Fleuve

titre

Tout l'or du monde, sablier des étoiles, le temps s'écoule

Lecture du Haïku Calligramme: centre, haut, bas

Tout l’or du monde
sablier des étoiles
le temps s’écoule

La Loire

145 réflexions sur « Fleuve »

  1. Fleuve de ma vie
    Sous un ciel d’or et d’encre
    Ruban sauvage

    ***

    Belle nuit et merci pour ce bel hommage à ce fleuve qui m’est si cher

  2. fleuve et ciel sont en amour
    se regardent, se reflètent, échangent leur beauté,
    fluide, nacrée, changeante.
    La terre, solide et noire
    attentive, enserre ce ruban,
    masse que l’on croirait figée,
    et elle l’aime,
    se fait pression douce,
    juste assez pour y prendre la vie,
    et s’en parer.

  3. Monique très inspirée!

    libre et sauvage
    elle se glisse sous les draps
    léger comme des nuages
    laissant apparâitre à peine son doux visage
    c’est la première fois…

  4. Je ne les voyais pas de cette couleur….je ne pensais pas que je les verrais un jour…je les devinais loin et si proches à la fois…cela ressemble à la courbe du temps dans un coin de ciel…On y trouve…comme dans ton regard…la tendresse en fusion…une douce évasion….mélancolie et passion…
    On m’avait dit que les rêves… comme le temps…on ne les voyait pas passer…On m’avait affirmé qu’ils existaient cachés…qu’ils étaient incolores…intemporels…Mais moi je savais que ce n’était pas vrai…que l’on ne pouvait pas rêver en blanc et noir…qu’il fallait des reliefs irisés…des zones d’ombre ou sombrer…des courants étonnés…
    Et ce matin…je trouve sur ce petit coin de glace…frissonnants de beauté…nos rêves emmêlés…Ils voyagent d’une rive à l’autre…osent se poser à fleur de la réalité…y trempent un..puis deux…pieds…en vers..cela va de soi… ils montrent un petit bout de leur nez..se cachent sous les nuages…se réfugient dans nos pensées…
    On m’avait dit que….mais je ne les ai pas écouté…passeur de rêves je suis resté…pour savourer ces moments d’éternité…ces couchers de soleil sur un être aimé..

  5. SOUS LE FLEUVE UN LAC

    Les étoiles n’ont pas de sablier
    Pour contempler un temps
    Qui ne s’écoule plus

    L’or du monde est une nanoseconde
    Dans les yeux de laquelle
    Dix mille années-lumière
    Dansent une valse atomique

    Les étoiles et l’or du monde
    Un sablier qui s’écroule
    Au revers du temps

  6. Le soleil délicat
    Se penche tendrement
    Et se rapproche bel
    De ses lèvres vermeil
    En ruban de satin
    Posé en ciel de terre
    Intimité secrète
    Du ciel et de la terre

  7. Firmament rêveur
    Fusion du ciel et du fleuve
    Le miroir du temps

    Braises dans le ciel
    Transfiguration de l’or
    Le fleuve flamboie

    Comme Annick, j’admire le spectacle, c’est très beau!

  8. Bonjour Ossiane et Amis poètes,
    Je ne suis plus très présent entre deux voyages dans la Capitale (Enfin je me balade !) et du travail pour mon association, j’ai peu de temps. Mais je suis un inconditionnel des châteaux de la Loire et de Nantes.
    Une fois de plus magnifique photo accompagnée d’un bel haïku, bravo !

    La
    Long fleuve si riche de diversités,
    Où tu nous offres un arc-en-ciel de couleurs,
    Illuminé par les spectacles de tes châteaux de seigneurs,
    Ronronnements, débordements, que d’activités,
    Et une poignée de personnes, un jour, t’ont sauvé.

    Je vous souhaite un excellent week-end !
    Je vous embrasse surtout Ossiane,
    OLIVIER

  9. Arrimé au port de mes rêves
    Sous le Ciel d’hiver
    S’ouvre une porte imaginaire.
    je regarde l’œil ouvert ;
    Et part en voyage vers l’île d’or.
    Je glisse dans l’ombre secrète du petit matin
    Dans cette douce vallée.
    Sur cette rivière aux rives mouvantes
    Elle parait docile. pourtant elle est sauvage,
    Elle est calme mais bouillonnante en son tréfonds,
    Farouche et voluptueuse
    Je suis ici aujourd’hui
    Ailleurs demain
    Sur le fil de l’eau
    Emporté par le courant
    Poussé par le vent
    Les carresses du temps
    Chaque jour un autre monde !
    Chaque jour une découverte !

  10.  » Les soleils couchants
    Revêtent les champs,
    Les canaux, la ville entière,
    D’hyacinthe et d’or ;
    Le monde s’endort
    Dans une chaude lumière.

    Là, tout n’est qu’ordre et beauté,
    Luxe, calme et volupté. »
    Charles Baudelaire, L’invitation au voyage.

  11. Entre ombre et lumière
    les couleurs du jours se mélent
    la nuit puise à cette encre lumineuse et profonde
    et dessine le contours des rêves
    cet autre versant de la vie

  12. Magnifique !

    Quelle lumière, un éblouissement, mélanges des couleurs, mélange des éléments…
    La nature ne cesse pas de nous émerveiller comme toi Ossiane, avec ton blog sans cesse renouvellé de si belles notes…
    Je t’embrasse

  13. Elle serpente
    Se dévoile lente
    Et le ciel
    Se laisse saisir
    Par elle
    Et ses courants
    De vagues à l’âme
    En ciel de loire
    Ils font l’amour

  14. Clepsydre
    D’or liquide
    Coulent les secondes
    Sur la rivière du monde

    ***
    SOIF ?

    Couleur de jus
    D’Or.Ange
    Une petite paille
    Pour aspirer
    Le temps doré
    De la jeunesse
    Jusqu’à l’Ether.ni.thé ?

    ***
    En cadeau
    Pour notre
    Amie Bourrache :

    De l’immense Sablier Céleste
    S’égrènent les poussières d’or
    Elles volent légères,
    Tourbillonnent,
    Font les fières,
    Et l’or du temps
    Se dépose
    En fines particules
    Richesse du cœur
    Qui croît au
    Fil du temps

    ***
    Biseeeees Or.donnéeeeeeees

  15. c’est beau Christineeee…

    Le soleil
    Ce coquin
    Se couche
    A l’horizon
    Ses vapeurs
    De crème
    Flottent
    En suspension
    Et la traîne
    De sa belle
    Ondule
    Doucement
    Au rythme
    De leur bel
    Apaisement

  16. Le temps m’a laissé ce poème. Je vous le donne, de mes mains vides…

    L’oiseau blanc
    A déployé ses ailes
    Héron des rivières ultimes
    Le long pays de l’eau
    Peuples des rives, villages
    Anonymes
    Aux murs de feuilles grises
    Et l’arbre porte lianes, rousseurs impénétrables
    Sous une coiffe immense
    De lumière diffuse
    Voute blanche, opaline
    S’élèvent des moiteurs
    Voyage ensommeillé prisonnier des filets
    Tissés de mailles fines
    Les rubans continus, verdures infinies
    Sur le miroir kaki et moiré de reflets
    Glissent des odeurs fades
    Des pirogues humaines
    Effilées de bleu ciel
    Embarquent des sourires
    Et des dents de betel
    De tous ces yeux d’enfants
    Diamants noirs de rencontres
    Mille fois répétés
    Les signes de la main
    La surface des jours…

    Fleuve d’Ailleurs!
    Le soleil rouge
    Sur la rizière…

  17. Hello Marc !
    J’aime bien ton poème…
    un peu plus optimiste que l’autre jour !
    Et pas besoin de t’envoyer de bouée de sauvetage,
    ton kayak flotte très bien !

    Biseeeees flottanteeeeees

  18.  » Et au milieu….. »
    dans la clarté sombre d’un soir
    Entre chaumes et pierres gravées
    Entre marais et lacs oubliés
    Dans tes yeux où dansent nos rêves
    …. »Coule une rivière « 

  19. Un petit coucou rapide en passant pour vous dire que je suis là, que je ne vous oublie pas mais que mes capacités physiques sont amoindries par un grand coup de froid;-) J’irai mieux dans quelques jours. Que cela ne vous empêche pas d’écrire et de converser entre vous. UN grand merci pour votre présence.

    >Monique :
    Emotion dans tes mots. Parfum émouvant de nostalgie.

    >Maria :
    Magnifiques haîkus ! Le ciel s’alanguit dans tes mots 😉

    >brigetoun :
    Superbe Brigitte ! Tu es une vraie femme de la nature, du ciel et de la terre 😉

    >marc :
    Beaucoup de sensualité dans ton approche de ce fleuve sauvage ! C’est tout simplment beau !

    >Pierre b :
    Hello Pierre ! Tout doux, délicat, tendre, subtil, la matière des ciels te va comme un gant 😉 Bravo à toi !

    >aspe :
    Pourquoi as-tu mis des guillemets ? Ce n’est pas de toi ?

    >Pierre :
    Grande beauté de tes poèmes, toi l’homme de la Loire 😉 On sent que tu les as longuement contemplés ces spectacles du soleil 😉 Un grand merci.

    >Bourrache :
    Bel haïku ! Ce que tu soulignes est vrai. Bises.

    >gmc :
    Une autre approche plus inquiétante, me semble-t-il…

    >Annick :
    Tu es très amoureuse en ce moment dans tes poèmes;-) Serait-ce ta nouvelle proximité avec ce beau fleuve qui fait passer tant de tendresse dans tes mots. Bises vers ta Loire.

    >Claudie :
    Ta poésie est flamboyante, Claudie. Merci à toi.

    >Olivier :
    Bonne nouvelle tous ces petits voyages que tu t’offres 😉 Agenda bien rempli, tu n’as pas le temps de t’ennuyer, c’est positif. Beaucoup d’amour pour cette région passe dans tes mots. Merci beaucoup, je t’embrasse chaleureusement.

    >Bonbonze :
    Moi aussi ;-))

    >Roméo :
    Et voilà que tu reprends la balle au bond ! Beau duo avec bonbonze 😉

    >kirikino :
    Belle référence bien que je n’ai pas lu ce livre de Genevoix. Merci beucoup.

    >Corinne :
    Superbe, clair, pur, fluide, j’aime !

    >Pam :
    Coucou, ma chère pam ! Cette nature qui nous émerveille, tu la connais bien aussi et tu sais également la sublimer par tes dernières notes pleines de magie. Je t’embrasse bien fort.

    >Christineeeeee :
    Trois beaux poèmes d’un coup 😉 Rêve, magie, humour, fraîcheur, nostalgie. Tu nous gâtes vraiment ! Bises de loin 😉

    >Bernard :
    Magnifique poème émouvant qui témoigne d’un retour de voyage en Asie. On sent que tu as dérivé au fil de l’eau pour observer la nature et les gens qui vivent au bord du fleuve. Beaucoup d’émotion dans ta voix et puis tu parles de ces mains vides avec un petit air de tristesse. Mélancolie du retour peut-être…

    >MTO :
    Superbe ! Vision très poétique de ce lieu. Tu penses sans doute aux merveilleuses ambiances lumineuse de ce film. Merci à toi.

    >Michelle :
    Bonsoir Michelle, bienvenue ici. Merci pour ce joli poème lumineux. Au plaisir de te lire à nouveau.

  20. >Ossiane: soignes toi bien et requinques toi afin de retrouver la meilleure forme ; quelle superbe mise en couleur, c’est vraiment somptueux, merci de nous en faire profiter.

    Au milieu du val coule le fleuve
    d’apparence calme il peut devenir tumultueux
    aussi ces levées sont elles de pauvres remparts
    face aux foucades d’un grand serpent tapi
    qui peu gonfler démesurément et tout emporter
    sur son passage dans un fol élan.
    Les ilôts et gravières comme autant de frayéres
    sont peuplés d’une multitude de poissons
    et des pêcheurs habilités les traquent sans relâche
    tendant qui ses lignes ou ses filets ou bien encore
    un carrelet pour couvrir dans ses moindre recoins
    le Liger qui digére tout ce qu’il a pu avaler.
    Pantagruel n’avait point dépareillé le tableau
    à travers l’ogre qui avale tout c’est aussi le fleuve
    à l’appétit sans bornes qui jamais bien longtemps
    ne ronge ses berges sans sortir de de son lit et s’étendre
    alentour.

  21. Aux carnutes à la forêt toute proche
    des huttes construites de roseaux
    ont abrités plus d’un drôle d’oiseau
    car les druides sous ses célestes porches
    ont célébré tant et tant de lunaisons
    sans pour autant risquer la pendaison.
    Dans la grande et domaniale futaie
    ils n’ont pu les légions totalement égarer
    ainsi Siegfried n’eut il qu’un dragon
    quand de la via les cohortes en wagon
    déferlaient sur le pays en vagues continues
    sans troubler plus que celà les autochtones
    pourtant le souffle chaud du géant ailé
    semble bien faire trembler l’azur énamouré
    de ce pays profond aux loges de charbonnier
    s’éléve encore à foison les secrets fumets.
    Pour étancher sa soif il n’est que se tourner
    vers la fontaine de sainte Radegonde
    ou les éclats métalliques de Chambon.
    Pas si loin d’un jet de fronde de Janville
    on imagine encore l’anglois pourchasser
    camouflés sous les hautes frondaisons
    Thierry et toute son rebel équipage
    prêtant au roi de France un bel hommage.

  22. Le soleil tire sa révérence
    Déjà le jour vacille
    La rivière lentement avance
    La nuit s’impatiente
    Mais les nuages s’attardent
    En leurs pyjamas d’or
    Ils se glissent dans le lit du fleuve
    Bien à l’abri du vent
    Soir paisible sur la Loire

    Magnifiques photos, merci Ossiane

  23. Bonsoir à tous,
    Ossiane je te souhaite de pouvoir te reposer au maximum pendant ce week end retrouver la forme et chasser bien loin tous ces vilains petits microbes qui empoisonnent la vie, pendant que le soleil nous nargue avec toujours autant de vigueur.
    ___
    Le ciel caresse tendrement le fleuve
    Les nuages frôlent la Loire romantique
    Et l’accompagnent dans sa course,
    L’ombre fraîche s’étale en silence
    Tout est calme au bord de l’eau,
    Toute parole s’estompe,
    Le regard se noie
    Dans les pâles reflets de l’eau,
    Fleuve magestueux
    Miroir de mon enfance,
    Douce et cruelle nostalgie d’hier
    Où tout se mêle et se confond
    Sur les bords de Loire
    Aux allures trompeuses
    Qui pourtant vous envoûte
    Et vous laisse sous le charme
    D ‘une douceur angevine.
    Glissent les nuages
    Coule l’eau
    Je n’ai rien oublié.

  24. Avant de me coucher, je trempe mon pinceau dans la larme belle dorée de La loire émouvante, et tendrement sur les lèvres du soleil y dépose un délicat baiser tout bel de vrai.

  25. Images paisibles, émouvantes, empruntes de tendresse, belles conditions pour aller dormir. Annick, je fais comme toi et c’est si beau « je trempe mon pinceau dans la larme dorée de la Loire » Bise du soir

  26. sur le sablier d’étoiles, le temps s’écoule. Combien de sablier d’étoiles vont encore s’écouler,combien de temps avons nous avant que le fleuve ne nous entrainent……

  27. le temps s’écoule,
    tout l’or du monde tu m’avais promis,
    mais je n’ai toujours rien vu venir!!!!!!

  28. Quand les étoiles de grains de sable en grains de sable dans le sablier du temps glisseront dans les profondeurs du fleuve, elles se laisseront engloutir dans les sables mouvants, laissant un ciel noir et la lune solitaire.

  29. seule, je dérive,
    je dérive, sur le fleuve,
    calmement, tranquillement,
    je dérive,
    combien de temps vais je dériver?
    seul le sablier d’étoiles peut en décider……

  30. Dériver, c’est se laisser porter, et c’est se reposer pour mieux repartir et reprendre la barre, dériver gentiement au fil du temps tout en gardant l’Oeil Ouvert.

  31. le sablier d’étoiles se casse, le temps qui s’écoule s’echappe, il ne nous restent que peu de temps, vite vite, partons sur le fleuve recueillir tout l’or du monde…. (sans oublier de prendre un nouveau sablier evidemment!!!)

  32. Monique, Sabine…

    …, ne plus être que dans l’unique durée…
    s’afficher comme un espace
    et disparaître…
    comme le fleuve
    dans l’océan
    du temps
    sablier oublié…

  33. AlORs ça va ?
    Tout le monde à bien dORmi ?

    Je vous pORpose
    Pour un réveil de bonne humOr
    Un duo en Or !

    ****

    Et lorsque les poussières
    Se changent en pièces d’Or
    Liquides,
    Coulantes,
    Résonnantes,
    Sonnantes
    Et Trébuchantes
    Cela donne à peu près ceci :

    « C’est l’Or…
    Il est l’Or…
    L’Or de se réveiller
    MontseignOr
    Il est huit Or
    Houilli, Houilli gouilli

    Il EN MANQUE UNE !

    Vous êtes sOr ?

    TOUT A FAIT sOr ?

    Oh ben ça alOrs,

    REGARDEZ SOUS LE LIT !
    LA BAS !

    IL EST LA !
    AH AH AH ! »

    Ah, la Folie des GrandOrs !!!

    —-

    Vidéo de la scène sur YOUTUBE
    Allez la chercher !
    Je renonce aux liens pour le moment, surtout qu’OSSIANE
    N’est pas au top pour la repêche !

    Biseeeeeeees adOréeeees

  34. Au couchant, au touchant le fleuve est là
    bouchant largement la vue dans une perspective
    embrasée que nous embrassons du regard.

    Au fondant des couleurs façon bonbons délavés
    s’assortissent les langues de sable qui s’allongent
    comme dans un songe, alanguies et propices
    à la rêverie.

    Au portant c’est le vent qui balaye les nuages
    enflammés qui de méche ont porté l’incendie
    et appelé l’eau vive pour adoucir les contrastes.

    Au final l’estampe à la détrempe plutôt détrompe
    dans ce panorama et sous le ciel bas la présence
    du fleuve se fait plus prégnante.

  35. Bourrache !
    Grand MERCI ! Je rigole déjà de bon matin !

    Si tu veux bien envoyer pour moi le lien
    de la folie des grandeurs….
    Ca serait super sympa !

    Biseeeeeeeeeeeeeeeeees
    Christineeeeeeeeeeeeeee

  36. MERCI Bourrache !
    T’as vraiment de la chance !
    Ca fait du bien de rire dès le matin
    Passe un bon wend !
    Christineeeeee

  37. merci à chacun d’être là.

    L’oeil se sort et se fait du bien, c’est tellement beau un joli coucher de soleil sur l’eau, c’est infiniment grand en beautés ressentis, et en force de l’instant qui vit ses derniers moments en ciel, avant de rentrer dans la nuit et de céder la place au clair de lune. Et quand la lune veille si douce, le fleuve il souffle, s’apaise encore, ronronne d’aises, est beau si beau, et il s’endort dans son écrin, doucement bercé par la belle lune.

  38. Des pays, des lieux
    où le temps a laissé ses couleurs

    Un fleuve sans remous
    A la recherche de l’espace

    Et qui dira la nuit
    garde encore une bougie
    allumée.

  39. fleuve corps de femme
    aux puissantes hanches
    au ventre bleu
    que la coulée du buste
    vers les bras assemblés
    courbe vers l’avenir

    tête soleil
    à la chevelure de bacchantes
    acharnées
    au dépeçage du jour
    dans le symbolium
    de la vie
    en aller et venir

  40. ___

    Ouvrir l’Oeil
    Au petit matin
    Apercevoir
    Le soleil
    Et son couchant
    Sur lit
    De Loire…

    … que le temps passe vite … on ne fait plus rien d’une journée !

    Juste se glisser, sans rougir, dans l’intimité de ceux qui dorment comme des loirs…
    ___

  41. QU EST CE QU IL EST BEAU ton haiku, Ossiane, et tout ton travail me donne un peu l envie de me taire et de contempler et de lire…BISES. Repose toi comme tu peux.

    Pensées vers Neyde, qu’elles la soutiennent!

  42. Accostage des rives d’or :
    Le nouvel équipage a rompu les amarres
    En laissant les vieilles amours
    Au port.
    Demain sera sucré comme un miel de passion
    Et nous irons aux cieux
    Cueillir la fleur des belles.
    Demain sera merveille
    Sous tous nos horizons.

  43. Je dérive
    De la rive

    Je m’enivre
    Et chavire
    Non sans heurts

    Si je vire
    A ravir
    Serais ce pire
    Ou meilleur ?

    Ce désir
    Qui m’attire
    Illusion
    Ou horreur

    C’est ainsi
    Par ici
    Ou je vis
    Ou je meurs

  44. Bonjour à tous,

    Admirer sans se lasser cette superbe image du « fleuve » où dans une même douceur les couleurs du ciel et de l’eau se confondent, puis fermer les yeux, sentir sur le visage la fraîcheur humide des bords de Loire , écouter les clapotis et tous ces sons et cris étranges qui accompagnent cette Grande Dame, comme les valets attentifs d’un autre âge. S’imaginer sur un futreau* comme à Venise sur une gondole et rêver….
    *futreau – très ancienne petite ambarcation à voile, très élégante.

    __
    La Loire majestueuse
    Aux couleurs douces et gracieuses
    Long ruban d’argent
    Anguille aux écailles saumonées
    S’écoule lentement vers la mer.
    J’aime ton allure fière et hautaine
    Lorsque tes rives frôlent les demeures royales.
    Long fleuve tranquille
    Parés des plus beaux atours
    Tu retiens en ton intime
    Les mots des plus grands poètes
    Venus rêver sur tes berges :
    Ronsard, Apollinaire
    Joachin du Bellay, Georges Sand
    Et combien d’autres encore
    Attirés par ta grâce
    Ton parfum d’élégance,
    Ils ont chanté ta gloire
    Proclamé ta volupté.
    Devant cette Grande Dame
    Je retiens mon souffle
    Pensive, éblouie,
    Intimidée par tant de beauté.

  45. Un banc posé devant….ma tête sur ton épaule,….le clapotis de l’eau….un oiseau tendre vol….une frisson d’air plus frais…je me niche plus près…glisse ma main dans ta poche….et caresse un galet…puis je ferme les yeux…car ton si doux baiser…et main se ressort et se chauffe dans la tienne….

  46. Divine Loire si belle
    Tu as guidé nos pas
    Mon fils se dit heureux
    Et je te remercie
    Au bout de son estuaire
    Il a le droit de vivre
    Tout au près de son lui
    Que lui confia la vie
    Ô Loire Ô grande Loire
    Ceux qui vivent sur tes bords
    Ont une bien belle chance
    Car tu es belle divine
    Ô Loire
    En eau, en ciel, en terre
    Sous le soleil, la pluie
    La lune et puis le vent
    Tu ES MAJESTUEUSE
    Et je te remercie
    Tu es LA VIE

  47. Pour toi, mon amour, je peux laisser TOUT L OR DU MONDE, avec toi coule si tendrement le SABLIER DES ETOILES et mes petits yeux émus se frottent émerveillés devant tant de douceur, d’amour, et de tendresse, LE TEMPS S’ECOULE son jour, avec toi mon amour, il s’écoule si bel, car tu es cette petite ETOILE qui brille dans mon coeur et S’ECOULE de toi de l’OR tout simple d’être…. juste d’être si bel.

    J’ai repris TES MOTS, OSSIANE, car ils sont tellement beaux, ils se suffisent d’eux, mais ma main les a mis en écrin pour qu’ils restent éternels, comme cet album Immense si Grand si Pur si Splendide chaque jour, je m’émerveille mon jour quand j’ouvre ton album, ou ma perle se goutte ou mon sourire se vit, ou mon émotion pure doucement m’envahit…..tout simplement, Merci.


  48. Le ciel vide, ou devenu pâture de nuages, la terre jusqu’à l’horizon dans sa figure naïve encore ou retouchée de la main des hommes, proposent à notre vue leurs grands thèmes, non point liés à quelque déroulement temporel, mais énoncés tous ensemble dans l’espace, où ils installent pour toujours, le paradoxe d’un immense contrepoint simultané.

    Gustave Roud

    Ossiane j’espère que tu vas mieux…Ton microbe balladeur est chez moi..et ce soir c’est soirée  » Tambours et trompettes » sans carton d’invitation..Pourvu qu’ils ne me jouent pas « Nuits blanches à Seattle « .!..Bon je me censure sinon le coctail +grog+antalgique pourrait devenir explosif (!)
    Bonne nuit 🙂

  49. Les chercheurs
    d’Or
    Préfèrent
    l’Ariège,
    Rivière Orifère,
    A la Loire
    Plutôt destinée
    Aux bons dormeurs !
    Car en Loire,
    On y dort comme un Loir

  50. Alix :
    Et encore une de malade !
    C’est plus un ptit tonneau,
    c’est une barrique de grog
    qu’il va falloir
    comme boisson du soir !
    Bonsoir quand même
    Christineeeeeeeee

  51. Tu as remarqué le précédent post: …. ensemble….un ange est passé.. Des bassines de grog et on viendra chacun notre tour s’y sustenter (beurkk)… A bientôt ..du moins je l’espère>)))

  52. >Thierry :
    Merci pour tes bons vœux et tes poèmes liguériens enflammés.

    >Pieralin :
    Bonjour Pieralin, belle image ces pyjamas 😉 Merci pour ton beau poème lumineux. Tu es très famillier de ces ambiances de jour vacillant ; ça se sent. Bon week-end à toi, bises vers ta Suisse.

    >Monique :
    Merci également Monique, j’attend spatiemment que tout rentre dans l’ordre 😉 Beaucoup de gens sont touchés en ce moment. Tu es en complète osmose poétique avec ce fleuve que tu connais particulièrement bien. Merci pour tes très beaux poèmes. Bonne soirée, je t’embrasse.

    >Christine:
    Tu tiens la forme pour un régiment 😉 Ne t’inquiète pas, je surnage 😉

    >Annick :
    Toujours pas de nouvelles de Neyde…
    Exprime-toi comme tu le sens, Annick et passe une bonne soirée en contemplation paisible 😉
    Je vois en effet que tu as aimé le haïku 😉 Tu es trop sympa avec moi 😉
    Ton tout dernier poème sur la Loire est très beau. Il me semble que tu décris tout ce qui fait l’essence de ce fleuve. J’aurais aimé avoir davantage de temps et de belles lumières pour l’observer davantage. A chaque fois, pas mal de pluie et quelques rares éclaircies comme celle-ci. Je t’embrasse.

    >Salomé :
    Bonsoir Salomé, ton poème est superbe de délicatesse d’image set d’écriture. Un grand merci à toi.

    >Marc :
    Beau poème solaire ! Belle soirée à toi.

    >regard :
    Très belles associations de ton regard avec le corps d’une femme et une chevelure de feu ! Il me semble que cela n’a pas été évoqué. Merci pour la beauté de tes mots.

    >Bourrache :
    Joli poème paisible ! Je suis sûre qu’il fait beau chez toi 😉 Bises.

    >Johal :
    Beauté magique de tes mots et de l’univers que tu décris ! Que ta plume est imagée ! Bises.

    >rachel :
    Une émouvnate façon de se projeter à l’intérieur de soi à partir de la réalité d’un paysages. Tes mots sont simples et forts. Merci beaucoup.

    >alix:
    Bonsoir Alix, si les microbes sont baladeurs, je ne me balade plus beaucoup sur la toile en ce moment. Je suis KO;-)) Ce n’est pas moi qui t’ai contaminée en tout cas;-) Je te conseille le grog explosif, franchement;-)) Je l’ai expériementé; on se sent partir vers les étoiles; tu verras, c’est très bien;-) Merci pour cette belle vision céleste de Gustave Roud. Bises derrière la vitre et courage pour les heures à venir;-)

    >Tao:
    Bonsoir Tao, bienvenue sur le blog;-) Je constate que nous sommes collègues blogueurs poètes sur le Monde;-) Je n’ai pas eu le temps de visiter en profondeur ton blog mais je peux te dire que la derniere photo de ta note est tout simplement merveilleuse. Merci pour ce beau poème sensible et lumineux. Au plaisir de te lire à nouveau.

  53. Alix
    Avant que tu disparaisses sous ta couette dans la chaleur épaisse de la fièvre, je te souhaite une nuit pas trop mauvaise et un mieux pour demain.

  54. De retour après quelques jours sans, et je retrouve tes images et tes mots. Inhabituellement saturé ton traitement, mais ça va pas mal à l’image. Bonne soirée 🙂

  55. Ossiane
    Merci pour tes mots si gentils, j’ai passé vingt ans de ma vie sur les bords de Loire, j’y ai beaucoup d’attaches et y retournes souvent. J’espère que tu commences à te sentir un peu mieux, demain dimanche, je te souhaite une bonne grasse matinée pour finir de te remettre en forme. Cette fin d’hiver est venue avec son lot de petites misères. Toujours fidèle au poste, tu es courageuse et adorable tout à la fois. Je t’embrasse.

  56. Bourrache, soigne toi, de même pour Ossiane, et pour chaque petit malade..mes douces pensées vers Neyde.

    tu as de la chance, Monique, quelle belle Loire, elle m a apaisée cette Loire, le temps de vacances avec ma fille ainée gravement malade, et puis un autre temps de vacances après un choc de vie terrible…elle m’a serrée bien fort de sa tendresse, et cela m a fait du bien. Un beau lie embrasse fort quand on est malheureux.

  57. Dormir comme un loir…..dans le creux de la rivière…et la Loire qui serpente…sur quatre pattes….et ce ciel qui tangue….impossible….c’est à dormir debout…..Et Ossiane…et Alix…et Bourrache….C’est la fièvre d’un samedi soir…on grelotte sous la toile…et l’écran qui flotte……J’ai les mots qui ondulent….et la tête qui éclate….et le coeur qui dit vague….Alouette….je te plumerai…Des flocons qui s’envolent….plumes blanches qui rigolent….et le ciel qui rougit….C’est normal….c’est Timide….et…………..Atchoum…et ….douceur….pour un grog….et un zest de ….tendresse…..

  58. Annick

    Le pays de Loire a pour moi, tu l’auras compris au cours de mes poèmes, une très grande importance, des moments de grandes émotions et de grandes douleurs, je partage donc avec toi un intérêt tout particulier à cette région, à ce fleuve qui charie dans son lit beaucoup de mes pleurs et résonne de mes rires d’enfant.
    Bonsoir, bonne nuit je t’embrasse.

  59. GROG des Oeils 1 /2 Ouverts
    Nouvelle recette !

    Prendre une bassine,
    Grande de préférence
    Si vous êtes nombreux
    Une barrique fera au mieux

    Remplissez
    Avec de l’eau de Loire
    Quelques cuillerées de miel…

    Ajoutez
    d’un geste leste
    Zestes
    Citrons pressés
    A profusion
    Le tout assaisonné de thym
    Sans oublier
    Evidemment,
    Un bon rhum ambré
    Pour les plus assoiffés.

    Faire chauffer…

    Ne pas oublier
    Antalgique
    Magique

    Un dernier zeste
    De tendresse,
    Grog de nuit douce
    Pour rêves explosifs

    Et vous verrez
    Demain matin
    Le régiment des OOO
    Bon pied, bon œil
    En …ture, pour de
    Nouvelles Avant-routes

    Hips Hips

    Même pas bu ! C’est l’odeur !
    Bonsoirrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrr

  60. Je souhaite à tous nos petits malades de guérir bien vite, Bourrache, Ossiane, Alix, Pierre et les autres et leur souhaite une bonne nuit.
    J’embrasse bien fort Neyde en espérant avoir bientôt de ses nouvelles.
    Un petit bonsoir à Olivier, le poète en balade et l’inconditionnel des châteaux de la Loire .

  61. Bonjour aux heureux pas malade(s)…ATCHOUM…
    Bonne journée à tous et ne prenez pas froid (non Christine je ne boirais pas de ton elixir..un petit Crémant ce midi plutôt..me conviendra mieux..il faut soigner le mal par le mal…NA!)
    Monique j’ai zappé ton bonne nuit alors un bon jour spécial pour toi toute seule:).. Jeandler…une plume est arrivée jusqu’à moi..
    Bon Dimanche à tous:)

  62. Bonne Journée Alix et peut-être bien au chaud chez toi aujourd’hui!

    Le soleil ce matin nous boude et la terre n’a pas encore défait son lit.
    La couette en duvet d’oie jonche la campagne endormie.
    Même les oiseaux n’ont pas encore ouvert les yeux.
    Le village est plongé dans un grand silence.
    Un calme reposant, rien ne bouge.
    Et je suis bien ainsi.
    C’est relaxant
    Super.
    00
    !

  63. Monique, Christineeee, je découvre vos mots de 23 H 34 et 36…tes mots de 23 H 22, Monique, m’avaient fort touchée hier soir, bises, à rester étourdie devant mes mots à moi, car La Loire a charié aussi de grosses pleurs de moi…bises.

    j’espère que les petits malades vont déjà un peu mieux…

    Assis devant le petit bois
    Le regard apprécie
    Parfois un oiseau vole
    D’une branche vers une autre
    Et l’oeil le suit envol
    C’est beau dans l’air du temps

  64. Sans doûte es tu encore là
    Ô Loire si belle Loire
    Je t’imagine si douce
    Ce matin au réveil
    Tu serpentes ton cours
    Aux berges au goût de miel
    Et les tendres bels chanceux
    Qui marchent sur tes berges
    Ô Loire si belle Loire
    Mon regard délicat
    S’incline sa révérence
    Devant ton beau spectacle
    Une perle me pique un peu
    Tu es si pleine de grace
    Que mon regard ému
    Ô Loire si belle Loire
    Je t’aime tout simplement

  65. ___

    Dimanche, hôpital de l’Oeil Ouvert.
    Aile nord du nord.
    En bord de Lienne.
    Etage Ardenne.
    Chambre 28.

    Un corps frissonne, tousse, crachote, éternue, renifle, se mouche. La fièvre du samedi soir, ayant traversé la nuit, fait briller ses yeux.
    Au pied du lit, l’indéfectible, sourcils froncés, pose un regard interrogatif. Le soleil tout rond invite à la gambade. Il pressent déjà qu’il se contentera de se dégourdir les pattes dans le jardin en friches.
    La chatte sans frontières guette là-bas, quelque part, la musaraigne et la souris.
    Le poisson rouge s’en fout.

    Dans les couloirs, fantômes et fantômettes, tout de blanc vêtus, s’activent autour du chaudron magique : effluves miel – citron – thym – rhum – amitié.

    Chambre 28 : un corps à l’estomac nauséeux, daffalgan avalé, ramène la couette par-dessus sa tête en état de décomposition.

    Aujourd’hui, jour, nuit ?

    Temps suspendu, indéfini…
    _

    Biz à tous.
    ___

  66. Bonjour à tous

    Une pensée ensoleillée pour Neyde

    Le fleuve déploie sa langueur océane
    Et le ciel en volutes de pailles
    S’empourpre d’une nuée d’hirondelles
    Le printemps éclôt ses bourgeons
    Les mouettes, comblées d’aise, s’ébrouent
    Vol de passereaux, passants du dimanche
    Le soleil étincelle, l’aube rose
    Aquarelle de flamands roses
    Renaît sur la toile du peintre
    Batifôlons dans l’herbe
    La rosée du mâtin
    Y a déposé ses perles
    Le coeur est en fête
    Le printemps couve ses aubépines
    Le carnaval bat son plein
    Otons donc nos masques
    Et soyons saltimbamques…

    Très belle journée…bonjour à Alix et Monique et aux fidèles de l’oeil ouvert
    Bises…à tous et à toi, Ossiane

  67. tu me fais sourire Bourrache et pourtant c’est pas rigolo,
    bises de loin… je crains rien…sourire …je m en sors mes pas en bord de mer pour serrer le soleil, et son regard dans l’eau..
    BISES DE DIMANCHE. et rétablissement tendre aux petits malades sous couettes!

  68. Claudie

    Tout en splendeur et volupté ce matin, tu as un coeur printanier et ta plume est belle et légère Une superbe journée s’annonce pour toi .

    Annick

    Beau poème sur la Loire ce matin qui me va droit au coeur je le range dans un petit coin de mon âme.Bonne journée à toi et à Jean Sébastien .

    Bourrache

    Rester bien au chaud, avec une petite musique de fond, attendre gentiment que cela passe, en pensant que demain tout ira mieux. Bon courage.

    Alix

    J’ai bien aimé ton petit bonjour rien que pour moi. Bonne journée à toi aussi.

  69. Bonjour Bourrache !
    Visite du médecin dans une heure
    tenez vous prêts !

    Ma pauvre….
    Mes pauvres…
    Je compatis…

    Biseeeeeees sous le masqueeeeeee

  70. Monique,
    Hier, j’ai envoyé un message en même temps qu’Alix !
    Aujourd’hui, j’en envoie un en même temps que toi !

    Nos anges gardiens veillent !

    Biseeees matinaleeeees

  71. Un peu moins drôle…
    Mais j’ai pensé à ça hier…

    A Pro.fusion
    Fleuve d’or
    Fleuve de feu…

    Maurice et Katia Kraft
    Rêvaient de naviguer
    Sur un fleuve de lave
    En fusion…

    Ils naviguent maintenant
    Sur l’or des étoiles
    Eternellement…

    Re biseeeees

  72. Christine

    Messages en effet envoyés à la même heure, les grands esprits se rencontrent mais c’est le plus petit qui le fait remarquer donc je m’incline.

  73. Oiseau
    Enfermé dans l’intimité de mon âme
    Je voguant sur cours du temps
    Regardant l’horizon
    Cherchant des cimes
    Aux rêves éternels
    D’ou je pourrais admirer
    Un ciel d’une infinie bleuté
    La blancheur et la pureté
    Libéré de la peur
    Libéré de moi même
    Par delà l’éternité
    Au dessus les nuages
    Au dessus de l’or du soleil
    L’âme plus léger que l’air
    Volant sur le cours la vie

    bon dimanche bien au chaud pour les petits malades de l’oeil ouvert
    Aux autres belles ballades dans la fraicheur et sous le soleil

  74. où va le fleuve
    lentement
    qui s’enroule
    et descend
    la mer l’attend

    où va le temps
    qui va si vite
    bonheur en fuite
    des vains instants
    l’oubli l’attend

    où vont le larmes
    le bruit des armes
    et les rires
    l’errance libre
    l’espoir l’attend

    où t’en vas tu
    le coeur battant
    pressé de vivre
    le sang s’enivre
    l’amour t’attend

  75. mauvais rhume,
    mauvais froid,
    fallait pas ,
    en cette saison,
    tomber ses habits,
    pour plonger, corps et âmes, dans le fleuve…..

    bon rétablissement à vous tous. bises.

  76. le soleil, comme tous les jours, brille au dessus de nous, pas un nuage, une température douce, les mimosas croulent de petite boules or, ballade en bord de mer, déjeuner façe à la mer, lentement le temps s’ecoule, prendre le temps de vivre, de discuter, de partager ensemble de bons moments, se faire un apéro couleur soleil, se dire tout simplement, que tout l’or du monde nous avons, il suffit de savoir le saisir……

  77. L’or entre en fusion à combien de ° ? Moi, je fais 38°7 …

    Le médecin de midi avait des contours flous. M’a dit « Aaahhh », j’ai répondu « beurk ».

    Pensées enfiévrées pour Neyde.

  78. le matin lorsque nous allions à l’école et traversions le pont au dessus de la Loire
    Le soleil était encore bas et ses rayons effleuraient le fleuve
    Une brume légère venait caresser les arches du pont
    Enveloppant la Loire de son grand manteau ;
    Et au printemps les grands cormorans
    Survolaient attentifs les eaux
    du fleuve plongeant leurs
    longs becs dedans
    son eau limpide
    Et les bancs
    de sable se couvraient de mouettes et de canards sauvages dans le jour naissant.

  79. C’est qu’à se découvrir
    On arrive à souffrir
    D’un mauvais coup de froid

    Si je tremble et délire
    Grelotte et puis transpire
    C’est que je n’avais pas

    A tant me dévêtir
    J’aurais du me couvrir
    Et bien la prochaine fois

    Garderai mon foulard
    J’aurai moins de déboires
    Je n’en serais pas là

    Je ne veux pas me plaindre
    Laissez moi donc m’éteindre
    Solitaire ici bas

    Car c’est à l’intérieur
    Que je souffre et je meurs
    Au secours, vite à moi !

    Bon rétablissement à tous nos malades. Vous voyez bien qu’on pense à vous

  80. Très fort Bourrache… 🙂 Pas pris la température…mais j’ai peur que les gouttes qui coulent de mon nez ne fassent monter dangereusement le niveau de la Loire…Et les tams tams…à croire que j’aie in Ipod incrusté dans le cerveau. .Bon ça a l’air comme ça…mais c’est rien qu’un gros rHube…
    Allez à bientôt…je m’en vais déguster un potage …et après..RE-couette
    Bonne nuit..OossiAnE…ça va ??..

  81. Bourrache :

    Point de fusion de l’or en °C = 1 064.43 °C
    ca va, tu as encore de la marge avant de te liquéfier !

    Cet après midi, je suis allée prendre un bain de vent !
    Il y avait des vagues moutonnantes sur le lac de St Féréol : impressionnant, on avait même du mal à marcher !

    Biseeeees aéréeeeees

  82. Bourrache Alix Rachel
    Même combat !
    Ne tombez pas du côté obscur de la Force !
    Restez du côté lumineux
    Que la Force soit avec vous !

    et bon rétablissement pour la semaine prochaine

  83. Fleuve au long cours
    Emporte mon amour
    qui s’éloigne déjà

    Fleuve aux contours
    sinueux dont les atours
    scintillent brillant d’éclats

    Fleuve au détour
    duquel glissent les jours
    me laisse transis de froid

  84. Assis face au couchant, sur les bords de la Loire
    Je reste seul, En équilibre au bord du soir.
    Face au crépuscule, J’admire ses ombres noires
    Qui grandissent infinies comme mon désespoir

    Pareil à ce fleuve Libre et si imprévisible
    Tu glisses sur la vie, discrète, introvertie;
    parfois, Tu parades rayonnante extravertie
    Un jour Visible, le plus souvent invisible

    Devant mes avances souvent tu te dérobes
    Tu changes de masque comme autant de robes
    Discourtoise hautaine ou aimable
    Je m’échoue sur ton cœur bancs de sable.

    J’aimerais dompter à jamais tes sentiments
    Et t’enfermer dans une cage de diamants
    Mais je sais que je perdrais l’essence de ton être;
    Alors je plonge pour ne plus réapparaître.

  85. .
    OOO°°°°ooooOO°°OOOOOOO°°°ooooooo°°°OOO°°°°ooooOO°°OOooooooo°°°OO°°°

    Allo, allo… clignement d’yeux… un petit signe depuis les profondeurs de mon bocal… je réémerge un petit peu de ma torpeur et je vous remercie vraiment pour toutes vos pensées de soutien. Ce blog est quand même incroyable… un vrai condensé d’humanité grâce à vous tous… c’est vraiment sympa. Je vois que je ne suis pas la seule dans ce cas, n’est-ce pas Alix ;-)) Courage à toi !!!

    Quant à Christineeeeeeeeeeee, je ne sais pas comment elle fait pour tenir un rythme pareil. Toujours de bonne humeur, une énergie surhumaine, des remèdes exceptionnels, des bains de vent, quelle est ta recette 😉

    Et Bourrache, tu m’as bien fait rire avec la visite médicale ;-)) Tu es malade aussi ?

    >Anne :
    S’il y a saturation, c’est que je suis sous traitement de choc et remède de cheval ;-)) IL faut me pardonner 😉 Je précise toutefois, que la première photo est absolument naturelle dans son rendu d’origine. Bises.

    >Monique :
    Giga félicitations à Monique pour sa constance poétique, son attention, son amitié et son admirable poème en forme de soleil !!! C’est splendide !!!

    >Pierre b :
    Merci beaucoup Pierre pour ta jolie berceuse du soir. La fièvre a baissé aussitôt après t’avoir lu 😉

    >Annick :
    Merci de prendre des nouvelles ainsi que pour ta belle poésie au goût de miel ; c’est très bon pour ma gorge ;-))

    >Claudie :
    Superbe poème d’une grande beauté d’images et de sensation. Tu es magicienne des mots. Je me sens mieux tout d’un coup 😉

    >Marc :
    Tu nous fais voler avec tes mots, marc sans parler de ton beau poème d’amour qont tu deviens le spécialiste avec amichel ! C’est splendide !

    >sabine :
    Tes trois mesages donnent du baume au cœur. Rien de mieux que les petits plaisirs simples à portée de main.. Bises.

    >amichel :
    Ton poème est un peu différent de ce que tu fais d’habitude, des vers courts, des mots simples, un rythme paisible et des pensées qui coulent tranquillement sur la vie comme le flux de la Loire. Belle leçon de vie, merci.
    >rachel :
    Je n’ai pas tout compris, toi aussi, tu es malade, rachel ? Nous serions quatre alors 😉 Ca t’inspire ;-))

  86. bras de mer
    bras de terre
    à bras ouverts
    embrasser la terre et le ciel
    plein feu, plein ciel, océan de sagesse
    sompteuse lumière
    reliance
    à coeur ouvert
    j’aime

    véronique

  87. Déesse Ô ma déesse
    Je t’ouvre mes deux bras
    Pour t’accueillir ma Loire
    Moi le Sieur Océan
    Et chaque seconde
    C’est l’étreinte
    Depuis mille ans
    Et nos splichs se gouttent
    D’eau précieuse
    Se nagent tendre
    Autour du globe
    C’est pourquoi ce soir
    Une goutte
    Dans la main de Miss Annick
    Qui l’a recueillie à La Turballe
    Cette perle fine de Loire
    Qu’elle met sous globe

    Sourire!
    Et bien, les petits malades ‘y’ s’énervent de température,
    et moi qui me sens si calme ce soir, caressée tant par le vent frais, serrée par le soleil, flirtée par les coques de noix, envolée par les mouettes, musiquée par la mélodie de la mer….bises du soir, et j’y mets des sels de mer pour un bien être garanti….sourire.

  88. Une chambrée de malades!
    Qu’est-ce à dire, au sortir de l’hiver,
    cette débauche de mouchoirs?
    La Loire si basse
    le fièvre si haute
    J’irais au bord du fleuve
    cueillir l’hysope et la menthe sauvage
    un peu de miel un peu de lait
    il y en aura pour tous les goûts!
    A moins que carottes , chou et céleri
    Ne se lient en un bouillon clair et chaud
    Pour éclaicir vos fronts embrumés
    Bonne nuit à tous les enrhumés et aux autres.

  89. a nos p’tit loirs
    un grog à boire
    deux ou trois mouchoirs
    bien au chaud dans le noir
    et demain soir
    on va tous s’asseoir
    et prendre une p’tite poire
    pas a manger mais à boire
    et maintenant je vous dit bonsoir

  90. Etre sous l’arche d’un pont
    Lever la tête et par les reflets de l’eau
    Sembler voir le soleil
    Comme je voudrais que cette vision
    Entre dans les yeux des sans abris
    Pour y voir un peu de chaleur
    Ce n’est pas anodin cette confusion
    Mais bien la preuve
    Que l’Oeil Ouvert
    est avant tout
    Un coeur grand ouvert sur le monde
    Sur les autres
    Et qu’un immense soleil
    Brille dans nos coeurs

    Je suis contente Ossiane de te sentir un peu mieux, on a l’impression de renaître lorsque l’on sort de ce cauchemar grippal, à croire que nous y passons tous, pour moi c’était il y a 15 jours. En ce moment il y en a quelques uns parmi nous, Maria D aussi je crois.
    Merci d’avoir métamorphosé ma demi arche de pont en quart de soleil, finalement c’est plus ressemblant. Je ne maitrise pas encore bien les petites possibilités graphiques à notre disposition, j’avais tenté l’arche de pont entière mais j’ai dû me contenter de la moitié, tu vois je ne suis pas difficile. Je t’embrasse.

  91. Sous les ponts de la Loire * coule un fleuve si grand
    Qui charrie tant et tant …..de ses berges mouillées
    Et dessous de ses pier……….res vivent les mousses
    Qu’ un bâteau rare……………….passe si lentement
    Car la pierre lui………………………papote secret
    Connu juste………………………………….du pont
    Qui en………………………………………………a vu
    Des………………………………………………….trucs

    hic de poir’, b’soir’, aur’voir,m’sens devenir un loir’…

  92. bon, c’est pas tout à fait la forme de mon machin, mais ainsi fit l ordi..en truc de lui….on dira que le chemin de la Loire a bu d’la poir’, ohsi!

  93. fleuve de la vie
    par chemins, rives et dérives
    au bout , tout au bout
    un sablier hors du temps
    délivre un espace hors du commun
    une fine pluie d’or inonde

    la croisée des chemins

    poussière d’étoiles
    dans la paume de ma main
    un souffle de vie
    la bise caresse
    le fond du ciel à la surface des eaux
    délicate danse
    délice des cieux

    Véronique

  94. Et quand vient le soir,
    Au bord de l’abîme de la nuit,
    Sur la toile du ciel,
    Le soleil jette avec panache,
    Ses derniers coups de pinceau,
    Parachève son oeuvre.
    Le ciel agonise,
    Au dessus des eaux tranquilles,
    La journée se meurt.

  95. Annick, je ne sais pas si je vais passer le pont, il me semble que l’architecte n’a pas tenu compte de toutes les données, je n’ai pas envie de me noyer, par contre j’ai noté le pointillisme nouvelle version échafaudage , je t’embrasse

  96. …. »Il suffit de passer le pont – c’est tout de suite l’aventure…… »
    pardon Ossiane, il m’arrive d’avoir envie de m’amuser comme une gamine, c’est bon signe, cela veut dire que le moral est au beau fixe… pour voir renaître demain un jour tout beau…

  97. sur le fleuve, elles sont couchées, des milliers et des milliers de petites étoiles. Le sablier d’étoiles lui tout doucement s’ecoule, il est temps d’aller se coucher, de rêver, en attendant demain, un jour nouveau.Un jour nouveau qui vas encore nous reserver pleins de surprises…. la vie et un long fleuve tranquille…..

  98. Sabine

    Le marchand de sable est passé ce soir chargé de milliers de petites étoiles, elles brillent dans mes yeux en attendant comme toi Sabine un jour nouveau tout auréolé de bonheur et de soleil. Rendez-vous demain à Amboise, étoile du bord de Loire. Bonne nuit Sabine

  99. >Merci Véronique, Annick, Pierre, marc, monique, sabine pour la beauté de vos mots, pour vos pensées amicales. Ce n’est pas encore la grande forme ; ça revient tout doucement… Je vous embrasse tous.

    >Monique, pour revenir à ton arche de pont, sur le message que je reçois pour me prévenir d’un commentaire, on voit vraiment un cercle comme un soleil. Ce n’est pas du tout présenté comme sur le blog;-))

  100. Loire…

    De mes fenêtres je te vois
    Parfois invisible comme ce matin sous ton épais manteau de brume
    Parfois calme comme un lac, quasi miroir où se reflètent le ciel et les arbres
    Parfois tumultueuse quand courant et marée montante s’affrontent

    Oserai-je un jour continuer ce long voyage entamé il y a 18 mois

    Aller à pied sur 1 200 kms

    De ton embouchure vers ta source
    Comme on remonte soit-même le fil du temps en espérant comprendre
    Comprendre on ne sait trop quoi
    Peut-être mieux accepter sa propre histoire

    Ou au contraire partir de ta source
    Et se dire que les confluents croisés
    comme les personnes que l’on rencontre
    ne sont là que pour apprendre à grandir
    avant de se noyer dans l’oubli de la mer salée
    salée comme peuvent l’être les larmes

    Mais les larmes sèchent,
    L’eau de la mer s’évapore
    Ne reste que le fleur de sel

    Qui la récoltera

  101. « le long du fleuve » le long fleuve
    né au bord de la rivière…un matin d’hiver…
    entre les calcaires qui annoncent les terres arides et chaudes du « sud », et les derniers terrains « schisteux » du massif central…
    j’ai glissé non enfance sur ses galets…
    mon grand-père avec ses barques à fond plat, ses éperviers, ses nasses, ses filets,…
    les truites, les brochets, les sandres, les goujons…, les écrevisses …
    sa cuisine sacré, souvenirs de mets exquis et de saveurs vraies aprisent chez Lasserre…
    les matins de marché pour choisir ses oies, ses canards, ses truffes, ses vins,…,
    les copains, les virés, …,
    le rugby « d’allez les petits »,
    le sable fin doré sous les peupliers, les zones d’ombres, les saules, les courants, les digues et les « gours »…
    « rivière espérance », pour certain, pour moi tu es l’un des liens qui scelle hier et demain…
    et puis les révoltes qui grondent dans ses souvenirs : un maquis, Lurçat, Camus,…,
    et un peu plus loin un A.Breton au bord du Lot puis les motos d’Astruc, et les guitares et le saxo de Destic et la batterie de Polo … au loin n’est ce pas la voix de C Nougaro,…du Jazz…
    la tonnelle et les verres de …
    et ton copain libraire à Cahors,
    et le beau tonton « Mickey » qui faisait la nique au fachos, et qui s’en revenait de « Jaca » en chantant du Lorca…
    puis bientôt Léo…mais qui a laissé la ville rose dormir dans les bras de ses petits-enfants…sanglots…
    Puis viendra Oncle Maurice et la vallée d’Aspe,
    puis c’est quoi ce drôle de tatouage sur ton avant bras : des numéros : nuits et brouillards…
    pourquoi t’es devenu Anar,
    et que tu as connu P.Loti quand tu étais petit ?
    C’est vrai aussi que tu as connu les cinq fils du pasteur,
    que tu appelais Charles : Charlemagne, et qu’un soir d’orage au Balaïtous vous aviez cru mourir,
    que l’Algérie t’as fait partir, qu’en hiver je ne sais pas lequel 38-39 tu t’es échappé de GURS…entraînement pour les autres camps bien plus lointain et encore plus froids
    et que tu n’aimes pas le bruit des bottes,
    et que tu as écrit à Allende,
    et que tu étais témoin au mariage de Théodore M…qui marche dans les sables… Que sur tes tableaux derrière les montagnes d’Accous, il y toujours les yeux d’une femme qui vivait entre Adour et Amour…
    Dans les ruelles d’Alger, ta jolie juive-arabe, s’en est allée couchée dans le vent des balles perdues après une drôle de nuit où passait « le tango-bleu »…
    je ne suis pas « artiste » …,
    et puis Nîmes et la maison Carré devant ta maison d’exilé et ton jardin bambous les pieds dans le Gardon
    simplement comme le « facteur-cheval »…,
    avec mes poèmes et en mélangeant mes mots avec mes peintures et des « je t’aime » dans les encres de couleurs et les gouaches …,
    mais avec le temps je ne désespère pas de prendre le temps d’y consacrer plus de temps…, mais toujours en m’amusant…,
    et en gardant un instant pour aller aux matchs de rugby…,(du côté de Brive, de Toulouse, de Pau, ou d’Oloron…)
    à moins que ce ne soit à Sidney chez Philippe, mais là c’est une autre histoire, et celle là je ne l’a connais pas assez…

  102. >Aspe: superbe ballade avec un ou deux l tu nous donne des ailes à la recherche de ces souvenirs , ce ne doit pas être facile d’appeler à la conscience tant de choses, je suis tourneboulé par tes mots, tes images et l’impression qui s’en dégage, Merci de ce partage, rare et si beau.

  103. Aspe…
    ça valait la peine depuis ta vallée de nous donner ce texte…fleuve, qui nous entraîne et nous fait voyager dans les contrées de ta mémoire, au plus près peut être de souvenirs qui te sont chers.

    Je n’ai fait qu’exprimer une émotion sincère. De par la mise en mouvement de ces images tu as fait défiler un kaléidoscope riche et impressionnant avec ces couleurs et ces saveurs de l’enfance; parce que la mémoire olfactive est la plus fidèle et que puiser aux sources de la vie, de notre vie est essentiel pour se rappeler comment tout à commencé et d’où tout vient.

    J’aimerai bien pouvoir en faire autant de manière aussi simple, courte et lucide, vrai de vrai !

    Bonne journée: ce fleuve décidément n’en finit pas de nous inspirer et de nous guider et c’est très bien comme ça.

  104. >Aspe:
    Bravo Aspe, ton évocation nostalgique est pleine de beauté et d’émotion. Ton texte pourrait faire un superbe portrait de toi pour la Galerie de Passgers! Un grand merci pour la sincérité et simplicité de tes mots et émotions.

  105. >@nn@ :
    Magnifique poème pour cet hommage à la Loire depuis sa source jusqu’à la mer! L’as-tu vraiment remonter à pied? En tout cas, on sent sous tes mots que cette terre ne t’est pas étrangère. Merci pour ta belle écriture subtile.

  106. Merci de tes mots, chère Ossiane
    Tes douces pensées me soutiennent, Annick
    Tes pensés ensoleillés, aussi, Claudie
    Tu qui m’embrasses, Monique
    Même les pensées enfiévrées de Bourrache
    Vos pensées me fortifient, mes amies, mes amis du Blog
    Une chambre de malades?
    Je n’ai vu personne, je n’ai bu legrog!
    Tout Le monde est déjà bien?
    ————————————————-

    Le fleuve de la vie
    Peut être triste
    Peut être joyeux
    Selon ton histoire
    Mais,
    Quand on parle de la Loire
    C’est la gloire,
    C’est toujours belle!

  107. >Neyde:
    Et de nouveau, tu empruntes tes habits de poète avec la sensibilité qui te caractérise. Tu as retrouvé définitivement le fleuve de la vie;-)

  108. Ossiane, je n’ai pas fait les 1 200 kms car la réponse était là:
    « …Oserai-je un jour continuer ce long voyage entamé il y a 18 mois… »
    J’ai juste marché sur des tronçons du GR 3 entre Rigné-17 octobre et Sully sur Loire le 20.
    4 jours de marche en solo, loin de la famile, pour faire le point… sur plein de choses… et moi même en premier :-))
    Cette année, changement de poste oblige, c’est plus difficile, mais j’esssaierai peut-être …mais chut il ne faut jamais parler trop tôt de ses projets…

  109. >@nn@:
    Bonsoir Anna, Un beau périple sans doute à continuer en plusieurs fois. C’est déjà pas mal ce que tu as fait. On pense beaucoup quand on marche mais on se vide la tête aussi. Bonne fin de soirée.

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