Dormir

titre

dormir

Le grand sommeil noir dans les plis de soie blanche, comne un drap glacé

Lecture du Haïku Calligramme: de haut en bas

Le grand sommeil noir
dans les plis de soie blanche
comne un drap glacé

Le lit de la Loire

122 réflexions sur « Dormir »

  1. berceuse pour Ossiane :

    « Dans le mitan du lit,
    Dans le mitan du lit,
    La rivière est profonde, lon la,
    La rivière est profonde  »

    le sommeil est un fleuve tranquille
    où un rêve parfois descend
    un beau navire aux voiles blanches
    qui prend le vent
    et que les vagues de la nuit
    balancent doucement
    vers le grand large des étoiles

    « Dans le mitan du lit,
    Dans le mitan du lit,
    La rivière est profonde, lon la,
    La rivière est profonde « 

  2. Dans le creux de la soie….une page blanche doucement froissée…quelques mots tendres pour t’entourer…des éclats de lumière pour la nuit repousser….un bouquet de pensées pour te réchauffer….dans un souffle délicatement poser….des signes et des baisers d’amitié…Soie blanche et laine mélangées…des broderies et des jours…qui pointent le bout de leur nez….je t’assure Ossiane…..c’est bientôt l’été….Je t’embrasse….Pierre

  3. Ami(es) du jour
    Bonjour !

    Ma chère Ossiane,
    Tes notes
    Souvent si tardives
    Révèlent
    Un certain manque de sommeil !

    Dormir comme un loir
    En bord de Loire
    OUI !
    Mais d’un sommeil noir
    NON !

    Je te propose
    Pour l’heure,
    Un sommeil très réparateur,
    Plein de rêves en couleurs
    Avec
    De l’action,
    Des émotions,
    Plein de petits internautes
    Gravitant comme des astronautes
    Tu pourras ainsi
    Toi aussi
    Recharger tes batteries
    Et si la chance te sourit
    Un p’tit voyage astral
    Te remontera le moral
    A un niveau pas banal !

    Alors, au réveil
    Pleine de rêves
    L’esprit reposé
    Le corps réchauffé
    Tu pourras repartir
    Pour un nouveau
    Safari photos
    Bonne
    Sera la récolte !

    Repose toi bien !

    Biseeeeees rêveuseeeeees
    Mais coloréeeeeeeeeeeees

    PS /
    Tout ce qui est énoncé
    Plus haut
    Reste valable
    Pour tous les autres malades !

  4. 1ère et 2ème Photo :

    Maman hérisson
    Et BB hérisson
    Sur la berge égarés
    Ont regagné
    Leur nid douillet
    Entre les branches
    D’un tas de bois
    C’est là
    Qu’ils sont les rois !
    Pas fous
    Ces deux là !

    Biseeees piquanteeees !

    PS :
    Et ils vont
    faire
    des
    rêves
    en
    couleurrrrrrrs

  5. Malgré le noir et la glace
    Reste à l’écoute
    Des mots chantent pour toi

    Malgré le sombre et mal
    Ouvre tes sens
    Des ondes chaudes voguent vers toi

    Contre les cauchemars et la chute
    Cherche l’éveil
    Mille couleurs étincellent près de toi

    Certaines quêtes sont rudes
    Mais chaque pas est une victoire
    Alors reprends ta marche…

    Des sourires tendres t’accompagnent…

  6. La nuit devint grave
    Avec les derniers vers

    De la boire jusqu’à la lie
    Hallali, Ah là là

    Chasser la peur du fleuve
    Toutes les fleurs n’y peuvent

    A jeter son image
    J’imagine
    Noyée dans ses pensées
    A percer le miroir
    Jaillit un cri d’horreur

    Elle a la tête ailleurs

    Glisse en somme dans le soir
    Epouse vagalame
    S’éprend de soie sauvage

    Du haut de la falaise
    Elle voit des goélands

  7. Comme une ride sur la peau
    Laissée par un pli du drap
    Sur ta joue s’est placé le sceau
    De ton passage entre mes bras

    Matin bonheur

  8. Il y a dans cet espace
    Des milliers de contours
    Des milliers de menaces
    Des rêves sans détour
    Des toi des moi des eux
    Des rivages étranges
    Des amours interdits
    Et des malheurs taiseux
    Qui recouvrent parfois
    Les bas étages de la nuit.

    Il y a tout cela
    Mais ce soir mon aimé
    Dans le lit de mes songes
    Se niche ton regard
    Et ton sourire d’or
    Un espace comblé
    Un espace fermé
    Un espace oublié
    Des humains et du monde
    Glissant sur les marges des ports.

    Merci Ossiane pour ce voyage entre-deux 🙂

  9. Il souffle un vent de tristesse
    Froid, glacial et qui me laisse
    Un sentiment d’impuissance;
    Infime devant cette existance!

    Des rides se forment sur nos faces
    Et la nuit assombrit l’horizon!
    pourtant continue les saisons
    insensibles au temps qui passe.

    Seul l’affection et la bienveillance
    nous permettent de résister
    aux affres, et aux souffrances
    Et nous donnent la force d’espérer.

  10. douceur infinie
    blottie au coeur du noir profond –
    s’y arrêter pour plonger
    dans la nuit du monde et des coeurs,
    richesse infinie,
    plus profond, plus profond –
    et pour y accéder
    nous vaincrons la froide peur

  11. La nuit,le jour
    porter toujours
    par devers soi
    un peu de soi
    sur les chagrins

    au grand festin
    veille la mer

  12. Dormir, il nous restera le temps d’en rire…
    paresseuse caresse
    d’une lente lueur orangée
    dans nos esprits
    embués…

  13. « désirs et doux plaisirs »…
    … »pour conclure
    vient te coucher
    à mes côtés… »
    – m’avait-elle dit
    surpris et naïf que j’étais
    – je savais très bien
    qu’elle ne voulait pas dormir…

  14. ___

    Recette du jour :

    Bien récurer la marmite afin d’éviter la contamination.
    Versez quelques cuillérées d’huile Corsée, première pression, à froid.
    Y faire frétiller les rondelles du temps, lavées, rincées, essuyées et finement émincées (à défaut : poireaux et oignons feront l’affaire).
    Ajoutez quelques pommes d’Amour (à défaut : des pommes de terre) découpées en cubes, en croissants de lune suivant votre imagination.
    Versez un litre d’Oôôôôssiane.
    Ajoutez … de sel, … de poivre.
    Une feuille blanche (à défaut : une feuille de laurier).
    Laissez mitonner sur fond de musique de Maria-D. , le temps que tout soit à point (ayez l’Oeil ! les points d’interrogation, ça fait tourner la soupe..)
    Pour un résultat onctueux, passez au mixer du temps d’avant.
    Saupoudrez de « tournures », l’herbe sacrée et secrète de Neyde (à défaut : de persil), d’un nuage blanc de vol de goéland de Bernard (à défaut : de la crème fraîche) et d’un brin de sagesse de Monique.
    Gardez au chaud sous les bougies d’Annick jusqu’au moment de servir.

    Manquent quelques ingrédients.
    Qu’ils ne se froissent !
    Marc et l’aile lisse de son hélico vont les prendre en passant.

    Y’a si longtemps qu’on n’a plus siroté au resto-bistro de l’Oeil Ouvert …

    … ce soir, le p’tit noir est offert.

    T’es d’accord, hein, Ossiane ?
    _

    J’aurais jamais cru que faire une soupe aux poireaux me ferait déc…… autant !

    Biz à tous.
    ___

  15. Bonjour, j’aurais aimé vous chanter des mots doux et joyeux, mais la force de ma mémoire guide ma plume en d’autres résonances,
    ____

    J’ai reçu à vif, la puissance de tes mots
    Exorcise ma douleur
    Lève le voile sépulcrale
    Du miroir glacé de ma mémoire.
    Fleuve dévastateur
    Tes eaux calmes et trompeuses
    Ont versé en mon âme
    Leurs torrents de souffrances.
    Je couche mon regard
    Sur l’image limpide et glaciale
    Mais je sais dans les replis de tes draps
    L’ampleur de mes blessures
    Enfouies dans les remous de tes sables mouvants.

    Le week-end approche avec son repos compasateur et le soleil en prime.

  16. Ohhhh, Monique …

    Là, on est mal barre …j’ai plus de recette …

    Marc, siouplaît, ton hélico…. pour le p’tit noir de ce soir … au bar … de l’Oeil Ouvert …

  17. J’ai imaginé ce que pourrait dire une personne à quelques mois ou quelques années d’intervalles

    « dormir
    et pour quoi faire ?
    j’ai toute la mort pour dormir moi !
    je veux vivre chaque minute de cette vie
    pour en savourver les instants les plus précieux
    me délecter de cette douceur que je vois dans tes yeux »

    « rire
    et pour quoi faire ?
    je n’ai pas le coeur à sourire moi !
    je veux dormir pour ne plus souffrir
    et me relever quand je le pourrais enfin
    Mais pourrais-je un jour me relever quand la vie n’a plus pour moi aucun goût »

    Ainsi va la vie, faites de tempêtes, de tourments, parfois petits ou grands. Tempêtes qui vous laissent anéanties, meurtries, dont on se dit qu’on ne s’en relèvera pas. Mais beaucoup d’entre nous se relèvent certes différents d’avant, clauquediquant, et la vie arrive même à nous sourire à nouveau parfois.

    J’aimerai avoir à nouveau une pensée ce soir pour Ingrid Betancourt dont la prise d’otage remontera à 6 ans demain.
    Sincères pensées à Ossiane, Neyde, Annick et à tous les autres blogueurs de « L’oeil ouvert » qui traversent des moments difficiles.

  18. AU SORTIR DE LA SIESTE

    Dormir est une activité diurne
    Gaspillage de l’amateur de shopping
    En tout genre
    La nuit n’est pas propice au sommeil
    Surtout quand la lune est d’argent
    Et son sourire une obole
    Plus noire est la nuit
    Plus brillant le sourire
    Les insomniaques savent que la soie
    N’a pas de pli sous la couture
    Que les paupières dessinent
    Dans les méandres de la nuit

  19. C’est tout ce qu’elle ne peut plus faire, dormir. Et quoi d’autre à part se jeter dans son intérieur infini tandis que lui, juste un homme qui a envie d’elle et qui se souvient de son père, ce qu’il disait de son père, qui le disait peut-être de son père jusqu’au temps, pas si lointain, où certains de ses ancêtres avaient fait les malins. Et elle c’est tout ce qu’elle pouvait faire dans la pleine lune éternelle dormir, et quand elle ne le pouvait regarder l’infini ou lui, s’il ne dormait pas, s’il s’énervait dans cette école maternelle volante, encombrée, lui raconter une histoire, avec ses flux et ses reflux, une histoire à tiroirs avec des amphores et des messages dedans, pleines d’histoires, jusqu’au seuil. C’est autre chose qui commence, au seuil. Mais ce n’est pas encore.

  20. Dormir
    Dormir
    Dormir
    Réagir
    Ouvrir
    Sentir
    Tenir
    Lire
    Ecrire
    Sourire
    Jouir
    Rire
    Rire
    Rire

    Un peu de gaieté dans ce monde de brutes. Si j’ai bien compris c’est l’heure de la soupe

  21. Programme pour le week-end

    Pas de réveil à sonner
    Lever tardif
    Bon repas
    Sieste
    On se remue un peu
    Histoire de prendre l’air
    Et s’oxygéner les méninges
    Dîner léger
    La soupe de Bourrache
    Etant bien appropriée…
    Observer attentivement les poules
    Qui vous donneront l’heure du coucher…

    Si problèmes pour s’endormir :

    1ère méthode :
    Choisir un bon pavé à lire
    Le plus chiant possible,
    Le nombre de lignes lues
    Etant fonction de la qualité soporifique
    De l’œuvre sélectionnée….

    Autre méthode :
    Bien allongé(es) sur le canapé
    Devant la télé allumée
    Un programme que jamais
    Vous ne regarderiez en temps normal…
    C’est radical !

    Une autre ?
    Compter les moutons !
    1 mouton
    2 mouto
    3 mout
    4 mou
    5 mo
    6 m

    ZZZZzzzzz
    ZZZzzzzz

  22. 22°C aujourd’hui, c’est pas mal pour un mois de février
    alors au mois d’août, qu’est ce que ça va être !

  23. métro, boulot, dodo….
    connais pas.
    dans le midi.
    Pas de métro,
    un peu de boulot,
    et beaucoup de farniente……

  24. Merci Bourrache pour tes idées qui ont le mérite de redonner le sourire aux esprits les plus fatigués ; et je peux te dire que la soupe de légumes que tu proposes dans sa large originalité est encore meilleure après une promenade oxygénante à travers la campagne, quelques paroles échangées avec trois beaux chevaux en quête de caresses , quelques notes sifflotées en accord avec les oiseaux, et une petite remontrance à ce petit chien qui voulait me faire peur et qui avait encore plus peur de moi. J’ai échangé le temps d’une balade les berges de la Loire et son ruban d’argent-violine pour les rives du Rhône gris bleuté sous le soleil généreux.

    Recette épicurienne par excellence :

    Un petit détour par l’Oeil Ouvert,
    Une pensée pour chacun
    Un bon bain relaxant
    Aux huiles essentielles
    S’appliquer à savourer tous ces petits bonheurs simples ,
    Trouver quelques jolis mots à lire
    Puis Dormir la fenêtre entrouverte
    Pour se réveiller le matin
    Avec le chant des mésanges
    Dans la lumière tendre de l’aube.

    Bonsoir à tous, Christineeeeee, Sabine, Marc, Rachel, Bourrache, Dilgo, gmc et tous les autres, bonne soirée en compagnie de notre chère Ossiane.

  25. oh, !

    Mon amour.

    Dans le sommeil,
    Toujours,

    Mon amour,
    Un coin,
    Ou je m’émerveille….

    Celui,
    Ou,
    Au plus profond de ma nuit,

    Je te retrouve,
    Je te reconnais.

    Oh,
    Mon amour……

  26. Le calme du soir

    Reflets du silence dans le miroir
    Mon coeur somnole en attendant le jour
    Glissent les pensées sur « la soie blanche » du fleuve

    A la surface de l’eau ardoisée
    Sur les toits recouverts de brume
    Une ligne d’horizon s’est perdue.

    L’esprit s’égare dans les rêves
    L’inconscient prend les rênes
    Le corps en flotaison

  27. m’endormir me fait peur parfois
    mais quand tu me prends dans tes bras
    je me blottis tout contre toi
    je m’endors confiante

  28. Dans la pénombre de la chambre
    Nos corps enlacés se détendent peu à peu
    Eclairés par lumière tamisée.
    Les gestes se font plus lent
    Et ton souffle rythme mon cœur.
    Doucement je caresse ta peau
    Dans une tendre plénitude
    Les corps timidement se blottissent
    Enveloppée dans une béatitude
    L’âme glissant en apesanteur
    Vers la nuit et sa torpeur
    s’endormir, se tenir…rêver

  29. ce soir, comme à ton habitude, sans un mot, dans le lit tu te glisseras, alors tout doucement, délicatement, dans tes bras, je vais me blottir, et avec une infinie tendresse, et beaucoup d’amour, je vais m’abandonner à toi…… la nuit, je la sais, vas être câline et coquine……

    bonne nuit à tous et à toutes……

  30. là haut, dans la colline, à l’abri des regards, il y a le cabanon. A l’echelle de meunier nous sommmes grimpés, impatients, maladroits, malgré les draps glaçés, à la lueur des étoiles, nous avons fait l’amour….. et ensuite épuisés par toutes ses prouesses, un bon gros dodo…ensemble, pour la premiere fois…..

  31. Pour donner du goût à la soupe « romantique » de Bourrache …
    Vite un bol, même deux, sert moi tant qu’il y en aura, tous les soirs…L’habitude ne peut contrarier ton tour de mains lorsque tu prépares ta soupe et nous que tu nous la fais déguster…
    Et aussi, aux idées câlines et coquines de Sabine, de Rachel et Monique …
    A toutes, à tous, quand vient le désir de ne pas dormir…
    ———————_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_—————–
    … »Et dans le silence bleu du matin, tes lèvres en attentes sur mon rêve…
    Caresses du bout des doigts l’objet de ta tentation, désir absolu de tes sens,
    Parfum de coriandre à la sève de ton ventre… »

  32. Bonjour, ne vous inquiétez pas, je vais bien ; j’avais besoin de prendre un peu de recul. Je vois que vous ne vous êtes pas ennuyés sans moi et c’est tant mieux 😉

    >amichel :
    Merci pour ta belle berceuse apaisante qui donne envie de retomber en enfance 😉

    >Brigetoun :
    Beaucoup de chaleur en toi, ça suffira amplement 😉

    >pierre b :
    Tout à fait un thème pour toi 😉 Je te crois pour l’été 😉 Merci, c’est sympa.

    >pierre :
    Les Pierre ont de la douceur à revendre 😉 Merci beaucoup.

    >Christineeeee :
    Les Christineeeeeeeeeeee ont de l’énergie et de la bonne humeur à partager-) Ca fait un bien fou 😉 J’écoute tes conseils !

    >andrée :
    Il y a un peu de tout ça dans la photo, c’est vrai, merci à toi.

    >françois :
    Ah bon ça existe ça ?

    >Nigra :
    Des poèmes toujours superbes qui résonnent fort en chacun de nous. Bravo à toi.

    >Bernard :
    De l’humour, de jeux de sonorités, de belles images et de la générosité, comme ça te ressemble. Thanks a lot 😉

    >Maria :
    C’est tout à fait ça. Merci pour ton bel haïku et tes pensées que je te retourne.

    >Phil Alba :
    Bonjour et bienvenue sur le blog, je vois que tu as suivi mon conseil 😉 Un joli poème plein de tendresse, merci pour le cadeau 😉

    >Johal :
    Tes mots sont à fleur d’eau et d’âme. Tu t’es glissée en beauté dans ces draps de soie. Un grand merci pour ta sensibilité.

    >marc :
    Belle sensibilité également chez toi Mac et l’envie ausis de donner beaucoup d’amour. Merci pour ta belle plume.

    >sabine :
    Beaucoup de spontanéité, de tendresse et d’envie de donner. Jolies pensées câlines 😉 Tu n’es pas la seule ce soir 😉

    >aspe :
    Tendresse et humour pour toi aussi. Tes poèmes sont délicieux 😉

    >Bourrache :
    Le plein d’énergie pour toi aussi ; le soleil brille chez toi 😉 Je suis d’accord pour le petit noir et pour ta bonne soupe aussi qui m’a beaucoup amusée;-)

    >feu roméo :
    Un poème subtil et profond, merci à toi.

    >Monique :
    Oui Monique, on peut voir ces images de façon terrible ou très douce, je te suis bien là-dessus. Tes mots sont pleins de force et de beauté. Merci également pour ta recette aux huiles essentielles qui apaise. Je t’embrasse.

    >Rachel :
    Merci pour tes douces pensées et tes réflexions sur la vie que tu exprimes de manière si vivante et poétique. Beaucoup de tendresse là aussi à donner. Bises de la nuit.

    >gmc :
    C’est beau aussi le monde de la nuit, je suis un peu noctambule. Merci pour ton beau poème.

    >@nn@ :
    Bonsoir et bienvenue sur le blog 😉 On peut tout imaginer à partir de ce lit scintillant ; merci à toi.

    >fauki :
    Douce rêverie autour de ce lit blanc. De l’émotion dans ta voix. Merci fauki.

    >le sid :
    Tes haïkus sont puissants et fouillés ! Le premier est émouvant. Merci pour ta belle écriture.

  33. J’espère que la nuit, fenêtre entrouverte, fut douce pour tous et n’en a pas épuisé certains (je parle de ceux qui ont dû compter les moutons, bien sûr !).

    Biz et belle journée.

  34. Et non
    Bourrache,
    j’ai pas compté les moutons !

    Coucou du matin
    pendant que le thé
    est mis à chauffer
    heure du petit déjeuner
    belle journée
    ensoleillée !

    Contente de te lire
    Ossiane !
    Mais pour ce qui est
    du coucher tôt,
    c’est encore loupé !
    Comment tu fais ?
    A ta place,
    je serais « cuite » depuis longtemps !

    Biseeeees du sameeeeeedi !

  35. Le sommeil est réparateur
    l’inconscient en est l’acteur
    d’ouverture il est facteur

    Le sommeil c’est la détente
    pas forcément sous la tente
    des songes et des idées noires

    Le sommeil nous fait explorer
    de la conscience les plis
    sans provoquer le repli

    Le sommeil est calme et douceur
    rien ne vient troubler sa surface
    à moins qu’on ne s’enlace

    Le sommeil est haché
    quelque chose à cacher
    là c’est vraiment gaché

    Le sommeil c’est ce rivage
    qu’on aborde nostalgique
    avec ses effets magiques

    Merci oSSIANE pour cet apaisant rivage qui laisse venir tant de douceurs
    un grand bonjour et beaucoup de soleil des côteaux du Lauraguais
    pour tous les visiteurs, et bien sûr des pensées et des mots pour notre chère Neyde.

  36. Belle
    Loire
    In Love
    En son lit
    Lovée
    Luit
    Dans la nuit
    Et lit
    Alanguie
    Les vers
    Luisants
    De la poésie
    Endormie…

  37. En ce samedi matin
    après un sommeil réparateur
    la Loire s’éveille.
    Un peu de brume
    un reste de fraîcheur
    les bancs de sable s’étirent
    paresseusement en ses bras
    les cormorans à bord guettent.
    Il va faire beau.

  38. >Christine: c’est une devinette, chez les lézards ! quand la toponymie nous vient en aide, aux portes du Lauraguais, tout près d’un des bastions citoyen
    où le taux de participation aux élections est proverbialement haut et l’engagement associatif aussi.

  39. Et sur ce chemin ombragé tu m’as pris la main. Tu m’as parlé doucement comme si tu t’adressais à une malade que l’on protège. Tu m’as dis que nos chemins s’arrêtaient là, que tu savais la peine que tu me faisais. Mais que c’était plus fort que toi et que tu me respectais trop pour me trahir, que tu avais rencontré quelqu’un. Malgré toi elle occupait tes pensées du soir au matin. Ironiquement j’ai pensé, qu’en effet, je devais encombrer les tiennes. Je n’ai pas versé une larme. J’ai immédiatement voulu donner le change. J’ai dit que je comprenais. Que pour moi aussi les choses avaient changé depuis quelque temps.
    Tu m’as quitté presque soulagé que je réagisse aussi bien à la situation. Je suis resté à la même place, inerte.
    Alors le sol s’est dérobé sous mes pieds. Je me refusai à comprendre ce qui m’arrivait. Le temps s’est écoulé sans que je m’en aperçoive. La nuit m’a enveloppé de son drap glacé. Alors les larmes ont coulé.

  40. Thierry !

    Si je réponds :

    43°16’37 » ; 01°20’51 »

    je brûle ?
    ou je reste encore dans le froid ?

    en tout cas, ça fume un peu du côté des méninges !

    Bon après midi quand même !

    Bises enfuméeeeeeeeeees

  41. Bon,
    je vais essayer un lien « déguisé »
    histoire de pouvoir dormir tranquille…
    Si ça passe, faites un copier et coller après le http

    fr.youtube.com/watch?v=fD_0UEBYfOk&eurl=http://video.google.fr/videosearch?q=dormir&num=10&so=0&hl=fr&start=60

    Prison ? pas Prison
    What is the question….
    J’envoie…

  42. Un jour ou plutôt une nuit, j’en ai déjà rêvé
    Je ne sais pas à quoi elle ressemble
    Mais elle m’apparaissait douce il me semble
    Malgré la tentation je l’ai repoussée

    Cétait après un de ces tristes soirs
    Ou l’on pleure solitaire dans le noir
    Et dans le miroir déformé du monde
    On ne perçoit que le vide et l’ombre

    Doucement on songe à s’endormir
    Fuire au plus loin de la souffrance
    Quitter à tout jamais cette existence
    Et tranquillement laisser le corps partir

    Mais le cœur pense aux êtres aimés
    Il chasse de sa force ses viles pensées
    Il impose les sourires et l’espoir
    La mort attendra seul dans le noir

  43. Bonsoir,

    Beau poème Marc, émouvant et grave où l’amour sort vainqueur, plus fort la vie.
    __
    Le temps suspendu
    Dans le silence du fleuve
    Frôler l’intemporel

    Le jour et la nuit
    En une symbiose étrange
    L’espoir d’un matin

    Symbole de l’eau
    Elément originel
    La source de vie

  44. Dis moi, tu lis tout ! Il y a de quoi faire une brochure à chaque fois…. La poésie se porte bien et c’est tant mieux…..

    Pour moi, cette Loire
    Que j’aime tant
    a préparé ici ses lamés
    somptueux et sombres
    tel son limon…. harmonie profonde et majestueuse.
    Quel calme, quelle sérénité….

  45. On m’a toujours dit qu’il fallait se méfier de l’eau qui dort, de son apparence calme, plate et intangible.

    C’est vrai que le moindre souffle de vent provoque des ridules concentriques qui s’épanchent et agitent les rives de petits soubresauts.

    Pourtant dans l’ondoiement passe le froissement d’une conscience au feuille à feuille qui affleure le sens et avive l’eau dela.

    Contre plongée onirique où on y risque peu, des rencontres inattendues
    un réveil impromptu.

  46. Avoir le souffle court
    C’est le petit jour
    Sculpter l’air si sensible
    Et le maintenir léger
    Au dessus de l’ abîme
    Pour que le jour se lève
    Sur les rives d’un fleuve.
    Voiles mauves des distances
    Monde tenu par la main
    La-bas ici
    Encore au fond de soi.
    _
    Agréable Dimanche à chacun /chacune.

  47. Thierry : t’as pas dit à Christineeeeeeeee si elle avait gagné avec ses numéros du Loto-du-Lézard …

    Clin d’oeil, sourire et biz à tous.

    Ici, dimanche ensoleillé.

  48. hi hi hi !
    Bourrache !
    Tu as devancé mon commentaire…
    Le suspense reste entier…
    Après avoir tant fumer hier
    Je guette Thierry de mon Oeil ouvert !

    Mais je sais être très patiente !

    Bon appétit !!
    M’en vais manger mon rôti !

    Biseeeeeeeeeees
    Christineeeeeeee

  49. dormir,
    tout simplement s’endormir,
    pour ne plus penser à rien,
    faire le vide,
    oublier ses soucis, ses angoisses, t’oublier,
    dormir, dormir,
    et se laisser berçer par ses rêves……

  50. dormir, pas le temps de dormir, y a bien trop à faire….
    il nous faut vivre, rire, s’aimer, partager, sourire, avant de se mourir…..

  51. Le noir engloutit
    Mes yeux délavés
    D’espoirs abandonnés

    Dis moi qu’il existe encore
    De la douceur, de l’humanité
    Je ne sens plus mon corps …

    Le noir engloutit
    Mes yeux délavés
    D’illusions abandonnées

    Dis moi qu’il existe encore
    Les yeux de l’été
    Je ne sens plus mon corps …

    Le noir engloutit
    Mes yeux délavés
    De rêves abandonnés

    Dis moi qu’il existe encore
    Les yeux de l’amour
    Le sang me glace le corps …

  52. Coucou Ossiane encore flagada ? j’émerge doucement de mon côté (le rhume est tenace cette fois ci)
    > tu as gagné un loto lézard Christine ? bonne nouvelle, espérons que Thierry revienne à bord pour nous faire participer Je suis très joueuse également
    Bonne après midi

  53. >Christine: je suis peut être allé trop vite en besogne, ou du moins n’ais je pas considéré toutes les étymologies possibles ; la seconde semble venir de l’oiseau
    mais comme pour le reptilien il s’agit de racines occitanes. Alors soleil, val, cultures, crêtes, proximité de la grande ville, tout est dit ou presque, quant aux coordonnées je vais aller vérifier, je ne les connais pas par coeur.

    Un grand bonjour à Ossiane avec, espérons le, une forme retrouvée.

  54. Merci Thierry pour cette nouvelle indication.

    Deuxième proposition :

    1°34’00 » ; 43°32’33 » ?

    Christineeeeeeeee

  55. ___

    Les brumes des rhumes s’estompent.
    Un lézard se dore au soleil
    (huit mai août ?)
    (d’où le soleil doux d’août ?).

    Tout dépend
    Des chiffres
    En suspens.
    Pas de la question
    De compter les moutons…

    Ceux-là sautent
    Les barrières
    Des rêves
    Des épuisés.

    Le fumé rôti
    Se mange à midi.
    Pépé-de-la-Vallée,
    De deux générations,
    Rajeunit.

    Un printemps précoce
    Fait sont apparition.
    Les enfants
    Se retrouvent
    Avec l’envie
    De jouer
    Dans la cour de récréation.

    Et
    Le fleuve
    S’écoule.
    Paisible.
    _

    (Me voilà revenue à mon bac à sable, donc :
    la cote de mon bulletin du dimanche soir va à nouveau chuter !)
    ___

  56. Ah Bourrache !
    Toujours la pro
    du pôt
    Aime à dormir debout ! (pour rester dans le sujet du jour)
    La balle est dans le camp de Thierry !

  57. Du pôt …
    Qu’est-ce à dire ?
    Du Po,
    Quelle bonne fortune !

    Moi, je dors comme un loir,
    (komment kon appelle la femelle
    du loir : la loire ?),
    Au bord de la Lienne,
    Petite rivière belge.

  58. Et sur la Loire flottent les Gabares..
    Attention de ne pas trop charger
    La barque pourrait couler
    Adieu veaux vaches moutons
    et rat musqué.

  59. Bonjour à tous, et dans ce dimanche tout de gris vêtu, chercher une éclaircie au travers des mots.
    ___
    Dans le lit du fleuve
    Où la vie coule lentement
    L’ultime espérance

    Au sortir de l’ombre
    Doucement ouvrir les yeux
    Un nouveau départ

    Loin à l’horizon
    Dans le lit défait du fleuve
    Chaleur de l’espoir

    Si seulement la puissance des mots pouvaient au delà des frontières apporter ne serait-ce qu’un brin de chaleur.

  60. Alors christine ça commence par L et ça finit par E et il y a même un blason, récent et pas tiré de l’armorial officiel mais il a de la gueule (en couleur du moins).
    Je pense qu’avec une bonne carte d’état major tu va trouver, et puis les jeux de pistes ça nous rappelle des souvenirs sympas, la quête, toujours la quête, pas celle de la charité, non la seule la vraie, trouver son chemin et atteindre les buts que l’on s’est fixé.

    Superbe bourrache, tu as le chic pour nous imager des situations.

    Bon courage d’autres indices suivent. Bonne soirée à tout le monde, le vent d’autan (en emporte l’évent) ça fatigue la tête, déjà mes mots ne sont plus droits.

  61. Qu’il y a-t-il ?
    De mystérieuse vie,
    De l’autre, l’inconnu(e),
    Du geste qui conduit le chant clair du silence.
    Est-il (elle) à cet instant
    Invisible et présent(e);
    D’y penser est-ce vrai,
    Ou signe d’existence?
    Encore un soir volage,
    Des folies rougeoyantes, un drame de nuages,
    Les ombres satinées privées de nos visages.
    Entrons dans nos ténèbres
    Où les mots d’or se cherchent
    A peine déposés aux lèvres veloutées.
    Un souffle familier,
    Une infime faveur,
    Eveille l’eau dormante;
    Le rêve effleuré
    S’en va à l’aventure,
    T’envahit sans te dire
    Où sont les mers lunaires.
    J’ai gravé noir sur blanc
    Le vide et le fuyant
    D’une étreinte impalpable,
    Un fleuve qui m’emporte et le sable s’épuise au fil des grands courants.
    Qu’y a-t-il?
    Des reflets, des méandres,
    Des sons imperceptibles
    Pour ceux qui ne voient pas.

  62. Au gré du vent
    Et des cours d’eau
    Il va errant
    A fleur de peau

    Il déambule
    Au fil du temps
    En somnambule
    Le cœur vacant

    Au long des jours
    Et des chemins
    Il vit d’amour
    Et de chagrins

    Bien trop rebelle
    Pour s’habituer
    A notre ciel
    Moins étoilé

    Pierrot lunaire
    si dérangeant
    Pour les hommes fiers
    Et bien pensant

    Au gré du vent
    Et des cours d’eau
    Il va errant
    Au fil de l’eau

  63. Jeu de piste Thierry (suite) :
    On tourne autour du Po (fortune de Bourrache !)

    Exit la deuxième proposition.
    Un doute sur la première, mais le blason n’a pas de rouge.

    Troisième proposition :
    ça commence par un L, ça se termine par un E :
    1° 24′ 03 » ; 43°27’10 »

    Ya du rouge dans le blason ?

    Coordonnées sur Géoportail, En les rentrant, ça t’envoie direct sur le lieu concerné…
    Dis moi au moins si c’est sur le bon chemin,

    sacrebleu, toute la famille est en train de plancher !

    @+
    Christineeeeeeeee

  64. Dormi ra
    Ra bat-joie
    Joie de vivre
    Vivre libre
    Libre ment
    Mentira
    Ras-le-bol
    Bol de thé
    Théodor
    Dormira ou ne dormira pas
    C’est mon choix
    et personne ne me l’imposera
    na !

  65. C’est la sortie des classes, là ?

    Et l’institutrice qui est pas là pour ramener ses brebis et ses moutons dans les rangs … tout le monde en profite !

    Dites, faites gaffe : regardez à gauche, à droite, à gauche, avant de traverser, hein, les enfants !

    Surtout, n’oubliez pas de prendre par la main les quelques timides qui ont un peu froid (Sabine, Monique, Rachel, Nath ..). La traversée leur paraîtra plus rassurante …

  66. A ceux qui s’inquiètent un peu de ma réserve, je reviens doucement vers vous et je vais bien 😉 Je préfère faire des pauses quand je ne me sens pas d’attaque plutôt que de dire n’importe quoi 😉 Merci de votre compréhension.

    >regard :
    Superbe regard ! C’est beau cette écharpe ! merci à toi.

    >Bourrache :
    Clin d’œil vers toi ! Non, non, la cote est stable 😉

    >Christineeeee :
    Je ne me couche jamais tôt car ma vie privée est mêlée à ma vie professionnelle. Il m’arrive de travailler la nuit car j’y trouve davantage de calme et d’inspiration 😉
    Les Toulousains arrivent en force 😉 Quel jeu de piste en tout cas ! Merci à toi.

    >Corinne :
    Joli, subtil, fragile et éphémère. Merci pour ta belle écriture.

    >Thierry :
    Merci à toi, tu habites dans une belle région !

    >Pierre :
    Belle journée en devenir à travers tes mots. Vois-tu la Loire de chez toi ?

    >Maria :
    Beau poème entre deux mondes. Merci pour tes pensées musicales, je t’embrasse.

    >Marc :
    Superbe poème émouvant, marc ! Merci pour ta belle écriture.

    >Monique :
    Magnifiques haïkus en abstraction et émotion! Belle osmose avec ces éléments que tu connais si bien. Merci beaucoup !

    >tubermamie :
    Bonjour et bienvenue sur le blog 😉 Oui je lis tout et essaie de dire ce que je ressens avec sincérité. Et quand je ne le sens pas ou que je n’arrive pas à m’exprimer en mots comme c’est un peu le cas en ce moment, je préfère me taire 😉 Ca n’arrive pas souvent ; il faut dire que le niveau des poètes du blog est plutôt élevé 😉 Tu sembles bien connaître ces lieux vu la façon dont tu exprimes ton ressenti poétique. Au plaisir de te revoir ici et un grand merci !

    >Michel b :
    La nuit fut bonne, calme plat et lisse. Merci à toi.

    >Salomé :
    Beaucoup de subitlité, de délicatesse dans cette évocation de petit matin ! Belle immersion dans les photos. Merci Salomé pour ta plume sensible.

    >sabine :
    Le grand vide du week-end, sabine 😉 Ca fait beaucoup de bien de temps en temps. On ne peut pas toujours courir. Bises vers toi.

    >Nath :
    Ton poème est très émouvant, nath. Comme il te ressemble. Il faut toujours croire en ce que la vie peut donner de meilleur même dans le noir car la lumière parvient toujours à se faufiler. A ta dernière strophe, je réponds Oui. je t’embrasse bien fort.

    >Alix :
    Merci de prendre de mes nouvelles, Alix 😉 Je ne suis plus flagada et je retrouve l’énergie peu à peu. Merci pour ton beau poème liguérien à propos de ce fleuve qu etu connais si bien. Je t’embrasse.

    >Bernard :
    Splendide abstraction poétique ! Que ta plume est belle et vivante, Bernard ! Un grand merci pour ton beau retour.

    >rachel :
    Bravo pour ton poème simple, fluide, clair dont les mots glissent au fil de l’eau. Merci également pour ton humour 😉 Bonne soirée.

  67. > Christine: derniers indices définitifs
    l’église de ce charmant village est au croisement des CD94 et 54,d’un côté on descend vers Auzielle, de l’autre on va vers Aigrefeuille et si on continue tout droit on arrive à Préserville, difficile d’être plus précis!
    Cependant il me semble que tu touches au but et que ta persévérance est enfin récompensée.

    Content d’avoir de tes nouvelles, Ossiane, le pays est superbe mais le vent décoiffe …surtout en ce moment, mais ça peut énerver ou faire dormir.

  68. > Ossiane: je ne vois pas malheureusement la Loire de chez moi. Je suis au bord d’un de ses petits affluents de la rive droite, à 2 km à peine à vol d’oiseau.
    A défaut de la voir, je bénéficie de ses ciels et c’est déjà tout un avoir.
    Je t’embrasse .

  69. >Thierry !
    J’ai trouvé !!

    1°33′ 58″ ; 43° 33′ 24″ qui commence par L et se termine par E !
    (tu peux me confirmer ?)

    Je connais un haut
    Château d’eau
    Aux couleurs très remarquables
    Dominant la Marcaissonne
    Nous le ralions de temps en temps
    En ballade à cheval !

    De ton clocher à mon clocher
    20 km les séparent
    C’est pas bien loin,
    Et pour le vent
    C’est confirmé,
    Il me décoiffe
    Avant de te décoiffer !

    Et pour le jeu de piste
    Me suis bien amusée !

    Biseeeeees ventéeeeeees

  70. Sommeil….

    En mon sommeil,
    Me suis rappellé,

    Une fourchette.

    ça parait con,
    dit comme ça…

    Une fourchette,
    au détour des ans

    S’était envolée.

    Puis, au détour des ans,
    Revenue.

    Entre les deux,
    Jamais, jamais oublié,
    que j’ava

  71. Thierry, Christineeeeeee
    Par hasard, pur hasard, n’y aurait-il pas dans votre coin un « MOSCOU », pas très loin, à quelques kilomètres et un A aprés le premier L et un L avant le E final…et un code postal 3165.?
    Aspe…

  72. ….oups….

    Pardon….erreur de tpouche clavier…..

    …Que j’avais perdu ma fourchette.

    Parfois, souvent,
    Je la sens.

    Elle est accrochée,
    A moi.

    Pour toujours.

    Parfois,
    Elle pleure.

    Oui,
    Fourchete pleure….

    Moi,
    Qui avance toujours,
    De plus en plus près,
    du fond du gouffre.

    Je lui écris,
    Je lui dis :

    Pleure pas !
    Pleure pas !

    Et aussi :
    Descends,
    si tu veux.
    Tu remonteras.

    Si tu remontes pas,

    je t’accrocherai , fourchette,

    à mon bras.
    Je suis barge, yes i do.

    Tu le sais.
    Mémoire…

  73. Bonsoir à tous à qui la nuit vient mettre un terme aux jeux de piste, et devinettes géographiques.
    ___
    Sur le miroir de l’eau
    De la Loire tourangelle
    En eaux fortes, le ciel
    Imprime son humeur,
    Il fixe en mon âme
    Les couleurs du soir.
    Il pleut sur le fleuve
    Une myriade d’étoiles
    En notes cristallines
    Aux reflets d’argent,
    En métal précieux
    Aux couleurs lavées,
    Images tranquilles,
    Sons du triangle,
    tintements et clapotis
    Me bercent dans mon lit
    Au baldaquin de soie blanche

  74. bleu et or

    Jours étincelants
    Rires éclatants
    Océan d’espoir

    Gris et bistre

    Par ces actes cyniques
    Ces actes inciviques
    L’homme l’a blessée

    noir et pourpre

    Le sang de la terre
    Se mele à la nuit
    Et eradique la vie

    bonne soiré a vous
    Ossiane pensée vers toi

  75. Aspe !

    Repérée
    La petite capitale de Russie
    Pas loin aussi,
    C’est de là que t’écris ?
    Si c’est le cas
    le Hasard fait les choses
    de bien curieuse manière !

    Attends ta réponse !

    Christineeeeeeeeeeee

  76. Christineeeeeeeeeeee
    Non je ne suis pas dans le coin, mais j’y suis passé par le passé…, et pas plus tard que mercredi j’étais dans la capitale régionale (toute rose) pour mon travail (je bouge pas mal)…Et puis les Pyrénées…

  77. >fauki :
    J’étais loin de m’imaginer que les fourchettes pouvaient être un point de départ pour faire de la poésie 😉 Merci à toi.

    >Monique :
    Bonne nuit Monique, merci encore une fois pour ce poème lumineux et coloré. Je t’embrasse.

    >marc :
    De la couleur pour toi aussi dans le noir. Les couleurs de la vie dans toute sa complexité. Bise de nuit.

  78. >Christine et Aspe: dans le mille, vous avez vu juste, un drôle de chateu d’eau écolo et un code postal à qui il manque un zéro, pour le reste les ailes battent
    et les corneilles guettent, mais ça baille aussi dans les reliefs adoucis entre Saune et Marcaissone, des tambours parfois ça résonne.

    Pour toi Aspe notre sainte mère russie a fait une spécialité goûteuse du Côté d’oloron, entre Béarn et pays basque, un coin superbe ue j’ai visité il y a longtemps, aime tu le village des abeilles c’est un autre bon souvenir avec le jurançon avec ou sans ail.

    Bonne journée à tout les deux et bravo pour votre perspicacité.

    Merci encore à Ossiane qui nous relie et nous relis et nous propose maintenant ses bras pour nous reposer 😉

  79. Thierry,
    si tu retournes à Oloron-Ste-Marie, passe chez ARTIGAREDE, j’ai un petit faible pour le petit « Russe » …mais celui d’Asasp-Arros n’est pas mal non plus …
    Et le Jurançon…

  80. Merci Aspe, mais telle était bien mon intention et je me suis toujours demandé si ce n’était pas l’amour des manéges et des montagnes…russes qui avaient conduit à cette appelation surprenante au premier chef.
    Quand au Jurançon la cave de Gant en a du bon mais vers Moneins c’est vraiment top , vincent Labatut par exemple ! quel délice.

    Bonne soirée

  81. >Aspe et Thierry:
    Je j’immisce dans votre conversation;-) Gros manseng, petit manseng, j »aime beaucoup le Jurançon sec et moëlleux. Je ne connais pas le domaine que tu mentionnes mais je le note. Je t’en cite deux que je te recommande chaudement, Domaine Cauhapé et Clos Uroulat qui font partie des tout meileurs de votre belle région. Bien à vous deux.

  82. Ah! Dormir!
    Le cauchemar de la maladie
    S’irradie
    Dans ta tête!
    Ah! Dormir!
    Rêver,
    Voyager
    Dans l’espace.
    Ni temps, ni mémoire
    Ni peur, ni douleur.
    rien, rien …
    Ah! Dormir!
    La nuit s’allonge
    C’est un songe.
    Et tout d’un coup
    Pas de noir
    C’est le tout.
    Le matin
    De satin
    Te baigne d’espoir
    Ah! Se reveiller!
    Se reveiller pour la vie!

    – – – – – – – – –
    Merci Ossiane
    Merci Rachel de tes sincères pensées.
    Merci à tous

  83. >Ossiane: oui le cauhapé c’est du tout bon mais j’ai un faible pour le moelleux
    et j’ai bu ma dernière bouteille de 90, (1990 je te rassure) il n’y a pas longtemps hélas ! Merci pour ton partage, c’est vrai que nous sommes attachés à ces produits pyrénéens qui exhalent tant de riches senteurs.

    bonne nuit.

  84. >Neyde:
    Comme cette note doit résonner fort en toi. Tu vas enfin pouvoir retrouver le royaume des rêves, de l’imaginaire et de nouveau flotter dans la nuit.

  85. > Ossiane: petit fils de vigneron je suis, entre Arbois, Sauvignon et Gamay de Touraine, entre Cot et Cabernet du côté de Blois,entre fraises et asperges, cornichons et cochons ; souvenirs emmélés de soufre et de foudre, de boisé et d’alambic, de tanins et de fouloir, de pressoir et de moût.

    J’aime tant le gras des sucres et voir ces ménisques jouer sous la lumière non pour donner du genou mais coller au verre cette sirupeuse impression qui agace plus qu’elle ne glace, et appelle la lampée pour sans gâter le goût affiner le palais.

    J’aime plonger mon nez dans un grand verre, sans me déballonner, y errer sans m’énivrer; m’y livrer à une introspective fouille, et que lentement les suaves alcoalates m’imprégnent , me chatouillent les papilles, me fouaillent et me tirent de la rêverie ambiante.

    Bonne journée
    quelques jours de relache pour remettre du jus et plus de temps pour épancher les souvenirs chers et anciens.

  86. >Thierry;
    Joli berceau où tu es né; je connais pas mal de vins des régions que tu mentionnes. Très belle région gastronomique également. Bon break.

  87. ô faute de frappe
    l’icône émerge entre la courbe des eaux
    origine du monde

    (cf. Courbet l’Origine du Monde)

  88. comptes, comptes les moutons
    comptes, comptes les brebis
    comptes, comptes dans l’édredon
    et bientôt tombes endormi

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *