Lecture du Haïku Calligramme: bas, cercle, centre
Un saule d’argent
dans l’or de son feuillage
je me blottirai
◊ Val de Saire… Salix Alba … un saule blanc au feuillage laissé en liberté … il a échappé à la coupe tétard … Pour en savoir plus …
L'Oeil Ouvert : photo et poésie
Haïkus et calligrammes, rêverie sur le monde… le voyage imaginaire d'Ossiane
Lecture du Haïku Calligramme: bas, cercle, centre
Un saule d’argent
dans l’or de son feuillage
je me blottirai
◊ Val de Saire… Salix Alba … un saule blanc au feuillage laissé en liberté … il a échappé à la coupe tétard … Pour en savoir plus …
nid oui n’inonde non
l’in ex tes bras ray de sol
l’arbre à came blond
évantail
là, à la jonction
entre deux terres –
et l’une en friche
fait écho au feuillage
trop jeune
pour faire masse verte,
soumis, transpercé par l’air.
Ouverture née du sol,
qu’équilibre tout au fond,
à la limite du ciel,
une ligne de bosquets
Plumeau de sève et de vent,
Je bruis comme lui d’amour.
Racine tirée vers le soleil,
Elle tient comme je tiens à toi.
Savourer le temps
Goûter les grains de sève
dans un nid doré
…
C’est si doux et serein… senteurs vagabondes… poursuivre à loisir son chemin
Bises vers toi chère Ossiane
sieste dans l’ombre
pour une tranche de vie
le plein d’épices
Soledad
L’or l’argent ont nuit
Tu oublieras dans le feuillage d’un saule.
Soledad
Dors l’amant au nid
Tu t’oublieras dans le sillage d’un faune.
trop forte en botanique Ossiane !-))
signé le tétard !-))
Toi et moi
Dans l’instant
Délicieux
De me blottir
En nous
C’est tellement
Et ben plus
L’instant unique
Mien
Qui te fait tien
De toi
Et moi
j aime la douceur de l image, la tendresse raiche de l haiku, et le calligramme aquarelle…Bonsoir Ossiane et chacun’e’…
Si vous osiez
Être embrassée sous la ramure ébouriffée
Quel froissement dans nos pensées
J’aurai très peur qu’après l’été
Le froid
La bise
Vous mette à vif
Contre mon coeur
Pelotonnée
–
Τρωγλοδύται craint l’hiver rude…
http://www.oiseau-libre.net/Oiseaux/Especes/Troglodyte-mignon.html
–
Belle et bonne journée à tous.
–
Arbres têtards en hiver
http://derrirelemiroir.blogspot.com/search?updated-max=2009-04-05T11:06:00-07:00&max-results=13
Salicyne
le vent apaise les blanches
et leur bruissement effervescent.
Panier (dans panier il y a nid)
C’est la plainte du saule que je viens vous chanter
Qui dans l’eau d’une rivière contemplait sa beauté
Et qui pleure aujourd’hui ses mèches argentés
De ses rameaux flexibles on fera des paniers
Comme ces cordes sensibles que le vent fait pleurer
Alain
.
Bonjour à tous,
Quelques jours passés loin de mon ordinateur pour décompresser un peu…
J’espère que vous avez pu profiter un peu vous aussi de ces beaux jours… les plus beaux de l’année selon moi.
Je reviens et découvre une avalanche de commentaires sur message, estuaire et nid !!!
Thèmes porteurs et de saison qui ont libéré vos plumes poétiques en beauté et même celle des géographes!
Nids… ça bouge, ça s’agite, ça construit beaucoup également du côté de chez moi et tout près de mes vitres… j’ai eu un pigeon voyageur épuisé du pas de calais qui est venu se reposer au bord de l’eau.
Grand merci à vous ! Je vais tâcher d’être davantage aux commandes cette semaine.
Bienvenue à Τρωγλοδύται, bonjour à fauki !
Bonjour Olivier, merci de ce clin d’oeil à mon nid. J’invite les amis du blog à aller visiter le vôtre à cette adresse. Amitiés.
http://www.blogoliviersc.org/
Nouveaux commentaires sur :
https://blog.ossiane.photo/2005/11/02/2005_11_tango/#comments
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Ossiane
.
Je suis une girafe
et je broute le ciel
Je suis un éléphant
Et je ne m’écorche pas
Sur l’écorce pâle
Je me penche sur l’Occident
mais je rêve de savane…
Le nid
Mon nid de moi
Tu me blottis
Et je me serre
Tout contre toi
Femme fragile
J’ai besoin de tes ailes
Pour me réchauffer tendre
De tes duvets si chauds
Bel nid tu me protèges
Je me sens bien de toi
L’azur se dissout
plus rien n’est à l’écart
des oiseaux
sinon l’arbre consentant.
http://www.fine-art.com/members/35794/images/File617615822356934.jpg
bercer son âme
sous le dôme impalpable
de brise et d’azur
Un saule d’argent
m’attend
au bord d’une rivière
où chante une eau claire
je l’aime tant
pour lui j’ai laissé ma clairière
suivi le vent
dans sa ramure blanche
entre ses branches
je batirai un nid
pour mes soucis et mes espoirs aussi
mon coeur
y dormira sans peur
le jour dan la lumière que l’ombre voile
la nuit sous les étoiles
dans sa douce chaleur
des rêves de bonheur
viendront éclore
avant l’aurore
pour prendre leur essor
beaux oisillons aux ailes d’or
saluant l’aube avec l’alouette
et je m’éveillerai (qui sait?)poète
Un saule d’argent
m’attend
au bord d’une rivière
où chante une eau claire
Dans ce tronc d’arbre creux
tu cachais ton cœur d’or et le secret des mots
tu cachais ton ciel bleu, tes couleurs un peu d’eau
tu cachais un sourire que je t’avais offert
tu cachais les bruissements des campagnes florifères
tu cachais le soleil qui voulait s’endormir
et quelques souvenirs
Bisou à l’équipage
Oui, Dame nature
Tu peux être
Belle, apaisante ou envoutante
Mais, Dame nature
Moi, ce soir je te lâche
Sauvage, farouche ou délirante
J’ai besoin
De sons
Forts, rythmés ou hystériques
J’ai besoin
D’entendre sa voix
Révolté, dégouté ou heureux
Lui, quand il chante
Il donne
Ses tripes, son cœur ou son âme
Lui, parfois il hurle
Lui, parfois il chuchote
Un peu comme toi, Dame nature
Mais Lui, il est Homme
Lui, il est Jeune
Lui, il Vit
Alors, ne m’en veut pas
Dame nature
Moi, ce soir je te lâche
Ton nid
Est trop
Doux, figé ou barricadé
J’ aime bien nigra………
Ni dans l’air
Ni sur terre
Entre deux
Un nid doux y est, un refuge, un repaire à un ami donné
niquedouille je suis d’avoir cru pouvoir m’y cacher
bras grands ouverts il ménage des surprises
point de ces avatars qu’un arbre sur le tard
suscite assiégé de fêtards
pas insolent ce saule lent qui balaie
de ces longues et fines branches
bien étagées le sol un peu courbé
et si dans un geste il joue de la hanche
sa destinée n’est pas les planches
même si acteur de premier plan
aux regards sans retard il est fort exposé
un premier role une banniére qui enrole
a claire-voie il fait claquer sa voix
C’est juste un arbre..et un tronc..et des feuilles..et le ciel..et un champ…et des herbes…de la terre…des couleurs…le mouvement…et cette ombre…allongée…le parfum…souvenirs…voyageur…des projets..la chaleur…Pas de bruits…juste un nid…comme un lit…les épis..et la vie…c’est promis..pour un cri…Sur un sein..chute de mains…un écrin..pas de fin…il est sien…Se blottir….et s’unir…se relire…désunir…
C’est un nid…pas d’argent..juste un sol….et des herbes ..que l’on froisse…et les ombres..qui se touchent…et le ciel..qu’on embrasse…coquelicot…un visage…un regard…pour un cri…et l’envie…pour une vie…
Allongé … »dans l’or de son feuillage….je me blottirai… »
Coucou du matin !
Au sortir de mon nid
Tout chaud, tout doux
J’ouvre la fenêtre,
Entends les chants d’oiseaux
Qui saluent le soleil
A son lever, il fait si beau !
Quand l’arbre s’étire
Offre ses branchages
Déploie son feuillage
Pour tous les oisillons
Qui s’éveillent aussi,
Qu’il fait bon sortir du nid
Pour un premier vol plané
Au-dessus des champs fleuris (*)
Et l’odeur de la rosée
Mélangée à la terre mouillée
Me donne à penser aussi
Qu’il est bon de s’éveiller
Dans les senteurs matinales
Lorsque l’on sort de son nid
Et aujourd’hui, encore plus qu’hier
Mon oiseau de fille retournée ici
Quelques jours de vacances…
Dans son nid d’enfance !
En train de s’éveiller aussi
Je l’entends qui descend !
Nous irons aujourd’hui
Profiter des arbres épanouis
Et des chevaux en pleine forme !
La chaleur sera bonne
Et la journée aussi !
Biseeeeeeeeeeeeeeeeees de Christineeeeeeeeee
(*) Pour les champs fleuris… c’est dans l’Ardoise Magique !
Chère Ossiane
Le retour dans « ton » nid ne peut qu’être joli…..Ton haïku respire la plénitude et le calligramme n’est que magnificence. Quel bonheur de se blottir dans ce nid!
Niché dans ton coeur
Tu m’enlaces de bonheur
L’amour effeuillé
O arbre vénéré
Dans ta parure dorée
Je pépie de joie
Bises et amitiés à tous
………………………………………
soudain la tempête
le saule plie mais ne rompt pas
mais où est l’oiseau
……………………………………….
andrée wizem
> Andrée
sur le dos de la girafe qui broute le ciel ?
écartelée de tes doigts
une frisure de sang
par où s’éventer
Elle s’avance secrète
Son rendez vous avec un arbre
De loin elle le voit
Massif haut et bruissant
Tendres douceurs quand elle s’approche
Sur ses racines elle s’asseoit
Et écoute le pas de la terre
Elle a rendez vous sous cet arbre
Avec l’amour qu’elle perçoit se rapprocher
Frais délicat tendres vermeilles
Ses yeus se ferment elle se rêve
Joli présent douce tendresse
Puis elle sursaute sous sa paume tendre
Son rendez vous est devant elle
Nid I piN
Un nid d’amour ~~~pour faire coucou à la vie
une noue de mire°°°pour pleurer sur le toit
un éventail magique ///pour remuer toutes les branches
Bisou Thierry et Annick.
Tout en tendresse Annick.
Thierry, c’est quoi une noue de mire? mon dicco ne donne rien.
Le nid était tombé du haut de cette branche
et l’oiseau à peine né au sol précipité
fut cueilli par mon chat qui d’une impulsion franche
s’en saisit ans ciller sous le saule argenté
Aux piaillements soudains et aux cris incessants
J’accourus pour trouver mon vieux chat en détresse
Les parents de l’oiseau à coups de bec puissants
Attaquaient l’animal martelant plein d’ivresse
Sa tête de larron Je les chassais bien-sûr
Puis vis enfin l’oiseau blessé entre ses dents
Quelle ne fut ma surprise Je compris l’accident
Je pris l’oiseau blessé qui ne pouvait voler
Il ne portait pas trace du violent choc subi
Mais il était parti dormir au paradis
– Oiselet, bel oiselet
En quel endroit veux-tu nicher ?
– Entre ciel et terre
Ou rive de mer
Là où je me perds
– Oiselet, bel oiselet
Pourrais-je alors t’accompagner ?
– Entre ciel et terre
Ou rive de mer
Là où tout s’espère
– Oiselet, bel oiselet
Quel chemin pour la Liberté ?
– Entre ciel et terre
Ou rive de mer
Là sont les repères
– Oiselet, bel oiselet
Qu’aurai-je alors à gagner ?
Mieux qu’or et qu’argent
Tu gagneras ton ciel
Cela assurément
Entre mer et terre
D’abord tu te perds
Ensuite tu espères
Et puis crée ton repaire
coucou Lou,
désolée, j’ai pas trop de mots au bout des doigts en ce moment, le moral couci couça, je vais le pêcher sans cesse, alors,
On se niche dans son nid
En bel repli
Songes infinis dans le petit bois
Rêves disloqués
Un yaourth aux fruits
L’oeil se pose les fleurs
Une porte s’ouvre
Les nids des hirondelles
Se blottir recroquevillé
Un repos qui n’en finit pas
L’envie de s’arrêter là
Et de se blottir le nid
Couver ses rêves
Si j’aurai su, j’aurai pas v’nu?
Si j’aurais su, j’aurais pas v’nu?
Si j’aurai su, j’aurais pas v’nu?
Si j’aurais su, j’aurai pas v’nu?
Avec des « si » qu’est-ce que l’on met?
Réponse:
« !un’v sap Siar’s ej , us siava’j is »
Alors Τρωγλοδύται, pour punition, et pour avoir copié sur votre camarade σημείο, vous serez interdits d’Oeil Ouvert pendant six mois. Et pas de liberté conditionnelle! Quand à toi, σημείο, tu m’écriras cent fois:
« si j’étais i, je ne seraiS pas grec »
Rien de tel que la plume et la baguette pour écrire droit!
Bonsoir chère lou
astuce de langage
mauvaise contre péterie
une noue et une pièce de charpente qui raccorde des angles
et supporte deux combles
une mire c’est pour viser
quand on dégauchit une noue c’est en montant vers le ciel depuis le bas
je sais ce n’est pas bien choisi mais c’est ce qui est venu sous la plume
ensuite comme c’est comme une rigole dans l’intersection de deux plans
l’eau s’écoule comme les larmes depuis le toit
c’est bizarre comment les idées viennent et les mots s’associent
c’est ainsi, pas vraiment un secret de fabrication, juste une méthode parmi d’autres !
bises à Ossiane à l’heure de la métamorphose (sans doute l’effet des tétards )
il est tard , j’aurais pu dire il était tard, pourquoi parler au passé ;)))
Nidation,
nidification,
unification,
comment unis
s’y fier pour nidifier
heureusement que salix ne corne pas
elle ébruiterait le secret de ce lieu tranquille,
un vrai havre de paix,
et dans ce battage,
ce martelage
la feuille d’or s’élargirait
pour nous faire une protection isolante
qui nous garderait au chaud
bien serrés les uns contre les autres,
sans retrouver forcément
le stade foetal
gare à la chute,
elle pourrait être fatale
Savoir
Quitter le nie assez vite en hiver
Gratter le vernis et reconnaître le déni derrière
Et ces manies de visions réductrices et mortifères
Ces visions de panique, de prismes déformés
Par des représentations erronées tellement loin des réalités
Chercher l’harmonie assez loin des rapaces
Avant que le néant ne reprenne sa place et me glace
Toujours allant vers l’unité de soi
N’être ni celui-ci, ni celle-là
Toujours dans le clan des bannis
A l’infini…
Mais le nid ça existe ?
Une autre version.
Oui je sais, cela manque de légèreté et de convenance …
Dard maux nie
Savoir
Quitter le nie assez vite en hiver
Gratter le vernis et reconnaître le déni derrière
Et ces manies de visions réductrices et mortifères
Ces visions de panique, de prismes déformés
Par des représentations erronées tellement loin des réalités
Les rats passent et paissent…
Pissent, pètent et répètent
Avec d’épaisses appétences
De pustules viscérales.
Chercher l’harmonie assez loin des rapaces
Avant que le néant ne reprenne sa place qui me glace
Toujours aller vers l’unité de soi
N’être ni celui-ci, ni celle-là
Les rats passent et paissent…
Pissent, pètent et répètent
Avec d’épaisses appétences
De pustules viscérales.
Toujours dans le clan des bannis
A l’infini…
Mais le nid ça existe ?
Merci Thierry pour l’explication.
Annick, fais vite remonter ce moral
nid vu nid connu
et la pêche à coup sûr ;))
http://www.youtube.com/watch?v=XZWvglhD7fA&feature=related
Beaux rêves et belle nuit à tous
Un petit régal, cette vidéo, Lou, merci.
Ce matin, les fenêtres s’ouvrent bien vite, le café a glouglouté son nectar, la douche de suite quitté la couette, et bientôt le nid à s’extraire, pour se démarrer sa journée..
Bien le bonjour du matin!
–
« SeraiS-je tige, seraiS-je tronc ? »
se demandait le prof de grec tâtillon.
« J’auraiS très peur du froid et de la bise »
répondait le troglodyte mignon.
Dans le nid
La solitude des « i »
La plume des « s »
Trop vite envolée…
Ah, l’ORTHOGRAPHE !!!
P.S. : Je pointe ma baguette …
pourquoi l’ « S »
à « interditS » ???
–
Clin d’oeil, sourire, biz et bonne journée à tous.
–
–
J’en rajoute une couche :
ορθογραφία
tu me chanteras
cent fois
la cantate
« QuanT à toi… »
–
heu…
–
–
Que seraiS-je … sans vous …
http://www.youtube.com/watch?v=WZaXuFzi4Rw
–
Τρωγλοδύται?
http://pin.primate.wisc.edu/fs/sheets/images/105lg.jpg
Eh Pan!
l’Association des Animaux Sauvages « AST » lance un appel à tous ses frères enfermés sous les toits pour qu’ils nous rejoignent en bravant s’il le faut les interditS.
P.S.: Animaux Sans Toit (AST)
.
Petit coucou vers vous plein de soleil 😉
>Oui alain, une activité qui fait couler des larmes, tu l’as bien senti
>Sylvaine, superbe ce petit poème animalier ; belle idée, je l’imagine sur un livre d’enfant !
>Annick, mille pensées vers toi, j’espère que tu vas vite retrouver la forme 😉
>mathilde, magnifique toile de Magritte et grande beauté de tes mots, merci beaucoup !
>jacline, très bien vu ce dôme, c’est tout à fait ça ! Belle plume tu as !
>jean, fulgurance de ta plume en tout cas, bravo !
>amichel, magnifique, je te reconnais sans signature 😉 Tu es poète dans l’âme depuis que tu es né et même avant 😉
>lou d’amérique , je m’incline, c’est tellement beau et et bien vu ! Et cette expression récurrente qui donne de la force aux mots…
>nigra, chapeau bas ! Que de puissance évocatrice dans tes mots ! Un cri émouvant.
>emmanuel, merci pour ton bel haïku flottant 😉
>thierry, tu vas vraiment au fond des choses, que de jeux de sonorités et de sens ! Une écriture bien à toi !
>pierreb, ton texte déborde de nature et de sensualité, très beau…
> Christineeee des champs, ton poème emplit de joie, de beauté et d’optimisme. La journée commence bien 😉 Merciiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii !
>Chère claudie, le nid retrouve ses couleurs avec ton retour énivré de bonheur et ta plume si généreuse 😉
>andrée, oiseau en embuscade ou dans la lune 😉
>Bonjour regard, bienvenue 😉 Un poème bien mystérieux 😉
>bravo phil, ton oiselet est bien attendrissant et toi aussi 😉
>ορθογραφία, bienvenue au pâtre grec qui me transporte de joie non contenue 😉 J’ai décodé le message. La plume oui mais la baguette, c’est une autre histoire 😉
>nath, oui le nid ça existe et tu l’as trouvé au moins ici et chez toi;-) Un cri qui te ressemble et qui pourrait être mis en audio si tu le souhaites.
>bourrache, beaux rebonds en millefeuilles au pâtre grec qui ne se laisse pas abattre semble-t-il 😉
Bon ap, à tout à l’heure !
Ossiane
.
–
S.O.S. de l’A.S.T.
C’est bien connu :
l’homme descend du singe
et le singe descend de l’arbre.
Il ne faut donc POINT s’étonner
que l’ois-i-llon
quitte le nid
assume son autonomie
et s’envole en toute liberté.
–
Ossiane : j’prépare le Dafalgan…
–
;-)) Tu n’as pas traîné Bourrache;-)
Surtout, une grosse dose pour moi 😉
–
Géniale Ossiane …
pas b’zoin de Dafalgan.
–
Quand j’étais petit je pense bien avoir pris mon envol avec les mots
avec les oeuvres d’Enid BLYTON, à l’époque je voyais la vie en rose
mais c’était bien longtemps avant de venir habiter à Toulouse
http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/1/1d/Gustav_Klimt_032.jpg/308px-Gustav_Klimt_032.jpg