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Lecture du Haïku Calligramme: de bas en haut
L’ombre des ailes
glissement dans la nuit bleue
comme un souffle
◊ Sur la Loire…
L'Oeil Ouvert : photo et poésie
Haïkus et calligrammes, rêverie sur le monde… le voyage imaginaire d'Ossiane
Les ailes frôlent l’eau
comme un souffle
sous la nuit bleu
Surgi de la nuit,
de son vol silencieux l’oiseau a effleuré la peau du jour endormi.
L’onde a frémi sous la caresse de la pointe de son aile
Des lèvres de l’eau s’échappent les rêves en mille arabesques fantômatiques
Douceur
C’est très beau… je t’embrasse ossiane
Et quel bonheur de lire Neyde de si bonne heure… je t’embrasse amie
***
Frôlement d’ailes
Quelques traces sur la toile
Une peinture d’eau
« L’ombre des ailes
glissement dans la nuit bleue
comme un souffle »
…frôlements
tu roules tes yeux
en langue fauve
sur les bords de l’absence incertaine
j’ai le sommeil dans la tête
avec les tempes
ouvertes
à tes caresses
bleues
du lit
bleu
frôlements
sur l’eau
bleue
des ailes
envol
des désirs
oiseau perdu
dans une beauté uniforme,
douce, humide et indécise,
ne sait plus ce qui est eau, air ou terre
___
Avis de grands vents
Entracte inespéré
Un îlot fortuit
___
Battements d’ailes
sur l’eau île en dérive
le temps confondu
Les larmes quelquefois montent aux yeux
comme d’une source,
elles sont de la brume sur des lacs,
un trouble du jour intérieur,
une eau que la peine a salé.
La seule grâce à demander aux dieux lointains,
aux dieux muets, aveugles, détournés,
à ces fuyards,
ne serait-elle pas que toute larme répandue
sur le visage proche
dans l’invisible terre fît germer
un blé inépuisable?
Philippe Jaccottet, A la lumière d’hiver.
juste le bruit de ma respiration
et le bruissement des ailes
je suis un chasseur
un chasseur d’images
je saisis chaque jour notre monde
un oiseau, un escalier, un nuage, Une plume…
la magie du progrès, un cadrage , un déclic,
Et je fixe l’éternité dans une seconde…
~
Arp disait que seul le violon pouvait apprivoiser les nuages, les faire se prélasser de bonheur sur la terre. Alors, ils se laissaient pétrifier. Arp jetait ses filets très haut et très loin, depuis le nombril jusqu’à l’étoile, de la moustache aux nuages, du sourire à la goutte d’eau qui tremble sur une toile d’araignée, du caillou du torrent jusqu’à l’arc-en-ciel. Il captait les analogies. Ainsi cassait-il nos catégories, nos organisations. Ainsi, révélait-il les correspondances entre le minéral, l’animal, le végétal. Il réalisait des accouplements impossibles où la bactérie se mettait à avoir un nez et l’univers tout entier des possibilités nouvelles. Nous étions enfin les fils des étoiles, les frères du blé, du granit, de la vapeur d’eau. Le Big-Bang n’était pas fini.
Pierre Descargues – 1992
~
Un bien joli tableau….
J’habite ton image Ossiane et vole au milieu des oiseaux le coeur léger et contemplatif et m’imprègne de cette beauté
___
Merveille et splendeur
Dans l’aura de « la nuit bleue »
Espace de silence
Le regard abandonné
Dans la profondeur bleutée
Noyé dans l’extase
Un rêve bleu
Enveloppé de mystère
le monde des oiseaux
___
Loin et infini
sur les matins du monde
un champ,un silence
Bonjour à tous,
Elle m’a frôlé,
A peine, du bout des doigts,
Et le matin s’est levé…
Bises chère Ossiane !
Enormes bisous ma Brésilienne adorée, ma douce Neyde,
OLIVIER
Le jour se lève
Un froissement d’ailes
La nuit s’absente
Dans l’aube blanche
La faune se réveille
De sa nuit d’encre
Doucement
Les ailes de l’oiseau
Le glissent
Au fil de l’eau
Et les ondes derrière
Se duvettent
Tendrement
AVALON
Ambiance étrange pour un lundi,
Dès le réveil, retomber dans la nuit
A peine esquissé,
Le jour n’est pas complètement installé
Et le sombre règne encore en maître
Au dessus du lit…
De la Loire endormie…
Dans ce décors étrange,
Entouré de mystères
Les mouettes planent parmi les brumes
Et glissent au ras des flots
Sans un cri, sans un mot,
Seules gardiennes de l’île secrète,
Dames du Lac transformées en oiseaux
Et dans un souffle léger,
Au milieu des nuées,
A travers le brouillard,
Morgane la fée,
Viviane la Dame
Frôlent un instant ma main
Frémissement incertain,
Avant de regagner
L’Ile secrète
Bientôt évanouie
Au milieu de la nuit…
Une écharpe de brume se déchire alors
Et glisse sur le miroir de mes songes,
A moitié endormie, à demi réveillée
Je planeeeeeeeeeeee……………………
Biseeeeees plananteeeees
Un ptit lien ?
En ce moment, ça a l’air de passer…
____
http://www.elbakin.net/fantasy/photos/dame_du_lac_01.jpg
____
Mon existence. Des années sans nuage.
les jours coulaient paisiblement
Comme une source inépuisable de calme et de volupté.
juste de temps à autre les cris des enfants
Perçaient de leurs gaités le murmure de la vie.
Nous étions un exemple pour les amis et les enfants.
Une image d’Épinal du couple parfait.
Mais tu es arrivé tel un chasseur en embuscade.
L’œil aux aguets, prêt à faire voler bruyamment mes certitudes comme une nuée d’oiseaux sauvages.
Tu as utilisé toutes ton art pour arriver à tes fins.
Tu a mis en place tous tes filets, avec la patience d’un braconnier.
Tu as bien choisi ta victime, avec la ferme intention de la rajouter à ton tableau de chasse
Transformant ton art en industrie. Et comme une alouette je me suis fait prendre.
Par tes coups de charmes et tes sourires.
Comme cet oiseau tu m’as pris dans tes mains. Puis tu as retiré comme des plumes,
Une à une toutes mes réticences. Je me suis laissée mettre à nu sans me débattre.
Juste quelques cris dans le silence ton antre. Puis une fois affaiblie, offerte à ton désir carnassier tu m’as laissé sur le bord du chemin. A moitié inerte.
Depuis. Je continue ma vie. Les ailes à moitié esquintées.
Je marche d’un pas malhabile porté par mes oisillons qui grandissent et s’envolent
Peu à peu vers leurs destinés. J’espère au fond de moi qu’il ne croiseront jamais sur leurs routes des chasseurs de cette espèce. Prêt à n’importe quel stratagème pour assouvir
Leurs plaisirs futiles. Laissant à l’agonie l’objet de leurs sports favoris…
J’ai fait du jour la nuit
D’un reflet
…La lenteur d’une brume
Jeté un voile humide
Un lavis de vapeurs imprécises
Parce que ta silhouette
Ecrit sa double trace sans feuillage sans bruit
Emprunte des mots bleus
Aux arbres immergés
Parfois le soir approche
Sous un lac
A la crinière hirsute
L’on s’imbibe d’attente
De froissements furtifs
L’heure dort inutile
L’eau porte comme un fleuve
Un paysage nu
Le vent souffle et tout se remue dans la maison .Non je ne suis pas dans l’ Arche mais quand même dans le fort de cette tempete.Là le vent abuse il fait comme chez lui ,IL me donne mal a la tête.Et pourtant je regrette les années qui me faisait défier le vent ,l’ orage et me laissais vide comme apres une traversée mouvementée LA je rêve ce qui me reste a faire avec ce temps.Comme je parle souvent de mes années si loin en allées,en lisant j’ ai noté »les choses se déformentfacilement quand on regarde en arriére « H.Hesse.
Bonne fin d’ apres midi .Amitiés aux habitués ,à Ossiane ,Ondine,Aspe,Annick ,Bourrache je m’ arrete sinon cela fait un peu inventaire et comme Prevert est l’ elu de mes moments perdusBisous de Noisette
Ossiane
Il y a dans tes images très picturales et monochromes toute une atmosphère qui accompagne admirablement ton Haïiku, j’apprécie beaucoup.
Merleau-Ponty dans l’Oeil et l’esprit a écrit ceci :
« Qualité, lumière, couleur, profondeur, qui sont là-bas devant nous, n’y sont que parce qu’elles éveillent un écho dans notre corps, parce qu’il leur fait accueil »
Comme tu as su faire accueil à ce merveilleux tableau de la nature et en restituer toute la beauté.
le ciel et l’eau
en leur bleu
passent les oiseaux
sous l’horizon végétal
l’ombre et le reflet
font trembler les sécurités
derrière le pare-brise
juste une note de musique
une image saisie
Sylphides
bercées au flot majeur
qui passent et qui s’en vont
à longs traits de rameurs
Bonjour à tous, que de beaux écrits déposés une nouvelle fois sur le blog ! Il n’y a vraiment rien à mettre de côté. C’est le top niveau de la poésie et je vous remercie de vous réunir ici.
>Neyde :
Coucou neyde, how are you 😉 Tout est dit dans tes mots. Merci d’être là, je t’embrasse et te souhaite une bonne convalescence.
>candide :
Comme c’est beau cette idée de peau frémissante. Merci pour ton superbe retour .
>Maria :
Trois très beaux haïkus bien sentis; j’ai failli aller sur le frôlement d’ailes aussi 😉 Merci, je t’embrasse.
>aspe :
La suite de l’idée toute en sensualité et beauté. Merci pour ta plume délicate et sensible.
>brigetoun :
Ce que tu évoques est bien ressenti. Ambiance diffuse dans laquelle tout se mêle. Merci beaucoup.
>bourrache :
Bien vu l’îlot et quel symbole par ce jour de grande tempête qui fait vibrer le smurs de mon bureau 😉
>Pierre :
Le poème de Jacottet est vraiment bien approprié, merci. Belle idée d’associer le thème du temps et de la dérive. Je t’embrasse.
>marc :
Ton premier poème est fait pour les photographes ; comme c’est beau et bien vu !
Ton deuxième poème est beaucoup plus vécu et douloureux. Grande richesse de tes images et de ton vocabulaire pour exprimer la douleur. Bises et merci.
>Salomé :
Intéressant extrait sur Arp dont j’aime les œuvres. Je les regarderai d’un autre œil. Merci à toi.
>Annick :
😉
>Monique :
Extase totale pour toi Monique 😉 On dirait que tu étais là-bas avec moi 😉 Merci.
>feu roméo :
Superbe comme toujours 😉 J’aime tes matins du monde et ce silence. C’est bien ressenti.
>Olivier :
Bonsoir Olivier, joli ressenti, la lumière est là 🙂 Bises vers toi, cher Olivier et un grand merci d’être passé.
>Christineeee :
Quel beau rêve bleuté tu nous offres ; je crois m’y retrouver ! Je plane avec tooooooooooi 😉
>Bernard :
Comme ces ambiances diffuses et fluide se prêtent bien à ton style d’écriture ! C’est tout simplement superbe ! Bravo à toi.
>Noisette :
Ca remue aussi beaucoup chez moi, ne t’inquiète pas. Tout rentrera dans l’ordre demain. Bise de réconfort vers toi.
>Monique :
Je n’ai pas fait grand-chose, Monique, c’est la nature qui m’a tendu les bras au bon moment 😉 J’aime bien la phrase de Merleau-Ponty qui évoquent ces échos de beauté qui vibrent en nous au moment de déclencher. C’est effectivement dans cet état d’esprit que je prends mes photos. Bises.
>regard :
Superbe regard esquissé au fil de l’eau. légèreté de tes images et de tes mots. Comme c’est beau ! Merci beaucoup.
>Tay :
Encore une très belle image exprimée avec beaucoup de justesse et de sensibilité. Merci à toi.
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Ça plane pour moi
Ça plane pour moi
Ça plane pour moi moi moi moi moi
Ça plane pour moi
Hou ! Hou ! Hou ! Hou !
Ça plane pour moi
Ça plane pour toi
Ça plane pour toi
Ça plane pour toi toi toi toi toi
Ça plane pour toi
Hou ! Hou ! Hou ! Hou !
Ça plane pour toi
Ça plane pour nous
Ça plane pour nous
Ça plane pour nous nous nous nous nous
Ça plane pour nous
Hou ! Hou ! Hou ! Hou !
Ça plane pour nous
Extrait des paroles de Plastic Bertrand
Revues et corrigées par
Christineeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee !
dans la nuit bleue, de peur de se perdre à tout jamais, l’oiseau s’est envolé vers d’autres cieux……
Mon regard se pose
Doucement
Longtemps
Entre un juste souffle
Dans le tableau
Pour ne pas ralentir le vol
De l’aimé
Qui rejoint sa promise
Le site est fait pour eux
Délice en glisse
Duvet en vol
Souffle si tendre
Brume de ouate
Tout est paisible
Si bel de beau
Verticalité Horizontalité
Intersection Repaire
Droites bien ordonnées
Courbes aléatoires
A peine dessinées
Champs de vie
Souffle de l’esprit
Mouvements et vies
Trajectoires
Tant d’inconnu(e)s dans l’équation
A cela ajouter le hasard
Celui qui fait que tôt ou tard
Deux êtres arrivent à se croiser
Pour qu’un autre puisse exister.
Un bleu Ossiane autrement nommé bleu de vif espoir
Je te frôle
Si douce
Mon amour
Et tu frissonnes
Mon envol
Qui se duvette
De ton souffle
Si délicat
Mon amour
Le peintre a reposé son pinceau
Dans le bleu de sa palette
D’une gamme si jolie
Les poils se secouent
Et déposent un joli voile
Qui endort le tableau
Pour l’éternité
Le plus doux vernis
Sans craquelure du temps
Si bel moment d’éternité
Que ces vols suspendus
Au dessus de ces eaux bleues
Dans la lumière bleutée de l’aube nous irons
Toi devant
Moi devant
Q’importe
Toujours côte à côte
Côte à côte
Avides l’un de l’autre
Côte à côte mais aussi loin l’un de l’autre
Loin l’un de l’autre car aussi avides l’un et l’autre
De cette absolue liberté
Laisserà jamais l’air frais glisser sur nos plumes
Et frôler l’eau sans ne plus devoir s’y poser
Merci Ossiane, de corriger, l’aimé, sans e…
C’est fort tendre @nn@, belle nuit à chacun.
« To be by your side »
chanté par Nick Cave dans « le peuple migrateur »
Across the oceans, across the seas. Over forests of blackened trees. Through valleys so still we dare not breathe. To be by your side.
Over the shifting desert plains, across mountains all in flames. Through howling winds and driving rains. To be by your side.
Every mile and every year for every one a little tear. I cannot explain this. Dear I will not even try.
Into the night as the stars collide. Across the borders that divide forests of stone standing petrified. To be by your side.
Every mile and every year for every one a little tear. I cannot explain this. Dear I will not even try.
For I know one thing. Love comes on a wing. For tonight I will be by your side. But tomorrow I will fly.
From the deepest ocean, to the highest peak. Through the frontiers of your sleep. Into the valley where we dare not speak. To be by your side.
Across the endless wilderness where all the beasts bow down their heads. Darling I will never rest till I am by your side.
Every mile and every year. Time and distance disappear. I cannot explain this. Dear no, I will not even try.
For I know one thing. Love comes on a wing and tonight I will be by your side. But tomorrow I will fly away. Love rises with the day and tonight I may be by your side. But tomorrow I will fly. Tomorrow I will fly. Tomorrow I will fly.
Suspendu au voile bleu de l’aube
Un jour encore
Un jour inattendu
Un jour regard d’enfant
Où les griffes rouges du monde n’existent pas.
Le cadre immobile contient tous ces matins
D’oiseaux
Toutes ces heures bleues.
Magie de l’entre
Le quotidien n’a pas levé ses armes
Et les fées oubliées
Esquissent le tableau des Hommes.
Bonne journée à tous 🙂
Enveloppé d’un drap Bleu fantomatique
La nuit et le jour s’enlace
La vie doucement s’éveille
Ces mots, en éveil:
Après la tempête
comme est étrange
le silence du matin.
Le regard se laisse bercer
Juste il s’attendrit
En soif de beau
En faim de bel
Il se repose le regard
Et se laisse aller
A se vivre
Bonjour à tous
>Pour NEYDE, qui a fait une brève apparition…remarquée…
Silhouette fugitive
Empreinte de mes ailes
Comme une caresse
Au fil de l’eau
Petite hirondelle
Je t’ai effleurée
Et tu ne m’as pas vue
Je m’étais fondue
Dans les sphères
D’une nuit bleutée
Nuit câline
Nuit de chine
Douce et tendre
Accuillante
Dans mon nid douillet
Alors, tes ailes, dans un envol
Presque irréel,
Petite hirondelle,
Dans un souffle léger
Telle plume leste d’un poète
Se sont déployées
Dans la voie lactée
Pour une destinée
Que je te souhaite
Pleine de liesse
Et de joie retrouvée
Dans une aube claire
Et de somptuosité
Meilleurs voeux de rétablissement, à toi, Neyde et tendres penseés et bises, ainsi qu’à toi, Ossiane
et belle journée à tous
Je frôle de ma main le papier blanc dans le petit matin quand la nuit et le jour s’enlacent comme des amoureux qui au début de leurs idylles n’arrive pas à se séparer,
Les lettres à l’encre de chine, de cette encre bleue comme tes yeux
Se découvre une à une à l’insu de ma pensée.
ma main semble guidée par une force exogène
Ma plume vol légère, rebelle, au-dessus du papier en d’incessant s allers-retours
Les mots s’assemblent se côtoient. S’efface, se mélangent. Je ne me connais pas ces tournures de phrase, ni ce vocabulaire. Mon bras ne peut résister à cette puissance. Mon cœur s’accélère, affolé par cette oeuvre d’un démon extérieur.
C’est maintenant tout mon corps qui fait des soubresauts puis se met à vibrer de plus en plus fort comme des convulsions. Il se met à vibrer comme un marteau piqueur. Et se bruit d’abord un murmure ; un chuchottement Puis doucement il a augmenté. Pour devenir intolérable. Ce vacarme incroyable réveille. La terre tremble. Je sors en hurlant dans la rue habillée de mon pyjama. Les cheveux hirsutes courant au travers des poutres effondrées, des meubles mouches des objets volants. Je regarde stupéfait mon immeuble bringuebalant.
Paaisible et beau…, j’aime !
Le désir et la patience… L’un et son reflet… Unique et double, pacifiés par le bleu.
Sous le regard paisible du saule au corps dénudé, la Loire semble un grand lac de quiétude offert à la poésie
___
Toute enveloppée du voile d’azur
Dans le silence des eaux bleues
Au frôlement des ailes d’oiseaux
L’ombre de la nuit lentement s’évanouit
L’émotion matinale d’une nature informe
Se prélasse dans la naissance du jour
La Loire s’éveille et s’étire
Cherche sa ligne d’horizon
Le temps oublie les heures
La Loire se garde d’effrayer les âmes
Le silence s’abandonne
Dans la douceur du matin bleu
~
Le silence entre la lèvre
D’un ciel flou artistique
Ombre de paupière bleue
~
Parfums d’invisible
Se frôlent en silence
Glissement de l’imaginaire
~
Belles photos Ossiane!
A bientôt
Un frôlement
Un parfum
Un frisson..
Un souffle
Léger
Un souffle
Palpite
Un souffle
Respire
Un souffle
Aimé
Comme un souffle de vie
Une aurore boréale
La nuit qui s’évanouit
Dans un glissement fatal
Un baiser sur ta nuque
Sur tes lèvres et tes reins
L’obscurité caduque
Et l’amour dans mes mains
Comme c’est beau, rachel..C’est magnifique…
Sous le voile bleu
Sa main se glisse
Et lui dessine
Des ailes bleus
La chair palpite
L’âme chavire
En bleu de bleu
heu???
mes ailes sont parties si vite, elles ont oublié, le e….
Son aimé lui ouvre la voie
Et ses petites ailes apprécient
Ce doux courant si bleu tracé
Ses petites ailes se frissonnent
Le petit coeur bat la chamade
Il est si bel son amoureux
tu es adorable annick, tu as toujours un mot gentil pour chacun. Tes textes sont d’une grande sensibilité et ils sont souvent très émouvants.
bonne soirée à tous.
Bonne soirée,
tes mots étaient très émouvants aussi, merci d’apprécier les miens juste de moi qui me sortent par les bouts de doigts….
BELLE NUIT à chacun.
j en profite pour saluer et embrasser Neyde et Ossiane,
j espère de tt coeur que l opération est réussie,
et que la forme est pour toi, Ossiane.
pour moi, la fatigue s’est allongée si grande, elle se récupère encore, si lasse, éprouvée et épuisée, en un temps, un tel chemin en terre….
ALORS, je m envole encore, je suis née pour voler..SOURIRE!
Elle sort la tête de sa tente
Et deux oiseaux se volent
Ses doigts de pieds apprécient
Et son sourire ravi
Elle aime tant la beauté
Et le tendre délicat
Ses yeux s’écarquillent tous doux
Et elle repart se nicher sa tente
tu es là
absente
et j’ai froid
je ne sens plus ces frôlements
qui se glissaient entre nous…
Mais non mais non, je ne suis pas absente, aspe, sourire,
je suis là, si Là de Là, en intérieur profond si profond d’au delà,
ce coin m’amène tant penser à méditer encore….et surtout en amour…
Sens tu mon souffle
Dans ta nuque
Le soir je me blottis
Tout contre toi
Mon chéri
Je t’aime
Et je te vois de tant
Tellement de temps
Ne suffit pas à t’effacer
Tu es en moi
Et mes aile ste rejoignent
T’enlacent et puis
Mon petit bec t’embrasse
« tu es adorable Annick, tu as toujours un mot gentil pour chacun. Tes textes sont d’une grande sensibilité et ils sont souvent très émouvants.
bonne soirée à tous. »
Merci, pour tes « frôlements de mots »… , et je ne vais rien ajouter de nouveau à ce que t’as transmis Rachel, simplement dire : « et j’ai froid »…
j’ai froid aussi,
alors je frôle encore en mots,
je me fixe mes ailes, prends ma toto,
et on se réchauffe en mots de buée de tout chaud…
BONNE NUIT, aspe…
et j’ai froid, et j’ai encore du mal à récupérer, me lève fatiguée, et me couche fatiguée…et j’ai froid..
Vivementleprintemps!
De vol en vol
De bleu en bleu
L’oiseau-poète plonge
De monde en monde
De cœur en cœur
Vers le miel de l’infini
—
Quand il ne reste rien qu’aimer
Quand tout le reste est dépassé
Nous nous vêtissons de partage
Tendresse donnée par nos messages
Qu’ils sont doux ces mots partagés
Chacun s’envole pour un vol en beauté
Chacun s’observe et se sait observé
Dans la même lumière aux essences bleutées
—
!
!
!
Mes doigts ne trouvent plus les mots
Voila que le temps s’arrête
Crois-tu vraiment Oiseau-poète
Qu’il est temps que j’aille au Dodo ?
—
Ah oui, avant, je voudrais dire : Eh ! madame, madame, qui dit des choses douces, si douces pour nous tous,je t’envois pour te réchauffer une paquerette virtuelle, petit soleil en mignature, annonciatrice des meilleurs temps.
Sans voix
grande fileuse des temps de rages…
…grande fileuse des temps de rages
– – -grande fileuse des temps de rages_-_-
grondements des mains tendues
évaporations des lueurs des brumes sur les rocs tendres et effrayants
Ansabère
au bout de ma corde
« mousqueton » au harnais de mon vide idéal
j’arrache mes ongles
sous mes muscles tétanisés
dans l’hiver
des glaces
transhumances
frôlements
ailes d’eau déployées
aux nuées des naufrages
…paresse des sables…
plis de ta peau
sous l’azur
du partage
je repense inlassablement
à cette route chaotique
que nous avions pris ensemble
vers Essaouira
je te veux
mon frôlement
ma main
dans la lueur de ma sueur
quand
sous ma fenêtre
le cerisier
côtoie
l’attente
parfaite
d’une caresse d’âme
« http://www.ansabere.fr/ »
Aspe…
D’une voie à l’autre
D’un sommet à l’autre
Sur Ansabère
Ou sur l’Ossau,
De ces hauts belvédères
Nos voix se frôlent
En écho
Eh Oh….. !
Eh Oh….. !
Biseeeees matinaleeeees
Eh Oh….. !
Eh Oh….. !
Et on appelle
Ossiane
Surchargée de travail
Ou perdue dans les brumes
Magiques d’Avalon…
Eh Oh… !
Eh Oh… !
Ne t’en fait pas
On est toujours là
Pour garder la boutique
Et t’envoyer
Des mots magiques
Eh Oh… !
Eh Oh… !
Je cite Annick :
« Sens tu mon souffle
Dans ta nuque
Le soir je me blottis
Tout contre toi
Mon chéri
Je t’aime »
« j’ai froid aussi,
alors je frôle encore en mots,
je me fixe mes ailes, prends ma toto,
et on se réchauffe en mots de buée de tout chaud… »
Pour se réchauffer
Et à tous les amoureux
Des mots…
Ne vous laissez pas
Frôler,
Mais enlacez vous
Des mots….
Pour l’amour
Des mots….
Christineeeeeeeeeeeeeee
Un ptit lien…
____
http://cpawam.blogemploi.com/davidvelten/images/2007/10/10/posteaustralie.jpg
____
Hé, monsieur, monsieur, j’accepte délicieuse cette jolie pâquerette, ici chez le voisin, des fleurs toutes jaunes, et me semble que sur mon gazon, deux trois semblent souhaiter pointer le nez aussi..je dépose tendre la pâquerette dedans de l’eau au centre du séjour….
Héhé, Christineeeee, et je regardele lien, oui tout de vrai vécu, tel est l’amour au fil de son jour, qui survole les rives, amarre son tendre port, navigue en mers houleuses, vise le tendre le bel le bon…
Christine
Très joli » Enlacez vous par les mots » si bien illustré par cette image de ton lien. Je l’ai en cadre dans mon bureau, je ne sais pas de qui est cette image, elle m’a été offerte . Je lui ai associé cette phrase :
Puisque de toi je n’ai plus les caresses, il me restera les mots et l’amour pour retrouver la tendresse.
à tous ceux qui ont froid :
http://fr.youtube.com/watch?v=cnhfG84FpXA
… alors … peut-être … je viendrai … chauffer mon coeur … à ton bois …
Douceur bleutée
silence ouaté
de quoi se réconforter !
Caresse diaphane
en suspens
sur la soie de la nuit
frôlement léger
d’un rêve
qui passe
merci Bourrache, cette mélodie est délicieuse, l’amitié, l’amour vrais, sont les seuls qui portent les noms d’amitié, d’amour, à mes yeux, juste à se récauffer, se serrer, s’embrasser, sans aucun autre but que celui de partager son meilleur, son moins bon, un bout de sa vie en soi….
et je souhaite à chacun, un ami, un juste un ou juste quelques doigts, et la vie est légère, se sentant exister, compris, réconforter, et à pouvoir aimer…
permettez moi de vous offrir
ces quelques mots semés
des mots jetés, mêlés et guidés
par la pensée de votre sourire
mon attirance pour vos ailes
ne peut point être invisible
à vos yeux tellement irrésistible
qui d’un frôlement m’emmène au ciel.
je n’attend rien de ses louanges
seul un besoin de mes mains jaillit
vous déflorer mes pensées , petit ange
et pénétrer de mes mots votre esprit.
j’ai le corps bander par l’ inquiétude
de ne jamais pouvoir vous découvrir
et jouir sans retenue de votre sourire.
Qui m’apportera détendu la quiétude.
pardonnez cette faiblesse
qui j’espère ne vous blesse
vous me trouverez bien impudent
mais j’espère point impertinent.
Merci si bel oiseau
D’avoir choisi ma main
Comme nichoir de vie
Car tu m’offres la vie
Quand tu te poses tes ailes
Qu’à mon tour je m’accroche
Pour m’envoler en ciel
Merci mon tendre oiseau
La vie toute simple belle
Tu me la chantes si douce
Et je te remercie
D’exister petit oiseau
Si doux si bel si grand
En ailes d’amour câlines
avis de recherche: OOOOOOOOssiannnnnnnnnnnnnneeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee
bonjour vers Neyde et vous tous
phil aba j’aime bien cet oiseau poete
christine super cette affiche
Il y a des liens qu’il ne faut pas briser, ni défaire. Des mots que l’on attache, des mots qui nous attachent. Il y a le violon qu’écoutent les nuages, des héros de papier dont les bras nous enlacent, des rages chaotiques imprimées sous les doigts, des pics et des montagnes qui portent bien leurs noms, et pour compter fleurette, de petites tendresses, du bois que j’ai gardé depuis l’heure lointaine où j’attendais d’aimer.
Il y a l’ombre bleue que nous offrent ses ailes.
Comme moi, aurez-vous senti ce frôlement d’ailes?
J’ai peut-être rêvé, le regard embrumé…
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Et tu, et toi.
Et nous tous, émoi.
Ballons ronds
Légers, légers.
Farandole de transparences
N’apprivoisant que le nom,
Rêvant aux visages
De ces passants amis aimants.
Mots appeaux
Enlacés pour mieux voler,
Oublier tempête et pluie
Embrumant les regards.
Paroles de feu,
Pas langues de bois.
L’azur, le bleu,
C’est tout là-bas.
Encore plus haut.
Encore plus loin.
Sans briser, sans défaire
Où poserons-nous nos liens ?
Frôlements d’ailes.
Les tendresses raniment.
http://home.scarlet.be/~ecolemar/Agenda/Activites/photos_lacher_de_ballons/ballons_03.jpg
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Elles, ces ailes, belles et bleues
Belles et … but
Toujours, ce Diable et ce Bon Dieu !!!
Max : ravie de te retrouver !
Veux-tu que je te confesse, Beau Zébu ?
Clin d’oeil, hein !
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Et tous les ballons
flôleront bientôt
La cime des cieux
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Et je découvre ton texte, Marc, écrit pendant que j’écrivais mes mots,
il est fort tendre et délicat..
Et se sourire
A lui
Elle en rêve
Temps
Si longtemps
Que le temps
Alors elle apprécie
Ce doux présent
Flôler : entre flotter et frôler, c’est tout doux …
Bonjour tout le monde !
Toujours beaucoup de retard dans ma réactivité, peu de disponibilité cette semaine. Impossibible de dégager assez de temps pour me manifester à la fois en commentaires et avec une nouvelle note. Que préférez-vous que je fasse dans ce cas ? Que je sois plus silencieuse ou que je continue de publier pour que vous puissiez continuer à écrire? Je me plie à vos volontés 😉
>Christine :
Coucou, je suis là 😉 Désolée, pas beaucoup de temps et moins souvent devant mon ordinateur en ce moment. Ca plane toujours très fort pour toi 😉 N’as-tu jamais des baisses de régime 😉 Rigolote cette photo avec la page d’un livre humain !
>sabine :
Merci sabine, c’est toujours très joli ce que tu écris !
>Phil Alba :
Tu sais bien disséquer la composition d’un espace avec beaucoup de poésie; je raisonne un peu comme cela aussi avec mes photos 😉 Merci pour ta gentillesse et ta belle plume.
>Annick :
Tes poèmes sont toujours très touchants et pleins de beauté. Il doit faire bon vivre avec toi 😉 Je te retourne plein de bises ; merci de te préoccuper ainsi de moi 😉 Sinon, je vais bien sauf je suis un peu débordée 😉
>gmc :
Belle idée de creuser la position de ces deux oiseaux. C’est bien ressenti, merci aussi pour cette chanson.
>johal :
Grande puissance d’évocation dans tes associations de mots. C’est superbe et très audacieux! Bises vers toi.
>marc :
Coucou marc, je ne me suis pas perdue ni envolée… je ne veux pas vous laisser tomber 😉 Brume, écriture , papier, toute une palette de thèmes différents. Un grand merci pour ces envolées poétiques aériennes et sensibles beaucoup liées à ton vécu. Bises.
>Pierre :
Bien vu ton poème ! Mais chez moi, ça souffle encore très fort 😉 Merci à toi.
>Claudie :
Coucou Claudie, contente de te revoir ici ; j’espère que tu vas bien;-) Incroyable douceur de ton poème tout en frôlement et légèreté. Ces ambiances brumeuses se prêtent très bien à ton style d’écriture. Merci beaucoup.
>Miche b :
Merci Michel de venir clamer ton enthousiasme alors que je ne me déplace pas beaucoup sur la toile. Je suis touchée par tes mots.
>Fugitive :
Même chose que pour Michel, je me fais fugitive mais je ne t’oublie pas. Toujour le sens de la formule juste pour dégager l’essentiel d’une photo. Bises vers toi.
>Monique :
Si on veut se ressourcer avant d’aller travailler, il suffit de lire tes poèmes aquatiques incroyablement zen 😉 Merci à toi.
>Salomé :
Merci salomé 😉 Belle subtilité de tes deux poèmes. Comment faites-vous pour trouver de si belles images 😉
>rachel :
Trois mots et tout est dit 😉 Bravo !
Magnifique sensualité de ton deuxième poème ! Quel talent !
>aspe :
Quelle plume ! Merci aspe pour tes magnifiques poèmes imprégnés de nature, de sensibilité, de sensualité, d’maour de la vie et de la beauté du monde. Un beau lien que tu nous as donné !
>Fred :
Bonjour et bienvenue sur le blog ! Merci à toi 😉
>Bourrache :
Superbe poème, Bourrache ! On as plongé avec beauté dans le bleu azur et glacé. Je t’embrasse !
>Thierry :
Un cocon douillet, c’est vrai 😉 Merci à toi.
>Corinne :
Bonjour Corinne, contente de te revoir ici 😉 Toujours une grande délicatesse dns tes rêveries. Merci pour ce beau partage de mots.
>Bernard :
Regard embrumé, peut-être mais moi aussi 😉 Tu sais nous faire rêver avec la grande fluidité de ton écriture imagée et sensible. Merci beaucoup.
>max :
Bonjour max, on dirait que tu vas t’envoler 😉 Merci à toi.
Tu te plies à nos volontés!
Ecoute, c’est bien simple: au lieu de publier une note tous les deux ou trois jours, tu en sors une chaque soir; nous n’aurons pas le temps d’y apporter trop de commentaires, ce sera plus léger pour toi. Et puis au lieu de commenter tous nos commentaires, tu te limites aux miens; ce sera encore plus léger.
Maintenant, que ta volonté soit faite, sur la Terre comme au Ciel!
Ma chère Ossiane :
Réponse à ta question :
Après ce qu’a écrit Bernard, voici ce qui me vient à l’idée :
Préparer une photo tous les jours, je pense que ça demande aussi pas mal de temps !
En fait, tu dois faire comme tu le sens,
pour ma part, j’aime bien ce rythme, ni trop long, ni trop court, qui nous laisse le temps d’y réfléchir.
C’est aussi normal que tu fasses passer ton travail en priorité….
Le fait que tu répondes à tout le monde est le secret de la réussite du blog. C’est ça la magie… tout le monde attend tes réactions, si tu as aimé, comment tu ressens les mot qu’on t’envoie. La preuve, même Bernard veut se les réserver ! Et moi aussi, je l’avoue, j’attends avec impatience le retour…. Ce qui fait qu’on se prend au jeu !
C’est ça l’interactivité !
et lorsque tu n’as pas le temps de répondre à tout le monde, ce n’est pas si grave, fait un groupir ! Et si, comme aujourd’hui, tu laisses passer l’heure H du post, et bien nous attendons la suivante, tout simplement, tout en se commentant mutuellement. Donne juste un tout petit signe de vie…. Qu’on ne soit pas trop inquiets (elle n’a pas posté, elle est malade, elle a eu un accident, elle a mal au dents…)
Bon j’exagère peut être un peu !!
Aller,
Passez une bonne soirée !
Biseeeeees de Christineeeeeeee
PS : suis un peu flagada ce soir !….. je vais mettre en route mon système antivirus et scanner tous mes fichiers internes avec une bonne dose d’aspirine !
tranquilise toi, Ossiane, suis ton rythme, je prends ce que tu donnes, tout simplement et m’émerveille de ce don de toi,
je ne compte pas les jours de publication j ai été surprise d en trouver une nouvelle dans la matinée,
parfois j ai du mal à suivre, car tant de textes si beaux, et j ai l impression d en louper,
parfois je lirai des heures et des heures, quand mon cerveau plus attentif, plus en position de lecture…
SURTOUT FAIS COMME BON TE SEMBLE POUR TOI….
j’aime bien l’humour de Bernard mais Christineeeeee et Annick ont raison. C’est toi qui mène le jeu et c’est très bien ainsi. Et puis nous sommes très réactifs les uns avec les autres donc le site reste très vivant. Ne te tracasse pas et ne cours pas après le temps. Christineeeeeee est dans le vrai : tes commentaires sont essentiels mais nous sommes prêts à attendre et préfèrons, je pense, avoir des mots qui correspondent réellement à ton ressenti même si je suis sûre qu’il t’arrive d’être très diplomate (sourire).
A bientôt de te lire Ossiane quand bon te semblera
>Bernard, Annick, Christine, rachel:
Merci pour vos réactions qui m’éclairent un peu;-) Il m’est impossible de préparer une note tous les jours car c’est trop épuisant et ça tue mon inspiration. J’ai tenu ce rythme pendant 10 mois la première année du blog pour finalement aboutir à une publication plus raisonnable. Vous avez raison, je vais faire comme je le sens. Je tiens à ce dialogue entre nous mais ne vous inquiétez pas je deviens invisble de temps en temps. C’est que je ne peux faire autrement. J’aimerais que les journées fassent plus de 24h;-)
Merci beacoup pour la belle photographe. C’est tres interesant! J’aime les coulors et les emotions dans la photo. J’aime le mer. C’est me rappelle de ma maison j’ai dû la feuille. Il me rappelle de mon enfance. Quand je regarde votre photo, je suis l’enfant encore. Mes ennuis flotteur loin et il est remplacé avec les émotions enfantines. Je peux entendre le mer et je peux sentir le sable entre mes orteils. je me sens libre, pour un instant. Mais que tout j’ai vraiment besoin de. Cela vraiment tout je cherche. Merci beacoup pour la photo. C’est tres interessant!