Flou

Flou

Vapeurs d'un rêve, battement de paupières, poussières d'un soleil

Lecture du Haïku Calligramme: de bas en haut

Vapeurs d’un rêve
battement de paupières
poussières d’un soleil

82 réflexions sur « Flou »

  1. Des rêves tombent les lettres
    diamants au cœur des mots
    en fracas l’écriture
    dépose scintillant
    l’éclat des idées qui
    rebondissent
    transportées par leur force
    quand en beauté elles dansent

  2. _

    PUB :

    Pour un bracelet de rêves,
    une seule adresse :
    l’Oeil Ouvert.

    Mieux que la place Vendôme,
    un espace où se sertissent les mots
    en brillants reflets
    des âmes de ses hôtes.

    Plus scintillante
    que le Koh-I-Noor,
    vous y découvrirez
    Ossiane, la Joaillière.
    _

    Que cette journée vous soit bijou.
    _

  3. Bijou ……… journée scintillante ,Bourrache Merci
    Et comme en ce moment nous avons les mêmes lectures ……..!!
    un peu de François Cheng ,encore et toujours

    « Et nous n’échangerons pas
    Le quartz d’ici
    Contre les diamants du ciel

    Ici la vie vécue
    Ici le rêve perdu
    Ici le chant enfoui
    Ici le rythme rompu

    Que nous avons jeté au vent
    _à quel âge ingrat ?

    Que les cristaux de roche
    Ont conservés intacts

    A notre inssu « 

  4. Splendide : le mystère de la surface : ni l’intérieur, ni l’extérieur, le vide et le plein à la fois… tout ça avec des strass en lévitation entre deux mondes. Emma

  5. qu’est ce que c’est joli,
    me viennent que ces mots là, à l’ouverture,
    et en regard de l image, du haiku,

    et de tes mots magnifiques que je cite,
    °Vapeurs d’un rêve
    °battement de paupières
    °poussières d’un soleil
    mots qui perlent un joyau unique, Ossiane, déjà me viennent ces mots…

    Diamants tout contre SON coeur
    Un flou de rêve
    Qui se souhaite se vivre
    Les paupières fermées
    Devant les beautés de sa vie
    Qui brumisent son âme
    De bulles de vie miracles
    En éclats purs merveilles
    L’instant des retrouvailles

    Puis, avoir regardé, lu, les image et mots d’Ossiane,je pose mes premiers mots, et puis, je lève les doigts et vous lis avec attention, et,
    comme vous êtes beaux, des précieux, tous précieux, à vous remercier d’être vous de chacun,
    et je vous envoie des rayons du soleil qui brille ici…bises.
    et pour citer les premières pépites, je me permets de reprendre des mots de chacun et de les serrer chaudement et d’y ajouter mes petits mots. Belle journée scintillante!

    Haut les peurs!
    diamants au cœur des mots
    Toi…
    danse des paillettes de glace
    dans l’éclat de ton rire
    mon petit trésor
    Que cette journée vous soit bijou.
    dans la beauté, la douceur,
    Que les cristaux de roche
    Ont conservé intacts
    Le monde est fou.
    Et nous, on est vivants
    Toi et moi

  6. Tes yeux éblouis
    Dans mes rêves vaporeux
    L’amour en cristal

    Bises, Ossiane..et tout l’équipage sur le pont de l’Oeil Ouvert!

  7. et je vous lis, avant de commencer mon jour dehors aussi, et je poursuis avec l’écriture de vous, en vous citant, merci. Belle journée de soleil.
    merci Emma et Claudie, pour vos diamants de vous..
    et comme je me relis, ci dessus, je me dis, mince, pourquoi SON en majuscule, encore une fantaisie de moi, sans le souhaiter, mais comme je laisse faire mes doigts de moi, je laisse ainsi.
    Grande journée, et si c’est mercredi en petits ou plus grands, belle journée à vous serrer d’aimer, c’est si bon!

    tout ça avec des strass en lévitation entre deux mondes
    l’amour en cristal

  8. Julie vivait sur un petit nuage. Légère, elle parcourait le monde au gré du vent et des courants.
    Elle passait son temps à rêver, et à admirer la terre. Chaque jour, un nouveau paysage se précipitait sur ses yeux enchantés. Elle survolait des étendus miroitantes, recouvert deci-delà
    De rouleaux d’écume et d’îlots minuscules et verdoyant. Au travers de ces yeux humide de plaisir la terre ressemblait à un kaléidoscope infini.
    Certains jours, elle frôlait les montagnes et caressait les grands sapins verts.
    Parfois, les montagnes étaient si hautes qu’elle s’élevait encore un peu plus dans les cieux.
    De là, elle observait le diadème blanc qui recouvrait le faîte sous une avalanche de lumière et d’ombre. Chaque soir, sur la terre, scintillaient des chapelets d’étoiles filantes. Qui serpentaient dans un enchevêtrement de rubans sinueux ou droits. Par endroit elles ruisselaient le long de haies d’astres scintillant Dans la nuit, elles se raréfiaient, et s’éteignaient une à une pour laisser la place à la place a manteau noir et inquiétant . Alors, elle levait le regard vers les cieux et contemplait en s’endormant le firmament.
    L’aurore était le moment qu’elle préférait.Dans ces yeux embués de songes le soleil embrasait les nuages comme un feu de joie ; IL diffusait des halos de couleur sur la terre endormie. Des chants mélodieux s’élevaient dans les airs comme des bulles de musique s’éclatant contre le silence. Un jour une de ces amie décida de ses jeter à corps perdu vers cette terre promise. Une autre la suivit puis une autre.
    Pris d’une frénésie incontrôlable elle se jeta dans le vide à son tours….

    Une autre fois peut être la suite des aventures de julie

    Bonne journée à chacun
    merci de vos trésors

  9. Que le rêve de perles qui sautillent
    Soit la mer qui chante pour nos cœurs
    Que les voyages sur nos écrits
    N’aient du mirage que rime de vie.

    Que ce visage me soit connu
    Halo de paix d’un inconnu
    Dont le scintillement venu
    Un jour d’hiver, m’est douce lecture.

    Que ce chemin me soit offert
    En cailloux blancs, épines…douceur
    Joyaux dans la plaine des douleurs.

    A vous, poèmes sur l’herbe menue
    Négligemment jetés au vent
    Cristallisés en bulles qui dansent
    Dans nos esprits, en mal de plume.

    Paillettes où vibrent l’espace, le temps
    Y miroite le cœur de l’absent
    Sous le strass des beautés l’attend
    Mon âme éprise de ses diamants.

    Que cette note lui soit bijou
    Mes lèvres à le serrer d’aimer
    L’aurore ouvrira sa lumière
    En diamants de rêves… aux paupières…closes.

  10. Reveil …
    battement de paupières…
    difficile de sortir de ses rêves…
    nuit si douce et si magique…

  11. A tes yeux, je ne suis qu’un rêve…
    et je ne peux que le rester…
    impossible pour toi, pour moi, de franchir la barrière, et d’aller au delà …

  12. Nommer
    Foudre et limon
    Ciel et terre
    Confondus

    Se nommer
    Dans le bref

    Entre la lueur
    D’un chant
    Et les serres
    De la nuit.

    Andrée Chedid

  13. Lever du jour,
    Pointe d’aurore…
    Ouverture d’un œil
    Péniblement,
    Le deuxième suit…

    Doucement s’évapore
    Le flou de mes rêves
    En voile très léger
    Embué de bulles
    Prêtes à éclater !

    Cristallisation d’images
    Imprimées dans ce qui reste
    De ma mémoire endormie
    J’essaye d’y voir ainsi
    Un peu plus clair
    Et refait à l’envers
    Le film de ma nuit !

    Car il s’en passe des choses
    Pendant mes nuits !
    Les rêves sont si réels
    Qu’on s’y croirait en vie

    Que d’aventures n’ai-je pas vécues
    Toujours plus rocambolesques
    Les unes que les autres
    Le plus difficile étant
    De remettre à l’endroit
    Les innombrables plans…

    Et là, je m’y perds !

    Ainsi, cette nuit :
    Un appartement immense
    Dans résidence super standing
    Donnant directement sur la falaise
    Avec à ses pieds l’océan si grand !

    Pour le reste…
    Le flou…
    Tout se mélange…
    Ne restent …
    Que des sensations…
    Etranges…

    Biseeeeeeeeeeeeeeeeeeees vaporeuseeeeeeeeeeeees

    PS / Promis, demain, je note « texto » au pied du lit, le film de mes rêves : je mettrai un papier et stylo sur la table de nuit ! Si c’est un cauchemar, et bien tant pis !

  14. J’ai posé mes lorgnons
    Pour dévoiler le flou
    Des pixels de cristal
    Au cœur de ton image.
    Sous le soleil je joins les cils :
    Des animaux unicellulaires,
    Paramécies, protozoaires,
    Dansent sous mes paupières.
    Bien sur je suis miro
    M’informa l’ophtalmo
    « Les poussières que vous voyez
    De votre œil fermé
    Sont les cellulles ! »
    Celle que je préfère
    Est une douce bulle
    Et sa belle geôlière
    Une rivière de diam’s aux cils
    Garde son œil ouvert.

  15. Dans les vapeurs du rêve
    Un visage effacé
    Mon amour agacé
    De s’offrir au fantôme.

    Vous écrire mon ami, le plaisir de vous lire
    C’est vous dire tendre ami, mes regrets, mes oublis
    Mes tristesses et mes liesses se conjuguent aujourd’hui
    C’est le sublime des sens que l’Amour absolu.

    Sans alliance légitime, la larme que taire oblige
    Goutte sur mes poésies dans le lac des vertiges
    Quand l’honneur asservit, dans l’habitude vos noces
    Reprisées de soucis enrobées de silence.

    Le cœur a sa vieillesse, le cœur a sa beauté
    Moi comme ange qu’entretient l’encre de vos caresses
    L’aventure est liaison secrète délicatesse
    D’un regard tout absent en sa présence secrète.

    Riment nos regards, rêve rendez-vous, refrain de vie, cœur clémentine
    Les mots font peur, la mort, la guerre, ouvroir de vers en maîtres d’heures
    Prière au Père, pouvoir, la peur,poésie pure pour paix sans pleurs
    Semis de mots, sol calligrammes sur feuille de soie sous cœur déçu
    Aurore, eau pâle aux sources offertes au val des mots en verve d’amie
    Couleurs d’enfance, au bleu des cœurs, au rouge qui bouge, arc-en-ciel sens, Oh! bois de coeur
    La fraxinelle ou l’herbe frêle, frôlement d’ailes…G….

    Quand te dire mon ami les fragrances que j’oublie
    Quand murmurer le bruit imposé en silence
    A mon parfum au cou dessous parure de reine
    Quand t’écrire mon ami se fait joyau de vie
    Quand te lire mon ami se répand en empire
    De plaisir, de plaisir, tout le strass, les rubis
    Les diamants, l’émeraude n’ont de prix à mon cou
    Que tes bras en bijoux, que ta voix, dais, abri.

    Habiter dans l’instant éphémère et fugace
    Que ton rire illumine de sa jeunesse en vol
    Habiter ton soupir pour y croiser le vent
    Et te rendre doux navire aux vagues de l’océan
    Habiter tes pensées, le soir m’y abriter,
    Le jour m’illuminer de l’or de tes sourires
    Habiter ton regard et parler sans dire mots,
    Juste caresser ta peau de mes tendres murmures
    Et dormir apaisée au chant des lèvres espiègles
    Habiter dans la danse de nos corps amoureux
    Et te dire que tout vieux nous aimerons de même
    Habiter souvenirs et l’instant qui demeure
    En nous, jeunesse fébrile dans le creux de nous-mêmes
    Ici…à tout jamais.

  16. Et à leur rendez vous
    Le flou s’enlève sa brume
    Il et elle se regardent
    Emus délicatesse
    Déjà se nichent eux
    Eclat mille diamants

  17. Le sablier du tant
    Egrène ses diamants
    Et le sol recouvert
    Brille et éclaire le flou
    Le réel vit de plein
    Sur un cours scintillant
    Qui aime l’ombre belle
    Pour briller sans soleil
    Se palpiter tellement
    La vérité beautés

  18. A l’accident de la lumière
    A l’événement de l’onde
    Parcourir le monde
    En substance un photon
    Qui caresse ta peau
    Et fond comme un flocon

  19. c’est joli, tout simplement joli,
    une rivière de diamants,
    un équipage serré,
    des partages de soleil,
    parfois aussi des tempêtes,
    de la pluie, du gel, des rayons,
    la vie telle comme ça,
    la vie dedans ce cours rutilant,
    il est bien bel ton bâteau,
    Ossiane,
    capitaine sur la rivière joyaux

  20. Celle que gemme, je lui offrirai des rivières sans fin
    pour lui dire combien m’est précieux ce refrain
    et sur la surface adamantine on reprendrait la contine
    pour ce faire il faudrait sûrement monter une tontine
    mais l’extravagance des sentiments n’a pas de limites
    quand des brillants éclats on cherche qui les imite
    et comme dans un éblouissement tout soudain
    celà ne reviendrait pas à graver une nouvelle loi d’airain
    mais sur son cou j’aimerais tant voir alors ruisseler
    des monceaux de brillants qui à ses yeux donneraient
    Tous les reflets solaires sans la mélancolie du solitaire

  21. yaouh, comme c’est joli, Thierry.
    désolée, comme je suis vivante, j ai bien du mal à retenir mes émotions, toujours…BELLE SOIREE.

  22. A l’onde évanescente les périls instationnaires
    aux surfaces éblouissantes la cause fractionnaire
    aux liquidités géologiques l’ardeur des actionnaires

    Pourtant il ne s’agit que de carbone, de simple carbone
    certes il est de grande pureté et d’une dureté sans égale
    mais pour bon conducteur qu’il soit de la chaleur
    c’est d’abord de la chaleur humaine qu’on le veut le vecteur
    et sans écarts comme sans écarquiller il va nous deciller
    nous charmer pour autant qui croit à l’éternité

  23. Christine c’est excellent ….surtout pour les fondus d’alchimie
    en général ça se prépare plutôt dans une enclume que dans un caquelon
    mais il faut savoir faire monter la température et la pression ;)))

  24. Comme dirait un marabout cinéphile si sa ficelle ne prend pas, riviére sans retour…d’affection, ne vaut pas le déplacement

  25. Toujours aussi plaisant que de venir se promener par ici.
    Toujours pas la possibilité de « commander » un agrandissement d’une de ces oeuvres ?
    Commander, un vilain mot pour en fait s’émouvoir.
    Merci !

  26. Dans mon coffret à bijoux, pas le moindre petit diamants,
    mais peu m’importe….
    car ma pierre précieuse, mon éclat de chaque jour…
    c’est toi mon amour…

  27. Un petit bonsoir à tous
    __

    Et chaque jour , un regard nouveau dans le kaléidoscope, où les petits cristaux de glace, sur fond d’eau ou miroir du ciel aux couleurs pastel, offrent des images de grande beauté si douces à regarder. Le flou environnant laissant percevoir la finesse de ces perlettes fragiles aux reflets irisés.
    __

  28. .
    Juste un petit coucou… je suis loin de mon ordinateur en ce moment et je rentre tard… pardonnez donc mon manque de réactivité… je suis un peu KO;-)

    Je vous l’avais bien dit… je vois que ça se réchauffe dans votre poésie toujours aussi douce et belle … impossible de vous prendre en défaut de qualité… preuve que cet équipage est toujours au top de sa forme;-) Saine émulation entre vous que de cogiter et d’écrire de concert.

    Un coucou spécial à Emma la penseuse artiste, à sabine et ses jolis éclats de poésie, à MTO et se r^ves douceur, à Nico que je remercie de sa visite (pas de possibilité de commande pour l’instant;-) et bien sûr plein de bises à tous les autres poètes navigateurs voyageurs de ce navire.

    Bonne nuit!

    Ossiane
    .

  29. Dans le flou de ma pensée ensommeillée
    Les mots sont encore silence ,du rêve émerveillé
    Brillance
    Et si Julie , l’amie de Marc a sauté d’une étoile
    Pour rejoindre son coeur ,en un battement de paupière
    Il ne reste en ce matin immaculé
    Q’une poussière d’argent étoilée

    Hello !! AA

  30. Je vous l’avais promis hier
    Un résumé de mes rêves
    De cette nuit…

    Et bien ce matin…

    FLOU GAUSSIEN !
    (à 250 pixels !)

    Essayez pour voir !
    C’est pire que sans lunettes !

    Biseeeeeeeeeeeeeeeees floutéeeeeeeeeeeeeeees

  31. M’en jetez plus la vue
    Vous les éclats brillants
    Je vous ai vus de vous
    Vous êtes éclatants
    Et je vous suis fidèle
    Comme le petit poucet
    Qui ramasse chaque caillou
    Pour retrouver sa mine
    Simplicité de l’être
    Simplement bel vivant
    Et mes baisers pour vous
    Se splitchent dans un ciel grand
    Et je vous dis merci
    D’être vous tellement

  32. mmmmmmmmhhhh, c’est beau, Christineeeee,
    alors je suis dans le flou gaussien aussi, et je savais même pas son nom à mon flou…sourire!

  33. Qui oserai se gausser de ce flou
    serait un fieffé filou
    et pour le floutage
    il n’y a pas d’âge
    pas plus que pour les interdits
    car les sens interdits
    tatonnent et anonnent
    et personne ne paie l’annone
    quand au danone….
    c’est juste quand ça pédale…un peu flou
    décidément ma vue baisse
    et à des pitreries je m’abaisse

  34. Douceur et romantisme dans ce haïku, un instant génésique sublime, les mots jaillissant du flou de la pensée tels des sommets dans les brumes de l’aube

    __

    Pâle comme un murmure
    Quand sourd une mélodie
    L’ombre du rêve

    Le flou de la brume
    Imperceptible brillance
    Perles du soleil

    Friselis de mots
    D’un rayonnement intérieur
    Aux sons argentins

    ___
    Et puisque nous sommes dans le domaine du rêve, ces quelques mots de Philippe Jaccottet, qui s’accordent avec cette note aux couleurs douces et feutrées :

    « Songe à ce que serait ton ouïe
    Toi qui es à l’écoute de la nuit
    Une très lente neige de cristal »

  35. Les premiers mots de mon commentaire concernent le haïku d’Ossiane

    « Vapeurs d’un rêve
    battement de paupières
    poussières d’un soleil  »

    C’est vraiment très beau Ossiane

  36. demain, je m’achète des lunettes milliardfoyers,
    car c’est tellement incroyable de découvertes de vues de vies, encore et encore, de lire comme une image peut être perçue ainsi ou ainsi…

    Bijoux de sable argent
    Coulent de mes doigts
    Douces offrandes
    Prismes mille éclats

  37. Après le flou vient le net
    la mise au point n’est pas aberrante
    les effets de coin n’offrent pas de rentes
    dans l’à peu près et l’entre deux
    on accomode mais est ce si facile
    des muscles ronds qui font des bonds
    et puis le ponctum proximum
    qui comme un majordome
    fixe la limite du linoleum
    on focalise mais sans foyer
    notre axe erratique est décalé
    on oralise, on vocalise et sans rayer
    on voudrait plus d’une couddée
    mais pas passer de la cornue à la cornée
    alors on plisse et on ride
    on lache la bride
    coure vers les formes
    imagine de nouvelles bornes
    émiettez donc le champs visuel
    donnez lui des aspects irréels

  38. Prends ma main, suis moi, sur le chemin des rêves je t’entraîne, même si l’avenir y est incertain, je te promets que mon amour pour toi, ne cessera d’étinceller, à jamais, tel un diamant …

  39. Alors il va être tenté de vous suivre, Sabine, et puis vous verrez bien,
    l’amour cela se cultive, une pointe d’or, un brin d’argent, une goutte de parfum, un tendre geste, délicatesse, attention, distance, qui aime aimer aime tout simplement d’amour vivant…ondes diamants, regards profonds, silences pleins, paroles jolies….

  40. Foule sentimentale qui me floue le mental
    à voir tant de brillantissimes tressautements
    j’aurais bientôt le coeur en emmental

  41. Des fards d’eau qui pésent au propre hier
    des nénuphars qui s’emparent du présent
    et des flares qui colmatent demain

  42. .
    petit coucou tout net après le flou gaussien de Christineeeee 😉

    >Belle inspiration regard, merci !

    >Très beau morceau ce goddbye d’Archive, nigra !

    Et je vous lis et découvre vos perles de mots dans la brume de cette soirée d’hiver. Toujours très beau ce qu’écrit Jacottet ! Merci à toi Monique ainsi qu’à tous les poètes du blog et à Albert Birot que je découvre;-) ! Ce que vous dites est très touchant et je vous lis en silence devant tant de beauté exprimée.

    Bises du soir

    Ossiane.
    .

  43. et c’est bon que mon dico, mon ditgoogle m’aide pour les beaux textes de Thierry, mon vocabulaire limité, bises du soir, un repas en ESAT ce soir.
    et sur google la photo pour exprimer flare est jolie….

  44. Mon flair me trompe en plus de ma vue basse
    et pourtant il n’y a pas d’impasse
    pas plus que d’impair sauf à être malléable

    Merci annick mais ce n’est que si peu mérité
    à qui pourrais je donc dire my flare lady ;)))

  45. Quel plaisir pour les yeux et l’esprit chez vous Ossiane encore ce soir ! Les mots sont autant de plaisir que les photos…

    Une excellente soirée à vous

  46. Bonjour Osiane,
    Ton site n’est pas tout à fait une découverte, je l’avais déjà visité il y a quelques mois. C’est l’occasion, grace au classement de Monsieur Dubois, de revenir. C’est toujouts avec le même ravissement. De ce pas je mets un lien vers ton site dans mes amis photograhes. Je serais très honoré si tu pouvais faire de même
    Je reviendrais maintenant plus souvent
    Amicalement
    Pierre, alias masmoulin

  47. Elle est superbe cette image.

    Toute élégante
    Douce cristalline
    Elle murmure
    Des sons intimes
    Car quand le souffle
    S’approche se donne
    L’image se vit
    Intensemment

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