Respirati Oo°°oo° n

Parc de l'Enclos à Deauville

Bulles s'envolent, Elles habitent les rêves, Les mots prennent l'air.

 Lecture du Haïku Calligramme: haut, bas, droite.

Bulles s’envOlent
Elles habitent les rêves
Les mOts prennent l’air

Photo prise au Parc de l’Enclos près de Deauville lors d’une exposition de land art. Ces suspensions en crin sont l’oeuvre de Véronika Denisot. Cette création est intitulée « Pommes de cheval ».

En guise de clin d’oeil, je ne peux m’empêcher de souffler un grand coup pour envoyer par dessus les toits de Paris la bulle verte à Lilly et la bulle rose à Marie. Cette note à bulles est le pur fruit du hasard.

Tournesol

N’oubliez pas de cliquer sur la photo pour agrandir le champ
Fenêtre de Côme

A l'ombre des stores, soleil en boutonnière, un coin de ciel bleu

Lecture du Haïku Calligramme: de gauche à droite.

A l’ombre des stores
Soleil en boutonnière
Un coin de ciel bleu

Un petit rappel pour les passionnés de mots. UU a lancé son concours 2006
des Meilleurs Mots Lus. Vous êtes tous invités à y participer.
Pour en savoir plus, rendez-vous chez UU sur ce lien.

Ecluse

La Porte Ouverte vers un Autre Sillage, Entre dans le O.

La Porte Ouverte vers un Autre Sillage, Entre dans le O.

La Porte Ouverte vers un Autre Sillage, Entre dans le O.

* Lecture du Haïku Calligramme: haut, bas.

La Porte Ouverte
Vers un Autre Sillage
Entre dans le O.

* Photo d’une écluse entre Castelnaudary et Bram sur le Canal du Midi.

* La prochaine publication aura lieu demain dimanche à minuit.

* Un petit clin d’Oeil amical à Annick et à son blog poétique « le juste simple vivre« .

A Fleur d’O

A Fleur d'O

A Fleur d'O

* De retour dans la blogosphère, je suis contente de vous retrouver après cette bonne respiration. Je n’ai pas pu tenir ma promesse. Je viens seulement de valider vos commentaires de la note « Parenthèse ». Dans l’incapacité de me connecter facilement et rapidement, je constate qu’il est quasi impossible de bien gérer son blog à distance. Merci pour vos poèmes et vos mots d’amitié. A vendredi soir.

Parenthèse

Le Temps d'un Souffle, Elle se Pose et Dépose son Ombre Portée.

Le Temps d'un Souffle, Elle se Pose et Dépose son Ombre Portée.

* Lecture du Haïku Calligramme: de haut en bas.

Le Temps d’un Souffle
Elle se Pose et Dépose
Son Ombre Portée.

La Petite Feuille, telle un Oiseau, S'envole au Fil de l'Eau.

La Petite Feuille, telle un Oiseau, S'envole au Fil de l'Eau.

* Lecture du Haïku Calligramme: centre, haut, bas.

La Petite Feuille
Telle un Oiseau, S’envole
Au Fil de l’Eau.

* L’Oeil Ouvert va se mettre en parenthèse pour une durée de deux semaines … Vous pourrez continuer à m’envoyer vos mails et commentaires; je pourrai vous lire … En revanche, comme il me sera diffcile d’accéder au blog du vendredi 21 avril au vendredi 28 avril, les commentaires seront en mode modéré par précaution. Je ne pourrai les valider que le 28 avril … Retour aux alentours du 3 mai avec une belle moisson de photos, j’espère … Bises et pensées à vous tous; vous allez me manquer …

Fauve

N’oubliez pas de cliquer sur la photo pour découvrir le panorama.
Des Grains de Beauté, une Tache de Rousseur Constellent le Pré.

Des Grains de Beauté, une Tache de Rousseur Constellent le Pré.

Des Grains de Beauté, une Tache de Rousseur Constellent le Pré.

* Lecture du Haïku Calligramme: centre, haut gauche, haut droite, bas droite, bas gauche.

Des Grains de Beauté
Une Tache de Rousseur
Constellent le Pré.

* Cette semaine, j’ai invité Malisan qui a rejoint L’Oeil Ouvert en décembre 2005. Il me semble que notre rencontre a eu lieu à l’ombre de mon pommier d’amour. Malisan est une rêveuse pleine de curiosité. Elle aime l’éphémère et laisse des traces fugitives mais toujours sensibles sur mon blog. C’est une thésarde en mal de poésie, qui retrouve toute la magie de celle-ci par les blogs. Je vous conseille d’aller visiter son site « Somewhere » pour découvrir ses poèmes dans sa rubrique « sensitive poetry ».

Voici le poème qu’elle m’a envoyé:

« Dans les plis du monde »

Comme un ailleurs qui bruit d’ici,
Comme un ici qui rêve d’un ailleurs,
S’ébruitent les légendes dorées
Qui colorent de sépia des souvenirs inventés.

Le songe, déjà, pénètre la réalité
Odorantes images d’un monde à venir
Valsantes chorégraphies orchestrées
Par les voyageurs du sensible

Qui dans les plis du monde, trouvent
Des pépites éphemères et des cailloux vagabonds
Qui dans le silence des chemins, cueillent
des fleurs de songes.

Malisan