Projection

Projection

Projection

Mes fibres enlacées, empreintes d'un passage sur ta peau blonde

Lecture du Haïku Calligramme: bas puis de gauche à droite

Mes fibres enlacées
empreintes d’un passage
sur ta peau blonde

Le Colorado provençal à Rustrel dans le Vaucluse …

113 réflexions sur « Projection »

  1. théâtre d’ombres
    histoire de toute une vie
    projection privée

    bravo Ossiane pour ces photos dune fraicheur toujours renouvelée
    bonne journée à tous

  2. Dans la douceur du sous bois
    Mi dévoilée
    La projection s’offre
    En lumière
    Pour se vivre son ciel
    Et vivre tout simplement
    En belle vérité d’être

    belle journée pour chacun’e’.

  3. La terre se frissonne
    Le ciel l’a embrassée
    Et sa chair toute tendre
    Un oasis de beautés

  4. C’est beau !

    La vie des grands hommes nous rappelle Que nous aussi nous pouvons rendre notre vie sublime, Et laisser derrière nous, après la mort, Des empreintes sur le sable du temps.
    [Henri Longfellow] Extrait de Un psaume de vie

    La terre se nourrit d’empreintes, Le ciel se nourrit d’ailes.
    [Miguel Angel Asturias] Extrait de La Chasse

    Les rides devraient simplement être l’empreinte des sourires.
    [Mark Twain]Extrait de En Suivant l’équateur

    Les livres ne parlent pas du monde : ils disent l’empreinte du monde sur ton coeur.
    [Jean-François Somain] Extrait de La Vraie couleur du caméléon

  5. En mélange de fine argile
    Et limon d’ocre du fleuve rouge
    En terre battue j’ai fait mon aire
    Là se sont enlacées pendant l’hiver
    Les racines d’un pin asiatique
    A l’ajonc, la bruyère celtique
    Au printemps les rosacées sont en fleurs
    Elles portent des fruits d’étranges saveurs
    Qui sont les pignons de ma demeure
    L’été pousses de bambou dressent murs
    Remplit de force et de droiture
    Et la toiture quand vient l’automne
    Se couvre de fleurs de chrysanthème
    Pétales s’envolent tel les je t’aime
    Pour déposer leur parfum suave
    Sur les empreintes de ton passage

  6. Cigale

    Une musique qui s’invite
    A l’heure où s’enfuit la nuit sombre
    Une musique qui palpite
    Quand la lumière danse avec l’ombre
    Une musique continue
    Que l’on écoute presque nu
    Des notes claires tombant des nues
    Qui de l’amour font la réclame

    Chant qui s’entend dans la garrigue
    Qui sonne comme un réveil matin
    Parmi la lavande et le thym
    Quand le vent fait chanter les palmes
    Un doux zinzin qui berce l’âme
    Quelques paroles dites en latin
    Qui de l’amour font la réclame

    Une mélodie qui ressuscite
    Quand le soleil est au zénith
    Un chant d’amour sorti de terre
    Quand la période est estivale
    Un véritable festival
    Que font entendre les cigales
    Qui de l’amour font la réclame

    Princes des villes et gentes dames
    Pour qui les sons sont un régal
    Les poésie sont les cigales
    Qui de l’amour font la réclame.

    Alain

  7. Te recuerdas amor mio
    El pequeño ramillete que me diste
    En la hierba habia el rocio
    En el cielo parajos cantaban
    Florita marchita,
    Florita amado,
    Me dice por siempre
    Lo que es el amor.
    Desnudo andaba en la selva
    Hacia buen, hacia fresco
    En la hierba habia el rocio
    En el cielo parajos cantaban
    Desde el tiempo, el que a pasado
    Se queda un dulce recuerdo,
    Cuando mi pienso,
    Mi corazon es rompado.
    Todo aqui en este bajo mundo
    Como esto debe acabar.
    Florita marchita,
    Florita amado,
    Me dice por siempre
    Lo que es el amor.

  8. Eh de rien Annick !
    J’aime les citations où je « grapille » du sens … et j’aime partager, mais là c’est parfois un peu plus difficile …car ça ne marche pas forcément dans les 2 sens !
    Cet équilibre si fragile entre le donner et le recevoir …
    Bon après-midi.

  9. Sur la terre en feu
    L’ombre ne cesse de danser
    Ondoyant sous l’effet du vent;
    Elle s’immisce dans les anfractuosités,
    Epouse le galbe des colines, des fossés;
    Elle soulage de son mouvement
    La brûlure frénétique de la lumière;
    quand le souffle brûlant forcit , des râles s’échappent des profondeurs de la terre;
    quand il s’évapore l’echo se faufile le long des pierres ardentes;
    il faud attendre que l’ombre recouvre cette océan de lumière,
    et que le vent cède la place au silence
    pour que cet incandescence laisse place à l’indolance
    peut être même à un certain apaisement;

  10. La peinture

    comme une marguerite effeuillée sur l’eau
    La magie des couleurs met en scène l’âme du peintre
    Une fenêtre s’ouvre dans l’espace d’un tableau
    Où l’ombre et la lumière font varier les teintes

    Alain

  11. La Lumière

    Derrière d’épais rideaux
    S’habille une grande artiste
    Musicienne acrobate
    Une enfant de la piste

    Elle brille sans orgueil
    Elle n’est jamais sombre
    Elle danse dans les feuilles
    Et joue avec les ombres

    Qu’elle franchisse le seuil
    Ou qu’elle frappe aux carreaux
    Son sourire et ses yeux

    Font rayonner son être
    Elle réveille les oiseaux
    Pour qu’ils chantent aux fenêtres

    Alain

  12. lumière tamisée de l’automne
    quand la glas des feuilles sonne,
    lumière transparente de l’hiver
    fossoyeusse blanche de la terre

    lumière divine du printemps
    au charme si ensorcelant
    lumière incandescente de l’été
    enflamant nos coeur légers

    compagne fidèle de nos jours
    amante discrète de nos nuits
    tu enlumines notre monde,
    et t’ébaudit avec les ombres;

    quand vient l’heure de la révérence
    et que s’installe âpre, le silence
    diaphane, tu te blotti sur la pupille
    discrete presque invisible et tu brilles;

  13. Qui de l’arbre vert
    Du pic en ocre
    Ou des troncs d’ombre
    Incarnent la force de la vie
    Ensemble ils sont
    En énergie dressée
    Vers le ciel
    Pour écrire des traces
    En belle intimité d’aimer
    Au plus près de la vie
    A fleur de peau vivante
    Quand on l’aime la vie

  14. L’oreille s’agenouille
    Et écoute se palpiter
    L’ombre du temps
    Qui rayonne ses grâces
    Elle est si secrète
    Que l’oeil se pose aussi
    Pour penser entendre
    Un peu plus
    Juste un peu plus
    Sur cette lumière née
    Si belle et si aimante

  15. Je l’eusse préférée rousse à l’automne oublié
    Mais quoi, elle était douce au printemps arrivé
    Brunes ou blondes elles poussent mon coeur à chavirer
    Cependant que s’émoussent mes forces en fin d’été

    Quand la neige viendra recouvrir nos pensées
    Que rien n’émergera de ce qui est passé
    Quand notre hiver sera pour nous éternité
    De nous ne restera que des ombres enlacées

    Viens-t-en ma belle amie, aprroche fort de moi
    Peu importe les couleurs, ce qu’en font les années,
    Quelle que soit la saison, n’en veux voir que l’été

    Et si le blanc domine ces saisons dépassées
    Nos corps nos coeurs cheminent toujours avec émoi
    Tout comme au premier jour, c’est vrai, rappelle-toi

  16. Bonsoir à tous !

    J’aime cette couleur ocre sur fond bleu….
    Et si les arbres jouent leur petit jeu
    Cela donne à peu près ceci :

    Jeu de lumière
    En ombres chinoises
    Les branches se jouent
    Une belle partie
    Sur le vertical
    des rocs ocres
    Comme une trace
    Sur le Cours Central
    Parfaitement horizontal
    La partie continue…

    JEU – SET – MATCH !

    ____

    http://2.bp.blogspot.com/_6mn3O_rDpIM/SDH2eb3BAuI/AAAAAAAAErs/pd5Y53g8y_w/s400/roland_garros_fond-ecran-wallpapers.jpg
    ____

    Biseeeeeeeeeeeeeeeeees du soir !

  17. Belle projection sur la terre poudreuse qu’un souffle de vent ne saurait effacer…
    __

    Ombres calligraphiques
    Fossile de l’instantané
    Empreinte éphémère

    __

    ….. l’objectif défie les lois de la nature , la projection devient immortelle, ombre fossile.

  18. ils s’étaient rencontrée un jour de lumière.
    ce jour là dans le ciel quelque nuages blancs
    à peine visibles dansaient à la lisière de l’univers.
    la terre ocre flamboyait sous le regard du soleil.
    toute la terre semblait brûler sans qu’il n’y eu aucune flamme.
    sans qu’il n’y ai aucun crépitement. La vie semblait
    avoir disparu de cette contrée sèche et aride.
    La roche était lacéré de cicatrices parfois à peine visibles,
    parfois si profondes que la lumière ne pouvait y pénétrer.
    Quelques arbustes et quelques arbres résistaient à cet éruption du ciel.
    dans cette lave bleue, aucun oiseau, aucun papillon;
    quelques cigales par moment perçaient le silence métallique
    et s’arrêtait laissant cette plaque opaque recouvrir chaque parcelle
    de ce territoire désolé.
    Etrangemment, sans qu’il n’y ai un seul souffle de vent,
    deux ombres dansaient . elle se rapprochaient, s’éloignaient.
    entremêlaient leurs fibres noueuses. elles semblaient rires;
    s’embrasser. par moment elles couraient leurs tiges enchevetrées.
    Elles en oubliaient le monde; le temps;
    Imprudentes elles défiaient la lumière; prêt à se jeter dans ce précipice
    chatoyant. oubliant leurs fragilités; mue par une force surnaturelle.
    parfois plus aucun mouvement ne pouvaient être décelés;
    et on les confondaient avec l’ombre des arbres, avec l’ombre des collines,
    avec l’ombre du ciel. on les vit tous l’été s’effleurer, se désirer; s’aimer;s’effleurer, se désirer et s’aimer encore; comme une musique entêtante dont on ne peut se défaire.
    une musique que l’on chasse violemment et qui revient frapper de son marteau sur l’enclume de nos âmes.
    mais un jour l’une fut plus imprudentes et voulue s’exposer en pleine lumière.
    aussitôt elle fut dévorées par cet ogre à l’éclat de diamant.
    et disparue dans les cicatrices profondes de la terre.
    L’autre ombre s’allongea et se laissa emporter par la nuit.
    le premier jour de l’été, certains vous dirons lorsque le soleil est au zénith , on peut
    voir danser et s’aimer deux ombre sur la colline des possédés.

  19. Très joli Marc la danse des ombres sur la colline des possédés, il suffit d’un souffle de vent pour les voir évoluer en toute liberté ; petite prose très agréable à lire.

  20. Le jour de la naissance
    On est projeté
    Comme ça
    Dans la vie
    Et on ne cessera jamais
    De se projeter en image
    Chaque jour son jour
    Sa trece d’Humain

  21. Il regarde le sol
    L’eau miroir de lui
    Puis s’en retourne le ciel
    Une glace le projette
    Alors il se regarde
    Ce lui
    C’est bien celui
    Qui se marche sa chair
    Se nage dans la brume
    Et s’envole son bleu

  22. Dans la poussière ocre
    L’intiale en son ombre
    Se palpite son coeur
    Elle se respire vivante
    Et hurle de ses cris
    Sous les coups du bourreau

    j ai été fort choquée par ce flash tv, où on voit, la vérité cruelle de vie, une jeune femme de 17 ans, 35 coups de fouet, comme ça,
    juste peut être car elle souhaitait se vivre…
    ce monde est inhumain,
    et quand on peut se vivre, c’est une chance immense de vie,
    et chacun le mérite.

  23. Le sceau de ton désir
    De bel amour vivant
    Est à jamais gravé
    Sur mon corps possédé
    Qui s’est donné d’aimer
    Dans le plus haut
    Tellement

  24. .

    Coucou les amis depuis un autre ordinateur que le mien ! Une grosse tuile ce matin!

    Tandis que l’ocre de vos mots coule à flots coulait sur cette page blanche, le disque dur qui permet d’accéder à mon ordinateur a rendu l’âme sans prévenir. Seulement 6 mois d’existence 🙁

    Pas trop de pertes de données car je fais des sauvegardes.
    Mon magasin d’informatique habituel étant fermé le lundi, je n’ai pas pu aller en acheter un autre aujourd’hui. Je vais y aller demain et puis ensuite, cela va prendre un certain temps pour réinstaller tous mes logiciels et remettre « l’animal » en route;-) Je ne peux pas publier de note demain soir car je n’ai pas accès à mes photos.

    Douce page aux couleurs de miel, vous honorez mes images avec vos beaux poèmes.
    Un grand merci à vous. Continuez à vous faire plaisir en écriture le temps que je régle mes problèmes techniques;-) Je viendrai pour faire de petits coucous entre deux installations si je le peux 😉

    BIses à tous

    Ossiane
    .

  25. L’exil est un long chemin morose
    Un ailleurs dépourvu des choses
    Dangereuses qui vous menaçaient
    Lieu de douceurs cotonneuses
    Ou les mots sont libres mais muets
    On flotte dans l’eau oublieuse
    Des âmes disparues à jamais
    Survit celui qui l’exil l’avait
    Déjà chez lui. Naguère grand-père
    A quitté son pays pour la guerre
    Puis il a rencontré la femme
    Bretonne étrangère à Paris
    D’un aléa migratoire mon âme
    Est la mémoire, et je souris
    Car si la terre est mon pays
    Je pense en français et je le suis.

  26. Si tu as accès aux commentaires Ossiane, sur un autre ordi, je suis désolée de ce qu’il t’arrive et espère que tu as tout sauvegardé, que cela nous serve de leçon, je néglige souvent les sauvegardes car même avec un disque dur externe, on est à l’abri de rien. Je peste pour toi et c’est du travail en perspective pour tout remettre en fonction. Bon courage, ne t’inquiète pas pour la note de demain soir, nous trouverons bien de quoi nourrir les mots à nous tous. Je t’embrasse.

  27. .
    Monique, on n’est jamais trop prudents; il faut sauvegarder régulièrement sur un disque externe, tu as raison. Il parait que les disques durs lâchent souvent dans leurs premiers moments de vie;-)
    Ce qui a été affecté est mon courrier récent dont quelques uns de vos commentaires plus quelques autres dossiers pas trop importants. Heureusement, tout ce qui concerne le travail et les photos n’étaient pas sur ce disque.
    Je n’ai pas pu travailler ni m’occuper de vous;-) Merci pour tes mots, bonne nuit.
    .

  28. bonjour à vous

    merci Monique d’avoir aimé cette petite prose;
    parfois j’aime aussi des textes et je ne le dis pas assez!
    ayant parfois peur d’aimer toujours les mêmes et de trop les citer
    en tout cas que je lis l’ensemble des textes; et j’ai un grand plaisir
    à voir cette diversité; cela fait grandir!!!
    sur cette note j’aime bien le texte Alain Hannecart la lumière
    ce qui ne m’empêche pas de trouver fort jolie certain haikus
    ….
    Ossiane vive l’informatique!!!!
    bon l’important c’est qu’il n’y ai pas de pertes importantes!!!
    pour la note nous atttendrons

    bonne journée à chacun

  29. Bonjour

    Bon courage Ossiane. Ah, cette technique fabuleuse mais si complexe et pleine d’imprévus …
    Et n’oublions pas SAUVEGARDONS LA BEAUTE !
    Bonne journée

  30. La roche ouvre ses bras
    Vers son ciel
    Pour l’accueillir
    La lumière
    Et
    L’ombre portée
    Est si tendre
    Si fraiche de vie
    Elle se frissonne
    Tendre élégante
    Remue ses cils
    Sourit sa vie
    Perles de lumière

  31. je suis contente que tout est sauvegardé pour toi, Ossiane,
    car c’est un bel travail, si grand.

    il y a des blogs si beaux, que savoir qu’ils peuvent être perdus, entament de soi, déjà…

    C’est génial cette technique qui permet de garder sauver ce qui est beau!

  32. en tout cas que je lis l’ensemble des textes; et j’ai un grand plaisir
    à voir cette diversité; cela fait grandir!!!
    je te cite, Marc,
    car je partage,
    je lis tout, et toutet chacun, me font faites grandir…

    MERCI A VOUS DE CHACUN,
    je ne le dis pas assez aussi!
    belle journée.

  33. Et n’oublions pas SAUVEGARDONS LA BEAUTE !
    Et je te lis, et te cite, Nath et comme tu as raison….
    bon allez, je me tais, *
    clin d oeil sourire bise rayon de coeur….

  34. Prétexte pour être « glouton » des mots, fragiles comme les ombres de l’arbre sur les ocres de Rustrel

    Mémoire engloutie
    Dans les entrailles du vent
    Empreintes sauvegardées

    L’ombre virtuelle
    En petits micro-pixels
    Une histoire gravée

    Mots calligraphiés
    La force de l’écriture
    Le choix d’un support

    Fibres enlacées
    Sous le disque du soleil
    L’air électronique.

    Bonne après-midi à tous et continuons de jongler avec les mots, histoire d’encourager Ossiane dans ses travaux de restauration.

  35. Qui a projeté toutes ces couleurs
    sur cet écran minéral
    et quel travail cela a du demander
    pour tracer ces lignes sinueuses
    donner un tel grain en surface ?

    Dans un décor de cinéma
    il est cependant logique
    de parler de projection
    mais on cherche encore
    le projectionniste, à moins
    qu’il ne soit retenu en cabine.

    Ces jeux d’ombre et ces jets d’ocre
    donnent de telles surfaces mouvantes
    agitées d’une vie permanente
    et parcourues des frissons les plus purs.

  36. Suite…

    Le disque dur ronronnait portant bien
    A chaque clic, toujours fidèle, il répondait
    Appel d’urgence… le médecin de garde
    A son chevet pour soigner le malade
    Aura tôt fait de restaurer les sauvegardes
    De notre prévoyante Ossiane…

    _____

    http://www.edip-vendome.com/images/depanneur.gif
    _____

    …. Et je me demande tout à coup…
    Mais oui,
    Depuis combien de temps….
    Et oui,
    Je n’ai pas fait…
    De sauvegarde !!!!

    Vite, à mon disque dur externe !

    Courage donc à toi Infirmière Ossiane

    Je t’envoieeeeee Des biseeeeeeeeeeeeeees…
    Compatissanteeeeeeeeees

  37. un malaise inconscient tournait ces dernières heures …..
    tremblement de terre ??? ou Ossiane en perdition ????
    les ondes enlacées , projetées !!!!
    empreinte d’un passage désastreux
    et pour inverser
    bleu du ciel bleu , en un
    baiser sur l’ocre en harmonie
    du rêve à la réalité

    douces pensées dans la tourmente informatique

  38. C’était un doux message
    Pour te rendre moins sage
    Un simple courriel
    Destiné à ma belle
    A ouvrir quand tu veux
    Enfin un mot sage
    Comme un passage
    Pour te dire mon amour*
    Et voilà qu’il s’égare
    Loin de ton beau regard
    C’était un billet doux
    Qui était bien trop fou
    Il a refermé la porte
    De ta mémoire morte

    *mon amour rime avec quand tu veux

  39. L’ombre projetée
    Sur l’ocre du sol
    Vibre d’émotions
    Belles pures
    Elle est aimée
    Et son coeur se frémit
    Dans ses palpites
    Et des vertiges doux
    Qui font danser
    Les petits grains autour
    Si bels de terre promise

  40. Sauvegarde …. vous avez dit sauvegarde!
    Un frisson dans le dos pour tous les textes disparus à tout jamais dans l’espace temps!
    Prévoyance…..merci Ossiane pour cette qualité!

  41. Tous les membres de l’équipage avaient reçu une invitation pour la projection en avant première du film « Ouvrons l’œil et même les deux » du célèbre réalisateur André CANNEBLANCHE.

    Après maintes tergiversations, Christineeeeee consenti à laisser son fougueux destrier à l’entrée du cinéma.

    Arleteart et Hélène se faufilèrent discrètement dans la salle. Elles rejoignirent les garçons installés au dernier rang.

    Les deux Bourrache, la Toto, Lou et Leila arrivèrent dans un joyeux brouhaha.

    – Je me mets entre les deux Bourrache cria la Toto

    – Non c’est moi objecta Leila

    – Vérifions tout d’abord que les sièges soient propres. J’ai amené une petite serpillère de poche pour nettoyer tout ça ! intervint Lou

    -J’ai chaud soupirait Thierry

    – Enlève donc ce gros pull marin lui dit Jean

    – Peux pas ! c’est un cadeau !

    Et il se mit à pleurer doucement en racontant qu’il n’en pouvait plus de ce pull qui lui tenait chaud et le grattait.

    Jean insista :

    – Tu sais Thierry ! les deux Bourrache comprendraient parfaitement que tu l’enlèves de temps en temps !

    Mais il se heurtait invariablement à la même réponse :
    – Peux pas c’est un cadeau !

    La voix de Charlie-Ossiane se fit entendre au loin :

    – Attention ! le spectacle va commencer.

    Aussitôt la salle s’obscurcit et une musique inquiétante retentit. La Toto sentit ses poils se hérisser. Oh qu’elle n’aimait pas ça ! Elle avait comme qui dirait un mauvais pressentiment.

    Deux heures plus tard le générique de fin défila sur l’écran. Les matelots s’apprétaient à partir lorsque la Lou s’écria :

    – Et la Toto ! cela fait un moment qu’on ne l’a pas entendu !

    Il s l’aperçurent sur son fauteuil.
    Où du moins ce qu’il en restait ! Une coquille vide aux yeux très étonnés. En un mot, une Toto pétrifiée

    – La Toto, réveilles toi ! dit Leila

    – Mais elle ne dort pas Leila ! murmura marc

    Thierry dit :

    – Inutile d’insister les amis. Regardez ! Quelqu’un lui a volé son disque dur et maintenant elle est toute vide en dedans ! Oh mais! Elle tient un mot entre ses mains.

    « Si vous voulez retrouver la vraie Toto, rendez-vous dans la note suivante ».

    -Ah ça s’enflamma Lou. Ça ne vas pas se passer comme ça. Moi vivante, personne ne fera de mal à notre Toto.

    – A ça c’est sûr s’exclamèrent les autres matelots.
    – Allons prévenir le capitaine…….

    (a suivre)


  42. Thierry : autorisation accordée pour le retrait du pull-cadeau.
    (P’tit conseil : lavage à la main dans une eau à peine tiède, essorage dans un essuie-mains, séchage à plat. Replacer dans l’armoire jusqu’à l’automne prochain, faire gaffe aux mites).

  43. Belle trouvaille Rachel la coquille vide de la toto sans disque dur !! plus de cerveau
    robot -cassé il va falloir réparer .. ou jeter ce chiffon devenu
    Quant à Jean c’est trop facile de dire que… de dire que ci …que là …il n’y a plus de preuve maintenant voilà bien les garçons !!!!
    Moi je l’aimais bien ce pull Thierry il allait bien avec tes yeux bleus
    Christineee que fais -tu ??? toujours à galoper on ne sait où
    Annick , la douce chante une berceuse ce soir pour consoler le Capitaine

  44. et je vous lis et je me frotille mes yeux, pour bien entendre…
    vous avez retrouvé le disue dur de la toto?!

  45. Ah part chemin… détourné, détroussé, nous voici enchantés… mais ce pull… pas encore tube de l’été… on le trouve si bien sur le dos… avec cette fraicheur des temps de pluie …qui s’éternisent et amenuisent… les strip teese.

    Une grande ombre se meut sur la paroi
    va t elle me chavirer d’un soudain effroi
    va t elle bondir pour l’arracher ce pull
    à moi le pitre coinçant une piètre bulle
    infibulé, inféodé, pris dans cette maille
    on n’est pas prêt de tirer la courte paille
    mais dans ce sillon creusé et qui accuse
    tes traits pour traits on fait mouche
    qui colmate et endigue ma bouche
    je ne sens pas la chose et me récuse
    haletants on est presque à touche touche
    plus rien ne compte qui n’est louche
    mais avec le pull pour passer le col au radeau
    il ne faut pas être manche sinon c’est un rateau

  46. Il n’y a plus de boite aux lettres
    Autour de la maison
    Le brouillard informatique
    a tout mis dans son sac de coton

    Mhhhh ! vous croyez qu’on va conquérir le marché asiatique avec ça !
    Merci arletteart, je sens bien qu’il est temps pour moi de passer la main. J’ai régné sur la poésie contemplative d’une main de fer, mais là j’ai fait mon temps. Laissez moi partir dans la dignité. Je vais me ressourcer à la montagne de mes ancêtres dans un petit pagodon zen. Je continuerai a composer bien sur, en amateur, pour garder la main… Je lirai peut-être mes poèmes à mon chien… mon chien lui seul me comprend quand j’ai du chagrin…
    ou je les garderai dans un petit cahier rose qui ferme à clef…

    arlettart, en mon absence je vous confie l’unité de production.
    J’attends de vous une poésie qui ramone les bronches de la sensibilité…
    Si on veut atteindre les objectifs cette année faudrait p’t’être se remuer le popotin et se vomir les tripes sur les pompes en croco !
    Pasqu’en face on a une tripotée de durs à cuire qui ne vont pas se laisser tondre la laine sur le dos ! Vous pensez qu’on peut faire le coup de feu avec les hordes jaunes à coup de sac de coton ?!!
    Pour contrer ses gaillards là va falloir dépoter de l’alexandrin et de l’acrostiche ! Je veux que ça gicle à flux tendu au niveau du sonnet et de l’allégorie !
    Il me faut une production d’odes à la nature hyper-compétitives, ciselées à mort et d’un niveau d’efficacité émotive de première bourre !
    Je ne veux voir qu’une seule rime à coups de pompes dans le quatrain si nécessaire ! Bon courage.
    Ceci était ma dernière réunion de motivation, je m’envole vendredi, meilleures pensées à tous.
    Bises

    Le hun kamikase
    crash son zéro
    pour un haïku fatal

  47. Une roche et l empreinte de ses mots…le passage du soleil sur la peau…sentiments enlacés…mélancolie déplacée….Le silence sur les yeux mi clos…le voyage d’une pensée ….sur un air détaché…et le fil de l eau….Pierre chaude….l abandon…cernes mauves…désir fond….Une roche et l empreinte de sa peau…le voyage d’une caresse…qui paresse…et ne cesse…de tendresse…Le silence sur les lévres…un soupir…un désir…et s’ouvrir…Des pétales et la couleur des mots…

  48. Y aura-t-il une seconde séance Rachel j’ai manqué la première projection, j’étais en train de me projeter dans l’avenir en transférant mes données dans un endroit plus sûr, et comme chaque fois que l’on déménage, on en profite pour élaguer, relire, redécouvrir, en se martyrisant dans l’abandon de ce qui semble inutile et qui en fin de compte ressortira de la poubelle avant le passage de la benne. A peine jeté que l’on parle déjà de restauration, avec un taux d’affectif capable de déclencher des torrents de larmes. Tenez par exemple j’ai retrouvé une petite citation de François Cheng sur la beauté, je croyais l’avoir laissée dans la toto d’Annick et puis non elle était restée sur le bureau de Nath je l’ai transférée dans mon petit carnet de citations noir sur blanc, bien écrite à l’encre noir sur papier blanc à petits carreaux notifiée en sommaire par nom d’auteur et mot clé « beauté »
    « La vraie beauté est élan même vers la beauté, fontaine à la fois visible et invisible, qui jaillit à chaque instant depuis la profondeur des êtres en présence. Puisque la beauté est rencontre, toujours inattendue, toujours inespérée, seul le regard attentif peut lui conférer étonnement, émerveillement, émotion, jamais identiques » F.Cheng
    __
    Projection inespérée
    Sur la terre d’ocre balayée de soleil
    Où les arbres restituent
    Dans leur langage fragile d’ombres
    La beauté de leur ramure
    Au dessus de ce val de toute splendeur.
    __
    Bonsoir à tous les amis embarqués sur le vaisseau

  49. Chacun fait son cinéma, noel en juillet, roses de papiers froissés
    ocre rouille dans la terre provençale des anges de nuages étoilés
    Giono rêve
    passage des oliviers
    terre sèche et rêche des garrigues
    vent tumultueux
    sentes
    des bergers
    oubliés
    dans l’esprit des rocs
    fontaine heureuse
    aux herbes folles
    Chacun fait son cinéma…paradisio…

  50. Rachel, à ce rythme tu m’auras fait nettoyer tous les champs possibles ))

    Plage de terre muette dans un film qu’on projette
    Raffut le champ est là tout blanc puis noir cassé
    Ouvre caisse disque dur la mémoire effacée
    Jour qui glisse sur un pont l’arbre moteur en panne
    Écrire sur une feuille à l’écran ma bécane
    Corps et cœur qui entament un virage malaisé
    Infirmiers hôpital délire traitement d’images
    On aura vu passer Don Quichotte sans cheval
    Noyé dans la lumière d’une scène du passé

  51. Et puisque Jean s’envole vers son ermitage ancestral …petit message

    « marcher jusqu’au lieu où tarit la source
    et attendre assis
    que se lèvent les nuages  »
    Wang wei (701 -761)

    pour nous revenir , en haïku romantique

    d’autres auront la toto………….et ses aventures savoureuses
    A notre capitaine pas abandonnée et à tous lumineuses pensées de Pâques

  52. Le déluge réeL
    Ici l’on bénI
    Chute à piC
    O seaux d’O
    Rêve de voiR
    Noé le boN
    Et son archE

    Acrostiche et téléstiche ornent
    la météo d’un couple de licornes
    il n’en reste pas moins fatal
    que là seaux d’o fait mal…
    OK, je termine ma valise et je sors…
    merci alertteart.

  53. mes paupières s’entrouvrent……les volets qui claquent…au travers des commissures de bois…le soleil se faufile …riant…le vent se lève…les ombres qui dansent…sur ton âme qui rêve…tu te retournes…ton épaule se dénude…un rayon de lumière …sur ta chair … nue…ocre…la beauté du désert…mes lèvres s’aventurent …je deviens le nomade de ton corps…et dépose sur ton coeur..les empreintes de l’amour…

  54. Il pleut
    C’est mercredi
    Jour du marché
    La toto en son A
    Prête à rouler
    De belle liberté
    Sa part d’ombre
    Et de lumière
    Pour saisir
    Chaque perle de vie
    Et s’en faire une couronne
    Frissonnante de brins d’herbe
    D’odeur de large
    Jolies gouttes de vie
    C’est une sacrée
    La toto
    Avec
    Ou sans disque dur
    Elle est
    Tout simplement
    Elle est
    Sur le chemin du temps
    Avec sa canne et ses moutons

  55. Je me suis vu tout en haut…de l’éperon
    ne comptant que sur mes seules forces
    pour bien faire corp avec la roche
    et épouser totalement ses formes
    progressant lentement comme un lézard
    j’ai senti la chaleur renvoyée par la paroi
    dans la moindre prise j’ai saisi l’occasion
    de me hisser oh pas plus grand que n’importe qui
    juste de pouvoir me dire je l’ai fait et bien fait
    mais le bienfait que m’a procuré cet élan
    m’a porté vers des sommets inattendus
    ce n’était qu’une projection, un rêve
    je l’ai imaginé, quelqu’un d’autre l’a fait
    qu’importe, je me suis laissé entraîner
    il y avait bien une voie que mon oeil avisé
    avait dès le début imaginé, à fleur de peau
    et comme affleurent les sensations
    en même temps que s’effleurent
    les moindre grains
    je ne me retourne pas
    la sortie est en haut

  56. Ode à Catherine….

    L’empreinte de ta peau,
    Blonde,
    Que j’emprunte,
    Me marque ,
    de ton sceau.

    Je t’aime,
    Enfin,
    J’aime,
    etre aimé.
    Je t’aime,
    je goute ,
    Chaque nuit, mon voyage,
    En ta peau dorée, cuivrée, ensoleillée.

    Je t’aime, rien que toi.
    Rien.
    Que toi.
    émoi …..

  57. Leila, quelle marche impossible, mon petit coeur sensible a bien trop peur sur un tel fou chemin, de vertiges, de vides, de vie qui tient à moins que rien…très impressionnante vidéo.

    Ossiane, j’espère que tout va bien de ton côté, avec ton ordi, tes sauvegardes de ton grand travail,
    à chacun, désolée, la toto elle pas tout compris hier, d ailleurs elle comprend si peu la toto avec sa tête de toto, j’espère que chacun va bien.

  58. .

    Petit coucou rapide pour vous donner qelques nouvelles. Merci pour vos mots solidaires et vos belles poésies;-) J’ai beaucoup aimé tous vos mots.

    L’animal se remet en route cahin caha; beaucoup de choses à reparamétrer et à réinstaller et puis la perte d’un projet de travail vidéo important qu’il va falloir que je refasse;-( Voilà de quoi donner de l’inspiration à rachel;-)

    J’ai cru comprendre que jean partait pour toujours, ai-je bien compris ???? Si c’est ça c’est vraiment dommage.

    Bienvenue et merci à elMontevideano, mortenson 😉

    Coucou à Fauki amoureux, chapeau à Alain, marc et tous les autres!

    François, je me souviens de ton périple là-bas;-) Non je n’ai pas ramené de pigments d’ocre;-) Ce sera pour une autre fois…

    Je ne sais pas encore quand je pourrai republier d’autant plus que je en déplacement tout demain. Je voudrais essayer de publier quelque chose pour ce soir mais je ne suis pas sûre d’y arriver…

    Bises à tous et à toutes.

    Ossiane
    .

  59. Hello Christineeee,
    c’est vrai que je navigue doucement, entre lectures et écritures cet après midi, entre les gouttes de pluie c’était ce matin, nostalgique,

    pour la toto, ouioui, elle fut achetée sur les ondes d’un fil téléphonique, entre l’Ouest et le Nord, sans la voir de vraie, juste à la ressentir, juste une bonne affaire à faire, un petit habit qui déplait pas, une couleur grise pour avancer dans les noirs et les blancs…sourire….
    et quand je l’ai serrée toute de vraie, elle et moi, on s’est aimées de suite…sourire…
    et depuis elle me supporte sur ses genoux tous doux..sourire…
    mon mercredi ‘gaie de tendre’, après son bout de midi à savourer ce petit coin ici, si simple, où le temps semble arrêté, c’est lent, c’est accessible d’Humanité, c’est pour moi de mon âme, cette région de La Loire, je me sens déjà tellement étrangère au Nord, quand j’y remonte, avec même l’impression de ne pas avoir habité dans le Nord, c’est si loin déjà, c’est un autre book de vie, posé, dans la bibliothèque de ma vie qui fait ses premiers pas, chaque jour, d’apprendre à vivre, encore, son jour…..sourire…

  60. et comme je vous lis,
    je vois le poster de cars, et cela me soutit mon fils avec ses posters, pleins de vie de beaux fims…
    et la toto sourit, émue, c’est juste elle ainsi…

  61. Un iceberg tout de bel ocre chaud
    Se donne à voir son être
    Mais en regardant plus
    L’oeil ouvert tant et temps
    Une ombre posée là
    Discrète se fait petite
    Et de par ses racines
    Sa taille plus grande encore
    Faut se rappeler toujours
    Que la vue c’est dedans
    Dans la moindre des choses
    Celle qui ne se voit pas
    Ou alors juste comme çà
    Au premier coup d’oeil doux
    La vue c’est une toto
    Qui navigue sa route
    Et au plus elle est lente
    Peut être au plus elle voit
    Sa route dans son volant
    Une toto à conduire
    C’est de la vie dedans

  62. C’est drole Annick,

    Je lis tes lignes , et je me retrouve…
    J’ai habité longtemps le  » nord  » ( val d’oise ).

    J’en suis parti il y a quelques mois.
    ça a été une déchirure,
    Pourtant, moi , fauché , je partai pour la cote d’azur !

    Mais j’avais mal , déraciné que je croyai etre.

    Aujourd’hui , c’est remonter qui me fait mal.
    Pas une question de cote d’azur,
    juste la question d’avoir bougé, et le voyage enrichit.

    C’est sur.
    ……
    je sais pas vraiment pourquoi j’écris ça….

    mais bon , vous trierez.

    Mon salut amical à toute l’équipe.

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    Ossiane, je reviendrai en mai pour faire ce qu’il te plait ! Bisous !

  64. Quel est ce message codé- secret -sibyllin ???????????? jean ….ou ton disque dur fait aussi des siennes ?? Voilà ce que c’estque de faire des émotion à Ossiane !! c’est contagieux ces petites bêtes là

  65. avant de partir ton avril, peux tu donner la traduction de ta parution de Jean | le Lundi 06 avril 2009 à 13h21 |
    ma tite tête sait pas cette langue…sourire..MERCI

  66. 2ème séance pour le matelot Monique qui avait loupé la projection du 7 avril à 19 h 07.

    Nous disions donc :

    Que tous les membres de l’équipage avaient reçu une invitation pour la projection en avant première du film « Ouvrons l’œil et même les deux » du célèbre réalisateur André CANNEBLANCHE.

    Cette fois-ci Christineeeeee refusa de laisser son fougueux destrier à l’entrée du cinéma étant donné les évènements qui s’étaient déroulée la veille. Elle préféra être prudente.

    Arleteart et Hélène se faufilèrent, un peu moins discrètement qu’hier, dans la salle car les deux jeune matelotes prenaient de l’assurance. Elles rejoignirent les garçons installés au dernier rang (car eux n’avaient pas bougé).

    Les deux Bourrache maintenaient fermement la Toto qui ne voulait pas revivre la mésaventure d’hier. La Lou et Leila tentèrent de lui expliquer qu’il fallait la refaire à cause de cette « coquine » de Monique qui avait loupé la première séance.

    – c’est bien pour Monique que je le fais car la Toto elle en a marre qu’on la vide en dedans. Après elle se sent toute bizarre.

    – Asseyons-nous ici ordonnèrent les deux Bourrache

    – Vérifions tout d’abord que les sièges soient propres. J’ai amené une petite serpillère de poche pour nettoyer tout ça ! intervint Leila

    – Mais c’est mon dialogue constata Lou

    – Oui j’en conviens mais cela risque d’être monotone pour le lecteur ! objecta Leila

    – J’ai chaud soupirait Thierry

    – On sait répondèrent en chœur les garçons. Les deux Bourrache t’ont dit que tu pouvais l’enlever et elles t’ont même donné des conseils pour le lavage.(là la main et dans de l’eau tiède).

    La voix de Charlie-Ossiane se fit à nouveau entendre au loin :

    – Attention ! le spectacle va recommencer.

    Aussitôt la salle s’obscurcit et une musique inquiétante retentit. La Toto sentit à nouveau ses poils se hérisser. Oh non ! Pas encore ! Elle avait comme qui dirait un deuxième mauvais pressentiment.

    Deux heures plus tard le générique de fin défila sur l’écran. Les matelots s’apprétaient à partir lorsque la Lou s’écria :

    – Et la Toto ! cela fait un moment qu’on ne l’a pas entendu !

    Il s l’aperçurent sur son fauteuil.

    Où du moins ce qu’il en restait ! Une coquille vide aux yeux très étonnés. En un mot, une Toto pétrifiée

    – La Toto, réveilles toi ! dit Leila

    – Mais elle ne dort pas Leila ! murmura marc

    – Tu me l’as déjà dit hier marc !

    – mais c’est dans le scenario Leila ! on peut pas changer comme ça sans demander à l’auteur ! ça se fait pas !

    Thierry dit :

    – Inutile d’insister les amis. Regardez ! Quelqu’un lui a volé son disque dur et maintenant elle est toute vide en dedans ! Oh mais! Elle tient un mot entre ses mains.

    « Si vous voulez retrouver la vraie Toto, rendez-vous dans la note suivante ».

    Au même moment un rire machiavélique retentit dans la salle.

    – Tiens ça ça n’y était pas ça hier ! constata Leila

    – et tac ! objecta t’elle à marc. Tu vois bien qu’on peut changer un peu !

    – Ah ça se réenflamma Lou. Ça ne vas pas se passer comme ça. Moi vivante, personne ne fera de mal à notre Toto.

    – A ça c’est sûr s’exclamèrent les autres matelots.

    – Allons prévenir le capitaine…….
    (a suivre)

  67. Dis donc Monique tâche de pas louper la deuxième séance car à ce rythme là je vais l’achever notre Toto si je la prive de son disque dur tous les jours (sourire et bises à tous).

  68. Les ocres ont une couleur singulière qui fait qu’on ne la définit souvent que par ajout d’un complément : rouge, brun, ocre d’ici ou de là-bas. Couleur ocrée ? Qu’est-ce ? Le peintre en fait mille sur sa palette, aux tons chauds ou parfois froids quand des gris s’en mêlent. Toujours avec le plaisir de la découverte d’une nouvelle nuance je te salue amicalement au passage, JP

  69. Je me roulotte de rire Rachel c’est tout mignon,on va nous virer de ton cinéma tant on fait du bruit!

    Annick quand on te remettra ton disque dur tu pourras lire la traduction suivante du texte de Jean -Mais à vérifier auprès de lui-j’apprends l’espagnol depuis quelques années mais j’en suis toujours à reprendre des trucs régulièrement en suspends du coup je connais par coeur la leçon 1))

    Te rappelles-tu de mon amour
    Ce petit bouquet que j’ai éloigné
    Dans l’herbe où était la rosée
    Dans quelque endroit du ciel on chantait
    Dévêtus, on marchait dans la forêt
    Il faisait bon, il faisait frais
    Dans l’herbe où était la rosée
    Dans quelque endroit du ciel on chantait
    Depuis le temps, celui qui est passé,
    Restera doux souvenir
    Quand de cette nourriture
    Mon cœur s’est brisé
    Ici en ce bas monde
    Comme ceci doit s’achever
    Florita fanée
    Florita aimée
    Il « Ce bouquet » pour toujours me dit ce qu’est l’Amour..

  70. A chaque fois que je fais un détour par ton blog, j’y trouve calme et sérénité. Et aujourd’hui plus encore, à cause de cette couleur.
    Amicalement

  71. Tu souviens ma nénere adorée
    Les jolies fleurs que la donné à moin
    Dans ne ze herbes ne avait la rosée
    Dans ne ciel ze oiseaux y chantaient
    Ti fleur fanée, ti fleur aimée,
    Dis à moin toujours
    Ka ke ce est que le amour
    Nu marchait dans le forêt
    Y faisait bon, y faisait frais
    Dans ne ze herbes ne avait la rosée
    Dans ne ciel bleu ze oiseaux y chantaient
    Depuis le temps le a passé
    Y reste plus que un doux souvenir
    Quand mi pense, mon cœur le est brisé
    Tout ici bas comme ça y doit finir

  72. Vous êtes encore là Jean, j’espère que je n’ai pas trop écorché votre texte cher ami.)

  73. Pour que l’ocre naisse… il faut du temps,
    beaucoup de temps…de cuisson
    et que l’oxygène… sature cette terre
    dont l’ossature ne demande …qu’à s’épanouir
    tandis que l’on pourrait …s »évanouir
    dans une telle clarté, éclatée, réverbérée

  74. Leila, c’est un texte en créole, sans doute de la Réunion, dont je ne connais pas l’auteur. Je m’étais amusé a le transcrire en espagnol et vous le traduisez en français, la boucle est bouclée…
    Un abrazo

  75. Merci Bourrache c’est tendre et délicieux.Fleur fanée
    Fleur créole
    Demain c’est jour d’école
    Va falloir que j’m’y colle )
    Plutôt que d’m’endormir
    Bein vais encore écrire…

    Fournaise
    Piton des neiges
    Dans l’océan Indien
    J’ai dispersé mes rêves
    Les alizés ont pris
    Le murmure des cascades
    Et la plage habitée
    Par un sourire d’enfant
    Garde à coeur le soleil
    Pour un regard secret.

  76. Essoufflée, j’arrive juste Rachel et les autres, assez tôt pour ne rien manquer après une journée riche en rencontre et en découverte dans la garrigue , projection dans le passé, lecture à pierres ouvertes sur les vestiges romains, dans l’odeur du thym en fleur, genévrier cade et buis, transformation du milieu mais non des odeurs et du sol. Projection dans l’avenir avec la découverte d’un laser scanner entrain de capter des images en trois dimensions …. il y a des jours comme ça …. si beaux, si pleins de surprises et de partages étonnants. C’est beau la communication entre les êtres qu’elle se fasse de vive voix, par l’écrit, par l’image, douce projection du savoir vers les autres captée avec tant de bonheur.

  77. Oui c’est vrai Annick et quel plaisir de pouvoir le dire, c’est si positif parfois, qu’il est bon de partager, c’est aussi ça la vie, ces journées là il faut les enregistrer et les sauvegarder profondément en son coeur. Bonne soirée à toi aussi. je t’embrasse.

  78. .
    Merci à tous pour avoir continué d’ouvrir l’oeil pendant mon absence;-)
    Bon voyage, jean, à bientôt !

    Merci pour ta visite Jean-Pierre, amitiés en rerour

     Bienvenue ici, Cathy, la porte t’est grande ouverte;-) Bon week-end !
    .

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