Lecture du Haïku Calligramme: de haut en bas
Un noyau d’amande
un mamelon de dune
ou la tortue des mers
◊ Le torrent du Fango … Voir la Carte de Corse …
L'Oeil Ouvert : photo et poésie
Haïkus et calligrammes, rêverie sur le monde… le voyage imaginaire d'Ossiane
Lecture du Haïku Calligramme: de haut en bas
Un noyau d’amande
un mamelon de dune
ou la tortue des mers
◊ Le torrent du Fango … Voir la Carte de Corse …
Posée dans les eaux
tortue, mamelon, noyau?
petite coline
bosse de pierre
=======================
Le géant de pierre de Guess Who
a perdue sa lentille de contact?
Fichu travail, bouffeur de temps et générateur e tant de stress au point de m’avoir retenue éloignée de ces images corses, coincée sur de néanmoins forts jolis rochers roses qui ressemblaient tant à une peau vivante et chaude.
Fichu stress générateurs d’insomnies qui permettent cependant de rattarper quelques jours de retard et via une pause photo (pas le temps pour les textes) de me dire qu’il faudrait m’inspirer de ce rocher aux formes tendrs qui efleure de l’eau agitée qui le caresse mais ne le blesse
Bonne nuit à vous Ossiane
ou plus exactement compte tenu de l’heure: bonne journée à vous 🙂
lente clameur des flots…
dans l’eau
la pierre
fait un ilot
lente clameur des flots…
***
dans les flots la pierre îlot
seule
prend le temps à témoin
pour jouir du vent sur son dos
quand passe
le soleil des paresses
à la rive heureuse
des rires d’enfants
aux plongeons du Fangu…
trop lointaines collines du Niolu
***
l’or bleu des silences
trêve
joyeuse danse frêle élégance
pierre dune
histoire floue
aux graviers noirs et roses-gris-rouges
lagunes…
…connais-tu l’arrière pays avec la rivière du Fangu et ses piscines naturelles en porphyre rouge. La fôret de Pirio qui borde l’antique chemin de la transhumance des communautés niolines « Da a piaghja à a muntagna ».
Cette forêt de chênes verts unique en Corse, elle recouvre en partie la vallée de Mansu et ombrage les roches polychromes et les eaux transparentes du torrent du Fangu.
Dans l’eau… une perle
Une coquille de nacre
La tortue des mers
___
Extra-terrestre
Apparu un 2 juillet
Cet oeuf sur le plat
_
heu…
La tortue
Du Thrace magique, ô délire!
Mes doigts sûrs font sonner la lyre.
Les animaux passent aux sons
De ma tortue, de mes chansons.
G. Apollinaire/Bestiaire
Montre-nous ton nez
petite tortue toute rose
la vague s’éloigne
Peut être une ouverture sur la mer…un oeil de pierre à qui il manquerait les cils…un fossile posé sur un bras de mer…Peut être les esquisses d’une paupière… ou la peau de pierre d’une tortue de mer…Peut être le noyau d’une amande amère…Peut être…
Mais ce n’est qu’une île…une île flottante qui dérive dans le courant…qui suit les humeurs du torrent…Une île et un torrent…..l’isolement et le mouvement dans un même élan…sur une même page…Pour un rêveur..une image ordinaire dans un courant d’air…
Tombée de sa planète sphérique comme une bouteille à la mer
L’horizon s’éclaire et mon pays s’ouvre alors et c’est le tien .ne serait-ce qu’un éblouissement?…………AA
On dirait plutôt une lépiote élevée ou plus vulgairement coulemelle
qui se dresse et s’érige, s’élève et émerge, pas comme les chanterelles
elle cherche la lumière et de son dome fait pavillon non pour attirer les papillons
mais plutôt afin de prendre de la hauteur afin que ses lamelles se dispersent au vent
aussi cet auvent de fortune n’est il guère protecteur contre les promeneurs
S’ il s’ agit d’ une des tortues de Bernard? Laquelle serait-ce ? ;))
Ici nous celebrons Canada Day, les feux d’ artifice battent leur plein
Un jardin de fleurs
dans ce ciel
ou s’ allument
mille pensees …
Elles fusent dans la gaiete
et je vous les envoie
passagers
de l’ oeil ouvert
Si c’ est une tortue de Bernard, laquelle est-ce?
Thierry, vu, que je n’ ai pas pris mon dictionnaire, les mots lepiote et coulemelle attendront mon retour de vacances 😉 sourire et bises `a toi
voici mon humble participation a la photo du jour:
V’enus d’ Andalousie
dont le mont de lumiere
par un regard saisi
dans les vagues decouvert
Et s’ eveille a la vie
ce tableau ephemere
Le soleil d’or rosit
le sein blanc reveill’e
Et monte de la pierre
Tasse de chant caressant
Le plaisir du concert
Que la mer en ete
Offre aux doux passants
Excusez ma repet. Je pensais que mon premier com n’ etait pas pass’e
_
Pour Lou :
http://info38.isere.free.fr/mes-pages/les_champignons_fichiers/lepiote_coulemelle.jpg
_
>Neyde :
Coucou Neyde, merci de ne pas rater le rendez-vous de fin de mois avec tant d’humour 😉
Je suppose que tu veux parler de ce géant là ?
http://guesswhoandwhere.typepad.fr/guessw/2008/05/la-prison-den-1.html#comments
>aspe :
Bonjour aspe des montagnes, bienvenue sur cette page 😉 Toujours très beau ce que tu écris. Des instants vécus au plus près des ressentis avec des images qui frôlent l’abstraction. Je ne pense pas être allée aussi loin que l’endroit que tu m’indiques. Ce doit être très superbe. Les piscines dont tu parles me font penser à Aitone que je n’ai pas vu.
>Maria :
Voilà que se déposent d’autres approches tout aussi poétiques 😉 Merci pour ta perle à rêver, bises.
>bourrache :
Pas pensé à l’œuf du tout 😉 Me fait rire ton poème ;-))
Quant à la lepiote coulernelle qu’on peut voir sur le photo, thierry a bien vu 😉
Bonne journée !
>Pierre :
Je sens que l’idée de la tortue vous émeut 😉 Merci pour ton joli peit haïku !
>pierre b :
Hé hé l’œil en amande 😉 Bien l’idée de l’île qui revient chatouiiller les souvenirs anciens 😉 Quant au courant d’air, il fallait le faire pour le trouver 😉 Merci pour ta belle prose en mouvement. Bises.
> arletteart :
Bonjour, je te sens bien accrochée par notre petite tribu 😉 Merci pour ces gentils mots 😉 La poésie habite ton âme de plus en plus. Des mots joliment jetés sur le papier à côté de petites touches de couleurs. Belle journée à toi.
>lou :
Je clignerai de temps en temps avec vous 😉
A mon avis, il s’agit de la deuxième sorte de tortues;-)
Belle poésie que tu possèdes en toi avec cette chaude image d’Andalousie ! Merci, je t’embrasse, bonne fête !
>thierry :
Merci à bourrache pour la photo 😉 Mignonne et touchante lépiote que je découvre 😉 Merci pour ta jolie évocation. Bises.
.
00000000000000000000000000000000000000000000000000000000
.
Nouveau commentaire sur:
.
https://blog.ossiane.photo/2008/06/30/ebauche/#comments
.
22222222222222222222222222222222222222222222222222222222
.
sans être totalement médusé
ni colporter un de ses insipides ragots
sans faire de référence au radeau
la curiosité s’en trouva aiguisée
en sans dire en aparté qu’est ce donc
jamais on ne voudrait appuyer dessus
ce n’est pas un buzzer nature et découverte
il n’est pas assez translucide dans ce marigot
pourtant ce dôme si bas nous fait tiquer
et riche de concrétions il stimule la sécrétion
son secret est il dans la forme ou dans le ton
il nous charme et encore nous attire
ce n’est pas l’accessoire d’un vilain satyre
Coucou Ossiane… ce que j’écrivis ce matin était ce qui suit… comme j’y joignis un lien conséquent sur les tortues peut-être est-ce cela qui le fit rejoindre la boîte des spam…
Je retente avec simplement une photo…
Lorsque j’étais enfant
j’avais une tortue
elle s’appelait Lulue
dans le jardin elle vivait
et mangeait les laitues
les fleurs et les racines
Un jour elle partit
vers un autre Paradis
avec mon frère chéri
des larmes nous versâmes
pleurant notre tortue
partie au Paradis
Plus jamais de tortue
alors nous adoptâmes
http://www.arnaudcornu.com/Images/Tortue/tortue_hermann_06.jpg
Le titre de ta note me renvoie au livre plein de senteurs de Giono « Colline »… et la tortue au reptile… au lézard que Gondran tua dans son champ d’oliviers et d’où s’en suivit une mystérieuse inquiétude…
…
« Sans savoir pourquoi, Gondran est mal à l’aise ; il n’est pas malade ; il est inquiet et cette inquiétude est dans sa gorge comme une pierre.
Il tourne le dos à un grand buisson de sureau, de chèvrefeuille, de clématite, de figuiers emmêlés qui gronde et gesticule plus fort que le reste du bois.
Pour la première fois, il pense, tout en bêchant, que sous ces écorces monte un sang pareil à son sang à lui ; qu’une énergie farouche tord ces branches et lance ces jets d’herbe dans le ciel.
Il pense aussi à Janet. Pourquoi ?
Il pense à Janet, et il cligne de l’œil vers le petit tas de terre brune qui palpite sur le lézard écrasé.
Du sang, des nerfs, de la souffrance.
Il a fait souffrir de la chair rouge, de la chair pareille à la sienne.
Ainsi, autour de lui, sur cette terre, tous ses gestes font souffrir ?
Il est donc installé dans la souffrance des plantes et des bêtes ?
Il ne peut donc pas couper un arbre sans tuer ?
Il tue, quand il coupe un arbre.
Il tue quand il fauche…
Alors, comme ça, il tue tout le temps ? Il vit comme une grosse barrique qui roule, en écrasant tout autour de lui ?
C’est donc tout vivant ?
Janet l’a compris avant lui.
Tout : bêtes, plantes, et, qui sait ? peut-être les pierres aussi.
Alors il ne peut plus lever le doigt sans faire couler des ruisseaux de douleur ? […]
L’idée monte en lui, comme un orage.
Elle écrase toute sa raison.
Elle fait mal. Elle hallucine.
L’ondulation des collines déroule lentement sur l’horizon ses anneaux de serpents.
La glèbe halète d’une aspiration légère.
Une vie immense, très lente, mais terrible par sa force révélée, émeut le corps formidable de la terre, circule de mamelons en vallées, ploie la plaine, courbe les fleuves, hausse la lourde chair herbeuse.
Tout à l’heure, pour se venger, elle va me soulever en plein ciel jusqu’où les alouettes perdent le souffle.
D’un rond de bras, Gondran rafle son carnier et monte à grandes enjambées à travers la colline sans oser siffler son chien. »
extrait de Colline / J.Giono
Belle référence Maria D à Giono auteur si proche de la nature, des collines, des arbres, des sources, de l’eau, du coeur des hommes…..
__
Insolite, étrange
Matière inerte ou vivante ?
Le questionnement
___
Dans l’eau du torrent
Une étoile tombée du ciel
S’éteint doucement
___
Et puisqu’il est question de tortues, une belle histoire vraie à vous raconter.
Après les terribles inondations dans le Gard, une tortue s’est perdue dans les eaux, emportée, disparue. Son maître qui la soignait depuis plus de quinze ans en fut fort malheureux ce qui lui infligea un chagrin supplémentaire face à ce désastre des eaux (un mètre d’eau dans sa maison où tout était à refaire)
Or plus d’un an après, sur un chemin à cinq cent mètres de son domicile, se traînant misérablement il vit cette masse terreuse en direction de la maison.
Il s’est cru un instant atteint d’hallucination. C’était bel et bien une tortue.
Il la prit et sous cette masse grisâtre de boue séchée il vit apparaître le nez de Sa tortue, aucune erreur possible ; ému, il s’empressa de la nettoyer, elle avait sur sa carapace des taches toutes particulières qui permettait de la reconnaître entre mille. Blessée, épuisée, elle revenait d’on ne sait où, sans doute du lit d’un ruisseau à quelques kilomètres de là . Soignée, bichonnée elle a depuis repris ses habitudes au sein de la famille et l’hiver prend place non loin de la cheminée pour son repos hivernal.
Dans le var, il existe un charmant petit village, GONFARON le village des tortues. A visiter si possible, magnifique ….
http://www.gonfaron.net/pa3_village_tortues.htm
Un mamelon de dune
Dans le petit matin
Chacun est à chacune
Et mon cœur près du tien
Me renvoie la tendresse
Des secrets partagés
Liant dans l’allégresse
Nos promesses échangées
Si ce n’était qu’un rêve
Il était si joli
Espérant une trêve
Dans ma vie bien flétrie
Le mamelon détonne
Dans ce petit matin
Chacun est à personne
Il est lourd de chagrin
Son oeil il en en peut plus
De tourner en orbite
Dans sa larme salée
Du petit lac d’aimer
Elle se penche nostalgique
Plonge son petit doigt
Et fait des petits ronds
Des belles bulles dans l’eau
Qui se perlent de OOooO
Et se baillent de aAAaa
La vie cette rondeur
En belle chair de roche
A la fois dure et tendre
Qui donne à boire à l’eau
Et au milieu une île… sans desserte
plutôt un rognon arrondi et blanchi
un pas anglais qui en a vu passer
central nucleus mais pas de prunus
un mamelon au look circulaire
pas un mamelouk au lobe orbiculaire
il a fait d’une plusieurs car il met en lien
et réunit des parages
les visiteurs sur chaque rivage
il a pignon sur crue
et jamais déjanté
il donne du genoux à satiété
sans être statufié
Depuis qu’elle porte le monde
Sa dossière est usée.
Relèverait-elle la tête
Qu’elle n’oserait plus respirer!
Tous n’y voient que du bleu:
Elle voulait se mettre au vert!
Elle a gardé l’Oeil ouvert
Au risque de se noyer…
On lui colle une amende:
Circulez, ya rien à voir!
Elle ne demandait pas la lune!
Elle aime qu’on la colline
Ma tortue Madelon.
Alors c’est décidé! Elle s’en retourne chez sa mer…
………………………………………………._çOOOQn_ô°°
Cela veut dire quoi _çOOOQn_ô°° bernard? le langage de la lune..
Une petite île
Mon île
Pour te serrer tout toi
Je t’aime mon bel il
Et je t’attends sur l’île
Dis juste quand et où
Pour pas nous tromper d’île
La soucoupe volante
S’est posée là silence
Elle observe et regarde
Son moteur est tout prêt
Et dès qu’ils sont à bord
Ils se volent la lune
Se montent au septième ciel
Leurs regards merveilleux
je vous souhaite à tous de bonne vacances
je ne serais pas parmi vous pendant quelques temps;
quelques jours à l’ile de ré comme thierry
cela tombe bien car je me sens comme une coquille vide depuis quelques jours
et tout ce que je vois c’est un oeil qui se noit dans ces larmes
bonne soirée à tous
à bientôt ,
si la nouvelle est confirmée permettez moi d’exprimer ma grande joie pour la libération d’Ingrid Betancourt que j’ai parfois cité auparavant. J’espère de tout coeur qu’il en sera de même pour le reste des otages.
Enfin une bonne nouvelles parmi tout ce que je lis et j’entends. Je pense à ses enfants, à sa famille et à tous ceux qui se sont battus pour qu’on ne l’oublie pas.
Je te lis Rachel, je ne suis pas au courant, Merci pour le partage…
pardonne moi Ossiane, de lancer un cri du coeur ….
Un choix
Cette pierre plate
Au milieu de l’eau
Perdu dans tous les océans
C’est là
C’est en tout Là
Qu’elle a choisi de s’exprimer
Sa voix
Sa voie
Pour hurler soutenir
Tous les opprimés
Les menottés de vie
Ceux qui sont obligés de se taire
Et que pour rendre muets
On prend on piétine on saccage
On enlève la vie au fond du plus profond
Que ce monde arrête
De tuer les forts bons
Dise Non au pognon
Et rende l’âme à l Humain
Et remplisse de coeur de tripes d’âme
Ses banques et ses joailleries
Et que ceux qui soutiennent des causes
Reçoivent ce qu’ils méritent
SOUTIEN RESPECT AMOUR HUMANITé
Pour juste sa vie s’aimer
C’est cela la vie sur terre
C’est fait juste pour aimer s’aimer et aimer
Le sein de la rivière
Se laisse caresser
Par ce petit cours d’eau
Délicieux et si simple
Sans fausses manières
Il sait l’aimer en beautés
De ses baisers fort tendres
Et c’est bien l’essentiel
et comme je le lis, à présent sur internet,
je suis fort émue, si émue, que les yeux se picotent, pour I. Bettancourt et sa famille, je m incline devant leur courage, leur espoir, leur foi, leur force d’Aimer..
je souhaite tellement que les familles ne soient jamais amputées de leurs membres, et libres de s’aimer,
un si bel sens de famille que de serrer,
je suis fort émue,
et je souhaite ce dénouement à tous ceuxqui meurent dans des trous, des prisons, privés de ceux qu ils aiment, c’est horrible d être privés de ceux qu on aime….bonne soirée
Une série très « tactile », l’envie de toucher les pierres, sculptures dont les maîtres ne sont que les forces de la nature. C’est beau 🙂 (et pour répondre à ta question, je vais bien, mais je me damnerai pour que les vacances arrivent plus vite 🙂
Pierre
Ô si jolie pierre
Nageuse audacieuse
Force de vie si belle
Tu clames le respect
En esprit de justice
Aussi de belle paix
Au nom de l’amour
Je t’aime
Ô belle liberté
VARIATIONS EN RE FEROCE ET VORACE…
ils s’en vont nus
vers l’île dorer sous le soleil
dorer avec le pont
plus de bac
plus de humbles ferrys tremblants pour la liberté retrouvée
au fond des forêts
de pierres éclatées
à l’eau des volontés effarouchées
d’ingratitudes écervelées
nuits fragiles
sables humides
humiliés
par tant et tant de pieds
…enchaînés…
libérée
mutation des stries roses sur le sang des affamés
humilité
île de ré adorée
dans les vents d’hiver
solitaire
libérée…dorer…
ils
elles
il
elle
tu es libre…
Vive la liberte retrouvee !!
et vivement la liberte pour tous ceux qui sont encore si injustement enfermes en etat de mort vivant …
Merci Bourrache pour la lepiote coulemelle. Bon voyage Marc
Le petit mont rose fait venir a l’esprit Zhang Huan et sa petite montagne humaine: connaissez vous « To add one meter to an anonymous mountain »
Il y a toujours plus haut que la montagne que l’ on voit si notre imagination est mise en oeuvre.
Rose mont de cinq corps a corps
Peau a peau artistes morts?
Monticule d’ un metre ajoute
A quel jeu ces corps etaient-ils invites
Creant en accord avec la terre
Ce mont d’ un moment mesur’e
Zhang Huan voulait-il prouver qu’ il existait…
Pour ceux qui ne le connaissent pas
http://www.zhanghuan.com/ShowWork.asp?id=42&iParentID=1
la belle colombe de Colombie
va enfin retrouver ses habits
mais se trouvera dans quel acabit
sortant d’un affreux gourbi
ces années de réclusion
sont plus que de l’exclusion
car c’est dans la forclusion
qu’elle aura puisé une impulsion
pour elle nous avons eu espoir
pour elle nous étions soulagés
enfin hier soir
que les chemins de la destinée sont longs et improbables
même pour une femme estimée au courage évident
ce fut un réel soulagement
que cette nouvelle de libération
attendue et maintes fois déçue
une famille va retrouver ses droits
mais plus qu’à sa joie il y a le vide de l’absence
qui taraudera encore les consciences
cet égarement, cet éloignement
ces instants perdus et volés
ces songes envolés
Ingrid vous personnifiez le courage
et de cette rage de vivre
de sortir de la jungle
de vous extirper de ce fatras
ce fut une émotion immense mais contenue
laissez enfin éclater ma joie
Emersion
La liberté retrouvée
la liberté d’être
elle pointe
elle s’impose
à tous
évidente
un ilôt de liberté.
Pierre, de son jardin de Loire.
Ce reste de colosse
qu’érode le temps et le courant
n’est pas un pied d’argile
car si il était si fragile
il n’aurait pas laissé une île
pour l’évasion mais pas l’aversion
alors version trognon
cet édicule façon fascicule
fascine et décline
à sa manière
dans le lit du temps
dans le lit du ruisseau
ce n’est fragile berceau
juste un rogaton
chère ossiane
amis visiteurs
ce sont mes dernière cartouches du jour
ou presque, je ne parle pas d’hier 🙂
j’évite les armes par les temps qui courent
déjà que je suis anti militariste…mais pas guitariste
aussi si c’est mes cordes de finir acculé
je préfère éviter d’être maculé
et la boue vole bas ces derniers temps justement
Ré bue jusqu’à plus soif à ce saouler de temps de grâce
à bientôt Marc au détour d’un chemin
de mon côté sans me jeter dans la darse
je suis à Ars
pas fier pour deux sous 🙂
j’explore les dessous du Fier
pas à la force des bras mais celle des mollets
ça met à distance les mots laids
Liberté
Sur mes cahiers d’écolier
Sur mon pupitre et les arbres
Sur le sable sur la neige
J’écris ton nom
Sur toutes les pages lues
Sur toutes les pages blanches
Pierre sang papier ou cendre
J’écris ton nom
Sur les images dorées
Sur les armes des guerriers
Sur la couronne des rois
J’écris ton nom
Sur la jungle et le désert
Sur les nids sur les genêts
Sur l’écho de mon enfance
J’écris ton nom
Sur les merveilles des nuits
Sur le pain blanc des journées
Sur les saisons fiancées
J’écris ton nom
Sur tous mes chiffons d’azur
Sur l’étang soleil moisi
Sur le lac lune vivante
J’écris ton nom
Sur les champs sur l’horizon
Sur les ailes des oiseaux
Et sur le moulin des ombres
J’écris ton nom
Sur chaque bouffée d’aurore
Sur la mer sur les bateaux
Sur la montagne démente
J’écris ton nom
Sur la mousse des nuages
Sur les sueurs de l’orage
Sur la pluie épaisse et fade
J’écris ton nom
Sur les formes scintillantes
Sur les cloches des couleurs
Sur la vérité physique
J’écris ton nom
Sur les sentiers éveillés
Sur les routes déployées
Sur les places qui débordent
J’écris ton nom
Sur la lampe qui s’allume
Sur la lampe qui s’éteint
Sur mes maisons réunis
J’écris ton nom
Sur le fruit coupé en deux
Dur miroir et de ma chambre
Sur mon lit coquille vide
J’écris ton nom
Sur mon chien gourmand et tendre
Sur ses oreilles dressées
Sur sa patte maladroite
J’écris ton nom
Sur le tremplin de ma porte
Sur les objets familiers
Sur le flot du feu béni
J’écris ton nom
Sur toute chair accordée
Sur le front de mes amis
Sur chaque main qui se tend
J’écris ton nom
Sur la vitre des surprises
Sur les lèvres attentives
Bien au-dessus du silence
J’écris ton nom
Sur mes refuges détruits
Sur mes phares écroulés
Sur les murs de mon ennui
J’écris ton nom
Sur l’absence sans désir
Sur la solitude nue
Sur les marches de la mort
J’écris ton nom
Sur la santé revenue
Sur le risque disparu
Sur l’espoir sans souvenir
J’écris ton nom
Et par le pouvoir d’un mot
Je recommence ma vie
Je suis né pour te connaître
Pour te nommer
Liberté de Paul ELUARD
Une lueur filtre sous ta paupière alourdie du sommeil de la terre
Tu veilles loin de ta planète sphérique
Qui viendra réveiller ce coeur de pierre?
Une rose peut-être ? Non pas aujourd’hui car,
Une « belle colombe de Colombie » (si jolie formule Thierry) est revenue
Et la vie est revient aussi AA
Le monde tourne à l’envers
La plage est une mer liquide
la méduse échouée de pierre
et toi mon atlantide,
ce n’est plus moi
qui dans tes yeux me noie
ici c’est toi
qui dans tes yeux te noie
Désolée
Lire :Et la vie revient aussi AA
Il pleure un torrent
et dans sa rivière
de larmes amères
une lourde pierre
Des mots, une colline
Et si la tête dodeline…
Le dire à Perline ?
Des mots, une collineeeeeee
Et si le coeur s’animeeeeeee
Le dire à Christineeeeeee ?
Des mots, une colline
Et si l’âme chemine…
Le dire à Sabine ?
Dans l’eau de là,
Le courant emporte l’alpha.
Le dire à phil alb … ?
_
…aaaaaaaaaaaaa
Autant qu’on le sache :
Si l’amende est de pistache…
Le dire à Bourrache !
Et pour tous ceux et celles du « monde selon Ossiane »
Plein d’affection
Que de bonheur et que d’émotion. Quelle leçon de courage aussi de la part de cette femme. Quant on écoute les témoignages de ses proches on est émerveillé quand ils décrivent ses principaux traits de caractère : une détermination inébranlable, une petite flemme intérieure, ce petit supplément d’âme.
Qu’il me soit permis ici de lui dire toute mon admiration car, à travers elle, beaucoup peuvent reprendre espoir.
Elle est là la vraie leçon. Ne jamais plier mais se battre, avoir des moments de profond désespoir mais parvenir à s’en extraire et combattre encore.
Je partage profondément les mots d’Annick hier soir.
Croire et espérer en des valeurs fondamentales comme la solidarité, la ténacité, l’obstination lorsque l’on croit sincèrement et profondément en des valeurs vitales.
Et ne pas oublier tous les autres sur cette terre, dans tous les pays. Non ne pas les oublier
AmAnde et pistAche
Au phil de l’ ôoOooOo
Sans l’ A de mon abécédaire …
Je perds
Mes repères
oui à la flamme, non à la flemmme
avec flegme et patience
en conscience et consistance
en constance et en instance
il faut sans relâche se livrer
pour essayer de les délivrer
de par le vaste monde
dans l’orient compliqué
dans l’asie appliquée
dans la méso amérique
presque maso à ses risques
il faut sans cesse répliquer
comme dans un tremblement
et entrevoir non la félicité
mais un brin d’humanité
comme disait si bien
edward saïd dans humanisme et démocratie
Nelson dont la patience a été le fort
et dont le for intérieur était rembourré
27 ans a traîné
aussi elle est une voix qui montre la voie
celle de la résistance intérieure
pas hantée et presque rieuse
tant dans sa conviction elle est impérieuse
Ingrid ce n’est pas jeanne au bûcher
ce n’est pas une histoire de boucher
Ingrid c’est comme un rôcher
un Ilôt de pensée
une madone ensorcelée
n’en faisons pas une icone insensée
car jamais elle n’est sorti de nos pensées
Arriver a desarmer l’ autre sans arme est le plus beau pouvoir que l’ on puisse avoir ( Il en faudrait tellement des Edward Said , et des Nelson Mandela pour changer les choses )… Merci pour l’ evocation Thierry. D’ Edward Said, il nous restera les livres et les mots contre l’ injustice qui fait monter douleur puis rage … Vive la liberte contre toute forme d’abus de pouvoir de ces dirigeants impunis, vive la liberte qui delivre de l’ oppression, vive la liberte qui permet a l’ Homme de retrouver sa dignite d’ Homme…
Allez je reviens a notre douce colline qui apporte la paix et vous envoie un sourire. Bonne journee cher equipage.
Dites, ou est passee Christineeeeeeeeeee?
Comme une onde de lumiere qu’
O de fleur deposa
Levres roses de pierre
L’ eau a la bouche
Il osa
Nourrir l’ eau de mots lierre
En marre kiss d’ amour l’ arrosa
Love
Phil tu devrais en faire un long sur chacun (e), si tu veux pas qu’ on se sente left out nous autres 🙁
)))
Pour Bernard et sa jolie tortue number 2 !
Tortue de Bernard la seconde
qui dune carapace bien ronde
sortit la tete comme un James Bond
pour verifier que par le monde
tout etait safe pas trace de fronde
juste la douce fraicheur de l’ onde
Merci Rachel, pour tes mots, et les écrits de chacun,
fort éprouvée hier dans la nuit et fort tard, ou tôt ce matin,
par la force d’un esprit, comme celui de Ingrid Bettancourt, qui ….mais c’est inutile de redire tout ce qui a été dit, et bien dit depuis hier soir,
je suis émerveillée,
et pleine d’espérances, quand des êtres peuvent aller jusqu’au bout de leurs convictions, leurs valeurs, en honnêteté, respect, Humanité,
c’est Grand de vie riche!
Et la pierre est assommée
Devant une telle force Humaine
La pierre
Et pourtant
Elle en a traversé aussi
La pierre
Mais c’est ma foi vrai ça ! On a perdu Christineeeeeee. C’est embêtant car je voulais faire un omelette ce soir et je comptais piocher quelques « e » sur le blog.
Youhou Christineeeeeeee !!!! Youhou !
Bon d’accord c’est la période des vacances… On veut bien lui pardonner dans notre grande bonté (sourireeeeee) mais que cela ne se reproduise plus (en sourire mais je commence à avoir mal aux muscles faciaux)
Mais Annickeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee, elle est là, sourire, et elle coucou Christineeeeeeeee, et mon clocher de Savenay encore dans l’appareil, j’avoue ne pas avoir pris le temps, car la teCHnickeeeeeee et moi, c’est des mille e brouillés… BISES à vous deux.
Chanson d’été
Il est temps de reposer les outils qui toute l’année
Nous servent en permanence, nous mettent en apnée
Il est bon d’apprécier cette saine vacance de l’esprit
Qui en repos met nos neurones, on l’a compris.
Pourquoi rester plus longtemps endormi
A partir de ces rêves que l’on a bâtis
Pourquoi se prélasser sur les plages
Quand on a plus vraiment l’age.
Il n’y a pas d’heure ni de moment plus propice
Alors qu’il n’est pas encore temps pour l’hospice
Pour se poser de bonnes questions engageantes
Qui nous osculterons de manière dérangeante.
Il faut sortir de la divine torpeur estivale
Sans chercher à aller à un quelconque festival
Se replonger dans un débat d’idées saines
Parce que ce n’est pas une période vaine.
Mettre en repos activités et pensées en sourdine
Au temps de griller au barbecue les sardines
Laisser sédimenter lentement les strates du temps
Et contempler comment nous décoiffe le vent.
Savourer les yeux fermés embruns et air de marée
Sans avoir besoin de toujours impeccablement se raser
Et quêter dans ce refuge d’exception la migration
Sans guetter du troupeau la transhumante effraction.
Alors se dire qu’on a rendez vous avec un coin de soi
Et prendre le temps de se chercher un bout de toit
Pour abriter l’espace d’un été une évasion féconde
Qui jamais ne se révêle si on n’y mêle la faconde.
Voilà, c’est fait
un texte écrit il ya deux ou trois saisons
une promesse à lou
mais je pense que vous apprécierez tous
je vais m’occuper de bigorneaux et de bulots maintenant ;)))
capitaine et matelots tenez bon la barre
En quittant Albaran 457, l’équipage était fier.
Une mission de découverte et de reconnaissance vers de nouveaux univers.
Juste quelques années-lumière, la porte d’à coté en somme !
Un saut dans l’espace temps, et voilà notre vaisseau dans le courant de ce petit torrent.
Une erreur de virgule sans doute, ou une panne de d’aérofrein, enfin que sais-je ?
Le résultat est là. Tous noyés. La vieille carcasse de leur engin trône au milieu de nulle part depuis dix siècles. Chacun y va de son interprétation, tortue, dune, noyau géant, champignon j’en passe.
Pourtant sur les rapports de la NASA, (National Aeronautic and Space of Albaran), on trouve la mention suivante :
02-08-20128 Disparation du transporteur interstellaire « Bals » lors de son approche d’une planète inconnue de couleur bleue. Aucune nouvelle.
Bonne soirée à tous.
..
Pendant longtemps
On a cru les flammes
sans douleur//
Mais cette lumière
Dont l’issue est soudaine
Chavire/
Les doutes
et nos angoisses
Noyaux d’un monde/
Indifférent
Insconcient
Qui creuse encore
Ses fondations.//
De temps à autre
Le chemin se découvre
Et sonde sans insistance
Des murs qui se redressent
Obstinément //
..
Je laisse à d’autres la place que je n’ai pas.
Bonsoir .
Devant ce disque de pierre posé dans l’eau et qui nous interpelle quant à sa forme régulière, aux ronds qui l’entourent, le torrent semble vouloir nous livrer quelques secrets dont nous n’avons pas la clé, elle est quelque part dans l’imaginaire….
___
Puisssance magique
La symbolique des cercles
Les anneaux sacrés
___
Noyau d’amande
Tendre passion
De ta douceur en rose
Mamelon de dune
Sculpté à coups de caresses …
Par l’eau douce de tes mains
Tortue des mers
Toujours chez soi
Ton souffle de paix
PArdon BourrAche
pour une fAute d’orthogrAphe
qui fAit perdre le sEns
I beg your pardon, Lou,
Il y avait ici un jeu de rime,
d’abord
de l’affection assurément
au travers de 3 prénoms
mais donnée, en clin d’oeil, à tous.
Phil : pardon pas nécessaire … c’est l’alpha disparu de ta signature qui m’intrigue et me fait perdre mes repères !
Peut-être parti, lui aussi, en vacances…
(Quant à « amEnde en pistache », j’ai pensé que c’était une expression de par chez vous … vrai de vrai).
Bisous
Tout doux
A Lou
Clin d’oeil, sourire et tendresse(s) à tous.
Alors quoi Phil, nos noms ne riment donc avec rien…;)) Ne me prends pas au serieux, je plaisante !
Rachel et Annick, ces e m’ont fait craquer! Vous êtes si drôles 😉
Thierry, merci pour la chanson, j’aime beaucoup la derniere strophe et l’évocation du barbecue de sardines en faisant remonter dans le temps n’a pas manqué de me faire sourire. Tu devrais inviter tous les passagers de l’oeil ouvert à ta fiesta de fruits de mer…bonnes vacances.
Bises à tous
Ohhhh merci Bourrache, je n’avais pas vu ton com, tu es A dorable 😉
j ai du mal à vous suivre lou bourrache et phil alba,
mais comme le bonheur rêgne entre nous, cela ne peut être qu’une maladresse de tapouilles de doigt rapide… BISES à chacun..
Annick, comme le disait Ossiane une fois, l »absence de sons dans nos com. peut faire interpreter de travers un mot qui se veut drôle ou sympa.
Il est trop mignon le bisou rimé de Bourrache.
allez A+
Tu dis juste Lou,
mais comme on s’aime.. SOURIRE…
nos écrits ne peuvent qu être délicats et gentils, si c’est ressenti autrement, c’est la faute au pas de son..
allez, je hurle mon intensité, ainsi, vous m’entendez…
BONNE JOURNEE TENDRE, je souhaite à chacun!
Petit passage express avec tout plein de retard 😉 Désolée…
>thierry :
Je te souhaite de bonnes vacances en Ré. Un grand merci pour tes beaux écrits cisélés. A tout bientôt, je t’embrasse et bonne pêche 😉
>maria :
Je n’ai pas compris cette disparition…
Toute mignonne ta petite Lulu 😉 Merci également pour le beau partage avec Giono. Bises.
>monique :
Conquise toi aussi par les tortues 😉 Merci pour ta belle histoire, bonne soirée à toi.
>sabine :
Merci pour le lien, sabine, bises vers ton sud !
>rachel :
Oui rachel, cette libération est incroyable et ces retrouvailles familiales si émouvantes. Quelle belle combativité habite cette femme hors du commaun ! Merci pour ton beau poème plein de tendresse. Bises à toi.
>annick :
Bien vu la soucoupe volante 😉 Et bien sûr cette libération qui te bouleverse en belle poésie. Merci, je t’embrasse
>bernard :
Bel humour en jeux de mots qui te ressemble, Bernard ;-))
Que veux-tu dire par ………………………………………………._çOOOQn_ô°° ???
>marc :
Déjà le départ, et comme thierry, destination Ré ;-)) Vous allez sans doute vous rencontrer au détour d’un marais salant 😉 Bonnes vacances !
>Anne :
Comme c’est bien senti ! Art en 3 D. C’est le privilège de la sculpture de pouvoir offrir ce toucher si spontané. Patience pour les vacances, ça arrive 😉
>aspe :
Belle variation sur la liberté retrouvée, apse ! Merci pour ta belle plume !
>lou :
Merci pour ce beau partage avec Zhang Huan que je découvre. Bises.
>pierre :
Bien raccordé le petit ilot de pierre avec la liberté d’Ingrid ! Bel repos en ton jardin 😉
>monique :
Toujours poignant ce poème d’Eluard. Dommage que je ne trouve de lien pour l’entendre déclamé… Merci aussi pour ton bel haïku, Monique !
>pascal :
Emouvant ton beau poème autour de la méduse et des larmes. J’en ai vu beaucoup sur les côtes de Belle Ile. Merci pour la beauté de ton écriture.
>arletteart :
Jolie et douce évocation de cette vie qui reprend. Merci pour la sensibilité de tes mots ; bonne soirée !
>Phil Alba :
Jolis clins d’œil en rimes 😉 Tu mets à jour tous ces prénoms en « ine » 😉 Amitié vers toi.
>Bourrache :
Quel rebond à Phil 😉
>Thierry :
Merci pour ton poème tout en jeux de mots, bonne soirée !
>Jean-Louis :
Bonosir Jean-Louis, j’espère que tu vas bien 😉
Tu t’envoles en interprétation poétique et nous emportes au-delà des nuages;-) Merci beaucoup, bonne soirée !
>perline :
Bravo perline pour cette belle poésie étrange autour du noyau ! Merci pour ta belle écriture, bises.
>merciel :
Une douce écriture qui jaillit de ta plume en beauté. Merci pour la sensibilité de tes mots, bonne soirée à toi.