Frôlement

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La Loire

L'ombre des ailes, glissement dans la nuit bleue, comme un souffle

Lecture du Haïku Calligramme: de bas en haut

L’ombre des ailes
glissement dans la nuit bleue
comme un souffle

Sur la Loire…

90 réflexions sur « Frôlement »

  1. Surgi de la nuit,
    de son vol silencieux l’oiseau a effleuré la peau du jour endormi.

    L’onde a frémi sous la caresse de la pointe de son aile

    Des lèvres de l’eau s’échappent les rêves en mille arabesques fantômatiques

    Douceur

  2. C’est très beau… je t’embrasse ossiane
    Et quel bonheur de lire Neyde de si bonne heure… je t’embrasse amie

    ***
    Frôlement d’ailes
    Quelques traces sur la toile
    Une peinture d’eau

  3. « L’ombre des ailes
    glissement dans la nuit bleue
    comme un souffle »
    …frôlements
    tu roules tes yeux
    en langue fauve
    sur les bords de l’absence incertaine
    j’ai le sommeil dans la tête
    avec les tempes
    ouvertes
    à tes caresses
    bleues
    du lit
    bleu
    frôlements
    sur l’eau
    bleue
    des ailes
    envol
    des désirs

  4. Les larmes quelquefois montent aux yeux
    comme d’une source,
    elles sont de la brume sur des lacs,
    un trouble du jour intérieur,
    une eau que la peine a salé.

    La seule grâce à demander aux dieux lointains,
    aux dieux muets, aveugles, détournés,
    à ces fuyards,
    ne serait-elle pas que toute larme répandue
    sur le visage proche
    dans l’invisible terre fît germer
    un blé inépuisable?

    Philippe Jaccottet, A la lumière d’hiver.

  5. juste le bruit de ma respiration
    et le bruissement des ailes
    je suis un chasseur
    un chasseur d’images
    je saisis chaque jour notre monde
    un oiseau, un escalier, un nuage, Une plume…
    la magie du progrès, un cadrage , un déclic,
    Et je fixe l’éternité dans une seconde…

  6. ~

    Arp disait que seul le violon pouvait apprivoiser les nuages, les faire se prélasser de bonheur sur la terre. Alors, ils se laissaient pétrifier. Arp jetait ses filets très haut et très loin, depuis le nombril jusqu’à l’étoile, de la moustache aux nuages, du sourire à la goutte d’eau qui tremble sur une toile d’araignée, du caillou du torrent jusqu’à l’arc-en-ciel. Il captait les analogies. Ainsi cassait-il nos catégories, nos organisations. Ainsi, révélait-il les correspondances entre le minéral, l’animal, le végétal. Il réalisait des accouplements impossibles où la bactérie se mettait à avoir un nez et l’univers tout entier des possibilités nouvelles. Nous étions enfin les fils des étoiles, les frères du blé, du granit, de la vapeur d’eau. Le Big-Bang n’était pas fini.

    Pierre Descargues – 1992

    ~

  7. J’habite ton image Ossiane et vole au milieu des oiseaux le coeur léger et contemplatif et m’imprègne de cette beauté
    ___
    Merveille et splendeur
    Dans l’aura de « la nuit bleue »
    Espace de silence

    Le regard abandonné
    Dans la profondeur bleutée
    Noyé dans l’extase

    Un rêve bleu
    Enveloppé de mystère
    le monde des oiseaux
    ___

  8. Bonjour à tous,

    Elle m’a frôlé,
    A peine, du bout des doigts,
    Et le matin s’est levé…

    Bises chère Ossiane !

    Enormes bisous ma Brésilienne adorée, ma douce Neyde,
    OLIVIER

  9. AVALON

    Ambiance étrange pour un lundi,
    Dès le réveil, retomber dans la nuit
    A peine esquissé,
    Le jour n’est pas complètement installé
    Et le sombre règne encore en maître
    Au dessus du lit…
    De la Loire endormie…

    Dans ce décors étrange,
    Entouré de mystères
    Les mouettes planent parmi les brumes
    Et glissent au ras des flots
    Sans un cri, sans un mot,
    Seules gardiennes de l’île secrète,
    Dames du Lac transformées en oiseaux

    Et dans un souffle léger,
    Au milieu des nuées,
    A travers le brouillard,
    Morgane la fée,
    Viviane la Dame
    Frôlent un instant ma main
    Frémissement incertain,
    Avant de regagner
    L’Ile secrète
    Bientôt évanouie
    Au milieu de la nuit…

    Une écharpe de brume se déchire alors
    Et glisse sur le miroir de mes songes,
    A moitié endormie, à demi réveillée
    Je planeeeeeeeeeeee……………………

    Biseeeeees plananteeeees

  10. Mon existence. Des années sans nuage.
    les jours coulaient paisiblement
    Comme une source inépuisable de calme et de volupté.
    juste de temps à autre les cris des enfants
    Perçaient de leurs gaités le murmure de la vie.
    Nous étions un exemple pour les amis et les enfants.
    Une image d’Épinal du couple parfait.
    Mais tu es arrivé tel un chasseur en embuscade.
    L’œil aux aguets, prêt à faire voler bruyamment mes certitudes comme une nuée d’oiseaux sauvages.
    Tu as utilisé toutes ton art pour arriver à tes fins.
    Tu a mis en place tous tes filets, avec la patience d’un braconnier.
    Tu as bien choisi ta victime, avec la ferme intention de la rajouter à ton tableau de chasse
    Transformant ton art en industrie. Et comme une alouette je me suis fait prendre.
    Par tes coups de charmes et tes sourires.
    Comme cet oiseau tu m’as pris dans tes mains. Puis tu as retiré comme des plumes,
    Une à une toutes mes réticences. Je me suis laissée mettre à nu sans me débattre.
    Juste quelques cris dans le silence ton antre. Puis une fois affaiblie, offerte à ton désir carnassier tu m’as laissé sur le bord du chemin. A moitié inerte.
    Depuis. Je continue ma vie. Les ailes à moitié esquintées.
    Je marche d’un pas malhabile porté par mes oisillons qui grandissent et s’envolent
    Peu à peu vers leurs destinés. J’espère au fond de moi qu’il ne croiseront jamais sur leurs routes des chasseurs de cette espèce. Prêt à n’importe quel stratagème pour assouvir
    Leurs plaisirs futiles. Laissant à l’agonie l’objet de leurs sports favoris…

  11. J’ai fait du jour la nuit
    D’un reflet
    …La lenteur d’une brume
    Jeté un voile humide
    Un lavis de vapeurs imprécises
    Parce que ta silhouette
    Ecrit sa double trace sans feuillage sans bruit
    Emprunte des mots bleus
    Aux arbres immergés

    Parfois le soir approche
    Sous un lac
    A la crinière hirsute

    L’on s’imbibe d’attente
    De froissements furtifs

    L’heure dort inutile
    L’eau porte comme un fleuve
    Un paysage nu

  12. Le vent souffle et tout se remue dans la maison .Non je ne suis pas dans l’ Arche mais quand même dans le fort de cette tempete.Là le vent abuse il fait comme chez lui ,IL me donne mal a la tête.Et pourtant je regrette les années qui me faisait défier le vent ,l’ orage et me laissais vide comme apres une traversée mouvementée LA je rêve ce qui me reste a faire avec ce temps.Comme je parle souvent de mes années si loin en allées,en lisant j’ ai noté »les choses se déformentfacilement quand on regarde en arriére « H.Hesse.
    Bonne fin d’ apres midi .Amitiés aux habitués ,à Ossiane ,Ondine,Aspe,Annick ,Bourrache je m’ arrete sinon cela fait un peu inventaire et comme Prevert est l’ elu de mes moments perdusBisous de Noisette

  13. Ossiane
    Il y a dans tes images très picturales et monochromes toute une atmosphère qui accompagne admirablement ton Haïiku, j’apprécie beaucoup.

    Merleau-Ponty dans l’Oeil et l’esprit a écrit ceci :

    « Qualité, lumière, couleur, profondeur, qui sont là-bas devant nous, n’y sont que parce qu’elles éveillent un écho dans notre corps, parce qu’il leur fait accueil »

    Comme tu as su faire accueil à ce merveilleux tableau de la nature et en restituer toute la beauté.

  14. le ciel et l’eau
    en leur bleu
    passent les oiseaux

    sous l’horizon végétal
    l’ombre et le reflet
    font trembler les sécurités

    derrière le pare-brise
    juste une note de musique
    une image saisie

  15. Bonjour à tous, que de beaux écrits déposés une nouvelle fois sur le blog ! Il n’y a vraiment rien à mettre de côté. C’est le top niveau de la poésie et je vous remercie de vous réunir ici.

    >Neyde :
    Coucou neyde, how are you 😉 Tout est dit dans tes mots. Merci d’être là, je t’embrasse et te souhaite une bonne convalescence.

    >candide :
    Comme c’est beau cette idée de peau frémissante. Merci pour ton superbe retour .

    >Maria :
    Trois très beaux haïkus bien sentis; j’ai failli aller sur le frôlement d’ailes aussi 😉 Merci, je t’embrasse.

    >aspe :
    La suite de l’idée toute en sensualité et beauté. Merci pour ta plume délicate et sensible.

    >brigetoun :
    Ce que tu évoques est bien ressenti. Ambiance diffuse dans laquelle tout se mêle. Merci beaucoup.

    >bourrache :
    Bien vu l’îlot et quel symbole par ce jour de grande tempête qui fait vibrer le smurs de mon bureau 😉

    >Pierre :
    Le poème de Jacottet est vraiment bien approprié, merci. Belle idée d’associer le thème du temps et de la dérive. Je t’embrasse.

    >marc :
    Ton premier poème est fait pour les photographes ; comme c’est beau et bien vu !
    Ton deuxième poème est beaucoup plus vécu et douloureux. Grande richesse de tes images et de ton vocabulaire pour exprimer la douleur. Bises et merci.

    >Salomé :
    Intéressant extrait sur Arp dont j’aime les œuvres. Je les regarderai d’un autre œil. Merci à toi.

    >Annick :
    😉

    >Monique :
    Extase totale pour toi Monique 😉 On dirait que tu étais là-bas avec moi 😉 Merci.

    >feu roméo :
    Superbe comme toujours 😉 J’aime tes matins du monde et ce silence. C’est bien ressenti.

    >Olivier :
    Bonsoir Olivier, joli ressenti, la lumière est là 🙂 Bises vers toi, cher Olivier et un grand merci d’être passé.

    >Christineeee :
    Quel beau rêve bleuté tu nous offres ; je crois m’y retrouver ! Je plane avec tooooooooooi 😉

    >Bernard :
    Comme ces ambiances diffuses et fluide se prêtent bien à ton style d’écriture ! C’est tout simplement superbe ! Bravo à toi.

    >Noisette :
    Ca remue aussi beaucoup chez moi, ne t’inquiète pas. Tout rentrera dans l’ordre demain. Bise de réconfort vers toi.

    >Monique :
    Je n’ai pas fait grand-chose, Monique, c’est la nature qui m’a tendu les bras au bon moment 😉 J’aime bien la phrase de Merleau-Ponty qui évoquent ces échos de beauté qui vibrent en nous au moment de déclencher. C’est effectivement dans cet état d’esprit que je prends mes photos. Bises.

    >regard :
    Superbe regard esquissé au fil de l’eau. légèreté de tes images et de tes mots. Comme c’est beau ! Merci beaucoup.

    >Tay :
    Encore une très belle image exprimée avec beaucoup de justesse et de sensibilité. Merci à toi.

  16. Ça plane pour moi
    Ça plane pour moi
    Ça plane pour moi moi moi moi moi
    Ça plane pour moi
    Hou ! Hou ! Hou ! Hou !
    Ça plane pour moi

    Ça plane pour toi
    Ça plane pour toi
    Ça plane pour toi toi toi toi toi
    Ça plane pour toi
    Hou ! Hou ! Hou ! Hou !
    Ça plane pour toi

    Ça plane pour nous
    Ça plane pour nous
    Ça plane pour nous nous nous nous nous
    Ça plane pour nous
    Hou ! Hou ! Hou ! Hou !
    Ça plane pour nous

    Extrait des paroles de Plastic Bertrand
    Revues et corrigées par
    Christineeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee !

  17. dans la nuit bleue, de peur de se perdre à tout jamais, l’oiseau s’est envolé vers d’autres cieux……

  18. Mon regard se pose
    Doucement
    Longtemps
    Entre un juste souffle
    Dans le tableau
    Pour ne pas ralentir le vol
    De l’aimé
    Qui rejoint sa promise
    Le site est fait pour eux
    Délice en glisse
    Duvet en vol
    Souffle si tendre
    Brume de ouate
    Tout est paisible
    Si bel de beau

  19. Verticalité Horizontalité
    Intersection Repaire
    Droites bien ordonnées
    Courbes aléatoires
    A peine dessinées
    Champs de vie
    Souffle de l’esprit
    Mouvements et vies
    Trajectoires
    Tant d’inconnu(e)s dans l’équation

    A cela ajouter le hasard
    Celui qui fait que tôt ou tard
    Deux êtres arrivent à se croiser
    Pour qu’un autre puisse exister.

    Un bleu Ossiane autrement nommé bleu de vif espoir

  20. Le peintre a reposé son pinceau
    Dans le bleu de sa palette
    D’une gamme si jolie
    Les poils se secouent
    Et déposent un joli voile
    Qui endort le tableau
    Pour l’éternité
    Le plus doux vernis
    Sans craquelure du temps
    Si bel moment d’éternité
    Que ces vols suspendus
    Au dessus de ces eaux bleues

  21. Dans la lumière bleutée de l’aube nous irons
    Toi devant
    Moi devant
    Q’importe
    Toujours côte à côte

    Côte à côte
    Avides l’un de l’autre

    Côte à côte mais aussi loin l’un de l’autre

    Loin l’un de l’autre car aussi avides l’un et l’autre
    De cette absolue liberté
    Laisserà jamais l’air frais glisser sur nos plumes
    Et frôler l’eau sans ne plus devoir s’y poser

  22. Merci Ossiane, de corriger, l’aimé, sans e…

    C’est fort tendre @nn@, belle nuit à chacun.

  23. « To be by your side »
    chanté par Nick Cave dans « le peuple migrateur »

    Across the oceans, across the seas. Over forests of blackened trees. Through valleys so still we dare not breathe. To be by your side.

    Over the shifting desert plains, across mountains all in flames. Through howling winds and driving rains. To be by your side.

    Every mile and every year for every one a little tear. I cannot explain this. Dear I will not even try.

    Into the night as the stars collide. Across the borders that divide forests of stone standing petrified. To be by your side.

    Every mile and every year for every one a little tear. I cannot explain this. Dear I will not even try.

    For I know one thing. Love comes on a wing. For tonight I will be by your side. But tomorrow I will fly.

    From the deepest ocean, to the highest peak. Through the frontiers of your sleep. Into the valley where we dare not speak. To be by your side.

    Across the endless wilderness where all the beasts bow down their heads. Darling I will never rest till I am by your side.

    Every mile and every year. Time and distance disappear. I cannot explain this. Dear no, I will not even try.

    For I know one thing. Love comes on a wing and tonight I will be by your side. But tomorrow I will fly away. Love rises with the day and tonight I may be by your side. But tomorrow I will fly. Tomorrow I will fly. Tomorrow I will fly.

  24. Suspendu au voile bleu de l’aube
    Un jour encore
    Un jour inattendu
    Un jour regard d’enfant
    Où les griffes rouges du monde n’existent pas.
    Le cadre immobile contient tous ces matins
    D’oiseaux
    Toutes ces heures bleues.
    Magie de l’entre
    Le quotidien n’a pas levé ses armes
    Et les fées oubliées
    Esquissent le tableau des Hommes.

    Bonne journée à tous 🙂

  25. Enveloppé d’un drap Bleu fantomatique
    La nuit et le jour s’enlace
    La vie doucement s’éveille

  26. Le regard se laisse bercer
    Juste il s’attendrit
    En soif de beau
    En faim de bel
    Il se repose le regard
    Et se laisse aller
    A se vivre

  27. Bonjour à tous

    >Pour NEYDE, qui a fait une brève apparition…remarquée…

    Silhouette fugitive
    Empreinte de mes ailes
    Comme une caresse
    Au fil de l’eau
    Petite hirondelle
    Je t’ai effleurée
    Et tu ne m’as pas vue
    Je m’étais fondue
    Dans les sphères
    D’une nuit bleutée
    Nuit câline
    Nuit de chine
    Douce et tendre
    Accuillante
    Dans mon nid douillet

    Alors, tes ailes, dans un envol
    Presque irréel,
    Petite hirondelle,
    Dans un souffle léger
    Telle plume leste d’un poète
    Se sont déployées
    Dans la voie lactée
    Pour une destinée
    Que je te souhaite
    Pleine de liesse
    Et de joie retrouvée
    Dans une aube claire
    Et de somptuosité

    Meilleurs voeux de rétablissement, à toi, Neyde et tendres penseés et bises, ainsi qu’à toi, Ossiane
    et belle journée à tous

  28. Je frôle de ma main le papier blanc dans le petit matin quand la nuit et le jour s’enlacent comme des amoureux qui au début de leurs idylles n’arrive pas à se séparer,
    Les lettres à l’encre de chine, de cette encre bleue comme tes yeux
    Se découvre une à une à l’insu de ma pensée.
    ma main semble guidée par une force exogène
    Ma plume vol légère, rebelle, au-dessus du papier en d’incessant s allers-retours
    Les mots s’assemblent se côtoient. S’efface, se mélangent. Je ne me connais pas ces tournures de phrase, ni ce vocabulaire. Mon bras ne peut résister à cette puissance. Mon cœur s’accélère, affolé par cette oeuvre d’un démon extérieur.
    C’est maintenant tout mon corps qui fait des soubresauts puis se met à vibrer de plus en plus fort comme des convulsions. Il se met à vibrer comme un marteau piqueur. Et se bruit d’abord un murmure ; un chuchottement Puis doucement il a augmenté. Pour devenir intolérable. Ce vacarme incroyable réveille. La terre tremble. Je sors en hurlant dans la rue habillée de mon pyjama. Les cheveux hirsutes courant au travers des poutres effondrées, des meubles mouches des objets volants. Je regarde stupéfait mon immeuble bringuebalant.

  29. Sous le regard paisible du saule au corps dénudé, la Loire semble un grand lac de quiétude offert à la poésie
    ___
    Toute enveloppée du voile d’azur
    Dans le silence des eaux bleues
    Au frôlement des ailes d’oiseaux
    L’ombre de la nuit lentement s’évanouit
    L’émotion matinale d’une nature informe
    Se prélasse dans la naissance du jour
    La Loire s’éveille et s’étire
    Cherche sa ligne d’horizon
    Le temps oublie les heures
    La Loire se garde d’effrayer les âmes
    Le silence s’abandonne
    Dans la douceur du matin bleu

  30. ~
    Le silence entre la lèvre
    D’un ciel flou artistique
    Ombre de paupière bleue
    ~
    Parfums d’invisible
    Se frôlent en silence
    Glissement de l’imaginaire
    ~
    Belles photos Ossiane!
    A bientôt

  31. Comme un souffle de vie
    Une aurore boréale

    La nuit qui s’évanouit
    Dans un glissement fatal

    Un baiser sur ta nuque
    Sur tes lèvres et tes reins

    L’obscurité caduque
    Et l’amour dans mes mains

  32. Sous le voile bleu
    Sa main se glisse
    Et lui dessine
    Des ailes bleus
    La chair palpite
    L’âme chavire
    En bleu de bleu

  33. Son aimé lui ouvre la voie
    Et ses petites ailes apprécient
    Ce doux courant si bleu tracé
    Ses petites ailes se frissonnent
    Le petit coeur bat la chamade
    Il est si bel son amoureux

  34. tu es adorable annick, tu as toujours un mot gentil pour chacun. Tes textes sont d’une grande sensibilité et ils sont souvent très émouvants.
    bonne soirée à tous.

  35. Bonne soirée,
    tes mots étaient très émouvants aussi, merci d’apprécier les miens juste de moi qui me sortent par les bouts de doigts….
    BELLE NUIT à chacun.

    j en profite pour saluer et embrasser Neyde et Ossiane,
    j espère de tt coeur que l opération est réussie,
    et que la forme est pour toi, Ossiane.
    pour moi, la fatigue s’est allongée si grande, elle se récupère encore, si lasse, éprouvée et épuisée, en un temps, un tel chemin en terre….

    ALORS, je m envole encore, je suis née pour voler..SOURIRE!

    Elle sort la tête de sa tente
    Et deux oiseaux se volent
    Ses doigts de pieds apprécient
    Et son sourire ravi
    Elle aime tant la beauté
    Et le tendre délicat
    Ses yeux s’écarquillent tous doux
    Et elle repart se nicher sa tente

  36. tu es là
    absente
    et j’ai froid
    je ne sens plus ces frôlements
    qui se glissaient entre nous…

  37. Mais non mais non, je ne suis pas absente, aspe, sourire,
    je suis là, si Là de Là, en intérieur profond si profond d’au delà,
    ce coin m’amène tant penser à méditer encore….et surtout en amour…

    Sens tu mon souffle
    Dans ta nuque
    Le soir je me blottis
    Tout contre toi
    Mon chéri
    Je t’aime
    Et je te vois de tant
    Tellement de temps
    Ne suffit pas à t’effacer
    Tu es en moi
    Et mes aile ste rejoignent
    T’enlacent et puis
    Mon petit bec t’embrasse

  38. « tu es adorable Annick, tu as toujours un mot gentil pour chacun. Tes textes sont d’une grande sensibilité et ils sont souvent très émouvants.
    bonne soirée à tous. »
    Merci, pour tes « frôlements de mots »… , et je ne vais rien ajouter de nouveau à ce que t’as transmis Rachel, simplement dire : « et j’ai froid »…

  39. j’ai froid aussi,
    alors je frôle encore en mots,
    je me fixe mes ailes, prends ma toto,
    et on se réchauffe en mots de buée de tout chaud…
    BONNE NUIT, aspe…
    et j’ai froid, et j’ai encore du mal à récupérer, me lève fatiguée, et me couche fatiguée…et j’ai froid..
    Vivementleprintemps!

  40. De vol en vol
    De bleu en bleu
    L’oiseau-poète plonge
    De monde en monde
    De cœur en cœur
    Vers le miel de l’infini

    Quand il ne reste rien qu’aimer
    Quand tout le reste est dépassé
    Nous nous vêtissons de partage
    Tendresse donnée par nos messages

    Qu’ils sont doux ces mots partagés
    Chacun s’envole pour un vol en beauté
    Chacun s’observe et se sait observé
    Dans la même lumière aux essences bleutées


    !
    !
    !

    Mes doigts ne trouvent plus les mots
    Voila que le temps s’arrête
    Crois-tu vraiment Oiseau-poète
    Qu’il est temps que j’aille au Dodo ?

    Ah oui, avant, je voudrais dire : Eh ! madame, madame, qui dit des choses douces, si douces pour nous tous,je t’envois pour te réchauffer une paquerette virtuelle, petit soleil en mignature, annonciatrice des meilleurs temps.

  41. grande fileuse des temps de rages…
    …grande fileuse des temps de rages
    – – -grande fileuse des temps de rages_-_-
    grondements des mains tendues
    évaporations des lueurs des brumes sur les rocs tendres et effrayants
    Ansabère
    au bout de ma corde
    « mousqueton » au harnais de mon vide idéal
    j’arrache mes ongles
    sous mes muscles tétanisés
    dans l’hiver
    des glaces
    transhumances
    frôlements
    ailes d’eau déployées
    aux nuées des naufrages
    …paresse des sables…
    plis de ta peau
    sous l’azur
    du partage
    je repense inlassablement
    à cette route chaotique
    que nous avions pris ensemble
    vers Essaouira
    je te veux
    mon frôlement
    ma main
    dans la lueur de ma sueur
    quand
    sous ma fenêtre
    le cerisier
    côtoie
    l’attente
    parfaite
    d’une caresse d’âme
    « http://www.ansabere.fr/ »

  42. Aspe…
    D’une voie à l’autre
    D’un sommet à l’autre
    Sur Ansabère
    Ou sur l’Ossau,
    De ces hauts belvédères
    Nos voix se frôlent
    En écho
    Eh Oh….. !
    Eh Oh….. !

    Biseeeees matinaleeeees

  43. Eh Oh….. !
    Eh Oh….. !

    Et on appelle
    Ossiane
    Surchargée de travail
    Ou perdue dans les brumes
    Magiques d’Avalon…

    Eh Oh… !
    Eh Oh… !

    Ne t’en fait pas
    On est toujours là
    Pour garder la boutique
    Et t’envoyer
    Des mots magiques

    Eh Oh… !
    Eh Oh… !

  44. Je cite Annick :

    « Sens tu mon souffle
    Dans ta nuque
    Le soir je me blottis
    Tout contre toi
    Mon chéri
    Je t’aime »

    « j’ai froid aussi,
    alors je frôle encore en mots,
    je me fixe mes ailes, prends ma toto,
    et on se réchauffe en mots de buée de tout chaud… »

    Pour se réchauffer
    Et à tous les amoureux
    Des mots…
    Ne vous laissez pas
    Frôler,
    Mais enlacez vous
    Des mots….
    Pour l’amour
    Des mots….

    Christineeeeeeeeeeeeeee

  45. Hé, monsieur, monsieur, j’accepte délicieuse cette jolie pâquerette, ici chez le voisin, des fleurs toutes jaunes, et me semble que sur mon gazon, deux trois semblent souhaiter pointer le nez aussi..je dépose tendre la pâquerette dedans de l’eau au centre du séjour….

    Héhé, Christineeeee, et je regardele lien, oui tout de vrai vécu, tel est l’amour au fil de son jour, qui survole les rives, amarre son tendre port, navigue en mers houleuses, vise le tendre le bel le bon…

  46. Christine
    Très joli » Enlacez vous par les mots » si bien illustré par cette image de ton lien. Je l’ai en cadre dans mon bureau, je ne sais pas de qui est cette image, elle m’a été offerte . Je lui ai associé cette phrase :
    Puisque de toi je n’ai plus les caresses, il me restera les mots et l’amour pour retrouver la tendresse.

  47. merci Bourrache, cette mélodie est délicieuse, l’amitié, l’amour vrais, sont les seuls qui portent les noms d’amitié, d’amour, à mes yeux, juste à se récauffer, se serrer, s’embrasser, sans aucun autre but que celui de partager son meilleur, son moins bon, un bout de sa vie en soi….
    et je souhaite à chacun, un ami, un juste un ou juste quelques doigts, et la vie est légère, se sentant exister, compris, réconforter, et à pouvoir aimer…

  48. permettez moi de vous offrir
    ces quelques mots semés
    des mots jetés, mêlés et guidés
    par la pensée de votre sourire

    mon attirance pour vos ailes
    ne peut point être invisible
    à vos yeux tellement irrésistible
    qui d’un frôlement m’emmène au ciel.

    je n’attend rien de ses louanges
    seul un besoin de mes mains jaillit
    vous déflorer mes pensées , petit ange
    et pénétrer de mes mots votre esprit.

    j’ai le corps bander par l’ inquiétude
    de ne jamais pouvoir vous découvrir
    et jouir sans retenue de votre sourire.
    Qui m’apportera détendu la quiétude.

    pardonnez cette faiblesse
    qui j’espère ne vous blesse
    vous me trouverez bien impudent
    mais j’espère point impertinent.

  49. Merci si bel oiseau
    D’avoir choisi ma main
    Comme nichoir de vie
    Car tu m’offres la vie
    Quand tu te poses tes ailes
    Qu’à mon tour je m’accroche
    Pour m’envoler en ciel
    Merci mon tendre oiseau
    La vie toute simple belle
    Tu me la chantes si douce
    Et je te remercie
    D’exister petit oiseau
    Si doux si bel si grand
    En ailes d’amour câlines

  50. avis de recherche: OOOOOOOOssiannnnnnnnnnnnnneeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee
    bonjour vers Neyde et vous tous

    phil aba j’aime bien cet oiseau poete

    christine super cette affiche

  51. Il y a des liens qu’il ne faut pas briser, ni défaire. Des mots que l’on attache, des mots qui nous attachent. Il y a le violon qu’écoutent les nuages, des héros de papier dont les bras nous enlacent, des rages chaotiques imprimées sous les doigts, des pics et des montagnes qui portent bien leurs noms, et pour compter fleurette, de petites tendresses, du bois que j’ai gardé depuis l’heure lointaine où j’attendais d’aimer.
    Il y a l’ombre bleue que nous offrent ses ailes.

  52. Comme moi, aurez-vous senti ce frôlement d’ailes?
    J’ai peut-être rêvé, le regard embrumé…

  53. ___

    Et tu, et toi.
    Et nous tous, émoi.
    Ballons ronds
    Légers, légers.

    Farandole de transparences
    N’apprivoisant que le nom,
    Rêvant aux visages
    De ces passants amis aimants.

    Mots appeaux
    Enlacés pour mieux voler,
    Oublier tempête et pluie
    Embrumant les regards.

    Paroles de feu,
    Pas langues de bois.
    L’azur, le bleu,
    C’est tout là-bas.

    Encore plus haut.
    Encore plus loin.
    Sans briser, sans défaire
    Où poserons-nous nos liens ?

    Frôlements d’ailes.

    Les tendresses raniment.

    http://home.scarlet.be/~ecolemar/Agenda/Activites/photos_lacher_de_ballons/ballons_03.jpg
    ___

  54. Max : ravie de te retrouver !

    Veux-tu que je te confesse, Beau Zébu ?

    Clin d’oeil, hein !

  55. Et je découvre ton texte, Marc, écrit pendant que j’écrivais mes mots,
    il est fort tendre et délicat..

    Et se sourire
    A lui
    Elle en rêve
    Temps
    Si longtemps
    Que le temps
    Alors elle apprécie
    Ce doux présent

  56. Bonjour tout le monde !
    Toujours beaucoup de retard dans ma réactivité, peu de disponibilité cette semaine. Impossibible de dégager assez de temps pour me manifester à la fois en commentaires et avec une nouvelle note. Que préférez-vous que je fasse dans ce cas ? Que je sois plus silencieuse ou que je continue de publier pour que vous puissiez continuer à écrire? Je me plie à vos volontés 😉

    >Christine :
    Coucou, je suis là 😉 Désolée, pas beaucoup de temps et moins souvent devant mon ordinateur en ce moment. Ca plane toujours très fort pour toi 😉 N’as-tu jamais des baisses de régime 😉 Rigolote cette photo avec la page d’un livre humain !

    >sabine :
    Merci sabine, c’est toujours très joli ce que tu écris !

    >Phil Alba :
    Tu sais bien disséquer la composition d’un espace avec beaucoup de poésie; je raisonne un peu comme cela aussi avec mes photos 😉 Merci pour ta gentillesse et ta belle plume.

    >Annick :
    Tes poèmes sont toujours très touchants et pleins de beauté. Il doit faire bon vivre avec toi 😉 Je te retourne plein de bises ; merci de te préoccuper ainsi de moi 😉 Sinon, je vais bien sauf je suis un peu débordée 😉

    >gmc :
    Belle idée de creuser la position de ces deux oiseaux. C’est bien ressenti, merci aussi pour cette chanson.

    >johal :
    Grande puissance d’évocation dans tes associations de mots. C’est superbe et très audacieux! Bises vers toi.

    >marc :
    Coucou marc, je ne me suis pas perdue ni envolée… je ne veux pas vous laisser tomber 😉 Brume, écriture , papier, toute une palette de thèmes différents. Un grand merci pour ces envolées poétiques aériennes et sensibles beaucoup liées à ton vécu. Bises.

    >Pierre :
    Bien vu ton poème ! Mais chez moi, ça souffle encore très fort 😉 Merci à toi.

    >Claudie :
    Coucou Claudie, contente de te revoir ici ; j’espère que tu vas bien;-) Incroyable douceur de ton poème tout en frôlement et légèreté. Ces ambiances brumeuses se prêtent très bien à ton style d’écriture. Merci beaucoup.
    >Miche b :
    Merci Michel de venir clamer ton enthousiasme alors que je ne me déplace pas beaucoup sur la toile. Je suis touchée par tes mots.

    >Fugitive :
    Même chose que pour Michel, je me fais fugitive mais je ne t’oublie pas. Toujour le sens de la formule juste pour dégager l’essentiel d’une photo. Bises vers toi.

    >Monique :
    Si on veut se ressourcer avant d’aller travailler, il suffit de lire tes poèmes aquatiques incroyablement zen 😉 Merci à toi.

    >Salomé :
    Merci salomé 😉 Belle subtilité de tes deux poèmes. Comment faites-vous pour trouver de si belles images 😉

    >rachel :
    Trois mots et tout est dit 😉 Bravo !
    Magnifique sensualité de ton deuxième poème ! Quel talent !

    >aspe :
    Quelle plume ! Merci aspe pour tes magnifiques poèmes imprégnés de nature, de sensibilité, de sensualité, d’maour de la vie et de la beauté du monde. Un beau lien que tu nous as donné !

    >Fred :
    Bonjour et bienvenue sur le blog ! Merci à toi 😉

    >Bourrache :
    Superbe poème, Bourrache ! On as plongé avec beauté dans le bleu azur et glacé. Je t’embrasse !

    >Thierry :
    Un cocon douillet, c’est vrai 😉 Merci à toi.

    >Corinne :
    Bonjour Corinne, contente de te revoir ici 😉 Toujours une grande délicatesse dns tes rêveries. Merci pour ce beau partage de mots.

    >Bernard :
    Regard embrumé, peut-être mais moi aussi 😉 Tu sais nous faire rêver avec la grande fluidité de ton écriture imagée et sensible. Merci beaucoup.

    >max :
    Bonjour max, on dirait que tu vas t’envoler 😉 Merci à toi.

  57. Tu te plies à nos volontés!
    Ecoute, c’est bien simple: au lieu de publier une note tous les deux ou trois jours, tu en sors une chaque soir; nous n’aurons pas le temps d’y apporter trop de commentaires, ce sera plus léger pour toi. Et puis au lieu de commenter tous nos commentaires, tu te limites aux miens; ce sera encore plus léger.
    Maintenant, que ta volonté soit faite, sur la Terre comme au Ciel!

  58. Ma chère Ossiane :

    Réponse à ta question :
    Après ce qu’a écrit Bernard, voici ce qui me vient à l’idée :
    Préparer une photo tous les jours, je pense que ça demande aussi pas mal de temps !

    En fait, tu dois faire comme tu le sens,
    pour ma part, j’aime bien ce rythme, ni trop long, ni trop court, qui nous laisse le temps d’y réfléchir.
    C’est aussi normal que tu fasses passer ton travail en priorité….

    Le fait que tu répondes à tout le monde est le secret de la réussite du blog. C’est ça la magie… tout le monde attend tes réactions, si tu as aimé, comment tu ressens les mot qu’on t’envoie. La preuve, même Bernard veut se les réserver ! Et moi aussi, je l’avoue, j’attends avec impatience le retour…. Ce qui fait qu’on se prend au jeu !

    C’est ça l’interactivité !

    et lorsque tu n’as pas le temps de répondre à tout le monde, ce n’est pas si grave, fait un groupir ! Et si, comme aujourd’hui, tu laisses passer l’heure H du post, et bien nous attendons la suivante, tout simplement, tout en se commentant mutuellement. Donne juste un tout petit signe de vie…. Qu’on ne soit pas trop inquiets (elle n’a pas posté, elle est malade, elle a eu un accident, elle a mal au dents…)
    Bon j’exagère peut être un peu !!

    Aller,
    Passez une bonne soirée !

    Biseeeeees de Christineeeeeeee

    PS : suis un peu flagada ce soir !….. je vais mettre en route mon système antivirus et scanner tous mes fichiers internes avec une bonne dose d’aspirine !

  59. tranquilise toi, Ossiane, suis ton rythme, je prends ce que tu donnes, tout simplement et m’émerveille de ce don de toi,
    je ne compte pas les jours de publication j ai été surprise d en trouver une nouvelle dans la matinée,
    parfois j ai du mal à suivre, car tant de textes si beaux, et j ai l impression d en louper,
    parfois je lirai des heures et des heures, quand mon cerveau plus attentif, plus en position de lecture…
    SURTOUT FAIS COMME BON TE SEMBLE POUR TOI….

  60. j’aime bien l’humour de Bernard mais Christineeeeee et Annick ont raison. C’est toi qui mène le jeu et c’est très bien ainsi. Et puis nous sommes très réactifs les uns avec les autres donc le site reste très vivant. Ne te tracasse pas et ne cours pas après le temps. Christineeeeeee est dans le vrai : tes commentaires sont essentiels mais nous sommes prêts à attendre et préfèrons, je pense, avoir des mots qui correspondent réellement à ton ressenti même si je suis sûre qu’il t’arrive d’être très diplomate (sourire).
    A bientôt de te lire Ossiane quand bon te semblera

  61. >Bernard, Annick, Christine, rachel:
    Merci pour vos réactions qui m’éclairent un peu;-) Il m’est impossible de préparer une note tous les jours car c’est trop épuisant et ça tue mon inspiration. J’ai tenu ce rythme pendant 10 mois la première année du blog pour finalement aboutir à une publication plus raisonnable. Vous avez raison, je vais faire comme je le sens. Je tiens à ce dialogue entre nous mais ne vous inquiétez pas je deviens invisble de temps en temps. C’est que je ne peux faire autrement. J’aimerais que les journées fassent plus de 24h;-)

  62. Merci beacoup pour la belle photographe. C’est tres interesant! J’aime les coulors et les emotions dans la photo. J’aime le mer. C’est me rappelle de ma maison j’ai dû la feuille. Il me rappelle de mon enfance. Quand je regarde votre photo, je suis l’enfant encore. Mes ennuis flotteur loin et il est remplacé avec les émotions enfantines. Je peux entendre le mer et je peux sentir le sable entre mes orteils. je me sens libre, pour un instant. Mais que tout j’ai vraiment besoin de. Cela vraiment tout je cherche. Merci beacoup pour la photo. C’est tres interessant!

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