Belle de nuit

Belle de nuit

Nuit de satin, cocon de solitude, coque de feu

Lecture du Haïku Calligramme: centre, gauche, centre

Nuit de satin
cocon de solitude
coque de feu

Bon week-end du 1er mai à tous en senteurs de muguet !

Petit cadeau vocal et musical de la part de Leila avec la lecture d’un de ses poèmes intitulé « Rêverie ». Cliquez ici pour l’écouter.

55 réflexions sur « Belle de nuit »

  1. Ossiane
    Cette belle de nuit je la veux dans ma collection de coquillages.
    Sa belle couleur contraste avec la couleur du sable mouillé.
    Belle photo, j’aime beaucoup.
    De la profondeur de la mer, elle est venu embelir la plage.

  2. Déposée comme une offrande sur l’estran
    pas d’étrangeté dans sa mise
    reposée la coque quille pointe

  3. Et merci LEILA pour ce beau partage ! C’est sympa si l’envie se répand …
    Bon week-end ensoleillé à tous

  4. Bon premier mai à toi aussi, Ossiane et plein de bonheur.

    Ainsi qu’à tous les fidèles de l’oeil Ouvert.

    Sous le soleil de mai
    la mer est douce
    et sais taire son flot.

  5. Bon premier Mai à tous.
    J’ai plaisir à retrouver ces photos si belles.
    Merci à Nath (il y a quelques jours) et Leïla pour ces lectures émouvantes, bravo.

    ……………………………

    Je voudrais être écume de mer pour rouler dans le creux de la vague fraîche et caresser la plage de sable chaud.
    Je voudrais être galet rond pour m’élever des profondeurs de l’eau et pouvoir dormir sur le sable doux dans la lumière du soleil.
    Je voudrais être coquillage nacré échoué au bord de l’eau, pou être cueilli par un enfant et faire partie de ses trésors.
    Je voudrais être poisson d’argent pour danser dans l’onde transparente et jouer dans les algues rouges qui valsent.
    Je voudrais être mouette pour survoler l’océan bleu, m’attarder sous les voiles blanches des bateaux et m’immobiliser sur la toile du peintre.

  6. (…) Ecouter dans le coeur
    les passions lointaines
    les écouter, qui montent dans la nuit
    sur le moite parfum de la terre

    Une flore inconnue
    de désir , enfermée dans ce ciel
    de noir et de silence.

    Une flambée qui perce dans le noir
    comme la lueur rouge
    qui saigne entre les arbres{…}

    CESARE PAVESE

  7. Lorsqu’une mer trop bleue se déguise en nuit,
    Qu’une nacre se tord en boucle de cheveux tendre,
    L’instant luisant se prend pour une éternité.

  8. Hello !

    En attendant la Nuit et sa Belle
    Je profite de ce jour de mai
    Le 1er
    Le seul
    L’unique,
    Pour remercier Ossiane
    De son parfum de muguet
    Accompagnant la jolie voix de Leïla !

    Je n’ai pas de muguet dans mon jardin…

    Mais j’ai trouvé un brin
    Qui me ravit tout plein :
    Il est chez Gérard !

    Allez donc le découvrir,
    Avec ses clochettes,
    Et ses ombres légères !

    _____

    http://photoplap.over-blog.com/article-30870642.html
    _____

    Biseeeeeeeeeeeeeeees de Christineeeeeee

  9. Comment pourrait elle
    se laisser gagner par l’ennui
    au sortir de la nuit
    quand depuis l’ombre
    elle s’est laissé baigner
    par une douce pâleur
    pas de bouche en coeur
    juste un colimaçon
    pour l’escalade du bonheur

  10. vibrante coqueline
    luisante capeline
    attente du « streamline »

    plus de bain bouillonnant
    acalmie établie
    sécher en barbotant

  11. sur le rivage de la nuit
    sous cette voute au reflet céleste
    tintinnabulent les étoiles
    —-

  12. l’océan dans sa robe de nuit
    révèle les sentiments

    profonde nostalgie
    déco décor
    écho des cœurs
    école de la vie

    un nouveau jour se lève
    un visage est découvert
    âge de l’ange
    parfum d’innocence

    essence
    du nouveau né
    du sommeil des éveillés
    que reste-t-il

    présence de feu
    dans une coquille vide
    le souffle de la vie
    emporte la nuit

    voile dévoile
    rêve des rêves
    sommeil éveil
    émerveille

    ronde des mondes
    mappemonde

  13. Elle flotte bercée par les flots
    Lilliputienne dans sa coquille d’or
    Vers quel paradis vogue-t-elle ainsi
    Seule à la dérive, livrée aux vents et marées
    Que cherche-t-elle si désoeuvrée
    Dans son embarcation de fortune
    Glissant de vagues en vagues
    Dans ce monde bien trop grand pour elle
    Pourquoi a-t-elle quitté sa coquille de Botticelli
    La belle Vénus aux cheveux d’or ?
    Pourquoi s’être métamorphosée
    En liliputienne dans un écrin doré ?
    L’aventure incognito répondra notre coquillage
    Pour une belle histoire d’amour sous un duvet de sable.
    Une couette de satin entre deux marées
    Avant de revenir sur ma toile
    Bien que lasse de livrer mon corps à tous les regards.

  14. Dans un geste fort délicat
    Elle pose sur le sable doux
    Son souffle d’elle si tendre
    Avec un petit mot d’amour
    Son envie de retrouvailles
    Dans le voyage du temps

  15. La mer
    Dans ses flux et reflux
    A oublié un coquillage
    Qui parle seul sur le rivage
    Il dit l’amour dans son si bel
    Car oh que oui elle l’aime
    La femme

  16. Vénus sortant de l’onde, sous les rayons de lune,
    D’un balancement, de cheveux, pailletés de lumière,
    Laisse glisser, un coquillage, de sa parure de déesse.

    Sur tapis de sable, sous la caresse des vagues, coque de feu.
    Sur soie moirée, aux reflets changeants, coquille d’or.

    Vestige précieux d’un passage éphémère, hors du temps ……

  17. Je relis et trouvent charmants les mots d’Annick qui m’inspirent au sens propre du terme et me donnent envie de partir….

    « Courant de bel paisible
    La coquille flotte libre
    Se laisse aller son gré
    L’amour donne des ailes »
    ____

    Partir au grès des vents
    Balloté par les courants du temps
    Se laisser porter le coeur aimant
    Oublier de temps en temps
    Les soucis du quotidien
    Prendre le temps comme il vient
    C’est vital, ça fait du bien
    Il ne faut rien, presque rien
    Sortir de sa coquille tout simplement
    Prendre le temps de rêver
    Prendre le temps de vivre
    Prendre le temps d’aimer
    ___

    Bonne cueillette de muguet, s’il en reste ! moi je préfère vous les offrir en leur place, à vous de les découvrir. Bonne fin de week-end à tous.

  18. Soif de connaissances
    de par le vaste monde
    une seconde naissance

    baiser tendrement déposé
    sur drap de sable fin
    une couche pour se reposer

  19. c’est fort joli, Monique,

    Prendre le temps de rêver
    Prendre le temps de vivre
    Prendre le temps d’aimer

    mmmmmhhhhh, je me prends mon temps de rêver, de vivre, d’aimer…mmhhh…
    et déjà je me rêve mes deux jours en bords de Loire, mardi,
    et aujourd’hui, je me vis mon gazon, mes fleurs, ici, le calme, la tranquillité de liberté d’être,
    et chaque jour, jeprends le temps d’aimer qui me prend tout mon temps dès que c’est possible, amoureuse du temps d’aimer…

  20. La mer l’a essuyée bien des tempêtes
    La coquille de vie se vivre
    Et un fort grand roulis roulas
    L’a posée lasse mais toujours vivante
    Un long temps
    Et vois là qu’elle se vibre sa vie
    Sa force intérieure encore grandie
    Elle palpite de vie
    Ses doux roulis en intérieur profond
    Libre et aimante
    Dans le voyage du temps

    bon après midi, à chacun’e’, il fait si bon dehors.

  21. tombée à l’arrêt
    aux ripple marks
    de la mer en débandade
    le verbe du soleil couchant
    ennamoure
    miroir de l’âme en enfilade
    le celte buccin
    trainé seulement
    d’une main relevant
    le menton
    d’une femme
    si belle de ses mots
    la nuit venue

  22. C’est rien et c’est tout……
    Sur une plage de sable bleu,
    Dans la solitude océane,
    Une spirale d’or,
    Trésor mathématique,
    Génèse de la beauté
    En un petit coquillage.

  23. Abandonné , balloté par les flots
    Conque marine aux reflets d’or
    je garde en moi le murmure de tes mots

    Joli Mai est de retour
    Bonheur à vous
    AA

  24. Belle de nuit, enfant de la mer, princesse de l’oeil ouvert, Comme pour un anniversaire, Ossiane nous offrait le 3O avril 2005 un superbe calligramme en colimaçon, la spirale du coquillage @ Le 12 juillet 2006, un tourbillon et la spirale du temps @ le 14 juillet 2006 on trouve coquille, l’oeil ouvert déguisé en colimaçon @ Le 1er décembre 2007, c’est un rêve en spirale autour d’une fontaine @ Le 28 décembre 2007, nous découvrons littorine, le petit coquillage rond @ Le 11 février 2008, de quoi avoir le vertige des profondeurs dans la descente de l’escalier en colimaçon du château de Villandry @
    MERCI Ossiane de toutes ce approches merveilleuses autour de la spirale, à n’en pas douter, la SPIRALE est au coeur même de la BEAUTE !!!!
    Je me suis un peu promenée ce soir dans la galerie des photos de l’oeil ouvert, j’y ai découvert ou redécouvert des commentaires de haute qualité , véritable plaisir.

  25. Merci pour toutes ces promesses et souhaits de bonheur partagés, et ces instants chaleureux de poésie à entendre brisant ainsi le figé de l’écriture et donnant aux textes une dimension plus humaine. La poésie restera toujours un chant, une expression orale, que la voix et (ou) la musique peuvent embellir . Trouvères et troubadours bonne nuit.

  26. Elle paraît abandonnée,
    Laissée seule, qui l’a oubliée
    Sur les volutes de la plage
    Ciselés par le voyage
    De l’eau et le chatoiement
    De l’indigo du firmament,
    La belle de nuit mystérieuse,
    Arabesque voluptueuse,
    Virgule d’or sur le jusant,
    Bijou du soleil couchant?

    Languit-elle, espérant le flux
    De la marée, tant attendu,
    Furieuse de son impuissance
    À se mouvoir sans l’assistance
    D’une vague qui l’emporte
    Au gré du flot, où? peu importe!
    La belle de nuit mystérieuse,
    Arabesque voluptueuse,
    Virgule d’or sur le jusant,
    Bijou du soleil couchant?

    Est-elle restée seule un moment,
    S’attardant volontairement
    Sur le sable, à la tombée de la nuit,
    Pour continuer sa rêverie,
    Se chauffant aux rais mordorés
    De la lune rousse du mois de Mai,
    La belle de nuit mystérieuse,
    Arabesque voluptueuse
    Virgule d’or sur le jusant
    Bijou du soleil couchant?

  27. Un coquillage offert
    Par la vague a erré
    Puis lassé a glissé
    Sur l’eau comme dans un lit
    Rapporté par la nuit
    Ce cadeau égaré
    Souvenir des rencontres
    Déferlantes qui lient
    Les flots bleus à la vie
    Cachait comme un écrin
    L’existence animale
    Qu’une spirale repeint

  28. Vos mots sont bien beaux Monique, Annick, Annemarie, Fleur de sel et Lou.
    Y’en a qui tiennent une sacrée forme à 4 h 32 (sourire).

  29. Coquillage comme un nuage, sur un ciel gris
    sans partage et sans âge, de liberté épris
    il attend les courants pour bouger ses stries

  30. Même la ride de la rive de la déride
    et alors que ses souvenirs elle dévide
    son présent pesant d’avenir la rend avide

  31. Anthracite qui doctement le temps récite
    Ardoisier savament adossé mais pas drossé
    Dans la flaque ton épigone n’a rien de flasque

  32. Belles de jour ou belles de nuit
    Coquillages et crustacés
    Un petit goût d’évasion
    Un suave parfum d’iode
    Du soleil et du ciel bleu
    La petite bulle du coquillage
    Sur l’onde grise du sable
    L’étendue de la mer, douce solitude
    Un silence aux couleurs de l’or
    La perle rare perdue sur le rivage
    Et je rêve, rêve…rêve………
    L’océan est si loin, si loin le coquillage
    La paix et le silence qui l’entoure
    Ma pensée s’égare les effluves de l’océan
    Me parviennent comme odeur de nostalgie
    J’ai envie de partir, j’ai envie de voir la mer
    Laisser mes pieds s’enfoncer dans le sable mouillé
    Je ferme les yeux et le vent dans les branches
    Parodient le bruit des vagues
    Je suis sur la plage et l’air caresse mon visage
    Mais ma main dans le satin cherche en vain le coquillage.

  33. L’entendez vous
    Elle vous chuchote
    En doux murmures
    Ses sels de vie
    En soif et faim
    Tellement
    Comme elle l’aime
    La vie se vivre

  34. Toute seule sur page
    Offerte aux embruns
    Elle se soupire d’attente
    Vivement que son bel
    L’emmène au pays d’ailes

  35. .

    Retour en terre virtuelle, bonsoir à tous, j’espère que vous avez passé un bon week-end 😉

    Beaucoup de retours aujourd’hui également sur le blog, bienvenue à vous 😉

    Un petit mot pour vous dire que dans ma rubrique, « Jeux Poétiques », j’ai créé une catégorie « Poèmes à voix haute ». Pour le moment, Nath et leila se sont lancées avec succès. N’hésitez pas à franchir le pas et faites-moi signe si vous vous décidez. Il ne faut pas rechercher la perfection mais plutôt l’interprétation la plus juste de vos mots vécus de l’intérieur 😉

    >Neyde, une très belle lumière ce jour-là, un joyau déposé là par la mer que j’ai simplement contemplé 😉

    >brigitte, je l’ai vu aussi comme un bijou, comme tu l’as bien exprimé !

    >thierry, belle idée l’offrande ! La coqueline t’a touché en plein cœur 😉 Que de beaux poèmes offerts !

    >pierre, mer calme à peu agitée de mon côté ; j’espère qu’il en fut de même pour toi 😉

    >JoS, superbe déclinaison autour de « voudrais être » qui fait qu’on s’y croit ; j’entends le chant des vagues derrière mon écran 😉

    >Bonjour mathilde !!! Plaisir de te revoir ici avec un très beau cadeau qui illustre parfaitement la photo 😉 Bravo pour l’avoir trouvé !
    >Quelle belle plume Sophie tu as ! De superbes images en jaillissent, merci beaucoup !

    >marc, est-elle venue ? Grande beauté visuelle de tes poèmes et de la fleur de sel !
    J’essaie de ne pas vous décevoir 😉

    >Annick, j’ai entendu ta belle voix !!!

    >Véronique, plaisir de te voir ici 😉 Magnifique comme souvent, empli des jeux de tes échos 😉

    >Voilà la Vénus de Boticelli à qui tu as donné belle vie, Monique 😉 J’ai eu la chance de la voir en vrai ; elle est somptueuse et j’ai la reproduction accrochée au mur de mon bureau 😉 Merci pour tes beaux poèmes.

    >Coucou Fred, tu l’as bien compris, la lumière a sculpté ce sable d’or. Merci pour ton bel haïku !

    >le sid, tes haïkus sont teintés de bel humour, je te reconnais sans signature 😉

    >Bonsoir regard, je te reconnais sans signature aussi 😉 Beau poème !

    >Arletteart, bonheur à toi aussi 😉 Belle image que ces murmures de mots secrets gravés à jamais en toi. Merci beaucoup !

    >monique, je vois que tu es allée à la pêche à la spirale et que tu n’es pas revenue bredouille; tu me connais mieux que moi 😉

    >Hello Annemarie ! Quel beau souffle marin traverse ton poème, je parie que tu rentres du large 😉 J’aime cette idée de virgule.

    >Coucou lou 😉 Grande douceur de tes poèmes pleins de lumière ! La mer est-elle aussi belle du côté de San Francisco ?

    >Coucou Gwen 😉 Vos mots m’encouragent 😉 Oui, je connais ce site spécialisé sur le haïku et suis bien sûr honorée d’être citée par André Duhaime;-) Bonne continuation !

    >bon oeil rachel, je n’avais pas remarqiué ceux de 4h32:-) Bises. 

    Bonne nuit, je vous embrasse, à demain !

    Ossiane

    .

  36. liberté
    mouvance sans pareille
    grain de beauté
    posé
    au grès des marées
    sur le sable
    des volontés…

  37. liberté
    mouvance sans pareille
    grain de beauté
    posé
    au grès des marées
    sur le sable
    des volontés…
    … » »comme une belle de nuit » »…

  38. Le nombril

    la mer s’est retirée laissant à nue la plage
    et sur le sable fin comme sur un ventre mou
    Ainsi qu’un lien de chair témoin d’une naissance
    La vague a déposé ce trésor enfantin
    Un charmant coquillage venu des fonds marins

    Alain

  39. Ossiane, où qu’elle soit, la mer est cette belle qui fait rêver !
    Et puis je n’ai pas acheté de chevaux, c’était juste un joke pour faire sourire Rachel 😉
    Bises et bonne journée

  40. Non Ossiane, je ne pense pas que tu le sois mais tu sais, je n’ai ni l’espace, ni les moyens de m’offrir des chevaux. D’ailleurs en parlant de naïveté, j’en détiens surement la palme, va !
    Bonne fête des mères à celles qui la célèbrent ce week-end avec ce mot d’enfant pour l’occasion:
    Une maman regardait la télévision tranquillement avec son fils de 10 ans.
    – Moi, ce que je préfère, ce sont les films érotiques, lui dit-il.
    – Les films érotiques, vraiment ? murmure-t-elle abasourdie.
    – Ben oui, Rambo, Indiana Jones, les films avec des héros, quoi !

  41. moi aussi j ai ma palme, Lou, c’est si bon de gober tout cru ce qu on nous dit…je trie pas les mots qui me sont dits, je prends,
    j ai peut être tort,
    mais c’est si souvent ainsi, je fais un petit effort de me dire que certains disent n importe quoi sans penser leurs mots dits…mais quand c’est dit, c’est avalé, gloups..

  42. Coquillage

    J’écoute les oiseaux suspendus dans l’espace,
    (Ayant brisé le lien des préoccupations
    Terrestres) pourtant à l’occasion d’un pied qui passe
    il m’arrive quelque fois de rêver d’évasion

    Alain

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