Eclair

Eclair

Crinières au vent, amazones au galop, à perdre haleine

Lecture du Haïku Calligramme: de haut en bas

Crinières au vent
amazones au galop
à perdre haleine

56 réflexions sur « Eclair »

  1. Dans l’insouciance on fait mieux!!! merci d’enlever la première version qui salit cette page. merci Ossiane

    Rêve d’insouciance
    D’aventure et de connivence
    Un bain de jouvence

  2. L’orage

    Les éclairs luisent de tous côtés l’orage roule
    comme le soir durant l’été les jeux de boules
    se mettent à faire les carreaux

    sans écouter chacun s’explique, on dit des mots.
    Sans ridicule chacun retourne à ses travaux .
    quand l’un avance l’autre recule.

    C’est une sorte de bascule.

    c’est une danse à l’évidence pour le piano.

    Alain

  3. Coquillages

    Ils possèdent les chansons dont ils ont hérité
    Qui ont trait à l’enfance à des cheveux mouillés
    A des poneys sauvages qui se ruent vers les plages
    Achevant sur le sable leur splendide équipée

    Sans rêne sur l’encolure, sans guide pour les tenir
    Sans selle sur le dos ils courent au grand galop
    A chaque gerbes d’eau simulant les éclairs
    le bruit de leurs sabots fait entendre le tonnerre

    Alain
    Merci Annick !

  4. A Monique : « l’insouscience », ce n’était pas mal non plus… Sous la science, le rêve de l’Un…
    Amicalement

  5. Telle une fresque antique ..
    Cavalcade d’eau et de feu
    vers un autre ailleurs

    pensées à Christineee qui elle aussi chevauche les prés fleuris de » l’insouciance »
    Cheveux au vent bien sûr….

  6. Avec les autres galopins
    Alors on rigolait un brin
    On enfourchait balais de paille
    Et nous allions livrer bataille
    C’était le temps des galopades
    Celui qui était le plus gras
    Il jouait le sergent Garcia
    Alors on lui portait l’estocade
    D’un Z au bruit de zip
    Zic ! zic ! zic !
    Il y a moins de justicier de nos jours
    Plus de Sergents dans les cours
    Avec S, est-ce S ?
    S ! SS !

  7. Je ne vois pas leur visage…je ne sais pas comment ils voyagent..j’imagine mal leur âge…Je sais qu’ils peuvent être provocants ou sages…passeurs d’images…fidèles ou volages… « Amazones »….Juste un mot posé sur une page…..ou….?
    On devine les traits..on imagine les jambes de côté…ou..cette vie entre femmes… »qui ne s’unissent aux hommes que pour enfanter »…sourire..et on trouve un autre passage…
    Les mots ont un visage…des jambes..un passé…Ils se posent sur les touches d’un clavier..s’égarent sur les lèvres ..hésitent..fondent en larmes..passent d’une ligne à l’autre..d’un rêve à une couleur..Les mots ont des courbes et des déliés..des jupes légères ..des ouvertures éclairs…Passagère…mer..crinière…cavalière..des mots en air que l’on trouve sur …les bords de terre..les confidences à la lisière..le passage à la lumière..
    J’aime bien cet éclair Ossiane…ce chemin de mer..je ne vois pas leur visage mais je sais maintenant comment les mots voyagent..

  8. Dans l’or du levant
    L’aventure au galop
    Liberté feu-follet

    Un bel « Eclair », Ossiane, splendides photos…Un bonjour amical à toutes et tous..et aux amazones du blog..

  9. Quatre galops à cheval
    Le tapotis des pattes
    Et le roulis de la mer
    Les cheveux volent au vent
    La bise si doux baiser
    Si tendre filet de lumière

    mmmhhh, joli, PierreB…

  10. Les épaules légères
    Son sac à dos resté
    Le galop prend l’allure
    Joli tout droit devant
    La liberté embrasse
    L’horizon happe aussi
    Pas de camisole de terre
    L’être est bel vivant

  11. Il fait tendre à la tombée du jour, le ciel est fort doux dans l’instant, un bel spectacle que celui ci, quatre cavaliers et cavalières, l’oeil est trop loin, il peut se tromper, et ce qu’il voit il se regarde être, il est grimpé sur un cheval, et au galop, il se désorbite, quitte le corps, nage la mer, prend son galop avec le sable, il crie de joies, exprime si fort, puis il se calme, reprend le trôt, enfin, la marche légère et douce…le cheval se souffle, son hôte se laisse aller, un grand moment de liberté. La main caresse la crinière si tendre, le cheval et la main si douce osmose pleine, de la chaleur, du doux, du bon,
    et la caresse du vent.

  12. Il fait tendre à la tombée du jour, le ciel est fort doux dans l’instant, un bel spectacle que celui ci, quatre cavaliers et cavalières, l’oeil est trop loin, il peut se tromper, et ce qu’il voit il se regarde être, il est grimpé sur un cheval, et au galop, il se désorbite, quitte le corps, nage la mer, prend son galop avec le sable, il crie de joies, exprime si fort, puis il se calme, reprend le trot, enfin, la marche légère et douce…le cheval se souffle, son hôte se laisse aller, un grand moment de liberté. La main caresse la crinière si tendre, le cheval et la main si douce osmose pleine, de la chaleur, du doux, du bon,
    et la caresse du vent.

    le trot, sans le trop de ^, c’est plus léger…sourire…

  13. il y a des fois ou il faut savoir s’effaçer… le moment est venu… je laisse les poemes et les mots à ceux qui savent vraiment nous faire rêver.. tel un éclair. ceci et mon dernier passage sur le blog… Amitités.

  14. Le cheval

    Le dieu bon qui m’a fait, m’a sorti de la mer
    J’ai le don de la course et l’allure toujours fière
    D’un splendide vaisseau, mais mon sort est amer
    Je cours sans être libre, et je vis dans les fers

    Alain

  15. Bonjour à la Compagnie !

    Merci Ossiane pour cette note équestreeeeee !
    Et clin d’œil à ceux qui m’en ont envoyé un !

    eeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee

    Sur le sable mouillé,
    Espace illimité,
    Etendue à perte de vue,
    Frappent les sabots légers
    Et soufflent les chevaux
    Pris d’une extrême « excitation
    Qu’il ne faudrait pas confondre
    Avec la bonne impulsion ! » (1) !

    Mais aujourd’hui, tant pis,
    La carrière de dressage
    A pris des allures de vaste plage
    Où l’allongement des foulées
    Ne sera ni retenu, ni entravé,
    Où aucune cabane, aucun « algéco » (2)
    Ne pourra faire dévier d’un pouce
    Une Cambo lancée en plein galop !
    Dans un lâcher tout, bride abattue,
    Chacun pour soi, on ne se suit plus…
    Devinez qui sera première à l’arrivée ?
    Une Cambo, bien essoufflée,
    Et une Christineeeeee
    Bien contente d’avoir enfin trouvé…
    Où se cachaient les freins,
    Qui ne répondaient plus vraiment bien ! (3)

    Biseeeeeeeeeeeees de l’amazoneeeeeeeeee !

    (1) Expression directement tirée de mon protocole de dressage d’hier !
    (2) Un « algéco » bien près de la piste n’a pas été très apprécié de Cambo !
    (3) Essayez donc d’arrêter votre voiture lancée à toute allure… sans les freins !

    Et pour que vous puissiez mieux situer l’histoire de « algéco »…. suivez le lien !

    ____

    http://2.bp.blogspot.com/_30E2V-5E6Nc/ShqY8BMRqXI/AAAAAAAADRI/t7JBhqU9S-8/s1600-h/P1250052.jpg
    ___

  16. Merci de confier tes ressentis, christineeeeeee,
    je ne suis pas à l aise avec la vitesse, j’aime le plus lent,
    et j avoue qu’à cheval au galop, je ne sais pas si …peut être ma dernière heure…
    et puis si le cheval s’emballe, ou ruade???!!
    Bravo à toi d’être intrépide!

    Ou alors que peut être
    Serrée collée en cavalière
    Avec mon cavalier
    Sécurisé par lui
    Né presque sur un cheval
    Alors je me laisserai aller
    Conquise apaisée
    Dans un galop fou
    Sur une longue plage
    Et oui de oui
    Ressentir la bise dans mes cheveux
    Son souffle chaud dessus ma nuque
    C’est un bel galop qui me plait

  17. Sur les rails du tant
    Les chevaux prennent du bon temps
    La fermeture éclair du ciel
    S’ouvre ses couleurs de miel
    Le sable est doux tout émouvant
    Les cavaliers galopent ô temps
    L’objectif fixe ce délice
    La main appuie le bouton lisse
    Cet instant là éternellement
    Se donnera son bel instant

  18. De l’orge à l’orage, le trot peut et le trop peu, le mors aux dents aussi
    le pas appât, qui concentre et attire, pas miroir aux alouettes mais avec un cheval on fait bien un paté et sur la plage même plusieurs et parfois de crottin
    quand au galop il suspend l’espace d’un instant les jambes et pour qui tâte du paturon et pas que du paturin, l’espace est primordial pas que comme un cordial
    il faut du licol lacher la bride, lacer les éperons d’acier et dans les arçons mettre un peut de vitamine.
    Désolé si je suis un peu fougueux voir rétif, on pourrait être festif et plus rugueux
    mais quand le vif argent jaillit sous les sabots, que les fers jettent de brefs mais clairs éclats c’est une histoire à s’emballer alors que raison et calme il faut garder.

  19. Pas de mise sous séquestre de nos émotions
    un trop plein, flot impétueux ou impénitent
    c’est dans la cavalcade qu’on cale ou se gâte
    Pâle effroi qui renacle et nous sort du cénacle
    Piquer des deux, des phares ou des fards
    jeter inconsidérement toutes ses forces dans la bataille
    à la tonalité équestre de milieu de trimestre
    choir ou choisir faute de mieux le bourrelier
    rapetasser et rembourer une selle de crin
    cingler et harnaché courir le vent sonné
    monter à cru après l’étreinte dans la mise à nu
    Mordre la poussière et sortir des glissiéres
    descendre la visiére, serrer la mentonniére
    et faire la bombe comme si c’était la dernière
    mordre l’épis et la jachére, fouler la paille et la jonchée
    hennir de peur et d’amitié, calmer son ire assomée

  20. Pour monique: la science du cheval est le fruit d’un long travail alors un sou est ce bien suffisant pour ce qui vous paie au centuple de flatter l’encolure et de parler à ce noble animal au port de tête altier; des steppes Kazakhs on semble pouvoir situer le début d’une domestication qui ressemble plus à une acclimatation réciproque des équidés précoces et de sélection de races.

    J’aimerai te faire rire, Rachel, mais seul le silence me paraît du moment un sûr allié,car de mes mots fous je me méfie qui pourraient faire jaillir contrariété.

    Christine comment parle t on du souffle des naseaux, je me sens limité dans l’expression ?

    Bonne soirée lourde et orageuse, et merci ossiane de cette charmante promenade d’ado à dos, c’est équitable pour qui table sur un sûr moyen de locomotion tout terrain.

  21. De votre part, beaucoup d’indulgence
    Et même une certaine élégance
    A pardonner avec art et bon sens
    Et me donner bonne conscience

    merci, merci

  22. thierry :

    Pas de limitation
    Dans un souffle
    Cette respiration
    Reste une bonne expression !

    Et l’hippocalypse de Bourrache me fait bien rireeeeeee !

  23. Suprême harmonie de beauté
    Liant l’élégance des silhouettes des cavaliers
    Et celle de la mer dans ses reflets d’argent
    J’ai des souvenirs de matins et de soirs
    Où j’ai laissé couler en moi une sensation d’ivresse
    Devant ce spectacle sur les côtes normandes
    Une impressionnante force s’en dégageait.
    Venait-elle de la mer ?
    Venait-elle des chevaux ?
    Elle était réellement présente
    Et me laissait dans l’expectative
    Le temps d’un éclair,
    De la fusion du bruit des vagues et des sabots.

  24. au haras
    il y a un manège
    où courent des chevaux beiges
    élancés dans le sable des vagues
    ils galopent agiles comme » » Crinières au vent
    amazones au galop
    à perdre haleine «  »
    artifices des cavalières fières des courses folles
    au haras
    il y a des pouliches
    crinières en banières
    fragiles agiles
    haies
    grains de sable
    mon amazonne
    frivole volage à la monte polisonne
    cavalière
    sur un air de tango perdu
    http://www.youtube.com/watch?v=pDNxOQG34rU

  25. https://blog.ossiane.photo/2009/05/25/eclair-2/#comment-60572

    [b][[/b][b][/b][b][/b]b]au haras
    il y a un manège
    où courent des chevaux beiges
    élancés dans le sable des vagues
    ils galopent agiles comme” » Crinières au vent
    amazones au galop
    à perdre haleine “”
    artifices des cavalières fières des courses folles
    au haras
    il y a des pouliches
    crinières en bannières
    fragiles agiles
    haies
    grains de sable
    mon amazone
    frivole volage à la monte polissonne
    cavalière[photo]23821301[/photo]
    sur un air de tango perdu
    http://www.youtube.[/b%5D%5Bb%5D%5B/b%5D%5Bb%5D%5B/b%5Dcom/watch?v=pDNxOQG34rU

    http://fr.netlog.com/go/manage/blog/view=add

  26. Au bord de la mer
    Les amazones d’un soir
    Chevauchent avec grâce

    Dans un rayon de soleil
    Se profilent en ombre chinoise

  27. Bord de mer

    Le manteau de la nuit est parti en lambeaux
    Des chevaux sur la plage effectuent leur navette
    L’océan refroidi est un vaste miroir
    Des flèches de lumière viennent s’y refléter
    Apollon le dieu blond fait résonner la lyre
    Des gouttes de lumière s’échappent de l’instrument
    Les notes cristallines sont un enchantement
    Ces fils de lumière sont la trame de nos vies
    Un jour nouveau est né sur le métier des dieux

    Alain

  28. Quel plaisir de chevaucher avec vous tous!
    Les mots se suivent, s’enchaînent
    en cavales bien sages
    à la queue leu-leu
    le crin dans les naseaux
    et parfois l’un d’eux s’ébroue
    au pas au trot
    un petit galop
    de temps à autre
    l’on se pose et rit
    l’on respire
    l’on souffle
    et l’on repart
    de plus belle
    jusqu’au bout de l’ivresse

  29. HELLO !

    SOUVENIRS DE RANDO

    Coucou les cavaliers et cavalières
    Qui montent des journées entières
    Du levant jusqu’au couchant,
    En randonnée, et par tous les temps !
    Chevaux et cheveux au vent,
    Chapeau bien attaché, ou casquette envolée,
    Sur les chemins bien tracés sur le papier
    Ou perdus, effacés ou disparus dans la réalité !
    Combien de demi-tours, combien d’heures d’errance
    Nous avons effectué, cherchant l’itinéraire,
    Ou le bon sentier au milieu de la forêt !
    Parfois une clôture, pas prévue au programme,
    Et voilà une boucle de plusieurs kilomètres
    Qui s’ajoute à tous ceux déjà effectués…
    Dure sera la journée, sous la chaleur ou dans le froid,
    Mais à l’arrivée à l’étape,
    Quand chevaux rassasiés par bons grains et bon foin,
    Quand tout le monde aura enfin satisfait sa soif et sa faim
    Il fera bon dormir un brin
    Pour continuer le lendemain matin !

    Biseeeeeeeeeeeeees de Christineeeeeeeee

    PS/ Connaissez vous mon blog « spécial chevaux » ?
    C’est dans l’Echo des Sabots !

    http://echodessabots.blogspot.com/

    _____

  30. Merci à aspe pour son petit espace musique d’hier soir.
    « Amazone  » en un éclair me suis remémoré le roman de Fermine, rien à voir avec les chevaux, mais à voir avec la musique, à voir avec le rêve, avec le voyage non pas en Normandie mais en forêt amazonnienne . En voici un petit extrait pour Ossiane qui aime comme moi cet auteur qui sait si bien traduire les impressions les plus subtiles des hommes.

    « Amazone n’était pas de ces êtres qui s’épanchent facilement. Il savait garder en lui la résonance de ses émotions, et toute la gamme des sentiments que son coeur s’amusait à égrener en sourdine, il la jouait pour lui seul, comme une musique douce-amère dont chaque note véhicule une passion, une langueur et une tristesse qui ne se partage pas »

    Il y a des mots comme ça qui font surgir des souvenirs de vie ou de lecture, et il est vrai, que n’ayant pas la chance comme Christine de me balader à dos de cheval, sauf sur le dos d’un brave camarguais, Amazone évoque plus naturellement les grandes étendues de forêts, mais à bien y regarder il s’agit d’une forme d’évasion, qu’elle soit sur le dos d’un cheval monté en amazone ou en rêve vers des contrées lointaines le plaisir reste entier.

  31. Comment ne pas songer aux « Cavaliers sur la plage » de Gauguin, datant de 1902.
    Ils s’en vont vers la mer. Dans les herbes roses, les sabots ne laissent pas de traces; ils s’enfoncent un peu dans la couleur puis s’amenuisent avant de disparaître complètement sous les ombres bleuies
    On devine une avancée de terre à quelques foulées devant eux, puis plus rien que l’eau, les vagues qui arrivent..
    Gauguin est venu de loin pour assister à ce début d’histoire: quelques jeunes gens qui se retrouvent , parfois, aux confins de l’île.
    Des couples s’esquisseront peut-être. Mais pas encore, ce n’est pas le sujet.Le tableau ne s’intéresse pas à eux; il note les directions prises, la convergence des routes, leurs natures distinctes jusqu’au bout.
    Là-bas l’eau ondule comme une crinière.

    http://www.picturalissime.com/t/gauguin_cavaliers_sur_la_plage.jpg

  32. .

    Bonsoir à tous, submergée, je suis depuis deux jours ; je vais avoir du mal à rattraper mon retard mais je vous lis, ne vous inquiétez pas 😉

    Alors quelques éclairs de mots sur la page…

    >merci monique, tes poèmes illuminent cet espace de beauté, de sagesse et de srénité, merci pour ton élégance en insouciance et bonne conscience !

    >brigitte, c’est beau ça… poudre de sable…*

    >Bonsoir alain, je te dis la même chose qu’à monique 😉 Surpises renouvelées à chaque fois ! Thanks a lot !

    >maria, merci poète amazone 😉 Alix reste gravé dans notre cœur 😉

    >et bien oui pierre, tu l’avais deviné 😉 Elle t’a influencée en beauté équine 😉 A quand le grand galop ?

    >sophie, ton poème irradie notre vision;-) Merci à toi !

    >arlettart, belle cavalcade échevelée vers l’infini !
    >jean, très sympa ton poème aux souvenirs d’enfant ! merci beaucoup !

    >pierreb, suggestion et ton imagination au paroxysme tel un flash dans la nuit;-) C’est très beau, merci à toi !

    >coucou chère claudie, contente de revoir ici en beau galop de haiku ;-)) J’espère que tu vas bien, bises.

    >salade, un seul mot de ta part mais toujours un mot bien choisi qui m’amuse souvent 😉

    >Annick, tu t’es finalement laissée emporter après une petite hésitation 😉 J’adore me contenter de les regarder à défaut de pouvoir les monter 😉

    >Des entrées, des sorties, des retours, des passages sur le blog … sabine, je te remercie pour le temps où tu es resté ici et te souhaite le meilleur pour la suite.

    >bourrache, Hippocalypse, il faut le  faire 😉

    >Sylvaine, ta poésie est vraiment belle et bien sentie… les mots justes, grande photographe funambule 😉

    >christineeee, tu vois que je ne t’ai pas oubliée 😉 Grande liberté de tes mots sur la plage, à fond le galop et tant pis pour le protocole !!! Ca se sent que tu es une sacrée cavalière 😉

    >Bonsoir stéphane, merci pour votre passage. Beau voyage au Portugal sur votre blog !

    >thierry, riches vocabulaire et images de tes poèmes ! On dirait que tu as fait cela toute ta vie 😉

    >anne, j’étais là assise, à contempler la mer ; j’ai attendu qu’il se passe quelque chose, il n’y avait plus qu’à déclencher mais tu sais ce que c’est 😉

    >aspe, très beau le Cuarteto Cedron dans ta course volage!

    >jacline, oui c’était presque ça 😉 Merci pour la beauté de ton évocation !

    >fugitive, abtrait, impalpable, mystérieux, ce beau poème est à ton image. Bises !

    >fred, ton dernier vers m’amuse beaucoup et ces baleines 😉 Belle imagination féconde !

    >mathilde, j’aime les références que vous nous faites découvrir à chaque fois. Merci pour cette belle analyse picturale que je partage. C’est vrai… pas de traces et que le rose subtil de ces herbes est beau ! Beau rebond Christine !

    >bonsoir marc, étonnant comme la représentation de ce cheval est à l’opposé de celle de Gauguin si paisible. On y sent la peur, l’orage comme tu dis, c’est très expressif, presque émouvant. Merci pour ton bel haïku !

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    Bises d’amitié profonde à tous

    Ossiane

    .

  33. Bonsoir Ossiane, merci pour tous tes mots à chacun d’entre nous, bonne semaine et bon courage. je t’embrasse.

  34. Merci pour tes mots chaleureux, Ossiane. Comme Monique, je te souhaite un bonne semaine et de l’ardeur à l’ouvrage car tu ne sembles pas en manquer (de travail) Bises et amitiés partagées.

  35. ,Soir, la compagnie
    Je rentre d’un stage, de Paris,
    Et passe en un éclair.
    IL Y AVAIT COMME UN MANQUE !
    Encore pire qu’un manque d’air
    L’air du pont de l’oeil ouvert.

    Avant de rejoindre ma planque
    Avant de rejoindre ma bannette
    (Tant que je vois encore l’échelle)
    Voila : juste vous dire « bonne soirée »

    A demain, bel équipage

  36. Bonsoir à tous

    Il en est de l’ado lorsqu’il quitte les rives de l’enfance, hésitant encore dans les méandres de l’incertitude pour une grande chevauchée
    ___

    Les derniers ramparts
    D’un voyage vers l’inconnu
    Au loin l’horizon

    L’aventure du grand départ
    Pour se fondre, dans l’océan.
    ___

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