Labyrinthe

Labyrinthe

Chemins de sable, un océan de lumière enfoui dans son coeur

Lecture du Haïku Calligramme: de haut en bas

Chemins des sables
un océan de lumière
enfoui dans son coeur

Le Colorado provençal de Rustrel…

42 réflexions sur « Labyrinthe »

  1. Perdue dans les méandres
    Esseulée, cherchant ma route
    Impasse, inaccessible chemin
    Vers ton cœur
    Vers ton cœur….

  2. Le labyrinthe

    La vie sur cette terre est comme un labyrinthe
    Les hommes errent solitaires en cherchant une main
    Ils se suivent sans se voir et se heurtent en chemin
    Ils se guident à des mots qui conduisent à demain
    Et confient leurs lumières à de pieux parchemins

    Alain

  3. Le poème court de Alain Hannecart est une petite merveille, je le relis, et le conserve parmi les beaux poèmes de ce blog, merci Alain pour cette écriture belle et limpide.

  4. sable ou argile craquelé,
    si dur que c’est pierre,
    et une main décharnée
    qui glisse et se répand,
    caresse et envahit,
    comme résille de plomb
    se solidifiant

  5. Elle aimait offrir son coeur
    Et ses veines en pépites
    De belles étoiles dorées
    Alors quand un jour de sa chûte
    Une petite perle
    Toute bleue jaillit
    Cela fit peur à un bon nombre
    Car pour de tant
    Leur coeur est une pierre
    Et depuis ce jour de vie
    Sa main touche l’air du temps
    Douce tendre
    Et la vapeur qui la suit
    Laisse un gaz bel de bleu
    Qu’elle sautille nébulise

    c ‘est toujours difficile de s exprimer ou se taire,
    car chaque texte de chacun se vibre, et c’est bon à lire,
    mais je dois bien avouer, pour être en belle vérité de moi, que mon coeur a vibré très fort à vivre votre texte, Alain Hannecart,
    c’est splendide de musique vibrante…J’AIME!merci!

  6. Si tu creuses un peu plus la colline de mes ombres
    Des multiples galeries obstruées par la pierre
    Tu croiserais la perle enfermée en mon sein
    Tu croiserais la nuit sans nulle obscurité
    Tu croiserais mon coeur qui n’appartient qu’à toi.

    Tu croiseras sans doute les pieds sur des gravas
    La pensée qui emprunte à l’errance le chemin
    La pensée qui remonte le cours de mon passé
    La pensée qui questionne qui se heurte au grand vide
    Mais celle qui sourira à la première rencontre
    Sera celle dont le fil est tenu et fragile
    Mais ô combien est claire la voie où elle serpente.

    Le labyrinthe fait peur à celui qui ne sait
    Mais qui sait trouvera sur ma peau, mes cambrures
    Les poèmes répandus sur une plage de sable
    L’océan de lumière, la fraîcheur des embruns
    Mon corps qui tangue de joie et qui embrasse la vague.

    Il fallait le combattre ce minotaure au centre
    Afin de mieux renaître le long du fil d’Ariane
    Non ne me quitte pas j’entends encore ta voix
    Et tu forces l’épreuve, ta parole est silence
    J’ai mis sur mon regard tissu de cécité
    Pour ne voir les impasses qu’effleurées au toucher
    Les chemins s’entrecroisent je reste plantée là
    Au milieu de nulle part à écouter ta voix
    Se répandre en mon âme en circonvolutions.

    Que je crains du dédale, ne croiser que tes pas
    Martelant les chemins dessus ou dessous moi
    Comme deux vies parallèles où tu chercherais moi
    Où je chercherais toi sans croiser ton regard.

  7. dans la pierre ocre et bleue
    les cercles en lacets laissent des marques
    temps gravés
    à l’apogée des fuyants
    comme un passages perdus dans la terre des lointains
    frontière aux limites des courbes du chemin
    route à la cime des cols
    labyrinthe certain fugueur dans les ravins du destin
    marche absolue
    soleil des glaces
    idéal
    idéal
    pour y découvrir un Minotaure
    Dédale complice de Poséidon
    gravir la pente dans la boue froide
    labyrinthe d’un mandala absolu…

    OSSIANE : «  »le voyage marque » » et lisse ses empreintes encore toutes chaudes…

    http://www.clio.fr/BIBLIOTHEQUE/inde__le_labyrinthe_du_temps.asp

  8. Salut la compagnie !

    Je cite Rachel dans son billet d’hier :

    « Si vous voulez retrouver la vraie Toto, rendez-vous dans la note suivante ».

    Et bien,
    On ne risque pas
    De la retrouver de sitôt,
    La Toto,
    Perdue dans son labyrinthe,
    À tourner et retourner
    A droite, à gauche,
    Tout droit ?
    Mais non,
    J’y suis déjà passée !
    A moins peut-être,
    Que ce nouveau carrefour
    Soit la clé…
    Pour retrouver enfin
    Le chemin
    De la liberté ?

    Existe-t-il un volontaire
    Pour aller retrouver la Toto ?
    Et la sauver de son terrible destin :
    Rouler, et sans fin, tourner
    Dans ce labyrinthe ocré
    De sable solidifié !

    Mais Rachel a sûrement une solution…

    Biseeeeeeeeeeeeeees de Christineeeeeeeee

  9. En écho à Alain Hannecart et son beau poème:

    J’suis perdue dans le labyrinthe de la vie
    Je n’ai trouvé une main dans ma solitude
    Je ne vois personne, personne ne me voit
    Même en heurtant , toujours, les uns les autres.
    Ah! Si j’écoutais des mots pour me conduire
    Confierai –je mes lumières à parchemins?

  10. je repense à ce texte que j’avais écrit:

    révérence

    Mesdames et messieurs applaudissez !
    Le rideau va bientôt se baisser
    Je vais tirer ma révérence.
    C’est si court une existence !

    Un labyrinthe de la vie à la mort
    ne pleurez pas je vous l’implore
    La vie est une divine comédie
    Qui en son temps se finit !

    Des pleurs ! Des rires ! Et le silence !
    L’ombre du rideau s’étend et s’avance.
    Les costumes ; un masque d’apparence
    Qui nous donne une certaine confiance.

    Les textes; ils viennent de mon éducation,
    Ensuite tout n’est qu’improvisation.
    La musique ; parfois une belle symphonie,
    Souvent une impressionnante cacophonie ;

    Les décors ; on ne peut rêver mieux,
    Que ce monde féerique et prestigieux
    La lumière ; l’aube une enfant capricieuse,
    La nuit ; une vieille dame ensorceleuse

    Mesdames et messieurs, elle m’appelle
    Partez maintenant c’est sans appel !
    J’ai presque fini les dialogues !
    Mes soliloques ! Mon monologue !

    Gardez de moi un doux souvenir,
    Sortez en souriant vers l’avenir.

  11. je me creuse les méninges Christineeeeeeeee car la note ne me facilite pas la tâche. Toutefois, on ne peut pas laisser la Toto comme ça ! Donc nous y arriverons dûs je y laisser mon neurone (sourire)

    Elles m’ont bien plu tes voitures Christineeeeeee. J’imagine un peu la Toto en « Martin ». (je crois que c’est comme cela qu’elle s’appelait la petite voiture qui aidait Cars)

    A plus tard les amis.

    PS : c’est vrai que le texte d’Alain était puissant

  12. > me voilà renvoyée instantanément à mes cours de géographie, lors de cette leçon passionnante où je découvrais, encore enfant, les « courbes de niveau »…

  13. Qui ne s’est jamais perdu dans le chemin de la vie ?

    Beaucoup sans doute, car les voies sont nombreuses, et l’on se trompe parfois de chemins.

    Certains affirment que chaque expérience est positive. Je me montrerai plus nuancée.

    Certaines erreurs sont sources d’enrichissement et d’autres viennent accumuler le tiroir des mauvais souvenirs.

    Avec le temps, ces derniers s’apaisent et le souvenir de nos échecs ou nos erreurs s’amenuisent.

    Il faut beaucoup de temps pour devenir soi, pour s’accepter telle que l’on est avec ses défauts, ses qualités, ses richesses , et ses petits arrangements avec soi.

    Il faut le chemin d’une vie.

  14. Cet ocre se muant en un bleu électrique
    Sortir de l’obscurité du labyrinthe
    Un espoir fou
    car il est en nous
    nous sommes le labyrinthe
    sinon comment l’aurions-nous pensé?

  15. Errer sur le chemin des mots
    Arpenter parmi les images qu’ils suscitent
    Se perdre dans un labyrinthe de pensées
    Pour se retrouver dans le monde du silence
    Heureux d’avoir trouvé la bonne direction
    Celle qui mène de la parole à la béatitude
    Comme celle d’un crépuscule sur un Océan de Lumière
    Là où les mots n’ont plus la force d’expression suffisante
    Pour donner corps aux pensées
    Là où le mot écrivain prend tout son sens
    Où ce qu’il veut exprimer est tout entier silence
    Où les Ecrits sont Vains
    Face à la puissance des pensées devenues inexprimables.

  16. Entrer dans un labyrinthe de pages écrites sans apparent ordonnancement, certaines des impasses où l’on ne s’attarde pas, d’autres des chemins ouvrant vers d’autres chemins qui eux-mêmes ouvrent sur d’autres paysages et ainsi de suite, si bien qu’on perd le fil de la pensée de départ.
    Encore des pages, puis des liens morts puis des humains puis des tarés, puis des malheureux puis des connectés et des déconnectés, tout un chacun y met du sien, ses joies, ses peines, ses cris, son art, son opinion, son sérieux, sa légèreté.Il y a ceux qui tuent, ceux qui violent, ceux qui volent cachés derrière un paravent.
    Il y a ceux qu’on aime, croisés au hasard des écritures du bout des doigts, des bouts de coeur à leur offrir.Il y a des tas de pseudonymes, comme des hommes aveugles, préférant le noir pour plus de sécurité, pour éviter les mauvaises rencontres, les ruses qui rapprochent un bourreau de l’enfant, le violent qui apostrophe le doux.
    Internet, labyrinthe complexe, fourre-tout d’une jeune femme dans le vent, cartable d’universitaire, chambre d’adolescent, prospectus, bibliothèque du savoir et de l’infâmie, jardin paisible où écrire assis sur un nuage, découvrir le chaos dans le chaos dans le chaos dans le chaos et parfois des coins reculés, secrets où on s’attarde pour flâner, sourire échanger, converser amicalement .
    Voilà.C’est mon intime sentiment sur l’ordre et le désordre de ce labyrinthe qu’est internet.Des Humains en marche dans un cerveau planétaire qui filtre leurs pensées.Chacun y contribue.Mais quoiqu’on écrive plus belle est LA VRAIE VIE à fouler le sol, à respirer l’air d’une forêt qui s’éveille, en regardant des enfants grimper sur les troncs couchés, sourire à une grand-mère sur le pas de sa porte et déposer dans ses bras le pain posé par le boulanger ambulant sur le bord de sa fenêtre et la voir sourire. Voilà c’est la vraie vie que j’aime.

  17. Oui, leila, un sourire de vrai, c’est la vraie vie que j’aime aussi…..
    Je vous ai lu avec attention, impossible de laisser un mot hier soir, car en vrai de vrai de voix, avec une connaissance, mère d’une autiste profonde, et un long appel téléphonique de sa part….
    et puis sur cette image, de circonvolutions, mes mots ne viennent pas, l’élan d’écriture n’est pas, l’image est suffisante…

    Impact de l’image
    En force se suffit
    Tant est dit tellement
    Sur le courant de la vie

    belle journée, les hirondelles sont arrivées dans le petit coin, avec la pluie, mais elles sont là, et c’est chouette de vie!

  18. Le chant de l’éveil

    D’ici là
    D’un instant l’autre
    L’inattendu adviendra
    Quand les dieux habiteront l’intervalle
    Du dire à l’entre-dire
    Du don à l’abandon
    Tout le respiré du printemps
    Qu’un trait de sang retrace
    La brûlure éclatant en bourgeons
    Ivresse et soif demeurant intacts
    Dans l’initial rythme retrouvé
    Source sera nuage et nuage averse
    D’ici là
    D’un instant l’autre
    Nous nous rejoindrons
    Chacun en avant de soi
    S’étend de ce qu’il ouvre
    S’accroît de ce qu’il donne
    Toute fêlure offrande
    Toute en-tente
    ex-tase
    François Cheng

  19. Sur le chemin de notre vie
    Suivre les méandres
    Et se laisser guider
    Pour arriver ensemble
    Au point de rencontre
    Où les mots se tairont
    Où nos regards se croiseront
    Où nos mains se frôleront
    Pour atteindre peut-être
    Le point culminant d’un amour
    A travers le dédale des sentiments
    Naissance d’un nouveau printemps
    Dans le labyrinthe du temps

  20. Les lettres dansent
    oh pas en transe
    mais sur ce fond
    insaisis- sable
    il n’y a pas de remontrance
    on ne tourne pas en rond
    mais pour avancer
    il ne faut pas passer en second
    et dans cette inversion
    il n’y a pas d’aversion

  21. L’habit éreinte et dans cette mise à nue
    avant l’étreinte face à la roche grenue
    loin de l’atteinte qu’est mon espoir devenu
    courbes isobathes qui la mélancolie combattent
    jamais vous ne m’entraînerez à de telles profondeurs
    car c’est en surface que me flattent vos miroitements
    peu m’importe le temps que prendra le parcours
    et dans cette recherche sinon sans but
    du moins sans attente déterminée
    tout est suspendu à cette lente avancée
    plutôt que de me sentir quelque part imbu
    j’avale sans rechigner les pas mouillés
    suis je prêt de toucher enfin au but
    que voilà repoussées les limites

  22. Sinuosités en demi teinte
    ne pas perdre le cours
    pour gagner le long
    savoir rebondir
    sur ses parois
    extensibles
    et sentir
    la fibre sensible
    si se déploie
    gagner en distance
    dans un ordre étroit
    et enrouler le chemin
    de soi en spirale du coeur
    concentrer tant d’ardeur
    à parcourir de toute part
    ce qui revient au centre
    pour exprimer l’émoi
    dans cette moiteur
    le moi s’étonne
    et fredonne
    une chanson
    comme un fil
    qui vous raméne
    à ce sentiments mitigé
    sans changer de niveau
    aborder l’espace courbe
    fléchir le temps inflexible
    réfléchir la voix inaudible
    arborer une nouvelle bible
    dualité espace/ temps

  23. Imprévisible mais jamais visible
    tout se dérobe et rien n’accroche
    tout m’échappe en anicroche
    je suis à un tournant
    vers où guider mes pas
    rien n’est rectiligne
    mais ça ondoie
    on doit se dire
    dès l’entrée
    jamais
    je n’en sortirai
    shining
    quel reflet
    ça te plait
    émouvant
    non
    oui, enfin
    ça ne se laisse pas deviner
    il va falloir rembobiner
    il y aurait bien les cailloux

    bonne après midi à tous
    désolé pour le tour oulipien des choses
    on ne maitrise jamais tout
    c’est dans le lacher prise
    que se révêlent le mieux les émotions

    merci encore à ossiane
    elle nous élève
    sans jamais
    nous faire toucher le fond

  24. Affleurements, ségrégations, contours
    où sont les haches
    qui peuplent le palais
    sont ce leurs tranches
    qui ont donné ces traits
    qui donc étanche
    dans ces circonvolutions
    entre grés et argile
    de bon ou mauvais grè
    les aspects fragiles
    certes l’espoir nous anime
    et pourtant l’effroi nous mine
    oh tort d’avoir à tant attendre
    sans pouvoir pourtant prétendre
    à la lumière surgir à tout coup
    il en faudra de la patience
    pour percer à jour
    à coup de hache
    à coup de hanche
    le secret de la création

  25. J’ai trouvé cette musique splendide mais je ne connais pas ce film, il parait-selon les commentaires déposés par les auditeurs-qu’il est génial.
    Quant à moi suis plutôt branchée dessins animés avec mes piou-piou….un autre monde)
    Monique,Sophie, Nath,Thierry et la toto bel de bel c’est touchant ce que vous écrivez.
    http://www.youtube.com/watch?v=8t9tzCUZuWQ

  26. Leila,

    Je suis assise devant le petit bois
    Et la musique du labyrinthe
    Me fleure l’oreille en mon brin d’herbe
    Je ferme les yeux et je les ouvre
    Le lilas mauve me sourit
    Un oiseau son cri
    Dans la vitre de la fenêtre
    Le reflet de la lampe douce allumée
    Les arbres verdissent et me comprennent
    Confidents tant de mon voyage
    Dans le grand labyrinthe du temps

    profite avec tes piou piou, leila, c’est un monde superbe que le leur…et il passe une seule fois leur temps de pioupiou..
    signé la toto bel de bel..sourire ému

  27. Remonter le temps
    Pour comprendre le parcours emprunté
    Et repartir à zéro
    Serait tourner le dos à l’avenir
    Et ne rien reconnaître du chemin
    La route qui conduit en un lieu
    N’est pas la même qui vous ramène
    A son point de départ
    Ce n’est pas un fac-similé
    Encore moins une route déjà parcourue
    Tout au plus un méandre
    Qui vous conduit au centre de vous-même
    D’où l’on repartirait
    Sans reconnaître le chemin
    Labyrinthe des mystères de la vie
    Dont le déroulement est si complexe
    Qu’il laisse chaque homme face à son incertitude
    Labyrinthe prolongeant l’espérance
    Laissant au temps le temps de faire son œuvre
    A l’esprit de cheminer avec intelligence et prudence
    Au cours du long voyage de la Vie
    Parfois difficile, voir très difficile même
    Au sortir d’un chaos vers la connaissance
    Sur « les chemins de sable  » mouvants
    Les va et vient des marées océanes
    Le dédale des mystères du coeur.

  28. Le labyrinthe du silence
    Je cherchais quelqu’un
    J’empruntai le premier escalier en haut , près de la dernière marche il y avait un panneau « mutisme » j’entendais un cri.Sur le palier un autre escalier grimpait encore, il y avait sept marches . Sur la dernière, tracé en bleu était écrit le mot « mystère », je vis l’invisible dans le visible et dès lors je ne parlais plus qu’en parabole.Un troisième escalier semblait s’élever dans le vide. Tout là-haut, je crus entendre une petite voix.Mes pas foulaient le silence de la pierre, mes pas étaient la musique avant le silence.Le silence se portait en fardeau, le silence avait la parole tenace.J’aimai ce silence.Il écrivait mieux que moi.
    Je cherchai quelqu’un.Encore un escalier, puis un autre, puis un autre.Où était-il?

    http://www.youtube.com/watch?v=QqiE2lU3O4g

  29. .

    Beaucoup de retard dans mes interventions, tout rentre dans l’ordre petit à petit…

    Le labyrinthe a donné lieu une fois de plus à de belles déambulations poétiques. Un thème riche en approches différentes.

    Je me joins au coeur de louanges pour les poèmes d’Alain
    https://blog.ossiane.photo/2005/03/31/2005_03_narcisse_1/#comments
    https://blog.ossiane.photo/2005/05/02/2005_05_tulipe/#comments

    Message bien reçu, aspe!

    Coucou à Emma

    Bienvenue à vaggelis vlahos

    Et puis bien sûr un grand bravo à tous les poètes fidèles de ce blog!

    Nouveau commentaire:
    https://blog.ossiane.photo/2009/04/03/ocre/#comments

    .

  30. Quelle amabilité nocturne, quelle franchise désarmante, il n’y a pas à dire c’est catégorique, mais encore, c’est brutal, pas argumenté, c’est excessif et donc comme disait talleyrand-périgord , c’est insignifiant, j’ai dit !

  31. en inversant les lettres on obtient : c’est riche. Il est évident que c’est ce que cette personne a voulu dire.
    Merci mon petit. Cela nous va droit au coeur

  32. L’océan lui aussi
    Ecrit et ne cesse d’écrire.

    A chaque marée
    Il écrit sur le sable.

    Il écrit tous les jours,
    Toujours la même chose.

    C’est sans doute
    Ce qu’il doit se dire,

    La même chose, et pourtant
    Qui s’en fatigue ?

    Ne le jalouse pas :
    C’est l’océan.
    GUILLEVIC

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