e-mOtiOns

Emotions

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Vive elle dévale, silencieuse, elle s'étire, ronde, elle s'éclaire

Lecture du Haïku Calligramme: de haut en bas

Vive, elle dévale
silencieuse, elle s’étire
ronde, elle s’éclaire

105 réflexions sur « e-mOtiOns »

  1. La Lumière de l’automne
    Éclaire de son faisceau
    Le ruisseau qui chantonne
    Les feuilles sur le sol
    Rougissent d’émotion
    Puis entament la danse
    Et le bois applaudit
    heureux de leurs présences

  2. Electronic motions et une nouvelle page s’inscrit comme par magie avant l’heure attendue!
    C’est bien des tours de parachute d’Ossiane ça ! bisou à la fée ! 😉

  3. M’emporte l’eau courant vers des points inconnus
    Des DO, des MI, raisonnent sous le feuillage mouillé
    NO n, ce ne sont que notes, envolées, disparues
    D’une sonate en pleine nuit trop de lumière en moi
    Et des coins de pénombre, où j’y ai bien trop froid.

    Je ne hais pas encore,les haies qui nous séparent
    Je vais suivre les eaux,vers l’aval, l’eau est claire
    Il y a des muses absentes dont la musique est douce
    et le coeur transparent à s’imbiber de vert.

    Recoin paisible dans la lumière mouvante
    Auréole, oscille de la valse de nos vies
    Toujours trop tard,enraciné dans les serments
    Notre amour s’en va s’assoupir, après la rupture
    Le parc est silencieux et nos coeurs trop bavards.

  4. .
    ————————————————————————-
    .
    Petit saut en parachute et Grand bonsoir à tous !

    OOOOoooooO
    OOOOooooooooooOOooooo
    OOOOOOOOooooooooooooooooOOO
    OOOOOOoooooOooooOOOOOOOOOOOOOOOOoooo
    OoooooooooooooooOOOOOOOOOOOOOOOOoooooooooooooOO
    OOOOOOOOOOOOOooooooooooooooooOOOOOOOOOOOOOOOooooo
    OooOOOOOOOOOOOOOOOOooooooooooooooooOOOOOOOOOOOOOOooooooooo
    OooooooOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOSOOOoooooooooooooooooooooooOOOOOOOOOOOOOSOooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooOOOOOOOOOOOOOOOooooooooooooooooooOOOOOOOOOoooooooooooooooooooOOOOOOOOOOOOOOOOoooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooo

    Me voilà de retour après des allées et venues, une bonne lessive avec plein de mousse et puis le plaisir de découvrir votre inspiration moussue, vos mots croisés, vos cœurs croisés, vos gazouillis, vos scoubidous, vos roudoudous dans ma croisée 😉

    >>>Aspe, c’était cet été au mois d’août 😉

    Merci et bienvenue à vaggelis vlahos, Fabien, Eleonora, véronique, dilgo, aux revenants, aux fidèles moussaillons de l’équipage, aux absents déserteurs pour tous vos mots si gentiment déposés et qui font le bonheur de tous les lecteurs de passage et de la maison.

    Bises pas piquantes vers vous 😉
    Bonne soirée !

    Ossiane

    .
    ————————————————————————-
    .

  5. En ses mouvements et ses trajectoires
    L’eau délaye fond lave nos illusions
    A coté du clapotis clair et joyeux
    Elle invite au bourbier et à la mort
    La lune féconde sa menstrues de lumière

  6. un écrin richement sombre
    entourant, enveloppant comme un trésor
    une tache de terre enluminée
    précieuse de la lumière
    qui est venue la chercher
    à travers toutes ces couches
    d’ombres bruissantes

  7. C’était le jour des lavandières
    C’est la fin mais encore demain
    Je flânerai vers ton amont
    Je longerai la berge stable
    Avec toute l’absence qui m’accable
    Et mon regard cherchant le tien.

    C’était le jour des lavandières
    Laveuses de nos sables aux diamants
    Poussiéreux paniers aurifères
    On s’est croisés dans la lessive
    De nos esprits dans leur shampooing
    Entre un clapotis d’eau et des bulles de savon
    Bastringue de nos enfances
    Éclaboussées de bleues
    L’eau fume, elle tue mes vers
    Sur des draps sales à laver.
    Sois blanc.

  8. Bonsoir Ossiane, avec toi suivons pendant ce week-end d’automne, ce petit sentier qui longe le ruisseau, écoutons tranquillement couler l’eau, chanter les oiseaux, respirer le sous bois, craquer les écorces et humons à grandes bouffées l’odeur de la terre mouillée laissant cet espace alimenter nos rêves et nos inspirations.

    __

    Un rayon qui s’attarde
    Dans la trouée des grands arbres
    Le bain d’une nymphe
    ___

    Bon week-end et Bonne soirée à tous et regardez bien, peut-être verrez-vous près de la rivière la nymphe endormie de Théodore Chassériau

  9. Cet espace de lumière me semble bien être la trace de son passage dans la rivière, elle est depuis allée rejoindre sa toile.

  10. Nymphe
    Sauvée des eaux troubles
    Son dos nu apparaît sous l’épaisse chevelure
    Dont les pointes touchent ruisseau
    Métamorphose parmi les pierres moussues
    Et les gerris dansants
    Ah! surprise d’une peau lumineuse dans un rond de lumière.

  11. e-tourdi par tant de beauté mais pas e-stourbi
    on se laisse emporter par l’énergie communiquée
    et celà fait tache, s’étend

  12. La lune ici demeure sur l’eau
    Berceau des vivant plaisir de lait
    Navigation en vaisseau fantôme
    Sombre au sein du POiNtS secret

  13. inexorable, nous dévalons vers le futur
    inévitable, nous remontons le passé
    incontournable, nous franchissons le présent
    l’instant est cet intersice abyssal
    qui nous met sans cesse en porte à faux!

    bon week end à vous tous
    Ossiane enfin sorti de la mousse

  14. Des passants…le charme est rompu
    Fougère, étale ton feuillage
    Que j’y cache mon printemps.

    Mon coeur est dans le tien
    Dont un pan vers l’aval
    S’en va rejoindre la mer.

    ➻➸➻➵➺☁☁☁☁☁☁☁☼♰❍Noyés⩫
    ♫La musique retentit ♬♩
    ⚀,⚁,⚂
    L’eau est dans le bois
    ⚃,⚄,⚅
    Mon coeur roue motrice.

  15. Trépassant la larme est nue
    Fou je gère l’étale mouillage
    Que s’y cache mon instant

    Mon cœur gros est dans le tien
    Don que le dieu Pan en vers avale
    S’en va rejoindre l’océan amer

    Alignement de dominos noyés?
    L’âme muse en notes retentit
    ?;?;?
    Le halo est dans le sous-bois
    ?;?;?
    Ton cœur troue les mots tristes

  16. « Vive, elle dévale
    silencieuse, elle s’étire
    ronde, elle s’éclaire  »

    Belle énigme….
    Digne du Père Fouras !

    Qui aura la clé de la solution ?

    Biseeeeeeeeeees énigmatiqueeeeeeeeeees

  17. Elle est claire comme une ronde qui ne demande pas main cette chanson qui s’étire et dévale vive le cours de la vie!
    Christineeeee, pas facile à déchiffrer même tournée dans tous les sens, j’aurais essayé ! 😉
    Monique, j’ai vraiment respiré à fond en lisant tes premiers mots dans la page. Ils font du bien et on y est. Merci
    Bise de WE à l’équipage

    ___ ___ ___

    Passage dans un champs qui sculpte dans le passé les mots d’un horizon.
    Il est perdu le temps qui pleure sous les étoiles pourtant les émotions traversent les gorges nouées et les ruisseaux gémissent sous la force des flots.

  18. Bien des ombres mais de la paix capturée qui joue à ne pas se laisser prendre dans les flash solaires du petit-ruisseau en sous-bois que défendent hardiment les lances des frondes de fougère-scolopendre. Amitiés de passage, JP

  19. Lou et Leïla !

    Je pense comme vous que ça doit être l’EAU !

    Non seulement vous aurez un bon point,
    Mais aussi une image !

    Alors, je vous donne de quoi cogiter encore pour le week-end !
    Les autres aussi peuvent participer, c’est même fortement recommandé !

    Et l’eau « lourde », qu’est ce qu’elle fait ?
    Et l’eau « claire », qu’est ce qu’elle fait ?
    Et l’eau « calcaire », qu’est ce qu’elle fait ?
    Et l’eau « boueuse », qu’est ce qu’elle fait ?
    Et l’eau « pétillante », qu’est ce qu’elle fait ?
    Et l’eau « écarlate », qu’est ce qu’elle fait ?
    Et l’eau « de vie », qu’est ce qu’elle fait ?
    Et l’eau « de boudin », qu’est ce qu’elle fait ?
    Et l’eau « bénite », qu’est ce qu’elle fait ?
    Et l’eau « forte », qu’est ce qu’elle fait ?
    Et l’eau de « Javel », qu’est ce qu’elle fait ?

    Bon, je stoppe ici…
    Mais si vous avez d’autres idées, n’hésitez pas !

    rebiseeeeees à l’eau de lavandeeeeeeeeeeeeee parfuméeeeees d’eau de Cologneeeeeeeee

  20. et l’eau ferrugineuse ? graine de semeuse
    et l’eau douce ? marin d’eau douce
    et l’eau plate ? Lance Amstrong
    et l’eau d’Issey ? Ulysse
    mais l’eau racle la gorge quand vient la nuit, mon ami Georges,
    c’est bient0oooooT Halloooowiiiinn !
    Vive le Gin !

  21. Et le mari
    De gin se saoûle
    Quand en vacances sa femme
    Plate comme une eau douce
    Envie boueuse? les mains bénites
    En eau d’boudin sera la fin.

  22. Le cours du pas de terre
    Se coule en ondes douces
    Qui parfois se clapotent
    Comme le courant de la vie
    Traverse la pénombre
    Toute de noir vêtue
    Pour connaître un bel jour
    Une lumière en torche
    Doux cercle auréolé
    Doux pesant d’or vermeil

  23. Si l’eau dort…
    mais si elle a de l’audace
    et se transforme en bleue,
    ne devient-elle pas de sucre
    entre les dents d’un amant aux anges…

  24. Eau la la
    L’eau se déguise à ce que je vois !
    l’eau est ville américaine quand elle est Eau Claire
    en auto car elle se met à l’anglais
    en chateau (d’eau) bien sûr
    en pierre précieuse quand elle est pâle ( opale)
    Sacrée O temps d’Halloween, elle vit jolie sans se soûler
    Bises à tous

  25. L’eau de vie
    Est château
    Dans les yeux des amants
    Une histoire d’O bénite
    Par la passion nouvelle.

    l’ô de vie est tourments
    Et coeurs au diapson
    Ô de cru, mise à nu
    Des corps et de l’esprit
    Aux anneaux enchaînées
    La chair en don de soi
    mais ce n’est que de vie
    Que l’eau parle ce soir
    L’ô de vie est caresse
    Et sourire poésie

    ça te va Ossiane?))

  26. Est-ce Ovide qui vient ce soir au fil de tes pas, nymphe des eaux et fille de l’Océan, sortir sa lyre des flots où fut sauvé jadis le pauvre Hésiode par de fiers dauphins ?
    Au coeur du sous-bois, je crains la vouivre et je veux vivre sur la plage des mots qui roulent à l’ombre du saule pleureur dans le ruisseau aux secrets vers les sources de notre mémoire.
    Et Narcisse vint se pencher dans la lumière de l’onde, oubliant Echo dont les murmures se noyaient au pied d’un charme…

  27. L’eau de vie vide ma bouteille de son brouillard
    Et m’invite au château d’eau de la Loire
    L’ histoire d’O bénite se transforme en eau du Gange
    l’ô de vie est Mississipi attention au lit
    Et cœurs au diapason des ponts de la Seine
    Ô de cru, mise à nu du Nil ça me plait d’Egypte
    L’ô de vie est caresse au Rhin et au foie
    Dissoute en quelques gouttes hips il en reste plus

  28. L’eau de mort remplit ton corps de son fuel
    Et te tends un linceul pour draper tes fantasmes
    L’eau de source est marée, noire à engluer l’oiseau
    Les coeurs résonnent faux et la raison raisonne
    A briser les tympans, à momifier les reines
    De l’Égypte ancienne, sur le Mississipi du Nil envahi
    De crocodiles et de vainqueurs vaincus
    Dissous en gouttes humaines pour renaîte eau d’javel
    Drap blanc.

    Vive les mots!

  29. Coucou Ossiane,
    désolée, j ai quitté l’écran avant ton Ô de vie,

    Tu es mon Ô de vie
    Mon Ô de Là de toi
    Que l’Ô coule paisible
    Si serrée contre tÔi
    TÔn goutte à goutte
    Réanime mon sÔuffle
    Quand il n ‘est plus
    Ma vie dedans sa gÔutte
    Aime les mots d’amÔur
    Ceux que l’Ôn ne dit pas
    Car Ôn le vit vraiment
    Dans son ciel étÔilé
    Chaque jour bien bel jÔur

  30. eau d’eau vive faite de frémissante rives
    aux ombrages des caresses
    ta joie frisson donne à la lumière sa promesse d’eau

  31. J’aime aussi les lotions
    qui vous courent sur la peau
    se nichent dans les sillons
    pârent et fument

    quand on se met en eau
    on retrouve sa nature
    plongé dans le grand seau
    avec pour seule véture
    les sensations du corps
    affleure alors de l’eau
    la vie inexctricable

  32. l’O rage qui ternit les images
    l’O tage qui atteint les rivages
    l’O cage qui ensevelit les sages
    l’O page qui mouille les messages
    l’O carina qui conduit l’aréopage
    l’O rphéon qui amuse le village
    l’O rthopédiste qui dévide les bandages

  33. O tite qui se masque à l’oreille
    O pération qui compte la tentation
    O stentation qui se montre à tout va

  34. L’eau de vie pourrait être eau de poésie
    si je laissais totalement divaguer mon esprit

    l’eau de vie ce pourrait être l’étincelle sublime
    dans un mouvement ample qui racle et qui élime

    L’eau de vie c’est trop souvent l’eau de feu
    celle dont on croit benoitement qu’elle ranime

    L’eau de vie une recette chasse spleen
    pour tirer des conséquences de sa sobriété

    L’eau de vie c’est de l’eau blanche parfois raide
    qui vous met sur une planche le poul vif

    L’eau de vie c’est un coup à finir à l’aspirine
    tant elle bat dévorante sur vos tempes

    L’eau de vie c’est seulement si ça vous tente
    mais c’est une rampe pour un prompt décolletage

    L’eau de vie c’est traitre et ça vous assassine
    rendant à son rythme les mots en borborygme

    L’eau de vie ça conserve les fruits et les airelles
    ça vous donne des ailes mais pas de parachute

    L’eau de vie ça détend comme une soupape
    mais ça ramollit même les neurones du pape

    L’eau de vie ça se brandit comme un trophée
    ça fait pousser dans la nuit des cris de joie

    L’eau de vie ça nettoie, ça purge et tue les vers
    pourvu que ça nourrisse la rime

    L’eau de vie ça festoie, ça festonne, ça résonne
    ça étonne aussi en cercle quand ça tourne

    L’eau de vie ça infuse et ça diffuse mais ça n’élargit
    pas la vue, ça rétrécit même les membres engourdis

    L’eau de vie ça fouette et ça arrache, ça dégage
    mais ça engage…sur une voie saumâtre

  35. Eau de pare faim qui remplit l’estomac
    Eau de ventre qui baigne le foetus
    Eau de l’oreille interne qui donne l’équilibre
    Eau de jouvence qui remonte le temps
    Eau de jouissance qui rafraîchit les sens
    Eau régale qui dissout l’or
    Eau frugale qui tient compagnie
    Eau de rosée qui est le vertige de nos nuits
    Eau de pluie qui finit dans un puit
    Eau de songe qui berce nos rêves

  36. B Eau de l’air joue avec le vent cause avec les nuages
    Et lu art comme la mer te berces de ses étoiles
    L’eau tréamont pleure des vagues de cristal
    La fontaine laisse jaillir le torrent affable
    Eyre de l’écriture l’eau coule en maudits vins
    Olympe de poètes et jeux de parachutes
    Des champs Du charme de l’eau nait mot lierre
    Enfants de l’esprit même où le génie s’écoule
    Vous devez bénir l’heure de votre destinée
    Inari d’ondes folles et d’ivresses languissantes
    Et d’émotions la source reflète le soleil

  37. Le vin coupé d’eau, pourquoi pas de limonade pour une jacqueline ou un limé
    qui permet d’éliminer plus aisément, quand à mélanger vin …et eau de vie
    on peut faire du diboulard ou du communard mais ça fait ribouldingue et tout le bastringue.

    La vie est couette quand on gagne une heure l’an pour une nuit qui n’en finit pas et pourtant la brume se disperse, les paysages se découvrent et le soleil nous honore de sa présence.

    Salut aux matinaux pas encore recalés mais toujours décalés.

  38. Clair obscur,
    Je n’aime rien tant que la fêlure,
    Qui lézarde le mur
    De sa résistance…

    Sombre et pâle,
    Fragile et pur comme un cristal,
    Transparent, idéal,
    Quand j’y pense…

    Et je me tiens,
    Ni trop près ni trop loin,
    Passager clandestin
    D’un rêve incertain

    Je sais qu’il ne va pas vraiment
    Bien,
    Je n’attends
    Rien,

    Je lui tends
    Juste la main..

    Il a fermé à double tour
    Pour pas souffrir, pour pas pleurer,
    Car il croit que l’amour peut tuer..

    Clair obscur,
    Je n’aime rien tant que la blessure
    Protégée par le mur
    De ses apparences…

    Sombre et pâle,
    Coupant et dur comme un métal,
    Mon ange, comme tu fais mal,
    Quand j’y pense…

    Et il se tient,
    Toujours à mi-chemin,
    Du rejet, du besoin,
    De ce qui l’atteint

    Je sais qu’il ne va pas vraiment
    Bien,
    Je n’attends
    Rien,

    Je lui tends
    Juste la main…

    Il ouvrira sa porte un jour
    Pour voir le ciel, pour respirer,
    Et l’amour entrera sans frapper

    Françoise HARDY – Clair-Obscur

  39. On s’absente un moment et on retrouve un équipage divagant une bouteille à la main. Et le capitaine n’est pas le dernier ! comme toujours (sourire) Je n’étais pas perdue Lou mais j’ai du affronter une perte terrrible……. Et oui ! ma dernière dent n’est plus.
    Moi qui avait toujours eu la DENT dure j’ai perdu de ma DENT sité. Mais comme dirait Monsieur DENT tition : Une de perdue………et bien vive le dentier.

  40. Oui Lou c’est tout à fait ça!

    Tu écris vaaaachement bien Thierry)).Je te course, tu me courses
    Fée de neige noir d’esprit
    Voile au vent,fée au lit
    Ombre, éclipse$
    Fée de toile
    Peintre d’infortune
    Volant, volage
    Fuis, fuis suis beau mirage
    Je connais le secret
    Des lumières tamisées
    Des ombres sur les coeurs
    Cache-cache entre lui et moi
    Cache-cache de nos esprits
    Cache, cache ce quotidien
    Que je ne saurais voir
    Sans te remettre droit
    Sur le sentier de sources
    L’eau de source
    Eau douleurs
    Fleurs d’eau et beau de l’air!))

    http://www.youtube.com/watch?v=4G5Pmfk1vkM

    Quelqu’un connait-il un remède anti-rimes?

  41. Bonjour rachel je compatis le mon dentier aussi , mais c’est pas drole car la mastication est une fonction vitale, pas de bol 😉

    C’est beau alice , rien n’est n’est tout blanc ni tout noir, mais c’est oscillatoire
    et on alterne les passages, supérieur ou subalterne.

    Tu crois leïla, moi je ne fais rien d’autre que suivre les émotions justement du moment, sans forcer et attendre, parfois je force la dose (pas de ce que vous croyez, j’étais parfaitement sobre cette nuit).

    Pour la créme anti rime l’appliquer par vagues successives et surtout laisser agir
    une nuit entière, si au réveil ça se termine toujours intime alors appliquer une deuxième couche pour éviter que rapplique les suppliques implicantes et parfois urticantes qui sont de cruelles sécantes. ;)))

  42. la vie de blanc, de noir, de gris,
    mais pour certains plus de noirs de gris que de blancs,
    et pour d’autres, bien plus de blancs, juste des petits noirs,
    la vie cette loterie pur laquelle on prend un ticket quelquepart, un jour, pour se baigner dans un ventre, avant de se nicher un berceau tendre ou une paillasse de crasse, la vie,
    la vie c’est comme ça,

    et c’est pourquoi la vie, quand on peut la saisir, c’est bon de la serrer, l embrasser, se donner, s’envelopper de ses elixirs de bontés qui rendent la vie vivante,

    et c’est tellement beau un être vivant de vie à se donner s’offrir.

    bon dimanche pour chacun, il est 10 H 21, d’un 26 Septembre 2008, et c’est quelquechose, non? BISES Ossiane, et chacun!

  43. sur la dvd de Leila, merci Leila, séquence émotions….

    Seule elle se couche le soir
    Sa pensée est en lui
    Il la rejoint sa nuit
    Elle se lève le suit
    Et quand il est couché
    Elle le serre aussi
    Ces deux là savent vraiment
    Qu’être ensemble fait du bien
    Par la pensée déjà
    Car ils sont séparés
    Et se marchent côte à côte
    En regards face à face
    Si douce complicité
    Tel naturel de vrai
    Une osmose si grande
    En belle liberté
    Sans cadenas verrou
    Juste le bonheur d’aimer
    Et quand parfois la larme
    Le désir tel de serrer
    La pensée elle serre fort
    Embrasse cajôle tendre
    En bel bonheur d’aimer
    En attendant le jour
    Des douces retrouvailles

  44. Oui annick c’est bien vrai
    alors pour toi ce matin et pour vous tous
    bises à ossiane qui dans l’O de vie
    a distillé des propos alambiqués
    qui ont alimenté la colonne
    des effets divers.

    « Une vie plus loin »

    000

    Kiril Kadiiski a écrit « qu’est-ce que la vie humaine: des efforts parfois vains mais toujours avec le dessein secret de laisser une trace dans le monde »

    Cette puissante mise en perspective de ces parcours individuels qui s’inscrivent dans des trajectoires incertaines, des arabesques folles, des lignes brisées et parfois en pointillé n’est pas que le reflet de l’inanité individuelle à marquer au meilleur sens du terme les esprits et les lieux.

    C’est vrai que la logique pictogrammique dans laquelle la civilisation nous a inscrit contribue à faire du témoignage aussi simple que l’apposition d’un contour de main la révélation pour demain aussi d’un existence certes précaire mais signifiante et qui se veut signifier pour les temps futurs que des êtres pensants ont posé un regard et plus que celà sur ces signes et symboles qui soulignent d’un trait la briéveté de l’existence mais rythment en longues stances picturales la réalité d’une vie de labeur.

    Cela coûte assurément parfois d’exister en tant que tel ou du moins de parvenir à se faire reconnaître pour ce que l’on est. Mais de ces tentatives souvent maladroites il reste au moins cet essai pour construire non une fiction mais un début de réalité autour de soi.

    Certes à quoi cela sert il de tracer et de graver sans relâche des inscriptions dont on ne sait exactement pourquoi ni qui pourra trouver un quelconque intérêt à les décrypter.

    Pourtant il y a dans cet entêtement, cet acharnement une logique de la volonté et une projection de l’être qui se veut dire et espérer que peut être
    son identité cartographiée sera reçue et comprise comme un message d’espoir venu duy fond des ages à défaut de représenter le summum des sages.

    000

  45. Inspiration depuis les écrits de Kiril Kadinski:

    Vie humaine, efforts divins,
    Traces incertaines, dessin posthume.

    Folle envolées des sentiments
    Lignes en suspens dessus le ciel
    Azur pour l’un, suie pour bien d’autres.

    Regard fugace, main pour la trace
    Des grottes humaines dans nos cavernes
    De neurones,à explorer.

    Vies de labeur, vies de douleurs
    Empreintes de coeurs comme une requête
    Gazelle dans l’ocre du Sahel.

    Une vie d’ascète, immobile
    Qui a fini de recourir
    Aux billets verts et aux remous
    De l’ascension vers des empires.

    Autour de soi, monde marathon
    Une heure nouvelle,métrages de vies
    Aussi courts que longue est la vie.

    Écrire, écrire pour respirer
    Écrire la main qui peint les murs
    Trace claire-obscure de nos destins
    Entre deux coeurs, une âme soeur
    A décrypter en marche, en vol
    Sur tous les sentiers et chemins
    Dessous la mousse, dans l’eau des LA
    Sonnés par le chant des sirènes
    Des êtres fous , des rois, des reines
    Des âges tendres de nos histoires
    De la préhistoire de nos temps
    Dans la mare eaux câlines. (zavé pas eu envie de dire dans la mare aux canards?))

  46. Ah leïla les écrits de kiril kadiiski qui est bulgare se limitent aux parenthèses
    après c’est votre serviteur qui a agité sa lance à phosphore.

    un autre texte sur la descencion des empires
    000

    « Marées d’équinoxe »

    Un Monde ancien s’agite et se débat, il ne veut pas mourir et a cessé de nourrir toute une frange de cette population interlope qui n’en pouvait de se goberger et de se rouler non dans la fange mais dans le stupre et la luxure.

    C’est la stupeur qui a succédé à l’euphorie et des lendemains qui déchantent de gueule de bois en coiffure iroquoise avec cette arête qui est devenue instable et des étalons de la finance qui n’en finissaient pas de piaffer dans les stalles mais vont devoir se résoudre au peu de grain à moudre qu’il va leur rester pour l’instant.

    Les grands tumultes en rouleaux puissants ont poussé leurs avantages, faisant tâches et s’étendant au loin sans qu’un quelconque horizon puisse se découvrir ni que l’on y puisa des certitudes et une assurance certaine que le rebond est là.

    On n’en finit pas de jouer au yoyo, les nerfs sont incandescents, les plaies purulentes et les « kings of the world » en ont rabattu, perdant de leur superbe pour affronter une mer démontée où tous les éléments du décor passés par-dessus bord, flotte encore lamentablement alentours.

    Combien de débours et de débines après ces années de combines et qui pourrait présager du futur et envisager l’avenir sereinement sans se faire dévisager sèchement pour cause de naïveté confondante.

    Le bloc des égoïsmes va-t-il enfin fondre devant ce coup de chaud qui en a refroidi plus d’un, leur mettant la puce à l’oreille et la pustule aux fesses.

    Beaucoup nous ont déçus par leur pusillanimité qui craignait trop les inimitiés et se sont complus dans le silence, d’évidence la danse commençait à peine et ce n’est pas la bourrée car ils se sont fait rembarrer.

    000

  47. écrire
    c’est rechercher la lumière, en passant au milieu des ombres
    c’est se mettre en lumière, pour que les ombres disparaissent
    pour certains c’est aussi chercher la lumière pour faire triompher l’ombre

    écrire

    c’est témoigner
    de ce qui c’est passé
    pour ne pas oublier
    pour ne pas être oublier
    pour se libérer d’un passé qui nous enserre
    un passé que l’on ne peut taire
    un passé que l’on ne peut dire
    écrire pour pardonner
    écrire écrire encore écrire
    écrire pour ne pas fuir
    pour ne pas mourir
    dans le regard des autres
    écrire pour prévenir
    pour sonder l’avenir
    pour modeler l’avenir
    écrire pour transmettre
    le peu de chose que nous connaissons
    écrire pour donner des émotions
    tout simplement pour partager
    se nourrir des autres sans les manger
    écrire pour explorer la terre
    pour sonder l’infini et l’univers
    écrire pour s’approcher de l’inconnu
    écrire pour chercher le meilleurs qui est en nous
    écrire pour vivre plus intensément
    les plus petits instants du présent
    écrire pour aimer et se faire aimer
    écrire pour enfin renaître
    écrire pour ne pas disparaître
    écrire pour ne plus avoir peur
    écrire pour être et ne plus paraître
    écrire pour être

    bonne journée
    merci thierry et leila pour toutes vos textes
    merci alice pour ce texte
    bonjour annick, rachel, Bourrache, bonbonze, Lou, aspe, Ossaine…
    bonne fin d’après midi

  48. e-motions
    Gémis l’eau et murmure,
    Vocifère ses colères
    Clapote au pied sans vair
    Abreuve l’amour mystère
    Muette, parlant en vers
    Roule l’eau sous mes frondes
    Fougère assoiffée du sous-bois.

    Eau si lourde à boire dans les cuves
    Pour course à la bombe atomique
    Explosion de nos vies, quotidiens
    Ronronnants, absurdes
    Raison d’amour
    Comptine de vie

    Eau claire de la Tune
    Mon âme mis veto
    Près de moi la lune
    Pour décrire mes maux.

    En couche calcaire
    En eau boueuse
    En joie, bonheur
    D’eau qui pétille
    Sceaux écarlates
    Missive d’oublis
    Et l’ô de vie?
    Eau, fond du puits
    Eau douce
    Et miel de madeleines
    Eau, puits tari
    BravEAU, la vie!!
    La lumière plantée dans mes veines
    En pluie, circule, bruyant laser
    Eau de pluie, qui meure et s’enterre
    En pleine vie de ses soucis
    Eau de mer, suis vers l’océan
    Le dauphin qui glisse d’un regard
    Pour dire la vie!, l’eau! c’est pas tard
    Eau de roche, j’accoste, un rivage
    Eau de rose, un parfum surnage
    Eau de rosée, e-motion et drames

    D’eau de neige,de la source qui fuit
    Eau de rage, mes baisers sauvages
    Parvis d’eau pour sirène avide
    d’abysses.

    Et la vague oscille pour rimer
    Au couchant avec mes matins blancs
    De mousse et de rosée,
    Osmose de bulles au corps,
    Frissons dans les couleurs,
    Supplique d’amour fou,
    Improbable mais intime
    Fée, l’écritoire; la plume et la trace à gommer
    De la fée et du roi à l’amour Eau-pinel!
    Ecorchés.

    http://www.youtube.com/watch?v=aPkcfBSRryI

  49. L’ange et le démon
    Que serions-nous
    Si l’un était noir
    Et l’autre vêtu de blanc?

    Voix et voie de plume libre
    Griffonnant la route de vos chemins
    Chemins de nos écrits volages,
    Mutins, rebelles et porc-épic.

    J’écris ma bouteille d’oxygène
    Où bulle la musique, clapotis
    Où je m’évanouis sereine.

    L’eau emporte eau, ruisseau de maux,
    Ruisseaux de vains récits, corps sains
    Esprits malades à suturer
    Les peaux ruisselant de leur sang.
    Écris,
    Écris, si tu ne sais tu me le dictes
    Et tes paroles s’envoleront
    Sur les épingles de mon jardin.

    L’eau de pluie lavera mes sirènes
    Son jus courcircuitera pour me faire taire
    J’écrirais quand m^me bouche fermée,
    Me levant la nuit,mince plus d’encre! plus de papier
    Griffonne donc sur un Sopalin, un PQ, une feuille de dessin,
    C’est plus dur, l’épreuve est un sein
    D’où coule l’amertume de nous-mêmes
    En ribambelle de mots séchant
    Sur les talus,berges incertaines
    Du ruisseau où la nymphe au bain s’étale
    Et ses cheveux ondulent
    Attirés par le courant frais qui court vers l’aval de nos mains
    Pente douce, bonheur, tu viens enfin
    A la croisée de nos destins
    Murmures de nos deux vies.

  50. On crève par manque d’images qui fait quoi pour qui c’est presque secondaire tout fou le camp si chaque époque ne donne pas le reflet de son âme à travers la production de ses artistes. En inventant l’argent (une représentation) les marchands jouent avec ce besoin d’image qu’a l’homme et l’argent travesti tout , Jeff Koons en est un parfait exemple. Amen

  51. L’homme de pouvoir allait bientôt retrousser son dhoti pour nous montrer son cul; l’homme de la rue a baissé son pyjama pour nous montrer son cul; et nous, la classe moyenne allions nous incliner devant le miroir, baisser nos pantalons de prêt-à-porter et regarder notre cul… Mais pour finir, il ne resterait plus que nous tous, exhibant notre cul. Pour finir, il ne resterait qu’une confédération de culs.
    Tarun J. Tejpal Loin de Chandigarh

  52. Retour de promenade où tout l’être s’est imprégné de toute la magie automnale, l’esprit s’est baigné de silence et d’émotion…
    ___

    Rouille et bleu ardoise
    Quand la rivière s’enflamme
    La palette du poète

    L’effet de miroir
    Dans le courant du ruisseau
    L’empreinte d’un ange

    Un reflet d’argent
    Où s’accroche la lumière
    Dans l’ombre bleutée

    Le rêve, l’émotion
    dans l’intimité du lieu
    Au rythme de l’ « Ô »

    Bonne fin de dimanche, le temps semble ne pas avoir le même rythme aujourd’hui, la pendule traine ses aiguilles. Nous allons à pas lents dans la froide saison.

  53. Me revoili me revoilou comme dirait Leila.
    Eau saut du lit, Je vous rejoins et vous m’en faites traverser des é motions, du gai au grave…
    Allez, je garde rires et sourires pour la journée!
    Quel plaisir de retrouver notre Bonne vieille Rachel.
    Dommage pour ta dent, elle t’allait si bien (Unique, éclatante, une fixe incontournable qui nous manquera bien! (sache toutefois que cette photo que tu avais postée restera gravée dans nos coeurs ! )
    Moi, tu sais, je prends soin de la mienne, enfin ce qui m’en reste, je garde le dentier pour les grandes occasions 😉
    Cela dit sur le pont et quand je suis seule le soir, au rythme où vont vin et eau de vie, je l’aurais vite perdue aussi 😉
    Bisou à l’équipage,
    quand les mots coulent à flot, pas besoin de barrage.
    A vot santé

  54. Je ne t’avais pas vu passer Monique, tu laisses un sillage de sérénité bien agréable après toi. Bonne fin de journée 😉

  55. merci Lou et bonsoir, cette sérénité qui transparaît à travers mes écrits est certainement due à ce beau soleil aujourd’hui sur la France, et à ce petit air de vacances avec cette impression d’avoir une plage de temps libre plus importante, pourtant ce n’est qu’illusion.

  56. Il y eut les fêtes
    Secrètes
    Eternelles
    Précédant le rite d’initiation
    Le cérémonial
    Fondamental
    L’attribution d’un visage
    Sans nom

    Il y eut les doutes
    Délibérés
    Les combats singuliers
    Qu’il fallu
    Confirmer

    Il eut l’inconfiance
    Eprouvée
    En toutes lieux
    Sans défiance

    Puis il y eut
    Quelques secrets
    Tenus
    Qui nous rendent muets
    Et qui résonnent
    Sous nos doigts

  57. J’ai constaté que Marc s’était emmelé les doigts en écrivant le prénom du capitaine. Cela m’a inspiré cette bêtise.

    Ô saine Ossiane
    S aine je ne sais (hi hi hi)
    S eraine (je l’espère)
    I mbibée (d’eau de vie ?)
    A ccoutumée (non j’rigole)
    N éanmoins…..
    E panouie

    Je suis en manque d’inspiration totale et ça dure. C’est chaque année pareille à cette période. Je souffre du manque de soleil et de luminosité. Ça passe au bout d’un moment. Heureusement que tes photos nous ramènent l’été et que vos écrits respirent bon la vie.
    Emotion cette semaine en entendant les paroles de Sœur Emmanuelle. Quelle femme ! Quelle joie de vivre et quelle humanité. Cela fait du bien dans ces moments où le monde ne tourne pas rond. Bonne soirée à tous. Chapeau et merci à toi Thierry pour tes connaissances infinies et ta gentillesse ; Bises à TOUS……

  58. Monique, j aime ta ballade en partage…

    La toto aime le bel automne
    Elle sifflote les feuilles
    Regarde les nuances en tons
    Mélancolie douce en son coeur
    Elle pétarade doucement
    Un champignon entre les dents
    Son amoureux sur le genoux
    Lui fait des calins dans le cou
    Et de son bleu elle passe au rouge
    Dans de si belles héhé mOtiOns

  59. Photos magnifiques, textes qui laissent rêveur…..ce blog est une bulle d’ O xygène…je reviendrais m’ évader par ici plus souvent . belle découverte!

  60. C’est excellent Annick. La toto qui pétarade un champignon entre les dents et l’amoureux sur les genoux. Je trouve ça bien écrit et on sourit en imaginant la scène.

  61. Bonsoir la compagnie !

    De retour de rando en Ariège,
    à la rencontre d’un lac ensoleillé (on a eu chaud !)
    où l’O miroitait si joliment,
    avec des reflets très ondulants
    Qui auraient beaucoup plu à Ossiane,
    je m’aperçois que vous avez
    bigrement bien travaillé
    pendant mon absence !

    Je n’ai pas encore tout lu…
    Mais tout le monde y a mis
    son petit grain d’O de Vie
    De folie et de magie !

    Ossiane,
    Tu vas pouvoir préparer
    Une MONTAGNE d’images !

    Biseeeeeeeeeees éclabousséeeeeeeees

  62. E-motions qui inspirent aux mots des passages tendres
    E-motions enthousiastes communiquées sonores
    L’horizon est bouché et pourtant on en rêve
    Dans ce temple de l’image où défilent des fantômes
    L’être fragile ou mort engagement et cris vains
    Nous restons sur la grêve dévastés et perdus
    Dénoncer ne sert plus qu’à remplir le papier
    Quelles valeurs pour quels droits que reste-il encore
    Existent quelques pensées résistent quelques sourires
    Eviter de sombrer en suspens c’n’ est pas nuire

  63. un zanpignon mmhhhh delizious, rachel…..
    zé c’qu’j’m’dis, lou, mes bêtises arrivent toujours à percer ma couche de calcaire, alors faut croire qu’j’changerai zamais d’aimer me bidonner…et quand on se voit, lou, on invite les fantômes, chiche!

  64. Faire passer l’émotion de ces après midi d’automne, où les couleurs, l’eau, le ciel,les rayons du soleil, nous laissent dans cet état de bien-être, comme on peut le ressentir sur ces petits chemins qui bordent les rivières et où l’été la fraîcheur et la lumière environnante atteingnent notre sensibilité comme nous le fait si bien ressentir Ossiane à travers ses images, impression qu’elle accentue avec les couleurs de son calligramme. je vous donne à lire ce petit texte de Mallarmé que je trouve plein de charme et d’une grande délicatesse.

    « Mon âme vers ton front où rêve, Ô calme soeur,
    Un automne jonché de taches de rousseur,
    Et vers le ciel errant de ton oeil angélique
    Monte, comme dans un jardin mélancolique
    Fidèle, un blanc jet d’eau soupire vers l’Azur!
    -Vers l’Azur attendri d’Octobre pâle et pur
    Qui mire aux grands bassins sa langueur infinie :
    Et laisse, sur l’eau morte où la fauve agonie
    Des feuilles erre au vent et creuse un froid sillon,
    Se traîner le soleil jaune d’un long rayon. »

  65. Entre deux phrases romantiques, un petit sourire vient poindre délicieusement au coin de mon oeil, avec Lou, Annick, Christine et Rachel à qui je dis bonsoir et bienvenue à Marielle

  66. c’est joli, Monique,
    j’aime bien l’Automne, j’aime cette douceur, je me ressens une feuille toute fofolle qui se laisse séduire par la bise du vent et se laisse emporter en le suivant, et puis s’envole si haut, et s’évanouit sur un doux tapis de mousse, mmmh, c’est tendre l’automne, cela fait des petits matelas pour se préserver du froid, et puis les arbres des claviers à ciel ouvert qui musiquent de si belles mélodies,
    aujourd’hui encore, j’ai aimé tant regarder des chênes s’automner doucement, et c’était beau et si grand, un spectacle de milliardaire, éblouie par la Nature encore,
    alors je vous partage un bout de mon jour, d’ailleurs, j’avais allumé quatre bougies qui dansaient l’automne en tout dedans….

  67. Humm Annick c’est si agréable de te lire et de te sentir si proche et si communicative si pleine de cette envie de vie et d’amour. merci Annick, j’aimerai rencontrer beaucoup de gens comme toi, quelle chance nous avons de t’avoir avec nous.

  68. heu? c’est qui Annick, Monique! si elle est là c’est parce que vous de chacun, vous êtes superbe’s’….BISES!

    hein? Ossiane elle est superbe pour rassembler de belles âmes à plumes telles, j’aime tant vous lire!

  69. .
    Bel coucou à tous et un grand merci;-)

    Une note qui a recueilli beaucoup de commentaires!
    .
    Emotions, émotions de vous lire dans ces sous-bois. Plein de choses à se mettre sous les pupilles. Pas trop envie de m’en aller de là. J’espère que je ne vous lasse pas trop, si oui dites moi et je passe à autre chose;-)

    L’eau ronde, comme c’est bizarre;-) J’ai pensé à la lune et au soleil et vous avez pensé à plein d’autres eaux… très drôle parfois;-))

    Bienvenue rachel avec ou sans dent, imbibée ou pas ;-))
    Bonjour et bienvenue à Marielle!

    La bise à tout le monde!
    .
    Ossiane
    .

  70. Ossiane
    Je reprenais juste le « goujat » de Marc qui m’avait amusée car je n’avais pas vu de goujat non plus !

  71. un petit poisson las de la terre ferme
    Plouf, traversée de la rivière
    Sur la tête est-ce un lit de lumière ?
    Si tu rejoins l’Océan Indien
    Gare au pêcheur ou à la nasse
    et aussi aux marins

  72. L’Hyper-emotivité

    L’Hyper-emotivite qu’est-ce-que c’est en réalité ?
    Elle est en moi, je n’y peux rien c’est ainsi !
    Le mal-être des artistes, je dis Stop, c’est fini !
    Sentiments excessifs, Emotions disproportionnées.

    Actions et paroles exagérées mais aussitôt régrettées
    Cordes sensitives parfois incompréhensibles
    Passion immodérée le plus souvent indicible
    Il reste le son et les mots pour pouvoir s’exprimer !

    Etre différent ce n’est pas toujours facile
    Pris dans notre bulle, on se sent vite esseulés
    Souvent, se raccrochant à des détails futiles
    A fleur de peau, on s’emballe c’est la vérité !

    Difficile de vivre ainsi mais on peut se contrôler
    Nos actes ne reflètent jamais nos sentiments profonds
    A aimer de trop quelqu’un on se retrouve ainsi rejeté
    Paradoxe vital que l’on peut maîtriser, c’est ma conviction !

    Il est plus facile pour moi de composer des musiques
    Maîtriser cette dernière est une bonne chose paraît-il ?
    Don divin octroyé par je ne sais quel imbécile
    Offrant mon art, je m’agrippe alors à ce nouveau sens thérapeutique !

    Chris

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