Lecture du Haïku Calligramme: centre, gauche, centre droite
Bleu orage
la banquise fragile
îles à la dérive
L'Oeil Ouvert : photo et poésie
Haïkus et calligrammes, rêverie sur le monde… le voyage imaginaire d'Ossiane
Lecture du Haïku Calligramme: centre, gauche, centre droite
Bleu orage
la banquise fragile
îles à la dérive
A blue Icefield
Pôle nord en microcosme
Le miroir brisé
Qu’y a-t-il derrière la glace qui se déchire? quel est le tableau?
La banquise dure fond
l’eau se libère
vogue mon beau bateau,
vogue d’île en île,
voyage au fil des saisons,
maintenant, c’est l’hiver,
vogue vers le printemps
Gouttes d’hiver en voyage
des étoiles cristallines
racontent leur histoire
avant de fondre en larmes
dans la nuit des saisons
puzzle d’eau découpés
des fragments de banquise
nous offrent leur mémoire
au rendez-vous d’un fleuve
Rendez-vous sur mon île
Toi banquise en mouvement
Mon cœur est transparent
Ton cœur est apparent
Derrière le bruit de mon orage
Ta pluie m’inonde…d’étoiles
Le vent qui passe
Faire dériver les gouttelettes de…l’âme
Vers la sérénité est un zéphyr de mots
Aquilon à aimer…douceur des transparences…du cœur à gratter…comme le givre déposé sur la feuille dentelée.
Zooooooooooooooou c’est pas tout au boulot!
Un coeur de bleu
Sous le gel de sa vie
Des petites gouttes
De respirations
Scéance émotions
c’est fort beau, Leila.
froid qui se désagrège,
et devant sa déroute,
sa lente disparition,
dans le bleu glacé,
nous nous ébrouons,
regardons,
admirons et regrettons,
oublieux
lueurs confondues
aux transparences de nos cœurs
incertains et nus
dérivent vers tes bras
sur des nuages sans amarre
nos quais disloqués
Au fil de l’eau
de l’écume des jours
nous recueillerons le sel
peines et joies mêlées
Bonjour en cette matinée grisâtre où même les oiseaux semblent faire triste mine.
___
Y aurait-il anguille sous glace
Qu’aucun ne veuille la briser
Rien ne transparaît
Sur l’étang gelé
Le temps s’est raffraîchi
Et le monde tremble de froid
Quand reviendront les beaux jours
Où tout deviendra transparent
Où le respect des humains,
L’égalité entre les êtres,
La même justice pour tous
Referont surface ?
A quand le dégel ?
A quand la paix ?
___
A tous bonne journée, et n’oublions pas de sourire cela au moins est à la portée de tous et laisse sur le visage la transparance du coeur.
Aigues-Mortes fut un port aujourd’hui dans les terres.
Groenland appelé pays vert, va-t-il le redevenir ?
Tu as dit ce matin qu’il faut rompre la glace
Faire en sorte, de nouveau, que nous puissions parler
Se laisser attendrir, regagnés par la grâce
Et ainsi éviter de chacun dériver
Mais est-ce bien cela vraiment que tu as dit ?
Mon esprit embrouillé au discours emphatique
Mélange réalité et monde fantastique
S’agissait-il de nous ou de bien d’autres vies
Tout vient et tout s’en va, se reforme sans fin,
De nos formes aujourd’hui, qu’en sera-t-il demain ?
Aucun marqueur durable face à l’immensité
La matière et l’esprit sont à égalité (1)
Qu’ont à faire l’univers et son ordre et ses lois
La beauté et l’amour n’entrent pas en équation
Protégeons-nous de nous encore pour quelques mois
Ou quelques millénaires, pour le reste, voyons.
(1) Hum ! Il y aurait beaucoup à dire
Et la glace se romp
Dévoile le sourire
Un bel et gai chant tendre
Qui se pose deux lèvres
Si douces et si chaudes
Fragments épars
Exil forcé
Union en devenir.
Les milliers de paillettes
Perles des petits bonheurs
En tout de bleu se serrent
c’est joli, Nath,
je vous envoie à chacun, la belle lumière d’ici, il fait soleil dehors, alors je me prends un break tout de vent, tout de roulis sur la peau à rosir, tout de chaud dans les poches bonnes,
merci pour vos écrits,
merci Ossiane pour cette image encore et cet haïku, même si la glace, brrr, c’est froid… SOURIRE… TENDRESSES DOUCEURS.
(curaçao x lagon)³
=
solution saturée de glycol .
(m)éthylène.
Pour les ours blancs de l’Arctique
Les manchots de l’Antarctique
La banquise se brise,
L’espace s’amenuise.
Pour tous les peuples esquimaux,
Tous les habitants des rivages,
La lente montée des eaux
Et la fin du bel âge.
Sur les montagnes moins d’or blanc,
Sur leurs flancs les glaciers d’argent
S’éplorent en torrents.
Cela n’ira qu’un temps.
Tous ceux qui vivent sur les îles,
Des Bahamas aux Maldives,
Des rives d’atolls fragiles,
Vont fondre comme givre.
Des blancs aux bleus de la débâcle,
Ce n’est que de l’eau, la glace.
Contre la montée des eaux
Peut-on monter le zéro ?
Goutte à l’endroit, goutte à l’envers
La saison tricote un châle de printemps
L’eau s’écoule
Eau bosselée en mal de terre
Points de suture sur cœur en dérive
Îlots épars sur vert de mer
Igloos et bleu pour pôle de terre
L’enfant Inuit dans son berceau
Bercé de fourrures et dans l’eau
Le chant du monde, l’appel des ombres
Pour le secours d’un peuple affable.
Kaleïdoscope monochrome
En territoire immaculé
Pour un regard, le tien, le mien
L’Humanité au fleuve d’amour
La glace ne se brise qu’en chemin
De pourquois et de maintes lectures
Au coin du feu, dans la lumière
Communion des Hommes
Communion des sols
Fa mi ré do !
la nuit de l’inuit
bleu aux banquises des ciels blancs
la terre est un point
Tendres rayons
Caresses délicates
La banquise craque
Mille petites glaces
Flottent Surnagent
Vers des ailleurs
Tous en beautés
Tous les points de vue sont intéressants même les discours de compassions ou dominants qui sont forcément les plus unificateur… Mais où est l’âme dans son unicité qui élève l’individu au dessus de lui même et qui par la même élève l’humanité pas seulement le niveau des eaux déjà bien assez haut…
Bonjour à vous !
Aujourd’hui :
Grisaille, grisaille !
eeeeeeeeeeeeeeeeee
La flamme trop vive
Trop chaude,
Trop pleine d’ardeur,
N’a pas su calmer sa chaleur
Et sur le bleu,
A la volée,
Elle est tombée…
Pshcittttttttttt…..
Fusionnelle étreinte
Secondes d’éternité…
La flamme s’éteint
De son côté,
Le lit glacé
N’a guère apprécié :
S’est mis à fondre,
En gouttes rondes
Et perles bleutées…
Et coulent les gouttes
Le long du lit glacé
Comme perles de rosées
Beau labyrinthe
Ainsi tracé,
Par transparences,
En ilots disséminés
Trouver le chemin
D’un destin…
Evaporé
eeeeeeeeeeeeeeeeee
Fondueeeeeeeeeee de eeeeeeeeee en biseeeeeeeeeees
Plus ardent qu’une flamme
Plus glacial qu’un blizzard
Plus troublant qu’un brouillard
Il attise ou calme
Plus doux que l’air
Plus triste que la pluie
Plus sec qu’un aride désert
il charme ou maudit
Plus exquis que la soie
Plus acéré que qu’une lance
Plus suave qu’une voix
Il caresse ou tance
Plus proche qu’une main serrée
Plus loin que la voie lactée
Plus hautain qu’un dictateur
Il rassure ou fait peur
Plus léger qu’une plume
Plus fidèle que la lune
Le regard si transparent
Est parfois impénétrant
Bonjour Ossiane, j’aime me promener dans votre blog si poétique. Vous arrivez toujours à me surprendre. Quand je suis à court d’inspiration (écriture ou peinture) je viens me ressourcer chez vous et je repars pleine d’énergie.
Bien cordialement,
Barco Marie Paule
http://barcomariepaule.blogspot.com
C’est émouvant de temps
La glace qui se brise
Tendrement
Doucement
Imperceptiblement
Un petit craque
Une goutte s’avance
Et puis se coule
Dessus la glace
D’autres bulles
S’osent à se lancer
A fondre leurs froids
En tout de chaud
Bientôt les gouttes
Coulent un petit cours
Bien avant le cours long
C’est émouvant
La glace qui fond
Et montre son fond
Au plus profond
Encore une jolie série de photos, bravo
Ne pas se fier aux transparences
c’est ne pas voir
l’autre côté du miroir
se laisser duper par les apparences
aun soleil la glace en festons se brise
montre ses dentelles
si fines si belles
qu’un flot de lumière inonde et irise
fondent ces banquises iles à la dérive
glissant sur la vitre
doucement s’effritent
en lambeaux de givre traînes fugitives
sur l’eau bleue d’un lac saisi par le froid
craquent à la surface
délitent et se cassent
les coutures hivernales de sa robe de soie
eau zone.
Et tu bois cet alcool brûlant comme ta vie
Ta vie que tu bois comme une eau-de-vie
Tu marches vers Auteuil tu veux aller chez toi à pied
Dormir parmi tes fétiches d’Ossianie et de Guinée
Soleil cou coupé
pare feu
brise glace
Magnifique, ce blog, reposant, très belles photos, bravo
Lorsqu’on regarde ces photos, on entend craquer la glace.
Fascinante vie retenue par le froid !
La goutte se fout des larmes de la mer.
Les lames de fond dégoutterons la terre.
Et la pensée devise
Dans mon âme divise
Car elle est de l’Annam ;
C’est trois parties pour l’âme
Et ce n’est point de trop
Pour la montée des mers
Pour la descente en terre
Ou le niveau des os.
Dans tes yeux si bleus
Bleu -gris d’orage
Tes pensées à la dérive
Vers la froide banquise
Où je ne peux accéder
Tranparence si fragile de la nuit
Mais tu es là
Tu es là
Mais le bleu banquise
En pluie me submerge
De bonheur mosaïque
Faire un trou dans la glace
pour repérer des traces
de cette vie qui prend
et qui partout se répand
de ce krill qui nourrit
de ces octopussies
imaginer la fonte des inlandsis
qui soudain se ravisent
et souhaiter au delà
du protocole de Wellington
Que ce biotope unique
qui concentre nos réserves d’eau douce
ne se débande pas en douce
observer depuis le départ des baleiniers
combien d’espèces sont pillées
et de ce réchauffement tous les effets
ces courants qui ruinent la reproduction
et au bord de ces géants de glace
observer les craquelures qui menacent
Amour fragile,
coeur à la dérive,
vague à l’âme….
http://fr.youtube.com/watch?v=Qoy-tphRTgQ
ïlots, agrégats, mosaïques, et ces coalescences, réseaux percolants
qui prolongent et continuent, hasard et nécessité, transe par anse qui verse
dans la facilité, désordre annoncé, pelage léopard, taches variées, et ce chemin liquide qui lentement se fraie, et ce regard qui perce et soudain effraie, et cette vérité qui saute aux yeux
Page de verre
L’hiver écrit ses peines
Son coeur se brise
***
J’aime beaucoup ces froides photos
Bise
derrière la vitre
elles glissent peaux de cuir
que deviennent-ils
mon coeur est froid comme une orange
Jeune vieillard tout pleurnicheux qui veux me rendre raison
Laisse-moi passer je veux courir après celui qui m’a emporté dans sa joie
Je veux courir après le beau mal éclatant qui fait jouir le monde
Je ne suis point ici ce n’est pas moi la chose que tu cherches à étouffer
Tes bras ne se referment que sur un mannequin oublié sur le sable
Mon désir y passera peut-être bien l’hiver mais tu n’en sauras rien
Et quand tu partiras toi et ton maître l’hiver mon désir pointera de vert
Toutes les branches des arbres et nous crierons à nouveau notre joie d’être
jeunes
Et nous aurons encor des feuilles et nous aurons encor des fleurs
Et nous oublierons ton suaire et ton squelette claquant des dents
Et nous rirons d’avoir été trompés par un habile effet de glace
Pierre Albert-Birot
Des petits bouts de glace
De grosses gouttes
Et ainsi va la vie
Qui peut givrer bien trop
Ou couler bien trop d’eau
Si on ne prend pas soin de soi
Sortir son arc en ciel
Et le hamacer par tous les temps
Garde vivant
C’est évident
J avoue que mes doigts, c’est rare, se sont stoppés de tous vrais,
car
Et le hamacer par tous les temps, heu? et le hamasser….
quand l’envie leur venait à mes doigts de moi, de penser hamaker…
ah mais que oui, me vient au bout de mes doigts une lumière d’idée, je tente…
Des petits bouts de glace
De grosses gouttes lourdes
Et ainsi va la vie
Qui peut givrer bien trop
Ou couler bien trop d’eau
Alors prendre soin de soi
Sortir son arc en ciel
Le hamacker souvent
Garde vivant de tant
comme quoi, mes doigts ont raison d’envoyer de suite, car si je commence à me relire, je reprends ci et ça et là et hop de là, et puis j’efface…
allez, j envoie,
bises de fin de premier mois d’hiver..
SOURIRE
Qu’est-ce que j’aime ton écriture Annick, elle est douce, espiègle.)
Et je franchirais les sédiments de marbre
Le cœur en mouvement sous un voile de silence
Mon âme ne fond jamais en mer de vagues troubles
Et je naviguerais sous l’eau de vos remous
La mer y est plus claire, l’Amour prend d’un seul coup
En paillettes de vie, cristal en tintement, fragile, en mouvement…
Et je glisserais en îlots morcelés sur vos carreaux de glace
J’écrirais en surface quand vous étoufferais prisonnier sans mes bras
Et je traverserais des pays inconnus, croiserais le coeur nu habillé de « Je t’aime ».
Et je coulerais dans ses abîmes l’hiver
De neigeux horizons auront de vagues lueurs
Imbibées de mots blancs
Silence des champs de glace
Semés de ses mots doux.
Et je résisterais à la pression des glaces
Tassées contre mes flancs livrés à sa puissance
Je serais son navire pour frayer un chemin
Pour son âme et la mienne à la lisière des feux
Vers le paradis blanc.
http://pagesperso-orange.fr/Leila/Musiques/Paradisblanc.mp3
Vous étoufferais
Ils étoufferez
j’étoufferont
Tu étoufferaient
Tout va de traviole dans ma conjugaison.Désolée, ce n’est pas ma priorité quand je poétise en live.)
François Cheng dans un poème restitue tout ce bleu de tes images, Ossiane
et c’est presque celui des yeux!!!!
« Mille cristaux
Irradiant d’émeraude
Restituant un coeur qui bat
…………………………..
Intact
Tout le champ sidéral
Intacte la nuit originelle «
et je te lis, Leila, heu? merci,
et puis faut croire que pour moi non plus, c’est pas ma priorité, l’orthographe, quand j’écris, à en relire parfois mes fautes, j’en profite pour me faire excusationner, merci…
et j’ai écouté la musique,
et comme sont beaux ses mots à F Cheng…
Et ce bel bleu intense
Sous la glace tout dedans
Si chaud si d’amour né
Ferait fondre une banquise
la planète bleue de notre être
gratte
gratte le pare-brise
(des illusions et des émotions)
aux essuie-glaces encalminés
par le gel
élève ton regard
dans cette nécessaire descente
au plus profond de toi
vers ta vulnérabilité
pour d’étape en étape
de l’oeuvre au noir
à l’oeuvre au blanc
atteindre
le germe des origines
la si petite
et si grande goutte
de notre être bleu
fragile bleu d’amour
en son bel habit de glace
Annick s’en revêt
Banquise d’amour vos beaux bleus me font mourir
Banquise exquise vos atours d’impatience me vont nourrir
Banquise ivre de flottaison et de déraison me font sourire
Hyperboréens pour attendre
avec un tel froid vif
de là à ne rien avoir à cacher
Juste un petit passage pour m’abreuver de vos mots et tout simplement vous souhaiter à tous une bonne nuit pour certains, une bonne journée pour d’autres-;)
____
La planète bleue
Dans son manteau d’organdi
Aux couleurs du ciel
____
L’orange bleue de Michel Berger
« Comme te dire qui je suis
J’ai pas écrit d’une autobiographie
Je viens d’un pays étrange où les gens s’aiment et se déchirent
Et sont capables du meilleur comme du pire
Je suis né sur une petite orange bleue
Au milieu d’un monde immense et silencieux
Et elle tourne et elle tourne, petite orange bleue
Entourée d’étoiles et d’un ciel mystérieux
Et elle m’attire
J’aime bien son genre d’atmosphère
Faut que je respire
Si elle étouffe je manque d’air
Je veux pas qu’elle tourne mal
C’est ma terre
Ma place dans l’univers
C’est ma terre
Moi son grain de poussière
C’est pas l’Eden, cette petite orange bleue
Mais c’est pas l’enfer, c’est peut être un peu des deux
Mais moi je l’aime, ma petite orange bleue
C’est là où je vis
C’est là que je respire le mieux
C’est ma terre
Mon histoire, mon mystère
C’est ma terre
Moi son grain de poussière
Qu’on m’enterre par devant sa lumière
Revoir mon frère, redevenir poussière »
Etendues infinies… qui aiguisent les appétits d’espace
que n’avez vous montré… des airs bien plus rapaces
au lieu de celà… tout s’affaisse, s’engloutit et se tasse
quand se morcellent les bancs… qui se concassent
plus de continuité ni de proximité… de guerre lasse
s’amorce la lente dérive qui…sur les rives nous entasse
débacle à peine croyable…qui perd tout son embase
va créer de nouvelles routes…nous rapprochant des bases
le danger n’en est pas pour autant écarté…pris dans la nasse
Thierry tu m’épates t’as avalé le dictionnaire?)
Bleu fragile sur mon île
Tu es mon grain de ciel
Je suis ton grain de sable
La paille en tes iris
Le tronc dans mon regard
Tu es là…je respire et la glace fond de joie
Quand tu m’attires sous l’eau
Aux sillons de ta voie
Mystérieux bleu de rêve
Mystérieuse envolée…de l’être.
fondre, fondre
pour glisser au fond des ondes,
cristal,
translucides aux chaudes lumières tamisées par tes reflets de glace
fondre, fondre
dans ces gouttes d’eau si chaudes qui te collent à la peau
éclatant geyser d’argent
quand dans les caresses
s’évaporent dans les frissons de tes vaporeuses brumes
.
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Bonsoir à tous !
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Il fait toujours froid sur ma petite planète mais ça commence à fondre. Et vous l’avez fait sentir dans vos poèmes pleins de douceur, de rêve, de voyage. Ces larmes de givre nous emportent bien loin de mon petit jardin ;-). Même les esquimaux commencent à sentir un peu de chaud. La faute aux flammes du week-end 😉 Ca fond doucement mais sûrement 😉
>Avec le sourire, merci monique pour ce miroir brisé, ce poème de paix souhaitée et cette orange bleue en rebond avec celle du sid 😉
>candide, un beau voyage serein, tu nous proposes 😉
>Superbe cette image du fleuve accompagné de ces larmes de joie, j’espère. Belle fête avec Obama !
>leila, ça fond, ça fond et tes mots coulent en beauté sans qu’on puisse les arrêter ;t) Quelle plume et dès 8h du matin !
>Annick, il fait froid et tes poèmes sont pleins de chaleur 😉 Ton écriture est trop mignonne et touchante, je suis d’accord avec leila 😉 C’était sympa ta rencontre ?
>brigetoun, quel beau final avec cet ébrouement de regret !
>vincent, merci pour ces partages avec Pierre Albert-Birot et pour ta belle poésie. J’aime ta nuit de l’inuit.
>pierre, belle image l’écume des jours, je n’y avais pas pensé 😉
>phil, très belle ville Aigiues-Mortes ! Tu sembles bien la connaître 😉 Ton superbe poème est plein de questionnements sur la vie, l’univers, l’homme. Ca cogite fort en début d’année 😉
>nath, contente de voir retrouver l’inspiration et l’envie d’écrire 😉
https://blog.ossiane.photo/2009/01/16/flammes/#comments
De très belles photos sur ce blog !
https://blog.ossiane.photo/2009/01/05/toile/#comments
Quelle belle quête tu as écrite ! Pleine de questionnements, tes trois dernières strophes sont superbes. Je crois que tu l’as enfin trouvé l’équilibre!
>Salade, ta poésie m’intrigue, m’amuse. La poésie mathématique et chimique à rêver ,-) De sacrées bonnes idées tu as 😉 On ne me l’avait encore pas fait le coup de l’Ossianie 😉
>jean, fonte polaire bien inquiétante que tu mets en scène en beauté et émotion.
>christine, un joli poème perlé en errance rendu pile poil à l’heure comme d’hab’ 😉 Bravo à toi !
>marc, magnifique poème avec cette redondance de « plus » qui lui donne beaucoup de force et d’émotion.
>Bonsoir et bienvenue Marie-Paule 😉 Merci pour vos impressions qui me touchent. Certaines de vos peintures pleines de vie, de couleurs et de lumière me font penser à certaines toiles de Kupka 😉 Plein d’énergie et d’amitié vers vous 😉
>Bonjour et bienvenue fabien 😉 Et bien merci pour cette gentille visite 😉
>amichel, ton poème givré est doux mais aussi très glacé comme si quelque chose de terrible s’annonçait. Merci pour la beauté de tes mots.
>Blue-iris, bonsoir, je vous souhaite la bienvenue 😉 Oui, cet espace est une parenthèse un peu hors du temps et de la folie des hommes 😉 Merci à vous !
> Balmolok, si vous entendez des sons c’est que vous sentez bien les images et que votre imagination marche à fond 😉 C’est un signe de poésie et de sensibilité 😉
>arletteart, ce bleu te fascine 😉 Tes petits poèmes sont très beaux et bien sentis.
Belle référence que tu fais avec Cheng que j’aime beaucoup 😉 A lire et à relire.
>thierry, on croirait que tu as partagé la vie des hommes du grand nord 😉 Manquent plus que les chiens de traîneaux et les ours polaires 😉
>maria, un peu froid c’est vrai mais ça se réchauffe 😉
>le sid, quelle question intriguante avec ces peaux de cuir… cette orange est givrée si tu as froid 😉
>regard, superbe poème ! Ta poésie est en pleine transformation en ce moment. Signe de la fonte des glaces peut-être 😉
>aspe, splendide fonte de tes mots et de leurs sonorités ! J’ai remarqué que tu étais très lié à l’eau en poésie et dans la vie;-)
>sabine, jolie mélancolie de tes mots, merci pour la vidéo 😉
Et puis, d’autres commentaires avec la belle poésie de Chris
ici
https://blog.ossiane.photo/2009/01/07/attache/#comments
et puis là
https://blog.ossiane.photo/2008/10/24/emotions/#comments
>Chris, tu te rattrapes depuis tout ce temps 😉 Avec toujours la musique comme amie de tes poèmes 😉 Merci beaucoup.
Enfin le commentaire d’Eric, un revenant photographe de la nature 😉 Beaucoup d epetits nouveaux aujourd’hui 😉
https://blog.ossiane.photo/2009/01/12/defi/#comments
Bonne fin de soirée à vous, je vous embrasse !
Ossiane.
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.
Bonsoir Ossiane, je t’attrappe au vol si tu n’es pas déjà partie, pour te souhaiter une bonne semaine. Je t’embrasse.
Non non Monique, toujours sur le pont à cette heure;-)
Bonne semaine à toi aussi avec un peu de soleil dans ton ciel et dans ton coeur;-) Je t’embrasse.
merci Ossiane, J’ai bien besoin en effet d’un peu de chaleur, d’un ciel moins gris et du bleu du ciel, j’en prendrai quelques gouttes dans tes images. Bonne nuit
flottant sur son flanc
sous la voûte du courant bleu
une belle voie lactée
bonne nuit Monique et Ossiane
Hello les passants du soir et du matin ! Bisou Monique et Vincent
Contente que l’image te plaise Ossiane. Moi celle que j’ai aimée c’est l’hommage à la banquise à la Jourdain. Elle est bien drôle !
Oui c’est demain l’investiture d’Obama. Plus de Bush !! Et c’est une bonne chose en soi!
Bonne journée à l’équipage 😉
Love
Les mots des poètes
Les mots de vous ,amis
sont les brise-glaces
de la banquise
à la dérive
afin que l’eau bleue limpide
irrigue
nos coeurs fragiles
Merci et belle journée
En guise de transparence, je suis un peu dans le bleu en ce moment
mais pas du Moustiers pour collectionneurs émoustillés, car le dégel c’est aussi la débacle et depuis quelques temps cette dérive, incontinente, qui masque le désarroi quand les courants de fond vous travaillent en sourdine.
Le bleu c’est parfois le blues, juste le temps d’un songe, qui doucement vous ronge, ça ne dure pas comme les changements d’états, ça fond…à vue d’oeil
l’essentiel étant de ne pas s’y noyer.
Bises à toi leïla, non je n’ai pas le dico sous la langue, même si elle est chargée
comme la glace peut aussi concentrer toutes les vicissitudes du monde, ce que nous montrent de savants carottages, sans age. Mais voilà pour décrire des émotions par associations que ne sert il donc de convoquer le ban et l’arrière ban pour une banquise qui ne fait pas banquette mais qui magnifie la quête des mots, même quand on a un mal de crane persistant pour d’autres raisons.
Merci Ossiane d’une rubrique plus océane qui sans nous faire nager dans le bonheur nous revigore et comunique desi riches ardeurs.
Salut à tout l’équipage
contour du silence
rives incertaines
chemins éperdus
perdus
donnés
à l’immensité
de nos espoirs secrets
rêves de larmes
qui se défont
emportés par le vide
en chemins inconnus
vers d’autres rives
et d’autres rêves
bleu des mots
passage
de nuit
couleur orage
vers
l’azur de l’aube
bercé
doucement
peu à peu
vers la douceur
la tendresse du jour
Elle se met son bonnet
Ses moufles son cache nez
Monte dans sa petite coquille
Allume des bougies
Et pagaie le lac gelé
Qui fond sous le ventre chaud
De son embarcation
Qui navigue douceurs
Caresses tendres et jolies
Ondes bleues remuées belles
Bientôt l’immensité
Par son coeur tout de chaud
Palpite des beautés
La vie sort du sommeil
Et se palpite merveilles
« You’re tearing me apart,
Crushing me inside.
You used to lift me up,
Now you get me down.
If I
Was to walk away,
From you, my love,
Could I laugh again ?
If I
Walk away from you,
And leave my love
Could I laugh again ?
Again, again…
Again, again…
Again, again…
…. »
Archive – Again
Au bleu des âmes tristes
Embarcation de vers
Douceur de lettres claires
Murmurées, océanes
Par delà cet écran…de glace.
Au blanc des âmes sous l’eau
De l’air en vers d’apnée
Le silence est mystère
Et le baiser secret.
Emportées mes pensées
Balayées mes idées
Transparence des lectures
Écrites du fond de l’âme
Au bout des doigts agiles
Au brouillard de ta rive
La clef de mon cœur.
une banquise mourante
bleu que voile un brouillard trouble
aux rives de mon âme
Un pôle y tique quand il voit avec effroi comment la crise climatique nous fait payer cash les abus en tout genre et que banque le planète sur des routes incertaines tandis que se profile une nouvelle guerre stratégique pour accaparer des ressources dont on ne connaît ni l’étendue ni même la localisation
mais déjà les glaçons font briller à la façon des billets la convoitises et la concupiscence qui va frapper comme un nouvel eldorado alors que justement ne flotte plus guére le radeau ce qui nous méduse tous et pourtant qu’aurions nous à faire de quelques ours ou encore de baleines, que nous importent les grands équilibres secrets et sous marins qui n’ont pas encore, l’air de rien, livré tous leurs mystères.
Qu’imaginerons nous quand au delà des brise glace nucléaires des convois entiers en presque toutes saisons sillonerons le grand nord et croiserons par le passage du nord ouest ou au large de la nouvelle Zemble, il me semble qu’au delà des satisfecits dont sont bien prompts les tenants d’une modernité qui ne connaît plus de nuité durant les mois d’été il faudra bien constater que pénétrer plus avant dans ces paysages septentrionaux sans faire de tonnaux est une forme de présage sur ces endroits sauvages qu’on aurait voulu préservés pour conserver plus que des souvenirs, tous les usages anciens.
Il t’a suffit d’un clin d’œil
Pour dégeler la glace
Laisser place au soleil
Et libérer la grâce.
Un clignement de tes cils
Et voici dans la boite
D’autres éléments subtils.
Rêvent les éternautes …
Le dégel – Ainsi les rêves prisonniers de la glace pourront à nouveau se laisser bercer par les mouvements de l’eau et retrouver la joie en transparence.
« Les rêves donneront au bonheur le goût de l’infini. C’est près de l’eau, c’est sur l’eau qu’on apprend à voguer sur les nuages, à nager dans le ciel » Bachelard
___
Mes rêves glacés sur le miroir brisé
ne retiendront que les reflets bleutés
D’un ciel sans nuage, couleur d’été.
___
les mots les caresses ne sont que la partie visible
de nos sentiments! comment voir l’indicible?
plonger sans peur, vers les profondeurs de votre coeur;
vous y trouverez la beauté et l’étincelante lueur!
bonne journée à chacun
Hello, le soleil brille, brille, brille,
Hello, le soleil brille, brille, brille,… etc.
eeeeeeeeeeeeeeeeeee
Banquise en débacle
Restent quelques plaques
Allant à la dérive
Et flottant dans l’eau vive
Seul petit bateau
Pour oiseau fatigué
A moins que ce ne soit
Le radeau approprié !
eeeeeeeeeeeeeeeeeee
Ci-joint un lien sur le blog de Christinedb de « Petits Papiers, Papiers collés » (que j’adoreeee) qui m’a fait pensé à la banquise en dérive !!
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http://images.christinedb.fr/2009/01/13/le-grand-voyage/#comments
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Biseeeeeeeeeeeeeeeees méduséeeeeeeeeeeeees
Christineeeee,merci pour tes partages, j’aodr aussi bien fort ce blog, et d’autres encore… BISES. La beauté, j’aime infiniment.
Ah, Annick !
Il est vrai que l’on s’y croise parfois,
Aux détours des chemins,
Les bloggeuses se rencontrent
Se font des coucous
Mais se retrouvent toujours…
ICI !
Rebiseeeeeeeeeees
Ah je n’aime pas l’hiver…les malheurs y semblent plus tristes…le bleu du ciel givre mon cœur…la pluie martèle mes poésies…je recueille ses gouttes en musique..je mets les flocons de la neige….au creux de ma paume et je joue…gouttes et flocons… notes et mots doux…j’en façonne un jardin d’oubli.
http://mc94.free.fr/bounce_flocons_masteriz.mp3
Merci leïla pour ces flocons qui rebondissent, j’aime trop ces mots tristes qui te viennent, alors juste une mention matinale
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« Flocage à l’heure du petit déjeuner »
A l’heure où les petits déjeuners dominicaux
Ont des allures de brunchs pas très matinaux.
Nous trouvons une tempête au rendez vous
Un tourbillonnement désordonné un peu fou
De fins flocons se déposent dans notre écuelle
Tendant à masquer les décors de notre ruelle.
Agités de toutes parts ils se déposent minces
En couche fine qui sous les pneus grincent.
Pourtant on imaginerait le mousseux flocage
Recouvrant du plafond un quelconque étage.
Malgré sa légèreté floconneuse proverbiale
La gravité impose une nette loi dictatoriale
Imposant un tapis étendu jusqu’à perte de vue
Mêlés à l’avoine, j’en suis à peine revenu.
Caprice du ciel mais pas aléa météorologique
A son éclosion il y a une complète logique.
La température est un paramètre nécessaire
Pour que ces cristaux se réticulent en amas
Devenant de l’hiver les précieux émissaires
Qui finiront alors, tout au plus, en énormes tas.
Ainsi, dans cette blancheur laiteuse, on pourrait
Voir un avatar terrestre à notre divine voie lactée
Ayant décidé de voir comment sont tractés
Les véhicules patinant sur la couche glissante
Qui nous rappellent que la vie est dérapante
Et qu’il convient d’en contrôler le cours.
Pourtant les meilleurs sablages du monde
N’empêcheront pas l’angélique ronde
D’enfants autour de bonshommes attifés
Qui en sautillant en font sans cesse le tour
Objet mythique de la joie symbolique
Qui cristallise leur volonté onirique.
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Jamais les deux genoux à terre Thierry, le souffle de la vie est toujours plus fort que nos désespérances.Là dessus… j’aime mieux rire et danser…un peu de chaleur dans un bleu de brute…c’est pour l’homme qui est dans mon cœur et qui vibre au rythme des tambours…)
–I’ve got the blues for you, baby
Why don’t you tell me the things
You’ve taken from my heart, baby
While I was looking on the wrong side
–Dont tell me that…my heart will love you!
–I’ve got the blues tonight baby
Yeah, I shouldn’t hav’ looked so keen
Yoooooooooooooooh, baby
–Yoh baby, I keep on making the same mistakes
–A mistake like you is like…
A mistake I like, baby
–A mistake like you is a whisper from my lips
–Whisper on your lips
Running down to your hips
–When your hands…
–Go from guitar to string
Whisper on your hips
Song on your lips
My guitar weeps
Under the shine of your eyes
–A kiss open my heart
–Whisper in your heart
A kiss on your lips
A whisper in a kiss
Let me be close to you
Catch you with a finger
Catch you with a kiss
In the ear and in the neck
As the eyes close and the heart smile
As the hand softly call for the body
As the body softly opens to the hand
The button soft the dress are falling
And the hair linger away
As the cloth falls
–You’ got the blues, baby
I’ll got it all my life
If I listen to my fantasy
Let me leave your body
This last meeting
http://pagesperso-orange.fr/Leila/Musiques/danseuseauxpiedsnus.mp3
Ice, Icy, Iceland, Nice but fancy, heartland of our fathers
please to meet a so great ball of fire which will deliver you
from that grave of trouble in a firelight of true colors
exit the blue alone that catch the stone and grasp who is prone
to believe in the reliefs of the trone, oh yeah !!!
Faire fondre la glace
pour voir dans une goutte d’eau
la note d’espoir d’un peuple
rêve de transparence dans
les couleurs
irisées au soleil
Encore les mêmes questions
Bien que l’on sache les réponses
Alors je te le dis rousse
Aux œillades émeraudes
D’eaux chaudes
Tu es une plante fatale
Tu as des yeux à la réelle
Perdition de l’âme
Jolis a faire pleurer des larmes
D’eaux chaudes
Tu te promènes
Sous la pluie
Et je sens les gouttes
Etrange elles sont
D’eaux chaudes
Accordes moi rousse
De danser avec toi
A corps perdu
Jusqu’à ce que ruissellent
Les eaux chaudes
baisers vapeurs
mmmmhhhh, jean, c’est beau…
C’est très beau aussi, leila, tes mots, juste que j ai plus de mal avec les écrits plus tristes, mais c’est fort beau…
Aurait-il quelque chose à se faire pardonner l’hiver ? pour s’appliquer à nous offrir de si belles images, le givre, la neige, la glace avec leurs reflets, leurs jeux de lumières, et l’éveil de toutes ces sensations aux abords de tant de merveilles.
Regarder un paysage de neige fait oublier le froid, admirer les cristaux de glace à la surface de l’eau et c’est tout un monde qui se met en mouvement. Le soleil de l’hiver à l’approche du crépuscule déploie une palette incroyable de couleurs et lorsqu’on a la chance de les admirer doublement dans les eaux d’un étang ou d’un fleuve, cela devient un spectacle qui fait chavirer le coeur et l’âme dans un état contemplatif extraordinaire.
Je crois savoir, l’hiver essaie de nous faire comprendre qu’à chaque chose malheur est bon, à défaut de chaleur et d’éclat, l’hiver tout en finesse nous procure des occasions uniques d’approche de la beauté d’autant plus agréables qu’elles sont éphémères et laissent des impressions fugitives intenses.
« La beauté est cause de joie pour toujours » John Keats
« Chaque expérience de beauté, si brève dans le temps tout en transcendant le temps, nous restitue chaque fois la fraîcheur du matin du monde »
François Cheng
Bonne fin de soirée à tous. Belle nuit et que tous ces espoirs de paix se concrétisent .
A supporter les givres
Des tendresses perdues
A retenir l’éclair
Des douleurs éventées
A engendrer des fruits
D’amour inaccompli
loin des astres de sang
Nés de notre désir
où nous avions rêvé
où nous aurions pu vivre
François Cheng
bonsoir Monique
Je lis et je relis ce texte de Cheng que tu nous offres Vincent, beauté émouvante à laisser poindre une larme; merci à toi et bonsoir
Je n’ai point de larmes… je n’ai point de mots… à peine quelques mesures qui sonnent dans la tête…Merci Ossiane, j’ai passé la soirée à composer en regardant tes photos, surtout la première.C’est ma poésie de ce soir.
http://pagesperso-orange.fr/Leila/Musiques/Glasswood.mp3
et je vous lis, Monique et Vincent, émue..très émue….
et pour répondre à ta question, Ossiane, oui, c’était une belle journée…
et je vais t’écouter, Leila..
Bonsoir Leïla
« Comme la poésie, parole enchantée, et comme la peinture elle-même, la musique est toute posivité, la musique est une parole qui dit oui, c’est une conquête sur le silence et le néant » Vladimir Jankélétvich
Tes mots, ta tendresse, ta gentillesse, ont su réchauffer mon coeur…
mais semblable à la banquise, fragile, aujourd’hui il se brise….
coeur brisé, coeur à la dérive, perdu à jamais dans le bleu de tes yeux…
Juste un mot
ça fait quelques temps que je suis l’oeil ouvert, mais je viens de voir/lire « transparences », et je reste accroché à ta -banquise fragile-
C’est fort. c’est beau, mince alors.
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Merci les amis d »avoir si bien clôturé cette note!
Clin d’oeil à la belle poésie de Corinne, à nigra the stunning English poetess, à chrsitineeee pour lui dire que je connais bien le beau blog de christine;-) à leila et à sa belle musique cristalline glacée givrée, à vincent et monique et leurs superbes citations sur la beauté dont je ne me lasse pas, à Jean-Baptiste que je remercie pour être sorti de son silence (cette banquise t »accueille en amitié et toute sécurité:-), à tous les autres brillants poètes de ce blog que j’admire beaucoup.
Bises de la nuit.
Ossiane
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De très belles photos!
Bravo!
Bernard