47 réflexions sur « Heureux / Happy »

  1. Merci Ossiane pour cette note optimiste, pour la beauté de l’océan, pour cette douce panoplie de couleurs.

    Errer en solitaire
    Embrasser l’univers
    Et se sentir heureux
    L’espace d’un instant
    Oui. C’est possible !

  2. yahou, j’aime tes mots, Monique, je les ressens si fort.

    Une belle journée
    Son fard aux pruneaux
    Deux cafés
    Un court un allongé
    Le marché ses poissons
    Des gens on se croise
    Des bonheurs seul
    Puis ses deux pyjamas
    Pour lui mon fils autiste
    Un retour belle grâce
    L’arrêt se fait plaisir
    Un bout de lac en seule
    Les oiseaux tout se calme
    Comme si une fois pour toutes
    Juste l’envie de paix
    Mais comme cela fait du bien
    Loin de chagrins toufous
    La main d’un geste élégant
    Repousse l’imbécilité humaine
    Puis des tendres à repasser
    Little jardin aspire
    Et quelles belles ondes dedans
    Ô comme cela fait du bien
    Un sms pour elle
    Une copine me rejoint
    Un petit bout pas ma seule
    Tellement gorgée de moi
    En ce jour ses merveilles
    Que partager un peu
    Donne des ailes aussi

    Comme c’est gai et charmant
    La belle solitude
    Complice tendre et solide
    Merci mon jour mon bel
    Tant de précieux instants
    Mis bout à bout si longs
    Que mon cœur se souvient
    De son jour ses bonheurs
    Ce soir il est radieux
    Paisible et si léger
    Ses palpites sur terre
    Le réanime l’aime
    Comme c’est bon de s’aimer

  3. Il suffit parfois de fermer les yeux, de faire de ce vent dans les branches le bruit de la mer et déposer sur nos paupières un rêve en couleurs, la pensée a ce pouvoir de nous transporter loin des contingences de la vie et de nous rendre heureux.

    parce que c’est beau
    complice de solitude
    le bonheur s’invite

  4. Mes yeux se ferment
    Ma tête ses calmes
    Se laisse aller
    A projeter dans ses pépilles
    Des bleus si tendres
    A l’âme qui aime
    Beauté jolie que le bonheur
    D’être sa seule, complice à vie
    En amour fort

  5. Doucement son tranquille
    Devant la mer hier
    Des moments tendres inespérés
    Quand un tendre bonheur dedans
    Comme c’est bon d’être en amour
    Grande solitude dans l’air du large
    Cela relaxe cela détend
    Cela fait du bien par où çà passe
    Complices du temps

    je vous embrasse, en ce jour d’être,
    mes tendres pensées chère Ossiane.

  6. … c’est en regardant la mer, plongeant notre regard dans ces bleus confondus que nous pourrons entrevoir cette lueur qui viendra apaiser nos âmes et nous rendre plus heureux…

    « Bleus de la profondeur
    Nous n’en finirons pas
    d’interroger votre mystère.

    L »illimité n’étant
    Point à notre portée
    il nous reste à creuser, ô bleus

    Du ciel et de la mer,
    Votre mystère qui n’est autre
    que nos propres bleus à l’âme. »

    François Cheng dans la vraie gloire est ici

  7. Pour rien te cacher Annick tu sais comme j’aime François Cheng et comme je dédeste les écrits anonymes je me dévoile car c’est juste une erreur de publication de ma part, je m’en excuse et je ne suis pas étonnée que tu aimes ce poème. Bonne et belle soirée Annick

  8. belle journée, Monique,

    Cela peut paraître si simple
    De regarder la mer
    Et pourtant il en faut
    Des chances pour y arriver
    D’avoir des yeux, son cerveau à aimer
    On peut tellement y voir
    Tout autre chose que la mer
    Et la poésie même
    De l’eau de ses vagues belles
    C’est une chance de vie
    De contempler tout cela
    Quand les cils s’ouvrent tendres
    Dans un regard aimant
    Qui aime la vie belle
    De remercier la vie
    D’abord pour ce qu’elle donne
    Bien avant ce qu’elle nous prend

  9. Pour que le happy naisse il faut d’abord le porter sur les fonds baptismaux
    juste lui mouiller le front à moins que l’immersion totale et la tasse ne soient recommandées
    trop de happy few oublient leur bonheur quand tant d’autres triment pour des salaires de misère, survivent péniblement en essayant de se maintenir la tête hors de l’eau et que rarement on leur jette de manière secourable une bouée qui les maintiendraient à flot

    la mer est un mystère qui enfant la vie mais pas le monde , elle est aux extrême douceur et tempérance comme elle peut être agitée, tourmentée et débordante de…vie ,en hautes eaux, des vents malins et c’est est fini des littoraux protégés par des digues qui valsent (dondaines mais pas mondaines qui cèdent sous les assauts des coups de boutoir ) .

    les falaises cèdent, le niveau monte et comment l’humanité surmonte t elle ces risques accrus de tsunamis, dans l’impassibilité de commerces qui tournent jusqu’à l’envahissement rimant avec enfouissement, là où sans s’enfuir trouver un promontoire plutôt qu’un promoteur avide c’est peut être sauver son commerce et sa vie.

    Les politiques globales d’aménagement du territoire si elles n’évoluent pas ne pourront que constater les dégâts, déjà cet an sera marqué d’une pierre noire sans aucune cabale mais la simple addition de facteurs à risque qui portent des missives sinon dramatiques du moins moroses.

    la force de la nature est a redouter et respecter, la prend t on trop à la légère que cette mégère se venge justement nous rappelant à nos responsabilités.

  10. Apaisé par le bruit des vagues,
    noyé dans l’immensité bleue,
    rien n’existe plus,
    que le calme absolu,
    l’horizon si proche.
    Paix intérieure,
    Bonheur si fragile…

  11. Devant l’immensité
    S’effacer et se dissoudre
    Juste ressentir
    Les caresses d’une vague
    Les pieds dans le sable mouillé

  12. Mais aujourd’hui, maintenant, j’ai besoin du silence.
    De la toile à canevas vierge posée sur les genoux.
    De l’aiguille et du fil bleu unis.
    Du vent et du sable qui montent à l’assaut.

  13. Tout regard au loin qui s’attarde
    cherche à l’horizon cette ligne inaccessible
    qu’un océan pourtant ne saurait cacher
    Mais les yeux ne peuvent atteindre
    cet au-delà duquel les rêves se noient
    La mer n’en restitue qu’un reflet d’infini
    laissant à Vénus le privilège de l’insondable
    Aux humains, le mystère, le silence, la poésie.

  14. AFP, publié le mercredi 08 juin 2016 à 08h32

    Journée mondiale de l’océan: les fonds marins bien moins connus que le sol lunaire, regrettent des experts

    Le relief des fonds marins, contrairement au sol lunaire, reste très peu connu, regrettent des experts internationaux à l’occasion mercredi de la Journée mondiale de l’océan, qui posera la question de leur place dans les politiques des gouvernements.

    Ne serait il pas temps et épatant qu’une alliance internationale se noue pour explorer enfin ce continent englouti, pas l’Atlantide de Platon mais bien ces richesses inconnues et insoupçonnées qui résident dans les grandes profondeurs ?

    au lieu de voir les chinois développer seuls dans leur coin le plus puissant batyscaphe actuel, en se rappelant de l’expérience de beebs and barton ou d’autres avant eux puis des piccard aussi , il faut que ce soit pour les richesses minières ou encore les espèces animales et végétales et pour les principes actifs envisager une logique « canopéenne » européenne et pérenne, en avant feu CNEXO et maintenant Ifremer, nous avons une merveilleuse école de biologie marine que ne lui donne t on plus de moyen au lieu de laisser Monaco un peu seul.

  15. « La mer le transforme en quelque chose de riche et d’ étrange… »
    (Shakespeare, La Tempête,A.I, Sc.I )

  16. Thierry Cazals dans un petit livre qu’il m’avait si joliment dédicacé ainsi « voyage au pays du silence habité » après quelques échanges dans un petit village qui domine une mer de terres à l’infini…. écrivait « dans le rire des lucioles » il y a bien longtemps déjà ce haïku dont les mots aujourd’hui ont sur moi face à cette note une forte résonance car si cette contemplation de l’océan me rend heureuse de par sa beauté, je ne suis pas sans penser à tout ce que peut inspirer ce regard sur la mer, Thierry en donne un certain exemple, l’actualité en donne un autre et en vous donnant à lire ce petit poème de Thierry Cazals je voudrais tant que ce sentiment de partage soit possible.

    « Seul face à l’océan
    Dire bonjour à tous ceux qui se croient seuls
    De l’autre côté de l’océan

  17. Vos mots jolis, Leonor,

    C’est très joli partage, Monique,

    Être là
    Seul
    Mais pas tant que çà
    Des mille vies
    Derrière la mer
    Ou dessus
    Vers des rêves pour fuir
    Une vie impossible
    Il y a tant de tragédies de vie
    Et si peu de vies de rêve vécu

  18. J’aurai rêvé ma vie à l’instar des rivières
    Vivant en même temps la source et l’océan
    Sans pouvoir me fixer même un mince moment
    Entre le mont, la plaine et les plages dernières.

    Suis-je ici, suis-je là ? Mes rives coutumières
    Changent de part et d’autre et me laissent errant.
    Suis-je l’eau qui s’en va, le nageur descendant
    Plein de trouble pour ce qu’il laissa derrière ?

    Ou serais-je plutôt sans même le savoir
    Celui qui dans la nuit n’a plus que la ressource
    De chercher l’océan du côté de la source
    Puisqu’est derrière lui le meilleur de l’espoir ?

    Jules Supervielle, La Fable du monde,

  19. c’est bien, merci de le souligner, Thierry,
    comme je suis peu polie,
    je pense tellement au plus profond,

    merci à chacun,
    pour son écrit,
    un texte partagé,

    merci Thierry de rappeler de rester remerciant encore et encore,
    quand de jolis partages.

    Merci Mathilde,
    qu’est ce qu’il est profond et incommensurable ce texte de Jules Supervielle.

    BELLE JOURNEE.

  20. En effet, d’accord avec vous, un bien joli texte de Supervielle que je découvre sous la plume de Mathilde.

  21. Belle journée à vous tous .. J’aime revenir en cet endroit qui respire le calme et la poésie .. A très bientôt ..

  22. et comme je passe aussi,
    pour venir respirer le calme et la poésie, je te cite Mathilde, je me permets de dire *tu,
    dans mes temps on employait tellement le *vous,

    je vous, tu souhaite une bonne journée à chacun,

    Quand la poésie sauve
    Encore et encore plus
    Quand un bout de mer ce soir
    Devant je la fais mienne
    A me laisser guider
    Bien que mon volant antre
    Me mène où je veux aller
    Et je sais où je vais
    En poésies de vie
    Qui me dessinent ma vie
    Dans ses charmes précieux
    Remplis de vie en vie
    Comme je t’aime ma vie
    Dans toutes tes couleurs
    Que je confie parfois
    A qui peut bien m’entendre
    Dans mes folies d’aimer
    *La vie ses états purs
    Envies de ses beautés
    Les bontés d’être bon
    Et de souhaiter le rester
    En gardant sa petite âme
    L’enfant en tout dedans
    Emerveillé chaque jour
    Par la magie de la vie
    Et son mystère aussi

  23. Aussi douce que le souvenir
    l’odeur des mimosas emplit la chambre.
    Mais nous avons mis notre foi dans les roses
    et notre grand bonheur est jeune.

    Sommes nous déjà illuminés de bonheur ?
    Non, ce qui est nôtre, c’est cet appel,
    c’est cet arrêt immobile sur des marches blanches
    qui bordent le temple profond.

    C’est attendre à la lisière d’aujourd’hui.
    Attendre que le dieu des semences mûres
    dans sa haute demeure de colonnes
    lance au devant de nous, rouges, des roses.

    Rainer Maria Rilke (Berlin , novembre 1897)
    tiré des poésies d’amour chez Circé

  24. Leurs heures à eux leurs appartiennent
    c’est peut être qu’elles les soutiennent
    à la force de l’aiguille qui parcourt
    la botte de foin
    il faut une conscience avisée pour resplendir de joie
    ou une absence totale pour s’émerveiller de tout
    valeureux sont ceux qui ne transigent pas
    pour un bonheur au rabais, tarifé ou conditionnel
    des puristes qui n’atteindront jamais
    cette simplicité touchante
    parce qu’il vivent d’illusions
    notamment sur eux
    s’y complaisent
    et entretiennent de perpétuelles frustrations
    là ou le V de la respiration sophrologique
    les bras tendus et grands ouverts
    la tête rejetée en arrière
    dénote moins l’hyper-extension
    que l’ouverture totale au monde
    de son être

    point besoin de se nommer Ulysse
    pour hisser les cordages pour profiter
    du vent de la chance

    point besoin de naïveté pour comprendre
    combien certains instants sont uniques

    alors oui accepter ce lâcher prise dans la brise

  25. Merci Bernard de ce superbe rappel , remontons dans le temps de ces échanges multiples, si riches, polyphoniques et symphoniques.

    Merci Ossiane de cette belle persévérance signe de performance mais dans un sens particulier

  26. En contemplant la mer , en appréciant au plus haut point sa splendeur, en savourant les mots épurés d’Ossiane comme pour respecter le silence :

    « Seul
    au bord
    bercé »
    ____

    Regarder la mer, respirer l’odeur de l’iode
    Ne plus penser, écouter le bruit des vagues
    Goûter immobile, la volupté de l’instant,
    Être heureuse sans avoir à se le dire

    S’immerger dans l’émoi sans vergogne
    Offrir son corps et son âme aux caresses du vent
    Plonger dans l’aura d’une beauté sans faille
    Être heureuse sans se le dire

    Sentir monter en soi une joie intérieure
    Parvenir à cet état de jouissance
    Connaître l’euphorie d’un bonheur sublime
    Être heureuse et s’en réjouir

    Vivre cet abandon aux couleurs d’azur
    Seule dans un silence riche d’émotion
    Approcher la rarescence d’un état de grâce
    Être heureuse…être heureuse…
    ____

    J’aime tous vos commentaires et ce petit retour sur le passé de ce blog d’où émanent chaleur, partage et une certaine amitié virtuelle. Bise Ossiane

  27. de plus en plus étourdie, anonyme en est un exemple et Ossiane peut rectifier si c’est possible et remplacer anonyme par monique. Merci désolée

  28. Oui et il y en a bien d’autres
    je vais en chercher un autre
    parce que dès demain je reprends le travail
    et le temps va me manquer !

  29. Encore Rilke, car on ne s’en lasse pas.

    Oh! tu libères mon coeur des gangues du malheur.
    Qui t’a révélé l’amande enfermée dans la vilaine coque?
    Douce comme les étoiles, comme l’univers, je la garde en moi .
    Ah ! quand je souffrais elle se mit à croire, sommeillante ,
    quand la douleur en silence me brisait les membres
    un coeur dormait dans mon coeur, un coeur à venir, innocent.
    Un coeur, vois tu, je ne sais pas lequel encore, ni ne le devine
    ce coeur imaginé.C’est à lui qu’allaient les étoiles
    que je donnais à l’autre coeur plus sombre. Oh sois à lui
    par delà ma nature inquiète. Qu’il te comprenne. Reconnais le.
    Apelle le.Toi qui t’étonnes, appelles le . Fais lui un léger
    sourir cd’abord, qu’il s’émeuve de sa lumière;
    penche vers lui ton beau visage: l’espace de l’éveil
    afin qu’il s’émerveille en Toi et s’accoutume au matin.

    Berlin début mars 1914
    même ouvrage de ref

  30. on ne sait s’il y a plusieurs espaces temps parallèles, c’est une théorie et une supputation
    dans le flot du temps on est comme encapsulé et emporté dans le rythme et la vitesse d’un courant qui nous dépasse , pourtant sur les rives le flux, la vitesse, le débit peuvent varier à travers des effets de bord, de frottement, de ralentissement, et un différentiel s’installe souvent signe d’incompréhension voire d’appréhension, comment se rephaser et trouver, retrouver sa place, on ne peut nager à contre courant et remonter le temps, on ne se baigne pas deux fois dans la même rivière dit un auteur , mais peut on accélérer le temps, rattraper le temps perdu et rattraper des événements ?
    Les événements ont leur constante de temps, que la cinétique physique et chimique commandent et gouvernent selon des lois immuables que seule la température et la pression en général sont de nature à modifier comme Svante Arrhenius l’a exploré;
    alors si la pression augmente sur mes épaules, puis je comprimer le temps ou mettre une compresse pour l’empêcher de s’écouler trop vite ?
    Et si la chaleur me fait perdre mes repères vais je assister impuissant à une contraction alors que les effets émollients suggéreraient plutôt une forme de détente, pas à diabétiques bien sûr !

    Le temps manque , est précieux, sachons l’économiser et en faire bon usage, nous en aurons toujours besoin à condition qu’à bon escient nous le répartissions selon les besoins de nos différentes activités vitales ou nourricières, pas pris comme dans une souricière.

  31. formidable j’ai commencé à lire des bio l’an passé mais c’était chez Folio
    oui ça donne terriblement envie de l’acquérir , Merci encore Mathilde

  32. Alléchant au maximum merci Mathilde
    Et comme je crois aux coïncidences aujourd’hui en relisans solitude face à la mer de Anne Lindbergh (envie influencée par cette note d’Ossiane je lis :
    « En dernière analyse, chacun de nous est seul. Cet état de solitude est inhérent à notre nature et le poète Rilke l’à correctement défini : « On n’à pas le choix : 0n est seuls. Il est permis de se bercer d’illusions, mais je préfère regarder la chose en face, bien que cela donne le vertige.  »
    Oui seuls face à la vie…
    Bon week-end à vous tous qui traînez par ici.

  33. je vous lis et je vous remercie,
    merci Mathilde, je lirai,
    merci Thierry, Monique, chacun,

    Il y a des profondeurs
    De telle solitude
    Si intense si noire
    Si longue et si grande
    Qu’on se dit qu’il vaut mieux
    De faire sa complice
    D’une belle solitude
    Immense féconde et grande
    Mûrir des envies folles
    D’utopies en amours
    Et quand dans ce sublîme
    Ce vertige ce jour
    La direction devant
    Une chef de service
    L’équipe tout derrière
    Dans son foyer d’hébergement
    A mon fils mon chéri
    Cela bouge cela change
    Le courant tout de vrai
    L’éducatif Humain entre dns le foyer
    Plus encore encore plus
    Certains de cette équipe
    Peuvent deuiller leur poste
    En planqué pas vu
    Cette fois en pistés
    Des comptes sont en rendre
    Tapis rouge pour le Parent
    Ce soir c’est mon offrande
    Pour celui qui est seul
    Et que j’aime si fort
    D’un amour singulier
    Incroyable infini
    Mon éternel instant
    Belle complicité
    En âme si Humaines
    D’un je vous aime vrai
    Dans ce monde si fou
    Hypocrite tellement
    Ce soir il est géant
    Je suis seule habitée
    D’un courant de pensée
    Qu’il a fallu huit ans
    Pour gagner le Foyer
    Merci les cadres dedans
    Et je me souffle humble
    D’ailleurs je me propose
    Pour animer d’espoirs
    Car je le vis vivant
    Mon fils autiste superbe
    Je veux aider des parents

  34. etrange mon mot pas passé,
    fatiguée je reviendra plus tard,
    je vous embrasse,
    et …je reviendrai.

  35. Merci pour le lien Mathilde, c’est un de mes amis, poète, écrivain, historien et librettiste qui a monté ce site.

    Excellent Weekend entre deux averses

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