Lecture du Haïku Calligramme: bas puis de gauche à droite
Mes fibres enlacées
empreintes d’un passage
sur ta peau blonde
◊ Le Colorado provençal à Rustrel dans le Vaucluse …
L'Oeil Ouvert : photo et poésie
Haïkus et calligrammes, rêverie sur le monde… le voyage imaginaire d'Ossiane
Lecture du Haïku Calligramme: bas puis de gauche à droite
Mes fibres enlacées
empreintes d’un passage
sur ta peau blonde
◊ Le Colorado provençal à Rustrel dans le Vaucluse …
Une ombre portée
Pour transcrire mon émotion
Beauté intrinsèque
Il coule en ses veines
Comme un parfum de bien être
Sous sa peau dorée
Le miroir doré
Sur lequel viendra s’inscrire
l’ombre d’un poème
bonne nuit Monique, à demain.
sur la douceur aride
voilette
des ombres qui dessinent
le monde
Sur l’ocre de la terre
l’ombre et la lumière dansent
un monde s’anime
…
c’est très beau
théâtre d’ombres
histoire de toute une vie
projection privée
bravo Ossiane pour ces photos dune fraicheur toujours renouvelée
bonne journée à tous
Dans la douceur du sous bois
Mi dévoilée
La projection s’offre
En lumière
Pour se vivre son ciel
Et vivre tout simplement
En belle vérité d’être
belle journée pour chacun’e’.
La terre se frissonne
Le ciel l’a embrassée
Et sa chair toute tendre
Un oasis de beautés
C’est beau !
La vie des grands hommes nous rappelle Que nous aussi nous pouvons rendre notre vie sublime, Et laisser derrière nous, après la mort, Des empreintes sur le sable du temps.
[Henri Longfellow] Extrait de Un psaume de vie
La terre se nourrit d’empreintes, Le ciel se nourrit d’ailes.
[Miguel Angel Asturias] Extrait de La Chasse
Les rides devraient simplement être l’empreinte des sourires.
[Mark Twain]Extrait de En Suivant l’équateur
Les livres ne parlent pas du monde : ils disent l’empreinte du monde sur ton coeur.
[Jean-François Somain] Extrait de La Vraie couleur du caméléon
désert de lumière
oasis d’ombre
la danse du vent
la terre par endroit,
se couvre d’un voile d’ombre;
gardien des secrets!
En mélange de fine argile
Et limon d’ocre du fleuve rouge
En terre battue j’ai fait mon aire
Là se sont enlacées pendant l’hiver
Les racines d’un pin asiatique
A l’ajonc, la bruyère celtique
Au printemps les rosacées sont en fleurs
Elles portent des fruits d’étranges saveurs
Qui sont les pignons de ma demeure
L’été pousses de bambou dressent murs
Remplit de force et de droiture
Et la toiture quand vient l’automne
Se couvre de fleurs de chrysanthème
Pétales s’envolent tel les je t’aime
Pour déposer leur parfum suave
Sur les empreintes de ton passage
Je te remercie beaucoup pour les citations que tu partages, Nath, merci beaucoup.
Cigale
Une musique qui s’invite
A l’heure où s’enfuit la nuit sombre
Une musique qui palpite
Quand la lumière danse avec l’ombre
Une musique continue
Que l’on écoute presque nu
Des notes claires tombant des nues
Qui de l’amour font la réclame
Chant qui s’entend dans la garrigue
Qui sonne comme un réveil matin
Parmi la lavande et le thym
Quand le vent fait chanter les palmes
Un doux zinzin qui berce l’âme
Quelques paroles dites en latin
Qui de l’amour font la réclame
Une mélodie qui ressuscite
Quand le soleil est au zénith
Un chant d’amour sorti de terre
Quand la période est estivale
Un véritable festival
Que font entendre les cigales
Qui de l’amour font la réclame
Princes des villes et gentes dames
Pour qui les sons sont un régal
Les poésie sont les cigales
Qui de l’amour font la réclame.
Alain
Brillante trabajo.
Felicitaciones.
Un abrazo.
Te recuerdas amor mio
El pequeño ramillete que me diste
En la hierba habia el rocio
En el cielo parajos cantaban
Florita marchita,
Florita amado,
Me dice por siempre
Lo que es el amor.
Desnudo andaba en la selva
Hacia buen, hacia fresco
En la hierba habia el rocio
En el cielo parajos cantaban
Desde el tiempo, el que a pasado
Se queda un dulce recuerdo,
Cuando mi pienso,
Mi corazon es rompado.
Todo aqui en este bajo mundo
Como esto debe acabar.
Florita marchita,
Florita amado,
Me dice por siempre
Lo que es el amor.
Eh de rien Annick !
J’aime les citations où je « grapille » du sens … et j’aime partager, mais là c’est parfois un peu plus difficile …car ça ne marche pas forcément dans les 2 sens !
Cet équilibre si fragile entre le donner et le recevoir …
Bon après-midi.
Une ombre chocolat sillonne un feu vivant.
La peau de la douceur en tremble.
Beau, simple , grandiose
Sur la terre en feu
L’ombre ne cesse de danser
Ondoyant sous l’effet du vent;
Elle s’immisce dans les anfractuosités,
Epouse le galbe des colines, des fossés;
Elle soulage de son mouvement
La brûlure frénétique de la lumière;
quand le souffle brûlant forcit , des râles s’échappent des profondeurs de la terre;
quand il s’évapore l’echo se faufile le long des pierres ardentes;
il faud attendre que l’ombre recouvre cette océan de lumière,
et que le vent cède la place au silence
pour que cet incandescence laisse place à l’indolance
peut être même à un certain apaisement;
La peinture
comme une marguerite effeuillée sur l’eau
La magie des couleurs met en scène l’âme du peintre
Une fenêtre s’ouvre dans l’espace d’un tableau
Où l’ombre et la lumière font varier les teintes
Alain
La Lumière
Derrière d’épais rideaux
S’habille une grande artiste
Musicienne acrobate
Une enfant de la piste
Elle brille sans orgueil
Elle n’est jamais sombre
Elle danse dans les feuilles
Et joue avec les ombres
Qu’elle franchisse le seuil
Ou qu’elle frappe aux carreaux
Son sourire et ses yeux
Font rayonner son être
Elle réveille les oiseaux
Pour qu’ils chantent aux fenêtres
Alain
lumière tamisée de l’automne
quand la glas des feuilles sonne,
lumière transparente de l’hiver
fossoyeusse blanche de la terre
lumière divine du printemps
au charme si ensorcelant
lumière incandescente de l’été
enflamant nos coeur légers
compagne fidèle de nos jours
amante discrète de nos nuits
tu enlumines notre monde,
et t’ébaudit avec les ombres;
quand vient l’heure de la révérence
et que s’installe âpre, le silence
diaphane, tu te blotti sur la pupille
discrete presque invisible et tu brilles;
Qui de l’arbre vert
Du pic en ocre
Ou des troncs d’ombre
Incarnent la force de la vie
Ensemble ils sont
En énergie dressée
Vers le ciel
Pour écrire des traces
En belle intimité d’aimer
Au plus près de la vie
A fleur de peau vivante
Quand on l’aime la vie
L’oreille s’agenouille
Et écoute se palpiter
L’ombre du temps
Qui rayonne ses grâces
Elle est si secrète
Que l’oeil se pose aussi
Pour penser entendre
Un peu plus
Juste un peu plus
Sur cette lumière née
Si belle et si aimante
Je l’eusse préférée rousse à l’automne oublié
Mais quoi, elle était douce au printemps arrivé
Brunes ou blondes elles poussent mon coeur à chavirer
Cependant que s’émoussent mes forces en fin d’été
Quand la neige viendra recouvrir nos pensées
Que rien n’émergera de ce qui est passé
Quand notre hiver sera pour nous éternité
De nous ne restera que des ombres enlacées
Viens-t-en ma belle amie, aprroche fort de moi
Peu importe les couleurs, ce qu’en font les années,
Quelle que soit la saison, n’en veux voir que l’été
Et si le blanc domine ces saisons dépassées
Nos corps nos coeurs cheminent toujours avec émoi
Tout comme au premier jour, c’est vrai, rappelle-toi
très belle série ou les ombre laissent leur empreinte
mmmhhh, phil alba..
Eh ! madame, madame du bel aimer
je te l’offre, celui la !
mmmhhh, monsieur de vous, je rosis..merci de vous.
Bonsoir à tous !
J’aime cette couleur ocre sur fond bleu….
Et si les arbres jouent leur petit jeu
Cela donne à peu près ceci :
Jeu de lumière
En ombres chinoises
Les branches se jouent
Une belle partie
Sur le vertical
des rocs ocres
Comme une trace
Sur le Cours Central
Parfaitement horizontal
La partie continue…
JEU – SET – MATCH !
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http://2.bp.blogspot.com/_6mn3O_rDpIM/SDH2eb3BAuI/AAAAAAAAErs/pd5Y53g8y_w/s400/roland_garros_fond-ecran-wallpapers.jpg
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Biseeeeeeeeeeeeeeeeees du soir !
Belle projection sur la terre poudreuse qu’un souffle de vent ne saurait effacer…
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Ombres calligraphiques
Fossile de l’instantané
Empreinte éphémère
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….. l’objectif défie les lois de la nature , la projection devient immortelle, ombre fossile.
ils s’étaient rencontrée un jour de lumière.
ce jour là dans le ciel quelque nuages blancs
à peine visibles dansaient à la lisière de l’univers.
la terre ocre flamboyait sous le regard du soleil.
toute la terre semblait brûler sans qu’il n’y eu aucune flamme.
sans qu’il n’y ai aucun crépitement. La vie semblait
avoir disparu de cette contrée sèche et aride.
La roche était lacéré de cicatrices parfois à peine visibles,
parfois si profondes que la lumière ne pouvait y pénétrer.
Quelques arbustes et quelques arbres résistaient à cet éruption du ciel.
dans cette lave bleue, aucun oiseau, aucun papillon;
quelques cigales par moment perçaient le silence métallique
et s’arrêtait laissant cette plaque opaque recouvrir chaque parcelle
de ce territoire désolé.
Etrangemment, sans qu’il n’y ai un seul souffle de vent,
deux ombres dansaient . elle se rapprochaient, s’éloignaient.
entremêlaient leurs fibres noueuses. elles semblaient rires;
s’embrasser. par moment elles couraient leurs tiges enchevetrées.
Elles en oubliaient le monde; le temps;
Imprudentes elles défiaient la lumière; prêt à se jeter dans ce précipice
chatoyant. oubliant leurs fragilités; mue par une force surnaturelle.
parfois plus aucun mouvement ne pouvaient être décelés;
et on les confondaient avec l’ombre des arbres, avec l’ombre des collines,
avec l’ombre du ciel. on les vit tous l’été s’effleurer, se désirer; s’aimer;s’effleurer, se désirer et s’aimer encore; comme une musique entêtante dont on ne peut se défaire.
une musique que l’on chasse violemment et qui revient frapper de son marteau sur l’enclume de nos âmes.
mais un jour l’une fut plus imprudentes et voulue s’exposer en pleine lumière.
aussitôt elle fut dévorées par cet ogre à l’éclat de diamant.
et disparue dans les cicatrices profondes de la terre.
L’autre ombre s’allongea et se laissa emporter par la nuit.
le premier jour de l’été, certains vous dirons lorsque le soleil est au zénith , on peut
voir danser et s’aimer deux ombre sur la colline des possédés.
Très joli Marc la danse des ombres sur la colline des possédés, il suffit d’un souffle de vent pour les voir évoluer en toute liberté ; petite prose très agréable à lire.
Le jour de la naissance
On est projeté
Comme ça
Dans la vie
Et on ne cessera jamais
De se projeter en image
Chaque jour son jour
Sa trece d’Humain
Il regarde le sol
L’eau miroir de lui
Puis s’en retourne le ciel
Une glace le projette
Alors il se regarde
Ce lui
C’est bien celui
Qui se marche sa chair
Se nage dans la brume
Et s’envole son bleu
Dans la poussière ocre
L’intiale en son ombre
Se palpite son coeur
Elle se respire vivante
Et hurle de ses cris
Sous les coups du bourreau
j ai été fort choquée par ce flash tv, où on voit, la vérité cruelle de vie, une jeune femme de 17 ans, 35 coups de fouet, comme ça,
juste peut être car elle souhaitait se vivre…
ce monde est inhumain,
et quand on peut se vivre, c’est une chance immense de vie,
et chacun le mérite.
Le sceau de ton désir
De bel amour vivant
Est à jamais gravé
Sur mon corps possédé
Qui s’est donné d’aimer
Dans le plus haut
Tellement
.
Coucou les amis depuis un autre ordinateur que le mien ! Une grosse tuile ce matin!
Tandis que l’ocre de vos mots coule à flots coulait sur cette page blanche, le disque dur qui permet d’accéder à mon ordinateur a rendu l’âme sans prévenir. Seulement 6 mois d’existence 🙁
Pas trop de pertes de données car je fais des sauvegardes.
Mon magasin d’informatique habituel étant fermé le lundi, je n’ai pas pu aller en acheter un autre aujourd’hui. Je vais y aller demain et puis ensuite, cela va prendre un certain temps pour réinstaller tous mes logiciels et remettre « l’animal » en route;-) Je ne peux pas publier de note demain soir car je n’ai pas accès à mes photos.
Douce page aux couleurs de miel, vous honorez mes images avec vos beaux poèmes.
Un grand merci à vous. Continuez à vous faire plaisir en écriture le temps que je régle mes problèmes techniques;-) Je viendrai pour faire de petits coucous entre deux installations si je le peux 😉
BIses à tous
Ossiane
.
L’exil est un long chemin morose
Un ailleurs dépourvu des choses
Dangereuses qui vous menaçaient
Lieu de douceurs cotonneuses
Ou les mots sont libres mais muets
On flotte dans l’eau oublieuse
Des âmes disparues à jamais
Survit celui qui l’exil l’avait
Déjà chez lui. Naguère grand-père
A quitté son pays pour la guerre
Puis il a rencontré la femme
Bretonne étrangère à Paris
D’un aléa migratoire mon âme
Est la mémoire, et je souris
Car si la terre est mon pays
Je pense en français et je le suis.
Si tu as accès aux commentaires Ossiane, sur un autre ordi, je suis désolée de ce qu’il t’arrive et espère que tu as tout sauvegardé, que cela nous serve de leçon, je néglige souvent les sauvegardes car même avec un disque dur externe, on est à l’abri de rien. Je peste pour toi et c’est du travail en perspective pour tout remettre en fonction. Bon courage, ne t’inquiète pas pour la note de demain soir, nous trouverons bien de quoi nourrir les mots à nous tous. Je t’embrasse.
.
Monique, on n’est jamais trop prudents; il faut sauvegarder régulièrement sur un disque externe, tu as raison. Il parait que les disques durs lâchent souvent dans leurs premiers moments de vie;-)
Ce qui a été affecté est mon courrier récent dont quelques uns de vos commentaires plus quelques autres dossiers pas trop importants. Heureusement, tout ce qui concerne le travail et les photos n’étaient pas sur ce disque.
Je n’ai pas pu travailler ni m’occuper de vous;-) Merci pour tes mots, bonne nuit.
.
bonjour à vous
merci Monique d’avoir aimé cette petite prose;
parfois j’aime aussi des textes et je ne le dis pas assez!
ayant parfois peur d’aimer toujours les mêmes et de trop les citer
en tout cas que je lis l’ensemble des textes; et j’ai un grand plaisir
à voir cette diversité; cela fait grandir!!!
sur cette note j’aime bien le texte Alain Hannecart la lumière
ce qui ne m’empêche pas de trouver fort jolie certain haikus
….
Ossiane vive l’informatique!!!!
bon l’important c’est qu’il n’y ai pas de pertes importantes!!!
pour la note nous atttendrons
bonne journée à chacun
–
Ossiane : courage et patience.
http://vttbarsurloup.free.fr/docs/Conseils%20techniques/3-Outillage.jpg
(23 – 26 – 33 – p’têt le 38 mais en priorité le 41 !)
Biz, clin d’oeil et bonne journée à tous.
–
Bonjour
Bon courage Ossiane. Ah, cette technique fabuleuse mais si complexe et pleine d’imprévus …
Et n’oublions pas SAUVEGARDONS LA BEAUTE !
Bonne journée
la projection de nos rêves sur la réalité
ne peut être qu’une représentation déformée
pour autant elle peut parfois nous étonner!
…
http://www.dailymotion.com/video/x4vrd9_claude-nougaro-lecran-noir-de-mes-n_music
La roche ouvre ses bras
Vers son ciel
Pour l’accueillir
La lumière
Et
L’ombre portée
Est si tendre
Si fraiche de vie
Elle se frissonne
Tendre élégante
Remue ses cils
Sourit sa vie
Perles de lumière
je suis contente que tout est sauvegardé pour toi, Ossiane,
car c’est un bel travail, si grand.
il y a des blogs si beaux, que savoir qu’ils peuvent être perdus, entament de soi, déjà…
C’est génial cette technique qui permet de garder sauver ce qui est beau!
en tout cas que je lis l’ensemble des textes; et j’ai un grand plaisir
à voir cette diversité; cela fait grandir!!!
je te cite, Marc,
car je partage,
je lis tout, et toutet chacun, me font faites grandir…
MERCI A VOUS DE CHACUN,
je ne le dis pas assez aussi!
belle journée.
Et n’oublions pas SAUVEGARDONS LA BEAUTE !
Et je te lis, et te cite, Nath et comme tu as raison….
bon allez, je me tais, *
clin d oeil sourire bise rayon de coeur….
Prétexte pour être « glouton » des mots, fragiles comme les ombres de l’arbre sur les ocres de Rustrel
Mémoire engloutie
Dans les entrailles du vent
Empreintes sauvegardées
L’ombre virtuelle
En petits micro-pixels
Une histoire gravée
Mots calligraphiés
La force de l’écriture
Le choix d’un support
Fibres enlacées
Sous le disque du soleil
L’air électronique.
Bonne après-midi à tous et continuons de jongler avec les mots, histoire d’encourager Ossiane dans ses travaux de restauration.
Qui a projeté toutes ces couleurs
sur cet écran minéral
et quel travail cela a du demander
pour tracer ces lignes sinueuses
donner un tel grain en surface ?
Dans un décor de cinéma
il est cependant logique
de parler de projection
mais on cherche encore
le projectionniste, à moins
qu’il ne soit retenu en cabine.
Ces jeux d’ombre et ces jets d’ocre
donnent de telles surfaces mouvantes
agitées d’une vie permanente
et parcourues des frissons les plus purs.
Coucou la compagnie…
Ici sous la pluie !
Sale temps pour les ordinateurs
Entre le froid et la chaleur
Etat grippal ou rhume des foins
Vite, une aspirine, sinon rien !
_____
http://www.aquavpc.com/blog/images/Informatique/sickpc.png
____
à suivre…
Suite…
Le disque dur ronronnait portant bien
A chaque clic, toujours fidèle, il répondait
Appel d’urgence… le médecin de garde
A son chevet pour soigner le malade
Aura tôt fait de restaurer les sauvegardes
De notre prévoyante Ossiane…
_____
http://www.edip-vendome.com/images/depanneur.gif
_____
…. Et je me demande tout à coup…
Mais oui,
Depuis combien de temps….
Et oui,
Je n’ai pas fait…
De sauvegarde !!!!
Vite, à mon disque dur externe !
Courage donc à toi Infirmière Ossiane
Je t’envoieeeeee Des biseeeeeeeeeeeeeees…
Compatissanteeeeeeeeees
un malaise inconscient tournait ces dernières heures …..
tremblement de terre ??? ou Ossiane en perdition ????
les ondes enlacées , projetées !!!!
empreinte d’un passage désastreux
et pour inverser
bleu du ciel bleu , en un
baiser sur l’ocre en harmonie
du rêve à la réalité
douces pensées dans la tourmente informatique
C’était un doux message
Pour te rendre moins sage
Un simple courriel
Destiné à ma belle
A ouvrir quand tu veux
Enfin un mot sage
Comme un passage
Pour te dire mon amour*
Et voilà qu’il s’égare
Loin de ton beau regard
C’était un billet doux
Qui était bien trop fou
Il a refermé la porte
De ta mémoire morte
*mon amour rime avec quand tu veux
L’ombre projetée
Sur l’ocre du sol
Vibre d’émotions
Belles pures
Elle est aimée
Et son coeur se frémit
Dans ses palpites
Et des vertiges doux
Qui font danser
Les petits grains autour
Si bels de terre promise
Sauvegarde …. vous avez dit sauvegarde!
Un frisson dans le dos pour tous les textes disparus à tout jamais dans l’espace temps!
Prévoyance…..merci Ossiane pour cette qualité!
Tous les membres de l’équipage avaient reçu une invitation pour la projection en avant première du film « Ouvrons l’œil et même les deux » du célèbre réalisateur André CANNEBLANCHE.
Après maintes tergiversations, Christineeeeee consenti à laisser son fougueux destrier à l’entrée du cinéma.
Arleteart et Hélène se faufilèrent discrètement dans la salle. Elles rejoignirent les garçons installés au dernier rang.
Les deux Bourrache, la Toto, Lou et Leila arrivèrent dans un joyeux brouhaha.
– Je me mets entre les deux Bourrache cria la Toto
– Non c’est moi objecta Leila
– Vérifions tout d’abord que les sièges soient propres. J’ai amené une petite serpillère de poche pour nettoyer tout ça ! intervint Lou
-J’ai chaud soupirait Thierry
– Enlève donc ce gros pull marin lui dit Jean
– Peux pas ! c’est un cadeau !
Et il se mit à pleurer doucement en racontant qu’il n’en pouvait plus de ce pull qui lui tenait chaud et le grattait.
Jean insista :
– Tu sais Thierry ! les deux Bourrache comprendraient parfaitement que tu l’enlèves de temps en temps !
Mais il se heurtait invariablement à la même réponse :
– Peux pas c’est un cadeau !
La voix de Charlie-Ossiane se fit entendre au loin :
– Attention ! le spectacle va commencer.
Aussitôt la salle s’obscurcit et une musique inquiétante retentit. La Toto sentit ses poils se hérisser. Oh qu’elle n’aimait pas ça ! Elle avait comme qui dirait un mauvais pressentiment.
Deux heures plus tard le générique de fin défila sur l’écran. Les matelots s’apprétaient à partir lorsque la Lou s’écria :
– Et la Toto ! cela fait un moment qu’on ne l’a pas entendu !
Il s l’aperçurent sur son fauteuil.
Où du moins ce qu’il en restait ! Une coquille vide aux yeux très étonnés. En un mot, une Toto pétrifiée
– La Toto, réveilles toi ! dit Leila
– Mais elle ne dort pas Leila ! murmura marc
Thierry dit :
– Inutile d’insister les amis. Regardez ! Quelqu’un lui a volé son disque dur et maintenant elle est toute vide en dedans ! Oh mais! Elle tient un mot entre ses mains.
« Si vous voulez retrouver la vraie Toto, rendez-vous dans la note suivante ».
-Ah ça s’enflamma Lou. Ça ne vas pas se passer comme ça. Moi vivante, personne ne fera de mal à notre Toto.
– A ça c’est sûr s’exclamèrent les autres matelots.
– Allons prévenir le capitaine…….
(a suivre)
–
Ocre burinée
Tatouage fugace
Le temps parchemin
–
–
Thierry : autorisation accordée pour le retrait du pull-cadeau.
(P’tit conseil : lavage à la main dans une eau à peine tiède, essorage dans un essuie-mains, séchage à plat. Replacer dans l’armoire jusqu’à l’automne prochain, faire gaffe aux mites).
–
Belle trouvaille Rachel la coquille vide de la toto sans disque dur !! plus de cerveau
robot -cassé il va falloir réparer .. ou jeter ce chiffon devenu
Quant à Jean c’est trop facile de dire que… de dire que ci …que là …il n’y a plus de preuve maintenant voilà bien les garçons !!!!
Moi je l’aimais bien ce pull Thierry il allait bien avec tes yeux bleus
Christineee que fais -tu ??? toujours à galoper on ne sait où
Annick , la douce chante une berceuse ce soir pour consoler le Capitaine
et je vous lis et je me frotille mes yeux, pour bien entendre…
vous avez retrouvé le disue dur de la toto?!
Ah part chemin… détourné, détroussé, nous voici enchantés… mais ce pull… pas encore tube de l’été… on le trouve si bien sur le dos… avec cette fraicheur des temps de pluie …qui s’éternisent et amenuisent… les strip teese.
Une grande ombre se meut sur la paroi
va t elle me chavirer d’un soudain effroi
va t elle bondir pour l’arracher ce pull
à moi le pitre coinçant une piètre bulle
infibulé, inféodé, pris dans cette maille
on n’est pas prêt de tirer la courte paille
mais dans ce sillon creusé et qui accuse
tes traits pour traits on fait mouche
qui colmate et endigue ma bouche
je ne sens pas la chose et me récuse
haletants on est presque à touche touche
plus rien ne compte qui n’est louche
mais avec le pull pour passer le col au radeau
il ne faut pas être manche sinon c’est un rateau
Il n’y a plus de boite aux lettres
Autour de la maison
Le brouillard informatique
a tout mis dans son sac de coton
Mhhhh ! vous croyez qu’on va conquérir le marché asiatique avec ça !
Merci arletteart, je sens bien qu’il est temps pour moi de passer la main. J’ai régné sur la poésie contemplative d’une main de fer, mais là j’ai fait mon temps. Laissez moi partir dans la dignité. Je vais me ressourcer à la montagne de mes ancêtres dans un petit pagodon zen. Je continuerai a composer bien sur, en amateur, pour garder la main… Je lirai peut-être mes poèmes à mon chien… mon chien lui seul me comprend quand j’ai du chagrin…
ou je les garderai dans un petit cahier rose qui ferme à clef…
arlettart, en mon absence je vous confie l’unité de production.
J’attends de vous une poésie qui ramone les bronches de la sensibilité…
Si on veut atteindre les objectifs cette année faudrait p’t’être se remuer le popotin et se vomir les tripes sur les pompes en croco !
Pasqu’en face on a une tripotée de durs à cuire qui ne vont pas se laisser tondre la laine sur le dos ! Vous pensez qu’on peut faire le coup de feu avec les hordes jaunes à coup de sac de coton ?!!
Pour contrer ses gaillards là va falloir dépoter de l’alexandrin et de l’acrostiche ! Je veux que ça gicle à flux tendu au niveau du sonnet et de l’allégorie !
Il me faut une production d’odes à la nature hyper-compétitives, ciselées à mort et d’un niveau d’efficacité émotive de première bourre !
Je ne veux voir qu’une seule rime à coups de pompes dans le quatrain si nécessaire ! Bon courage.
Ceci était ma dernière réunion de motivation, je m’envole vendredi, meilleures pensées à tous.
Bises
Le hun kamikase
crash son zéro
pour un haïku fatal
Une roche et l empreinte de ses mots…le passage du soleil sur la peau…sentiments enlacés…mélancolie déplacée….Le silence sur les yeux mi clos…le voyage d’une pensée ….sur un air détaché…et le fil de l eau….Pierre chaude….l abandon…cernes mauves…désir fond….Une roche et l empreinte de sa peau…le voyage d’une caresse…qui paresse…et ne cesse…de tendresse…Le silence sur les lévres…un soupir…un désir…et s’ouvrir…Des pétales et la couleur des mots…
Y aura-t-il une seconde séance Rachel j’ai manqué la première projection, j’étais en train de me projeter dans l’avenir en transférant mes données dans un endroit plus sûr, et comme chaque fois que l’on déménage, on en profite pour élaguer, relire, redécouvrir, en se martyrisant dans l’abandon de ce qui semble inutile et qui en fin de compte ressortira de la poubelle avant le passage de la benne. A peine jeté que l’on parle déjà de restauration, avec un taux d’affectif capable de déclencher des torrents de larmes. Tenez par exemple j’ai retrouvé une petite citation de François Cheng sur la beauté, je croyais l’avoir laissée dans la toto d’Annick et puis non elle était restée sur le bureau de Nath je l’ai transférée dans mon petit carnet de citations noir sur blanc, bien écrite à l’encre noir sur papier blanc à petits carreaux notifiée en sommaire par nom d’auteur et mot clé « beauté »
« La vraie beauté est élan même vers la beauté, fontaine à la fois visible et invisible, qui jaillit à chaque instant depuis la profondeur des êtres en présence. Puisque la beauté est rencontre, toujours inattendue, toujours inespérée, seul le regard attentif peut lui conférer étonnement, émerveillement, émotion, jamais identiques » F.Cheng
__
Projection inespérée
Sur la terre d’ocre balayée de soleil
Où les arbres restituent
Dans leur langage fragile d’ombres
La beauté de leur ramure
Au dessus de ce val de toute splendeur.
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Bonsoir à tous les amis embarqués sur le vaisseau
Chacun fait son cinéma, noel en juillet, roses de papiers froissés
ocre rouille dans la terre provençale des anges de nuages étoilés
Giono rêve
passage des oliviers
terre sèche et rêche des garrigues
vent tumultueux
sentes
des bergers
oubliés
dans l’esprit des rocs
fontaine heureuse
aux herbes folles
Chacun fait son cinéma…paradisio…
Rachel, à ce rythme tu m’auras fait nettoyer tous les champs possibles ))
Plage de terre muette dans un film qu’on projette
Raffut le champ est là tout blanc puis noir cassé
Ouvre caisse disque dur la mémoire effacée
Jour qui glisse sur un pont l’arbre moteur en panne
Écrire sur une feuille à l’écran ma bécane
Corps et cœur qui entament un virage malaisé
Infirmiers hôpital délire traitement d’images
On aura vu passer Don Quichotte sans cheval
Noyé dans la lumière d’une scène du passé
Et puisque Jean s’envole vers son ermitage ancestral …petit message
« marcher jusqu’au lieu où tarit la source
et attendre assis
que se lèvent les nuages »
Wang wei (701 -761)
pour nous revenir , en haïku romantique
d’autres auront la toto………….et ses aventures savoureuses
A notre capitaine pas abandonnée et à tous lumineuses pensées de Pâques
Le déluge réeL
Ici l’on bénI
Chute à piC
O seaux d’O
Rêve de voiR
Noé le boN
Et son archE
Acrostiche et téléstiche ornent
la météo d’un couple de licornes
il n’en reste pas moins fatal
que là seaux d’o fait mal…
OK, je termine ma valise et je sors…
merci alertteart.
mes paupières s’entrouvrent……les volets qui claquent…au travers des commissures de bois…le soleil se faufile …riant…le vent se lève…les ombres qui dansent…sur ton âme qui rêve…tu te retournes…ton épaule se dénude…un rayon de lumière …sur ta chair … nue…ocre…la beauté du désert…mes lèvres s’aventurent …je deviens le nomade de ton corps…et dépose sur ton coeur..les empreintes de l’amour…
Très beau Marc !
Je confirme ce lieu est magique
http://ahahh.blog.lemonde.fr/2006/06/07/2006_06_je_continue_par/
A l’époque òssiane tu souhaitais t’ y rendre, c’est chose faite.
Ps as tu finalement rapporté tes ocres ?
Il pleut
C’est mercredi
Jour du marché
La toto en son A
Prête à rouler
De belle liberté
Sa part d’ombre
Et de lumière
Pour saisir
Chaque perle de vie
Et s’en faire une couronne
Frissonnante de brins d’herbe
D’odeur de large
Jolies gouttes de vie
C’est une sacrée
La toto
Avec
Ou sans disque dur
Elle est
Tout simplement
Elle est
Sur le chemin du temps
Avec sa canne et ses moutons
Je me suis vu tout en haut…de l’éperon
ne comptant que sur mes seules forces
pour bien faire corp avec la roche
et épouser totalement ses formes
progressant lentement comme un lézard
j’ai senti la chaleur renvoyée par la paroi
dans la moindre prise j’ai saisi l’occasion
de me hisser oh pas plus grand que n’importe qui
juste de pouvoir me dire je l’ai fait et bien fait
mais le bienfait que m’a procuré cet élan
m’a porté vers des sommets inattendus
ce n’était qu’une projection, un rêve
je l’ai imaginé, quelqu’un d’autre l’a fait
qu’importe, je me suis laissé entraîner
il y avait bien une voie que mon oeil avisé
avait dès le début imaginé, à fleur de peau
et comme affleurent les sensations
en même temps que s’effleurent
les moindre grains
je ne me retourne pas
la sortie est en haut
Moi aussi, je me suis vue tout en haut du chemin…du roi
http://www.youtube.com/watch?v=ZmDhRvvs5Xw
Ode à Catherine….
L’empreinte de ta peau,
Blonde,
Que j’emprunte,
Me marque ,
de ton sceau.
Je t’aime,
Enfin,
J’aime,
etre aimé.
Je t’aime,
je goute ,
Chaque nuit, mon voyage,
En ta peau dorée, cuivrée, ensoleillée.
Je t’aime, rien que toi.
Rien.
Que toi.
émoi …..
Leila, quelle marche impossible, mon petit coeur sensible a bien trop peur sur un tel fou chemin, de vertiges, de vides, de vie qui tient à moins que rien…très impressionnante vidéo.
Ossiane, j’espère que tout va bien de ton côté, avec ton ordi, tes sauvegardes de ton grand travail,
à chacun, désolée, la toto elle pas tout compris hier, d ailleurs elle comprend si peu la toto avec sa tête de toto, j’espère que chacun va bien.
Empreintes des ombres
Dans la mémoire vive
Qui n’oublie pas
Le passage de la lumière
Coucou du jour !
Ah, la toto d’Annick !
Bientôt une sacrée célébrité !
Je me demande si elle ne l’a pas acheté
à un certain….
Oui-Oui !
Avec ses yeux tout ronds
et sa drôle de tête
Qui a toujours l’air étonné !
___
http://pagesperso-orange.fr/serge.passions/images/oui_oui_2000_et_la_voiture_jaune.jpg
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A moins que…..
Pour Annick
Une voiture
Coup de coeur
C’est encore
Meilleur !
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http://norbert34.midiblogs.com/media/01/00/e2840dc26f4266b152655a3255ebfe71.jpg
___
Hello Annick, je vois que tu es dans les parages !!!
Mais bon sang,
Que se passe-t-il ?
La toto
Directement descendue
Des hauteurs du Colorado
A rameuté toutes ses copines
Pour une manif
Dans les faubourgs de la ville !!!!
Heu….
Mais c’est laquelle
La toto à Annick
Perdue dans le flot
Des totos ?
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http://fifties.f.i.pic.centerblog.net/62g718h8.jpg
_____
En tout cas, elles ont de sacré tronches !!
.
Petit coucou rapide pour vous donner qelques nouvelles. Merci pour vos mots solidaires et vos belles poésies;-) J’ai beaucoup aimé tous vos mots.
L’animal se remet en route cahin caha; beaucoup de choses à reparamétrer et à réinstaller et puis la perte d’un projet de travail vidéo important qu’il va falloir que je refasse;-( Voilà de quoi donner de l’inspiration à rachel;-)
J’ai cru comprendre que jean partait pour toujours, ai-je bien compris ???? Si c’est ça c’est vraiment dommage.
Bienvenue et merci à elMontevideano, mortenson 😉
Coucou à Fauki amoureux, chapeau à Alain, marc et tous les autres!
François, je me souviens de ton périple là-bas;-) Non je n’ai pas ramené de pigments d’ocre;-) Ce sera pour une autre fois…
Je ne sais pas encore quand je pourrai republier d’autant plus que je en déplacement tout demain. Je voudrais essayer de publier quelque chose pour ce soir mais je ne suis pas sûre d’y arriver…
Bises à tous et à toutes.
Ossiane
.
Hello Christineeee,
c’est vrai que je navigue doucement, entre lectures et écritures cet après midi, entre les gouttes de pluie c’était ce matin, nostalgique,
pour la toto, ouioui, elle fut achetée sur les ondes d’un fil téléphonique, entre l’Ouest et le Nord, sans la voir de vraie, juste à la ressentir, juste une bonne affaire à faire, un petit habit qui déplait pas, une couleur grise pour avancer dans les noirs et les blancs…sourire….
et quand je l’ai serrée toute de vraie, elle et moi, on s’est aimées de suite…sourire…
et depuis elle me supporte sur ses genoux tous doux..sourire…
mon mercredi ‘gaie de tendre’, après son bout de midi à savourer ce petit coin ici, si simple, où le temps semble arrêté, c’est lent, c’est accessible d’Humanité, c’est pour moi de mon âme, cette région de La Loire, je me sens déjà tellement étrangère au Nord, quand j’y remonte, avec même l’impression de ne pas avoir habité dans le Nord, c’est si loin déjà, c’est un autre book de vie, posé, dans la bibliothèque de ma vie qui fait ses premiers pas, chaque jour, d’apprendre à vivre, encore, son jour…..sourire…
et comme je vous lis,
je vois le poster de cars, et cela me soutit mon fils avec ses posters, pleins de vie de beaux fims…
et la toto sourit, émue, c’est juste elle ainsi…
Un iceberg tout de bel ocre chaud
Se donne à voir son être
Mais en regardant plus
L’oeil ouvert tant et temps
Une ombre posée là
Discrète se fait petite
Et de par ses racines
Sa taille plus grande encore
Faut se rappeler toujours
Que la vue c’est dedans
Dans la moindre des choses
Celle qui ne se voit pas
Ou alors juste comme çà
Au premier coup d’oeil doux
La vue c’est une toto
Qui navigue sa route
Et au plus elle est lente
Peut être au plus elle voit
Sa route dans son volant
Une toto à conduire
C’est de la vie dedans
C’est drole Annick,
Je lis tes lignes , et je me retrouve…
J’ai habité longtemps le » nord » ( val d’oise ).
J’en suis parti il y a quelques mois.
ça a été une déchirure,
Pourtant, moi , fauché , je partai pour la cote d’azur !
Mais j’avais mal , déraciné que je croyai etre.
Aujourd’hui , c’est remonter qui me fait mal.
Pas une question de cote d’azur,
juste la question d’avoir bougé, et le voyage enrichit.
C’est sur.
……
je sais pas vraiment pourquoi j’écris ça….
mais bon , vous trierez.
Mon salut amical à toute l’équipe.
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Ossiane, je reviendrai en mai pour faire ce qu’il te plait ! Bisous !
images en noir
écran rouge sur le sol
Où est le pop-corn?
Pour Neyde…
Voilà le pop corn !!!
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http://comps.fotosearch.com/comp/ARP/ARP106/pop-corn_~popcorn.jpg
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Bonne séance !
Quel est ce message codé- secret -sibyllin ???????????? jean ….ou ton disque dur fait aussi des siennes ?? Voilà ce que c’estque de faire des émotion à Ossiane !! c’est contagieux ces petites bêtes là
avant de partir ton avril, peux tu donner la traduction de ta parution de Jean | le Lundi 06 avril 2009 à 13h21 |
ma tite tête sait pas cette langue…sourire..MERCI
2ème séance pour le matelot Monique qui avait loupé la projection du 7 avril à 19 h 07.
Nous disions donc :
Que tous les membres de l’équipage avaient reçu une invitation pour la projection en avant première du film « Ouvrons l’œil et même les deux » du célèbre réalisateur André CANNEBLANCHE.
Cette fois-ci Christineeeeee refusa de laisser son fougueux destrier à l’entrée du cinéma étant donné les évènements qui s’étaient déroulée la veille. Elle préféra être prudente.
Arleteart et Hélène se faufilèrent, un peu moins discrètement qu’hier, dans la salle car les deux jeune matelotes prenaient de l’assurance. Elles rejoignirent les garçons installés au dernier rang (car eux n’avaient pas bougé).
Les deux Bourrache maintenaient fermement la Toto qui ne voulait pas revivre la mésaventure d’hier. La Lou et Leila tentèrent de lui expliquer qu’il fallait la refaire à cause de cette « coquine » de Monique qui avait loupé la première séance.
– c’est bien pour Monique que je le fais car la Toto elle en a marre qu’on la vide en dedans. Après elle se sent toute bizarre.
– Asseyons-nous ici ordonnèrent les deux Bourrache
– Vérifions tout d’abord que les sièges soient propres. J’ai amené une petite serpillère de poche pour nettoyer tout ça ! intervint Leila
– Mais c’est mon dialogue constata Lou
– Oui j’en conviens mais cela risque d’être monotone pour le lecteur ! objecta Leila
– J’ai chaud soupirait Thierry
– On sait répondèrent en chœur les garçons. Les deux Bourrache t’ont dit que tu pouvais l’enlever et elles t’ont même donné des conseils pour le lavage.(là la main et dans de l’eau tiède).
La voix de Charlie-Ossiane se fit à nouveau entendre au loin :
– Attention ! le spectacle va recommencer.
Aussitôt la salle s’obscurcit et une musique inquiétante retentit. La Toto sentit à nouveau ses poils se hérisser. Oh non ! Pas encore ! Elle avait comme qui dirait un deuxième mauvais pressentiment.
Deux heures plus tard le générique de fin défila sur l’écran. Les matelots s’apprétaient à partir lorsque la Lou s’écria :
– Et la Toto ! cela fait un moment qu’on ne l’a pas entendu !
Il s l’aperçurent sur son fauteuil.
Où du moins ce qu’il en restait ! Une coquille vide aux yeux très étonnés. En un mot, une Toto pétrifiée
– La Toto, réveilles toi ! dit Leila
– Mais elle ne dort pas Leila ! murmura marc
– Tu me l’as déjà dit hier marc !
– mais c’est dans le scenario Leila ! on peut pas changer comme ça sans demander à l’auteur ! ça se fait pas !
Thierry dit :
– Inutile d’insister les amis. Regardez ! Quelqu’un lui a volé son disque dur et maintenant elle est toute vide en dedans ! Oh mais! Elle tient un mot entre ses mains.
« Si vous voulez retrouver la vraie Toto, rendez-vous dans la note suivante ».
Au même moment un rire machiavélique retentit dans la salle.
– Tiens ça ça n’y était pas ça hier ! constata Leila
– et tac ! objecta t’elle à marc. Tu vois bien qu’on peut changer un peu !
– Ah ça se réenflamma Lou. Ça ne vas pas se passer comme ça. Moi vivante, personne ne fera de mal à notre Toto.
– A ça c’est sûr s’exclamèrent les autres matelots.
– Allons prévenir le capitaine…….
(a suivre)
Dis donc Monique tâche de pas louper la deuxième séance car à ce rythme là je vais l’achever notre Toto si je la prive de son disque dur tous les jours (sourire et bises à tous).
Les ocres ont une couleur singulière qui fait qu’on ne la définit souvent que par ajout d’un complément : rouge, brun, ocre d’ici ou de là-bas. Couleur ocrée ? Qu’est-ce ? Le peintre en fait mille sur sa palette, aux tons chauds ou parfois froids quand des gris s’en mêlent. Toujours avec le plaisir de la découverte d’une nouvelle nuance je te salue amicalement au passage, JP
Je me roulotte de rire Rachel c’est tout mignon,on va nous virer de ton cinéma tant on fait du bruit!
Annick quand on te remettra ton disque dur tu pourras lire la traduction suivante du texte de Jean -Mais à vérifier auprès de lui-j’apprends l’espagnol depuis quelques années mais j’en suis toujours à reprendre des trucs régulièrement en suspends du coup je connais par coeur la leçon 1))
Te rappelles-tu de mon amour
Ce petit bouquet que j’ai éloigné
Dans l’herbe où était la rosée
Dans quelque endroit du ciel on chantait
Dévêtus, on marchait dans la forêt
Il faisait bon, il faisait frais
Dans l’herbe où était la rosée
Dans quelque endroit du ciel on chantait
Depuis le temps, celui qui est passé,
Restera doux souvenir
Quand de cette nourriture
Mon cœur s’est brisé
Ici en ce bas monde
Comme ceci doit s’achever
Florita fanée
Florita aimée
Il « Ce bouquet » pour toujours me dit ce qu’est l’Amour..
A chaque fois que je fais un détour par ton blog, j’y trouve calme et sérénité. Et aujourd’hui plus encore, à cause de cette couleur.
Amicalement
Tu souviens ma nénere adorée
Les jolies fleurs que la donné à moin
Dans ne ze herbes ne avait la rosée
Dans ne ciel ze oiseaux y chantaient
Ti fleur fanée, ti fleur aimée,
Dis à moin toujours
Ka ke ce est que le amour
Nu marchait dans le forêt
Y faisait bon, y faisait frais
Dans ne ze herbes ne avait la rosée
Dans ne ciel bleu ze oiseaux y chantaient
Depuis le temps le a passé
Y reste plus que un doux souvenir
Quand mi pense, mon cœur le est brisé
Tout ici bas comme ça y doit finir
Vous êtes encore là Jean, j’espère que je n’ai pas trop écorché votre texte cher ami.)
Pour que l’ocre naisse… il faut du temps,
beaucoup de temps…de cuisson
et que l’oxygène… sature cette terre
dont l’ossature ne demande …qu’à s’épanouir
tandis que l’on pourrait …s »évanouir
dans une telle clarté, éclatée, réverbérée
http://www.youtube.com/watch?v=Uem5dNtYUiI
Spéciale dédicace pour RACHEL ;))))
Leila, c’est un texte en créole, sans doute de la Réunion, dont je ne connais pas l’auteur. Je m’étais amusé a le transcrire en espagnol et vous le traduisez en français, la boucle est bouclée…
Un abrazo
–
Pour Leïla :
http://www.youtube.com/watch?v=TFc-MARUyu0
–
merci hélène.
Merci Bourrache c’est tendre et délicieux.Fleur fanée
Fleur créole
Demain c’est jour d’école
Va falloir que j’m’y colle )
Plutôt que d’m’endormir
Bein vais encore écrire…
Fournaise
Piton des neiges
Dans l’océan Indien
J’ai dispersé mes rêves
Les alizés ont pris
Le murmure des cascades
Et la plage habitée
Par un sourire d’enfant
Garde à coeur le soleil
Pour un regard secret.
Essoufflée, j’arrive juste Rachel et les autres, assez tôt pour ne rien manquer après une journée riche en rencontre et en découverte dans la garrigue , projection dans le passé, lecture à pierres ouvertes sur les vestiges romains, dans l’odeur du thym en fleur, genévrier cade et buis, transformation du milieu mais non des odeurs et du sol. Projection dans l’avenir avec la découverte d’un laser scanner entrain de capter des images en trois dimensions …. il y a des jours comme ça …. si beaux, si pleins de surprises et de partages étonnants. C’est beau la communication entre les êtres qu’elle se fasse de vive voix, par l’écrit, par l’image, douce projection du savoir vers les autres captée avec tant de bonheur.
Contente de ta journée, Monique, bonne soirée qui suit.
Oui c’est vrai Annick et quel plaisir de pouvoir le dire, c’est si positif parfois, qu’il est bon de partager, c’est aussi ça la vie, ces journées là il faut les enregistrer et les sauvegarder profondément en son coeur. Bonne soirée à toi aussi. je t’embrasse.
Superbe ombre sur ce fin voile d’orée, Bravo,un vraie talent:) a bientot
.
Merci à tous pour avoir continué d’ouvrir l’oeil pendant mon absence;-)
Bon voyage, jean, à bientôt !
Merci pour ta visite Jean-Pierre, amitiés en rerour
Bienvenue ici, Cathy, la porte t’est grande ouverte;-) Bon week-end !
.
ma terre dorée
scène d’ombres et d’éclats
où le solstice passe…