Transparences

Fonte

Fonte

Fonte

Bleu orage, la banquise fragile, îles à la dérive

Lecture du Haïku Calligramme: centre, gauche, centre droite

Bleu orage
la banquise fragile
îles à la dérive

92 réflexions sur « Transparences »

  1. Qu’y a-t-il derrière la glace qui se déchire? quel est le tableau?

    La banquise dure fond
    l’eau se libère

    vogue mon beau bateau,
    vogue d’île en île,
    voyage au fil des saisons,
    maintenant, c’est l’hiver,
    vogue vers le printemps

  2. Gouttes d’hiver en voyage
    des étoiles cristallines
    racontent leur histoire
    avant de fondre en larmes
    dans la nuit des saisons

  3. puzzle d’eau découpés
    des fragments de banquise
    nous offrent leur mémoire
    au rendez-vous d’un fleuve

  4. Rendez-vous sur mon île
    Toi banquise en mouvement
    Mon cœur est transparent
    Ton cœur est apparent
    Derrière le bruit de mon orage
    Ta pluie m’inonde…d’étoiles
    Le vent qui passe
    Faire dériver les gouttelettes de…l’âme
    Vers la sérénité est un zéphyr de mots
    Aquilon à aimer…douceur des transparences…du cœur à gratter…comme le givre déposé sur la feuille dentelée.

    Zooooooooooooooou c’est pas tout au boulot!

  5. lueurs confondues
    aux transparences de nos cœurs
    incertains et nus

    dérivent vers tes bras
    sur des nuages sans amarre
    nos quais disloqués

  6. Bonjour en cette matinée grisâtre où même les oiseaux semblent faire triste mine.
    ___

    Y aurait-il anguille sous glace
    Qu’aucun ne veuille la briser
    Rien ne transparaît
    Sur l’étang gelé
    Le temps s’est raffraîchi
    Et le monde tremble de froid
    Quand reviendront les beaux jours
    Où tout deviendra transparent
    Où le respect des humains,
    L’égalité entre les êtres,
    La même justice pour tous
    Referont surface ?
    A quand le dégel ?
    A quand la paix ?
    ___

    A tous bonne journée, et n’oublions pas de sourire cela au moins est à la portée de tous et laisse sur le visage la transparance du coeur.

  7. Aigues-Mortes fut un port aujourd’hui dans les terres.
    Groenland appelé pays vert, va-t-il le redevenir ?

    Tu as dit ce matin qu’il faut rompre la glace
    Faire en sorte, de nouveau, que nous puissions parler
    Se laisser attendrir, regagnés par la grâce
    Et ainsi éviter de chacun dériver

    Mais est-ce bien cela vraiment que tu as dit ?
    Mon esprit embrouillé au discours emphatique
    Mélange réalité et monde fantastique
    S’agissait-il de nous ou de bien d’autres vies

    Tout vient et tout s’en va, se reforme sans fin,
    De nos formes aujourd’hui, qu’en sera-t-il demain ?
    Aucun marqueur durable face à l’immensité
    La matière et l’esprit sont à égalité (1)

    Qu’ont à faire l’univers et son ordre et ses lois
    La beauté et l’amour n’entrent pas en équation
    Protégeons-nous de nous encore pour quelques mois
    Ou quelques millénaires, pour le reste, voyons.

    (1) Hum ! Il y aurait beaucoup à dire

  8. c’est joli, Nath,

    je vous envoie à chacun, la belle lumière d’ici, il fait soleil dehors, alors je me prends un break tout de vent, tout de roulis sur la peau à rosir, tout de chaud dans les poches bonnes,

    merci pour vos écrits,
    merci Ossiane pour cette image encore et cet haïku, même si la glace, brrr, c’est froid… SOURIRE… TENDRESSES DOUCEURS.

  9. Pour les ours blancs de l’Arctique
    Les manchots de l’Antarctique
    La banquise se brise,
    L’espace s’amenuise.

    Pour tous les peuples esquimaux,
    Tous les habitants des rivages,
    La lente montée des eaux
    Et la fin du bel âge.

    Sur les montagnes moins d’or blanc,
    Sur leurs flancs les glaciers d’argent
    S’éplorent en torrents.
    Cela n’ira qu’un temps.

    Tous ceux qui vivent sur les îles,
    Des Bahamas aux Maldives,
    Des rives d’atolls fragiles,
    Vont fondre comme givre.

    Des blancs aux bleus de la débâcle,
    Ce n’est que de l’eau, la glace.
    Contre la montée des eaux
    Peut-on monter le zéro ?

  10. Goutte à l’endroit, goutte à l’envers
    La saison tricote un châle de printemps
    L’eau s’écoule
    Eau bosselée en mal de terre
    Points de suture sur cœur en dérive
    Îlots épars sur vert de mer
    Igloos et bleu pour pôle de terre
    L’enfant Inuit dans son berceau
    Bercé de fourrures et dans l’eau
    Le chant du monde, l’appel des ombres
    Pour le secours d’un peuple affable.

    Kaleïdoscope monochrome
    En territoire immaculé
    Pour un regard, le tien, le mien
    L’Humanité au fleuve d’amour
    La glace ne se brise qu’en chemin
    De pourquois et de maintes lectures
    Au coin du feu, dans la lumière
    Communion des Hommes
    Communion des sols
    Fa mi ré do !

  11. Tous les points de vue sont intéressants même les discours de compassions ou dominants qui sont forcément les plus unificateur… Mais où est l’âme dans son unicité qui élève l’individu au dessus de lui même et qui par la même élève l’humanité pas seulement le niveau des eaux déjà bien assez haut…

  12. Bonjour à vous !

    Aujourd’hui :
    Grisaille, grisaille !

    eeeeeeeeeeeeeeeeee

    La flamme trop vive
    Trop chaude,
    Trop pleine d’ardeur,
    N’a pas su calmer sa chaleur
    Et sur le bleu,
    A la volée,
    Elle est tombée…

    Pshcittttttttttt…..

    Fusionnelle étreinte
    Secondes d’éternité…
    La flamme s’éteint

    De son côté,
    Le lit glacé
    N’a guère apprécié :
    S’est mis à fondre,
    En gouttes rondes
    Et perles bleutées…

    Et coulent les gouttes
    Le long du lit glacé
    Comme perles de rosées

    Beau labyrinthe
    Ainsi tracé,
    Par transparences,
    En ilots disséminés
    Trouver le chemin
    D’un destin…
    Evaporé

    eeeeeeeeeeeeeeeeee

    Fondueeeeeeeeeee de eeeeeeeeee en biseeeeeeeeeees

  13. Plus ardent qu’une flamme
    Plus glacial qu’un blizzard
    Plus troublant qu’un brouillard
    Il attise ou calme

    Plus doux que l’air
    Plus triste que la pluie
    Plus sec qu’un aride désert
    il charme ou maudit

    Plus exquis que la soie
    Plus acéré que qu’une lance
    Plus suave qu’une voix
    Il caresse ou tance

    Plus proche qu’une main serrée
    Plus loin que la voie lactée
    Plus hautain qu’un dictateur
    Il rassure ou fait peur

    Plus léger qu’une plume
    Plus fidèle que la lune
    Le regard si transparent
    Est parfois impénétrant

  14. C’est émouvant de temps
    La glace qui se brise
    Tendrement
    Doucement
    Imperceptiblement
    Un petit craque
    Une goutte s’avance
    Et puis se coule
    Dessus la glace
    D’autres bulles
    S’osent à se lancer
    A fondre leurs froids
    En tout de chaud
    Bientôt les gouttes
    Coulent un petit cours
    Bien avant le cours long
    C’est émouvant
    La glace qui fond
    Et montre son fond
    Au plus profond

  15. Ne pas se fier aux transparences
    c’est ne pas voir
    l’autre côté du miroir
    se laisser duper par les apparences

    aun soleil la glace en festons se brise
    montre ses dentelles
    si fines si belles
    qu’un flot de lumière inonde et irise

    fondent ces banquises iles à la dérive
    glissant sur la vitre
    doucement s’effritent
    en lambeaux de givre traînes fugitives

    sur l’eau bleue d’un lac saisi par le froid
    craquent à la surface
    délitent et se cassent
    les coutures hivernales de sa robe de soie

  16. eau zone.

    Et tu bois cet alcool brûlant comme ta vie
    Ta vie que tu bois comme une eau-de-vie

    Tu marches vers Auteuil tu veux aller chez toi à pied
    Dormir parmi tes fétiches d’Ossianie et de Guinée

    Soleil cou coupé

    pare feu
    brise glace

  17. La goutte se fout des larmes de la mer.
    Les lames de fond dégoutterons la terre.
    Et la pensée devise
    Dans mon âme divise
    Car elle est de l’Annam ;
    C’est trois parties pour l’âme
    Et ce n’est point de trop
    Pour la montée des mers
    Pour la descente en terre
    Ou le niveau des os.

  18. Dans tes yeux si bleus
    Bleu -gris d’orage
    Tes pensées à la dérive
    Vers la froide banquise
    Où je ne peux accéder
    Tranparence si fragile de la nuit
    Mais tu es là

  19. Faire un trou dans la glace
    pour repérer des traces
    de cette vie qui prend
    et qui partout se répand
    de ce krill qui nourrit
    de ces octopussies
    imaginer la fonte des inlandsis
    qui soudain se ravisent
    et souhaiter au delà
    du protocole de Wellington
    Que ce biotope unique
    qui concentre nos réserves d’eau douce
    ne se débande pas en douce
    observer depuis le départ des baleiniers
    combien d’espèces sont pillées
    et de ce réchauffement tous les effets
    ces courants qui ruinent la reproduction
    et au bord de ces géants de glace
    observer les craquelures qui menacent

  20. ïlots, agrégats, mosaïques, et ces coalescences, réseaux percolants
    qui prolongent et continuent, hasard et nécessité, transe par anse qui verse
    dans la facilité, désordre annoncé, pelage léopard, taches variées, et ce chemin liquide qui lentement se fraie, et ce regard qui perce et soudain effraie, et cette vérité qui saute aux yeux

  21. derrière la vitre
    elles glissent peaux de cuir
    que deviennent-ils

    mon coeur est froid comme une orange

  22. Jeune vieillard tout pleurnicheux qui veux me rendre raison
    Laisse-moi passer je veux courir après celui qui m’a emporté dans sa joie
    Je veux courir après le beau mal éclatant qui fait jouir le monde
    Je ne suis point ici ce n’est pas moi la chose que tu cherches à étouffer
    Tes bras ne se referment que sur un mannequin oublié sur le sable
    Mon désir y passera peut-être bien l’hiver mais tu n’en sauras rien
    Et quand tu partiras toi et ton maître l’hiver mon désir pointera de vert
    Toutes les branches des arbres et nous crierons à nouveau notre joie d’être
    jeunes
    Et nous aurons encor des feuilles et nous aurons encor des fleurs
    Et nous oublierons ton suaire et ton squelette claquant des dents
    Et nous rirons d’avoir été trompés par un habile effet de glace

    Pierre Albert-Birot

  23. Des petits bouts de glace
    De grosses gouttes
    Et ainsi va la vie
    Qui peut givrer bien trop
    Ou couler bien trop d’eau
    Si on ne prend pas soin de soi
    Sortir son arc en ciel
    Et le hamacer par tous les temps
    Garde vivant
    C’est évident

  24. J avoue que mes doigts, c’est rare, se sont stoppés de tous vrais,
    car
    Et le hamacer par tous les temps, heu? et le hamasser….
    quand l’envie leur venait à mes doigts de moi, de penser hamaker…

    ah mais que oui, me vient au bout de mes doigts une lumière d’idée, je tente…

    Des petits bouts de glace
    De grosses gouttes lourdes
    Et ainsi va la vie
    Qui peut givrer bien trop
    Ou couler bien trop d’eau
    Alors prendre soin de soi
    Sortir son arc en ciel
    Le hamacker souvent
    Garde vivant de tant

    comme quoi, mes doigts ont raison d’envoyer de suite, car si je commence à me relire, je reprends ci et ça et là et hop de là, et puis j’efface…
    allez, j envoie,
    bises de fin de premier mois d’hiver..
    SOURIRE

  25. Qu’est-ce que j’aime ton écriture Annick, elle est douce, espiègle.)

    Et je franchirais les sédiments de marbre
    Le cœur en mouvement sous un voile de silence
    Mon âme ne fond jamais en mer de vagues troubles
    Et je naviguerais sous l’eau de vos remous
    La mer y est plus claire, l’Amour prend d’un seul coup
    En paillettes de vie, cristal en tintement, fragile, en mouvement…

    Et je glisserais en îlots morcelés sur vos carreaux de glace
    J’écrirais en surface quand vous étoufferais prisonnier sans mes bras
    Et je traverserais des pays inconnus, croiserais le coeur nu habillé de « Je t’aime ».

    Et je coulerais dans ses abîmes l’hiver
    De neigeux horizons auront de vagues lueurs
    Imbibées de mots blancs
    Silence des champs de glace
    Semés de ses mots doux.

    Et je résisterais à la pression des glaces
    Tassées contre mes flancs livrés à sa puissance
    Je serais son navire pour frayer un chemin
    Pour son âme et la mienne à la lisière des feux
    Vers le paradis blanc.

    http://pagesperso-orange.fr/Leila/Musiques/Paradisblanc.mp3

  26. Vous étoufferais
    Ils étoufferez
    j’étoufferont
    Tu étoufferaient

    Tout va de traviole dans ma conjugaison.Désolée, ce n’est pas ma priorité quand je poétise en live.)

  27. François Cheng dans un poème restitue tout ce bleu de tes images, Ossiane
    et c’est presque celui des yeux!!!!
    « Mille cristaux
    Irradiant d’émeraude
    Restituant un coeur qui bat
    …………………………..
    Intact
    Tout le champ sidéral
    Intacte la nuit originelle « 

  28. et je te lis, Leila, heu? merci,
    et puis faut croire que pour moi non plus, c’est pas ma priorité, l’orthographe, quand j’écris, à en relire parfois mes fautes, j’en profite pour me faire excusationner, merci…

    et j’ai écouté la musique,

    et comme sont beaux ses mots à F Cheng…

    Et ce bel bleu intense
    Sous la glace tout dedans
    Si chaud si d’amour né
    Ferait fondre une banquise

  29. la planète bleue de notre être

    gratte
    gratte le pare-brise
    (des illusions et des émotions)
    aux essuie-glaces encalminés
    par le gel

    élève ton regard
    dans cette nécessaire descente
    au plus profond de toi
    vers ta vulnérabilité
    pour d’étape en étape
    de l’oeuvre au noir
    à l’oeuvre au blanc
    atteindre
    le germe des origines
    la si petite
    et si grande goutte
    de notre être bleu

  30. Banquise d’amour vos beaux bleus me font mourir
    Banquise exquise vos atours d’impatience me vont nourrir
    Banquise ivre de flottaison et de déraison me font sourire

  31. Juste un petit passage pour m’abreuver de vos mots et tout simplement vous souhaiter à tous une bonne nuit pour certains, une bonne journée pour d’autres-;)
    ____

    La planète bleue
    Dans son manteau d’organdi
    Aux couleurs du ciel

    ____

    L’orange bleue de Michel Berger

    « Comme te dire qui je suis
    J’ai pas écrit d’une autobiographie
    Je viens d’un pays étrange où les gens s’aiment et se déchirent
    Et sont capables du meilleur comme du pire
    Je suis né sur une petite orange bleue
    Au milieu d’un monde immense et silencieux
    Et elle tourne et elle tourne, petite orange bleue
    Entourée d’étoiles et d’un ciel mystérieux

    Et elle m’attire
    J’aime bien son genre d’atmosphère
    Faut que je respire
    Si elle étouffe je manque d’air
    Je veux pas qu’elle tourne mal
    C’est ma terre
    Ma place dans l’univers
    C’est ma terre
    Moi son grain de poussière

    C’est pas l’Eden, cette petite orange bleue
    Mais c’est pas l’enfer, c’est peut être un peu des deux
    Mais moi je l’aime, ma petite orange bleue
    C’est là où je vis
    C’est là que je respire le mieux

    C’est ma terre
    Mon histoire, mon mystère
    C’est ma terre
    Moi son grain de poussière

    Qu’on m’enterre par devant sa lumière
    Revoir mon frère, redevenir poussière »

  32. Etendues infinies… qui aiguisent les appétits d’espace
    que n’avez vous montré… des airs bien plus rapaces
    au lieu de celà… tout s’affaisse, s’engloutit et se tasse
    quand se morcellent les bancs… qui se concassent
    plus de continuité ni de proximité… de guerre lasse
    s’amorce la lente dérive qui…sur les rives nous entasse
    débacle à peine croyable…qui perd tout son embase
    va créer de nouvelles routes…nous rapprochant des bases
    le danger n’en est pas pour autant écarté…pris dans la nasse

  33. Thierry tu m’épates t’as avalé le dictionnaire?)

    Bleu fragile sur mon île
    Tu es mon grain de ciel
    Je suis ton grain de sable
    La paille en tes iris
    Le tronc dans mon regard
    Tu es là…je respire et la glace fond de joie
    Quand tu m’attires sous l’eau
    Aux sillons de ta voie
    Mystérieux bleu de rêve
    Mystérieuse envolée…de l’être.

  34. fondre, fondre
    pour glisser au fond des ondes,
    cristal,
    translucides aux chaudes lumières tamisées par tes reflets de glace
    fondre, fondre
    dans ces gouttes d’eau si chaudes qui te collent à la peau
    éclatant geyser d’argent
    quand dans les caresses
    s’évaporent dans les frissons de tes vaporeuses brumes

  35. .
    ****************************************************************************
    .
    Bonsoir à tous !
    .
    Il fait toujours froid sur ma petite planète mais ça commence à fondre. Et vous l’avez fait sentir dans vos poèmes pleins de douceur, de rêve, de voyage. Ces larmes de givre nous emportent bien loin de mon petit jardin ;-). Même les esquimaux commencent à sentir un peu de chaud. La faute aux flammes du week-end 😉 Ca fond doucement mais sûrement 😉

    >Avec le sourire, merci monique pour ce miroir brisé, ce poème de paix souhaitée et cette orange bleue en rebond avec celle du sid 😉

    >candide, un beau voyage serein, tu nous proposes 😉

    >Superbe cette image du fleuve accompagné de ces larmes de joie, j’espère. Belle fête avec Obama !

    >leila, ça fond, ça fond et tes mots coulent en beauté sans qu’on puisse les arrêter ;t) Quelle plume et dès 8h du matin !

    >Annick, il fait froid et tes poèmes sont pleins de chaleur 😉 Ton écriture est trop mignonne et touchante, je suis d’accord avec leila 😉 C’était sympa ta rencontre ?

    >brigetoun, quel beau final avec cet ébrouement de regret !

    >vincent, merci pour ces partages avec Pierre Albert-Birot et pour ta belle poésie. J’aime ta nuit de l’inuit.

    >pierre, belle image l’écume des jours, je n’y avais pas pensé 😉

    >phil, très belle ville Aigiues-Mortes ! Tu sembles bien la connaître 😉 Ton superbe poème est plein de questionnements sur la vie, l’univers, l’homme. Ca cogite fort en début d’année 😉

    >nath, contente de voir retrouver l’inspiration et l’envie d’écrire 😉
    https://blog.ossiane.photo/2009/01/16/flammes/#comments
    De très belles photos sur ce blog !
    https://blog.ossiane.photo/2009/01/05/toile/#comments
    Quelle belle quête tu as écrite ! Pleine de questionnements, tes trois dernières strophes sont superbes. Je crois que tu l’as enfin trouvé l’équilibre!

    >Salade, ta poésie m’intrigue, m’amuse. La poésie mathématique et chimique à rêver ,-) De sacrées bonnes idées tu as 😉 On ne me l’avait encore pas fait le coup de l’Ossianie 😉

    >jean, fonte polaire bien inquiétante que tu mets en scène en beauté et émotion.

    >christine, un joli poème perlé en errance rendu pile poil à l’heure comme d’hab’ 😉 Bravo à toi !

    >marc, magnifique poème avec cette redondance de « plus » qui lui donne beaucoup de force et d’émotion.

    >Bonsoir et bienvenue Marie-Paule 😉 Merci pour vos impressions qui me touchent. Certaines de vos peintures pleines de vie, de couleurs et de lumière me font penser à certaines toiles de Kupka 😉 Plein d’énergie et d’amitié vers vous 😉

    >Bonjour et bienvenue fabien 😉 Et bien merci pour cette gentille visite 😉

    >amichel, ton poème givré est doux mais aussi très glacé comme si quelque chose de terrible s’annonçait. Merci pour la beauté de tes mots.

    >Blue-iris, bonsoir, je vous souhaite la bienvenue 😉 Oui, cet espace est une parenthèse un peu hors du temps et de la folie des hommes 😉 Merci à vous !

    > Balmolok, si vous entendez des sons c’est que vous sentez bien les images et que votre imagination marche à fond 😉 C’est un signe de poésie et de sensibilité 😉

    >arletteart, ce bleu te fascine 😉 Tes petits poèmes sont très beaux et bien sentis.
    Belle référence que tu fais avec Cheng que j’aime beaucoup 😉 A lire et à relire.

    >thierry, on croirait que tu as partagé la vie des hommes du grand nord 😉 Manquent plus que les chiens de traîneaux et les ours polaires 😉

    >maria, un peu froid c’est vrai mais ça se réchauffe 😉

    >le sid, quelle question intriguante avec ces peaux de cuir… cette orange est givrée si tu as froid 😉

    >regard, superbe poème ! Ta poésie est en pleine transformation en ce moment. Signe de la fonte des glaces peut-être 😉

    >aspe, splendide fonte de tes mots et de leurs sonorités ! J’ai remarqué que tu étais très lié à l’eau en poésie et dans la vie;-)

    >sabine, jolie mélancolie de tes mots, merci pour la vidéo 😉

    Et puis, d’autres commentaires avec la belle poésie de Chris
    ici
    https://blog.ossiane.photo/2009/01/07/attache/#comments
    et puis là
    https://blog.ossiane.photo/2008/10/24/emotions/#comments

    >Chris, tu te rattrapes depuis tout ce temps 😉 Avec toujours la musique comme amie de tes poèmes 😉 Merci beaucoup.

    Enfin le commentaire d’Eric, un revenant photographe de la nature 😉 Beaucoup d epetits nouveaux aujourd’hui 😉
    https://blog.ossiane.photo/2009/01/12/defi/#comments

    Bonne fin de soirée à vous, je vous embrasse !

    Ossiane.
    .
    ****************************************************************************
    .

  36. Bonsoir Ossiane, je t’attrappe au vol si tu n’es pas déjà partie, pour te souhaiter une bonne semaine. Je t’embrasse.

  37. Non non Monique, toujours sur le pont à cette heure;-)
    Bonne semaine à toi aussi avec un peu de soleil dans ton ciel et dans ton coeur;-) Je t’embrasse.

  38. merci Ossiane, J’ai bien besoin en effet d’un peu de chaleur, d’un ciel moins gris et du bleu du ciel, j’en prendrai quelques gouttes dans tes images. Bonne nuit

  39. Hello les passants du soir et du matin ! Bisou Monique et Vincent
    Contente que l’image te plaise Ossiane. Moi celle que j’ai aimée c’est l’hommage à la banquise à la Jourdain. Elle est bien drôle !
    Oui c’est demain l’investiture d’Obama. Plus de Bush !! Et c’est une bonne chose en soi!
    Bonne journée à l’équipage 😉
    Love

  40. Les mots des poètes
    Les mots de vous ,amis
    sont les brise-glaces
    de la banquise
    à la dérive
    afin que l’eau bleue limpide
    irrigue
    nos coeurs fragiles
    Merci et belle journée

  41. En guise de transparence, je suis un peu dans le bleu en ce moment
    mais pas du Moustiers pour collectionneurs émoustillés, car le dégel c’est aussi la débacle et depuis quelques temps cette dérive, incontinente, qui masque le désarroi quand les courants de fond vous travaillent en sourdine.

    Le bleu c’est parfois le blues, juste le temps d’un songe, qui doucement vous ronge, ça ne dure pas comme les changements d’états, ça fond…à vue d’oeil
    l’essentiel étant de ne pas s’y noyer.

    Bises à toi leïla, non je n’ai pas le dico sous la langue, même si elle est chargée
    comme la glace peut aussi concentrer toutes les vicissitudes du monde, ce que nous montrent de savants carottages, sans age. Mais voilà pour décrire des émotions par associations que ne sert il donc de convoquer le ban et l’arrière ban pour une banquise qui ne fait pas banquette mais qui magnifie la quête des mots, même quand on a un mal de crane persistant pour d’autres raisons.

    Merci Ossiane d’une rubrique plus océane qui sans nous faire nager dans le bonheur nous revigore et comunique desi riches ardeurs.

    Salut à tout l’équipage

  42. contour du silence
    rives incertaines
    chemins éperdus
    perdus
    donnés
    à l’immensité
    de nos espoirs secrets
    rêves de larmes
    qui se défont
    emportés par le vide
    en chemins inconnus
    vers d’autres rives
    et d’autres rêves

    bleu des mots
    passage
    de nuit
    couleur orage
    vers
    l’azur de l’aube
    bercé
    doucement
    peu à peu
    vers la douceur
    la tendresse du jour

  43. Elle se met son bonnet
    Ses moufles son cache nez
    Monte dans sa petite coquille
    Allume des bougies
    Et pagaie le lac gelé
    Qui fond sous le ventre chaud
    De son embarcation
    Qui navigue douceurs
    Caresses tendres et jolies
    Ondes bleues remuées belles
    Bientôt l’immensité
    Par son coeur tout de chaud
    Palpite des beautés
    La vie sort du sommeil
    Et se palpite merveilles

  44. « You’re tearing me apart,
    Crushing me inside.
    You used to lift me up,
    Now you get me down.

    If I
    Was to walk away,
    From you, my love,
    Could I laugh again ?
    If I
    Walk away from you,
    And leave my love
    Could I laugh again ?

    Again, again…
    Again, again…
    Again, again…

    …. »
    Archive – Again

  45. Au bleu des âmes tristes
    Embarcation de vers
    Douceur de lettres claires
    Murmurées, océanes
    Par delà cet écran…de glace.

    Au blanc des âmes sous l’eau
    De l’air en vers d’apnée
    Le silence est mystère
    Et le baiser secret.

    Emportées mes pensées
    Balayées mes idées
    Transparence des lectures
    Écrites du fond de l’âme
    Au bout des doigts agiles
    Au brouillard de ta rive
    La clef de mon cœur.

  46. Un pôle y tique quand il voit avec effroi comment la crise climatique nous fait payer cash les abus en tout genre et que banque le planète sur des routes incertaines tandis que se profile une nouvelle guerre stratégique pour accaparer des ressources dont on ne connaît ni l’étendue ni même la localisation
    mais déjà les glaçons font briller à la façon des billets la convoitises et la concupiscence qui va frapper comme un nouvel eldorado alors que justement ne flotte plus guére le radeau ce qui nous méduse tous et pourtant qu’aurions nous à faire de quelques ours ou encore de baleines, que nous importent les grands équilibres secrets et sous marins qui n’ont pas encore, l’air de rien, livré tous leurs mystères.
    Qu’imaginerons nous quand au delà des brise glace nucléaires des convois entiers en presque toutes saisons sillonerons le grand nord et croiserons par le passage du nord ouest ou au large de la nouvelle Zemble, il me semble qu’au delà des satisfecits dont sont bien prompts les tenants d’une modernité qui ne connaît plus de nuité durant les mois d’été il faudra bien constater que pénétrer plus avant dans ces paysages septentrionaux sans faire de tonnaux est une forme de présage sur ces endroits sauvages qu’on aurait voulu préservés pour conserver plus que des souvenirs, tous les usages anciens.

  47. Il t’a suffit d’un clin d’œil
    Pour dégeler la glace
    Laisser place au soleil
    Et libérer la grâce.

    Un clignement de tes cils
    Et voici dans la boite
    D’autres éléments subtils.
    Rêvent les éternautes …

  48. Le dégel – Ainsi les rêves prisonniers de la glace pourront à nouveau se laisser bercer par les mouvements de l’eau et retrouver la joie en transparence.

    « Les rêves donneront au bonheur le goût de l’infini. C’est près de l’eau, c’est sur l’eau qu’on apprend à voguer sur les nuages, à nager dans le ciel » Bachelard
    ___

    Mes rêves glacés sur le miroir brisé
    ne retiendront que les reflets bleutés
    D’un ciel sans nuage, couleur d’été.

    ___

  49. les mots les caresses ne sont que la partie visible
    de nos sentiments! comment voir l’indicible?
    plonger sans peur, vers les profondeurs de votre coeur;
    vous y trouverez la beauté et l’étincelante lueur!

    bonne journée à chacun

  50. Hello, le soleil brille, brille, brille,
    Hello, le soleil brille, brille, brille,… etc.

    eeeeeeeeeeeeeeeeeee

    Banquise en débacle
    Restent quelques plaques
    Allant à la dérive
    Et flottant dans l’eau vive

    Seul petit bateau
    Pour oiseau fatigué
    A moins que ce ne soit
    Le radeau approprié !

    eeeeeeeeeeeeeeeeeee

    Ci-joint un lien sur le blog de Christinedb de « Petits Papiers, Papiers collés » (que j’adoreeee) qui m’a fait pensé à la banquise en dérive !!

    ____

    http://images.christinedb.fr/2009/01/13/le-grand-voyage/#comments
    ____

    Biseeeeeeeeeeeeeeeees méduséeeeeeeeeeeeees

  51. Christineeeee,merci pour tes partages, j’aodr aussi bien fort ce blog, et d’autres encore… BISES. La beauté, j’aime infiniment.

  52. Ah, Annick !

    Il est vrai que l’on s’y croise parfois,
    Aux détours des chemins,
    Les bloggeuses se rencontrent
    Se font des coucous
    Mais se retrouvent toujours…

    ICI !

    Rebiseeeeeeeeeees

  53. Ah je n’aime pas l’hiver…les malheurs y semblent plus tristes…le bleu du ciel givre mon cœur…la pluie martèle mes poésies…je recueille ses gouttes en musique..je mets les flocons de la neige….au creux de ma paume et je joue…gouttes et flocons… notes et mots doux…j’en façonne un jardin d’oubli.

    http://mc94.free.fr/bounce_flocons_masteriz.mp3

  54. Merci leïla pour ces flocons qui rebondissent, j’aime trop ces mots tristes qui te viennent, alors juste une mention matinale

    000

    « Flocage à l’heure du petit déjeuner »

    A l’heure où les petits déjeuners dominicaux
    Ont des allures de brunchs pas très matinaux.

    Nous trouvons une tempête au rendez vous
    Un tourbillonnement désordonné un peu fou

    De fins flocons se déposent dans notre écuelle
    Tendant à masquer les décors de notre ruelle.

    Agités de toutes parts ils se déposent minces
    En couche fine qui sous les pneus grincent.

    Pourtant on imaginerait le mousseux flocage
    Recouvrant du plafond un quelconque étage.

    Malgré sa légèreté floconneuse proverbiale
    La gravité impose une nette loi dictatoriale

    Imposant un tapis étendu jusqu’à perte de vue
    Mêlés à l’avoine, j’en suis à peine revenu.

    Caprice du ciel mais pas aléa météorologique
    A son éclosion il y a une complète logique.

    La température est un paramètre nécessaire
    Pour que ces cristaux se réticulent en amas

    Devenant de l’hiver les précieux émissaires
    Qui finiront alors, tout au plus, en énormes tas.

    Ainsi, dans cette blancheur laiteuse, on pourrait
    Voir un avatar terrestre à notre divine voie lactée

    Ayant décidé de voir comment sont tractés
    Les véhicules patinant sur la couche glissante

    Qui nous rappellent que la vie est dérapante
    Et qu’il convient d’en contrôler le cours.

    Pourtant les meilleurs sablages du monde
    N’empêcheront pas l’angélique ronde

    D’enfants autour de bonshommes attifés
    Qui en sautillant en font sans cesse le tour

    Objet mythique de la joie symbolique
    Qui cristallise leur volonté onirique.

    000

  55. Jamais les deux genoux à terre Thierry, le souffle de la vie est toujours plus fort que nos désespérances.Là dessus… j’aime mieux rire et danser…un peu de chaleur dans un bleu de brute…c’est pour l’homme qui est dans mon cœur et qui vibre au rythme des tambours…)

    –I’ve got the blues for you, baby
    Why don’t you tell me the things
    You’ve taken from my heart, baby
    While I was looking on the wrong side
    –Dont tell me that…my heart will love you!
    –I’ve got the blues tonight baby
    Yeah, I shouldn’t hav’ looked so keen
    Yoooooooooooooooh, baby
    –Yoh baby, I keep on making the same mistakes
    –A mistake like you is like…
    A mistake I like, baby
    –A mistake like you is a whisper from my lips
    –Whisper on your lips
    Running down to your hips
    –When your hands…
    –Go from guitar to string
    Whisper on your hips
    Song on your lips
    My guitar weeps
    Under the shine of your eyes
    –A kiss open my heart
    –Whisper in your heart
    A kiss on your lips
    A whisper in a kiss
    Let me be close to you
    Catch you with a finger
    Catch you with a kiss
    In the ear and in the neck
    As the eyes close and the heart smile
    As the hand softly call for the body
    As the body softly opens to the hand
    The button soft the dress are falling
    And the hair linger away
    As the cloth falls
    –You’ got the blues, baby
    I’ll got it all my life
    If I listen to my fantasy
    Let me leave your body
    This last meeting

    http://pagesperso-orange.fr/Leila/Musiques/danseuseauxpiedsnus.mp3

  56. Ice, Icy, Iceland, Nice but fancy, heartland of our fathers
    please to meet a so great ball of fire which will deliver you
    from that grave of trouble in a firelight of true colors
    exit the blue alone that catch the stone and grasp who is prone
    to believe in the reliefs of the trone, oh yeah !!!

  57. Faire fondre la glace
    pour voir dans une goutte d’eau
    la note d’espoir d’un peuple
    rêve de transparence dans
    les couleurs
    irisées au soleil

  58. Encore les mêmes questions
    Bien que l’on sache les réponses
    Alors je te le dis rousse
    Aux œillades émeraudes
    D’eaux chaudes

    Tu es une plante fatale
    Tu as des yeux à la réelle
    Perdition de l’âme
    Jolis a faire pleurer des larmes
    D’eaux chaudes

    Tu te promènes
    Sous la pluie
    Et je sens les gouttes
    Etrange elles sont
    D’eaux chaudes

    Accordes moi rousse
    De danser avec toi
    A corps perdu
    Jusqu’à ce que ruissellent
    Les eaux chaudes

    baisers vapeurs

  59. mmmmhhhh, jean, c’est beau…
    C’est très beau aussi, leila, tes mots, juste que j ai plus de mal avec les écrits plus tristes, mais c’est fort beau…

  60. Aurait-il quelque chose à se faire pardonner l’hiver ? pour s’appliquer à nous offrir de si belles images, le givre, la neige, la glace avec leurs reflets, leurs jeux de lumières, et l’éveil de toutes ces sensations aux abords de tant de merveilles.
    Regarder un paysage de neige fait oublier le froid, admirer les cristaux de glace à la surface de l’eau et c’est tout un monde qui se met en mouvement. Le soleil de l’hiver à l’approche du crépuscule déploie une palette incroyable de couleurs et lorsqu’on a la chance de les admirer doublement dans les eaux d’un étang ou d’un fleuve, cela devient un spectacle qui fait chavirer le coeur et l’âme dans un état contemplatif extraordinaire.
    Je crois savoir, l’hiver essaie de nous faire comprendre qu’à chaque chose malheur est bon, à défaut de chaleur et d’éclat, l’hiver tout en finesse nous procure des occasions uniques d’approche de la beauté d’autant plus agréables qu’elles sont éphémères et laissent des impressions fugitives intenses.

    « La beauté est cause de joie pour toujours » John Keats

    « Chaque expérience de beauté, si brève dans le temps tout en transcendant le temps, nous restitue chaque fois la fraîcheur du matin du monde »
    François Cheng

    Bonne fin de soirée à tous. Belle nuit et que tous ces espoirs de paix se concrétisent .

  61. A supporter les givres
    Des tendresses perdues
    A retenir l’éclair
    Des douleurs éventées
    A engendrer des fruits
    D’amour inaccompli
    loin des astres de sang
    Nés de notre désir
    où nous avions rêvé
    où nous aurions pu vivre

    François Cheng

    bonsoir Monique

  62. Je lis et je relis ce texte de Cheng que tu nous offres Vincent, beauté émouvante à laisser poindre une larme; merci à toi et bonsoir

  63. et je vous lis, Monique et Vincent, émue..très émue….

    et pour répondre à ta question, Ossiane, oui, c’était une belle journée…

    et je vais t’écouter, Leila..

  64. Bonsoir Leïla
    « Comme la poésie, parole enchantée, et comme la peinture elle-même, la musique est toute posivité, la musique est une parole qui dit oui, c’est une conquête sur le silence et le néant » Vladimir Jankélétvich

  65. Tes mots, ta tendresse, ta gentillesse, ont su réchauffer mon coeur…
    mais semblable à la banquise, fragile, aujourd’hui il se brise….
    coeur brisé, coeur à la dérive, perdu à jamais dans le bleu de tes yeux…

  66. Juste un mot
    ça fait quelques temps que je suis l’oeil ouvert, mais je viens de voir/lire « transparences », et je reste accroché à ta -banquise fragile-
    C’est fort. c’est beau, mince alors.

  67. .
    Merci les amis d »avoir si bien clôturé cette note!

    Clin d’oeil à la belle poésie de Corinne, à nigra the stunning English poetess, à chrsitineeee pour lui dire que je connais bien le beau blog de christine;-) à leila et à sa belle musique cristalline glacée givrée, à vincent et monique et leurs superbes citations sur la beauté dont je ne me lasse pas, à Jean-Baptiste que je remercie pour être sorti de son silence (cette banquise t »accueille en amitié et toute sécurité:-), à tous les autres brillants poètes de ce blog que j’admire beaucoup.

    Bises de la nuit.

    Ossiane
    .

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