104 réflexions sur « enVol »

  1. Beau et émouvant ta note en noir et blanc et gris océan… j’aime beaucoup

    Un ciel de vagues
    Dans le silence étale
    L’envol de l’âme

    Bonne nuit… beaux rêves… douce vie

  2. C’est un calligramme d’une incroyable tendresse, d’une infinie douceur malgré la grisaille humide des pays de Loire;
    __
    Mots qui s’illuminent
    S’envolent vers un autre ailleurs
    Porteurs de messages
    __

  3. mon ami l’arbre,
    toi et ta terre, la calant,
    l’ancrant en encre de chine,
    vous avez dessiné
    l’immensité de la mer,
    mais elle restait indéterminée,
    presqu’invisible –
    il manquait ma présence
    pour l’animer et la faire voir.
    De votre solidité,
    de ma fugacité,
    nous avons créé la beauté

  4. Une Vague à l’âme et le V de victoire…la promesse d’une exquise caresse…la confusion des sentiments…la mer et le ciel revêtus d’une douce soierie grise…un « nulle part » que l’on apprivoise …blotti au fond de notre coeur…et qui ronronne de bonheur…et l’envol……
    Des corps et des âmes en convalescence …des pensées pour ces êtres chers…des inconnu(e)s que l’on aime à distance…des mots que très fort..contre nous ..on serre….La lumière du Brésil dans un coin de Belgique…la Bretagne qui nous attire pour un Nord que l’on quitte…La tendresse dans la Manche…et des larmes qui nous agitent…Et Neyde…et Bourrache…et Annick ..et Ossiane…et vous ….Et ce soleil qui sous les nuages brille à en perdre ses rayons…et cette chaleur qui nous caresse et nous fait penser aux vacances…Et ces poèmes que l’on découvre en chialant…et ces vies que l’on traverse en rêvant…et….cette vague à l’âme dans un « blanc de promesse »s………..

  5. Encore une merveille Ossiane , je suis en retard sur tes notes désolés, mais je ne sais plus ou donner de la tête . Je ne t’oublie pas !!!

    Bises

    Bruno

  6. Coucou Ossiane,
    ton haïku est touchant. Je ne viens plus souvent, j’en suis désolé…

    Envol
    Aigle je reviendrai,
    De mon sommet, planer,
    Ivre de bonheur

    Je t’embrasse,
    OLIVIER

    Bonjour à tes visiteurs.

  7. Pour ma femme

    Je lance de ma voix ton prénom Sandrine
    Et de ces ailes il s’envole libre, sublime
    J’aimerais que tu prononce le mien
    Pour qu’il s’envole auprès du tien

    Et qu’il devienne élytre au-dessus de celle
    A qui je dépose cette douce caresse
    et qu’enfin doucement ils se mêlent
    Au milieu des nuages de tendresse

    Nous parcourions alors à tire d’aile
    Ce monde fantastique et imaginaire
    Brûlant dans les plus hautes sphères
    Ardent comme les flammes du soleil

    les étoiles déposeraient leurs poussières
    sur nos cœurs légers et diaphanes
    parcourant la voie lactée de nos âmes
    Scintillant éclairant tout l’univers

  8. “Fly, I wanna fly
    It’s been a long long time
    I’m waiting for you at night
    Fly, I wanna fly
    It’s been a long long time
    I’m burning for you at night
    High, I wanna get high
    You know babe
    We’re gonna make it higher tonight

    Though I know you’ll go your own way
    Tomorrow is another day
    Forget it babe gimme a good time

    Fly, I wanna fly
    It’s been a long long time
    I’ve waited for this magical night
    Now you want it now
    And I wanna see you cry
    Wanna feel you flying tonight

    Though I know you’ll go your own way
    Tomorrow is another day
    Forget it babe gimme a good time

    Fight, don’t wanna fight
    I only want you to be my lover,
    My love tonight
    Fly, I know we’ll fly
    It’s been a long long time
    I’ve waited for you at night
    Though I know you’ll go your own way
    Tomorrow is another day
    Forget it babe gimme a good time”
    Fly by Machiavel

  9. Ma pensée du jour pour Neyde que j’embrasse.

    >Maria :
    Une autre facette de la Loire, Maria. Pas que du bleu 😉 Ton haïku est vraiment beau ; tu as plongé dans le gris. Bises.

    >Monique
    Beaucoup de gris ce jour-là mais je dois dire que j’aime en général l’association du gris et du blanc 😉 J’ai bien aimé le fou des formes et de l’ambiance. Merci pour ton bel haïku voyageur.

    >brigetoun :
    Tes écrits sont de plus en plus sensibles et précis. Il sont de plus en plus « brigetoun » 😉 Belle richesse de ton vocabulaire pour décrire ton ressenti spontané. Bises.

    >pierre b:
    Ce grand V te plait 😉 Comme je te comprends, il t’ouvre les bras vers ton ailleurs qui fait vibrer nos cœurs. Encore une fois, un superbe vagabondage entre âme et ciel, terre et lumière, humain et chaleur. Bravo pour ta plume généreuse et délicate. Je t’embrasse.

    >pierre :
    Les deux Pierre arrivent souvent l’un derrière l’autre 😉 Belle idée cet élan qui nous emporte comme une page blanche. Tout est à faire, à construire et à écrire. Bises vers toi.

    >Bourrache :
    Bourrache, reste avec nous, tu regardes trop la télé;-) Vers où, je ne sais pas… vers un monde inconnu et peut-être meilleur. Bises.

    >Bruno :
    Je ne suis pas du tout présente sur les blogs non plus en ce moment.
    Ne t’excuse pas Bruno, pense à toi. Il ne faut pas que ce soit un marathon car il n’y a rien à gagner 😉 Ca ne change rien à notre amitié 😉 Bises vers Bruxelles.

    >Olivier :
    Pas de souci pour toi non plus Olivier. Vis dans la Real Life ce qu’il y a de meilleur et fais ce qui te plait 😉 Merci pour ton envol poétique, je t’embrasse.

    >marc :
    Superbe déclaration d’amour ! J’espère que tu as fait lire le poème à ta femme 😉 merci beaucoup.

    >bonbonze :
    Bonne idée Ossiane Airlines, ça sonne bien 😉 Moi qui compare souvent L’Oeil Ouvert à un navire ; ça peut changer 😉

    >Nigra :
    Voici le lien vers le morceau.
    http://www.musique.over-blog.net/article-3635392.html
    Fly high, dear Nigra 😉

  10. Du haut de la falaise,
    Elle vit un goéland…
    Mais le prit pour un cygne!
    C’est sa logique floue:
    Connaissance incertaine,
    De l’ornithologie?
    Plutôt la mise au point,
    De son simple appareil
    Qu’une émotion pareille
    Lui fit rater soudain…
    L’oiseau de nulle part
    Lui parle d’évidence!
    Plumage immaculé,
    Le rêve d’innocence.
    Elle a des pensées grises,
    Un doute qui l’assaille.
    Et s’il n’aimait de moi
    Que mon rêve d’ailleurs?
    Âme sentimentale,
    L’oiseau vient, l’oiseau va.

    Le Puy du flou, février 2008

  11. Bonjour Ossiane(déclinaison gris perle aujourd’hui ?)

    Bulle de soie blanche
    Cherche nuage voyageur
    Pour destination identique

    Bises et belle fin de journée (sous le soleil ou pas )

    *Bernard: votre Ophélie est magnifique !

  12. Post-iT

    Juste
    Une image
    Cochée d’un

    V

    Blanc
    En marge
    De la page

    Pour ne pas oublier :

    Les odeurs…
    Les saveurs…
    Les sons…
    Les couleurs…
    Les sensations…
    Des émotions…
    A foison,
    Des visages et des gens
    A profusion…

    Tous ces souvenirs
    Enfouis
    Qui nous reviennent ;
    Telles des bulles,
    Ils émergent,
    Flottent,
    A la surface de notre conscience,
    Survolent
    Notre esprit
    Et d’un trait de plume
    Ecrivent
    Dans notre mémoire
    Le fil de notre

    VIE

    Biseeeeees oubliéeeeees
    Mais vite
    Retrouvéeeeeees !

  13. un cygne blanc
    vole et se pose
    sur l’étang

    un signe blanc
    un matin d’aube
    qui se lève

    un oiseau blanc
    à tire d’ailes
    dans le vent

    mousse blanche
    envol d’écume
    sur la mer

    attente blanche
    page livrée
    au viol des mots

    silence blanc
    d’hiver tombant
    neige du temps

    nuages blancs
    sur les routes du bleu
    vagabonds du rêve

    nuits blanches
    des amants
    des coeurs volages

    lumières blanches
    émois sauvages
    « frissons d’ombelles »

    fleurs blanches
    pour la mort
    et l’innocence

  14. Un oiseau blanc ?
    Un cygne ?
    Un goéland ?
    Un aigle ?

    Que nénni,
    Mesdames et Messieurs,

    Voici
    La Mouette RIEUSE
    De chez Gaston
    En quête de moucherons
    Ou autres poisson
    Pour se régaler
    Au petit déjeuner !

    J’essaierais bien
    Un p’tit lien
    Pour commencer
    La journée
    Emprisonnée !

    Biseees rieuseeees !

  15. @@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@

    OH !!!!
    Miracle d’une belle journéeeeeee !
    Le lien est passéééééééé
    Du premier couppppp !!!

    @@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@

  16. >J’aime beaucoup Amichel! « ces frissons d’ombelles »….et tout le poème…

    Ossiane

    Gris, noir et blanc
    Paysage grisaille
    Paysage d’amertume
    Paysage de brumes
    L’horizon a le spleen !
    Dans les broussailles
    Dans les ténèbres
    De la nuit
    Un signe d’éclaircie
    Surgit
    Vague à l’âme tendresse!
    Vague à l’âme caresse!
    Une colombe roucoule
    Son chant d’espoir
    Son chant d’amour
    Son envol d’outre paradis
    Est la promesse d’une aube
    Rose perle
    Aux brillances d’infini…

    Courage, Neyde, cette colombe se fera hirondelle pour te redonner le courage de survoler à nouveau les « paysages » de l’oeil Ouvert!

    Bises à toi, Ossiane, Neyde et à tous les passagers de l’Oeil ouvert

  17. Je ne te promets rien.
    Je ne jure pas de t’aimer toujours car ni toi, ni moi ni personne ne pouvons savoir ce qu’il adviendra. Je peux simplement jurer qu’à cet instant mon cœur déborde d’amour pour toi. Je veux vivre avec toi, sentir la chaleur de ton corps contre le mien. Je souhaite que mon désir pour toi soit toujours aussi fort. Je souhaite que nous puissions affronter les aléas du temps qui passe, du quotidien, pernicieux, qui a tendance à user et effriter les sentiments, sans que l’on s’en aperçoive. Je voudrais que le lien qui nous unisse se resserre au fil de la vie au lieu de se distendre.
    J’ai souvent été émue par des couples, à l’age avancé, dans les yeux desquels l’étincelle brillait encore et toujours. Il ne sont pas si nombreux à avoir pu ou su résister car la vie ne nous épargnera pas mon amour. Seront nous aussi fort qu’eux ? Plierons nous pour mieux nous relever ? Nul ne peut le dire aujourd’hui.
    Je ne te promets rien. Je ne jure pas de t’aimer toujours mais d’être toujours sincère dans mon amour.

  18. Dans le ciel gris
    Petit morceau de l’infini
    C’est pas la petite hirondelle
    Que voltige belle
    Mais,
    C’est un doux pressage,
    Un hommage
    À la paix
    Entre vous,
    Entre nous.
    Une blanche promesse
    De couper la tristesse
    Et semer la flame
    Pour “l’envol de l’âme”.
    ————————————
    Clin d’oeil à Maria-D
    Pierre-b – C’est délicieux te lire et relire.
    Doux mots. c’est la Victoire.
    Chez moi les pensées d’un million d’amis et amies.
    Claudie – je survole avec courage les “paysages” de l’Oeil Ouvert et je me déguise en colombe pour le faire.
    Ossiane, merci pour ta pensée du jour.
    Ossiane et tous les autres “malades” :
    Vous êtes bien?
    Bises du Brésil
    ———————————-
    À vous tous que m’ont aidé avec les bonnes pensées, les beaux mots, les bougies, les prières, les vers si doux, je dis :
    Mille, Mille mercis de tout mon coeur!
    La vie recommence!
    Le rêve aussi!
    ——————————-
    Mes chères amies
    Mes chers amis
    J’ai mis un petit mot sur chaque jour, texte du Blog, depuis mon opération.
    Si vous voulez lire, les mots sont là, sur “ descents” – “ambre” – “fleuve” – “renaissance” – “leonardo” – “dormir” – “bras”.
    Je vous embrasse fort.

  19. .
    2222222222222222222222222222222222222222222222222222222222222222222
    .
    NEYDE IS BACK !!!
    .
    Nouveaux Commentaires venus tout droit du Brésil sur :
    .

    https://blog.ossiane.photo/2008/02/11/descente/#comments
    https://blog.ossiane.photo/2008/02/13/ambre/#comments
    https://blog.ossiane.photo/2008/02/15/fleuve/#comments
    https://blog.ossiane.photo/2008/02/18/renaissance/#comments
    https://blog.ossiane.photo/2008/02/20/leonardo/#comments
    https://blog.ossiane.photo/2008/02/22/dormir/#comments
    .
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  20. Je vous dis bonjour à tous, me revoilà,
    je prendrai le temps de vous lire, chacun depuis mon absence…

    Et me voici
    En Pays de Loire
    Pour l’envol de mon fils
    Apprécié au plus juste
    De son autisme
    Pour sa vie à lui
    Qui permet mon envol aussi
    Mon envol pour moi
    Ma petite vie de moi
    Que je n’ai pas volée
    Mais volé de toutes mes ailes
    Pour rester en vie
    En amours
    La vie dans ses amours
    Dans sa nature aimante
    Donne envie de se vivre
    Se vivre

    BiSES Ossiane, j esprèe que tu es rétablie, je lirai demain tous vos échanges.

  21. Lorsque vous prendrez votre envol, la maison sera triste et vide. Elle ne résonnera plus, de vos jeux, de vos chamailleries continuelles, de vos disputes et de vos rires. J’aurais le cœur serré car plus rien ne sera comme avant. Bien sûr, nous retrouverons un peu de liberté qui nous a manqué si souvent mais il faudra apprendre à reconstruire un autre « nous » ou nous serons deux à nouveau.
    J’espère que, malgré mes nombreuses maladresses, j’aurai su vous aimer assez pour vous protéger de tous les dangers que vous devrez affronter. J’espère également que l’amour de votre père comme le mien vous serviront de rempart, et de refuge les jours de chagrin.
    Je ne connaîtrais pas tout de vous et c’est sans doute mieux ainsi. Les parents sont là pour aimer et pour armer le mieux possible leurs enfants dans leur vie d’adulte. Sans doute n’y arrivent t’ils pas toujours et je n’ai pas la prétention de faire mieux que les autres mais j’essaie chaque jour comme beaucoup d’entre nous sans doute…

    Lorsque tu prendras ton envol
    Cahotant comme l’avion qui décolle
    Etourdis par cette course folle
    Regarde devant, jamais au sol

    Déploie tes ailes et vole,
    Mon enfant

    Il est doux de te revoir Neyde

  22. Pour toi
    Neyde,
    Que je ne connais pas,
    Te revoilà !
    Boa noite ! (c’est bien comme ça que tu dis dans ton pays ?)

    Ici la marchande de
    Eeeeeeeeeeeeeeeee
    J’en ai récolté
    Plein mon panier
    Et t’en ai expédié :

    * Une enveloppe pleineeeee
    Par airmail courrier,

    * Une bonne douzaine
    Echappés
    Se sont envolés
    Au fil du vent d’Autan…
    Tu les trouveras dans quelques temps
    Accrochés à la grille de ton appartement !

    * Quelques uns,
    Très malins,
    N’ont pas trouvé mieux
    Que de plonger dans l’océan,
    Et c’est poussés par le courant
    Qu’ils arriveront par delà l’Atlantique,
    Jusqu’à la plage où tu les ramasseras
    A la pelle, comme il se doit !

    Avec un tel envoi
    Je ne doute pas
    Que tu auras fort à faire
    Pour bien les empiler
    Sur ton étagère !
    C’est un bon exercice !
    Remiseeeeee
    En
    Formeeeeeee
    Assuréeeeeee !!

    Panier plein de biseeeeeeeeeeeeeeees

    De Christineeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee

  23. C’est fort joli Rachel,
    et tout de frais, cela me fait penser à ceci….

    Mes amours, mes chéries, mes filles
    Si heureuse dimanche
    De vous regarder à table
    Vous, si jolies, si vous de vous
    Tellement belles en vous, surtout
    Je vous aime
    Juste un serrement très fort mais court
    Dans l’instant de me dire
    Que la vie me reprend aussi
    La joie de ce fort bel moment de vie
    Vous voir en face à face avec votre chéri
    Vos yeux, votre sourire, votre amour en lèvres
    Juste un serrement à me dire
    Comme j’aurais aimé les recevoir souvent
    Tous les quatre
    Le plus souvent à leur gré
    Et comme la vie décide
    Ce sera dans nos rencontres en nectar
    Je presse pour vous mon tout simple amour
    De vie
    Mes amours
    Et le temps est cet élégant
    Qui peut donner autant
    Dans peu
    Que dans beaucoup
    Ce dimanche vos ailes
    Ont pris leurs envols
    Que j’aime
    Car je vous aime
    Libres dans vos vies
    Mes amours

    Je te souhaite une vie pleine d’un bel envol, Neyde.

  24. Neyde : j’espère que tu aimes les omelettes … (vu le trajet que vont effectuer les eeeeee de Christineeeeee …).

  25. >> Vole, vole, vole, chère Neyde!
    Annick te prendra par la main et par-dessus l’Océan, vous unierez vos espoirs. Bises à toutes deux
    sans oublier Ossiane.

  26. V de V
    vol air
    vol terre*
    eau en suspend dans l’aile blanche des sables dissous dans l’horizon des vapeurs
    tourbillon
    plume
    varech
    de vie
    de vitesse
    de vertige
    de voyage
    vestiges des vents
    ivresses
    paraboles
    des géants
    jaillissant
    du vol blanc
    légende
    des enfants
    goéland

    (* pour Voltaire volontaire…)

  27. Quel bonheur tout simplement de te retrouver parmi nous Neyde . Tous tes commentaires ici et là nous renvoient l’image de notre brésilienne en bonne forme prête pour un nouvel envol. Sur les ailes de l’oiseau, par la voie des airs, au dessus de l’océan reçois mille baisers et tous mes souhaits de bonne santé.

  28. V mon V
    De Vie
    Tu me fais Vivre
    Depuis mon premier cri
    De vie
    Je te respire mon V
    En core et en corps
    Et mon enVol
    Dans cette nouvelle Vie
    Est si magique
    De Vie
    Que la Vie me confie
    Encore et en corps
    Je suis émue ma Vie
    Devant ton V de Vol
    D’envol de Vie
    Ma Vie je t’accueille
    Encore et en corps
    Ma Vie de Vie
    De pur bel envol

    et si déjà tu me supportes, Ossiane, merci de corriger,
    ma vie que je n ai pas voléE, avec un E; MERCI;

    coucou Pierre B, Christineeee, jeandler,
    je n’ai lu que cette page si merveilleuse de mots, un tel retard à rattraper à mon doux rythme pour aprécier…thanks a lot!

  29. ___

    Aspe : … et le Vol de nuit … du Petit Prince …

    (pas charmant, puisque Père-Noël-d’une-nuit !).

    Y’a-t-il donc, enfin, quelqu’un qui me dessinera un mouton ?

    Signé : la Rose.
    ___

  30. Le flous sont parfois beaux, les éclaircissements peuvent donner lieu à de bonnes ou de mauvaises surprises. On a parfois besoin de flou, juste pour vivre.

  31. Chère Neyde

    L’envol d’Ossiane a une fois encore été une « heureuse coïncidence » puisque te voilà parmi nous prête à affronter » presque les vents et les tempêtes »! Je plaisante bien sûr!

    Je suis ravie de t’entendre et te souhaite un « envol » en douceur en compagnie de tes amis(e) qui te suivront en pensée dans ton voyage par-delà les mers pour retrouver toute ton énergie et ta joie de vivre! Tu peux compter sur nous pour te revigorer.

    Douce amitié ….et des baisers à la volée!!

  32. Verse-moi encore à boire
    Au creux d’un ciel infini
    Donne-moi encore à voir
    Par tes yeux les couleurs de vie

    Fais libre mon âme
    Et léger mon corps
    Renforce la flamme
    Faible se fait fort

    Un signe tracé par les plumes
    D’un oiseau libre, est-ce toi ,
    Tel un phénix qui s’exhume
    Du gris qui le change en roi.

    Un essai – 3 quatrains (7-5-7)… presque !!!

  33. Yaouh, superbe phil alba, je dis à Jean Sé de se coucher, et reviens vous lire encore avant un sommeil rapide, la fatigue est bien normale…

  34. « Jonathan le goeland n’a qu’un rêve: voler. Voler toujours plus, toujours plus haut, toujours plus vite au grand dam des membres de son clan qui ne comprennent pas ses multiples expériences de plus en plus dangereuses. Jonathan découvre bientôt qu’il peut aussi voler la nuit. Tout heureux, il vient l’annoncer à ses pairs et pour toute récompense, il est banni. Mais ses aventures ne font que commencer dans le vaste monde des airs et de la connaissance. »

    http://www.dailymotion.com/relevance/search/Neil%2BDiamond%2B-%2BJonathan%2BLivingston%2BGoeland/video/x2glqo_neil-diamond-jonathan-livingston-go_music

    Belle nuit à tous

  35. enVol
    @@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@
    vague des intuitions
    appel venu du néant
    argenté de serment

  36. Bonsoir à tous
    Annick est de retour et c’est super ! Christine, Bourrache et Aspe ont la forme, Une création magnifique de Phil Alba, j’ai adoré. Jolis mots de Claudie, Amichel et Rachel
    J’ai mis du temps à retrouver ce texte de Victor Hugo perdu dans mes carnets, que m’inspiraient la photo et le calligramme d’Ossiane, dont la petite silhouette blanche au dessus de l’eau est une mouette, une aigrette , un héron ou un sterne qui sait ? mais de toute façon l’enVol d’un oiseau blanc ….

    « Je vis un ange blanc qui passait sur ma tête ;
    Son vol éblouissant apaisait la tempête,
    Et faisait taire au loin la mer pleine de bruit.
    -Qu’est-ce que tu viens faire, ange, dans cette nuit ?
    Lui dis-je. Il répondit : – Je viens prendre ton âme.-
    Et j’eus peur, car je vis que c’était une femme ;
    Et je lui dis, tremblant et lui tendant les bras :
    -Que me restera-t-il ? Car tu t’envoleras.-
    Il ne répondit pas ; le ciel que l’ombre assiège
    S’éteignait…-Si tu prends mon âme, m’écriai-je,
    Où l’emporteras-tu ? Montre-moi dans quel lieu.
    Il se taisait toujours.- O passant du ciel bleu,
    Es-tu la mort ? lui dis-je, ou bien es-tu la vie ?-
    Et la nuit augmentait sur mon âme ravie,
    Et l’ange devint noir, et dit : – Je suis l’amour.
    Mais son front sombre était plus charmant que le jour,
    Et je voyais, dans l’ombre où brillaient ses prunelles,
    Les astres à travers les plumes de ses ailes. »

    extrait des contemplations de Victor Hugo

  37. Dans envol il y a l’idée du vol et de la levée d’oiseaux
    il y a ces battements à tire d’aile qui attirent le regard.

    Dans envol il y a love aussi et un n dont je ne sais trop que faire
    c’est quand les ailes vous poussent, oh pas façon angelot
    mais que l’on se sent transporté d’aise dans les airs
    et que si léger on peut s’imaginer planer au dessus de tout.

    Le flou filou qui floute à tout va et veloute dans le velum
    ce flou est fou comme les sentiments qui nous habitent
    et nous dépassent, nous emportent et nous transportent.

    Hommage insigne à la victoire de l’aube il séme une trace
    et donne une âme encore bien trempée de rosée.

    De toute cette griserie qui s’empare de nous et provoque des remous
    il y a la convergence du blanc et du noir, leur assemblage dégradé
    et ce fond tout délavé mais pas dépravé qui n’a pas déparé encore.

    Alors ce v comme levé et dévoilé dans les ombres mouvantes annonce
    les victoires sur soi et sur les forces antagoniques. Car le flou appelle la mise au point pour peu qu’on ai choisi son sujet.

    Bonsoir ossiane et merci de cette belle envolée qui en a suscité tant d’autres.

    Heureux de te lire neyde, à profusion et de te sentir si proche de nous.

    Bonne nuit à tous les visiteurs aussi .

  38. >alix :
    Le gris perle , ma tenue de méditation 😉 J’adore ton nuage voyageur ! merci beaucoup.

    >Christineeee :
    Toujours la super formeeeeeeeeee ! Jamais de faiblesseeeeeeeeeeeeeeee ! Belle idée ce post-it et tout ce qu’il contient! Un grand merci pour ton humour aussi. 😉
    Il va falloir que tu m’expliques pourquoi tu parviens aujourd’hui à déposer un message avec un lien à l’intérieur ??? C’est une premièreeeeeeeeeeee !!!

    >amichel :
    Splendide hommage au blanc et à toutes ses représentations !!! Bravo pour la concision de tes images, de tes pensées et la force de tes mots. J’aime !

    >claudie :
    Après le grand blanc voici le grand gris avec une petite pointe d’ écume. Beaucoup de talent dans ta plume pour ce genre d’évocation. Clap clap clap !

    >rachel :
    Toi et sabine avez des poinst communs dans la façon d’exprimer les photos par petites touches de vécu. Tes évocations sont très personnelles et sensibles. Merci à toi.

    >Neyde :
    Quel plaisir d’avoir vu dégringoler dans ma boîte à lettre tes commentaires à un rythme effréné 😉 Tu as voulu absolument rattraper ton retard 😉 Tu as tout lu et senti et tu tu n’as oublié personne sur toutes ces dernières notes. J’espère que cela ne t’a pas trop fatigué. Merci beaucoup pour tes mots généreux, tes parcelles de poésie apaisée qu’on retrouve avec grand plaisir. Tu as beaucoup d’amis dans la blogosphère française 😉 Je suis sûre que tu bats des records 😉 Je t’embrasse bien fort et te souhaite désormais un sommeil serein et réparateur.

    >Annick :
    Couocu Annick, grand plaisir de te retrouver également 😉 Ca fait longtemps que tu n’es pas venue 😉 J’espère que tu as pu faire ce que tu souhaitais pendant ton absence. Ton enVol est définitif cette fois. Ce sera un bel enVol de Vie comme tu l’exprimes si délicatement dans tes poèmes.

    >Anne :
    Je me souviens que tu aimes le flou 😉 C’est aussi positif. C’est signe de sensibilité, de curiosité, d’interrogation et de recherche de soi dans l’univers très cartésien dans lequel nous vivons.

    >aspe :
    Beau poème graphique et ailé, aspe, tu t’envoles avec les mots et les pensées. Merci beaucoup.

    >Phil Alba:
    Beaucoup de compliments pour ton poème 😉 Bravo à toi. Pourquoi écris-tu (7-5-7) alors que tu as quatre vers dans chaque strophe ?

    >Maria :
    Merci pour la vidéo, on va planer cette nuit 😉

    >Monique :
    Beau choix qui m’honore! Il eût été dommage de ne pas nous le faire partager. Bonne nuit à toi.

    >Thierry :
    Une analyse foullée de l’envol et de mon calligramme;-)

  39. Merci Maria, plusieurs fois, depuis quelques jours…
    Comme ce vol m’a grisé, éperdument; j’y étais! J’ai plongé, j’ai crié.
    Pardon Bourrache! J’ai raillé, j’ai pleuré.
    J’ai compté les moutons, bien caché sous ma mouette…
    Dire que je suis flou d’aile!

    Sully Prudhomme : Le cygne

    Sans bruit, sous le miroir des lacs profonds et calmes,
    Le cygne chasse l’onde avec ses larges palmes,
    Et glisse. Le duvet de ses flancs est pareil
    A des neiges d’avril qui croulent au soleil ;
    Mais, ferme et d’un blanc mat, vibrant sous le zéphire,
    Sa grande aile l’entraîne ainsi qu’un blanc navire.
    Il dresse son beau col au-dessus des roseaux,
    Le plonge, le promène allongé sur les eaux,
    Le courbe gracieux comme un profil d’acanthe,
    Et cache son bec noir dans sa gorge éclatante.
    Tantôt le long des pins, séjour d’ombre et de paix,
    Il serpente, et, laissant les herbages épais
    Traîner derrière lui comme une chevelure,
    Il va d’une tardive et languissante allure.
    La grotte où le poète écoute ce qu’il sent,
    Et la source qui pleure un éternel absent,
    Lui plaisent ; il y rôde ; une feuille de saule
    En silence tombée effleure son épaule.
    Tantôt il pousse au large, et, loin du bois obscur,
    Superbe, gouvernant du côté de l’azur,
    Il choisit, pour fêter sa blancheur qu’il admire,
    La place éblouissante où le soleil se mire.

    Puis, quand les bords de l’eau ne se distinguent plus,
    A l’heure où toute forme est un spectre confus,
    Où l’horizon brunit rayé d’un long trait rouge,
    Alors que pas un jonc, pas un glaïeul ne bouge,
    Que les rainettes font dans l’air serein leur bruit,
    Et que la luciole au clair de lune luit,
    L’oiseau, dans le lac sombre où sous lui se reflète
    La splendeur d’une nuit lactée et violette,
    Comme un vase d’argent parmi des diamants,
    Dort, la tête sous l’aile, entre deux firmaments.

    Et para você Neyde
    http://regardneuf.canalblog.com/archives/2008/02/12/6092979.html

  40. coucou Monique, qu’est ce qu’il est beau ce poème de V. Hugo.

    Il y a ces jours aux ailes si fines aux soies préceuses cousues de fils d’or et puis ces jours, aux étoffes lourdes, aux plumes mouillés fil à la patte, les ailes si lourdes restent sur place,
    il y a ces jours qui sèchent les ailes, les recousent belles les envolent haut, plus haut encore, dans un ciel si haut de bel, le tremplin de vie garni de hard permet de s’envoler au plus haut, au plus loin, pour un bien bel voyage,
    et je te prends la main et je te la serre doucement, mon regard se détourne rosé, puis mes yeux te regardent mon amour, tu es cette beauté d’âme qui m’envole au plus haut, dans le nectar de la vie dans son immensité de belles profondeurs,
    je t’aime mon doux oiseau, mon compagnon des cieux, mon couturier des impossibles, ma belle étoile inacessible dont je touche le duvet si tendre.
    Si bel enVol que nous deux, serrés l’un contre l’autre dans un même Vol.

  41. Envoles moi au plein du large,
    Enveloppes moi de tes ailes protectrices
    Donnes moi une plume à moi la lectrice
    pour cette oeuvre érectrice.

    Enivres moi de trop de visions décalées
    Inspires moi un ciel retrouvé
    De ce flottement de moi naîtra
    un futur plus coloré.

    Aspires moi pour une élévation souhaitée
    Adoubes moi un esprit chevalier
    un engagement sans failles
    une fidélité à toute épreuve.

    Ma pensée vacille
    la pureté m’obséde
    au rêve j’accéde
    et sans codicille

    de mon sceau j’oblitére sur les ailes du temps
    la pensée fugace qui telle un velin éclatant
    s’offre au rapace que je suis

    Pour Neyde dans la joie des retrouvailles

    bonne journée à tous
    ça grisaille je tressaille
    pourvu que ça se léve
    afin que je m’éléve

  42. Il lui prend la main
    Elle se laisse faire
    Ils se regardent
    Il enlève un bouton
    Elle ferme les yeux
    Ils s’enVolent
    Dans leur enVol
    A deux
    Et la porte se ferme
    Tendrement
    Pour les laisser
    Qu’à eux
    En enVol
    Si grâcieux

    je dois déjà vous abandonner, un Rv pour le réseau de gardes, fort important..

  43. Ce matin

    Un ciel si cotonneux
    qu’un oiseau pourrait s’y perdre
    Ou mieux s’y cacher

    D’un fibre de nuage
    Il trouvera la matière
    D’un nid bien douillet

    Derrière le duvet
    Dans son immense drap bleu
    Le soleil attend

    Bonne journée à tous

  44. Bonjour Ossiane,
    Ton blog est toujours aussi propice a la reverie…
    Bises de La Haye, ou le ciel, rarement bleu, est rempli de mouettes, de goelands, d’oies et de canards en tous genres…

  45. Ossiane,
    (7-5-7)
    3 strophes, la première et la dernière tentent d’être heptasyllabiques et les quatre au milieu s’essayent comme pentasyllabiques.
    En fait j’ai voulu aborder un rythme de haïku et… tu le comprends, je me suis planté puisque au lieu de faire 5-7-5, j’ai abouti à l’inverse.
    Trouble…
    Il y a tant de beauté dans tes photos et dans tes mots.
    Il s’agit de bien ouvrir l’oeil, n’est-ce pas ?
    Mais une fois l’oeil ouvert, s’entr’ouve ensuite le coeur et vient l’émotion.
    C’est dur de résister à l’émotion. Même en apprenant à s’appuyer dessus…

    Bon, trêve de bla-bla, trêve de bla-bla… Je te dis, et dis à tous, mon plaisir et mon bonheur de longer vos rivages.

  46. Déchirure de ciel
    Dans les mots de cristal, parfois l’ombre d’une aile
    Et c’est tout l’horizon qui meurt
    L’ignorance est suprême
    Craquer, rompre, arracher les audaces
    Sur le pavé pétri d’idéaux de béton
    Quel œil ouvert affranchira la lumière
    Des silencieux et des fous ?
    Quel œil ?

    Heureuse de te retrouver Neyde, plein de bonnes choses pour ton rétablissement.

  47. Première neige à l’envol

    Quelques empruntes d’un oiseau libre
    Qui entraîne dans son beau sillage
    Quelques mots qui nous rendent ivres
    Poèmes, rêverie, doux babillages

    Dépôt de petites traces éphémères
    Touche de promeneurs solitaires
    Kaléidoscope du monde et de la vie
    Ou l’œil découvre ce sublime gris

    je me pose serein sur cet unique atoll
    Sur cet Ilot de surprise et de douceur
    Ou je dépose mes mots avec mon coeur
    Oiseau libre et léger prend son envol .

  48. « Già vola il fiore magro
    dai rami. E io attendo
    la pazienza del suo volo irrevocabile »

    Salvatore Quasimodo

    ***
    Traduction :

    Déjà s’envole la fleur
    desséchée des rameaux. Et j’attends
    la patience de son vol irrévocable

    Belle journée à tous

  49. Un voyage ou deux peut-être
    Et vainement chercher plus loin
    Aller ici ou là
    Se cogner aux nuages
    A l’abstraction des heures
    En partage.
    Gagner le soir sans amertume
    Sur les arbres la lune
    Et le fleuve des lacunes
    Hanter de folies fugitives
    Un ciel trop bas
    Privé d’effets
    Avec la même indifférence
    Sinon le même éclat
    S’assigner à résidence
    Humer là-bas la terre mouvante
    ou le monde entretient
    Son combat visionnaire
    Voyage imaginaire.

  50. Neyde tu nous gattes avec tes mots déposés sur toutes ces notes
    bienvenue à nouveau sur cet ilot de douceur

  51. Mes voeux de prompt rétablissement à Neyde (le post précédent est parti trop vite )
    Merci de votre accueil Ossiane, cet espace est un régal

  52. Nature épuré

    A L’habitude funeste du premier novembre

    A la foule mornes et tristes des cimetières.

    Nous préférons respiré l’odeur de la terre

    des étangs , près de l’Oise et ses méandres .

    Devant nous la nature dévoile ses merveilles !

    des cygnes majestueux déploient leurs ailes !

    dans ciel tournoient des faucons crécelles !

    dans l’arbre un écureuil doucement s’éveille !

    Des arbres lumineux, d’ou jaillit la lumière,

    Illuminent de leur reflet , l’eau ridée et transparente !

    Sur Des parterres de feuilles aux couleurs chatoyantes

    crisses nos pas familiaux longeant la rivière.

    Dans les airs, canard, fauvettes, alouettes des champs

    Dessinent des arabesques dans ce ciel menaçant.

    Au loin j’entend la musique d’un manège d’antan

    Clavecin fatigué jouant une musique lancinante .

    une péniche vol au rythme de la libellule.

    au loin sur les collines, des vagues ondulantes

    de laines effilochée, dansent une valse lente.

    Bientôt tout s’éteindra sous le crépuscule

    Qui vous a envahit, vous mes être chéris.

    Loin de cette nature ou tout s’achève pourri .

    Sous mes yeux luisant, un masque de tristesse.

    Disparu l’innocence de ma jeunesse.

    pensifs, nous marchons seul sous les perles

    d’ amours de nos disparues coulant de la voûte.

    Les arbres squelettes, exhibent leurs ramures

    Fines Tortueuses au froid. funèbre sépulture.

    Le temps est suspendu aux nuages sombres

    Ou un corbeau contraste de son noir macabre.

    Les feuilles tombent comme des larmes Sur notre âme meurtri

    Enveloppant notre corps endolori d’un manteau de pluie

    Le chemin se rétrécit , les arbres s’embrassent

    Et forment enlacés une couronne d’ombre.

    Les averses récentes ont creusées des tombes

    Ou les feuilles blessées , se décompose sans trace.

    Abandonnant les dernière feuilles que le vent emporte

    Nous quittons mélancolique cette nature morte.

    Accompagné des souvenirs de ce temps perdu

    Et ces lieus que nous avons si souvent parcourus .

    Novembre 2007

  53. Un petit coup d’oeil avant de m’envoler, le soleil m’attend…..et je mêlerai à ma belle campagne les images glanées au travers des poésies admirables de Marc dans sa nature enluminée malgré le froid de Novembre, tous les sens sont en éveil. Bravo Marc pour ta sensibilité à fleur de mots.

  54. Mon aimé
    A pas petits menus
    Me voici
    Toute de blanc vêtue
    Une fleur dans la main
    Un rayon de soleil
    Dans chaque oeil
    Chaque pas me marche
    Vers toi
    Je te serre fort
    Dans mon Envol de nous
    Mon aimé

  55. Monique !
    Un e qui s’envole vers les nuages, ça ne m’étonne pas, t’as laissé la porte ouverte !
    De toute façon, c’est toujours très lijo ce que tu écris !
    signé :
    La marchande de eeeee !

  56. ___

    Enfants-funambules, nous jouions
    En équilibre instable sur les diagonales
    Du temps. Imprudents.

    Il sculptait ses mots de silence.
    J’avalais goulûment
    Ses phrases au goût de vent.

    Rapace ou roîtelet, je ne sais.
    Peu m’importait : j’aimais ses ailes et son souffle
    Entre mes feuilles. Je frissonnais.

    Un instant de tonnerre, il prit son envol
    Et l’éclair mit le feu
    Aux pages d’une histoire.

    Les nuits d’orage pas sages
    Je franchis la frontière interdite
    Des rêves d’un autre âge.

    Dans mon ciel infini, je souris
    Parfois. Je le vois, Pierrot lunaire carressant
    Parlant à son étoile. Délivré de sa cage.

    Je n’entends pas sa voix.
    Je crois que je la devine.

    Le jour, j’attends, assise
    Sur un rivage de grains fins
    Ou de galets. Au bord de mon néant.

    Peut-être : le froissement
    Des ailes d’une mésange.
    L’éclat d’une plume rosée.
    ___

  57. Ossiane – merci de tes mots toujours d’encouragement.

    Rachel – merci de ton clin d’oeil

    Christineeeeeeee
    Enchantée de faire ta connaissance.
    Douce marchande de
    Eeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee
    Le facteur m’a donné dans la main
    L’enveloppe etait plein!
    D’autres, au fil du vent ils sont venus chez moi.
    J’ai entendu un petit bruit et je suis allée voir.
    Surprise. Dans ma cour un beau panier de eeeeeeeeeeeee
    Tout en ordre.
    Et ces que se sont plongés dans l’eau, une amie qu’habite à la plage m’a prévenue
    Qu’une grande quantité de eeeeeeeeeeeeeeeee restent sur Le sable et qu’elle va faire la recolte pour moi.
    Merci Christineeeeeeeeeeeeeeee
    Et je n’est pas terminé de les emplier. Je suis déjà lasse!
    Merci du persil et de cibouletteeeeeeeeeeeeeee

    Bourrache
    J’aime les omelettes!

  58. Bourrache – (le premier est allée trop vite, sans les « ternures)
    J’aime les omelettes!
    Avec les “ternures” elles restent delicieuses.

    Jeandler – Avec Annick, main dans la main, sera plus doux le voyage et plus grand l’espoir.

    Maria-D – si tu m’embrasses, je me sens três bien.

    Alix – merci de tes bises

    Monique – pour dessus de l’océan j’ai reçu Mille baisers et souhaits de bonne santé.

    Claudie – c’est vrai – une “heureuse coïncidence”. Merci de ta Douce amitié ….et des baisers à la volée! Je compte sur vous pour me revigorer.

    Thierry – merci de tes mots. Je me sens porche de vous. J’ai bien aimé – “la joie des retrouvailles”.

    Bernard – agradeço emocionada as madressilvas.
    Merci, mon ami.

    Johal – Les bonnes choses pour mon rétablissement sont vos voeux, vos mots.

    Marc – c’est le contraire, vous me gattez sur cet ilot de douceur

    Salomé – merci de tes voeux de prompt rétablissement

  59. Bourrache
    « En équilibre instable sur les diagonales
    Du temps. Imprudents. »
    Émotion, poèsie.
    Tes mots coulent sous nos yeux.
    Le Pierrot qui parle à son étoile…
    C’est très joli.

  60. je suis émue Neyde,
    j espère de tout coeur que tu te portes au mieux, que la douleur te quitte plus encore, que ton corps te donne beaucoup de vie,
    je lis tes mots ci dessus, et comme je suis heureuse,
    profondément touchée quand une personne humaine souffrante, bien plus encore quand je la connais, l’apprécie…
    C’est bon de bon, ces retrouvailles, j’aime ce mot si fort de bon,
    j aime les retrouvailles, se serrer, partager, échanger, s’embrasser, se donner du bonheur, se réchauffer de belle chaleur humaine…

    AnnicK lève son verre irréel puisque mes mains tapotent, alors elle lève son verre plein de bulles de champagne, et si une petite bulle, une seule, juste une, peut sautiller sur les lèvres d’un souffrant en hôpital, et lui donner sourire, ahhh comme je suis heureuse…car c’est si bon de voir ses gouttes de soi prendre leur enVol pour donner un peu de vie, se donner à vivre plus encore…

  61. APPEL A L’URNE

    La promesse blanche
    Est un signe de fin
    Du temps des kaléidoscopes
    Pour une réinvention des couleurs
    Aux armoiries boréales
    Pas de sentiment
    Autre que le pur ressenti
    D’une suspension lacrymale
    Pour qui le vote blanc
    Est une motion de confiance

  62. >Annick :
    Joli poème ton dernier ! Merci à toi.

    >rachel :
    Voile désespérément gris, merci pour ton poème incantatoire 😉

    >Monique :
    Très chouette ton poème cotonneux. Belle idée d’écriture.

    >Emmanuel :
    Bonjour, contente de te revoir ici 😉 Il semblerait que tu aies émigré définitivement vers le nord qui connaît bien ces ambiances là, non ?

    >Phil Alba :
    Voilà j’ai tout compris maintenant, j’avais pensé au haïku;-) Ne réfreine pas tes émotions, c’est à mon avis la première condition pour écrire de la poésie, avant toute tentative de forme. Laisse parler ton cœur et ton âme. Un grand plaisir de t’accueillir et de suivre tes premiers pas 😉 Bonne fin de soirée.

    >Johal :
    Superbe, très imagé, graphique, sonore, j’aime !

    >Marc :
    Beau poème ; c’est amusant car il me rappelle l’esprit de ma toute première note et ton vécu sur l’œil 😉 Bises.

    >Maria :
    Tes haïkus sont tout à fait dans la tonalité de la photo. Quelle belle image cet ange ! Gâtée, Neyde 😉

    >salomé :
    Magnifique ! Quel talent pour faire passer ce voyage par petite touches. Beaucoup de sensibilité dans ta plume. Un grand merci d’être là et d’apprécier!

    >Marc :
    Splendide ! Ta description illumine ma photo. Beaucoup d’inspîration et de vécu, d’immersion dans la nature. Tu ne sembles jamais à cours d’idées. Bravo à toi.

    >Bernard :
    Toujours autant d’humour, Bernard, j’adore ta logique floue ;-)) Et bien sûr ton talent de poète pas flou qui parvient à extraire l’essence de cette image 😉 Bises du soir.

    >Christineeeee :
    Ca marche bien maintenant, comme je suis soulagée si tu savais ;-)) Je n’aime pas que les gens soient frustrés.

    >Monique :
    Et bien Monqiue tu nous quittes pour d’autres contrées 😉 Un grand bon voyage pour toi, à bientôt.

    >Anna :
    Amusante répartie, Anna, tu as le droit de tout faire 😉

    >Bourrache :
    Je retrouve la grande Bourrache dans ce très beau poème 😉 Sensible, émouvant, aérien, du grand art, je m’incline et te tire mon chapeau;-)

    >marc :
    Ton poème d’amour est déchirant, grande émotion dans tes mots. Merci à toi.

    >Neyde :
    C’est tout naturel, Neyde 😉 J’espère que tu n’es pas trop fatiguée après avoir rédigé tous ces longs messages chaleureux pour les amis du blog. Prends bien soin de toi. Je veux bien te racheter quelques eeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee 😉

    >gmc :
    Curieuse analogie avec l’urne et le vote blanc 😉 L’urne, signe des semaines à venir peut-être… Merci à toi.

  63. extrait d’une vieillerie de l’hiver 80

    « …Entre le gris houleux et le gris nuageux l’horizon hésite. Le ciel liquide semble glisser dans la mer limpide. Lasse de son errance au ras des vagues, la mouette mouillée de pluie se pose sur le navire qui divague dans le brouillard.

    Du bout de ses ailes de goéland, Jonathan efface la mélancolie du paysage.

    Dans son sillage, le soleil accroche des filaments d’or aux déchirures de la brume… »

  64. >Anna:
    De quelle vieillerie d’hive rs’agit-til ? De la tienne ou d’un autre auteur?
    Ta viellerie entre gris perle et gris laiteux est magnifique; elle va si bien sur mes images. Merci pour ce bel envol doré. Bonne nuit.

    >Maria:
    Je t’embrasse Maria… Je t’embrasse Maria… Je t’embrasse Maria… Je t’embrasse Maria… Je t‘embrasse Maria… Je t’embrasse Maria… Je t’embrasse Maria… Je t’embrasse Maria… Je t’embrasse Maria… Je t‘embrasse Maria…

    Merci pour ces beaux envols poétique set visuels. Ca fait toujours beaucoup rêver ce V ailé.

  65. Sans doute Christine j’ai dû laisser la porte ouverte, j’aime bien lorsque les mots peuvent entrer et sortir en toute liberté, mais aujourd’hui je suis fatiguée et ils en profitent, c’est bien connu quand le chat n’est pas là les souris dansent, en ce qui me concerne, je plane et pourtant malgré tout j’ai pu admirer le petit chef d’oeuvre de Bourrache. J’ai juste voulu voler aux côtés de l’oiseau et j’ai eu le mal des airs, je tangue, j’ai perdu mon centre de gravité. Sans doute quelques cristaux de la Loire qui se baladent dans mon oreille pas comme il faut!!! Je fais appel à la nuit pour remettre de l’ordre, dans un sommeil réparateur, je l’espère. Bonne nuit à tous et à demain.

  66. Ossiane,
    Je m’envole , une façon de parler pour rester dans le vif du sujet, quelques kilomètres dans la campagne pour essayer d’évacuer un vertige tenace, n’y suis pas parvenue, demain tout ira mieux et espère que la circulation se fera comme il se doit, dans mon oreille interne

  67. Il y a urgence gardons tous « l’ŒIL OUVERT »…
    … » au delà du temps l’enVol, j’ai vu « remonter » les grues ce soir, elles sont passées par quatre grands vols au dessus du jardin…
    Mais j’ai une pensée émue et bien triste pour une âme tourmentée et prisonnière, vite s’il vous plaît, libérez INGRIG …C’est tout pour ce soir, j’ai la tête dans les jungles des combats poings serrés sur l’enVol de cette femme…
    L’espoir, NO PASSARAN!!! VIVA LA VIDA

    http://www.betancourt.info/indexFr.htm

    ah, aussi, deux autres choses, merci Ossiane, (encore de fabuleuses photos, j’aspire à la découverte de tes images magiques tous les soirs depuis que je passe sur « l’ŒIL OUVERT ») , tu peux « me mettre » dans ta :
    GALERIE DES PASSAGERS,
    et très très bon rétablissement à Neyde , elle nous donne tellement de fraîcheur…,Et de naturel…

  68. mon envol, je prends, destination neige, retour dans un peu plus d’une semaine
    bonne nuit à tous… à bientôt…..

  69. Un aeroport. Une femme, un homme. Pas de bagages. Tout laisser derriere soi, tout quitter, signe surgi de nulle part, sentiments flous…. prendre un dernier vol, peut importe la destination, partir, partir vers un nouvel envol

  70. Merci à vous tous, mes Petits Bouchons qui-me-font-garder-la-tête-hors-de-l’eau.

    Excellente nuit à tous les bégayeurs de tendresse .
    Je vous embrasse … je vous embrasse … je vous embrasse… je vous embrasse …
    Les non-bégayeurs aussi, d’ailleurs.
    Un p’tit coup d’aspirateur (de table !) à l’oreille d’une sage afin qu’elle retrouve son équilibre.
    Une pensée très forte pour Ingrid mais aussi pour tous les spoliés de notre drôle de planète.
    Je souhaiterais qu’on me ramène un petit seau de neige … je commence à oublier à quoi ça ressemblait.
    Clin d’oeil, sourire … j’éteins ma bougie.

  71. De quelle vieillerie d’hiver s’agit-til ?
    D’une vieillerie extraite d’essais regroupés sous le nom, non pas de « Bizarre, vous avez dit bizarre? » 🙂 mais de « divers d’hiver »

    De la tienne ou d’un autre auteur?
    J’ai un certain nombre de principes, comme celui de toujours mentionner le nom des auteurs que je cite. Donc 🙂

  72. >Monique :
    Ok, j’avais mal interprété 😉 En attendant prends bien soin de toi pour calmer ce vertige.

    >aspe :
    Où habites-tu donc pour voir les grues, près d’un fleuve ?
    Oui Aspe, ma pensée va aussi vers cette pauvre Ingrid. La folie des hommes…

    >Sabine :
    J’arrive trop tard tu es sans doute déjà partie. Bon envol vers le blanc mais gare à la chute 😉 Bonnes vacances et à bientôt.

    >Bourrache :
    Qui est la sage ? Merci pour la vidéo, je découvre 😉

    >Bernard :
    De qui parles-tu Bernard ?

    >anna :
    Ok message bien reçu 😉 Beaucoup d’humour chez toi en tout cas 😉

  73. Et oui, les énergies renouvelables!
    « extraire l’essence de cette image »
    Rédigé par: Ossiane | le Jeudi 28 février 2008 à 22h37| Alerter

  74. Ossiane : Monique-la-Sage (qui a quelques cristaux de Loire dans l’oreille et perdu son centre de gravité …).
    Je n’ai mis aucun lien par contre Maria-D en a posté deux.
    Après l’essence de Bernard, on nage un peu dans le gaz, là…
    On a de quoi se chauffer aujourd’hui.
    Clin d’oeil et un immense sourire.
    Belle journée à tous.

  75. >bernard:
    Du Bernard pur jus tout craché ce petit texte;-)) Merci pour ton humour que je prends bien;-)

    >Bourrache:
    On nage dans le potage bien globuleux, non ;-)) Ces problèmes de liens vont me rendre dingo à moins que ce ne soit déjà fait;-)) Sourire vers toi;-)

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