Voyage

500ème

Coeur de L'Oeil Ouvert, mémoire photographique, mon album rêveur.

Lecture du Haïku Calligramme: centre, gauche, haut.

Coeur de l’oeil ouvert
mémoire photographique
mon album rêveur

Une petite halte pétillante et festive, ce soir… C’est à l’occasion de la 500ème note de L’Oeil Ouvert que je vous invite à découvrir deux nouveaux espaces sur le blog.
L’Album qui vous permet de naviguer dans toutes les notes en cliquant simplement sur les vignettes photos. Il est en quelque sorte la Mémoire de L’Oeil Ouvert. D’autre part, le Journal de voyage qui vous raconte mois par mois la vie du blog depuis sa création et vous donne des explications sur l’élaboration de ce voyage imaginaire. Vous trouverez les liens pour accéder à ces deux lieux sous ma photo. Bien à vous tous et merci pour votre chaleureuse fidélité.

Une mosaïque de regards enthousiastes qui m’accompagnent en profonde amitié… c’est très émouvant… suite à la lecture de vos réactions chaleureuses qui me touchent profondément, je n’avais pas d’autre choix que de mettre en lumière ce poème partagé. A chacun d’y reconnaître sa voix… J’y associe tout naturellement ceux qui n’ont pas pu s’exprimer et que je sais proches, et également tous ceux qui nous lisent régulièrement en silence et qui n’ont pas encore osé faire entendre leur voix. Un grand merci à vous tous et que le voyage continue en beauté, sérénité et amitié.

PARTAGE

Oiseau pris dans un rets sans faille,
Comment t’es-tu donc envolé?

J’entrais dans l’inconnu
Un murmure lointain m’appelait

J’osais enfin me poser
Sur une page d’amour

Ce livre à coeur ouvert
Tourné vers le soleil

La vie en vert
Bréviaire de la verdolâtrie

en rouge ou en bleu,
les bulles de nos rêves

Mélusine à la fontaine
ces mots font des perles
 

Un rêve éveillé aux doux reflets perlés
Une ondulation comme un état second

Dans le souffle chaud du parfum
Flotte l’esprit du cristal…

Embryon de vie
Voguant vers l’amour

Sang voyelles en explosions d’étincelles
Flamme de ton bleu ciel

Fantasia de bulles
Kaléidoscope de lumière

grenadine ou curaçao
ton regard pétille

500! wahou!

FIVE HUNDRED !!!!
I’ll drink to that !

Waouh !
quelle fête, quelle affluence, quel plaisir.

Je veux boire du champagne, je veux rire, je veux chanter!

Chouette on fait la fête !
Plouf ! Je plonge gaiement dans les p’tites bulles.

Dans le salon aux lumières bleues,
les mots tourbillonent dans les coupes et les flûtes.
Tout le monde est là, apparemment, la fête dure depuis vendredi.

Ils sont plus d’un à voyager dans un coup de rouge…

C’est un très beau texte,
bien illustré par une photo abstraite mais faisant rêver. 

L’oeil ouvert dévoile plus encore son immensité
sa richesse profondes et sa générosité.

Je viens d’acheter un appareil photo plus puissant
et vais essayer de capturer d’aussi belles images.

un schtroumpf
moi, je n’aime pas les anniversaires

Ossiane, une fois encore j’arrive trop tard pour la 500e
Avec tous je me réjouis, et croyez à ma profonde amitié

Alors, c’est une grande première pour moi !
Je suis en retard, et ça ne me déplait pas.

Il suffit d’un embouteillage pour ne pas être à l’heure
et louper le train de la fête…
Me retrouve au resto de la Gare de l’Oeil Ouvert
à siroter les dernières bulles…

Ouf ! … pour un peu j’allais passer à côté…
Je suis un peu occupée en ce moment !

NON ! Je ne vous ai jamais quittés !!!

Ici de belles rencontres sont nées,
Car voilà plus de deux années,
Que de temps en temps, je viens poétiser

que de merveilleux mots valsés
que d »amour partagé

Que cette partition reste toujours inachevée

Envie de voyages encore

Les yeux éblouis
tant de mots déposés
plaisirs partagés

Leurs mots
Comme de petites gouttes d’eau
Qui glissent le long des soifs

De la vie dans la vie
Murmures tendres
Timbres de mélodies

La vie ne serait-elle pas nulle sans bulles ?

La vie était belle quand elle se laissait croquer..

Bonjour mes bons amis,
Me voilà de retour
Au loin j’étais parti
Pour faire un petit tour.

Ossiane et les Amis de L’Oeil Ouvert

145 réflexions sur « Voyage »

  1. Quelle belle et généreuse idée cet album et ce journal de voyage…
    Beau le journal… Beau le voyage…

    Fêtons Ossiane
    Les bulles de champagne
    Pétillent nos coeurs

    Belle nuit à toi… Belle

  2. Je suis éblouie, j’ai les bulles de champagne qui me montent à la tête. Je viens de regarder rapidement ton album et ton journal de voyage, je suis fort émue. C’est très beau en delà, je prendrai le temps demain de le regarder calmement. Bises Ossiane,
    et je lève mon verre pour toi et pour chaque ami de ce blog géant si beau. Merci.

    ôôÔôÔoOöOôö
    CÖmme il est bô
    L’album d’Össiane
    Il est tÔut chÔ
    De oöOôOoOöô
    L’Ôeil Öuvert

  3. A ta santé, Maria, je vais dôdö cöucÖuche panier! Anhick bullée!
    Bonne nuit tendre Ossiane,
    je pose ton album sur ma petite table près de mon lit avant de dormir. Bises.

  4. toujours dans l’inconnu de l’oeil ouvert :
    « Aller au fond de l’inconnu pour trouver du nouveau » Baudelaire

    J’entrais dans l’inconnu
    Sans certitudes
    Ni vague à l’âme
    Guidé par le cri de la lumière
    Et le sang des pierres
    Une fournaise d’herbes rêches de ronces et de rocailles
    M’empêchait d’avancer
    J’allais dans la chaleur du ciel
    Le cœur tremblant
    Les couteaux du soleil crevaient mes yeux
    Aveugle j’allais toujours
    Le vent affolait la boussole de mon destin
    Vers où
    Les oiseaux se moquaient de mon errance folle
    Un olivier torturé seul me plaignit
    Pourtant je n’étais pas perdu
    Un murmure lointain m’appelait
    Les pieds ensanglantés je me mis à courir vers la rumeur
    L’air s’embruma
    Une fraîcheur sereine m’envahit
    Je sautai les roches
    Maudit le maquis qui me giflait le visage
    Enfin je l’aperçus
    Je me dévêtis et nu
    Me livrai au renouveau
    La mer m’accueillit
    Dans son royaume
    De son rire d’écume
    J’étais sauvé

  5. cinq cent
    on entre dans l’oeil ouvert
    par les cinq sens
    l’album le journal de voyage
    en témoigne
    dans ce kaléidoscope d’images et de mots
    un regard se livre et s’invente
    merci pour tout ossiane
    pour ton coeur bienveillant
    pour ton hospitalité chaleureuse et indulgente
    merci pour nous tenir ouvertes les portes de l »oeil ouvert »
    le jour et la nuit
    je t’embrasse

  6. 500! wahou! félicitation à toi ma chère Ossiane d’animer ce blog avec tant de passion et de talent!
    c’est amusant de regarder l’album car je me suis souvenu des notes sur lesquelles j’ai laissé des commentaires, celles sur lesquelles je voulais le faire et ai loupé le coche ou même celles que je n’ai fait que suivre car en dépit de leur attrait, ne m’insitaient pas forcément à écrire.
    Alors Longue Vie à l’Oeil Ouvert!
    bises affectueuses

  7. vous aurez sans doute tous rajouté les mots qui manquent dans mon précédent commentaire alors… désolé pour ces petits problème de français ;-)…

  8. Tout un collier de vies
    Ce livre à coeur ouvert.
    J’y lis les yeux fermés.
    Cinq-sens, en perles de saveurs
    légères, virtuelles,
    Qui ne s’alourdit point des jours amoncelés.
    Arbre coeur, arbre aux coeurs,
    Il rassemble les signes de toute une forêt
    Parcourue des saisons des âges et des noms.
    Il est notre viatique, provision de voyage,
    Où chacun se nourrit et boit selon sa soif.
    Un lieu de nulle part et pourtant toujours là,
    Eloigné de nos mains et touchant, sans visage.
    Il est aussi ceux-là, si près de nos regards,
    Qu’on entend respirer et qui parlent tout bas
    A peine à notre oreille, que l’on sait murmurer.
    Il dit la poésie, celle qui veut survivre,
    Aux manières cruelles,
    Qui partage la vie des êtres bienveillants
    Et fait de chaque instant un désir de renaître.
    Qui n’y porte ses mots et ses pensées intimes,
    Qui ne communie pas aux couleurs des tes pas?
    Elle et Toi,
    Y donne le meilleur dont on puisse rêver,
    Images paysages, nature en liberté,
    Paroles en musique, chansons tristes
    Et gaies.
    Toute une attention
    Un art au quotidien
    Tourné vers le soleil
    Premiépris de beauté.

    Allez vah!

  9. J’aime ton voyage en fantasmes rêveur ;-))

    Sang voyelles en explosions d’étincelles
    Flamme de ton bleu ciel
    Pour le rivage de tes yeux arc-en-ciel
    Je dé-consonne la lettre o
    Pour la laisser couler doucement
    En voyelle Manet sur fond de Pizarro
    J’impressionne la lumière pour extraire l’art formel
    Dans un automatisme psychique D’un Polllock
    Concept dicté de la pensée
    Je transcende mon écriture
    Dans un bain de déconfiture
    Pour extraire la pure vérité de ma psyché

    Je t’embrasse

  10. .
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    >>>>> A tous ceux qui ont tenté de déposer un message ce matin:
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    Il semble que tout fonctionne normalement à nouveau. Il s’agit sans doute d’un problème technique venant du Monde et indépendant de ma volonté. Dommage que cela ait eu lieu aujourd’hui. Merci pour tous vos messages envoyés en privé pour me signaler le problème.
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  11. Chère Ossiane

    Beaucoup de difficultés pour arriver jusqu’à toi, aujourd’hui. OUF, c’à y est!!

    Fantasia de bulles
    Florilège de poésie
    Doux regard du coeur

  12. Dans l’espace intérieur…

    L’aube se lève sur une eau cristalline
    une farandole folle de bulles scintille
    un kaléïdoscope de légers miroirs dorés…

    Un rêve éveillé aux doux reflets perlés
    une lente sensation sensuelle de glisse
    une sortie du carcan de l’espace-temps…

    Une ondulation comme un état second
    la disparition du poids et des tensions
    du stress et des bruits de l’urbanisation…

    La détente, l’apaisement et l’immersion
    dans un univers bleu cobalt et outremer,
    violet indigo, dans des camaïeux de verts…

    La réappropriation de l’ espace intérieur,
    la communication rien qu’avec le silence,
    intuition des mots et palpitation du coeur…

    …avec l’Oeil Ouvert.

  13. Cinq cents fois
    Je t’ai aimé
    Cinq cents fois
    Je t’ai haï
    Cinq cents fois
    La vie m’a traversée en flammes
    Pour mourir à tes pieds
    Cinq cents fois
    J’ai déposé mes armes
    sur tes étranges désirs
    Cinq cents fois je reviendrai
    Cinq cents fois je partirai
    Et
    Toujours
    Le vent portera ton verbe émerveillé
    Jusque dans mon âme

    Toute mon admiration pour cette terre de création, Ossiane.
    🙂

  14. Rectif. bleu cobalt.

    des difficultés pour accéder au site ce matin, et en plus des fautes… bon le principal c’est que tu sois là à nouveau, bonne journée à toi.

  15. Ah, je me réveille ! C’est ce genre d’images que je préfère chez toi Ossiane ! Mais tu le sais !
    Bravo et merci pour ce voyage de 500 notes déjà ! 500 notes comme des petites bulles de musiques que chacun doit éclater à sa manière pour y entendre le son qu’il souhaite parmi tous ceux que tu suggères.
    J’aime beaucoup ces deux nouveaux espaces que tu as créé sur ton blog, cela permet une visibilité rapide et très agréable. Je me fais plus silencieuse depuis quelques temps déjà, mais je suis là.
    Des bises en bulles et longue vie encore à l’oeil ouvert !

    ———————————————–

    Voyage de petites bulles,
    Globules d’oxygène
    Pour que vivent
    Les tissus de la toile
    Aux battements des coeurs
    Rouges
    Venant sur l’oeil ouvert
    Poser leurs mots.

    Leurs mots
    Comme des perles transparentes
    Qui prennent le reflet
    Des images d’Ossiane.

    Leurs mots
    Comme de petites gouttes d’eau
    Qui glissent le long des soifs
    Et se rejoignent
    En rivière de diamants.

    Leurs mots
    Comme des lettres de voyage
    Qui disent les sensations.

    Leurs mots
    Comme de petites bulles euphorisantes
    Qui prolongent le rêve
    En poésie
    Au coeur de l’album « l’Oeil ouvert ».

  16. WordPress a trop bu et ne se remet que difficilement de cette fête!
    Passons.

    Les yeux éblouis
    tant de mots déposés
    plaisirs partagés

    Ossiane, je t’embrasse.

    A ton image
    un journal une compile
    la lumière tissée

  17. Voyage dans l’oeil Ouvert ou le royaume d’Ossiane

    Kaléidoscope de lumière
    Kyrielle de bleus sienne
    Bulles océanes et aériennes
    Un océan de visionnaire

    Un coeur impérial
    La chaleur d’une vestale
    Le regard dans les nuages
    En quête de mille paysages

    Un florilège de poèmes
    Des haîkus que l’on sème
    Des trésors que l’on aime

    Un parchemin qui se dessine
    Au fil des pages
    Et qui s’affine
    Une fantasia d’éclairs
    De fulgurants arc-en-ciel
    Une myriade d’étoiles
    Le vague à l’âme sur la toile

  18. .
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    .
    Bonjour à tous,

    Comme à chaque veille de week-end, je ferai ma mise en lumière et mes commentaires dans la soirée pour laisser le temps de s’exprimer à tout le monde. Ce n’est pas sans une certaine émotion que je découvre vos poèmes et commentaires.

    Je crois comprendre que certains d’entre vous apprécient de naviguer en images, ne serait-ce que pour retrouver la note où ils ont déposé leur premier poème sur le blog. Je pense à Sven qui donne le moment exact de son premier passage ici. Pour le journal de voyage, j’ai bien sûr fait quelques recherches concernant votre première visite sur L’Oeil Ouvert mais je n’ai pas tout retrouvé. Une peitte suggestion à vous soumettre; ne pourriez-vous pas indiquer sur cette notre le premier moment de votre présence sur le blog en citant la note et la date? J’ai peut-être fait des erreurs ou oublié de mentionner des visiteurs ce qui me chagrinerait.

    Bel après-midi à vous en ce premier jour ensoleillé de l’automne.

    Ossiane
    .
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  19. ——————
    Shéhérazade
    Qui nous garde « l’œil ouvert »
    Ossiane au grand cœur
    ———————

  20. en faisant le compte depuis le 31/8/2005 ça ferait approximativement plus de 350 « clins d’oeil « ou « mots de poèsies »
    j’ai le vertige mais je continue
    encore merci à toi ossiane

  21. >amichel:
    350 !! Ca fait une sacrée quantité de poèmes; il est vrai que tu es très assidu, régulier et que tu fais partie des plus anciens de ce blog. Comment fais-tu pour les retrouver? Tu visistes chaque note?
    L’idéal serait que chaque poète puisse accéder directement à ses poèmes mais cela demande du temps et de de la programmation car il faut créer une base de données en dehors du Monde. Je laisse mûrir l’idée pour l’instant;-)

  22. ce n’est pas vraiment un poeme
    mais l’utilisation de tes propres mots
    pour définir tes images

    L’œil ouvert
    Nouveau départ
    Larguer les amarres
    Destinations inconnues
    Vers la lumière

    Offrande,
    miroir du cosmos
    Et des étoiles
    D’une sentinelle de l’infinie
    Entre terre et mer
    Entre terre et Ciel
    Ombres et lumières

    Qui capture
    avec la profondeur du regard
    l’audace et la Générosité,
    Les vibrations
    Le chant des arbres,
    la pluie de pétale

    Arabesque d’haïku
    fragilité des Paroles
    d’homme et de femmes
    De poètes solitaires

    Fenêtre de rêverie sur
    un océan de liberté
    Comme un refuge de douceur
    contre Le vent, la neige, le brouillard
    Le spleen, le vortex des ténèbres

    Passerelle vers d’autres rivages
    Chemin de Hasard
    Là, ailleurs
    Ecrin des cœurs

    Quête d’une trace d’éternité
    d’une empreinte sur les premières neige

    Avant le soleil couchant
    Le précipice du crépuscule
    Face au chaos
    la brûlure nocturne
    Le frisson d’hivers

    A tire d’aile
    Suspension du temps
    L’envol vers l’utopie de la sérénité

  23. Bonjour Ossiane, je suis effectivement venue ^plusieurs fois ce matin, et puis comme d’autres blogs du monde fermés, j’ai imaginé une panne, et n’ai pas souhaité te déranger par mail.

    Je suis un peu comme sous le choc,
    c’est tellement, tout ton travail,
    cet aprem, il fait beau, et je vais me reposer un peu au soleil, j ai attrapé un coup de froid mardi, et suis dickedoc, tousse et éternue, mais je reviendrai dè que je me sens plus en forme.

    je suis encore une fois, éblouie, par la beauté des poèmes,
    et je suis émue devant tout ce beau!

    je me souviens quand je suis venue, j’étais fort mal, enfermée en moi, et si timide de déranger, c’était le 10 Mars 2006….
    mais je te suivais déjà depuis un certain temps en silence…

    Un truc encore, je découvre le nombre de tes visiteurs, et moi qui nous croyais en comité réduit à une bande de plumes…cela me fait tout bizare.

    Bises splitchantes et douces, Ossiane. Je t’envoie un fort beau rayon de soleil d’ici!

    Merci à chacun de partager tellement!

  24. vous me faites rire le schtroumf et bonbonze.

    Voyage en au delà
    Particules de rosée
    Vapeurs enchantées
    Spirale de toute folie
    De la vie dans la vie
    Murmures tendres
    Timbres de mélodies
    Dans une bouteille
    D’eau précieuce de vie
    Qui pétille l’alembic

  25. Ossiane,
    Quel talent! Quelle assiduité! Quelle qualité!
    Je suis tout nouveau puisque ma première visite date du 20 Août et mon premier commentaire du 01 septembre, j’avais vu que ton blog était ancien mais je n’imaginais pas autant de thèmes.
    La qualité des textes déposée est excellente, et ton souci de n’oublier personne dans tes commentaires est exemplaire et le gage d’une encore très longue vie à « l’oeil ouvert ». C’est un plaisir de se brancher quotidiennement sur ce projecteur, et l’envie d’y participer et d’écrire en est décuplée.
    Longue vie à « L’oeil Ouvert » et à toi Ossiane.
    Si nous ne sommes pas sûr de l’existence d’Ossian, je suis sûr que toi et ton blog deviendront une légende.
    Je t’embrasse.

    En déplacement cette fin de semaine je poste avec retard sur Passé et Inconnu quelques effets de mots

    Je sais que je vais y repasser
    Je m’était pourtant dépassé,
    Je dirai même surpassé,
    Rattrapé par mon passé
    De nouveau dans l’impasse
    Malgré un carré d’as
    J’abandonne de guerre lasse
    Sans autre solution, hélas.

    Inconnue, maîtresse des équations.
    Marcher vers l’inconnu, à tâtons
    Belle inconnue, désirée
    Terre inconnue, rêvée
    Grande inconnue, surprises
    Illustre inconnu, méprise
    Inconnu au bataillon, stupeur
    Père inconnu, douleur
    L’inconnu c’est la vie
    Le refuser c’est l’ennui

    bon soirée à tous les contributeurs

  26. Faux départ

    Bonjour mes bons amis,
    Me voilà de retour
    Au loin j’étais parti
    Pour faire un petit tour

    Aux limites je suis allé
    Essayer l’ultime voyage
    Avec la mort tutoyer
    Comme le dit l’adage

    Je suis parti gaillard
    Sans me retourner
    Sans fermer les placards
    Sans chercher à trouver

    J’en reviens tout hagard
    C’était pas bien joli
    Je regrette ce départ
    Content de vous revoir mes amis

  27. Le 30 décembre 2006 à 17h34
    Entre Fugitive et Jeandler
    J’osais enfin me poser
    Sur une page d’amour

    Depuis je reviens
    En ce lieu chaleureux
    Fugitive et Jeandler
    Je les visite aussi

    A Ossiane merci
    Pour être si jolie
    En son doux paradis
    J’ai trouvé des amis

  28. Peintre Ossiane
    Je me pose devant ta palette
    Et mes yeux s’émerveillent
    Tant de nuances de couleurs
    Mon doigt reste suspendu
    Son pinceau se ventile
    Dans l’air du temps
    Penser le tremper dans une case
    Prendra tellement de temps
    Pour penser éclairer
    Ma toile de la vie
    Alors comme une enfant
    Je me dis
    Que j’ai tout mon temps
    De le prendre au plus beau
    De le saisir délicatesse
    Je suis éblouie
    Sous la chanson des nuances
    Qui à l’infini
    Me met le coeur en fête
    Des tas de je t’aime
    Des airs de vie
    Du pur de vie
    Des cacas de vie
    Et des talents
    Beaucoup de talents
    Partagés simples
    Si beaux si grands

  29. Le 7 octobre 2005, tu as répondu aux balbutiements d’un « nouveau pierre » sur une note intitulée « Rouge »:

    « Lèvres de velours
    Embrasement de l’Amour
    Sourire d’un jour »

    qui s’est lancé, ce jour-là, timidement, à placer à ta suite quelques mots.

    « L’Oeil Ouvert » a été et reste une pierre de touche pour moi. Je ne dirais jamais trop ce que je lui dois, non seulement son exemplarité pour le mien mais aussi (et surtout) personellement, humainement : l’apprentissage d’un conviviabilité rare, un partage d’idées, d’impressions, des rencontres, une liberté de tous les instants. Ossiane, avec ce nouveau cadeau, tu as crée, aujourd’hui, l’évènement dans la blogosphère.
    Je t’embrasse.

  30. J’ai découvert ton blog un jour tout à fait par hasard, suite à une recherche sur g**gle pour un travail à faire, j’étais pressée, je ne me suis pas attardée mais j’ai rentré ton blog dans mes liens me promettant d’y revenir. Mais ensuite, j’ai oublié… Puis, j’ai découvert le blog de Matière du vent où tu étais en lien et j’ai cliqué et j’ai aimé, j’étais un peu plus disponible, lorsque je t’ai rentré en lien j’ai découvert que tu y étais déjà ! Mais là j’ai pris le temps de m’arrêter, c’était la note 141 « Passage » le 1 septembre 2005, je suis passée tous les jours, j’ai pris le temps de découvrir et le 7 septembre, sur la note 146 « échappée », j’ai laissé un premier message.
    Ensuite, je crois que je n’ai plus cessé sauf exceptionnellement jusqu’en octobre 2006 où j’ai espacé mes mots bien continuant à passer tous les jours. Moins de temps, moins d’inspiration peut-être, envie d’écrire sur d’autres supports, sur d’autres blogs aussi. Mais surtout, une grosse fatigue qui m’a empêchée de continuer à écrire la nuit. J’avais besoin de dormir plus, or c’est la nuit que j’aimais écrire sur ton blog Ossiane. J’aimais découvrir ta note vierge ou presque et partir en voyage. J’aimais lire aussi les poèmes d’Amichel, le poète de la nuit comme tu l’appelais !
    J’ai toujours eu une préférence pour tes photos un peu abstraites qui me permettent plus d’immaginaire. Je suis moins à l’aise dans les paysages.

    Voili voilou mon voyage chez toi Ossiane, un beau voyage. Encore bravo pour tes 500 notes.

  31. Bonsoir, Ossiane

    J’ai découvert ton blog à la mi-juillet en pianotant sur le blog de Bruno,
    j’ai ressenti quelque chose de fort, de sincère en toi et ta sensiblité m’a conquise, je la devinais déjà. Mon intuition ne m’a pas trahie et depuis, je suis fidèle à ce blog de convivialité, de douceur et d’amitié.

    Je te remercie Ossiane pour ces dons que tu possèdes et pour ton talent de photographe, de graphiste et de poète.

    Je souhaite longue vie à l’Oeil Ouvert………..
    Je t’embrasse………….ainsi que tous tes compagnons de voyage

  32. Te souviens-tu Annick de ce 11 janvier 2007 où Le Monde tout en dessus dessous mélangeaient nos commentaires , c’était une jolie panique à bord et bien rigolo… en fait je crois que c’est à ce moment là que nous nous sommes rencontrées… dans ce méli mélo
    Bises à toi

  33. L’invitation au voyage

    Mon enfant, ma soeur,
    Songe à la douceur
    D’aller là-bas vivre ensemble !
    Aimer à loisir,
    Aimer et mourir
    Au pays qui te ressemble !
    Les soleils mouillés
    De ces ciels brouillés
    Pour mon esprit ont les charmes
    Si mystérieux
    De tes traîtres yeux,
    Brillant à travers leurs larmes.

    Là, tout n’est qu’ordre et beauté,
    Luxe, calme et volupté.

    Des meubles luisants,
    Polis par les ans,
    Décoreraient notre chambre ;
    Les plus rares fleurs
    Mêlant leurs odeurs
    Aux vagues senteurs de l’ambre,
    Les riches plafonds,
    Les miroirs profonds,
    La splendeur orientale,
    Tout y parlerait
    À l’âme en secret
    Sa douce langue natale.

    Là, tout n’est qu’ordre et beauté,
    Luxe, calme et volupté.

    Vois sur ces canaux
    Dormir ces vaisseaux
    Dont l’humeur est vagabonde ;
    C’est pour assouvir
    Ton moindre désir
    Qu’ils viennent du bout du monde.
    – Les soleils couchants
    Revêtent les champs,
    Les canaux, la ville entière,
    D’hyacinthe et d’or ;
    Le monde s’endort
    Dans une chaude lumière.

    Là, tout n’est qu’ordre et beauté,
    Luxe, calme et volupté.

    Ch. Baudelaire / Les Fleurs du mal

    http://www.dailymotion.com/relevance/search/l%27invitation+au+voyage+Ferr%C3%A9/video/xhk8p_lferr-invitation-au-voyage

  34. je me souviens Maria, et si au départ cela m a fait rire, ensuite j ai pensé à la panique des auteurs des blogs, …qué méli mélo…

    MERCI PR CE BEAU TEXTE que je viens d’écouter…Bonne nuit Maria.

  35. Bisou Annick

    Et grand bravo Ossiane la magicienne pour ce beau texte qui nous réunit… ici… encore merci… je t’embrasse et bonne nuit

  36. bisou Maria

    DE VIE
    Mon tit oeil
    Il bulle des perles
    gouttes de joies
    Quel beau poème
    D’amis d’amitié
    C’est fort bon
    Je me pétille
    Et remercie
    LA VIE

    BISES ossiane, je te souhaite une bonne nuit, quel travail tu as fait, je suis éblouie, mon oeil ouvert cligne, tant de lumières, bises, je vais me reposer. Belle nuit.

  37. >Maria-D :
    Toujours si généreuse et amicale dans tes commentaires. Merci d’avoir retrouvé ton premier rendez-vous ; tu étais en belle compagnie. Plus de nouvelles de Neyde, Cristina et Fanou, comme je le regrette aussi. J’aimerais comme toi qu’elles nous fassent un petit signe car on ne les a pas oubliées. Drôle de rencontre avec Annick, je me souviens aussi de ce grand bazar 😉 Enfin merci pour cette belle invitation au voyage ; tu ne pouvais mieux conclure avec ce grand poète 😉 Un grand merci pour ton enthousiasme, je t’embrasse, belle amie.

    >Annick :
    J’espère que tu te sens un peu mieux ce soir. Merci Annick pour toutes tes manifestations d’amitié et de tendresse. Ta présence parmi nous est devenue indispensable. Je me souviens effectivement de ta timidité du début; depuis tu t’es enhardie pour notre plus grand bonheur 😉 Je suis ravie que tu puisses trouver ici un petit havre de paix et d’amitié.
    Nous ne conversons pas en comité réduit mais il faut faire comme si 😉 Il faut savoir que nous sommes lus, peut-être un peu moins sur cette page que sur la page principale. C’est aussi bien que de rester dans son coin avec son carnet secret qui va moisir dans un tiroir 🙂 N’est-ce pas la destination d’un roman, d’une poésie, d’une peinture etc… de recevoir le regard des autres ? Ca m’a fait bizarre aussi de découvrir toutes ces visites mais je n’y pense plus maintenant. Je ne me prends pas la tête et marche au gré de mes envies. Voilà aussi pourquoi je fais ces mises en lumière. J’ai envie aussi de vous faire découvrir et contacter par d’autres visteurs, poètes ou éditeurs peut-être… on ne sait jamais de quoi demain sera fait 😉 Merci pour tes beaux poèmes émouvants qui montrent que tu as tout compris de l’esprit de ce blog. Je t’embrasse en toute tranquilité puisque tu ne peux pas me passer ton virus 😉

    >amichel :
    Tu es rentré à fond dans l’inconnu pour finir en petite tenue, Michel 😉 Bravo à toi !
    Quels beaux poèmes et qu’ils me touchent particulièrement ! J’ai beaucoup d’admiration pour ce que tu es, ce que tu écris et ce que tu fais passer dans tes mots. Je te remercie pour ton si grand attachement, poète de la nuit ; tu es un de ceux qui ont donné cette formidable impulsion poétque au blog et tu es toujours à mes côtés deux ans plus tard. Où en es-tu dans ton décompte de poèmes 😉 As-tu toujours le vertige ?

    >Guillaume de Washington :
    Très touchée aussi que tu te manifestes depuis l’Amérique. Tu nous as fait partager de bien beaux poèmes pendant longtemps. J’espère que ta vie là-bas s’organise peu à peu et que tu continueras à nous faire de petits signes avec ta belle plume. Affection sincère vers toi. A très bientôt.

    >andrée :
    Je me suis permis de t’emprunter deux vers car je voulais vraiment t’associer à ce partage de regards. J’espère que tu ne m’en voudras pas. Tu m’accompagnes en poésie depuis de si longs mois maintenant. Tu fais entendre une voix poétique très originale qui n’appartient qu’à toi. Tu sembles avoir trouvé ton style et tu enrichis le blog de ton mode d’expression. Un grand merci pour tout et bonne chance avec ton tout nouveau blog. Je t’embrasse.

    >Bernard :
    Que te dire, Bernard, que tes poésies sont un ravissement des yeux, des sens, un condensé d’humour, de chaleur humaine, d’émotion, de jonglerie et d’audace poétique. Toi aussi, tu fais entendre ta propre voix et tu apportes beauoup à L’Oeil Ouvert. Je t’en suis très reconnaissante. La preuve encore aujourd’hui avec ce magnifique poème qui me remue. Je t’embrasse.

    >Marc :
    Tu m’époustoufles de jour en jour 😉 Quelle belle idée tu as eue de reprendre mes mots pour composer ce superbe poème ! C’est vraiment très réussi ! Merci pour ta toute nouvelle présence qui apporte une voix différente et bonne chance pour la suite. Bises amicales.

    >MioModus :
    Je suis touchée que tu te sois manifesté car tu as également une approche poétique bien personnelle qui n’appartient qu’à toi. Elle nous emporte loin du réel et nous fait rêver. Merci pour ce beau poème ailé. Bises à toi.

    >Claudie :
    Toujours aussi chaleureuse et généreuse dans tes commentaires et poésies. Difficile de résister à la beauté et féérie de tes mots. Le voyage que tu nous proposes est somptueux; il me touche bien sûr beaucoup ; je ne suis pas sûre de mériter tout ça, tu sais 😉 Quelle bouffée parfumée tu apporte au blog toi aussi ! Ce qui est sûr, c’est que j’ai toujours souhaité cet espace vivant et que j’ai toujours voulu un dialogue avec les visiteurs. Ca s’est fait tout naturellement sans que je m’y attende vraiment;-) Je t’embrasse fort également.

    >Bruno :
    Ton poème est splendide, Bruno. Un véritable tableau de lettres, de touches de peinture et de sensations. On dirait un calligramme 😉 Je suis touchée que tu aies trouvé du temps pour l’écrire. Toi aussi, tu as ta voix bien à toi qu’on ne trouve nulle part ailleurs, aussi bien en photo qu’en poésie. Ca commence à faire un bout de temps qu’on se suit maintenant. J’ai beaucoup d’amitié pour toi. Je t’embrasse fort.

    >Sven :
    Superbe poème ! Désolée de me répéter mais je ne trouve rien de mauvais 😉 Pas facile de trouver les mots justes pour chacun 😉 Ton attachement au blog et tes encouragements me touchent beaucoup. Tes poèmes d’une grande sensibilité font entendre une voix bien particulière et familière maintenant. Ta poésie nous émeut, nous interpelle et nous fait rêver à la fois. Je pense à tes petites fugues mais à chaque fois tu es revenu. J’espère qu’on trouvera la note adéquate pour lancer le premier Intelignes si tu en es toujours d’accord. Je t’embrasse affectueusement.

    >Johal :
    J’ai failli appeler la note « 500ème » mais je me suis demandé si vous alliez y trouver de l’inspiration 😉 Et bien, je me suis trompée, Johal 😉 Tu es une grande poétesse inspirée, Johal. Tu as ta façon bien à toi pour appréhender une photo, t’en imprégner et partir en voyage avec elle dans des thèmes peu explorés. Merci beaucoup pour ta voix originale et sensible. Bises de la nuit.

    >brigetoun :
    Brigitte toujours fidèle depuis de longs mois maintenant et qui fait entendre une jolie voix décalée, rebelle et aimante aussi. Je te remercie du fond du cœur pour ton assiduité et ta chaleureuse amitié. Je t’embrasse.

    >Catherine :
    Je suis très touchée que tu te sois manifestée en cette occasion puisque j’évoque dans le Journal le rôle important que tu as joué aux côtés de amichel dans la destinée de L’Oeil Ouvert. Ta poésie est splendide, sensible, fraîche et légère et je t’en remercie.
    Je souhaite aussi que tu retrouves à nouveau cette envie d’écrire qui t’a un peu quittée. Ce serait dommage de ne plus exploiter cette fibre créatrice qui ne demande qu’à se révéler. Merci d’avoir retracé ton temps de vie sur le blog. Tu étais une poétesse noctambule à cette époque. La santé doit passer en premier. J’espère que tu vas retrouver une meilleure qualité de vie.
    Pour ce qui est de tes visites silencieuses ou pas, cet espace est ouvert. Les gens entrent, passent, s’arrêtent, restent, reviennent, s’expriment, écoutent librement. Aucun ticket d’entrée n’est exigé 😉 Les envies changent au fil des mois, c’est tout à fait normal. Fais donc comme bon te semble sans culpabiliser.
    En ce qui concerne mes photos, j’explore, je tâtonne. Je me dis également qu’il faut tenir la longueur dans le temps surtout quand je dois associer photo, peinture, mots et thèmes de façon cohérente. Dans ma configuration de voyage, je suis un peu moins libre sans doute. J’aime ce qui est abstrait aussi et je ne compte pas abandonner. Je suis bien consciente que trop de paysages peuvent lasser mais j’ai pris ce risque avec la Corse pour laquelle j’ai eu le coup de foudre 😉 J’essaie de varier mais si parmi vous, certains ont envie que je fasse une pause pour insérer autre chose, je peux changer.
    Contente d’avoir discuté avec toi, je t’embrasse et te remercie.

    >Jeandler/Pierre (2) :
    Pas de chance en effet avec cette panne technique 😉 Ca nous rappelle des souvenirs 😉
    Très très touchée par tes messages et l’attachement que tu as pour ce blog !
    J’ai retrouvé ce que je t’avais répondu mais à l’époque, je ne m’attendais pas à ce que nos regards sur le monde se croisent aussi longtemps 😉
    J’aime ton approche de la nature et de l’homme, ta sagesse, ta grande culture, ta gentillesse et générosité, ta belle poésie dont tu nous gratifies sur chaque note. Je suis vraiment étonnée que L’Oeil Ouvert ait eu un aussi gros impact sur toi 😉 Il est vrai que cette convivialité est vraiment attachante et intéressante mais il se passe la même chose sur ton blog maintenant. Sache que j’ai grand plaisir à te visiter et à écrire quand j’ai du temps devant moi. Un grand merci pour ta présence et amitié, je t’embrasse fort.

    >Un schtroumpf/feu roméo :
    Bonsoir Roméo, ce n’est pas grave si tu n’aimes pas les anniversaires;-)
    Je voulais mettre en avant ces deux nouveaux espaces et quand j’ai vu cette 500ème note si proche, je me suis dit que c’était mieux de l’insérer à ce moment. Voilà tout 😉 Je publie normalement dimanche soir. Bises à toi.

    >bonbonze :
    Ca t’en bouche un coin tous ces passagers dans le rouge 😉 Sache que ce rouge est un excellent champagne rosé dont je tairais le nom 😉 Bises.

    >Noisette :
    Je me suis permis d’insérer sans sous demander deux petites phrases de vous dans le poème partagé car je voulais que soyiez présente. Ces petites phrases vous ressemblent et me touchent 😉 Mon ami est toujours là sur le toit 😉 Bises à vous.

    >Jean-Louis :
    Un grand merci pour tous ces poèmes sensibles, Jean-Louis surtout si tu étais appelé ailleurs pour d’autres raisons. J’espère que tu vas bien… Merci pour la date de ton premier poème. Tu sera avec les autres petits nouveaux de septembre intégré dans le journal de voyage 😉 Ton enthousiasme me touche beaucoup. Sois assurée que je suis ravie de ta présence ici. Ta belle voix s’ajoute à celle des autres pour leur faire écho. Je t’embrasse.

  38. Il suffit d’un embouteillage pour ne pas être à l’heure et louper le train de la fête…

    Me retrouve au resto de la Gare de l’Oeil Ouvert à siroter les dernières bulles…

    V x C

    X x L

    II x XXL

    M/II

    Ossiane a jeté son D … elle a gagné !

  39. >Bourrache:
    Non, Bourrache, tu n’as pas loupé la fête et tu as gagné aussi:-) Va voir dans la poésie partagée sur la page d’accueil; il ya quelques bulles au frais pour toi;-) J’ai fait les comptes; il me semble qu’il y a une erreur dans le troisième G de D;-) Bonne nuit et merci, belle amie du nord.

  40. Enfin!
    enfin, je l’ai retrouvé ce premier commentaire! Il m’en a fallu du temps car j’avais commencé à suivre tes voyages bien avant d’embarquer et de participer… C’était donc le 8 avril 2006, le premier commentaire de la note Homme à 1h15… à cette époque, je m’appelai Goumy 😉
    J’avais peut être sauté le pas cette nuit là car j’étais le seul…Depuis, je n’ai rien regretté et ai pris tant de plaisir à écrire!
    Merci Ossiane pour tout ce que tu nous offres chaque jour! Dès mon troisième commentaire, je te saluais ton travail et ton accueil par un :
    « Rimes féminines puis embrassées
    Pour Dame nature endimanchée.
    Merci Ossiane de la sublimer
    Et de m’accueillir avec tant de bonté »
    bises transatlantiques

  41. Au fond, m’en fous du foutoir de mon embouteillage…

    Sur la page de garde du menu du resto de la Gare de l’Oeil Ouvert était inscrit « Dégustation exceptionnelle ! » …

    … j’en ai profité à la petite cuillère …

    A c’t’heure-ci, j’ai aussi un quart de lune à vous faire partager … comme dessert.

  42. Dis, Ossiane, il t’arrive de faire dodo ?

    Ouske tu vas chercher toute cette énergie ?

    G des doutes … (n’ai pas très bien compris où j’ai fait une fôte…)

    T’es une bonne femme incroyable et tellement précieuse dans notre coeur …

  43. >Bourrache:
    Me voilà rassurée sur la dégustation;-) OK pour le quart de lune.
    Bien sûr qu’il m’arrive de faire dodo. Aujourd’hui, ce fut une grosse journée de boulot plus le blog à assurer, voilà tout. Je tenais à faire vous faire des commentaires un peu plus étoffés suite à ce que vous aviez écrit alors je réponds très tard mais je suis plutôt noctambule. Ne t’inquiète pas, je vais bien. Pour la « fôte », j’ai cru comprendre que tu voulais écrire 500 mais je vois 1400 à la troisième ligne. Il est possible que je vois double vu l’heure qu’il est;-) Bonne nuit, je t’embrasse chaleureusement.

    >Guillaume:
    Oui, je comprends… pas facile de chercher dans le blog ses écrits. Dommage que le moteur de recherche n’aille pas dans la page des commentaires pour les trouver. Merci de l’avoir fait en tout cas. Je me souviens bien de ton ancien nom et des circonstances de ton arrivée. Je t’avais encouragé à t’exprimer car tu as de la ressource et tu t’étais jeté en beauté dans les mots de poésie. Très sympa cette rencontre avec toi et contente de renouer ces fils transatlantiques. Cette fois, je file dormir pour de bon;-) Bonne soirée washingtonienne. J’espère que tu te plais là-bas. Bises de nuit.

  44. Troisième ligne :
    II (2) x XXL (250)

    …s’il s’agit de ta ligne … j’veux bien écrire XX »S » … mais alors, j’ai des problèmes avec mes chiffres romains …

    Clin d’oeil, sourire et 1/4 de lune…

  45. Maintenant je suis venue au Blog, et … surprise!
    Le Blog est en fête, c’est la 500ème note de L’Oeil Ouvert!
    Et moi, je suis là parmi vous!
    Quoi dire, Ossiane?
    Les amies et amis ont déjà dit tout!
    Quoi dire sur ton Album, sur ton Journal de Voyage?
    C’est un déluge de beauté, merveilleux, fantastique!
    Merci Ossiane,
    nous avons gagné deux cadeaux merveilleux:
    L’Album et Le Journal de Voyage.
    Le registre de la première entrée de chacun de nous sur le Blog
    est d’une grande délicatesse.
    Quand j’ai vu mon nom, au mois de Juillet/2006, une larme a coulé sur ma joue, de joie, d’émotion.
    Merci, Ossiane,
    Compliments à toi et à tous les amies et amis du Blog.
    Nous sommes en fête, c’est le vernissage de l’Album et du Journal de Voyage d’Ossiane!
    Je veux boire de la champagne, je veux rire, je veux chanter!
    J’ai entamé ce voyage beaucoup de temps avant d’écrire sur le Blog.
    Plagiant Annick : je le suivais déjà depuis un certain temps en silence…
    Le jour 26 Juin 2006, à 23h53, j’ai osé écrire sur le Blog d’Ossiane.
    J’ai eu peur, je ne suis pas française, je suis brésilienne, amoureuse de la langue française, mais, j’ai eu peur, les erreurs … vous savez.
    Mais, Ossiane, ce jour là, m’a invité a me réjoindre à vous, poétesses et poètes du Blog.
    Le jour 01 juillet 2006 – 324 – En pente douce, j’ai osé poser mon premier poème en français, chez Ossiane.
    amichel m’a reçu avec sympathie et Alain a rêvé; Ossiane, il ne faut pas dire, toujours amie, toujours chaleureuse.
    Jour après jour, vers après vers. poème après poème, j’ai construit mon histoire sur le Blog.
    Tant d’amitiés, tant de partages!
    J’ai beaucoup appris avec Ossiane, avec vous.
    Aujourd’hui je suis plus riche, j’ai un trésor d’amies, un trésor d’amis!
    Je t’embrasse fort Ossiane.
    Merci de ton travail, merci de ton attention.
    Bises brésiliennes

  46. Chouette on fait la fête !
    Plouf ! Je plonge gaiement dans les p’tites bulles.

    Ooooh et puis y’a plein de cadeaux !
    L’album, le journal… wouah !

    Encore un gros et beau travail.
    Merci Ossiane.

  47. Dans le souffle chaud du parfum
    Flotte l’esprit du cristal….

    Toujours en panne d’internet….squatte à Marseille où je suis de passage….enattendant mon retour en Bretagne.
    Bravo à tous et à toi Ossiane pour cette 500ème…. concrétisation de rêves….
    MTO.

  48. Ouf ..pour un peu j’allais passer à côté …Je suis un peu occupée en ce moment .!
    Je suis arrivée un Lundi 18 Juin entre un Chester (qui marque un essai ..(!) et !!!….et depuis l’Oeil Ouvert et moi ne nous sommes plus quittés (rires)
    Cet endroit est une vraie belle réussite , Ossiane :>))))
    Bernard…vous me garderez un peu d ‘Alixir , merci:)
    Bon Week end.

  49. Les lendemains de fête
    la tête
    tourne.
    Un peu d’émotion
    conforte.

    Merci, Ossiane, de tous ces mots et plaisirs partagés.
    Je t’embrasse au seuil d’une matinée emplie de soleil.

  50. Ossiane,

    Merci pour tes mots . et mon amitié est partagée

    Bon WK

    Je t’embrasse

    Ps : il a raison Bourrache, il t’arrive de faire dodo ? 😉

  51. NON! Je ne vous ai jamais quitté!!
    j’ai bien entendu votre appel, MARIA -D et OSSIANE ( ce qui prouve que je suis toujours là derrière mon écran, à vous savourer dans l’intime de mon refuge)….je suis touchée par votre appel, et je ne pouvais rester sans vous dire;
    je suis heureuse d’être « au salon » pour fêter le 500ème,- 5- comme les 5 sens, que vous titillez par les mots:
    ceux que nous inventent à voyager dans vos rêves, ceux qui nous rendent gourmands de lecture et de voyages ( lointain ou intérieur) …
    je suis toujours du voyage, même si les miens m’éloignent parfois du salon, je suis émue de revenir.
    Comment vous dire mes hésitations à écrire en ce moment…
    c’est tellement sublime ce que je lis sur ce blog! Que je me nourris de vous, j’ai souvent envie de vous dire simplement « merci ». comme dit si bien annick, «  le justesimplement » à dire….merci de laisser une porte ouverte à ceux et celles qui n’osent pas toujours la pousser, à tous ceux qui qq fois perdent leurs chemins…
    il était bon ce matin de vous dire , d’être là un instant avec vous, merci les amis de me tendre la plume; je vous aime tant!
    je me souviens la première fois, c’était un 14 février 07, j’étais bien trop seule pour un jour comme çà!, mais vous étiez là…
    bonjour à vous tous,
    hier, 14 février, j’ai passé une partie de ma journée avec:
    vos envolées de mots,
    les couleurs des photos
    comblé mon coeur esseulé.
    mon écritoire dépoussiéré
    taillé les crayons cassés,
    j’ai même déniché du papier.
    Un autre regard sur mes photos
    le désir à nouveau de raconter
    d’écrire et de partager.
    Merci à toi l’artiste, à vous qui savaient si bien jouer
    Dans ses traversées d’images, de mots,
    Qui nous donnent du rêve aux bouts des yeux.
    Merci,

  52. Ossiane, deux fois déja je m’ étais arrétee pour la beaute des photos .

    Puis en période électorale un fai divers m’ avait profodément révolté ,un gamin ayant pris un jeu dans une grande surface devait être fiché par son ADN.Depuis ce jour je reviens réguliérement .La visite du blog m’ a permi de faire des rencontres ,de comprendre bcp mieux certaine choses et de supporter un peu mieux le quotidien pas tjs facile a vivre .Ce n’ est pas souvent que je trouve une raison de poser mon sac.De plus j’ ai retrouvé une volonté qui ne me fait plus suivre comme un gentil toutou.je me suis reveillée plus « libre « et ça !Bravo Une fidéle .Noisette

  53. Ossiane, quel déluge, tu auras fort à faire aujourd’hui!!
    J’ai retrouvé ce vieux texte dans le fouillis de mots que seul mon PC connaît.
    il est un peu décalé mais je suis sûr que tu sauras t’y retrouver sans peine.

    Cinquième saison.

    Pour toi je voudrai inventer :
    Une cinquième saison.
    Il y ferait toujours beau, monsieur Météo n’existerait pas, on pourrait se baigner, faire des barbecues tous les jours, vivre nu. La nuit il ferait assez frais pour bien dormir, et faire l’amour.
    Un sixième continent.
    Il y ferait bon vivre, des oiseaux dans de grands arbres toujours verts, un ciel bleu et une mer turquoise. Des fleurs de toutes les couleurs. Des gens sympas qui sourient tout le temps. Des vélos, et des petits chemins qui sentent bons la lavande. Des montagnes où la neige est éternelle.
    Une seconde lune.
    Pour éclairer nos nuits de milles feux, pour continuer à te voir la nuit, pour voir nos ombres lorsque l’on fait l’amour.
    Une seconde vie.
    Où le bonheur serait le lot quotidien, l’amour le guide de nos actes.

    bonne journée à toi et à tous les « plumistes » de ce blog

  54. Embrassade du jour à vous tous… le WE sera au champagne… et au voyage… le bonheur
    Embrassade particulière à Neyde et Fanou

    Pour Ossiane bon dodo

  55. Je passe vous lire et vous dire bonjour,
    le soleil est si beau dans le nord,
    je vous envoie de chauds rayons,
    que chacun passe un beau week end,
    je vous embrasse bien fort,
    très émue par tous vos mots,
    mmmmmhhhh quel beau jour!

    et déjà j’oublie que je suis lue, et c’est tout bon comme cela,
    j aime nos conversations au coin du feu,
    ou assis sur une plage devant un clair de lune,
    ou couchée dans un hamac balloté en chants d’oiseaux!
    bises:

  56. Le coeur de l’oeil ouvert
    Perles ses petites vies
    Qui se bullent m’ennivrent
    Je me spliche tout tendre
    Me laisse planer si douce
    Mes mains savonnent
    Tous ses pétilles précieux
    De l’oeil ouvert si beau
    Et chutttttt j’entends
    Le souffle délicat
    De notre unique Ossiane
    Chuuuuuutttt
    Fais de beaux rêves
    Je l’aime ton oeil ouvert
    Même quand tu dors
    Dans la grâce de tes pépites

  57. Bulles.

    Bulles de savons
    Au dessus de l’horizon
    Comme des messages
    Adressés aux nuages.

    Bulles de champagne
    Comme autant de je t’aime
    A l’assaut des montagnes
    Royaume de ma reine.

    Après-midi de bulle
    Ou de sieste coquine
    Pour un gai funambule
    Avec son arlequine.

    S’enfermer dans sa bulle
    Au chaud bien douillet
    Être dans la lune
    Goûter l’éternité

  58. C’est beau Jean Louis,
    allez je quitte l’écran juste allumé qu un peu, mais c’est la fin de l’été, et j’aime la savourer, comme j aime lire vos poèmes, textes haikus, regarder les images….
    on passera serrés, l’hiver au coin du feu, à lire tous nos mots, à tourner la page de l’album, belle, toujours belle à venir… BISES.

  59. 500

    Des écrits,
    Seulement des écrits ?
    Des photos,
    Seulement des photos ?
    Que nenni,
    Bien plus que ça
    Bien sur…

    Un soupçon de vécu
    Un brin d’entendu
    Un peu d’imagination
    Une pincée de rêves
    Un zeste d’implicite
    Une touche de mystère
    Un poil d’humanité
    Une once de sentiments
    Un chouya de plaisir
    Un brin de liberté
    Une goutte de rencontres
    ……

    Chacun y va de sa propre recette
    Chacun y choisit son propre dosage des ingrédients
    Le tout crée un cocktail pétillant
    Que de bulles…

    La vie ne serait elle pas nulle sans bulles ?
    ….

  60. > Alix, je revis! Et pour l’Alixir, il ne dépendra que de vous / toi; vous / tu auras vu que le poème que je vous / te dédiai était un affreux plagiat? Et Ossiane tout enflammée n’y aura vu que du feu? J’ai repris pas à pas vôtre / ton oeuvre mise en lumière et n’ai fait que rechercher des mots subterfuges qui remplaçaient les vôtres / tiens. J’y ai trouvé énormément de plaisir, à me laisser envahir par vôtre / ton univers poétique! Je ne savais pas qui vous êtes, sais-tu qui je serai?
    Bon week-end en retour.

  61. Maria-D
    je reçois avec joie l’embrassade que tu m’envoyes.
    Du Brésil pour toi, ma chère amie,
    des gros bisous.

  62. Il est venu, le Printemps!

    Ici, chez moi,
    s’annonce le printemps
    après souffler longtemps
    le froid de l’hiver.

    Avec moi,
    les fleurs partagent
    et font l’hommage
    au plaisir de sourire

    Sur moi
    Pétales de rose tombent
    mon âme réchauffent
    sous la lumiére du soleil

    Pour toi, Ossiane,
    un peu du printemps.
    Le jour est de fête.
    Tu, ma chérie,
    merites 500 commentaires!
    Allons, mes amies, mes amis, allons!

  63. un visiteur avait donné le nom de « contemplants » aux passants que nous sommes le 1/3/2006 sur la note 1 (263)
    j’avais commenté ainsi :

    Les Contemplants
    ——————–

    Ils jettent un oeil ouvert sur le miroir du temps
    Pour trouver les signes d’un feu dans leur errance
    Où ils réchaufferont leur âme en confiance
    Entrant dans le cercle avec le cœur battant

    Chacun sera libre d’inventer son printemps
    De boire à la source d’où tous les mots s’élancent
    D’y laisser quelque trace ou passer en silence
    A midi à minuit qu’importe le moment

    Que le jour se lève que brillent les étoiles
    Fidèle au rendez vous ils entrent dans la toile
    Pour chercher dans les autres un visage de soi

    Peu importe les noms ce sont les Contemplants
    Qui sans se voir vraiment se connaissent pourtant
    Visiteurs que jamais l’œil ouvert ne déçoit

  64. quel long et beau voyage,
    quelle somme de travail,
    quel talent…

    Je n’en rajoute pas arrivant un peu sur la fin (panne tout à l’heure ?);
    j’étais sur ce blog dès les premières heures je me souviens il faisait froid et tout était gelé, un jardin tentait de se dévoiler. Ce sont les paysages qui m’ont attiré et la lecture poétique qui en était faite;
    Si je cherche bien mon premier commentaire date du 1 avril : un poisson d’Avril que nous avait réservé Ossiane qui m’a décidé à intervenir lors que je n’étais comme beaucoup d’entre nous au début que spectateur timide.
    Longue vie au blog le plus talentueux de la blogosphère française…
    SG

  65. >>>>> A tous :

    Merci à vous tous pour m’avoir donné la date de votre premier poème sur le blog, je vérifierai un peu plus tard, si je n’ai pas fait d’erreurs. Ca vous donne l’occasion de parler de vos rencontres, de votre relation aux mots et ça permet aux petits nouveaux de faire plus ample connaissance avec les plus anciens.

    A noter que le poème de l’amitié et du partage se rallonge avec les apparitions du jour. Pour l’instant, je le trouve à peu près cohérent même si j’ai le sentiment qu’il va exploser en feu d’artifice 😉

    Je ne vous oublie pas mais je demande un petit peu de patience à ceux qui m’ont envoyé des messages en privé car ma boîte à lettres explose 😉 Merci à vous.

    >Bourrache :
    Et toi tu fais dodo quand 😉 Tu as vu l’heure ?
    OK pour tes chiffres romains 😉 Bel après-midi au soleil !

    >Neyde :
    Formidable, notre appel a été entendu !!! Très heureuse de ton signe ; je commençais à m’inquiéter, tu sais 😉 Je salue ta présence avec nous car tu donnes tant de toi pour le blog. J’aime ta bonne humeur, et ton enthousiasme. Je suis ravie que le blog te donne l’occasion de pratiquer ton français et de te faire plein d’amis. Je t’offre le champagne, ma douce amie ! Merci pour ton beau poème et ces partages. Contente que le printemps soir revenu dans ta vie. Bises françaises !

    >Daniel :
    Et voilà un ami de plus qui se manifeste avec enthousiasme. Daniel, ça commence à faire un bout de temps qu’on se côtoie ; je te remercie pour ton assiduité et la belle poésie que tu nous offres. Si, si ne rougis pas, pour quelqu’un qui n’en avait jamais écrit auparavant, ça me bluffe ! Un grand merci à toi, je t’embrasse bien fort.

    >Michel B :
    Merci Michel de venir nous faire ces petits signes de sympathie et de nous livrer ton regard photographique. J’invite d’ailleurs tous les visteurs à aller découvrir tes belles photos. J’espère que tu me pardonneras si je ne me déplace pas beaucoup en ce moment mais j’ai un peu de mal à faire face. Merci pour ton amitié et bon week-end au soleil.

    >MTO :
    Toujours à courir par monts et par vaux, MTO ;-)) Une autre ancienne connaissance qui a pris le temps de venir nous faire un petit coucou. Une femme chaleureuse et talentueuse, grande amoureuse de la nature qui m’a toujours encouragée. Un grand merci à toi, je t’embrasse fort ; envoie le bonjour à Bernard. Bon courage pour les réparations 😉

    >Alix :
    Que d’apparitions en ce dimanche matin !!! Tout le monde a fini par se réveiller 😉 Merci Alix pour ta visite chaleureuse; c’eût été dommage que tu ne sois pas là car tu comptes beaucoup parmi tous les poètes du blog. Merci de ta confiance et de ton enthousiasme pour venir écrire ici. Je t’embrasse.
    Une petite question naïve concernant Chester ; est-ce un cheval, un chien ou un terme de rugby ?

    >Jeandler/pierre (2) :
    Bonjour Pierre, toujours fidèle au poste avec tes mots réconfortants. Merci beaucoup pour ton amitié. Bon week-end à toi.

    >Bruno :
    Merci Bruno. Une petite précision pour ta gouverne, Bourrache est une femme 😉 et belge de surcroit 😉 Je t’embrasse.

    >Fanou :
    Incroyage que tu ne nous ai jamais quittés ; je pensais que tu étais absorbée par d’autres activités. Je te remercie de t’être manifestée et pour avoir posé ces mots affectueux. Ce n’est pas un lieu de concours d’écriture, Fanou. Tu as une belle plume et tu as su nous émouvoir aussi avec ton feeling. La porte est ouverte, viens quand tu le sens même si ce n’est pas pour écrire de la poésie. Merci d’être toujours là. Je t’embrasse.

    >Noisette :
    Bonjour Noisette, les campagnes électorales font faire parfois de drôles de choses 😉 Je sais votre quotidien bien difficile à vivre. Je pense que cette fenêtre ouvre sur le monde et les autres. Je vous sens beaucoup plus gaie, libre et ouverte depuis votre arrivée sur le blog. Vous avez tissé des liens très forts avec certains qui sont devenus vos amis. J’aime vos commentaires plein de malice et de générosité. Alors continuez à naviguer en liberté avec nous. Je vous envoie toute mon amitié affectueuse. Bises au côté de mon voyageur qui est toujours là.

    >Jean-Louis :
    Tu as raison, c’est un véritable déluge de réactions fort sympathiques 😉 Formidable si tu arrives à inventer des saisons et un monde nouveau où tout le monde pourrait être plus heureux. Tu es un vrai magicien 😉 Je pioche, je pioche tout ce qu’il y a de bon dans tes écrits 😉 Merci beaucoup, je t’embrasse.

    >Maria-D :
    Beaucoup de baisers, en effet 😉 Je suis ravie d’avoir pu réunir sur cette note les anciens et les nouveaux. Il en manque quand même quelques uns auxquels je pense. Je suis bien éveillée et pars pour une longue journée. Bien à toi, Maria funambule.

    >Annick :
    Heureusement qu’on est lus, Annick; cela a permis l’apparition de quelques amis 🙂 Mais tu vois, on oublie vite ce sentiment d’étrangeté pour laisser parler son cœur naturellement. Super ton poème sur les bulles. Je craque devant « Je me spliche tout tendre » 😉 Bel après-midi au soleil.

    >Nigra :
    Nigra, ton poème me ravit ; tu décris si bien ce qu’on peut ressentir sur cet espace. Finalement, ça fait beaucoup d’ingrédients qui s’ajoutent de façon un peu désordonnée mais si enjouée que la recette au final ne peut être que savoureuse. Conclusion, les bulles sont le sel de la vie. A la tienne, Nigra et merci pour tout !

    >amichel :
    Je me souviens très bien des Contemplants et de cette visiteuse amoureuse des haïkus qui nous a accompagné fort longtemps ; il s’agit de Bén et de sa fenêtre ouverte en permanence sur L’Oeil. Dommage qu’elle ne soit pas là aujourd’hui. Je ne désespère pas de la retrouver. Elle est sans doute appelée par d’autres occupations. Merci d’aller fouiller dans la bibliothèque, je t’embrasse.

    >François :
    Tu n’exagères pas un peu, François ;-)) On se connaît depuis fort longtemps maintenant. Je crois même que tu as été le premier blogueur à qui je me suis adressé 😉 La nature, les jardins et les paysages nous rapprochent. Je suis très touchée par tes mots et tes encouragements constants pendant ces deux années. J’aime tes interventions et aller visiter ton beau jardin de Marandon. J’ai beaucoup d’amitié pour toi. Je t’embrasse bien fort.

  66. Voyage en bulle passion
    Voyage dans le tout bleu
    Mousseux de vie
    Volupté calme
    Luxe précieux
    Toucher si tendre
    Fort belle écoute
    Plaisir des yeux
    Vapeurs raffinées
    Goût liberté
    Luxe précieux
    En belle simplicité
    Il y a tout cela chez Ossiane
    Il y a tout cela dans amitié

  67. pour rire de la mort
    les chemins de l’écriture
    la vie avant tout

    je te cite et te lis à haute voix, andrée.

  68. je suis émue, fort émue ce soir.

    Je trempe mes lèvres
    Dans la coupe
    Et je bois au monde d’amis
    Qui unis se serrent les coudes
    Une feuille d’automne vole
    Cette coquine devient rouge
    Le temps d’automne
    Il boit à la santé de l’amour
    Qu’il rayonne de mille feux
    Et que le bonheur soit

  69. °°°°°°°°°E°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°O
    °°°°°°°°°U°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°
    °°°°°°°°°Q°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°S
    °°°°°°°°°°I°°°°°°°°°°R°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°
    °°°°°°°°°H°°°°°°°°°°U°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°S
    °°°°°°°P°°°°°°°°°°°°°E°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°
    °°°°°°A°°°°°°°°°°°°°°V°°°°°°°°°°°°°°°°°°°T°°°°°°°°°°°I
    °°°°°°°R°°°°°°°°°°°°°°°Ê°°°°°°°°°°°°°°°°R°°°°°°°°°°°°°°
    °°°°°°°°G°°°°°°°°°°°°°°R°°°°°M°°°°°°°°°E°°°°°°°°°°°A
    °°°°°°°°°O°°°°°°°°°°°°°°°°°U°°°°°°°°°°°V°°°°°°°°°°°°°°
    °°°°°°°°°T°°°°°°°°°°°°°°°°B°°°°°°°°°°°U°°°°°°°°°°°°N
    °°°°°°°°°O°°°E°°°°°°°°°°°°L°°°°°°°°O°°°°°°°°°°°°°°°°°°
    °°°°°°°°°H°°°°R°°°°°°°°°°°°A°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°E
    °°°°°°°°°°P°°°I°°°°°°°°°°°°°°°°°°°L°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°
    °°°°°°°°°°°°°°O°°°°°°°°°°°°°°N°°°I°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°
    °°°°°°°°°°°°°°°M°°°°°°°°°°O°°°°E°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°
    °°°°°°°°°°°°°°°°E°°°°°°°M°°°°O°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°
    °°°°°°°°°°°°°°°°M°°°R°°°°°L’°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°
    °°°°°°°°°°°°°°°°°°°U°°°E°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°
    °°°°°°°°°°°°°°°°°°°E°°D°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°
    °°°°°°°°°°°°°°°°°°°O°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°O°°A°°E°°
    °°°°°°°°°°°°°°°°°°°°C°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°V°°Y°°G°°°°°

  70. Bonsoir, Ossiane

    Alors, es-tu remise de ta soirée « mouvementée », pas trop la gueule de bois?

    Mes mots déposés
    Dans ton album de brillance
    Explosion de joie

    Bises à toi. Je crois que Bernard a encore fait des merveilles
    Bonne soirée à tous

  71. Hier je me disais que ….
    Un poème déposé sur l’oeil ouvert sans un commentaire d’Ossiane…c’était un peu comme un jour sans lumière..
    Le ciel caressé par les nuages orangés..était d’une bouillonnante beauté…
    J’aimerais être chat chez nous..pour me lover tout entier sur ses genoux..
    C’était sur ces pages que j’avais appris à écrire avec la pointe de mon coeur…
    Il fallait que j’achète une carte du ciel pour me perdre sur ses lèvres….
    Les mots déposés ici me permettraient d’aller de l’autre côté de la rivière…
    J’aimerais inviter la nuit à danser mais..que je ne savais pas danser..
    Lorsque j’avais embrassé pour la première fois..j’avais découvert le mot douceur..
    La vie était belle quand elle se laissait croquer..
    Je t’embrasse Ossiane…Bon anniversaire…

  72. J’oubliais qu’il est si bon de voyager …

    Le voyage, c’est la part du rêve. [Xavier Roy]

    Il n’y a d’homme plus complet que celui qui a beaucoup voyagé, qui a changé vingt fois la forme de sa pensée et de sa vie.
    [Alphonse de Lamartine] Extrait de Voyage en Orient

  73. Et pourtant !

    Si il y a une chose que je n’aime pas, c’est être en retard!!

    Alors, c’est une grande première pour moi !
    Je suis en retard, et ça ne me déplait pas ,

    Car j’aurai pu, tempo chargé, ne pas passer ici ce soir,
    et, je n’aurai pas pu, bêtement me répéter, en disant à toi Ossiane :

    MERCI !!

  74. Sur la route de l’errance,

    L’avion vire sur l’aile, découvre des plages lointaines de brume bleue… des sommets pointus, des arêtes aigues accrochent des morceaux de ciel ou persiste un reste de jour…Ciel de traine sur la ville…le regard aventureux plonge des falaises urbaines et se perd dans les carcasses de voitures au pied des gratte-ciel…
    Lui, reste au bar, accoudé au comptoir, avec l’impression de croiser un instant la route des errants qui ne trouvent jamais ni de repos ni de paix, y-at-il encore une place pour les paumés, envers et contre tout ? … le verre s’englue dans la moiteur de la main, laisse une trace mouillée, la fumée de cigarette vacille au bout de ses doigts.
    Un soleil mandarine éclaire les jardins, les ports de plaisance, les vitrines, et si tout cela n’était qu’un décor…
    Les échopes s’enivrent, les places bavardent, l’avion trace dans le ciel un sillon, indifférent…

  75. Quel souffle, Ossiane ! L’oeil ouvert dévoile plus encore son immensité, sa richesse profondes et sa générosité ! C’est magnifique et c’est un régal de se promener librement parmi tes photos !

  76. Les papillons ne se posent jamais
    Au même endroit n’est pas ?
    Et savez-vous pourquoi ?
    Ils n’ont pas le temps !
    Chaque battement d’ailes les rapproche du néant.
    Ils butinent, ils voyagent
    Sans penser à hier
    Et jamais à demain
    Ils prennent le meilleur,
    Délaissant le passable,
    Tels des ogres affamés de bonheur.
    Ils délivrent leurs multiples couleurs
    A nos yeux émerveillés.
    Ils goutent tous les parfums exquis
    Qui peut-être prolongeront la vie.
    Que ne suis-je pas un papillon ?
    Une vie de quelques heures,
    Sans répéter les erreurs,
    Sans rêves inassouvis
    Libre comme l’air
    Absorbant la lumière
    Ignorant les frontières
    Sans ennemi.
    Ah Bouddha si tu m’entends !
    Tu sais ce qu’il te reste à faire !

  77. Annick merci de tes commentaires.
    Cet oeil ouvert, c’est un peu le tien et celui de Bernard, Sven, Amichel, et tous les autres qui nous font partager leur vision de la vie, chacun à sa manière.
    Tous ces mots s’entrechoquent, et donnent un cocktail plein de bulles de vie.

    Bonne journée sous le soleil

  78. Quand on aperçois un papillons on ne pense pas forcément a sa fin prochaine ,on le regarde ,on l’ admire a la rigeur le temps d’ une photo.Envolé il est parti vers sa destinée.Nousle pensons immortel,mais quand de nouveau on se prépare a l’ admirer il est un autre .Cela me fait penser a la vie éternelle.Si nous étions plus pres de la nature ,nousaurions peut être un vie meilleure?
    La nature n’ est pas « idéale « elle est terrible ,c’ est la loi de la Jungle mais nous l’ oublions trop souvent.Ce n’ est pas de la mélancolie « automnale  » mais la réflexion de quelqu’ un qui vit au plus pres de la nature et qui n’ oublie jamais qu’ elle est du régne animal.Ceci dit la vie est différenteet supportable.
    Bonne journée a tous ,et profitez de cette saison pour admirer les papillons.Salut a la funambule que je n’ oublie pas.Noisette.

  79. 500 BISOUS,
    500 BRAVOS,
    500 MERCIS,
    500 Photos et plus, fabuleuses,
    500 HAIKUS OU POEMES

    Chère Ossiane,
    Tu nous offres de telles beautés,
    Que tant de poètes s’y sont posés,
    Avec talent, et assiduité,
    Avec Amour et Amitié,
    Je ne peux pas tous les citer,
    Ici de belles rencontres sont nées,
    Car voilà plus de deux années,
    Que de temps en temps, je viens poétiser,
    Tu reçois des mots mérités,
    Que continue ton succès,
    Je ne suis pas inquiet,
    Vu ta merveilleuse créativité.

    Ossiane, reçois mes plus doux baisers,
    Un Ancien OLIVIER, je n’ai pas retrouvé mon premier mot, mais de mai ou juin 2005
    Et merci pour tes nombreuses dédicaces à mon encontre !

  80. coucou Jean Louis,
    je pense que Ossiane ne me contredira pas, c’est aussi le lieu de toi ici. Je suis fort émue par ton dernier écrit..

    Cet album, je le ressens comme un jardin, un beau jardin avec la main merveilleuse d’Ossiane, qui cocktaille ses plantes, favorise de belles vues, ouvre ses fenêtres, laisse voler les murmures de ses mots, et puis elle peint son calligramme pensive au bord de sa fenêtre..
    et elle ouvre sa porte ouverte, et on est attiré par les parfums, les couleurs, les chaleurs en humanité…
    et sur la pointe des pieds, chacun entre, en reccueillement, en pélerinage, et la table parfois sent fort bon et l envie de boire une coupe de champagne, ou de rire un bon coup, ou de pleurer aussi,
    c’est un lieu plein de vie qui ne ment pas la vie,
    la vie du pleur au rire, ou du rire au pleur, avec sa palette de nuances.

    c’est un fort bel endroit, j en ressors toujours , mon panier d osier plein de belles cueillettes, que chacun m offre à sa façon d’être lui et je remercie chacun.

    coucou Noisette et Olivier, je vous embrasse. Sans vous aussi, ce lieu serait désert.
    Chacun y campe son bout de saucisson et sa miche de pain, et son verre de rosée. J’adore!

    Smaskssssssssssssssssssssssssssssssssssssss!

    mon virus s’écrase un peu, il m a assommée de fatigue sur déjà de la fatigue, je m’écoute et l’évacue, tant d’années chargées derrière!
    bises!

  81. en écho à amichel et Annick

    on arrive au salon, un jour, au hasard d’un clic,
    on y dépose avec pudeur,
    nos maux, à demi mot,
    on y ressort, quelque fois
    sur la pointe des pieds
    pour ne pas déranger.
    car il est parfois préférable d’écouter
    que trop écrire avec ses larmes.
    mais, toujours on y revient
    car nous le savons bien, les amis,
    combien on s’y sent bien!!!
    merci à Maria pour son étreinte amicale, et à Neyde pour son retour
    au salon!
    et à toi Notre sirène Ossiane, pour tes mots réconfortants. ne change rien!
    bizarre! cette sensation d’être toute spliche au coeur!!
    toi aussi Annick, surtout ne va pas raconter aux autres, comme tu nous spliche le coeur! ils en seraient jaloux!!
    tendresse dominicale au salon

  82. Marcel Marceau est parti de l’ autre côté de vie !

    Dommage ,les couleurs de l’ automne ne pourront me consoler.

    La vie continue c’ est le côté merveille de lexcistence( la y a un hic )et pas moyen de la mimée cette faute rien n’ est parfait.Noisette.

  83. Le père du mime
    Est mort cette nuit
    En mon cœur qui l’aimait
    Un pincement j’ai senti
    Une petite éraflure
    Un pinçon incarnat
    Au goût de mélancolie
    Le Père du Mime
    Est mort cette nuit
    Je me sens orpheline
    Sur mon fil sous la pluie

  84. explosion de mots
    touchant les cœurs
    aux plus profond

    étincelants , scintillants
    Comme des étoiles !
    dans ma voûte crânienne

    illuminant mon âme
    de leurs puretés
    de leurs couleurs

  85. Point n’est besoin de crier si fort
    Un geste suffit
    Une expression
    Un sourire
    Bip nous l’a donné à voir
    Disant le monde en silence
    Comme les 500 bulles de l’Oeil Ouvert
    Chaque jour ou presque
    Le blog comme le mime
    Est école de vie
    Qui nous réconcilie
    Avec nous même
    Et les autres

  86. Comment veut tu Funambule que je ne t’ associe pas avec le mime .BIP on a tous rêve un jour de lui .Etre compris sans parole cela est merveille.

    Le soleil s’ est atristé .Enfin la vie continue.Noisette.

  87. Dans sa dernière pantomime
    Le mime Marceau est parti
    Rejoignant Chalie Chaplin
    Emmenant toute sa poésie

    Sans un mot sans une rime
    Silencieux Poète sublime
    M comme Marcel
    Restera éternel
    M comme Marceau
    Que dire ! Chapeau
    M comme mime
    M comme aime

  88. Magique

    Une blanche douceur éclate
    sous un ciel de néon froid
    les arbres morts étincèlent
    sous le gel d’encre noire
    romantique…

    Les parois de verre
    partent sur la toile
    en dialogue lancinant
    le silence se brise et colore
    les images de mon rêve
    en noir et blanc
    féérique…

    Une sourde mélodie
    pénètre jusqu’aux os
    parcourt un labyrinthe mental
    tâtonne au fond de l’âme
    dans le secret des mots
    mystique…

    Il est l’heure du vent
    la nuit se lève sur la toile
    l’écriture épuise sa trame
    mais l’inspiration s’envole
    frénétique…

    Nous serons complices du vent
    nous prolongerons l’instant
    Ossiane, vous et moi,
    dans de grandes insomnies
    magnétique…

  89. Hier samedi soir, après une absence de quelques mois, ma nouvelle vie s’organisant petit à petit, envie d’aller frapper à l’Oeil Ouvert, rendre une petite visite à mes amis de poésie.
    Surprise! C’est la fête chez Ossiane.
    Dès l’entrée, de rouge tapissée, les bulles de champagne m’étourdissent. Dans le salon aux lumières bleues, les mots tourbillonent dans les coupes et les flûtes.
    Tout le monde est là, apparemment, la fête dure depuis vendredi.
    Les rimes frôlent les pétales des fleurs et les ailes des papillons dans un ballet parfumé, et dans tous les yeux scintille le reflet d’Ossiane, hôtesse radieuse et attentionnée.
    Pour son anniversaire, c’est elle qui nous offre deux merveilleux présents: pour chacun d’entre nous l’album complet de ses oeuvres, et son journal de notre voyage avec elle, affectueusement dédicacé à la date de notre embarquement.
    Merci, Ossiane, et que la fête continue.

  90. >Judith:
    Sympa Judith de passer en cette occasion car tu fais partie des passagers de ce blog pendant longtemps. Tu es la seule anglaise;-) D’ailleurs, peut-être saurais-tu mieux parler aux pigeons voyageurs anglais que moi;-) J’ai rajouté ta petite bulle d’amitié dans le poème partagé qui se trouve sur la page principale. Bonne soirée à toi, je t’embrasse bien fort!

    >Andrée:
    Merci pour cet article que tu as mis en lien sur ton blog. Il permet de mieux comprendre ce qui te rattache L’Oeil Ouvert. Je n’aurais jamais cru quand je l’ai démarré qu’il puisse faire émerger des passions poétiques. Belle route en poésie et encore merci d’être là. Je t’embrasse.

    >Annick :
    C’est la fête, ça mousse tendre dans tes mots, Annick 😉 Ca me touche. Merci pour tes voyages en bulle passion. Bon pique-nique ! La bise du dimanche.

    >Bernard :
    Splendide ce calligramme bullé à partir de mon haïku !!! Beaucoup de patience et d’astuce pour le réaliser. Touchée par ton beau geste. Bises.

    >Claudie :
    Bernard est un magicien 😉 Oui, Claudie, je suis bien remise de toutes ces émotions bullées mais je n’ai pas encore réussi à rattraper mon retard de courrier. J’étais de sortie aussi hier soir 😉 Belle après-midi d’automne.

    >Nath :
    Contente de ton petit signe ; je t’ai rajoutée dans le poème. Normal, non ? Vu le nombre fois où tu es venue amender le blog. Toutes ces citations sur le voyage nous invitent à rêver à l’heure de la reprise. Bises à toi.

    >pierre b :
    Contente aussi que tu te sois manifesté sur cette note. Bien trop gentil ce que tu évoques dans ton texte. Je ne mérite pas tout cela. Beaucoup de douceur et de tendresse dans tes mots. J’y reconnais bien la plume de notre poseur de mots devenu indispensable pour notre bien être quotidien 😉 Un grand merci pour ta présence et ta chaleureuse amitié. Tu te retrouveras dans le poème partagé. Je t’embrasse.

    >Maria-D, la funambule 😉
    Beau et sensible ton poème en hommage au mime Marceau. Merci pour la chaleur humaine que tu sais faire passer dans tes messages. Bises.

    >Franck :
    Bonjour Franck ! Alors si ce petit retard ne te déplait pas, tout va bien 😉 De toute façon, la maison est ouverte 24h sur 24. Je sais que tu es un ami de L’Oeil Ouvert et que tu aimes venir te perdre dans ces images. Un grand merci pour ta fidélité et amitié. Que l’aventure contiue en toute liberté ! Tu te retrouveras dans le poème partagé. La bise.

    >Sven :
    Bonjour Sven, changement de style puisque tu écris ton premier texte de la journée en prose. J’y reconnais la belle mélancolie qui habite en général tes premiers poèmes. C’est une vraie scène de film; j’aime beaucoup. Quant à ton poème, il est magique puisque tu as choisi ce titre et il me touche puisque tu décris les sensations qui te traversent en venant rencontrer ici les autres amis;-) Belle image ce vent qui nous emporte tous dans le tourbillon des mots. L’Oeil Ouvert n’est-il pas à sa manière une petite bulle protégée qui permet de se reposer et de rêver en sérénité… Bises à toi, magicien du vent et du désert.

    >Fugitive :
    Ravie également de ta venue, Fugitive 😉 Le poème partagé a accueilli tes mots bien trop gentils pour moi. Bises chaleureuses vers toi.

    >Jean-Louis :
    Merci pour ce beau vol papillonné qui symbolise la liberté du voyage et le désir de croquer le meilleur de la vie sans penser au lendemain. Beaucoup de légèreté dans le corps et la tête avec de telles pensées. Bises et bon dimanche.

    >Noisette :
    Bien sûr que la loi de la jungle sévit dans la nature. Mais j’aurais du mal à vivre dans un univers de béton 😉 Le beau cycle de la vie se retrouve dans la nature. A nous d’y puiser de l’inspiration pour conduire notre existence de façon intelligente sans chercher à la dominer à tout prix. Merci Noisette pour vos réflexions qui interpellent. Bon dimanche à vous.

    >Olivier :
    Bonjour Olivier, merci pour ce beau poème festif et ton enthousiasme débordant 😉 Tu es effectivement parmi les tous premiers à être venu déposer tes mots sur L’Oeil Ouvert. Je ne l’ai pas oublié et je te remercie de cette longue fidélité à ce cercle d’amis que tu connais bien maintenant aussi. Je vais te rajouter comme il se doit au poème partagé entre nous tous. Je t’embrasse chaleureusement.

    >Fanou :
    Coucou Fanou, merci pour toutes ces gentilles pensées ; je te sens en pleine forme verbale ce matin 😉 Alors continue à venir nous rendre visite et à mettre de la vie au salon. Je suis ton conseil ; je ne change rien et me laisse porter 😉 Bises à toi.

    >marc :
    Tu as raison, marc, ça explose en beauté et tendresse dans tous les sens ce matin 😉 Mon poème partagé va-t-il tenir le coup…. En tout cas, merci pour les tiens , ta plume se débride en beauté. Bien à toi.

    >Temps :
    Bonjour et bienvenue sur le blog 😉 Merci pour ces petits pas de poésie esquissés gentiment sur cette page ! Au plaisir de te croiser à nouveau.

    >Jeandler/pierre (2) :
    Le mime a laissé de belles traces. Tu as raison, parfois peu de mots, un simple geste ou un regard fait passer plus de choses. Merci pour ce parallèle avec l’école de vie. Je sais que beaucoup de gens trouvent du réconfort en venant ici. Bon dimanche, je t’embrasse.

    >Anne-Marie :
    Quel plaisir de te retrouver !!! Ca faisait si longtemps qu’on te t’avait vue ici ! J’imagaine que ta nouvelle vie à organiser doit t’accaparer complètement. Tu es venue pendant très longtemps enchanter mes pages avec tes mots et plutôt en fin de soirée, pour le plaisir de tous.Tu rejoins forcément les passagers du poème partagé. Merci pour tous ces mots, je t’embrasse fort !

  91. Bonjour Ossiane,
    merci pour tes mots, honorable Ossiane! Ces mots qui me touchent beaucoup et dont j’essaie de tenir compte, n’hésite pas à critiquer !
    En ce moment j’ai le goût pour des aventures nouvelles, je pars à la découverte des choses autour de moi, tout simplement en appréhendant au plus près la réalité et le rêve mais en me plaçant pour la prise de vue, à la fois au côté de l’acteur, au côté du spectateur, et en dehors…J’ai fait un premier essai avec Ultime baiser, puis un second avec Sur la route de l’errance…
    … Ca doit donner un truc bizarre et un peu déconcertant, plus facilement admis en poésie en général… J’essaie de faire simple au départ, puis avec de l’entrainement si cela vous plait, j’étofferai l’idée. Bonne fin de journée, tendresse vers toi.

  92. first post : 31 janvier 2007 Cardabelle
    « Harmonie
    Un présent des Etoiles …
    Juste le cadeau d’une Rencontre
    Juste une possibilité
    Juste un début
    Les Etoiles éclairent la route de l’Homme
    L’Homme libre peut acter cette Rencontre
    L’Homme libre peut tenter une Harmonie
    …… »

    Gardons l’Oeil Ouvert
    Maintenons les Sens en éveil
    Avec fougue
    Plongeons vers l’Harmonie

    waaaaaaaazzzzzzzaaaaaaaaaaaaa !

  93. Je me souviens…
    un soir d’octobre 2005 d’avoir cherché sur Google images des photos sur le thème de la lumière pour ma classe.
    Je me souviens…
    d’avoir été séduite par « Fragments » et « Solaire » et d’avoir suivi le lien.
    Je me souviens…
    d’avoir alors découvert un univers de photos, de poèmes et de calligrammes qui m’enchantèrent.
    Je me souviens…
    de t’avoir demandé l’autorisation de les montrer à mes élèves de 5 ans.
    Je me souviens…
    de leur émerveillement devant « Réjouissance », « Légèreté » et « vibrations », puis devant « Mélancolie », « Songe » et « Apaisement ».
    Je me souviens…
    que, non-lecteurs, ils ont imédiatement perçu la correspondance entre les photos et les calligrammes.
    Je me souviens…
    du charme que tes vers opérait sur eux.
    Je me souviens…
    qu’ils parlaient de toi souvent: « Ossiane, la dame qui fait des photos et des poèmes sur Internet ».
    Je me souviens…
    que, modestement, nous avons eux et moi imité ta démarche et créé 3 séries de photos – poèmes – calligramme à partir des feuilles mortes dans la cour.
    Je me souviens…
    d’avoir regretté que ma classe ne soit pas équipée d’Internet, car nous aurions consulté l’Oeil Ouvert souvent,et peut-être y aurions-nous participé?
    Je me souviens…
    que j’ai pris l’habitude de venir chaque soir chez toi puiser ma ration de rêve.
    Je me souviens…
    qu’à la lecture des poèmes, modestes ou flamboyants, déposés par ce qui me sembla tout d’abord un petit cercle d’initiés, je fus impressionnée.
    Je me souviens…
    de tes réponses attentives à chacun.
    Je me souviens…
    au retour de vacances, en septembre 2006, de cette fabuleuse série sur la nuit en Italie qui m’inspira mon premier poème.
    Je me souviens…
    de m’être sentie très vite adoptée.
    Je me souviens…
    d’être alors partie en visite sur d’autres blogs, et d’avoir semé quelques vers sur Pêle-Mêle et Champ, chez les deux Pierre.
    Je me souviens…
    d’être devenu « accro » à la rimaille.
    Je me souviens…
    d’avoir ainsi écrit une centaine de poèmes.
    Je me souviens de tout cela,
    Merci, Ossiane, c’est grâce à toi.

  94. Bulles envolées
    Dans le vent du sablier
    Rêves imagés

    —-

    Belle soirée à vous tous et à toi Ossiane grand merci

  95. 500 ! ça se fête 😉

    J’ai passé une bonne heure entre hier et aujourd’hui à re découvrir tes photos 😉

    La première fois que je suis entrée sur ton blog c’est lorsque je faisais des recherches sur le monde et que tu pronais au hit parade des blogs 😉

    C’était un 25 juin 2005, une photo que j’adore « le vol de la libellule » !

    Première intervention le 9 août 2005 😉 puis j’ai redécouvert mes posts, pas toujours très gais… je suis parfois tombée bien bas !

    Aujourd’hui, beaucoup de projets en tête et une pêche d’enfer ! Je viens d’acheter un appareil photo plus puissant et vais essayer de capturer d’aussi belles images 😉

    Merci pour ces superbes photos et tout ce temps consacré aux uns et aux autres ! Longue vie à ton blog 😉

    Bises pétillantes !

  96. Ma chère Ossiane,
    Chez Olivier,
    il y a de la fête aussi:
    La barre des 2000 commentaires est dépassé !
    Il mèrite, le grand poète, le grand rêveur.
    Les fêtes, chez mes amis, me vont droit au coeur.

  97. Toujours très émue de découvrir au fil des heures votre enthousiasme, vos récits, vos tâtonnements, votre plongée dans la poésie ou la photographie, vos « je me souviens » qui viennent du fond du cœur. Merci beaucoup.

    >le sid/Yves :
    Décidément, tout le monde sera au rendez-vous de cette 500ème 😉 Quelle fête !!! Médusé, dis-tu, moi aussi 😉 Tes perles vont bien sûr s’ajouter aux autres perles de ce poème partagé de la page principale. Merci d’être venu, je t’embrasse.

    >Sven :
    Honorable Sven, je me permettrai de te dire ce que je ressens mais je ne vais pas te donner des leçons de poésie 😉 C’est formidable d’avoir envie de tenter de nouvelles expériences poétiques. La curiosité est le sel de la vie. FOOOOoooonnnnccccccccce sans te poser de question !!! Tes premiers essais sont beaux, je n’ai rien vu de déconcertant. Qui sait… peut-être te mettras-tu ensuite à l’écriture d’un livre… Cet espace est aussi un terrain d’aventure et un atelier d’écriture. Bien à toi, je t’embrasse.

    >Nigra :
    Merci Nigra d’avoir fait ces recherches; je garde précieusement toutes vos dates. Tu as largement donné suite à cette possibilité. Au fil des mois, la petite timidité du début se fait plus assurée, volontaire et expressive. J’aime ta conclusion sur l’harmonie ; cela signifie qu’une certaine paix gagne ton esprit. waaaaaaaazzzzzzzaaaaaaaaaaaaa ! ;-))

    >Alix :
    Coucou Alix, c’est toujours la turbulence; la fête continue, les amis continuent d’arriver 😉 Merci pour ton beau poème !

    >Marc :
    Marc, tout est en alerte maximum pour moi ce week-end ;-)) Mais ça va bien 😉 Bonne soirée !

    >Maria-D :
    Le sable n’a pas encore fini de couler, Maria 😉 J’aime bien l’association du sable et du vent. Merci pour le bel haïku. Bonne soirée à toi aussi.

    >Lydie :
    Voilà une autre venue qui me fait bien plaisir. Je suis ravie de te voir désormais en super forme. C’est vrai que ce n’était pas vraiment le cas en 2005. Il faut avoir confiance en soi, dans la vie et dans les hasards heureux.
    Tiens c’est vrai, j’avais presqu’oublié 😉 Je n’en ai pas parlé dans le Journal de Voyage. Bonne mémoire…J’explique pour ceux qui n’étaient pas encore là… A l’époque, le Monde m’avait intégrée avec Michel-Jean Dupierris qui tient le Blog Images dans l’équipe des blogs de journalistes. On y est restés tout l’été. Ce fut une bonne expérience, mon blog passait régulièrement à la une du Monde. Ca m’a aidé car il faut savoir que Le monde figure parmi les 10 sites plus visités de France.
    Je t’ajoute dans le poème partagé. Bonne chance pour la photo, ta vie professionnelle et privée. Je t’embrasse.

    >Neyde :
    Ok Neyde, j’essaierai d’aller faire un saut chez Olivier. Merci de nous avoir prévenus.
    http://carpediem.typepad.fr/

    >Anne-Marie :
    Désolée de n’avoir pu réagir plus tôt , je viens de redonner la liberté à ton formidable « Je me souviens » qui s’était retrouvé dans ma boîte à spams, grrrr ! Notre rencontre fut particulière et très sympathique et j’ai bien aimé participer à faire découvrir la poésie de façon ludique à tes enfants. Je n’aurais imaginé que les écoles puissent venir puiser ici des sources d’inspiration, tu sais 😉 Tu m’en vois très honorée, chère Anne-Marie. D’autre part, je découvre aussi que tu t’es mis à l’écriture poétique sur L’Oeil Ouvert. Il me semble que tu ne me l’avais jamais dit. Ca m’honore aussi beaucoup. Merci pour toutes ces révélations qui viennent du cœur. Je t’embrasse.

  98. Charmeuse d’oiseaux

    Entre ses doigts
    une misère
    verte et fine
    unique dans la multitude
    Une misère
    un brin d’herbe
    fier et coupant
    le menton acéré
    une menace
    Elle l’a saisi
    ses pouces en caresse d’automne
    poignets joints
    en prière
    Sa bouche appliquée sur la lame
    le vent est sorti d’elle
    une goutte de sang
    coulant sur la note
    Musique
    Musique
    Tous les oiseaux du ciel
    se sont posés
    sur ses ailes de fille
    en lui murmurant
    des mots de plume
    et de ciel

    Bonne soirée 😉

  99. La 500 ème !!
    Waouh ! quelle fête, quelle affluence, quel plaisir.
    Excellente idée de faire, pour cette occasion, cet Album et ce Journal de voyage. Une manière délicieuse de se promener dans ton univers poétique et délicat. Quelle richesse Ossiane, quelles richesses même.
    Un grand merci, bravo et un grand bisou pour toi.

  100. Je te dis merci, Ossiane,
    car au lieu de remplir mon petit coffre à mots chaque jour,
    des petits mots qui défilent si souvent,
    dans ma petite tête,
    ton album est le gardien de quelques traces,
    et je suis émue,
    par ta gentillesse et générosité d’accepter mes petits mots,
    depuis qu’il est si simple de parcourir ta toile en apuyant sur une nuance de ta palette…je me suis relue, et c’est quelquechose…
    Et j ai relu d’autres plumes,
    yaouhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh, vous êtes magiques!

    je lis chacun en commentaires et mots et poèmes sur cette page et suis émue, très émue!

    je suis un peu plus reposée, une telle fatigue le week dernier qui a ouvert la porte au premier virus qui a croisé ma route dans le parc our aller à l’école de musique. Cela est mieux!

  101. Mon rêve
    Je t’ai rêvé
    Mais au départ un rêve
    C’est fait pour se serrer
    Le rêve tout contre soi
    Et l’aimer fort son rêve
    Tout de vrai
    En plein beau
    Dans la pureté du vivre
    Je t’ai vécu
    Mon rêve
    Qui laisse vivant son jour

  102. La fatigue des ans
    Le chagrin si vivant
    Et ce jour d’aujourd’hui
    Qui bulle sa cuvée rare
    Car tu es mon précieux
    Ma splendeur de la vie
    Tu es mon amour grand
    Qui donne le goût de la vie

  103. >Johal :
    Quel superbe poème et quelle originalité pour parler de cette charmeuse d’oiseau !!! Je ne sais plus quoi dire Johal tant c’est beau et imagé. C’est peut-être ce que je devrais faire à mon voyageur qui m’accompagne toujours ce soir 😉 Merci à toi grande poétesse, je t’embrasse et te souhaite une bonne nuit.

    >Bernard :
    Merci pour cette vidéo, Bernard, je t’embrasse.

    >james :
    Une visite qui me fait bien plaisir 😉 Bonsoir james, merci d’être venu poser quelques mots en cette occasion car tu fais partie à ta façon des passagers de L’Oeil Ouvert depuis plus d’un an. Je vais tout naturellement ajouter tes mots à ceux du poème partagé de la page principale. Tu t’y reconnaîtras.

    J’en profite d’ailleurs au passage pour inviter les nouveaux venus à découvrir ce superbe blog photo autour de la musqiue et des tournées que James fait avec L »Ensemble Intercontemporain de Pierre Boulez. http://leregard2james.canalblog.com/

    Bien à toi, un grand bisou pour toi aussi.

    >Annick :
    Tu as raison, Annick, le blog est un petit coffre à trésors, trésors que vous pouvez retrouver à tout instant plus ou moins facilement. J’aurais aimé pouvoir faire mieux mais il faudrait faire une base de données avec vos écrits. Cela demande du temps et de la programmation. Mais on ne sait jamais 🙂
    Contente que ton virus te laisse un peu tranquille. Ce serait dommage de gâcher l’énergie amassée pendant l’été. Merci pour tes mots pétillants. Bonne nuit !

  104. te préoccupes pas, c’est déjà tant ce que tu donnes, Ossiane,

    quand je prendrai le temps,
    je pêcherai un à un mes écrits, pour créer nouveau blog,
    et ainsi les partager avec d autres encore,

    j aime tant cet idée de partage, mais ai eu des réticences au départ,
    il faut oser le pas de souhaiter faire lire son écrire,
    et je l ai sauté en avril 05 avec mon premier blog, j’étais si enfermée en moi, je me suis forcée, et cela m a fait du bien, énormément de bien,
    car j aime ma liberté, plus encore car si difficile de l’obtenir; et je souhaitais me partager, me donner d’écrire, serrer des êtres chers…

    bises, profite de tes quelques jours.

  105. >Ossiane:
    Je comprends ces réticences; il ne s’agit pas non plus d’exposer son soi de façon crue car ce n’est pas un journal intime. Il faut parvenir à trouver le juste ton pour évoquer des choses sensibles avec subtilité. C’est ainsi qu’on apprend à choisir les mots les plus appropriés pour exprimer des sensations.

    Tu as fait des progrès incroyables depuis que tu écris et que tu reçois des regards extérieurs. Il y a un phénomène d’entraînement bénéfique entre visiteurs. L’écriture se désinhibe pour devenir plus libre, sûre et sereine.

    Je vais essayer de m’accorder quelques pauses agréables mais je pars en Loire pour le travail. Bonne nuit à toi, je t’embrasse.

  106. Clin d’oeil..
    Savez vous pourquoi les baisers..fussent ils de papier..ne se posent jamais au même endroit ? Non ce n’est pas une question de temps…juste de désir..ils ont juste envie de voyager..Les poèmes et les mots suivent le même itinéraire…Ils naissent dans nos pensées..nos rêves…se posent sur nos lèvres..et s’envolent…Les premiers mots sont hésitants…un peu gauches..parfois maladroits…Et puis..le vol se fait plus aérien..plus doux…plus affirmé…La durée de voyage ne dépend pas de son souffle ou de la longueur de sa plume….Le moteur est ailleurs…Désir..souffrance..soif de reconnaissance..envie de partage…envie de dire et de lire…Mais il reste à trouver un endroit ou se poser.. »Journal d’atelier »…puis une passerelle vers « l’oeil ouvert »..Dans ces deux espaces ..j’ai appris à voler..
    Mais pourquoi se poser ici et pas..là bas…Pour « l’oeil ouvert » c’est tout d’abord une question de beauté…Celle des images..des haikus..Puis ensuite c’est l’écoute..le tact..la présence..On est attendu…respecté..aimé..Puis ensuite viennent les croisements …les mots..les rires..les passions..les coeurs…les regards..les prénoms..
    Alors on se dit qu’on a bien de la chance d’avoir découvert un jour cet espace..Sinon..on aurait continué à voler…peut être jusqu’à épuisement…Une pensée à Marie et Ossiane…

  107. pierreb, je partage tes mots, et je les cite…

     » alors on se dit qu’on a bien de la chance d’avoir découvert un jour cet espace..Sinon, on aurait continué à voler…peut être jusqu’à épuisement… »
    et j’ajoute… » sans doûte jusqu’à épuisement…alors cette chance tendue et offerte si belle si pure et généreuse et si aimante, c’est une grande chance de vie, une vie si offerte avec tant de vie dedans….et mon humble merci est insommensurable.  »

    Profite des beautés de la Loire, Ossiane. Je tembrasse fort tendrement.

  108. >Pierre b et Annick:
    Un petit clin d’oeil à tous les deux juste avant mon départ. Touchée en plein coeur par vos mots. Bel envol en « Olivler » à tous les deux. Je vous embrasse et vous dis à bientôt.

  109. chére Ossiane

    quelle effervescence
    quelle belle fête

    que de merveilleux mots valsés
    que d »amour partagé
    que de vagues et de bulles envolées

    chapeau a toi
    a tous ceux qui sont là
    sur ces pages qui sont si appréciées

    merci d’avoir créer tout cela
    spécialement essentiel pour moi ces derniers temps

    je t’embrasse
    et te renouvelle mon offre si tu passes en corse
    ma maison t’acceuillera avec plaisir

    jane

  110. Bon anniversaire à L’Oeil Ouvertet à toi, Ossiane
    Continue ce chemin merveilleux
    Que cette partition reste toujours inachevée
    Que tes notes résonnent à jamais dans nos coeurs
    Je t’embrasse

  111. >Jane:
    Merci pour ton beau poème généreux dont je vais choisir un ou deux vers pour t’insérer dans le poème partagé de la page d’accueil. Merci pour ta proposition que je mets de côte pour une prochaine fois. Bien à toi, je t’embrasse fort.

    >Antiblouz/ L’oeil vagabond:
    Merci pour tes chaleureux souhaits, Chris. Pour l’instant, l’envie de continuer est toujours bel et bien là. Certains de tes mots vont se retrouver dans le poème partagé;-) Bises vers toi.

  112. D’infinis paysages

    Les mains des paysans ont sillonné la terre
    Les mains des artisans ont modelé l’argile
    Le monde de l’industrie changé les paysages
    Et toujours l’homme sur terre en ses pensées voyage

    Alain

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