An Neuf

An Neuf

An Neuf

An Neuf

An Neuf

Fraîche comme une rose
une rose sans épines
année rose coeur

Malgré les noires prévisions de cette fin d’année si sombre, que 2009 vous soit rose, douce, généreuse, solidaire et fraternelle, qu’elle émaille votre route de petites pépites de bonheur comme ces perles de glace. Mes pensées iront aux plus fragiles, aux personnes seules et aux plus démunis. Essayons de garder L’Oeil bien Ouvert autour de nous sans se replier sur soi. Merci de votre gentillesse et de votre présence chaleureuse. Je vous envoie plein de petits ions positifs pour l’année nouvelle.
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136 réflexions sur « An Neuf »

  1. Quel éclat, quel magie dans cette rose glacée,
    « fée Ossiane » ! Un coup de rose glacée et nous voilà dans un 2009 an chanté et an chanteur. Merci !!

    Dans la beauté se fige une eau d’éternité
    Les cristaux se réchauffent au velours de la rose
    Le miracle des mots dans la douceur se pose
    et le cœur prend l’envol cet envol désiré

  2. Merci Ossiane du fond du coeur
    ___

    Belle rose rouge
    Accueillant l’année nouvelle
    Strass et paillettes
    ___

    Bonne année 2009 ,formuler pour tous des vœux de paix et d’amour j’en ai vraiment trop envie même si je sais, que malheureusement, c’est un peu utopique ; c’est en tous les cas mon souhait le plus cher, faire naître autour de soi la joie, la sérénité et trouver en ce monde un peu de sagesse moins d’égoïsme et plus de partage, nous sommes si nombreux à le vouloir, pourquoi n’aurions nous pas gain de cause ? il faut y croire même si cela est difficile. Et puis et surtout que chacun puisse garder auprès de soi ceux qui leur sont chers et leur faire savoir qu’on les aime avant que la maladie ou leur disparition nous séparent. Cela semble un peu triste, non, juste réaliste. En cette nuit de la Saint Sylvestre essayons d’oublier un instant le négatif de la vie, amusons-nous et laissons éclater notre joie et notre bonne humeur, un sourire c’est peu mais cela peut apporter beaucoup, d’autres l’ont dit avant moi. Tous mes meilleurs vœux de bonheur et de bonne santé à chacun.

  3. Rose glacée
    Coeur rechauffé
    Douce amitié
    – – – – – – – – – – –
    Merci Ossiane
    de si belle rose
    et des petits ions positifs
    qui ont traversé l’océan.

  4. Une émotion concentrée
    un zip pourtant bien glacé
    qui nous ouvre un monde…d’odeurs à révêler

  5. Elle est si belle que j’en mangerais…

    Encore tous mes voeux à vous tous

    Et à toi Ossiane que du beau, que du tendre, que du bon… bisous câlins vers toi

  6. Belle écarlate
    Le coeur d’une rose
    Palpitations .

    Belle année 2009 à tous et vos photos Ossiane sont superbes .

  7. je conserve la beauté
    que j’ai volée au vieil an passé –
    un suspens,
    une hésitation,
    avant de m’ébrouer pour rentrer
    dans l’espace encore blanchâtre,
    un peu gris,
    de cet an nouveau,
    qu’il va falloir adoucir

  8. Le bouquet sous la croix
    D’où vient-il ce bouquet oublié sur la pierre ?
    Dans l’ombre, humide encor de rosée, ou de pleurs,
    Ce soir, est-il tombé des mains de la prière ?
    Un enfant du village a-t-il perdu ces fleurs ?

    Ce soir, fut-il laissé par quelque âme pensive
    Sous la croix où s’arrête un pauvre voyageur ?
    Est-ce d’un fils errant la mémoire naïve
    Qui d’une pâle rose y cacha la blancheur ?

    De nos mères partout nous suit l’ombre légère ;
    Partout l’amitié prie et rêve à l’amitié ;
    Le pèlerin souffrant sur la route étrangère
    Offre à Dieu ce symbole, et croit en sa pitié !

    Solitaire bouquet, ta tristesse charmante
    Semble avec tes parfums exhaler un regret.
    Peut-être es-tu promis au songe d’une amante :
    Souvent dans une fleur l’amour a son secret !

    Et moi j’ai rafraîchi les pieds de la Madone
    De lilas blancs, si chers à mon destin rêveur ;
    Et la Vierge sait bien pour qui je les lui donne :
    Elle entend la pensée au fond de notre coeur.

    Marceline Desbordes-Valmore (1786-1859)

  9. Merci encore Ossiane pour ces belles photos; et à tous je vous souhaite de vivre pleinement selon les mots de P.Neruda et ceux de J.Brel :

    IL MEURT LENTEMENT CELUI QUI….

    « Il meurt lentement
    celui qui ne voyage pas,
    celui qui ne lit pas,
    celui qui n’écoute pas de musique,
    celui qui ne sait pas trouver
    grâce à ses yeux.

    Il meurt lentement
    celui qui détruit son amour-propre,
    celui qui ne se laisse jamais aider.

    Il meurt lentement
    celui qui devient esclave de l’habitude

    refaisant tous les jours les mêmes chemins,
    celui qui ne change jamais de repère,
    Ne se risque jamais à changer la couleur
    de ses vêtements
    Ou qui ne parle jamais à un inconnu.

    Il meurt lentement
    celui qui évite la passion
    et son tourbillon d’émotions
    celles qui redonnent la lumière dans les yeux
    et réparent les coeurs blessés

    Il meurt lentement
    celui qui ne change pas de cap
    lorsqu’il est malheureux
    au travail ou en amour,
    celui qui ne prend pas de risques
    pour réaliser ses rêves,
    celui qui, pas une seule fois dans sa vie,
    n’a fui les conseils sensés.

    Vis maintenant!
    Risque-toi aujourd’hui!

    Agis tout de suite!

    Ne te laisse pas mourir lentement!

    Ne te prive pas d’être heureux!  »

    PABLO NERUDA – « Prix Nobel de Littérature 1971 »

    IL MEURT LENTEMENT CELUI QUI….

    Il meurt lentement
    celui qui ne voyage pas,
    celui qui ne lit pas,
    celui qui n’écoute pas de musique,
    celui qui ne sait pas trouver
    grâce à ses yeux.

    Il meurt lentement
    celui qui détruit son amour-propre,
    celui qui ne se laisse jamais aider.

    Il meurt lentement
    celui qui devient esclave de l’habitude

    refaisant tous les jours les mêmes chemins,
    celui qui ne change jamais de repère,
    Ne se risque jamais à changer la couleur
    de ses vêtements
    Ou qui ne parle jamais à un inconnu.

    Il meurt lentement
    celui qui évite la passion
    et son tourbillon d’émotions
    celles qui redonnent la lumière dans les yeux
    et réparent les coeurs blessés

    Il meurt lentement
    celui qui ne change pas de cap
    lorsqu’il est malheureux
    au travail ou en amour,
    celui qui ne prend pas de risques
    pour réaliser ses rêves,
    celui qui, pas une seule fois dans sa vie,
    n’a fui les conseils sensés.

    Vis maintenant!
    Risque-toi aujourd’hui!

    Agis tout de suite!

    Ne te laisse pas mourir lentement!

    Ne te prive pas d’être heureux!

    Pablo Neruda « Prix Nobel de Littérature 1971 »

    « Je vous souhaite des rêves à n’en plus finir
    Et l’envie furieuse
    D’en réaliser quelques-uns.
    Je vous souhaite d’aimer ce qu’il faut aimer
    Et d’oublier
    Ce qu’il faut oublier.
    Je vous souhaite des passions
    Je vous souhaite des silences.
    Je vous souhaite des chants d’oiseaux au réveil
    Et des rires d’enfants.
    Je vous souhaite de résister à l’enlisement,
    A l’indifférence, aux vertus négatives de notre époque.
    Je vous souhaite surtout d’être vous.  »

    Jacques Brel

  10. Excusez ma fausse manip. : j’ai saisi 2 fois le poème de Néruda. Si tu peux corriger Ossiane.
    Bises

  11. une nouvelle année commence en beauté
    le fond du cœur révélé
    une perle du collier

    du souffle sur l’an neuf
    merci

  12. Merveilleuse rose dentellée de givre, pleine de promesses pour recevoir et offrir en retour des quantités de voeux pour l’année qui s’ouvre à peine.

    Merci Ossiane, pour ces coeurs en série: résultats des coups de coeur, rose en bouton.
    Bonne Année à tous.

  13. Rose givrée à croquer
    Pomme d’amour à aimer
    Rose coeur Belle année

    Que d’amour à partager Chère Ossiane en ce premier jour de l’ An Neuf

  14. « 2009  »
    bip bip bip !
    Connection réussieeeeeeeeee !
    Youpi !

    Belle la rose enneigée
    Aux pétales tout givrés
    Et les joues bien rosées
    Du froid de ces jours derniers…

    Avec tous tes ions + + + + + + + +
    Plus positifs les uns que les autres
    Additionnés avec tous mes eeeee (e*)
    Nous allons pouvoir faire….
    De sacré étincelles !

    J’envoie plein de grosseeeeees biseeeeeeees à chacun pour cette nouvelle année !

  15. Qu’ils sont doux et qu’ils sont réconfortants tous ces bons voeux entre nous échangés, merci à tous.
    __

    Je me suis attardée ce matin
    Sur cette rose rouge de notre jardin
    Elle attendait l’année nouvelle
    Fébrile sur sa branche nue
    Tournée vers le soleil levant
    Elle offrait aux premiers rayons
    Sur ses lèvres roses, un baiser de givre
    Sa force est dans sa beauté
    Elle affrontera tant bien que mal
    L’agressivité de l’hiver.
    Chaque jour qui se lève
    Lui accorde en ce début d’année
    Quelque rémission par amour
    Et pour nous tous le plus beau cadeau, la Vie

    __

    Bonsoir et Bonne nuit à tous

  16. *-*-*-*-*-*-*-
    an frais
    an jeunesse
    an tourmenté par les vents des hommes
    par l’histoire des roses glacées
    neuf dans le vieux monde des naissances
    balayé
    *-*-*-*
    par le jour des bombes
    effrayé
    par les cris des ventres
    enfants de GAZA
    enfants de BOMBAY
    -*-*-*-*-*
    des enfants
    du monde
    *-*-*-*-
    alerte météo
    raz de marée
    sur la planète terre
    gigantesque carnaval
    grande parade
    belle cavalcade
    pour combien de temps encore
    des roses glacées
    dans les coeurs amoureux
    par la tendresse bleutée d’innocence
    de tes yeux merveilleux

    http://www.youtube.com/watch?v=2xocvGX0S6s

  17. B alancer ennui et regrets
    O ublier ses soucis
    N ouer des liens amicaux
    N ager dans la joie
    E largir son horizon

    A imer, aimer
    N ier le malheur
    N ommer le bonheur
    E changer des confidences
    E spérer un monde de paix

  18. Protégeons cette fleur de nos mains fragiles,
    elle qui bravait la saison
    et voulait l’ignorer.

    L’espérance
    comme une rose
    hors de saison
    mais par hors de raison.

  19. Au moment de former des voeux, et pas de fermer des bans, au moment de repartir sur nos bancs de rameurs de la vie, quelques mots sur ce qui tend nos vies où vers quoi elles peuvent tendre.

    000

    « Espoir ou espérance »

    Esperare est ce attendre le déroulement de sa vie de manière mécanique sans comprendre ou interférer avec le déroulement des choses ou bien au contraire s’en mêler de façon proactive en accompagnant ou anticipant des situations ; objet ou sujet, fétu poussé au gré des courants ou bien esquif mu par un sens dans une direction donné.

    Attendre avec confiance suppose que, sans certitudes, on a du moins gommé certaines inconnues et qu’on a des perspectives positives, face à des doutes ou des questions, de dépasser l’obstacle, de trouver la solution, de sortir de la situation préexistante.
    C’est bien battre en brèche la défiance et la crainte de l’inéluctable, du pire, annoncés mais pas certains et dans la lueur qu’il nous est possible de percevoir le discernement d’une source aussi faible soit elle qui nous permet d’entrevoir la possibilité de trouver l’objet de notre quête.

    Quand Malraux nous assène une phrase suffocante comme « un monde sans espoir est irrespirable » veut il que nous retenions notre respiration face aux incertitudes de l’avenir où que nous nous engagions à perdre haleine dans la construction de demain ?

    Cependant il est des gradations dans la métrique de l’espoir, certains sont qualifiés de faible ou ténu, d’autre de fort ou de ferme, aucun n’exprime de certitude absolue mais une probabilité plus ou moins grande selon les données initiales.

    Cet espoir serait donc la mesure instantanée à un moment donné de voir se réaliser ou s’accomplir ce que l’on souhaite, et ce souhait, ce vœu qui peuvent rejoindre l’envie et surtout le désir ne sauraient nous couper définitivement de nos sens, qui sans être toujours trompeurs nous abusent hélas souvent et nous conduisent à de fausses impressions et à des estimations fallacieuses, parce qu’on veut se ménager des chances, des sorties, des issues favorables.

    L’espérance ne serait elle pas plus intemporelle comme cette rivière qui coule dans le lit de nos vies et qui conduit bon nombre à suivre le flot des tourments, les méandres des événements, les rapides des changements de périodes et nous entraîne toujours plus loin sur le chemin déjà commencé ?
    Est-ce un flux vital, une énergie potentielle qui ouvre au mouvement des perspectives et qui dans la prospective trouve à s’épancher et à s’épanouir ?

    Ses synonymes traduisent son aspect multi forme que ce soit : assurance, certitude, confiance, conviction, croyance, espoir.

    Certains s’en méfient et s’en départissent sans regret comme Chamfort qui nous dit « l’espérance n’est qu’un charlatan qui nous trompe sans cesse ; et pour moi le bonheur n’a commencé que quand je l’ai eu perdue ».

    D’autres la ramène à un credo dans une logique temporelle du moment et en signent la relativité absolue et l’impermanence comme en même temps que la nature illusoire et du domaine du leurre comme Alain qui dit « nos espérances mesurent notre bonheur présent bien plus que notre bonheur à venir ».

    Et ces promesses sans lendemain, ces récoltes annoncées, ces fruits promis nous sont souvent soustraits par le hasard du déchaînement d’éléments imprévisibles ou occultés et rien n’est jamais totalement pré- déterminé.

    Certains se laissent aller à nommer l’objet de leur désir et personnalisent comme Racine « voilà donc votre roi, votre unique espérance » d’autres irrémédiablement nous en font passer le goût comme Dante « abandonnez toute espérance vous qui entrez ici ».

    Ici et maintenant quels sont les désirs de l’homme et quel génie le pousse à en chercher l’accomplissement, parfois par tout les moyens ?

    Et quand aux actuaires qui couchent dans leurs tables de mortalité les statistiques des générations selon les lieux et les périodes ils nous indiquent une certaine espérance de vie qui fonde des espoirs, des calculs et des systèmes mais la plus belle espérance ne serait elle pas de savoir à quoi notre vie à servi et d’en préciser l’utilité pour la communauté plutôt que la quantité.

    Alors au fil du temps l’espérance déroule son long ruban et quand il est dévidé de son bobineau peut être est-ce un signe que la vitalité s’en est allée et les prémisses d’une fin proche.

    000

  20. Pour toi….
    Je me fous de la vie qui se tend…des doutes…et des solutions trouvées…Je me fous du manque de respiration..des tourments qui flottent ..et du bonheur perdu….Je me fous du bonheur mesuré…de l’avenir des promesses…et des vies calculées…
    J’ai juste besoin de te lire…de courir après les mots…de vivre contre toi…je veux des regards découverts…de la lumière sur tes paupières…et des volets clos…J’ai envie de blogs tendres…de lettres qui se détachent..de messages sur les fenêtres…

    Ta seule présence sur ce blog est une espérance…et l’espérance c’est ma vie…

  21. Clin d’oeil à Jo.S
    J’aime ton achrostique.
    Des beaux mots.
    Il faut les transporter pour la realité.
    Le monde sera meilleur.
    Un bisou

  22. Mon « toi » a des « elles »…et mes ailes c’est pour toi…pour voler dans l’espace et glisser sous tes mots…Pour glisser sur la glace…ta tendresse il me faut….pour bruler dans le ciel…j’ai besoin d’un soleil…d’un soleil avec des « elles »…et le temps contre nous…

  23. Que d’émotions à la contemplation de cette rose, Ossiane, un petit bijou! Merci pour toute cette beauté..Je t’embrasse…Tendres pensées vers toi

    Rose née à l’aube
    Eclosion dans tous les coeurs
    D’un an de bonheur

    Bisous à la senteur de roses à tous!

  24. MIGNONNES ALLONS VOIR
    DE L’OEIL OUVERT LA ROSE

    Mignonnes, allons voir si la rose
    Qui ce matin avoit desclose
    Sa robe de pourpre enneigée
    A point perdu ceste vesprée
    Les plis de sa robe pourprée,
    Et son teint de satin léger

    Oh!voyez comme en fleur de glace
    Mignonnes, elle a dessus la place
    De givre ses beautez ornées
    Ô vrayment fantasque Nature,
    Puis qu’une telle fleur si pure
    Vient embellir notre journée

    Donc, si vous me croyez, mignonnes,
    Tandis que vostre âme s’étonne
    De cette exquise nouveauté,
    Aimez la fleur enchanteresse :
    Dont le froid garde la jeunesse
    De son immortelle beauté

  25. .
    + + + + + + + + + + + + + + + + + + + + + + + + + + + +
    .
    Bonjour les Amis en ce deuxième jour de l’An 9 !

    J’espère que vous avez passé de bonnes fêtes avec vos proches, que vous avez pris de bonnes résolutions pour que demain soit meilleur, que vous êtes plein de dynamisme et d’espoir pour l’avenir comme ce grand soleil vif qui luit au-dessus-de ma tête, dans l’atmosphère glacée de ma campagne.

    Merci d’avoir apprécié ces simples roses ; ce sont celles de mon jardin 😉
    Merci également pour tous vos messages chargés d’affection et d’attachement, essaimés sur ces dernières notes. Ca me touche profondément ; j’en « rosis » de plaisir 😉

    N’étant pas souvent prés de mon ordinateur, j’ai essayé de vous répondre au travers de Midnight et de L’An neuf que j’avais mis en publication automatique 😉 Héhé c’ets que j’avais prévu le coup et que je m’étais préparée de mongue date pour ce petit évènement 😉

    Pour ce qui est de la présentation des Coups de Cœur, j’ai essayé de m’adapter à ce que j’ai reçu de vous 😉 Une palette de choix vraiment variés et diversement formulés. J’ai préféré la simplicité compliquée à mettre en œuvre, ça n’a l’air de rien 😉 pour vous présenter tous ces cris du cœur le plus clairement possible. Merci donc à vous tous de vous être tant impliqués ; je crois que les résultats ont intéressants à découvrir et à décrypter 😉 Un bravo également à Annemarie et Jean qui m’ont envoyé leurs deux poèmes spontanément. Ils tombaient à pic puisque chacun de vous a accompli ces petits voyages intérieurs et extérieurs pour se décider.

    De mon côté, pas de désirs inaccessibles ni matériels, simplement vivre au jour le jour, bien au présent, saisir les petits bonheurs du quotidien quand ils se présentent, continuer à capter la beauté du monde avec mon appareil photo, la tranfigurer en images et par les mots, la faire partager, progresser dans ce domaine graphique et photographique et puis bien sûr aimer dans tous les sens du terme. Telle est mon approche de 2009 😉

    Coucous chaleureux et colorés à Lilly rose, mon amie à bulles à qui je suis très attachée, à Perline qui palpite en délicatesse, à bernard qui zozote en sourire, à Brigetoun qui s’ébroue, à lou from america, à rachel unique en son genre aussi ;-), à monique au grand cœur gros comme une orange (bon choix john renbourn mais plutôt en CDs), à neyde l’amoureuse, à marc le givré pas givré ;-), à thierry en espoir déroulé, à maria reine de beauté, à François le jardinier de la rose rouge givrée, à Leila la musicienne, à JoS l’acrosticiennne, à Jean le roi des notes, au sid grand haïkiste en again, à Gondolfo à qui je souhaite la bienvenue, à Vincent en rose velours, à nath ivre de vie, à véronique souffleuse d’espoir, à sabine et son bonheur du monde, à annick et son bel temps, à arletteart en factrice de l’amour, à christineeeeee princesse des e pétillants (je te prête quelques « o » et « + » pour que ce soit plus efficace si tu veux), à ElodyStyle que j’accueille chaleureusement, à Francesco l’émotionné que je remercie de sa visite, à aspe le retardataire et ses cris du monde, à salade à qui je renvoie une bise, à regard le balbutiant ;-), à pierre le baladin plein d’espoir, à pierre b le pêcheur ailé de mots tendres, à johal chasseuse de baisers roses, à claudie la parfumeuse des cœurs, à amichel de Ronsart, grand poète du 21ème siècle de l’an 9, à alice subtile voyageuse de la poésie.

    Après ce long enchaînement de noms, vous pouvez vous rendre compte que la galerie des passagers est bien une mosaïque bigarrée bien vivante.

    Allez je retourne au travail;-)
    See you later.

    Ossiane

    .
    + + + + + + + + + + + + + + + + + + + + + + + + + + + + +
    .

  26. Le givre sur la rose posé
    En diamant s’ est métamorphosé
    La rose sous le givre émerveillée
    En soie poupre s’ est parée.

  27. …………………………………………………..

    savourer ta langue
    mon rêve de bouton de rose
    parfum de framboise

    dans le piquant de la vie
    la douceur fruitée des mots

    …………………………………………………..

    andrée wizem

  28. Ah Madame! Le ciel des allées s’est arrondi
    Et mes prés plessés ont verdi
    L’éclat du lys et de la rose
    A mon amour, à ma piété
    A tendu grâce, paix et beauté
    En tout lieu et coins de repos.

    Le bouton de rose
    De givre et de vert paré
    Frimas de l’hiver.

  29. Ah Madame!
    Au nom de la rose
    La campagne ai-je parcouru
    Vos bras, espéré

    Ah! Madame,
    Voici le bouton
    De l’an neuf dans son écrin
    Pétales en quinconces.

    Ah! Madame
    Leïla n’a plus d’idées pour me faire parler.)

  30. Rose d’amour
    Tu restes belle
    En plein hiver
    Au goût velours
    Tes arômes si généreux
    Au coeur frissons
    Jolie rose immortelle
    Tu traverses les temps
    Comme ça
    Et je te serre
    Mon amour sans épines
    Si bels pétales tendres
    D’amour de rose

  31. Fort empourprée malgré le blizzard
    pas déglacée ni même délacéee
    elle humecte le givre ciselé
    transie d’émotion
    voile ses longs cils

  32. Elle approche son petit nez
    La vie
    Et elle suce le doux givre
    Pour s’ennivrer ensuite
    Des bels parfums
    Sur le pétale coloré
    Qui tout de soie
    Se laisse caresser
    En vie
    De vie
    Plus corps à corps
    Encore

  33. elle avait les yeux clos, j’observais la commissure de ses lèvres carmin;
    doucement sa bouche c’est entrouverte pour briser le silence
    L’air était glacé, de la bué c’est échapée; nuage que le souffle du vent
    emporte avec lui. le froid envelopait d’une écharpe de givre ces sourcils.
    Mais Ces mots sont restés à l’orée de ses sa bouche …bizarement je les ai compris….et il m’ont réchauffés le coeur; le corps;le printemps est passée elle c’est épanouie…les silences ont résonnés … ; l’été est passé; l’automne est passée; l’hivers est revenu; les mots eux ont traversés silencieux les saisons; au travers du givre, au travers du brouillard;autravers des parfums de la terre qui s’éveille; au travers des fruit gorgés de soleil; au travers des feuilles roussies; au travers de la lumière blanche de l’hiver; combien de saisons? combien de fruits, combien de feuilles résonneront il encore avant que sa voix prononce ce que son coeur à déjà dit…mais peut être ne peuvent il pas être dit…peut être n’aura elle jamais le temps de les prononcer …peut être même s’évanouira t’elle avant …ces mots eux continueront résonner même dans l’épais brouillard de novembre….

  34. Dans le jardin dOssiane
    Sous le clair matin glacial
    Des roses extraordinaires
    Rubis et diamants à faire rêver un diamantaire
    Malheur à celles qui les touchent
    C’est une espèce protégée

  35. .
    >MTO, plaisir de te retrouve rnefin sur ces pages;-)
    Toujours autant de délicatesse dans ta poésie;-)

    >je reconnais bien ton style, andrée;-)

    >les idées vont revenir, leila;-)

    >vincent, beau poème!

    >annick, contente de ton retour en bel amour;-)

    >thierry, si vivante sous tes mots la rose;-)

    >marc, très vivante et humaine aussi ta rose!

    >arletteart, je me demande comment elles arrivent à résister dans un froid pareil;-) Force de la nature…

    >caphadock, à toi de choisir mais vaut mieux sans épine;-)
    .

  36. Je fais tant de gelées
    pour la famille,
    pour les amis.
    Tous les fruits
    que je rencontre à la foire.
    les unes
    fraises, goabas,
    figues, prunes,
    les autres
    bananes, ananás,
    pommes, poires
    et cetera
    et cetera
    se transforment
    en délices.
    Avec de sucre et d’amour
    j’essaye toujours
    de faire le meilleur.
    pour la bouche,
    pour le coeur.
    Mais,
    jamais
    j’ai essayé
    de faire
    une rose sucrée!

  37. Ossiane,
    Tu as vu la neige sur Paris?
    Et mon fils et sa femme sont là!
    Ils ont eu la chance de voir Paris de blanc vetue.
    Je vais voit les photos.

  38. Sous le givre un cœur blanc
    Au cœur d’une rose d’hiver
    L’hiver à la campagne
    La campagne endormie
    Sous le givre qui sommeille
    Chauffé sur des pétales
    Rosés d’une fleur d’antan.

    Ah la rose en pensée
    Anosmique souvenir
    La roseraie s’éveille
    L’aveugle a cœur qui bat
    Sous des cieux enchantés
    Même qui ne m’entends pas
    Prend la beauté que sème
    Mouvements de mes joies
    Même celui qui dis pas
    Signera de ses doigts
    Le parfum de la rose
    Quand
    le printemps
    sera
    là.

  39. En regardant une rose en bouton ,épanouie,ou givrée…
    Je ne vois que l e Petit Prince !!!!! et les mots en sourdine reviennent en boucle

    « Ce qui m’émeut si fort chez ce petit prince endormi ,c’est sa fidélité pour une fleur qui rayonne en lui comme une flamme…
    .. j’aurai dû deviner sa tendresse derrière ses pauvres ruses
    …elle est faible et naïve et se croie terrible avec ses épines …  »
    etc..
    Histoire éternelle .

  40. Bonsoir en ce soir d’hiver particulièrement froid, où les douces paroles posées sur la feuilles du jour réchaufferont nos coeurs engourdis.
    ___

    Au bord du calice
    Viendront se poser nos lèvres
    Elixir d’amour

    Pour que glisse en notre coeur
    Le doux parfum d’une rose
    ____

    Que votre soirée à tous soit paisible.

  41. Dessine-moi un jardin
    Avec quelques lutins
    Un chat pour les guetter
    Derrière la baie vitrée.

    Dessine-moi la maison
    Et des fleurs de saison
    Quelques roses en boutons
    Sous du givre en suspens
    Au bord des liserés
    De pétales en quinconces.

    Dessine-moi des sourires
    Au bord de mes soupirs
    Des joies, des rires d’enfants
    L’Amour qui se répand.

    Dessine-moi une fleur
    Arc-en-ciel de couleur
    La pluie, encre de ciel
    Pour des rêves en dentelle.

    Dessine-moi des épines
    Aussi douces qu’un pinceau
    Qui trace rose en bouton
    Sur une peau effleurée.

    Dessine-moi une fleur
    Que j’effeuille le temps
    Un peu, beaucoup, comment?
    Ah! Oui! Passion-aimant.))

  42. Au premier de l’an
    Une rose de Noël
    Cadeau pour longtemps

    Cette image est magnifique
    Bravo Ossiane

  43. A peine éclose
    Juste un peu
    Pas trop
    L’essenteil d’elle
    Elle se poudre le bout du nez
    D’une gelée de givre si tendre
    Elle a tellement envie
    Qu’il lui croque ses lèvres
    Et la réchauffe
    En tout dedans
    Encore et en corps

  44. Je m’y suspends encore à tes boucles de « bel » qui ponctuent ton écriture et qui sont en fait ta signature)) avec sourire et plaisir Annick.

  45. Merci Leila, comme ils sont beaux tes mots,
    et pour chacun,
    mai comme je reprends ma lecture fort douce comme j’aime, m est impossible de citer chacun’e’…
    revenue de là haut, du nord, une autre vie s’y vit, et je retrouve ma vie toute tendre, c’est si calme dans les alentours, ici,
    et puis c’est si lent et si bon,
    le tournis dans le nord, comme si je pédale dans le choucroute, et ne peux plus suivre leurs courses, pour après quoi,

    Quand te regarder ma douce
    Rester là
    Tendrement
    Et dans tes yeux
    Me boire
    Et me révéler être sereine
    En ayant tant et tant
    Avec tes pétales ma rose
    Moi
    Ton bel amant

  46. Quand te regarder ma douce….
    Te lire de mes yeux doux
    Boire tes paroles source
    D’ Amour aval des eaux
    Et la vie renaissante…
    A toi Annick continue

  47. Des petits cristaux
    Si frêles craquetis
    Et quand les doigts
    Les serrent
    De l’eau fraiche de vie
    Et dessous le mouillé
    Cette soie
    Si rose
    Si parfumée
    Dans le coeur en hiver
    Car la saison d’aimer
    Traverse les saisons
    Et crée cette déraison
    En douceurs des amours
    Qui traversent les tant
    Et unient pour toujours

  48. et moi qui écrivait autre chose, Leila…
    attends, je te lis, ou plutôt te relis, et j arrive avec mon balluchon de mots… BISES.

  49. Quand te regarder ma douce
    Rester là
    Tendrement
    Et dans tes yeux
    Me boire
    Et me révéler être serein
    En ayant tant et tant
    Avec tes pétales ma rose
    Moi
    Ton bel amant

    Te lire de mes yeux doux
    Boire tes paroles source
    D’ Amour aval des eaux
    Et la vie renaissante

    Te danser en froufrous
    Tes péales délicats
    En perles de givre
    Te sertir un collier

  50. heu? je suis un peu beaucoup émulsionnée…
    mes tapouilles en copiécollé se perdent un peu le fil, je relis…

  51. OK, je m’accroche aux vers qui suivaient…

    Des petits cristaux si frêles craquetis
    Les perles dessus la peau
    Qui crissent comme rubis
    Entrechoqués dans un carré de soie.

    Soie rose glisse sur ma peau
    il y a des baisers doux
    Qui font frissonner l’eau
    Endormie en coupelle
    Dans le lit des amours.

  52. YAOUH, MAIS C4EST MAGNIFIQUE!
    je suis toute dilingdiling, comment te suivre?
    Allez je m ose…

    MAIS C EST TROP CE QUE TU ECRIS! sourire!

  53. Je copie ni colle rien du tout d’ailleurs ça me joue des tours d’écrire en vrac, des fois je perds tout car j’envoie le texte avec une adresse erronée et y’a pas moyen de revenir à la page précédente pour corriger, le texte disparaît c’est fichu pour de bon

  54. Je suis toute diling diling
    Un peu de poudre sur la joue
    Il m’a offert pour un shilling
    Quelques roses givrées, quel fou
    Amour de rose, hiver feeling))
    N’importe quoi, je m’amuse comme une sosotte!

  55. Bonsoir à tous et à chacune !

    Du bout de ses lèvres gelées
    Le bouton de rose
    Nous envoie un baiser
    Pour la nouvelle année

    Baiser
    Givré,
    Bise
    de Noël,
    Bisou
    Juste un peu fou

    Une fleur
    Pour commencer,
    Une fleur
    Pour continuer,
    Une fleur
    Pour terminer,
    Une fleur
    Tout au long de l’année !

    Roses de Noël
    Ecloses au jardin
    Pour un peu de soleil
    Quelle merveille
    En attendant demain

    Biseeeeeeeeeeeeeees de la roseeeeeeeeeeeeeeee

    PS/ Retour demain à la maison !

  56. non,non, tu m as mal comprise,
    je souhaitais dire que pour pouvoir te suivre,
    j ai copié collé les premiers mots, afin de les relire en jettttt, et poursuivre,
    j’aime me laisser aller aux mots sans calculs,
    ouioui, moi aussi cela m arrive en oubliant l adresse, je ne pense pas encore toujours à me copier coller au cas où…cela disparaît…

  57. AVANT DE POURSUIVRE, ma lecture, de jettt de moi, je te dis que je me pouffe à me relire te lire dilingdilinG…

  58. Cette couche si douce
    Mélange de vapeurs d’oOo
    Tendres murmures pétalés
    Frissons froid chaud si bel

    Cette bouche, sans couche
    De rouge à lèvres pour l’embellir
    A des murmures de fée nuage
    Avec des plumes de partage
    De l’encre de lune pour les rêves et du givre de rose en bouton.

  59. N’importe quoi, je m’amuse comme une sosotte
    Mais depuis le temps mon cher de bel
    Vous savez sans nul doûte que la folie m’habite
    Et c’est elle que j’aime et qui m’aime de tellement
    Alors je lui ouvre la porte n’en soyez pas jaloux
    Car mon tendre cher de bel en l’ouvrant c’est pour vous

  60. De l’encre de lune pour les rêves et du givre de rose en bouton
    Et quand les bouts de doigts amants se prennent au jeu de vie
    Ils écrivent des petits vers et peignent une toile d’un jardin magique
    Et c’est soleil la nuit, et la nuit au soleil
    Quand les bouts de vers de vie se dansent à la lanterne
    Celle qui brille les yeux et fait danser pépites

  61. Vers le large où je coule au fond
    Sans jamais me couler vraiment
    Car vos baisers dans le profond
    Me réaniment mon ciel de vie
    Et vous, vous tel, cher de bel,
    Mon celui là si bel de bel
    Que je m’enlace sans me lasser
    C’est impossible si cher de bel
    Au goût exquis du pur de vie
    Toute délicate pour m’envoler

  62. Christineeeeeeeeeeeeeeeee t’es passée en coup de vent.Y dansent tes chevaux?
    Au son de ta voix ou de la sienne
    Ou de celle du vent dans les bosquets
    Dis dis moi vite
    Ils dansent les chevaux?
    Sous leurs sabots
    Bien avant que l’avoine les régale
    Que l’écurie soit leur douce niche
    Dis entends tu?
    Mais oui
    C’est eux
    C’est les chevaux qui dansent
    La vie

  63. C’est ça, c’est vraiment ça..
    sans jamais m’y couler vraiment
    Sans jamais me saoûler vraiment
    Sans jamais me noyer vraiment
    Dans vos caresses désordonnées
    De ce foyer abandonnée
    Par votre cœur volage.

    Laisse-moi enlacer le vent
    Ses caresses sont plus douces ce soir
    Si bel de bel que soit le ciel
    Il ne sera jamais exquis
    Je ne peux dire si samedi
    La rose sans le givre, dévêtue
    Aura à cœur d’être éclose.

  64. Aura à cœur d’être éclose?
    Mais évidemment qu’elle l’aura
    La rose s’ouvre ses pétales
    Si lentement car son parfum
    Bel tendre d’ailes elle aime l’offrir
    Fort rarement mais quand elle s’offre
    Elle se donne sa saveur de miel

  65. Ok, un tour au centre équestre Annick.Bonsoir Jean.

    Le vent murmure au peuplier
    Au pas, au trot, même au galop
    La révérence de l’alezan
    Dont le hennissement s’écoute
    Comme une prière dans un manège
    Cathédrale où parade la vie.

  66. Cathédrale où parade la vie
    Dans tous ses petits bonheurs Là
    Qui chatouillent le coin de l’oeil
    Sentent la rose ou le lilas

    tout doucement bientôt je vais m éclipser, une longue route aujourd hui du nord à l ouest, en passant par la belle normandie splendide, superbe, j’adore, mes petits yeux ravis….même si je sais que je pourrais écrire la nuit, cette nuit et tant d autres….ET SI ossiane ferme, Leila, on ira écrire dans les bois…SOURIRE.

  67. Quoiqu’il en soit j’ai été ravie d’écrire en ta compagnie Annick, la prochaine fois que tu vas dans le Nord passe me voir j’y suis. Bonne nuit à toi et à tous.

  68. Ossiane va écrire DEHORS ON FERME
    Alors bien avant que le store se baisse
    Encore vous dire que je suis heureuse
    De vous retrouver tous de bels
    En vos écrits par vos images
    Mon coeur sourit ému de tant
    C’est belle la vie si doux partages
    Merci à vous en cet an neuf
    Qui se poursuit tendres serrés
    Avec les mots comme couvertures
    Dessous tous nus tous neufs de l’an

  69. .

    Soirée spéciale, vous avez le droit de faire les fofolles et les sosottes;-)
    Je n’ai pas compris cette histoire de bananier …

    .

  70. Merci Ossiane,
    ouioui, BANANIER de Jean interpelle, non,
    je me suis lancée dans quelques vers vite effacés, non mais quand m’aime…sourire…car si toutefois je me trompais, sourire….y’a tant à dire sur BANANIER et tant à écrire aussi!

  71. .
    Neyde, je ne savais qu’il neigeait sur Paris;-) Depuis Sao paulo, tu es plus au courant que moi;-) Beau voyage à eux deux !

    Je cherche toujours annick;-)
    .

  72. je cherche moi aussi, bien que, une vague idée, est bonne à garder…. plutôt que chercher trop…SOURIRE! et belle nuit! signé la fofolle sosotte du jour qui en fière! sourire!
    merci Leila, c’est si bon d’écrire en duo, j’adore, mélanger mes tapouilles…
    merci christineee, jean….

  73. Quelle verve ! quel duo !!! à lire de bon matin Bravo Leila -Annick
    En suis toute étourdie
    Bananier ? pas trouvé au milieu de tout ça?????????????

  74. Bonjour arletteart, pour moi bananier c’est tout simplement bonne année, ça se prononce pareil comme dans les îles.)En tout cas Annick, c’est ça mon idée.

  75. Il était une fois un petit royaume fort réglementé où les interdictions fleurissaient chaque jour davantage. Interdit de courir, interdit de parler fort, de sauter , de sourire etc….
    Le jour où le roi interdit de rire et de jouer le royaume signa sa fin mais chacun l’ignorait encore.
    Toute vie animale et végétale avaient disparu depuis bien longtemps.
    Seule une rose avait survécu car elle était très belle. Le jardinier, adepte de la végétation artificielle, avait eu pitié au moment de la couper. Cette rose malicieuse se livrait à divers facéties dès que les regards se détournaient d’elle. Pourtant, un jour elle se fit surprendre par le roi alors qu’elle tirait la langue (photo n° 2) et chantonnait :

    – Roi timbré, roi givré, malheur il va t’arriver lalalala ».

    Le roi, qui passait par là, fut pris d’une telle colère qu’il hurla :

    – Ah ! je suis givré ! et bien je vais t’en donner moi du givre ma petite !

    Et d’un coup de baguette magique il l’immobilisa pour toujours.

    Quelques semaines plus tard un enfant l’aperçut et ne put s’empêcher de caresser ses pétales bien froids.

    – Oh petite rose, toi aussi tu es prisonnière. Ma maman dit aussi que ce royaume ressemble à une prison. Nous avons l’opulence mais il nous manque pourtant l’essentiel.

    Il s’approcha d’elle pour lui souffler des mots tendres.

    Le souffle chaud de l’enfant réveilla la rose instantanément. Elle rangea son bout de langue qui dépassait car il était frigorifié et colla son pétale contre la joue de l’enfant. Elle lui murmura ses mots :

    – tu es celui que j’attendais depuis longtemps. Grâce à toi le royaume va être délivré. Approche toi davantage et écoute moi.

    Le petit garçon s’éxecuta bien vite.

    – Ce soir, lorsque tout le monde dormira, souffle leur des mots doux. Alors, chacun trouvera en lui la force de s’opposer à ce tyran qui nous humilie depuis si longtemps.

    Le lendemain matin le roi fut chassé de son trône par son peuple en rébellion.
    Depuis ce jour un gouvernement fut élu démocratiquement et l’emblème de ce petit état fut une magnifique rose rouge qui, mystérieusement, tirait la langue.

    Je vois que certaines ont fait les folles hier soir hein !

  76. Je cueillais au jardin la rose de l’aurore
    La voix du rossignol est venue me saisir.

    Il souffre comme moi de l’amour d’une rose
    Et remplit le matin du bruit de ses sanglots.

    Je parcourais sans fin les plaintives allées
    Captif de cette rose et de ce rossignol.

    « La rose me disais-je, est l’amie de l’épine :
    Pourtant le rossignol ne l’en aime pas moins !

    « Tu le sais,ô mon coeur, le sort n’est qu’injustice :
    L’une ignore l’amour, l’autre aime sans espoir. »

    Et j’ai fui ce jardin où la rose est cruelle,
    Où l’amant qui l’effleure est sûr de se meurtrir.

    N’espère rien, Hâfiz, du mouvement des astres :
    Le ciel, prodigue en maux, ignore les bienfaits.

    Hâfiz (…_1393)

    Bananier ! et surtout la santé !

  77. et déjà je vous cueille vos mots, souris, apprécie, c’est beau Rachel,
    et bananier à chacun, bien que, l’Annick y voit des tant et tant dans ce petot mot délicieux de bel fruit…pour se joindre dans une belle coupe exotique avec des fruits goûteux, doux, sucrés, mmmh, pleins de vie…BISES à chacun..
    MERCI encore, Leila, ce fut de bons moments en partages de nous, ensemble…
    même si un peu étourdie par mes kms de route entre nord et ouest, entre la vie d’ avant et la merveilleuse d’à présent, au plus près de mon près, pour aller vers plus près encore….BISES.
    Je suis contente de reprendre les écritures, lectures pleines, dès demain, dans ma vie qui me revient plus…après la fin d’année à partager de vrai avec tellement de coeurs tous chauds,
    et ici, sur cet album, c’est ohsi, que du vrai de précieux et mmmhh, quelle ets belle la vie, ainsi…

  78. Petite rose téméraire
    Tu fleuris de ton coeur
    En ce matin d’à présent
    Toute blanche au réveil
    Tu te savonnes tes bulles
    Les balbutiements tendres
    Te couvrent d’écumes d’étoiles
    Et déjà le soleil
    Amoureux de ton ciel
    Te caresse ma chérie
    Et pour lui
    Tu souris
    Vos tendresses pleines de vie
    Et à je nous vous deux
    Votre offrande du ciel
    Vous rend tellement bels

  79. la rose pétrifier
    le souffle chaud du printemps
    les larmes de joie

    beau duo sur le canapé de l’oeil ouvert…
    petite histoire marante
    et souffrance de l’amant
    de bien beaux mots

  80. que de joliesse
    et d’amour tendre
    à vous lire Annick et Leïla
    je hume vos parfums
    de belles femmes
    toutes recouvertes de l’écume des roses
    que vous savez si bien décliner

    je vous envoie
    le souffle d’un baiser

  81. Le monde est une rose, respire-la, et passe-la à ton ami.
    [Proverbe kurde]

    Et merci Leila pour le beau lien musical vers le poème …
    Bon dimanche

  82. C’est beau et c’est important une rose, oui Anne-marie il suffit pour s’en convaincre de relire le petit Prince, nous sommes nombreux sur ce site à en apprécier la philosophie.

    « C’est bien là le grand mystère. Pour vous qui aimez le Petit Prince, comme pour moi, rien de l’univers n’est semblable si quelque part, on ne sait où, un mouton que nous ne connaissons pas a, oui ou non, mangé une rose…Regardez le ciel. Demandez-vous : »le mouton oui ou non a-t-il mangé la fleur ? » Et vous verrez comme tout change… Et aucune grande personne ne comprendra jamais que ça a tellement d’importance ! » Antoine de Saint Exupéry

    __

    Les mots comme les roses
    Ont leurs épines pour se défendre,
    Les roses comme les mots
    Ont leurs parfums délicats,
    Ennemis de la haine,
    Amoureux de la Vie,
    Ils livrent sur leurs lèvres gercées
    Les tourments du coeur et du temps ;
    Ils résonnent comme la rose flamboyante
    Des airs d’allégresse ;
    Exhalent leur ivresse poétique.
    Derrière chaque mot, chaque pétale
    Une pensée s’exprime
    En bouquet de mot, en bouquet de rose
    A offrir sans épines à l’An Neuf
    Pour le monde entier.
    __

    Pour un langage d’amour, protégeons les fleurs, apprivoisons et respectons les mots, le monde entier en a besoin.

  83. Il est évident qu’en un bouquet de mots, ce dernier s’habille d’un « s » merci de corriger

  84. Ossiane, bonjour, et salut à vous tous qui enchantez mes moments libres par votre humour, votre attachement à la vie, vos mélancolies et votre délicatesse.
    Il y a bien longtemps que je n’avais laissé un petit mot sur ce blog mais je n’ai cessé au cours d’une année difficile de venir y trouver un peu de beauté et de poësie.
    Cette rose que tu nous offres comme cadeau de nouvelle année m’a tant émue que je n’ai pas résisté à venir vous souhaiter à tous, et à toi particulièrement Ossiane, des moments heureux, généreux et tendres, tout au long de cette année nouvelle.

    Coeur transi, immobile,
    Pourtant riche de sève,
    Rêve d’un printemps nouveau.

  85. Douce
    Parfumée
    Envoutante
    Passionnée
    Excitante
    Exaltante
    Excellente

    année 2009

    à toutes et tous

  86. Hello, le bonsoir….
    Retour « maison » !

    Alors, pour cette année qui s’annonce nouvelle :

    « En-ture pour de nouvelles avan-route ! »

    (c’est un copain qui avait inventé cette expression !)

    Un souhait pour moi,
    que j’aimerais voir réaliser un jour :
    Vous rencontrer, amis et amies
    Alors, je rêve
    d’un super tour de France
    de l’Oeil Ouvert !

    En attendant, je vous envoie une cargaison d’oeeeeeeufs nouveaux, style Pâques avant l’heure, pour accompagner les bananes du « bananier ! »

    Biseeeeeeeeeees du soir…. un peu geléeeeeeeees (le temps de chauffer la maison !)

  87. Essoufflé d’arriver en retard te souhaiter une bonne année, Ossiane, ainsi qu’à tous les visiteurs de l’Oeil Ouvert, mais surtout le souffle coupé devant ces images de nature pleines de couleurs. Merci merci merci!

  88. .
    Alors Bananier à tous et à toutes 😉 Merci leila 😉

    Bravo rachel, belle imagination !

    Merci pour ce beau poème découverte, Jean !

    Annick, tes poèmes sont superbes ! Comme le rose te sied bien 😉

    Marc, si loin le printemps…

    Nath, je suis le conseil 😉

    Monique, la rose est dans ton cœur en belle poésie, philosophie et sagesse 😉

    Elisabeth, je me souviens bien de toi 😉 Je t’adresse mes meillerus vœux et espère que ton 2009 sera plus serein. Merci de ton passage chaleureux, tu es la bienvenue à tout instant 😉

    Nigra, tous les parfums du monde vers toi et ta poésie que nous aimons 😉 Bises.

    Bonjour et bienvenue Jean-François 😉 Juste remarque sur la fragilité;-) belles photos du côté de chez vous. Amicalement.

    Hello Dame Christineeeee, welcome back ! Une longuie trêve tu as fait ! Un sacré tour de France et du monde tu aimerais;-) Pas facile à mettre en place… Cargaison de mes bulles étoilées positives vers toi si ça peut t’aider
    O°O°O°O+O++++++O° O°O°O++++++O°O°O°O+O++++++O°O°O°O++++++O°O°O°O

    Pierre (1), bonjour ;-)) Voici un siège pour te reposer avec un petit café ;-). Merci d’être monté jusque là. Plein de belles choses à vivre pour toiet tes proches ainsi qu’une année de peinture exceptionnelle aussi vu la beauté de tes dernières aquarelles. Je t’embrasse.
    .
    Belle journée sous le givre, la neige, la pluie ou le soleil !
    .

  89. Coeur de Noël

    Ce coeur de Noël tapi de roses
    Pour te dire toutes ces choses
    Que j’ai sur mon coeur en fête
    Telles des papillons qui volètent

    Ceci est mon cadeau pour cette fin d’année
    Ce n’est pas grand chose, c’est seulement moi
    Sans tralalas, je te l’ai dit, juste moi et toi
    Bulles d’amour de ce champagne de bonne cuvée

    La meilleure richesse n’est pas l’argent
    C’est l’art de donner à autrui de son temps
    C’est sans odeur et celà fait souvent du bin ^^
    Pour ce réveillon je t’offrirai alors ce vin

    Celui de la passion, celui qui te manque tant
    Je te jouerai cette musique que tu sifflotais avant
    Alors nos basses intérieures se mettront à danser
    Sur le même tempo en cette nuit du premier janvier.

    Chris

  90. 000

    « Neige en manteau  »

    Il a suffit d’une soirée froide et d’une nuit étoilée
    Et la surface des campagnes est totalement voilée.

    Ce n’est pas l’impudeur d’un climat de saison
    Juste l’aléa qui peut rendre vraiment impraticable

    Nos routes de campagnes, nous réduisant au câble
    Jusqu’à ce que les voies soient traitées comme salaison !!

    La douceur duveteuse de tous ces flocons voltigeant
    Ce n’était pas le remake d’une bataille de polochon.

    Qui d’ailleurs s’en irait, sur cette immaculée, fustigeant
    Les vices de conception et l’imprévoyance, ronchon

    Pour réclamer un dégagement des axes et des tas de sable ?
    Un jour pourtant ce pourrait être un secours nécessaire.

    A perte de vue s’étend ce tapis pratiquement continu
    A peine marqué de quelques incertaines routes d’ébène

    Et ce sont là, disposées comme de grandes veines
    Les signes sous jacents d’un territoire livré nu

    A cette chape qui tel un suaire recouvre la nature.
    Les traces s’impriment en contrastes sensibles

    Pellicule blanchâtre d’un noir et blanc inversé.
    Et ne serait ce donc point aller à front renversé

    Que de déclarer sur un ton des plus paisibles
    Que l’on jette ainsi, vilainement, en pâture

    Ce qui aurait du rester, dans l’écrin, la parure.
    Enfin il faut bien s’y résigner, ce sera vite fini

    Car autant le blanc pourrait sembler infini
    Autant le premier souffle chaud aura raison

    Du manteau dont on pourra déclamer l’oraison.
    La fonte, pas blanche mais incolore, alimentera

    Les ruisseaux mais c’est bien loin de la débâcle
    Que la nivologie assurera à l’équilibre hydrologique

    Que l’on ne saurait pourtant porter au pinacle
    Un apport salutaire qui remplira les réserves

    Et permettra aussi de stocker une future énergie.
    On dit que des particules élémentaires servent

    A évaluer le contenu en eau du manteau neigeux
    Puissent les minuscules neutrinos dont il s’agit

    Démontrer de toute cette eau la meilleure aura
    Tandis que, ludique, le tapis si cotonneux
    Contribue à rendre tant d’enfant fort heureux.

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