naissance dans la boue
épanouissement au soleil
éveil dans un rêve
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born in the mud
blooming in the sun
awakening in a dream
L'Oeil Ouvert : photo et poésie
Haïkus et calligrammes, rêverie sur le monde… le voyage imaginaire d'Ossiane
naissance dans la boue
épanouissement au soleil
éveil dans un rêve
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born in the mud
blooming in the sun
awakening in a dream
Image où tu as gravé ton nom.
Image de mes yeux, elle creuse mon regard :
de dessins et de formes, et de clairs et d’obscurs,
d’échos, de souvenirs…
De mes vies antérieures, elle en a la matière,
odeur fade de l’eau, des herbes de l’étang,
abandon de l’esprit étonné du miroir,
bruissement des feuillages ,
souffle doux de la brise.
Dans ce tableau de maître,
s’invite à la surface, la lippe amoureuse,
le poisson de l’orient
mémoire d’un enfant.
https://blog.ossiane.photo/2007/02/26/deux/
Au jardin du rêve
Hier, dans l’eau du bassin
le temps suspendu
Ombrelles fragiles
Dansent sur l’eau
Jeux d’ombre et lumière
L’idée me tente de retourner flâner dans cette forêt de bambous, de palmiers, de séquoias, de magnolias, d’hortensias, de bananiers, de Ginkgo ….. de mille fleurs dans une atmosphère absolument incroyable de sérénité et de beauté aux portes des Cévennes.
Dans l’ombrage clair
de l’onde en sous-bois
des fleurs de lotus
Un clic
et l’œil s’ouvre
sur des lotus en noir et blanc
je frotte mon œil droit
je frotte mon œil gauche
non je ne rêve pas
Ossiane est revenue
où étais-je donc
pour rater le rendez-vous
heureusement je suis là
et m’enivre de beauté
ces corolles qui flottent
une offrande à Bouddha
Ô ! Fleur de paix
Vous êtes bienvenue
en ce monde de dureté
merci
ma Sérénité
Dans l’ombre transparente
d’une élégance fragile
se profilent dans la brume
fleurs et feuilles en éventail
Petit coin de rêve et de douceur
Un temps de pause et de silence
Et ces quelques mots pour rester un instant dans cette aura de sérénité :
« La vie est un chemin de rosée dont la mémoire se perd, comme un rêve de jardin. Mais le jardin renaîtra, un matin de printemps, c’est bien la seule chose qui importe. Il s’épanouira dans une palpitation insensée d’éventails. »
Extrait de ce merveilleux livre : Le Peintre d’éventail d’Hubert HADDAD.
Merci Monique pour ces vers d’une élégante douceur.
Tes mots m’ont rappelé , sorti de ma mémoire, le beau livre de Hubert Haddad.
Bonne journée ensoleillée.
Merci Jo.S il y a dans la même collection en écho à ce beau livre de Hubert Haddad, « Comme une œuvre dans l’œuvre, un jardin dans le jardin » : les Haïkus du peintre d’éventail, c’est un bouquet de poèmes aux édition Zulma. Bonne journée à toi également.
Merci pour vos partages…
La douceur comme c est bon
De telles crises en autisme en Juin
La violence fait peur
A bas ce virus lâche
Qui sans se montrer
Détruit pulvérise des vies
Physiques psychiques
Cueillettes de lotus
Pour panser bien des plaies
L’Humain dans ses fragiles
Mais comme tu es douce
Mais comme tu es belle
Lotus oh bel amour de vie
Une image si douce
Fines et delicates
Gracieuses sur leur tiges
Les lotus éblouissent
Belle journee pour chacun dans ces temps si difficiles.
Prenez bien soin de vous
La vie peut peut-être tellement belle
C est joli
Oh comme c est joli
De calme en plein dedans
La lumière fait tant de bien
Des tendresses si belles
Sont au bout du tunnel
Le souffle moins haletant
Douceurs en paix magique
Mais comme c est joli
Apres des temps de folies
Merci merci la vie
Merci pour vos partages
Merci Monique pour tes conseils de lecture.
Cœurs de lotus palpitent
Caresse douce
D’une guirlande de feuilles
Merci pour vos partages
Merci Monique pour tes conseils de lecture.
Cœurs de lotus palpitent
Caresse douce
D’une guirlande de feuilles
Quand le regard cadre une parcelle si joliment c’est la pointe d’un pinceau dans l’encre de chine d’un artiste.
Toutes les fleurs sorties de l’eau
comme autant de petits bateaux
toutes voiles dehors qui vont sur l’eau
pour composer ce beau tableau
Le petit coeur souffle un peu d air
Et les lotus frissonnent tendrement
De belles délicatesses en lettres d’or
Premiers jours de juillet avec pour fond musical le chant des oiseaux loin de la cohue et du brouhaha ….
Le merle depuis ce matin
chante dans le tilleul
l’air est encore frais
le soleil émet sa belle lumière
celle encore timide de l’aurore
le vent n’est qu’un petit souffle
dans les plus hautes branches
comme au large l’air marin
sur les voiles d’un bateau.
Joli, Monique, j’adore.
Le grain de riz les pieds dans l eau
Fleur de lotus son bain de boue
Satin de peau voix cristalline
comment comme toi Annick retrouver tout en douceur les petits bonheurs du jour, ça fait vraiment du bien. Bonne journée à tous.
Orchestre au bord de l’étang
chantent et dansent les cigales
folâtrent les libellules
petits plaisirs de l’été
« Carpe diem, quam minimum credula postero » vers d’Horace qui signifie Cueille le jour sans te soucier du lendemain, et sois moins crédule pour le jour suivant. Voilà sans doute comment se sentir aussi léger qu’un papillon -:)
Yaouh, joli partage, Monique.
Je t embrasse.
Belle journée de dimanche serein, rrmolu de jon, de beau .
A se laisser faire tout simplement
Quand la vie belle s’offre au présent
C’est un champagne pétillant
D’un millésime au goût de soi
Ça fait du bien libre sans lois
Après qu elle ait pris tant des mois
Lire
Belle journee de dimanche serein,
REMPLI de bon, de beau.
Une image fort tendre
La douceur fait tant de bien
Dans ce monde bien trop dur
Des milliers de kilomètres nous séparent. Pourtant, distinctement j’ai entendu sa voix qui prononçait mon prénom. J’ai posé l’objet que je tenais entre mes mains et songé aux frontières fermées.
Je l’attendais chaque soir derrière la grille et d’elle que j’attendais chaque soir sans me lasser, je recevais toujours tout ce que j’attendais.
La séparation qui s’impose dans ces moments d’inquiétude s’avère une épreuve supplémentaire, mais lorsque l’attente libère quelques mots de réconfort attendu, grande est dans le cœur la joie qui vous apaise.
Par contre la séparation qui s’impose définitivement devient une douleur qui vous brise le cœur à tout jamais.
Loin, inaccessible
dans l’aura de la nature
le son d’une voix
Dans la fraîcheur du matin , à la pâle lueur de l’aurore, tout vous semble beau, possible et délectable, juste un moment très court qu’il faut saisir, c’est le petit bonheur du jour, c’est l’instant choisi par Ossiane dans cette image douce et belle, ce sont les mots qui nous viennent pour en graver la mémoire.
La vie quand agitée
Dans un parcours si long
Si bon de respirer
De se sentir vivante
La bise aère la tête
Après des temps trop durs
Qui déjà ne pèsent plus
C’est presque comme si c’était
Un terrifiant cauchemar
Période d’accalmie Annick nous en avons besoin, il fait beau c’est l’été mais restons attentifs et prudents, j’ose dire Sages !
Pour vivre serein
Un brin de philosophie
ne saurait suffire
mais quand un air de répit
déguster à pleine gorgée
https://www.youtube.com/watch?v=0do-UYWZKoY
Oui attentifs et prudents Monique, mais quelle époque on vit….ou plutôt on vit pas libres…on prend ce qui peut-être vecu…
Amour
C’est ce qui sauve
Encore
Dans des temps difficiles
Ses souvenirs vivants
D’un amour son si grand
Les frémissements de l eau
Offrent aux Lotus
Des palpitations vivantes
Quelques instants d’éternité
Comblent Tellement une Vie
De magiques précieux
Comme c’est joli Annick, et comme ces photos d’Ossiane sont inspiratrices tant elles sont fraîches et belles, une pureté s’en dégage ; elles nous offrent une aura d’éternité , d’émerveillement, de rêve aussi en ces temps où l’inquiétude et la peur nous envahissent à juste titre mais où nous avons besoin d’un tremplin d’espoir que seule sans doute la nature peut nous donner si nous savons agir en responsables, respectueux de cette richesse offerte à tous de façon impartiale dans la plus grande prudence afin de la protéger et par là même de tous nous protéger également.
Lotus, plante sacrée
nymphe de la beauté
fétiche des jardins
porteuse de sagesse
Bonne et belle semaine dans la sagesse et le respect des autres.
Merci Annick et Monique pour vos témoignages.
Rondeurs poétiques
carte du tendre
au large du courant.
Merci Jo. S
Quand le souffle vient à manquer
C’est bon de respirer des mots une vue
Les chances d être en veines vivantes
c’est la trêve
en suspension
pas sans sève
ni saveur
pas une une sylve
incisive
C’est dur de s’extirper du silence
pour s’exprimer hors de la fange
à la frange des cœurs battants
rêve aquatique en noir et blanc
pour nuit blanche
de quoi observer sur le banc
ni de touche ni des accusés
il est trop tôt pour se lever
reste alors à admirer
Après la veille l’écho vide qui étend
après la mort qui rode le temps qui érode les convictions
et la grande convection de la vie
plus que jamais dans le respect des conventions
Retour en fanfare
de toute cette retenue accumulée
lâcher de barrage en prise directe
Des temps inédits
Ce Printemps 2020
Son Eté même année
Des sens de vie bafoués
Cogitations de tête
Une fille pense tout quitter
Pour vivre à la montagne
Déjà une vie plus libre
Elle part deux mois pour voir
Si levivre bel ailleurs
En parent on regarde
Cet époque de prises de têtes
Pour beaucoup sur la terre
lotus ne fait pas qu’affleurer
à le voir on n’est pas effleuré
pas de doute tandis que la naine hue phare
hampe flexible et pourtant tige raide
et quel plaisir de te relire Thierry…
Dans l’intime de soi
des sentiments bien étranges
sagesse confrontée
l’éviction de tout syndrome
dans le charme du lotus
Je vous lis avec ravissemts, Thierry Monique, jamin…merci.
Quelles écritures Thierry,
Ce 2020
Une année où la tête
En nostalgie, vers l’avant
Pour quitter le réel glauque
Quand il est trop cruel
On a des clés en soi
Pour s’alléger le présent
Mais pour l’autiste fragile
C’est une foutue époque
Tant d’autonomies gagnées
Si durement acquises
Peuvent partir en fumées
C’est fou c’est terible c’est prison
Des pertes de libertés
Dépressions décompensations
Pertes de raisons fuites du réel noir
Vie je t en supplie
Donne toi aux innocents
Près du roseau j’ai osé
mon regard poser
eau trouble et nostalgique
pas une nuit magique
et ces carex si denses
avec eux pas de caresses
Affrontement de l’horizontalité
d’un plan d’eau immobile
et puis toutes des tiges graciles
tendues ou pendues en humanité
la gravité ou le tropisme solaire
ne font pas de ces espèces des solitaires
mais le fil à plomb est leur guide
tandis qu’ils donnent
soit dans l’élancement soit dans l’épanchement
et moi je remercie Titi
pour sa petite seconde d’éternité
♥
Comment allez vous Ossiane, dans otre vie artistique, en mots, en vues…?
J espère que la crise sanitaire qui fracture bien des vies, en les projetant dans le noir, ou en les libérant pour d autres, a un impact qui met en lumières votre talent.
Ici, je pose quelques mots, et vous remercie encore pour votre album si généreux d années.
Vous me faites rire gros minet…le bienheureux Titi….
Rien n’empêchera les cigales de chanter car elles n’ont conscience du lendemain, c’est l’été, il fait chaud , le soleil brûle les peaux fragiles, je reste au frais -:))
D’eau et le lumière
quelques feuilles et quelques fleurs
un soupçon de rêve
dans la chaleur de l’été
là-bas j’ai vu les lotus
Chers amis vivez du mieux qu’il est possible cette saison troublée par les interdits, les peurs, les angoisses, pensez avec prudence vacances, repos et n’oubliez pas de rire ou du moins sourire… jouez les gros minets c’est bon pour la santé -:))
d’eau et de lumière
Que dire de plus, Monique, tu dis si juste….
Demain
Les vacances de notre fils
Autiste
Chez nous
En acceptant angoisses peurs interdits
A grandes bouffées
De moments partagés
Avec des connaissances
Pour ne pas oublier de rire
De sourire plus et plus
Dès que c est possible
Que dire de plus, Monique, tu dis si juste….
Demain
Les vacances de notre fils
Autiste
Chez nous
En acceptant angoisses peurs interdits
A grandes bouffées
De moments partagés
Avec des connaissances
Pour ne pas oublier de rire
De sourire plus et plus
Dès que c est possible
A levivre d’aimer
Son temps sur terre
Les gros minets ne trônent pas, ils sont oisifs et à l’affût sans être canons. La chaleur pesante emplie leurs yeux de sommeil.
Hihi…Thierry
Un été particulier
Pour des lotus
Si fleurs de grâces
Oui mais les gros minets pas maso au martinet préfèrent regarder les oiseaux et tenir le pinceau. Ils essaient de retrouver la forme sans les formes après le covid cependant avec ,39,, degrés sur Toulouse il faut commencer le sport des ,sept heures
Une toile ses pinceaux
La Nature belle grâce
Offre des couleurs de vie
Les Lotus restent doux
Après tant de souffrances
Colonnent vertébrale
Élégance du temps
Qui laisse vivre bien plus
Un sac à dos moins lourd
Repos de l’âme enfin
Son dès que c est possible
J’aime Annick les lotus qui
« Colonnent vertébrale
Élégance du temps »
Pensées fraîches au bord d’un lac.
La plume d’Annick est toujours à propos et me ravit dans ses expressions poétiques et imagées, le lotus est une manne en matière de beauté , un terrain de rêve, une scène au décor majestueux pour de futurs micros n’enregistrant que le silence et le frou-frou du vent dans son feuillage. Les mots du haïku d’Ossiane ont accomplit leur Œuvre dans le cœur de chacun ; nous abordons avec émotion la phase de l’éveil , rêvons à l’ombre des lotus , c’est une pause nécessaire dans ce face à face avec la réalité de nos vies.
Bonnes et belles promesses de vacances pour tous en tentant de les vivre dans un esprit d’amour, de relaxation d’acceptation et de patience en pensant peut-être aussi un peu à soi, c’est permis et nécessaire et non pas forcément égoïste, être heureux c’est rendre le monde heureux autour de soi.
Merci merci Jo s, Monique.
Vacances pour notre fils 15j, ce sera beaucoup d amour, d elegances du trmos à saisir le plus possible, des crackboumhueeee inclntourbables aussi, en autisme….mais cela devrait aller. Le deconfinement fut tellement à survivre déjà pour lui en pertesde repères, et pour nous parents…
Et puissa soeur jumelle là depuis 3jours, un soir un jour avec son frere…à venir…on croise les doigts que les emotions vives le laissent tranquille.. c est bon de rêver…
Vacances ici qui permettront des écritures adorées ….
Encore merci pour vos mercis, Jo.s et Monique….j y peux rien ….l ecriture me glisse du bout des doigts…et me respire….mmmmhhh…
Je vous embrasse tendres poètes.
Avoir le frisson en lisant certains commentaires c’est aller au devant de la vie dans ses émotions les plus fortes mais c’est avant tout se sentir soi-même bien en vie et en harmonie avec le monde qui nous entoure dans tout ce qu’il a de bon et de moins bon tout en trouvant un équilibre, Annick a raison par l’écriture un courant passe et c’est ce qui explique le frisson….
Bon dimanche à tous.
Serrées à fleur de pétale
Les Lotus s’émerveillent
D’un bel voyage d’amour
Ombrelles du jour
noir et blanc des eaux calmes
silence rêvé
Comme en un jardin d’une éternelle splendeur, le rendez-vous des muses a lieu à l’ombre des mots fleuris et des rêves silencieux, de bien jolis poèmes « à fleur de pétale » beauté suprême !
Semblable à nos rêves, la nature se dévoile
au détour d’une allée, au creux d’un vallon
l’inattendu miracle soudain se produit
étoiles de nacre dans le miroir de l’eau
Merci à tous pour votre belle présence en cet été peu ordinaire où la poésie marque une pause à tous nos tourments, à toutes ces misères qui jalonnent le monde, notre monde !
Est ce que la nuit le lotus dort ?
Ce n’est pas un sémaphore
Et ses feuilles ont des structures
à picots qui rendent la surface
Totalement hydrophobes
Alors les gouttes roulent ou glissent
Laissant celles ci regagner
Leurs soeurs déjà agglutinées
Faisant corps et laissant sèches
Ces feuilles presque en forme
De coeur symbolique
En un bain de Lotus
Le paisible prend forme
D’un oasis d’amour
Ainsi le lotus dans sa beauté rayonnante offre au grand jour le nacre brillant laissant à la nuit l’or et l’argent… travail d’orfèvrerie d’une nature vouée aux plus insoupçonnables mirages !
Offrande au cœur d’or
sous une lueur de lune
s’endort le lotus
quand sur sa couche froissée
coulent des perles d’argent
Le lotus dort
Comme des paupières
Il ferme ses pétales
Il rêve de sources claires
de sons d’accordéon
de guitares fluides
de chants baroques
Juste pour un moment
de bonheur….
Oui Jo.S la mélodie du bonheur dans la fraîcheur du soir -:)) Bourrache aura peut-être ça dans sa discothèque !
Pétales hors de l’eau
Ou barbotent en surface
Quand d’autres tout au fond
La vie pour son chacun
Singulière délicate
Ombre belle en pendentifs
ne suggèrent pas l’heure
de l’apéritif
quand s’ouvrent les corolles
les pétales détalent
et les gouttes dévalent
on n’est pas au barcarolle
il ne s’agit pas d’avoir peur
du noir et blanc
parce que black lives matter
sur l’eau sans plis
jamais le eau des tiges
ne s’emplit
pourtant sur ces hampes
on a presque le vertige
https://www.comuseum.com/wp-content/uploads/2016/07/embroidery_lotus-leaves_yellow.jpg
@ Aimer
https://gd2.alicdn.com/imgextra/i3/2087201397/O1CN01ACR4lp1MBrpFFYyt8_!!2087201397.jpg
Reflets d’ombres denses qui parfois dansent
et d’un coup d’ombrelle contrebalancent
le poids momentané qui ne cherche qu’à s’évacuer
Hello Love….je n’arrive pas à ouvrir le lien…
Bel été pour vous.
La pâleur du jour
dans cette harmonie florale
s’ajoute au délice
Lotus un petit mot
Qui fait rêver
Bien au au-delà
Que le verbe aimer
elle aime le mot lotus du m met le l et du silence fait une fleur… de motus à lotus il n’y a presque rien et pourtant tu as raison Annick il fait rêver ce petit mot ! et ce que tu as écrit est joli bien que l’amour soit plus intense que le rêve !
C est fort juste ce que tu écris, Monique,
L’amour se vit
De pleins de réels
Le rêve fleurit lavie
Le langage est parfois trompeur selon le contexte où il se place et les coïncidences n’ont aucune explication si ce n’est la force du hasard, et c’est amusant ; alors que nous étions sur ces deux mots réalité et rêve, dans ma lecture du jour (Y a-t-il un grand architecte dans l’Univers de Stephen Hawking) je rencontre ce passage qui met en scène des deux mots réalité et rêve absolument sortis du contexte de nos commentaires ci-dessus mais tout de même très intéressant :
« On peut aisément appeler « réel » le monde des êtres supérieurs et « faux » le monde de synthèse. Mais, pour ceux qui habiteraient le dernier, nous en l’occurrence, incapables que nous serions d’observer le monde extérieur, nous n’aurions aucune raison de mettre en doute notre réalité. Voilà une version renouvelée, moderne, d’un fantasme classique qui fait de nous des produits de l’imagination issus du rêve d’un autre. »
Pour faire simple prenons ces rêves pour des réalités ou ne prenons pas ces rêves pour des réalités à chacun de choisir dans quel monde il veut se situer, mais le réveil risque d’être « hard » ou pas ! -)
Bon week-end à tous
Onirique on y risque mais en allant sur le blog de mon amie ariaga on y fixe aussi de près des préfixes sans faire de barre fixe auprès de Jung et de ses émules . L’émulation joue a plein et l’alchimie n’est pas bien loin.
Les progrès de la physique et les multivers ont des effets pervers mais dieu sait ce que nous réservent les prochaines explorations. Trous de vers unification quantique etc…bonjour depuis le bord de cher et Montrichard où je déménage mon père de 92 ans pour Toulouse .une vraie expédition 😀
Bon courage Thierry.
Ici c est une nouvelle rentrée pour notre fils autiste après un beau temps de vacances, même si le besoin de temps pour soi, parent, se fait sentir. ….
Et ce covid complique tant….freine des autonomies en extérieur.
Bon courage à nous tous pour vivre encore le mieux possible.
Quelques fleurs
Un peu d’eau
Des respirations
Un jour j’ai quitté Blois, Montrichard …
Ces berges du bords du Cher et de la Loire
mes parents, mes amis du Loir-et-Cher
Toutes ces âmes qui me sont chers
À entendre ces noms de villes et de villages
mon cœur chavire et fait naufrage
Val de cher où je ne suis point dormeur ni donneur de leçon de pêche ou d’équitation , lieu de vie de mes ancêtres depuis des siècles pour la branche maternelle entre couddes contres saint romain mer chemery noyers et selles vers choucy et pontlevoy bourre et d’autres encore. Hymne aux mânes de ces vignerons planteurs d’asperges ou de fraises de cornichon et puis elaborateurs de sauvignon de cot mais aussi de gamay de Touraine
Ces Lotus se demandent
De quelle région ils sont
Du lieu de leur naissance
Ou du lieu de fortune
Au son du pays
Des je t aime
Grands amoureux Lotus
Dans la force des ans
Mots rois
Pour ardeurs
Solognotes
N’est pas maurois
Qui veut pour conter
Raboliot et consorts
Pas seulement
Aux grandes occasions
Dans les sous bois fleuris
Que mots jetés comme orties
Qui battent les flancs
Et fougères arborescentes
Si anciennes , pays d’étangs
Pas si loin de la Brenne
Tout n’est pas à jeter a la benne
(…) »Il résonne de loin dans mon âme attendrie
Comme les pas connus ou la voix d’un ami »
« qui s’attache à notre âme et la force d’aimer »
Évidement comment ne pas penser à Lamartine et à Milly sa terre natale…où à mon autre Ami Bachelard » « le monde réel s’efface d’un seul coup quand on va vivre dans la maison du souvenir »
Les plantes ont des racines…. et s’adaptent à leur terrain sans la main de l’homme, ils sont et demeurent sédentaires, les lotus pourtant nous donnent cette impression de naviguer, de flotter, capteurs de lumière, inspirateurs des poètes…. ils demeurent comme sur pilotis blottis les uns contre les autres !
des lots tus par paquets se regroupent et s’enserrent
dans le silence de l’eau cristal miroir
pourtant des rhizomes plongent profondément en terre
Certains Lotus
Leurs cous tendus
D’autres en surface
Des autres sous l’eau
Loterie de la vie
Des touches d’amour
A l’air libre ou sur l’eau
Le vent les fait vibrer
Sous les capelines délicates
Légèrement gaufrées
En selle de cheval
Se présente tout l’étal
Et la tige aussi fine
Que rigide les soutient
Berçant l’ombre dégagée
Sur ces étendues étagées
Semis aquatique qui se renouvelle
Alimente les vasières
On pense mangroves
Mais aussi palétuviers
Quand les arceaux des plumiers
Fixent solidement les roseaux
Filtration pas sans infiltration
Dépollution des métaux lourds
Pas simple effet de sédimentation
Et frayères ambiomorphiques
Qui grouillent sous l’alevinage
Zones humides composites
Qui animent de drôles de sites
Elles rythment la vie de tant d’espèces
Repaires de flibustiers
On pense au delta du Mississippi
Mais aussi aux Everglades
Terrains de chasse des seminoles
Et l’on voit osceola auréolé
Pile hôte mais pas haute
Sans ascenseur à escargots
Tire et trempe , sonde et soutient
Quand le soleil
Sort de la boue
Un joli rêve
C’est quand m’aime
Quelque chose
De magique
…..des moments de rêves et de poésies particulières pas forcément délirantes dans les marais lointains ou des auspices inconnus….
L’ombre des lotus
incite l’élucubration
par l’intensité
des connections cérébrales
tête hors de l’eau dans les étoiles
Bon week-end et jolis rêves à tous pour contrebalancer les polémiques et les peurs pas toujours fondées voir délirantes mais jetant le doute et inspirant la prudence néanmoins.
On vit une époque inedite
Se disent les Lotus
Et dépasser tout cela
Reste de la vue de la vie
Ce matin en autisme
Cet après midi avec les petits
De la vie de la vie
A leur offrir cadeau
Quand un jardin campagne
Un petit café Beganne
Prudence pour nous tous
Vie à cueillir encore
Plutôt que d’être morts
Avant la mort
Pas vivre pourrit la vie
Tout est bon dans le lotus
Rien ne se perd si tout
Ne se conserve pas
Alimentaire et thérapeutique
C’est un vieil alicament
Il surnage et vous ménage
Bleu ou doré il est adoré
Pour ses vertus
Pas chasseur de verrues
Il est bien planté
On imagine décoction
Même si la fleur donne
Dans les plus belles décorations
Est ce un ordre
Au garde a vous il se tient
Présent pour notre bien
Depuis les rivages
Il nous fait tourner la page
Nelumbo nucifera il porte des noix
Le lotus d’orient ça créé des liens
Et ça oriente les esprits
Dans le sens du bien
Appel des divinités
C’est un vaseux sacré
dans l’inspiration des mots de Thierry
Un petit souffle de méditation
quelques pensées douces pour chacun
quelques parfums de fleurs orientales
La Lotus semble droite
Une force presqu’ irréele
Qui s’appelle fragilité
J y mets mes pensees aussi, merci pour les tiennes, Monique, je pense si souvent à notre jolie bande, à nos merveilleux souvenirs, ensemble.
La lotus pousse dans les lignes droites Annick 😁 question d’adhérence et de charge au sol et question aérodynamique quel Cc!
C est quoi Cc?