Lecture du Haïku Calligramme: de bas en haut
jeu de ricochets
joyeux rebonds de l’enfance
éclaboussures
L'Oeil Ouvert : photo et poésie
Haïkus et calligrammes, rêverie sur le monde… le voyage imaginaire d'Ossiane
Lecture du Haïku Calligramme: de bas en haut
jeu de ricochets
joyeux rebonds de l’enfance
éclaboussures
sa fine silhouette,
si semblable à une brindille,
fait face à l’immensité,
menace,
lance un point comme un défi
Et je te dis de vivre et de faire un enfant (Aragon)
Je me suis mise à vivre…lui n’était ni soldat ni fantôme ni mourant
Comme un cri, comme la vie,j’ai empoigné le sable, jeté tant de galets
Et me suis mise à lire dans l’écume qui pleurait sur moi ses chants de vie
Lancer un coquillage lorsque la page est nue
Petits papiers de soi et la mer à côté
Pour border l’enfant sage de ses habits dansants
Voilà qu’elle encourage, voilà son ingénu
Je suis la rêverie et ses enfants qui rient
Je suis le mouvement à la main écorchée
Lancer tous mes fragments à l’horizon perdu
Discobolle à Myron et cœur sans avirons
Repose l’astre de bronze, lancé comme un palet
Comme un cri, comme la vie
A la face de l’immense beauté….de la mer
Et je te dis de vivre et de faire un enfant (Aragon)
Je vais vivre et l’enfant sera mon cœur de fée.
La mer étale
l’enfance fait des rebonds
à saute mouton
Porté par les ondes
le bouchon flotte
seul l’esprit navigue
La main résiste pas
Elle se penche son sol
Prend un petit caillou
Et le lance en surface
Elle compte les rebonds
Regarde la distance
Le petit coeur palpite
Dans ce petit caillou
Qui se lance son rêve
Devant l’immensité
Et qui le tient le lâche
Pour le laisser voler
En s’envolant ses airs
Le corps en lâcher prise
C’est si bel bon de rêver
Que faire devant les vagues du temps,
Si ce n’est leur jeter une petite pierre,
En espérant qu’elle se noie plus lentement,
Qu’un cœur perdu ne coule.
Quand je vois la grande bleue
J’ai un peu peur devant
Une telle immensité
Et mes petits pieds devant
Mon coeur il s’accélère
Qu’il est si grand le monde
Et moi ce grain de sable
Posé sur cette terre
Qui parfois vole au vent
Et navigue un nuage
C’est bon d’être sur terre
Et de grimper le ciel
J’adore, j’adore, la frimousse d’un enfant qui le lance son caillou, et regarde en merveille, sa lancée, point de chûte,
et puis reprend un autre, un morceau d’un rocher, accessible par son poids à sa petite main fragile, et regarde encore, et encore, son caillou,
un tas ne suffit pas, à vivre de longs moments, posé là son instant en suspension dans le temps,
quand on lance un caillou, on est dedans l’envol, on se lance, on s’ose être ce papillon tout rond, bedon, qui se ploufe son eau, et s’atterrit sous eau,
et quand les amoureux se ricochent des mots doux, espèrent que leur amour vivra un bout, des bouts, des jours de ricochets à rebondir le temps, à se lancer encore son jour après son jour, à y croire à ce rêve de s’aimer pour toujours, traverser les épreuves, cueillir encore l’amour, c’est beau leurs yeux fiévreux en amour tellement qui donne bonne mine,
tellement belle la vie dans leur plein d’eux dans.
bonjour à tous
y a un peu plus de monde ce matin
petite histoire pour commencer la journée
En ce temps là, l’océan était de marbre. Non qu’il fût aussi dur mais il en avait l’aspect lisse et veiner. Seul quelques îlot de pierre parsemé de végétation donnait du relief à cette étendue infinie. Sous cette surface les fonds marins pouvaient atteindre des profondeurs telles, que même la lumière n’osaient s’y aventurer. En d’autres endroits ils affleuraient la surface de ce géant. Ces variations donnaient toute sa beauté et sa richesse par le contraste saisissant des couleurs bigarrées. La lumière du soleil et la soie des nuages parachevaient ce tableau de maître en y déposant un vernis lumineux. . Sur les terres hostiles des animaux vivaient. Il en existait de toutes les tailles ; du plus petits invisible à l’œil nu au plus grand dont il était impossible d’embrasser sa taille d’un seul regard. Des créatures de toutes formes de toutes couleurs y vivaient se dévorant les unes les autres. Pourtant, un équilibre étonnant permettait à chacun de manger et se reproduire. Certains avaient trouvé refuge dans le ventre de l’océan.d’autres ne s’en approchaient qu’avec méfiance. Car si cette étendue fascinait par sa beauté elle intriguait aussi par sa texture ou l’on pouvait y pénétrer sans être écrasé. Mais si l’on allait trop loin l’on pouvait disparaître à jamais. Certains hommes ; ces animaux doués de résonnement s’y aventurait parfois mais ils avaient compris sa dangerosité.
Un jour certains décidèrent de fabriquer embarcation capable de flotter sur ce t ogre sans dent.
Ils taillèrent des troncs, les assemblèrent. ILs mirent deux troncs verticalement et y tendirent des peaux de bêtes. Puis ils s’aventurèrent sur cette peau de lumière. L’ogre se mit à sourire pensant les dévorer rapidement. Quelques ridules apparurent. Mais ces hommes continuèrent à naviguer. Alors l’océan commença à rire et pour la première fois des vagues apparurent.
Et les hommes continuèrent arrimés à leur invention. Alors ce rient se transforma peu à peu en une colère. Et la houle devint de plus en plus grande ; les hommes sentirent pour la première fois l’haleine forte du monstre. Redoublant de férocité, le monstre les engloutis accompagné d’une rumeur qui se répandit loin dans les terres. Une bave blanche sortait de sa bouche ; Quelque jour plus tard il éructa ce qu’il ne pouvait digérer. Blessé dans son orgueil, depuis cet événement, il se met en colère sans raison.
jeté tant de galets dans l’écume
lancer tant de fragments à l’horizon perdu
à la face de l’immense point de la mer
http://www.youtube.com/watch?v=uRZYeHGEwRo
Le plaisir de l’enfance qui dure.
SUPERBE
OUI, c’est si bon, ceanothe…
Se tenir tout de haut
Lancer le caillou et regarder
Se baisser un peu plus
Et regarder encore les faits
Alors se mettre assis
Et observer encore l’effet
Enfin s’allonger tout de ventre
Et savourer les ricochets planants
A la surface de l’eau
S’épouser bulles vivantes
Se palpiter le coeur
Voler se plonger atterrir
La main se danse ses petits cailloux
Le reste est oublié
Seul seul au monde
Avec son tas de cailloux
Et quel travail son être
Pour oser réussir un bet jetttt
Une ascencion un point de chûte
Ah la vie dans son petit caillou vivant
Sans oublier quand la perle de l’eau
Tombe amoureuse du petit caillou
C’est cette envie de vivre
De sourire et de rire
Posé là tout de simple
Simplement bel vivant
C’est joli, Marc,
belle journée pour chacun,
ici près de Nantes,
il fait fort bon au dehors.
Lancer
Si les stances de l’averse nous affligent et nous blessent
C’est que l’âme traduit la nature par nos gestes
Les messages du dehors ont en nous leur adresse
Nos sens les reçoivent et les mots font le reste
Souvent les hommes sont pris comme la main dans le sac
Sur le bord de la mer où finit le ressac
A faire des ricochets à faire dans l’eau des trous
Pour répondre à la mer qui vomit des cailloux
Alain
Un caillou dans la mer
c’est plus grand
– beaucoup plus grand –
que nous, devant l’infini.
Et pourquoi
tant de vanité,
tant d’égoisme,
tant de disputes?
YAOUH COMME C EST JOLI, Neyde! merci! je suis tout chose devant tes mots.
Plein de jolis mots jetés sur le blog pendant mon absence, ont fait des ricochets sur mon écran, je vais de bonds en bonds les saisir en remplir ma gibecière ….
_____
Caillou dans la mare
Réussir à faire surface
La tête hors de l’eau
______
A ce soir ….
Le pont d’Iéna
La vie de l’homme ressemble à une pierre
Faisant des ricochets
Les hommes ont voulu figer dans la pierre
La courbe de ces ricochets
ALain
Lancer
Ce geste de lancer comme un défi nouveau
Des pierres rondes et polis à la surface de l’eau
Pour les voir rebondir s’élancer de nouveau
Comme bondissent les dés sur les tapis de jeux
les chevaux indomptés le jour du rodéo
Ou le tigre dompté qui fait son numéro
Ou comme dans un poème les mots se font écho
C’est pour tout être humain une façon de dire je
Alain
Antwerpen.
Bonsoir les Ami(es) !
Et un petit pour la nuit !
J’avais fait escale
Chez Pierre
Histoire de voir
Où en était
Le niveau de la Loire
Pour faire des ricochets !
http://jeandler.blog.lemonde.fr/2009/10/05/mon-fleuve-loyre/#comments
Hélas, hélas,
Plus une goutte d’eau
A mettre sous la plus petite pierre
Que j’avais pourtant sélectionnée
Aussi plate qu’une limande
Pour mieux rebondir
Sur la surface liquide…
Alors, ni une ni deux
Je remballe toutes mes pierres
Et vais de ce pas
Chez Ossiane
Pour voir si la sécheresse
Y sévit aussi…
Et là, miracle !
Toute l’eau de la Loire
Se retrouve enfin là
Et de ricochet en ricochet
Je peux enfin donner libre cours
A mon jeu favori !
Ricochons, ricochons donc
Crient les galets,
Jusqu’à l’horizon,
En joyeux petits bonds !
Biseeeeeeeeeeeeees de Christineeeeeeeeee
Baie océane
En écho le sable boit
La mer qui se retire
Pêle-Mêle, pierre égalé
En ses souvenirs))
C’est chouette Christeeeeeeeeeneeeeeee
Ces associations d’idées d’un blog ami à l’autre.
–
http://www.images-chapitre.com/ima2/original/546/1351546_3257153.jpg
–
Sa petite amie
Est tout là bas
Au bout du monde
Et si près toute
Il lance sa bouteille
Avec toute sa force
Pour qu’elle gagne
Des mètres de course folle
Son ‘je t’aime’ dedans
Traversera les mers du globe
Et se posera le sable
Près de son orteil attentif
Qui chaque jour quette
Une onde son onde à lui
Qui fait deux un bel monde
Si délicieux envol
Au jeu de la vie
D’Humain
Il lance son dé précieux
A se gagner de vivre
Ou à la perdre la vie
Ce cube a six côtés
Tant d’imprévus dessus
La vie compte ses points
Qu’au dernier jour de sa vie
Alors en attendant
Se saisir de sa vie
Pour la vivre au plus près
Juste à chercher se vivre
Bien plus qu’à la gagner
Qui chaque jour quette
Une onde son onde à lui
Qui fait deux un bel monde
Si délicieux envol
merci de lire guette,
quoique quête me plait aussi,
alors merci de lire les deux!
belle nuit!
Un peu tardivement, je vous souhaite à tous une bonne nuit
___
A défaut de marcher sur l’eau
Y faire danser les cailloux
Qui en de petits bonds s’en vont
Faire un tour sur le dos des vagues
Partir avec eux de plus en plus loin
Et de petite pierre devenir petite plume
Qui vole au dessus de la mer
Comme le font les goélands
Frôlant les flots de leurs yeux gourmands.
______
Leïla, J’ai bien aimé ton poème de cette nuit.
Marc, c’est donc ainsi que sont nées les vagues ?
Sophie il ne faut jamais laisser se noyer un cœur perdu
Annick, combien chaque jour il y a de bouteilles jetées à la mer et qui trouvent une main pour les accueillir
Christineeee dur dur les ricochets sur la Loyre!!
Alain et je reçois l’écho de tes poèmes comme une douce musique
Jeandler, l’esprit navigue mieux que les gabarres sur le fleuve
Ossiane, je reçois les éclaboussures de tes ricochets comme des embruns rafraichissants sur mon visage
Lancer une idée pas comme un hochet
et hocher la tête sans cocher le temps
être la mouche du coche pour le lancer
envoyer au loin pour capter l’espoir
surfer l’espace d’un instant en suspension
jouer des rebonds et les attraper
tout à sa joie et sans craindre les éclats
avoir un goût sûr pour ces activités
A faire des ronds dans l’eau
on n’en n’est pas plus poinçonneur
chacun attend son heure
et saisit sa chance
prolonge et plonge
tout à loisir
I threw my post traumatic stress disorder in the water
I threw my ennemies and my anger in the water
I threw my anguish and my fears in the water
I threw my nightmares in the water
I threw my screams in the water
I threw my soul in the water
Is this war over yet
I want to be a child again
C’est le coeur qui me lance…les rebonds de l’enfance…et cette mère qui danse…et ces vagues immenses….Dans le creux de son ventre…et ce sable si doux…petits pas en plein centre..la tendresse contre nous….C’est une pierre qu’on lançe…ricochets en plein coeur…prendre la mer par la anse…l’horizon est en pleurs…
Phare
Cette lumière rassurante mais qui toujours étonne
ne s’élance pas vers la nuée comme la fumée
des cheminées par un noir orifice mais bien
comme un chant d’église qui s’envole à l’office
en résonance comme fait le son à l’intérieur
d’une cavité ou bien passant dessous un pont
C’est le chant du départ qui aide à s’en aller
Un chant plein d’émotions qui fait rire et pleurer
Et puis qui disparaît comme passe le hoquet
Un peu comme une pierre qui fait des ricochets
ALain
Jeux de lancer
J’ai lancé un javelot
Au cœur de la mer qui accouche les souvenirs et les regrets
J’ai lancé de mes muscles frêles un poids bruyant près des canisses
Dans le sable son bruit était sourd le cratère douve pour la marée
J’ai lancé marteau sur l’enclume du forgeron qui nous anime
Alors se sont animés Pinocchios, flèches de chasseurs à faire saigner… les cœurs
J’ai lancé comme disque oculaire
Le regard du soleil couchant
A l’horizon de tout mystère
Qui laisserait émerveillé
J’ai lancé à la face de l’eau placide et calme mes chevaux
En chaque galet un vers à lire en chaque grain de sable mes humeurs
On entendait flots qui mouraient sortis en vagues des naseaux
on entendait flux et reflux, l’eau apaisée des ricochets.
Avant le cailloua chuté ,l’enfant qui regardait au loin
Trébuchant sur un bout de bois, l’esprit ailleurs corps atterri
Il fait frais sur la plage déserte…je reprends la route des géants
Et je suis encore éveillée après des ricochets de Nuit
Le jour aime simplement se vivre, entre l’aube et la beauté du soir
J’ai lancé un regard d’amour en boomerang m’est revenu
Souffle de vent et poésie… des coquillages.
Pour s’amuser comme lui
Il suffit de lui montrer
Comment faire des ricochets
Chercher avec lui
Quelques petits galets
Bien plats de préférence
Et sur le bord de l’eau
Adopter la bonne position
Faire le bon geste
Avec une grande précision
Et une certaine puissance
Il faudra bien peu de temps
Pour redevenir enfin
Un tout petit enfant
Un tout petit galopin
Comme par le passé
Heureux et comblé
Le temps de quelques ricochets
la mer est sombre
les vagues englouties
la main douce comme galet
derrière la rive
le claquement des roches
la pierre tombée
les doigts reprennent
il n’entend pas la chute
contre l’eau
le grincement du sable
le reflet des vagues
tremble sur le sable
le soleil joue avec les galets
comme la main
avec un miroir
l’enfant debout
suit des yeux
le mouvement du vent
c’est le nom qu’il donne aux ricochets
aux lueurs qui entrent ainsi
dans la mer
au beau milieu
passe la pierre
et disparait
blanche dans l’air
la main du lanceur
vers sa fée de toile
D’accord avec toi, Monique, il ne faut jamais laisser se noyer un cœur perdu; ça flotte un bon moment, mais si on ne le repêche pas, ça coule… J’espère que ma bouée n’a pas de trous…
Bonne journée à tous, bien que ce soit très gris et très mouillé dehors (un temps pour travailler dedans !)
Il court il court
Sur cette plage
Si plein d’espoirs
Le rend tout fou
Il lance son caillou
Loin de loin
Au plus loin
et étonné
le voit revenir
Mais c’est qu’il l’aime
Son petit caillou
Si pleins d’audace
En paume
en bel
petit
Ricochets
Qu’il lance des SOS quand sa vie fait naufrage
Ou que ses doigts effleurent les touches d’un piano
qu’il dessine à la craie ou à l’encre de chine
qu’il écrive sur une feuille ou tape à la machine
Qu’il imprime des vers envoie des SMS
Ou qu’il lance des pierres avec une folle adresse
L’homme en définitive n’écrit t’il pas sur l’eau
Alain
Et leurs rires se gloussent
De se ricocher beautés
Pourtant ils sont adultes
Mais encore coeurs d’enfants
Car un vrai vieil sur terre
Parfois son coeur d’enfant
Le palpite sans âge
Et se vibrer d’aimer
C’est un bel sens de se vivre
Car aimer c’est la vie
En ricochets tous tendres
Baisers délices sucrés
Ondes magiques belles
C’est bien bel beau sur terre
Joli Alain, l’homme en définitive, n’écrit-il pas sur l’eau. Jolis ces vieux aux coeurs d’enfants Annick. Hello Bourache et bisou capitaine, un beau thème que celui de l’enfance.
Love à tout l’équipage et plaisir de vous lire.
Avec ses cerceaux d’or et tout son flamboiement
Le soleil généreux le meurtrit d’éphélides
Imprimant sur sa peau des érythèmes sévères
Combinaison de feu, combinaison de lune.
Son corps graissé de crème, d’écran total solaire
Caché entièrement de tissus protecteurs
D’un masque et d’un chapeau, des filtres anti ultraviolets
Masquant voiture,fenêtres et portes de l’ordinaire.
Il a mis ses pied sur le sable, enfin le jour qui s’assoupit
L’enfant lance un galet dans l’eau….la mer s’endort majestueuse
Contre la caresse salée leur peau, enfants de la lune, accroupis
La nuit on entend quelques cris….ce sont des enfants qui s’amusent
Berceuse marine,l’enfance nocturne, rêve de vie… le ciel étoilé.
http://www.youtube.com/watch?v=VsIUDus9dKo
je suis très émue par tes mots Leila,
si émue devant ces enfants privés de sortir dans la lumière,
un bien bel texte de toi…merci..
MERCI Lou!
c’est pour vous tous de chacun que j’écris mes petits mots,
et les personnes sans âges mûs pas le bel désir d’aimer, c’est tellement joli de plein de vie dedans, que c’est bien bon de vieillir en se gardant son coeur,
son coeur d’enfant à aimer tout le temps!
Bises à chacun, je me cours vers la navette, puis vers la gym..à bien tôt!
hOUhOU, Ossiane, oHé oHé du bâtöÔôÖôÖÔöÖ, bises!
Chaque poème
Un ricochet
Petite bouteille à la mer
Des vagues belles
Merveilles trésors
On ne sait jamais
Qui le lira son tendre de soi
Et si jamais
Un seul le lit
C’est déjà ça et tellement
Du bon en soi en boomerang
C’est si bel bon
De faire plaisir
Aimer cet autre pour le faire vivre
Dessus la mélodie des mots
Ondes jolies bels ricochets
Grâce tendresse coulis de miel
A +, pour + encore!
Aimer cet autre pour le faire vivre c’est vrai de vrai Annick.
Bonne soirée à tous.
.
hOUhOU Annick et toute la troupe;-) Beaux écrits toujours, vos écrits pleins d’amour.
je suis submergée et ne sais pas si je vais pouvoir faire une note pour ce soir…
Les poème d’Alain à découvrir:
https://blog.ossiane.photo/2005/12/22/2005_12_hiver/#comments
https://blog.ossiane.photo/2005/12/20/2005_12_palpitements/#comments
https://blog.ossiane.photo/2008/04/30/bisquine/#comments
https://blog.ossiane.photo/2008/04/18/gabarre/#comments
https://blog.ossiane.photo/2009/02/05/o/#comments
https://blog.ossiane.photo/2008/04/07/lion/#comments
https://blog.ossiane.photo/2008/01/30/melodie-2/#comments
https://blog.ossiane.photo/2009/05/01/belle-de-nuit/#comments
Bises à tous !
.
L e temps
A rrive où
N ous savons
C e qui est bon
E t bien à
R êver…
http://www.youtube.com/watch?v=xUe9GFxyIsU
POUR OSSIANE !
http://dechiffrages.blog.lemonde.fr/files/2009/03/photo-bouee-de-sauvetage.1237952893.JPG
Tellement submergée
Qu’il est temps
De lui LANCER
La bouée de sauvetage
Qu’on a toujours en réserve
Sur le pont du navire !
Olé l’équipage,
Paré pour récupérer
Une Ossiane
En train de boire
Sa tasse !
Courage !
On arrive !
Biseeeeeeeeeeeeees de Christineeeeeee
Je suis toujours très en retard pour venir vous dire bonsoir et vous donner mon impression de la plage en automne, même si la semaine dernière il faisait vraiment très chaud sur la plage des Saintes Maries de la Mer
___
La plage retrouve son espace de jeux
Ses promeneurs au bord de l’eau
Le galop des chevaux
Les ricochets sur les vagues
Les châteaux de sable
Une odeur d’iode plus intense
Le sable est froid sous les pieds
Les galets s’enfoncent sous les algues
Je vois au loin un promeneur solitaire
Longeant les vagues mourantes
Dans la tiédeur des jours d’automne
Leur rencontre est intime
Et sur la ligne écumante
Voguent les pensées les plus douces
Au loin les mouettes lancent leurs cris
De ralliement à la traîne d’une barque de pécheur
Guettant le ricochet de quelque petit poisson
Les enfants ont déserté la plage
Pour leur bureau d’écolier
Leurs éclaboussures se contentent
De l’eau des rigoles des caniveaux
Et du souvenir de ces petits cailloux
Lancés durant l’été
A la surface des mers et des étangs.
___
Bonne nuit, je suis une amoureuse des bords de mer et surtout de l’Océan, écrire quelques mots parlant des vagues, des galets et du sable augmente mon envie d’aller m’y promener.
Ossiane submergée
la Loire assoiffée …
L’eau égarée mais pas perdue
retrouvée
au sein de la mère
Heureuse de venir m’éblouir dans ton univers…
Tout mes baisers Bercée
Merci à toi isabercée, je t’embrasse !