106 réflexions sur « Palme »

  1. Elle,
    Fleuve de désir
    Déshabillée de soie noire
    Plus douce qu’une mantisse

    Un court silence
    Esquisse d’un regard

    Ici s’ouvre le rêve
    La ligne de partage

    Instant d’éternité
    Avec délicatesse
    Je poserai ma plume

    Je t’aime, Blanche neige

  2. d’un amas noyé
    en cette masse sombre,
    un long roseau comme un trait
    a émergé,
    barre nette se détachant,
    et j’ai pu m »y poser,
    accrocher ma légèreté
    sur l’ombre visqueuse

  3. Plume flottante
    Rumeur des eaux
    D’encres et d’or
    Qui passent
    Une seule fois…
    Et pour l’éternité

  4. ___

    De passage, l’oiseau blanc m’a confié son secret.
    Je le garde précieusement au coeur de mon eau.
    Dans un léger bruissement d’ailes, en s’envolant, il m’a chuchoté :
    « Je t’écrirai encore … ne noie pas l’encre de la vie ».
    Sa promesse me berce.
    ___

  5. J’ai préparé l’encre
    J’ai affûté la pointe de ma plume

    Pour tout t’écrire
    Pour tout t’offrir

    Le plus profond de mon être
    S’est imprimé sur cette Page

    Offrande

    Madame la Vie
    A dégainé son fouet d’Or

    Pour tout interdire
    Pour tout détruire

    Il reste juste un océan
    Encre noire et Plume blanche

    Souffrance

    De ce linceul tu nous fabriqueras
    Des draps de soie

    Patience

    Madame la Vie
    A plus d’un tour dans son sac

    Renaissance

  6. Souffle de plume
    Légère funambule
    Sur l’eau dormante

    ***

    Sensible et délicat comme toujours… beau WE… je t’embrasse

  7. Bonjour Ossiane et tous,

    La Palme,

    Il faut la décerner,
    A l’Amour, à l’Amitié,
    Les Hommes vont-ils se décider ???

    Bon week-end !
    Bises chère Ossiane,
    OLIVIER

  8. le courant l’emporte enivrant
    Mais empêtrer dans ses ressentiments
    Elle ne sait ou mène son destin.

    elle se sent léger comme l’air
    prête a affronter l’océan de la vie
    à parcourir le monde de ses ailes

    mais la réalité la retient
    comme une encre invisible
    une lianne indestructible.

    bonne journée à tous

  9. Mince de poser mes mots, j en oublie l’essentiel,

    j aime infiniment cette photo,
    j aime énormément ce genre de photo si sensible et si délicate,
    et de vrai vécu je suis la même,
    j adore me poser et fixer un petit duvet sur un courant d’eau,
    j’adore contempler et me laisser serrer et emmener par ces petites beautés de vie si jolies et si fines et pleines de vie…un oiseau a perdu ce duvet de plume et c’esté mouvant, si bel de vie…j aime, profondément j’aime..
    bises Ossiane.

  10. ivresse des plumes
    dans le vent des duvets blancs
    ivresse des temps
    eau passée au fils
    des patiences
    vie virgule
    à l’attente des passants

  11. L’oiseau n’est plus,
    et la plume flottante,
    au gré d’une vaguellete,
    n’aura que comme horizon
    du vaste monde
    que le noir du caniveau.

  12. Un Canard
    Ayant palmé
    Tout l’été
    A signé son passage
    Brin de plume déposé
    Il envoie son message
    A sa Dolce Vita…

    Pour la soirée du festival,
    En tenue de gala
    Les voilà
    Tous deux palmant
    En concerto aimant,
    Sur les flots de la Loire,
    A défaut de Fontaine,
    Remontant le courant,
    Ils laissent dans leur sillage
    Des reflets bien troublants
    Et disparaissent ainsi,
    Dans le noir de la nuit…

    Biseeeeees charméeeeees

  13. La plume
    Elle s’accroche
    Par ses petits duvets
    Même si le courant
    La pousse de toutes ses forces
    La plume
    Elle s’accroche
    Pour juste se respirer

  14. Un oiseau de passage
    A perdu une plume blanche
    Et La Loire qui passait là
    En dessous
    Par hasard de vie
    L’a recueillie dans ses gouttes
    De vie
    Et depuis
    La plume se danse la branche
    Qui la lie sur son fil
    De haut
    De vie

  15. Comme un point de repère
    Je te laisse une plume
    Mon ange
    C’est un mouvant repère
    Il est ce que nous fûmes
    Etranges

    Posé dessus la Loire
    Il ne peut se fixer
    Partance
    Sur ce cours de hasard
    Le temps peut s’arrêter
    Silence
    Il est possible aussi
    Que dans un tourbillon
    Violence
    Ce repère soit pris
    Serait-ce notre abandon ?
    Absence
    Mais non ! il ressurgit
    Dans le courant docile
    Naissance
    Alors la plume écrit
    Le plus beau codicille
    Présence
    Lumineux en deviennent
    Nos chemins de traverses
    Brillance
    Loire nous fait roi et reine
    Quand nos coeurs conversent
    Alliance

    Comme un point de repère
    Tu me laisses une plume
    Mon ange
    C’est un point de repère
    Il est ce que nous sommes
    Mélange

  16. point
    trois points
    trois plumes
    un pont
    des pierres
    visages des brumes
    éponges d’azur
    dans l’onde
    tes larmes
    marées funambules
    aux sables de tes berges
    Loire
    à la Charité
    sous les murs
    des mots
    silences
    des baisers…
    de nos baisers…

  17. Sous le charme de ta plume

    Je craque

    Oui
    De tes frôlements je rêve

    Oui
    De tes mains agiles j’espère

    oui
    De ne pouvoir le dire j’en désespère…

    oui
    De ne pouvoir le vivre j’en crève

    Sous le noir de la soie
    Je me cache

  18. Sur le fil de l’eau
    La plaie où git ta soif
    La syllabe de larmes
    ____

    Le vent a soufflé
    Sur l’âme chimérique
    D’une aile brisée
    ___
    Bonsoir Ossiane et agréable week end

  19. Magnifique, phil alba..j adore.

    Et je continue ma lecture et je me fonds, aspe, nigra, comme c’est beau…salomé….

    Une fort belle image, pour de beaux mots qui se posent comme un duvet de plumes…..d’amour….

  20. En se poudrant le nez
    Dans le ciel de La Loire
    Elle fait tomber une plume
    Un doux duvet
    En s’essuyant sa perle d’oeil
    Elle si délicate
    Son ciel la voile un peu
    Elle le regarde si tendre
    Assis sur cette berge
    Elle remercie le ciel
    De le voir tout de bel
    Car elle est amoureuse
    De lui en travers lui
    Son âme est si jolie
    Elle l’aime tout de lui

  21. Un oiseau bel coquin
    A donné rendez vous
    A l’amour fou
    Il a laissé sa plume
    Tout de blanc
    Bel écrit
    Et pour sa délicieuse
    Se vole dans le ciel
    Elle lève son nez
    Devient rouge de plumes
    Il est là si de bel
    Son aimé éternel

  22. La légèreté de la plume
    Dansant sur le papier blanc
    A côté le café qui fume
    Un chat s’étire en ronronnant

    L’homme dont le buste est penché
    Ne perçoit le monde alentour
    La tête pleine, le dos courbé
    Happé par tous les mots qui courent

    Il ignore la vie et les heures
    Tout entier tourné vers sa tâche
    création facile ou labeur
    génie hybride ou bien potache

    Il en oublie l’odeur des fleurs
    Et l’herbe verte fraîchement coupée
    Il n’a d’arôme que les senteurs
    De ces lettres décomposées

    Car l’écrivain est ainsi fait
    Prisonnier des mots qui le rongent
    Qu’il libère pour toujours imparfait
    Délivré pour un temps de ces songes

  23. Et délicate
    Une goutte
    Une juste perle
    Emmène
    Le duvet
    Qui se laisse flotter
    Et se laisse emmener
    Sur la berge adoré
    Pour un froufrou de plumes
    Qui en blanchit les herbes
    Et depuis ce jour là
    La Loire est tout de blanc
    Car elle est amoureuse
    La Loire si pleine d’amour
    Dans ses gouttes perlées
    Que le doigtqui se trempe
    Se goutte se boit se vit
    En amour de la vie

  24. c’est beau rachel…
    YAOUH, quelles plumes ce soir si tendre,

    à la lumière tamisée, les fleurs sentant le bel vert de vie, le séjour tout de plein, la fin de semaine elle récupère, raccroche des chairs et des tendons, qui demain reprendront la route, de bel élan, de jolie force, c’est bon de tomber dans le fond et de nager vers la surface, en écrivant, le dos courbé, la plume d’encre si pleine de mots, d’odeurs, baisers si tendres donnés, l’écrivain se danse, il fait la ronde, avec ses mots, sur son clavier, il inonde le monde encore, se respire, se vit, s’évanouit, renaît, dit qu’il aime encore et en corps, l’écrivain est juste celui qui, si tant d’amour à distribuer, alors il écrit de son ventre, sa voix se pose, ses mots s’écoutent, les jambages se valsent et l’enchantent,
    chuttt, l’écrivain vit, faites silence, il vit sa vie, auprès de l’amour, en plein dedans, son petit jour, l’écrivain pose à sa cadence, chaque jour de vie qui le réveille, l’endort trop tôt sur son clavier quand le petit jour déjà levé…
    chutt, l’écrivain dort, sa plume respire, ronfle tout doucement ses silences…
    chutt, l’écrivain en coeur s’abandonne sur sa page blanche de mots écrits, alors il vit encore…tant que la page se donne à vivre….chuttt….

    Bises du soir, désolée, une échappée de tête, que je livre…simplement. Belle soirée à chacun.

  25. Eh ! madame, madame,
    Tu dis des choses douces !
    Et cela me ramène à ce qu’à dit Joseph Joubert :
    « On ne trouve de poésie nulle part si l’on n’en porte pas en soi. »
    Et il a dit aussi :
    « Quand une fois on a goûté au suc des mots, l’esprit ne peut plus s’en passer. On y boit la pensée. »
    Alors tu vois, vivent, vivent, vivent libres et partagées les échappées de tête.
    Eh ! madame, madame, avec tout cela je te dis merci et je souhaite une belle soirée.

  26. Peau rouge dans le Grand Bleu…..Restent l’arc…des flèches…et une plume…pour dessiner un coin de ciel…transpercer les coeurs…et caresser les mots… » Ne noie pas l’encre de lavie »… »déshabillé de soie noire »… »l’eau hésitante »… »le noir du caniveau »…Rendre les L..armes…une par une….les jeter dans L…eau….deux L à la boutonnière…pour seule décoration…… ,………….,………..deux virgules flottantes……….entre deux respirations…

  27. Et tu me fais rire, monsieur, monsieur, car c’est comme cela que je vois la v ie, avec mes mots au bout des doigts, mes palpites de coeur multiplié par dix, dix petits doigts pour écrire l’amour…belle soirée, monsieur, monsieur.

  28. Tous ces mots ce soir ont un parfum de paradis….et de douceur
    _
    Nuage de plume
    A la surface de l’eau
    La douce caresse

    Spectacle de charme
    Tendresse sur le lit du fleuve
    Le soupir du vent

    Blanc immaculé
    Le doux baiser de l’oiseau
    Tendre murmure

    Sur le fil tendu
    Une perle de rosée
    Petite plumule

    Figure aérienne
    Virevolte en équilibre
    Pétale d’oiseau

    Blanc et noir satin
    Une scène romantique
    Sur les bords de la Loire

  29. Sur la broche
    De sa veste
    Une plume
    Sur un fil d’or
    Et au revers
    De sa veste
    L’Amour

  30. Une plume, autour des perles d’eau, des bulles d’OoOOoO, si tendres souffles duveteux…..

  31. Sur le pont de la Charité
    Ce soir tu m’as mené danser
    Non point mon corps, c’est impossible
    Mais mon âme oui, mon âme devenue cible

    Sous le charme de tes mots, ta plume
    Ce soir tu m’as bien fait tomber
    Non point mon corps, hélas, c’est impossible
    Mais mon âme cependant mon âme devenue cible

    Sur le fil de l’eau j’ai pu funambuler
    C’est toi qui m’a mené, j’ai vu l’aile brisée
    Non par mes yeux, c’est impossible
    Mais par mon âme, ô par mon âme, devenue cible

    Sur les bords de la Loire ce soir j’ai marché
    Et c’est toi, toi puis toi, vous qui m’avez guidé
    Non point mon corps c’est impossible
    Mais mon âme vraiment mon âme devenue cible

    A une perle de rosée me suis désaltéré
    Et c’est toi, toi enfin qui m’a fait reposer
    Non point mon corps, hélas, mon corps c’est impossible
    Mais mon âme oui, mon âme qui est devenue cible

    Et tout cela par quoi ? Et tout cela, par qui ?
    Un fleuve reflet de moire, une plume, une brindille
    Une magicienne, une fée qui rend douce la vie
    Et mon âme ô mon âme, mon âme qui vacille

  32. « plume d’ange »

    En voyant cette photo je n’ai pu m’empêcher de penser à ce « conte chansonné » de ce ciseleur de mots jazzy dont un crabe a fini par éteindre la voix, lui qui après tant d’années avait trouvé sa voie avec son île Hélène: Claude Nougaro qui en 1977 avait été visité nuitamment par un ange qui lui avait remis une plume en lui disant :

    « C’est une plume d’ange. Je te la donne. Montre-la autour de toi.
    Qu’un seul humain te croie et ce monde malheureux s’ouvrira au monde de la joie.
    Qu’un seul humain te croie avec ta plume d’ange.
    Adieu et souviens-toi : la foi est plus belle que Dieu. « 

  33. Et pour aller danser sur les bords de la Loire, je vêtirai mon âme ce soir de belles plumes d’ange et sur la surface lisse du fleuve glisserai nos mots dans quelques notes de musique et nos coeurs danseront, danseront toute la nuit.

  34. et je chausse mes doux chaussons roses de danse, aux lacets de soie blanche, et je pose la plume doucement dans mes cheveux, et elle me danse tout au fil de ton eau, La Loire, et une main si tendre serre la mienne, et à nous deux, on parcourt cette étendue bleu, toute la nuit, de tout de blanc dedans ce noir, le secret de nous, de notre Loire, merveilleuse, si délicate qui se piste de danse toute de belle pour nous, mon merveilleux, mon tendre, mon toi de moi…

  35. pour Monique,

    comme quoi la Loire vaut bien la Garonne pour danser sur les mots de Claude.

    Et pour danser les mots de Claude sont d’ailleurs plus surs que les ponts de Nantes sur lesquels d’ailleurs il y a bien longtemps qu’on n’y donne plus de bals 🙂

  36. >regard :
    Superbe d’opposer ainsi le très sombre et le blanc léger ! Merci.

    >Bernard :
    Beau beau beau 😉 Merci pour cette belle évocation féminine sur le fil de la blancheur ! Bises.

    >brigetoun :
    De mieux en mieux tous les jours, je suis très sincère quand je te dis cela 😉

    >jjd :
    Bonsoir jjd, une superbe mise en mots et en couleurs qui fait rêver. Merci pour ta belle écriture. Bonne fin de soirée.

    >Annie-Claude :
    Bien vu ce parallèle entre le noir et le blanc. Belle sensibilité, Annie-Claude, merci à toi.

    >pierre :
    La plume t’inspire 😉 J’aime tout particulièrement le troisième haïku et ton eau hésitante 😉 Bises du soir.

    >Bourrache :
    Superbe et émouvant, Bourrache ! Tu es en belle forme poétique ces derniers jours ! Merci à toi.

    >nigra :
    Quel beau poème sur la plume dans tous ses état, l’écriture et l’encre noire des mots! Tes mots claquent ! Le deuxième est tout aussi beau et original ! La plume prend bien des déguisements avec toi. Elle se fait magique ! Un grand merci pour ce partage.

    >feu roméo :
    Bien vu, roméo.Ton ressenti est très juste, bravo à toi.

    >Maria :
    Légèreté, délicatesse et bien sûr le silence dans ton beau haïku. Bises vers toi.

    >Olivier :
    Tu as sans doute raison, Olivier 😉 Bon week-end, je t’embrasse.

    >marc :
    Très justement vu aussi cette attache qu’on ne parvient pas à briser. Merci pour ton beau poème sensible. Bises.

    >Annick :
    Tu es tombée sous le charme de la plume 😉 Fort pouvoir symbolique, j’aime aussi. Ca duvette beaucoup, Annick 😉 Envie de douceur, d’amour mais émotion aussi en pensant à celui qui l’a perdu. Le ciel est en émoi et nous aussi 😉 Manque plus qu’un bel édredon de plumes 😉 Bises du soir.

    >aspe :
    Belle ivresse immaculée, aspe 😉 Et puis l’amour sur les rives de la Loire ; quelle superbe inspiration imagée ! Merci pour ta belle plume vivante. Bises.

    >Guess Who :
    Bonjour Tiago des villes, merci pour cette vision poétique du caniveau qui est encore plus émouvante que celle des champs. Tu ne publies plus, que deviens-tu ?

    >Christineeee :
    Tu ne manques pas d’idées et d’humour;-) Ta première strophe me fait rire 😉 Bises de la nuit et merci.

    >Salade :
    Hé hé, c’est vrai ça;-)

    >Phil Alba :
    Bravo Phil, ton évocation est très belle et sensible. Toi qui disais que tu ne savais pas écrire 😉 Merci pour ces beaux ressentis qui nous font vibrer. Bonne nuit.

    >Salomé :
    Bonsoir Salomé, un grand merci pour ces deux superbes petits poèmes. Le premier est mon préféré à cause de l’évocation de la plaie et de la syllabe. Je t’embrasse.

    >rachel :
    Magnifique évocation autour de l’écriture et de l’écrivain accroché à sa plume dont il ne peut se défaire ! Chapeau bas vers toi avec une petite bise de nuit 😉

    >pierre b :
    Bravo pour ton approche indienne, il fallait y penser 😉 Et puis ces références aux mots déposés ici forment un tout plein de mystère et de charme à la pierre b avec des L prêtes à s’envoler. Je t’embrasse.

    >Monique :
    Oui Monique, cette petite plume blanche laisse flotter beaucoup de douceur et de légèreté. Tes six haïkus libèrent leur parfum magique aux six essences différentes;-) La nuit sera belle pour tout le monde. Je t’embrasse.

    >Phil Alba :
    L’inspiration continue de faire battre ton cœur et ta plume 😉 Merci pour ce poème vibrant qui fait rêver. Bises.

    >@nn@ :
    Bonsoir Anna, belle contribution que le texte généreux de Nougaro. Faut-il poser une plume sur son cœur pour faire changer le monde… Bises et merci.

    >Annick :
    Belle nuit à toi sur la piste de danse en compagnie des autres étoiles 😉

  37. Une plume dans le courant
    est ce celle d’un ange blanc
    arrachée par un vent méchant
    ou celle d’un poète négligent ?

    légère et flottant sur l’onde
    elle va quittant ce monde
    vers la mer elle vagabonde
    voir les sirènes blondes

    elle s’accroche à un radeau
    un brindille un fin roseau
    qu’elle a choisi comme bateau
    pour tenir au dessus de l’eau

    sa route est pleine d’imprévus
    de beaux paysages jamais vus
    d’oiseaux qui traversent les nues
    de poissons dorés et dodus

    mais la voilà qui desespère
    elle ne connaîtra pas cythère
    son gai voyage devient galère
    un éole fou la renvoie vers la terre

    en vrai la moralité de l’histoire
    c’est qu’il faut se garder de croire
    que la légéreté est gage de victoire
    savoir naviguer évite les déboires

  38. S’étendre sur la pupille
    La plume du souffle inscrit
    Un brin de poésie
    Une fantaisie

  39. D’un point de vue à un autre
    Une plume, un point virgule
    Esprit d’un souffle
    A l’encre pur

  40. Bonjour à tous,

    Je sens que Véronique a besoin d’un peu de fantaisie,
    Alors, pour reprendre notre souffle
    Laissons le point de côté
    Ne gardons que la virgule !

  41. 0001101000100011100010101 , 000010101

    ODE A LA « , » FLOTTANTE !

    Ainsi flotte la virgule ,,,

    De 0 en 0,
    Elle valse parmi les 0,
    Elle vogue
    De Vague de 0
    En Vague de 0,
    Elle nage
    Dans un océan de 0 !

    Taquinée de temps en temps
    Par quelques 1 éperdus…
    Sirène des ordinateurs,
    Pour un meilleur rendu,
    C’est la fée des cartes graphiques
    Pour de merveilleuses couleurs magiques,
    A une vitesse inégalée
    En unités
    Mflops
    Million d’opérations en vigule-flottante par seconde….

    Ainsi flotte la virgule….

    Mais lorsque par hasard
    Elle se retrouve coincée
    Entre deux, trois 0
    Ton micro a la nausée
    Il a le mal de mer
    Pris dans cette tempête de 0 !
    Et avec ta souris
    Chassant cette virgule en déroute
    Prête à couler,
    Tu restes là, planté
    Attendant impatiemment
    Qu’il reboute !

    Oh joie de l’informatique !
    Et pour tout ceux qui ont pigé,
    Ils méritent…
    Les PALMES Académiques !!!

    Que deviendrait le blog
    Sans la virgule flottante ?

    0001101000100011100010101 , 000010101

    Biseeeeeees flottanteeeeeees

  42. ___

    Si la plume fait tant écrire l’homme, il y a une bonne raison : l’impossibilité de réaliser un rêve millénaire.

    Voler en toute liberté à la manière de l’oiseau, il ne le pourra jamais … l’homme a perdu son temps à inventer des cages pour l’homme.

    Et des prisons…
    ___

  43. Virgule flottante (suite) !

    Nous ne rentrerons pas dans les détails,
    Noyade assurée pour les novices,
    Néanmoins, pour votre information,
    Voici une petite définition !

    VIRGULE FLOTTANTE :
    C’est un terme barbare pour dire simplement que le nombre, entier ou décimal, est exprimé en puissance de 10
    En d’autres termes :
    Procédé permettant de coder et de stocker les nombres réels afin d’accéder à une manipulation plus rapide des nombres par les machines.

    Pour le reste, j’en sais pas plus que vous !

    …A moins que notre ami Thierry,
    Pour éclairer notre lanterne,
    N’ait quelques virgules à rajouter
    A ce commentaire
    Pas ordinaire !

  44. Victoire ! le lien est passé… Pas de prison pour le we !

    Aujourd’hui,
    pas de virgule coincée
    dans mon ordi !

  45. Christineee : pur hasard mon passage parmi les OOO, les 1111 et les ,,,,,,,,,

    Belle journée à tous.

  46. __
    Le vent m’emporte au loin avec le fil de sa main
    il franchit les ombres et la lumière
    devient fantôme je laisse faire
    __
    Bon week end Ossiane (un peu moins de temps pour venir visiter en ce moment)
    A bientôt

  47. L’univers de la plume :
    Une nuance d’horizon pour lisser l’idéal
    Sur le dos des humains ;
    Une caresse de mots, ha ! croire tenir le temps
    Accrochée à des encres ;
    Une pointe de paix sur les plaies vives
    De la colombe ;
    Et puis, murmure perdu, arraché à l’aile des cieux,
    Pour que l’enfant se souvienne
    Qu’ailleurs, en d’autres temps, un oiseau libre refit le monde.

  48. Bourrache !
    Une âme de virgule,
    Coincée entre deux commentaires,
    J’espère que tu n’as pas eu
    le mal de mer !
    Quand le hasard
    fait bien les choses !!

  49. http://fr.wikipedia.org/wiki/Mantisse

    Depuis ma naissance, mes neurones ont toujours systématiquement refusé de faire les liens nécessaires à ma compréhension de l’univers énigmatique des mathématiques.

    Je n’y comprendrai jamais rien … même avec un dessin !

  50. la petite amante d’Adam dit :

    mon ADam, AMANT aimant et pas dandy, DÎNE.
    _

    Bof, je sais…

  51. Bonjour à tous au sortir du rêve, lorsqu’une petite plume vous arrache le regard et vous emmène là bas au loin dans l’imaginaire, quand le rideau se lève….

    ___
    Le regard du monde
    Pour s’étonner et rêver
    Et voir autrement

    La Dolce Vita
    Une palme pour ce regard
    Cinquante ans bientôt

    Force de l’image
    Sous la plume d’une grande oeuvre
    La virgule du poète

  52. *****
    Et revoilà ADAMANTINE !
    Plume aux éclats de diamant
    Scintille dans le firmament noir
    D’un Univers bel et sombre
    Voyage au Centre de la Terre
    Géode du Monde à ciel ouvert…

    *****

  53. Bourrache !
    Pour le bien de tes neurones,
    Attention à la surchauffe…
    Une étincelle et pouffff
    ça explose !

  54. Monique : tu te lèves tard … c’est pas le dimanche qu’on peut faire grasse matinée ???

    (Sourire, Monique.
    J’essaie de décompresser : ce soir m’attend une situation … ubuesque ? dantesque ? surréaliste, de toute façon… Alors, suis pas fière pour le moment. Je fais p… dans mon pantalon).

    Bon, je raccroche, là.

    (mon bulletin du dimanche soir !!!)

  55. Le tendre souffle d’une vie
    Qui se pose sa plume
    La couve la serre si douce
    Se niche dans ses douceurs

    Bon après midi à chacun’e’.

  56. >amichel :
    Tu as le pied marin et tu sais tenir une barre, capitaine Michel 😉 Une très belle évocation sur la légèreté de l’errance avec tous ses aléas. Les rimes communes pour chaque strophe m’évoquent les mouvements de l’onde. Merci beaucoup, je t’embrasse.

    >Véronique :
    Tu arrives désormais à naviguer en solitaire sur cette page 😉 Merci pour tes deux beaux poèmes sur l’écriture et le souffle de tes mots. Bon week-end.

    >Christineeee :
    Heureusement que tu es là pour nous expliquer ce qu’est une virgule flottante, je ne le savais même pas 😉 Les mathématiques peuvent parfois faire rêver. Elle semble vraiment indispensable à ce blog 😉 Vive les 1 et les zéro !

    >Bourrache :
    Tu n’es pas la seule pour les mathématiques si ça peut te rassurer 😉 Bonne soirée quand même 😉

    >Mathilde :
    Bonjour Mathilde, contente de te revoir 😉 Très joliment exprimé cette transformation en fantôme. Merci pour la délicatesse de ton évocation. Bonne soirée.

    >Johal :
    Magnifique comme toujours ! Quelle précision et sensibilité dans tes mots pour trouver ces belles images liées à m’écriture et à la vie! Un grand merci à toi, je t’embrasse.

    >by the way hum hum 😉
    Découverte pour moi 😉 Serais-tu physicien ?

    >Monique :
    Merci pour tes beaux haïkus à rêver. Ils contiennent tout un programme de vie. Merci pour la beauté de ta plume virgule 😉

    >Annick :
    Bon après-midi à toi aussi. Merci pour ton petit poème en souffle mohair 😉

  57. A fleur d’eau
    L’arc blessé et la plume pâle
    Emportent au gré du vent
    L’oubli d’une civilisation meurtrie.

  58. Une plume à la boutonnière
    Il s’en allait pimpant et fière
    Tête haute et torse bombé
    Il marchait vers sa destinée

    Car monsieur était à la noce
    Malgré son âge peu précoce
    Il avait encore fière allure
    Et se lassait des aventures

    Arrivé au pied du perron
    Il se dit « cette fois c’est bon »
    Le fou rire de sa fiancée
    Eut sitôt fait de le vexer

    « Une plume en place de rose
    En voilà une drôle de chose
    Vous avez l’air si ridicule
    Cessez monsieur sinon j’annule »

    Le rouge lui monta aux joues
    Mais ne perdit pas son bagoue
    Il est heureux qu’avant mes noces
    Je visse que vous étiez bien rosse

    Il faut ma douce raison gardée
    Vous n’êtes pas ma destinée
    Il repartit à vive allure
    Vers de nouvelles aventures

  59. Les cheveux au vent
    elle se déplace voltigeant
    légère comme une plume
    blanche comme la lune

    un fil si fin la retient
    auprès des terriens
    son corps si menue
    ce lien bien trop ténu

    elle était tellement belle
    quand elle avait dix ans
    la vie est bien cruelle
    son cœur est si fragile

    alors elle s’est envolée
    Par un beau jour d’été!
    quelle drôle de maladie
    Que l’on nomme anorexie!

  60. Ecrire avec le hasard….sans t’aime précis….ni poing final…juste pour le plaisir de voir…ou la plume va nous entraîner…douce et flottante…détachée à la suite d’on ne sait quel combat…abandonnée par la mère….ou volée par le vent…C’est le Champ de Mars…un soleil à la boutonnière…que l’on découvre à l’orée du printemps…c’est un désert que nous laisse les citadins…que l’on redécouvre avec gourmandise au petit matin…ce sont les premières jupes qui s’envolent…et qui s’enroulent autour de vos rêves..en abandonnant leur parfum…C’est l’ombre d’un soir…qui vous déshabille du regard…effeuillage du hasard…tourbillon de feuilles et de lumière rare….C’est une simple promenade…à la lisière d’une feuille blanche…dans Paris ….Ecrire avec le hasard…pour l’amour d’une virgule égarée …pour se noyer dans cette larme… pour voyager sur ce visage…pour lire sur tes lèvres…le début de notre histoire..

  61. Y laisser des plumes

    Au clair de la lune
    mon ami Pierrot
    prête moi ta plume
    pour écrire un mot

    Voler dans les plumes

    La suivre la plume ?
    au vent,
    au fil de l’eau,
    au fil de l’Oeil Ouvert

    la suivre? mais quelle plume?

    Bon j’y retourne dans mes plumes!

  62. « J’ai mis un’ plume,à mon chapeau,
    pour avoir l’air bien comme il faut… »
    Qu’y a-til de commun entre la plume de faisan du tyrolien, la plume d’autruche (?) du chapeau du milicien des Mousquetaires d’Amsterdam dans la Ronde de Nuit de Rembrandt, l’aigrette de la coiffure de la belle ?

    …..

    Ses longues jambes garnies de soie élégamment se croisaient et décroisaient pendant qu’elle descendait le grand escalier.
    Les plumes ondulaient au rythme de sa marche,
    et le public fasciné la regardait ….

  63. Toute la beauté … de l’errance … du hasard … d’une plume-écriture … en trois petits points …

    Biz, Pierre b., et beau et bon dimanche à tous.

  64. Plume blanche et brindilles arrachées sur un lit d’eau noire
    Promesses inachevées d’un nid qui ne se fera pas

    ou

    Doux duvet et jeunes lianes de jonc courant au fil de l’eau
    Promesse future d’une rencontre qui se fera

    Qui saura

  65. Et je vous lis, paisible,
    rachel cela me fait sourire, marc c’est si juste, pierreb j’adore de beautés, candide encore, et puis déjà bourrache, je vous embrasse chacun, et je laisse courir mes doigts, seuls, comme des grands petits, ils courent, se prennent une gamelle, se relèvent, se mettent du rouge au genou, rient, sautent sur un pied, avancent leur fil qui se tord et détord en mots simples de moi, c’est une magie que l’écriture, que ce souffle qui se pose sur son fil d’écrire…bises à chacun…

    Elle guette
    Et puis
    Son coeur palpite
    Le courant l’emporte
    Sa petite plume si belle
    Elle la scrute s’ennivre
    Depuis des jours déjà
    Et le courant
    Alors elle court la berge
    Elle espère
    Et puis
    Sa main ravie
    La prend
    Délicatement
    La regarde dedans son coeur
    Souffle dessus de doux baisers
    Son autre main la secoue tendre
    Le duvet s’ébouriffe
    Des bulles de oOOooO murmurent
    Elle la porte à son oreille
    Puis tout contre son coeur
    Respire s’attendrit se vit
    Elle souffle se palpite si douce
    Elle s’asseoit pose la plume
    A côté d’elle
    S’allonge
    Elles se regardent toutes les deux
    Un souffle de vent jaloux
    La soulève plus loin
    Elle se précipite la ramasse
    Sa plume d’ailes
    Elle y tient

  66. et anna, je te lis, et préfère la deuxième version, le triste me va moins bien..belle journée.

  67. Bourrache
    merci pour les liens,
    Mon truc en plume,un régal!
    J’avais oublié Régine et son boa!

    la vie comme une plume
    voyage au vent

    brise légère ou tempête
    pluie ou soleil

    inexorable fil de la vie

    la maîtrise totale tue le mouvement

    bonne journée à tous

  68. Cliquer lien de mon site Web:

    « L’oiseau de Prévert, c’était un peu de poésie sur ce blog. Celle du cancre, qui ne sait pas encore que le radiateur sera attaché à ses pieds. Je relis les premiers commentaires de cet article où tu as choisi de te poser, je me demande comment je vais pouvoir présenter ce dialogue en un post format A4. Ce qui est sûr, c’est que dès les premiers commentaires les questions se multiplient. »

    Dialogue avec Gaëlle suite à un oiseau trouvé chez Ossiane

    Merci à tous

  69. Plume de lune
    Une ligne s’étire
    Le temps en suspend
    Un fil se tend
    Léger
    Entre deux rives

    Bruno, j’aime beaucoup ta petite phrase, une respiration retenue, un souffle léger sur l’eau…

  70. Dilgo
    Merci Dilgo pour ce lien, pour le poème de Prévert
    Le temps à attendre l’oiseau….
    Pour écrire une simple lettre, une lettre toute seule, un a ou un i c’est passionnant de voir certains enseignants qui respectent et aiment les enfants travailler par tout le corps avant de passer à ce moment de maîtrise considérable que demande de tenir un crayon et écrire une lettre dans le bon sens pour certains enfants.
    Travail de tout le corps pour se repérer dans l’espace, le haut, le bas, la droite, la gauche…. tous les temps de « psychomotricité », ou chez nous tous les temps où nous emmenons nos enfants courir dehors, grimper, se rouler par terre….
    rien que savoir s’arrêter, certains ont tant de mal, tout ce travail courir, marcher, s’étendre, de rouler en boule, se figer, se détendre….
    travailler le rythme, la musique
    travailler dans l’espace de grands mouvements de tout le corps puis progressivement de l’épaule avec des rubans ou autre pour les cercles…
    puis arriver au poignet
    tenir des outils de plus en plus petits: gros pinceau, craies etc, avant de passer à tenir ce crayon, varier les plans: vertical puis horizontal, puis la feuille puis les lignes…
    Chacun a son heure dans ce chemin et il peut être source de plaisirs dans toutes ces explorations de son corps
    ça me fait peur qu’on tende à faire de la grande section un petit CP alors que si l’enfant est prêt ça se passe tellement mieux et avec plus de plaisir.
    bien sûr qu’il en faut des contraintes et savoir écrire entre les lignes et savoir lire mais c’est tellement mieux si on peut respecter ces enfants….

    bizarre bizarre mais dans tout cela je retrouve la légèreté de la plume et pas le poids du radiateur dont parle Dilgo
    enfin, … un peu moins tôt pour certains.

  71. j’aime bien tes mots, Candide,
    et déjà tu m’envoles,

    C’est fou ce qu’il y a dans l’écriture, il y a tant de son être qui se vit et se découvre envie, envie de se faire voir, de se faire lire en page, tant dans une petite lettre, de coeur d âme de corps d esprit, je suis éblouie devant la vie qui se donne quand elle va se farfouiller chercher, c’est miraculeux l’être dans l’être ce qu’il expulse, se souffle, respire, inspire, et palpite en mots en voix, en corps dehors..
    c’est le mystère de la vie qui me garde éblouie bouche étonnée, yeux écarquillés, c’est tant la vie, si tant de vie donnant quand on se plait à recueillir sa goutte de vie dans son essence pour s’abandonner à se vivre..

    en plumes toutes douces, bien blanches, bien tendres..
    bises de dimanche…

    La valeur de la vie dans son immense profondeur, son sens, sa vie, son souffle…

  72. Loire,
    Losque je serai vieille tige
    Dans la catégorie poids-plume
    (quand je n’aurai plus que la peau sur les os)
    Me laisseras-tu flotter sur tes eaux ?

    Du Mont Gerbier de Jonc
    Jusqu’à l’océan
    A chaque village, en le traversant,
    Je pourrai fredonner ton nom.

  73. Dilgo :

    ai cliqué puis regardé l’oiseau de Prévert. Superbe.

    Puis m’en suis allée faire un tour sur ton site.
    Pour moi : découverte d’un coin de France tout-à-fait méconnu et aussi labyrinthique que ma connaissance des mathématiques, découverte d’un et de plusieurs combats, découverte d’un Dilgo-Pierre tout « crollé » (http://fr.wiktionary.org/wiki/croll%C3%A9).

    Merci à toi, j’ai fait un beau voyage cet après-midi.
    _

  74. elle a d’abord
    pris une plume
    et l’a déposé
    sur le bord de son rêve
    lumière
    éponge
    dans l’onde
    trou d’azur
    sur les plis noirs des remouds
    quand tu te penches
    sur les galets
    fenêtre dans le sourire du soleil
    ta voix étincelle
    la plume
    que tu déposes
    dans les remouds…
    courants
    des hasards
    regards
    sur la Loire

  75. Bonsoir la Cie !

    Les poussins, bien lovés dans leurs eeeee, vous saluent bien !

    Ajouter une plume au boa,
    ça vous donne
    un
    Serpent à plume !

    La crole est crolée !

  76. Le soir sur la Loire, en plein été, lorsque le fleuve prend la teinte de la nuit, dans la lumière des réverbères, des milliers d’éphémères volent au dessus de l’eau, des milliers de petites ailes blanches forment un nuage d’insectes. Sur le blog d’Ossiane, l’une d’elles s’est échappée, toute empanachée, à moins qu’il s’agisse d’un oiseau offrant un présent à la Loire…

    ___
    Belle et douce et gracieuse
    L’éphémère s’est posée
    A la surface du rêve,
    Petite aile d’un ange
    Descendue du ciel,
    Dans son espérance de vie
    Du temps d’un soupir.
    L’élégance d’un jour,
    D’une plume de vie,
    D’une petite idée,
    D’une miniature,
    D’une virgule,
    Une goutte de beau.

  77. Toujours de très belles choses à lire, merci pour tous ces mots déposés. Beaucoup de retard pour réagir… peu de disponibilité en ce moment…Je passe en coup de vent force 10 😉 Ca souffle et ça décoiffe 😉

    >rachel :
    Très sympa ton poème sur cet élégant monsieur, merci beaucoup.

    >MTO :
    Belle vision cet arc blessé, merci Mto !

    >marc :
    Douloureux thème que tu as choisi, ton poème est émouvant, merci marc.

    >pierre b :
    Belle promenade romantique et pleine de fantaisie à partir d’une simple virgule ! La ponctuation nous emmène sur d’autres chemins de traverse 😉 Merci pierre.

    >candide :
    Quelle vivacité et inspiration dans ta plume ! Je suis contente de te retrouver 😉 Un grand merci pour la beauté de tes mots.

    >bourrache :
    Merci pour ta présence et pour tous ces liens vidéos. Bises.

    >@nn@ :
    Deux belles idées ! J’aime bien celle du nid inachevé. Merci beaucoup.

    >Annick :
    Ca duvette fort à nouveau 😉 Merci pour ta douceur déployée, bises.

    >Bruno :
    Tu as tout dit, je me tais tant c’est beau, merci !

    >Corinne :
    Comme c’est joliment ressenti ! Merci pour la légèreté de ta plume.

    >Phil Alba :
    Un amusant poème avec ces jeux de mots mais beaucoup de sensibilité aussi. Un bel hommage à ce fleuve. Merci Phil !

    >aspe :
    Bravo aspe, merci pour cette magnifique rêverie sur le fil d’un rêve !

    >Christine :
    C’est vrai 😉 Je t’envoie plein ooooooOOOOO°°°°°°

    >Véronique :
    Merci Véronique, j’aime cette belle idée d’empreinte.

    >Monique :
    J’aime observer les mouvements de l’eau ainsi que tout ce qui la rend vivante. On peut y passer des heures 😉 Et toi, tu continues sur ta belle lancée à rêver en beauté autour de ce fleuve qui fait partie de toi maintenant. Merci, je t’embrasse.

    >Tay :
    Rien à dire tant c’est beau 😉 Ca coule. Merci Tay.

  78. >Artiste peintre:
    Bonjour, il me semble qu’on s’est déjà croisées;-) Merci pour tes mots déposés en toute légèreté. A bientôt.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *