part, beaucoup d’indulgence
Et même une certaine élégance
A pardonner avec art et bon sens
Et me donner bonne conscience
merci, merci
thierry :
Pas de limitation
Dans un souffle
Cette respiration
Reste une bonne expression !
Et l’hippocalypse de Bourrache me fait bien rireeeeeee !
Suprême harmonie de beauté
Liant l’élégance des silhouettes des cavaliers
Et celle de la mer dans ses reflets d’argent
J’ai des souvenirs de matins et de soirs
Où j’ai laissé couler en moi une sensation d’ivresse
Devant ce spectacle sur les côtes normandes
Une impressionnante force s’en dégageait.
Venait-elle de la mer ?
Venait-elle des chevaux ?
Elle était réellement présente
Et me laissait dans l’expectative
Le temps d’un éclair,
De la fusion du bruit des vagues et des sabots.
au haras
il y a un manège
où courent des chevaux beiges
élancés dans le sable des vagues
ils galopent agiles comme » » Crinières au vent
amazones au galop
à perdre haleine « »
artifices des cavalières fières des courses folles
au haras
il y a des pouliches
crinières en banières
fragiles agiles
haies
grains de sable
mon amazonne
frivole volage à la monte polisonne
cavalière
sur un air de tango perdu
http://www.youtube.com/watch?v=pDNxOQG34rU
https://blog.ossiane.photo/2009/05/25/eclair-2/#comment-60572
[b][[/b][b][/b][b][/b]b]au haras
il y a un manège
où courent des chevaux beiges
élancés dans le sable des vagues
ils galopent agiles comme” » Crinières au vent
amazones au galop
à perdre haleine “”
artifices des cavalières fières des courses folles
au haras
il y a des pouliches
crinières en bannières
fragiles agiles
haies
grains de sable
mon amazone
frivole volage à la monte polissonne
cavalière[photo]23821301[/photo]
sur un air de tango perdu
http://www.youtube.[/b%5D%5Bb%5D%5B/b%5D%5Bb%5D%5B/b%5Dcom/watch?v=pDNxOQG34rU
http://fr.netlog.com/go/manage/blog/view=add
Chevauchée d’ombres
aux foulées vaporeuses
éblouies d’écume
Au bord de la mer
Les amazones d’un soir
Chevauchent avec grâce
Dans un rayon de soleil
Se profilent en ombre chinoise
Bord de mer
Le manteau de la nuit est parti en lambeaux
Des chevaux sur la plage effectuent leur navette
L’océan refroidi est un vaste miroir
Des flèches de lumière viennent s’y refléter
Apollon le dieu blond fait résonner la lyre
Des gouttes de lumière s’échappent de l’instrument
Les notes cristallines sont un enchantement
Ces fils de lumière sont la trame de nos vies
Un jour nouveau est né sur le métier des dieux
Alain
la mémoire vivante
cavale
au bord de l’invisible
Quel plaisir de chevaucher avec vous tous!
Les mots se suivent, s’enchaînent
en cavales bien sages
à la queue leu-leu
le crin dans les naseaux
et parfois l’un d’eux s’ébroue
au pas au trot
un petit galop
de temps à autre
l’on se pose et rit
l’on respire
l’on souffle
et l’on repart
de plus belle
jusqu’au bout de l’ivresse
dans un éclair fuir
sur des baleines échouées
ressac cocotier
HELLO !
SOUVENIRS DE RANDO
Coucou les cavaliers et cavalières
Qui montent des journées entières
Du levant jusqu’au couchant,
En randonnée, et par tous les temps !
Chevaux et cheveux au vent,
Chapeau bien attaché, ou casquette envolée,
Sur les chemins bien tracés sur le papier
Ou perdus, effacés ou disparus dans la réalité !
Combien de demi-tours, combien d’heures d’errance
Nous avons effectué, cherchant l’itinéraire,
Ou le bon sentier au milieu de la forêt !
Parfois une clôture, pas prévue au programme,
Et voilà une boucle de plusieurs kilomètres
Qui s’ajoute à tous ceux déjà effectués…
Dure sera la journée, sous la chaleur ou dans le froid,
Mais à l’arrivée à l’étape,
Quand chevaux rassasiés par bons grains et bon foin,
Quand tout le monde aura enfin satisfait sa soif et sa faim
Il fera bon dormir un brin
Pour continuer le lendemain matin !
Biseeeeeeeeeeeeees de Christineeeeeeeee
PS/ Connaissez vous mon blog « spécial chevaux » ?
C’est dans l’Echo des Sabots !
http://echodessabots.blogspot.com/
_____
Merci à aspe pour son petit espace musique d’hier soir.
« Amazone » en un éclair me suis remémoré le roman de Fermine, rien à voir avec les chevaux, mais à voir avec la musique, à voir avec le rêve, avec le voyage non pas en Normandie mais en forêt amazonnienne . En voici un petit extrait pour Ossiane qui aime comme moi cet auteur qui sait si bien traduire les impressions les plus subtiles des hommes.
« Amazone n’était pas de ces êtres qui s’épanchent facilement. Il savait garder en lui la résonance de ses émotions, et toute la gamme des sentiments que son coeur s’amusait à égrener en sourdine, il la jouait pour lui seul, comme une musique douce-amère dont chaque note véhicule une passion, une langueur et une tristesse qui ne se partage pas »
Il y a des mots comme ça qui font surgir des souvenirs de vie ou de lecture, et il est vrai, que n’ayant pas la chance comme Christine de me balader à dos de cheval, sauf sur le dos d’un brave camarguais, Amazone évoque plus naturellement les grandes étendues de forêts, mais à bien y regarder il s’agit d’une forme d’évasion, qu’elle soit sur le dos d’un cheval monté en amazone ou en rêve vers des contrées lointaines le plaisir reste entier.
Comment ne pas songer aux « Cavaliers sur la plage » de Gauguin, datant de 1902.
Ils s’en vont vers la mer. Dans les herbes roses, les sabots ne laissent pas de traces; ils s’enfoncent un peu dans la couleur puis s’amenuisent avant de disparaître complètement sous les ombres bleuies
On devine une avancée de terre à quelques foulées devant eux, puis plus rien que l’eau, les vagues qui arrivent..
Gauguin est venu de loin pour assister à ce début d’histoire: quelques jeunes gens qui se retrouvent , parfois, aux confins de l’île.
Des couples s’esquisseront peut-être. Mais pas encore, ce n’est pas le sujet.Le tableau ne s’intéresse pas à eux; il note les directions prises, la convergence des routes, leurs natures distinctes jusqu’au bout.
Là-bas l’eau ondule comme une crinière.
http://www.picturalissime.com/t/gauguin_cavaliers_sur_la_plage.jpg
Bonne idée Mathilde d’avoir mis en lien cette oeuvre de Gauguin.
Je viens d’en trouver une autre, dans le même style, et du même auteur !
http://www.picturalissime.com/t/gauguin_chevaux_plage.jpg
Biseeeeeeeeeeeeees !
les chevaux vu par Delacroix
http://www.chess-theory.com/images1/01910_eugene_delacroix.jpg
doux et calme
comme le silence
qui annonce la tempête
.
Bonsoir à tous, submergée, je suis depuis deux jours ; je vais avoir du mal à rattraper mon retard mais je vous lis, ne vous inquiétez pas 😉
Alors quelques éclairs de mots sur la page…
>merci monique, tes poèmes illuminent cet espace de beauté, de sagesse et de srénité, merci pour ton élégance en insouciance et bonne conscience !
>brigitte, c’est beau ça… poudre de sable…*
>Bonsoir alain, je te dis la même chose qu’à monique 😉 Surpises renouvelées à chaque fois ! Thanks a lot !
>maria, merci poète amazone 😉 Alix reste gravé dans notre cœur 😉
>et bien oui pierre, tu l’avais deviné 😉 Elle t’a influencée en beauté équine 😉 A quand le grand galop ?
>sophie, ton poème irradie notre vision;-) Merci à toi !
>arlettart, belle cavalcade échevelée vers l’infini !
>jean, très sympa ton poème aux souvenirs d’enfant ! merci beaucoup !
>pierreb, suggestion et ton imagination au paroxysme tel un flash dans la nuit;-) C’est très beau, merci à toi !
>coucou chère claudie, contente de revoir ici en beau galop de haiku ;-)) J’espère que tu vas bien, bises.
>salade, un seul mot de ta part mais toujours un mot bien choisi qui m’amuse souvent 😉
>Annick, tu t’es finalement laissée emporter après une petite hésitation 😉 J’adore me contenter de les regarder à défaut de pouvoir les monter 😉
>Des entrées, des sorties, des retours, des passages sur le blog … sabine, je te remercie pour le temps où tu es resté ici et te souhaite le meilleur pour la suite.
>bourrache, Hippocalypse, il faut le faire 😉
>Sylvaine, ta poésie est vraiment belle et bien sentie… les mots justes, grande photographe funambule 😉
>christineeee, tu vois que je ne t’ai pas oubliée 😉 Grande liberté de tes mots sur la plage, à fond le galop et tant pis pour le protocole !!! Ca se sent que tu es une sacrée cavalière 😉
>Bonsoir stéphane, merci pour votre passage. Beau voyage au Portugal sur votre blog !
>thierry, riches vocabulaire et images de tes poèmes ! On dirait que tu as fait cela toute ta vie 😉
>anne, j’étais là assise, à contempler la mer ; j’ai attendu qu’il se passe quelque chose, il n’y avait plus qu’à déclencher mais tu sais ce que c’est 😉
>aspe, très beau le Cuarteto Cedron dans ta course volage!
>jacline, oui c’était presque ça 😉 Merci pour la beauté de ton évocation !
>fugitive, abtrait, impalpable, mystérieux, ce beau poème est à ton image. Bises !
>fred, ton dernier vers m’amuse beaucoup et ces baleines 😉 Belle imagination féconde !
>mathilde, j’aime les références que vous nous faites découvrir à chaque fois. Merci pour cette belle analyse picturale que je partage. C’est vrai… pas de traces et que le rose subtil de ces herbes est beau ! Beau rebond Christine !
>bonsoir marc, étonnant comme la représentation de ce cheval est à l’opposé de celle de Gauguin si paisible. On y sent la peur, l’orage comme tu dis, c’est très expressif, presque émouvant. Merci pour ton bel haïku !
Nouveaux commentaires sur :
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Bises d’amitié profonde à tous
Ossiane
.
Bonsoir Ossiane, merci pour tous tes mots à chacun d’entre nous, bonne semaine et bon courage. je t’embrasse.
Merci Ossiane , c’est aussi un plaisir de partager vos pages .
A bientôt
Merci pour tes mots chaleureux, Ossiane. Comme Monique, je te souhaite un bonne semaine et de l’ardeur à l’ouvrage car tu ne sembles pas en manquer (de travail) Bises et amitiés partagées.
,Soir, la compagnie
Je rentre d’un stage, de Paris,
Et passe en un éclair.
IL Y AVAIT COMME UN MANQUE !
Encore pire qu’un manque d’air
L’air du pont de l’oeil ouvert.
Avant de rejoindre ma planque
Avant de rejoindre ma bannette
(Tant que je vois encore l’échelle)
Voila : juste vous dire « bonne soirée »
A demain, bel équipage
Bonsoir à tous
Il en est de l’ado lorsqu’il quitte les rives de l’enfance, hésitant encore dans les méandres de l’incertitude pour une grande chevauchée
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Les derniers ramparts
D’un voyage vers l’inconnu
Au loin l’horizon
L’aventure du grand départ
Pour se fondre, dans l’océan.
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J’ai retrouvé chez ML le lien de cette artiste qui réalise des sculptures de chevaux avec du bois flotté trouvé au bord de la mer !
C’est extraordinaire !
Allez y jeter un petit Oeil Ouvert !
http://www.heatherjansch.com/
Biseeeeeeeeeeeeeeeeees de Christineeeeeeeeee