Lecture du Haïku Calligramme: de gauche à droite
Foule multicolore
file d’attente inattendue
ça se bouscule
L'Oeil Ouvert : photo et poésie
Haïkus et calligrammes, rêverie sur le monde… le voyage imaginaire d'Ossiane
Lecture du Haïku Calligramme: de gauche à droite
Foule multicolore
file d’attente inattendue
ça se bouscule
Sans se bousculer
Chacun trouvera sa place
dans l’histoire du monde
une queue leu leu
en attente
d’une ineffable surprise
avec pour tickets de rationnement
en poche
lourdes poches
sous les yeux
une gigantesque partie
de chaises musicales
Excellente cette image !!!!!!! Excellent le calligramme!!!!!!!!!
Salut ! Toi! le Mille- pattes
Aux mille couleurs
Que cette journée t’apporte mille bonnes choses
AA
au grand marché de la solitude
les marchands de rêves
empilent les carambouillages
j’aime déjà votre imagination
belle journée
Pendant longtemps, la reproduction de la chaise sauvage est restée un mystère, c’est grâce au travail d’Ossiane qu’on a découvert (en inox), récemment, qu’elles se rassemblaient vers le mois de novembre au pied d’un mur en une gigantesque partouze.
Si l’on est en droit de s’offusquer de la crudité de ces images, toutes ses chaises impudiques qui copulent comme des bêtes ont un petit coté salace, le fait est que le voile du mystère est enfin levé, même si c’est pour montrer des cochonneries.
le mur murmurant
peintes aux couleurs d’automne
les chaises contrites
Au suivant dirait Leila !
___ ____ ___
Demeter malheureuse oublia le printemps
On demanda alors au jardinier des lieux
De faire fleurir le mur pour le plaisir des yeux
Mais il manquait de graines, de boutures et de temps
Il résolut de peindre les chaises familières
Puis les prit quatre à quatre attendri dans ses bras
Comme il prendrait conquis quelque belle senora
Et les planta devant le vieux mur de pierres
Trépidantes magnifiques alignées régulières
Elles dévoraient joyeuses les rayons de lumière
Et attendaient du ciel le visage des saisons
Vivement que survienne pensent-elles en aparté
l’étincelant théâtre où sera invité
le spectacle promis qu’elles soient enfin cueillies
Devant et derrière le mur
Elles sont venues en masse
Pour s’asseoir et regarder
Mais ne voyant rien en vues
Elles se sont entassées endormies
Et c’est à ce moment
Que les rideaux du ciel
S’ouvrirent d’un bel silence
Sur le spectacle du monde
A tout de raz du sol
Dans l’invisible bise
En partage si grand
Celui qui se voit seulement
Pour l’être de l’oeil ouvert
A se vivre tellement
Dans la moindre des choses
Image insolite, qui rend bizare devant, j’y comprends pas grand chose, des chaises empilées à cet endroit, cela semble étrange…bonne journée pour chacun.
Première idée qui m’a traversé l’esprit … ces chaises sont en attente du clap « Silence, on tourne ! » … de cette fabuleuse scène de « La grande vadrouille » où, en fin de repas, ils les font sautiller autour de la table.
Vu 100 fois mais toujours avec autant de plaisir.
Au delà du damier, l’échec du vide.
meublons.
pendant mes courses, des mots me sont venus de tant sur cette image, m’est impossible de les récupérer dans mon disque mou en cerveau.. SOURIRE..allez je me pose un instant et me laisse aller à eux…
Il faut parfois Ô temps
Tout le temps essentiel
Pour se franchir un cap
Un passage de vie
Alors on se pose une chaise
Puis une autre encore une
On les empile droites
Pour voir au dessus du mur
Tout cela dans le lent
La matière du temps
Qui compile participe
A l’oeuvre de monsieur temps
C’est émouvant le temps
De chaises assises quittées
Qui restent abandonnées
En attendant le saut
Le bel envol de vie
Un bel jour Ô le temps
Quand c’est le temps Ô temps
D’aimer tout simplement
Forme chaise mais pas sujet bateau
les énantioméres n’ont qu’à bien se tenir
la logique conformationnelle n’est pas désuéte !
Mais qui a mis ces chaises là, hein, bonbonze? et chacun!
qui de qui
a tenu la chaise
l’a posée là
et laissée là
qui la reprendra donc
un jour
mon rêve choisi
le délicieux
alors
quatre mains
prendront deux belles chaises
pour se tenir la main assis
et puis ivres de tendresses
ils rouleront sur le gazon
pour se vivre au plus près du sol
en s’envolant tout l’horizon
ah ben ça alors, qu’est ce qu elle me fait écrire cette image, hein, bourrache?! bises de soleil.
Annick : attendons donc le printemps prochain … gazon bien trop humide pour le moment et horizon bouché !
Thierry : une tite traduction ? j’ai pas mon dico sous la main, là…
_
Allez, clin d’oeil et sourire de sous ma grisaille détrempée.
J’arrête là, tout de suite (sinon vais me faire virer).
_
Quelle belle idée toutes ces chaises ! en plus elles ont pris les couleurs de l’automne !
Ding-ding-dong
bleues, rouges, vertes, jaunes, roses, orangées,
entrelacées, éparpillées, assises les unes sur les autres
en queue leu leu multicolores à l’ombre des murets de lierre
poétique et fragiles sous nos doux derrières elles attendent impatientes
nos caresses de velours…chaises des amours…
Arrivées en avance, le spectacle peut commencer les chaises sont en livrées…
A la queue leu leu
La caravane passe
Gorgée de lumière
Et comment ne pas penser à la chaise de Jacques Higelin
Poil dans la main payé à rien foutre
Regarder la poutre dans l’oeil du voisin
Poil dans la main payé à rien foutre
Regarder la poutre dans l’oeil du voisin
Qu’il est donc doux de rester sans rien faire
Tandis que tout s’agite autour de soi
Touche à tout sauf à la moustiquaire
Touche à tout juste bon à m’amadouer
Un jour j’ai vu une chaise
Toute seule sur le trottoir
Une putain de belle chaise toute noire en fer
Avec des lanières de plastique tendues
Une vraie chaise de bar à putes
Une chaise à l’état brut
Qui avait dû en voir et en recevoir des culs
Des gros lourdingues à fessier mou
Des petits malingres reserrés du trou
Ou des jolis voluptueux qui vous attirent le bout des yeux
Pour mieux leur passer les menottes
Qu’il est donc doux de rester sans rien faire
Tandis que tout s’agite autour de soi
Poil dans la main payé à rien foutre
Regarder la poutre dans l’oeil du voisin
Mais va savoir a ce moment-là
J’avais perdu le goût de m’asseoir
Et d’amarrer ma solitude
Mon cafard et mes habitudes
A celles des piliers d’abreuvoir
J’en ai eu marre de les voir s’écrouler sur eux-mêmes
En se raccrochant à des histoires qui tiennent pas de bout
Ces pte titres histoires qui vous entraînent
Au fil des heures des jours des soirs des semaines
De soirs pisseux en matins blêmes
Direct au trou
Qu’il est donc doux de rester sans rien faire
Tandis que tout s’agite autour de soi
Touche à tout sauf à la moustiquaire
Touche à tout juste bon à m’amadouer
être dos au mur
assis entre deux chaises
en file indienne
Echelle de Jacob ………..
Empilées les unes sur les autres (pudiquement Hello Bonbonze!!)
Une haute colonne pour grimper au ciel bleu soleil
Rêve fou d’une attente ??????
Bousculade assurée àvoir cette caravane verticale ,Maria
Le spectacle d’Aspe va commencer
Ossiane c’est Toi qui a de l’imagination
c’est trop beau ce tortillon de pattes (j’y reviens) mais pas de pâtes
Quoi que………………….
Hi! hi ! AA
Bourrache
un vieux reste de chimie organique
avec ces pratiques décriées et attentatoires à la vertu
mais pas une grossiéreté car je m’assois dessus.
Bref il s’agit du cyclohexane dans toute sa splendeur
et de ces deux formes chaises et bateau
avec une transition activée par l’agitation thermique
oui je sais ça fûme !!!
Pour le reste je te l’accorde c’est du langage d’initié
un train de chaises
mais pas un train d’enfer
de l’inox pas nickel
et des lattes en bois
comme celà semble placide
et presque bon enfant
presque cahin caha
en tout cas sans fracas
pas de tracas non plus
personne ne restera debout
mais quand elles s’entrechoquent
c’est rudement musical
enfin on les cale comme on peut
à la vue c’est un régal
Il flotte comme un parfum
De chaises
Qui sur leur quatre pieds
Ont bon dos
Qui a dit qu’une chaise pour s’asseoir
Elles
Elles vagabondent leur chemin
A raz du mur
Mine de rien
Mais vues quand même
allez Bourrache, si l’herbe mouillée, prends un duvet et une tite bougie pour éclairer l’horizon…SOURIRE!
En file indienne, parties pour la baignade…en bikinis, verts, jaunes et rouges….des pressées à saute mouton se retrouvent sur les genoux des premières.. et de sauter à sauter en sauteries sourires… se trouvent lourdes d’avancer…et puis la première elle se court…lourde des autres chaises sur elle…et puis en voyant le bord tout de près…se pile net…elle se souvient qu’elle a oublié d’apprendre à nager…les autres derrière se ratatinent en purée de chaises bien trop pressées…cela ne sert à rien de courir bien trop vite…de penser porter bien trop lourd…quand on est juste quatre pieds un dos…c’est bon de se trouver des limites d’être même en étant une chaise qui rouille pas dans l’eau…SOURIRE.
http://fr.youtube.com/watch?v=5pWOyWCZzY0&feature=related
Marc, l’air de ta chanson va me coller . Du coup je vais chantonner le cul de Lucette à longueur de journée ! Vous nous faites faire de ces choses amis du blog ! 😉
C’est un raz…de chaises, au ras des pattes raides et du mur
en moellons calibrés, c’est un message groupal qu’a livré en ces lieux
cette suite animée, c’est une cohorte qui avance ensemble , qui se suit
et sans se marcher dessus, à califourchon nous fait un joli bouchon,
à tout touche mais pas sans atouts, à la pierre de touche sans prendre
de grand angulaire, des siéges populaires nous donnent l’impression
de se balancer alanguis dans un joyeux mélange, garder sagement ses distances
pour ne pas risquer le grand carambolage car même à ne pas être volage il y a des pièges à éviter, des siéges à épingler, et si jamais ça volait sans soucoupe
on boirait la tasse, car elle sont si serrées qu’une épingle aurait du mal à se faufiler.
Marc sur le même registre cette chanson de Georges Brassens : Venus callipyge
Je n’ai réussi à trouver que les paroles sur le net
Que jamais l’art abstrait, qui sévit maintenant
N’enlève à vos attraits ce volume étonnant
Au temps où les faux culs sont la majorité
Gloire à celui qui dit toute la vérité
Votre dos perd son nom avec si bonne grâce
Qu’on ne peut s’empêcher de lui donner raison
Que ne suis-je, madame , un poète de race
Pour dire à sa louange un immortel blason
En le voyant passer, j’en eus la chair de poule
Enfin, je vins au monde et, depuis, je lui voue
Un culte véritable et, quand je perds aux boules
En embrassant Fanny, je ne pense qu’à vous
Pour obtenir, madame, un galbe de cet ordre
Vous devez torturer les gens de votre entour
Donner aux couturiers bien du fil à retordre
Et vous devez crever votre dame d’atour
C’est le duc de Bordeaux qui s’en va, tête basse
Car il ressemble au mien comme deux gouttes d’eau
S’il ressemblait au vôtre, on dirait, quand il passe
» C’est un joli garçon que le duc de Bordeaux ! »
Ne faites aucun cas des jaloux qui professent
Que vous avez placé votre orgueil un peu bas
Que vous présumez trop, en somme de vos fesses
Et surtout, par faveur, ne vous asseyez pas
Laissez-les raconter qu’en sortant de calèche
La brise a fait voler votre robe et qu’on vit
Ecrite dans un cœur transpercé d’une flèche
Cette expression triviale : » A Julot pour la vie »
Laissez-les dire encor qu’à la cour d’ Angleterre
Faisant la révérence aux souverains anglois
Vous êtes, patatras ! tombée assise à terre
La loi d’la pesanteur est dur’, mais c’est la loi
Nul ne peut aujourd’hui trépasser sans voir Naples
A l’assaut des chefs-d’œuvre ils veulent tous courir
Mes ambitions à moi sont bien plus raisonnables:
Voir votre académie, madame, et puis mourir
Que jamais l’art abstrait, qui sévit maintenant
N’enlève à vos attraits ce volume étonnant
Au temps où les faux culs sont la majorité
Gloire à celui qui dit toute la vérité
Sourire, Lou.. et Marc..
Jour de vote, les chaises se pressent pour élire le meilleur dos de la Répuchaise.
Répuchaise: République démocratique et populaire, habitants les dos-assis.
Pas loin de la République, au pére Lachaise, je pense aux doors et à Morrison
le film de Stone vient de repasser, Kilmer était saisissant
Jim est mort couché
Les chaises en répuchaise votent un maire fauteuil qui les représentera! Faisons attention qu’elles finissent pas au père la chaise.
Santé Thierry, je ne te vois jamais passer devant moi, un monticule de chaise te cache !
___
Quatre saisons
Un cycle
Une vie
Au pied du mur
L’automne entasse
Les souvenirs
En rang, en sang
En bleus-hématomes
Et vers pervers
Usures, éclatements
Font nid
A la dernière saison
Quelques feuilles
Tremblent encore
Dans un dernier sursaut
Bientôt, flocons et tapis blanc
Couveront des rires
D’enfants
Nous écouterons impuissants
Les échos
Du prochain printemps
___
Mon « chaise » sans S m’a fait pousser un cri au moment de l’envoi SSSSSSSSorry
Bourrache hyper joli, « l’automne entasse les souvenirs », le reste est poignant. couvriront ou couveront dans ta strophe 6?
Pour le damier : Portrait de Noisette
D’un coeur d’or le soleil
se répand sans compter
et tend la main à l’autre
Sorry Noisette, moi non plus, chui pas douée pour les 5 7 5.
Bisou l’équipage. En chaise à porteurs ou chaise de poste, je file.
Merci, Lou.
Je persiste et signe : « couveront » (du verbe « couver »)
(hé, psssstttt … continuez mes Père, Mère, Soeurs et Frères Lachaise … que mon texte ne coupe pas vos élans !
Ne me répudiachaisez pas…)
.
Poèmes de marc, aspe et de thierry sur
https://blog.ossiane.photo/2008/11/05/siecle-des-lumieres/#comments
.
zavez vu comment que c’est qu’elles y ont tout piétiné, y a plus brin d’herbe bien vaillant, c’est pire que du désherbant, mais bien plus écolo.
Un coucou rapide…. pas trop le temps ce soir :
eeeeeeeeeeeeeeeeeeee
Les chaises empilées
Une ligne, une colonne
Gain de place
eeeeeeeeeeeeeeeeeeee
pas tout à fait 5 7 5 , mais bon !
Biseeeeeeeeeees empiléeeeeeeees
.
lusyamcoga, salade, ça vous dit de composer ce petit haïku pour le damier ou pas ?
>salade, comme ton email ne fonctionne pas, je te pose la question en direct à propos de ta participation ou pas? As-tu peur du vide ?
>bernard:
est-ce ce haïku que tu veux placer dans le damier ;-)) Impensable que tu ne sois pas dans le damier !
Oser montrer son haïku
Pris en diagonale
Ah Dame,oui! En passant
>johal:
Très touchée par ton intervention et je pense à toi et Alix affectueusement. Même si vous n’écrivez rien, je réserve une petite case pour toutes les deux, amies inséparables. Vous avez tant donné pour ce blog que je ne me vois pas sans vous à mes côtés.
Ces chaises désordonnées vous rendent bien turbulents ou bien tendres;-) Elles ont une sacrée personnalité sous votre plume;-) Je n’imaginais même pas qu’on parlerait de JIm;-)
>Merci Monique pour ton enthousiasme;-) Un curieux endroit pour placer des chaises, en effet. Les propriétaires doivent aimer recevoir;-)
>joli aspe, pierre, annick, fred, lou, leila, thierry, maria.
>marc, je te sens tout chose aujourd’hui…
>sacré bonbonze!
>C’est gentil ce que tu dis pierre b
>bourrache, pierre b ne m’a pas soudoyée;-)
>arletteart, impossible d’ignorer ces chaises;-)
>lou:
Qu’est-ce que je fais pour Noisette?
Bourrache avait proposé quelque chose hier et toi autre chose aujourd’hui;-)
A vous de me dire;-)
.
Bonne soirée
Ossiane
.
Le concert se termine
Les chaises s’en vont
Poursuivrent La Symphonie
De couleurs
Douce nuit à vous
AA
pousuivre !!!! c’est mieux désolée AA
Elles semblent immobiles
Du bois des couleurs du temps
Et pourtant
A la nuit tombée
Elles s’avancent douces
Sur la pointe de leurs ballerines
Et elle l’entendent l’arbre en book
Doucement il murmure
A leurs âmes si joliment
Leur dur devient fort bel souple
Elles se penchent
En arabesques et révérences
Elles se taisent dansent
Avec la mélodie du temps
Qui se donne
Du bout de ses entrailles vivantes
Le chef d’orchestre en feuilles
Bouge sa baguette avec patience
Et ce joli petit monde apprend
Comme en délivre le messager du temps
Le temps, messager
D’un monde partagé
Feuilles à l’encre passagère
Ancre dans un cœur serré
Qui se donne à larmes blanches
Qui saignent d’eau sur le métal des chaises.
Poufdeouf, même pas une chaise pour s’asseoir en équilibre…alors s’étendre sur le sol en douceurs se caresser les cheveux de la terre, parsemés en cet automne, en cale vit si se préparant pour un hiver avant un printemps tout de neuf, pétillant, mais en attendant poufdeouf, l’automne ce bel charmant la séduit tout autant…
…
les chaises bien rangées
se bousculent pressées
cavalcade endiablée
d’un soir de première
…
Les chaises de la cantine se sont barrées.Ras le bol de supporter des marmots agités entre une purée et un yaourt flageolant!)
Je vous dis aurevoir avant de partir pour quelques jours…que vos plumes vous mènent par le bout du nez, et déjà mon oeil s’émerveille devant le damier d’étoffe douce et précieuse que nous tisse Ossiane, au fil des jours…
C’est un grand lieu ici, bises émues.
Je vous souhaite une nuit douce, noisette.
Nuit de brouillard, bonsoir j’arrive un peu tard!
__
Demain papillon
La chenille multicolore
Eh bien ça exixte!!!
(rien à voir avec une chenille de dix huit mètre…..!!!!)
Elle longe les murs
Elle rampe, elle se dandine
Sur ses mille pattes
Des antennes jaunes
Avec des ailes rouges et bleues
Sur un corps d’acier
A surveiller dans les arbres du parc du château de Mézidon-Canon!!!!
Un p’tit dernier pour le plaisir, le haïku fait normalement référence à la nature ou aux saisons, j’en ai mis un dans les tons
__
Chaises en file indienne
Le marathon de l’automne
Costume de saison
___
Un peu en retard, je cours derrière Très bonne nuit
très bonne nuit, Monique, à bientôt.
Bisou les filles
Bourrache, je m’incline devant « couver » et son effet parhyponoian 😉
Monique j’aime ce joli « demain papillon » en parlant des chaises. Je l’imagine devant un spectacle qui nous envolerait tout en nous gardant assis.
Ossiane, Bourrache suggérait qu’on écrive plusieurs haikus pour Noisette et qu’on la laisse choisir celui qui lui plait. On continue d’espérer qu’elle va nous faire le sien propre. Son tout petit mot tout plein d’elle douceur de son adorable moi comme dirait Annick 😉
Love
mille chaises, quatre mille pattes
quatre à quatre
une procession
monter dans les arbres
regarder le spectacle
une chenille devient papillon
sur un air de rien
une mine de couleur
sourire enfantin
> Dame Ossiane
Je sens que vous hésitez devant ce Haïku!
Peut-être celui-ci saura-t-il mieux vous plaire?
»
Lis mot à mot sans paroles
Du tapis mendiant
Les couleurs chaudes du choeur
«
Ossiane en esoerant une fois de plus ne pas être encore en retard,
Si vraiment vous avez une petite place pour 575voici mon texte.
« @me du désert
J’ ai marché tous les chemins
Nomade je suis.
Voilà,bonne journé pour tous Noisette.
Bonjour Ossiane,
Toutes ces couleurs sont comme des notes de musiques , qui me rapellent un jeu de mon enfance , celui des chaises musicales que l’on jouait en colonie.
Félicitations pour ton oeil toujours aussi graphique !
Bien amicalement
Eric
Bonjour à tous
> Noisette
Un haïku.qui te ressemble bien…
>Bernard…n’aurais-tu pas inversé la règle? avec ton 7 5 7
Pour la note du jour au si beau calligramme, un p’tit haïku
Chaises survoltées
Elles tapent du pied
Le diable au corps
Belle journée ensoleillée
Chaises musicales
Les danseurs invisibles
Nuit de folie
Bises Noisette 🙂
> merci Claudie
Ah oui! Je fais tout à l’envers… Esprit de contrariété sûrement, car entrer dans des cases me va mal!
Je me remettrai à ma copie.
Noisette, ton haïku est une splendeur, il me semble en le lisant entendre ta voix, merci Noisette et bonne journée à tous
Bernard, comme je te comprends, en te lisant je pense à la chanson « des p’tites boîtes » de Graeme Allwright
Petites boîtes
by Graeme Allwright
« Petites belles très étroites
Petites boîtes faites en ticky-tacky
Petites boîtes, petites boîtes
Petites boîtes toutes pareilles
Y a des rouges, des violettes
Et des vertes très coquettes
Elles sont toutes faites en ticky-tacky
Elles sont toutes toutes pareilles
Et ces gens-là dans leurs boîtes
Vont tous à l’université
On les met tous dans des boîtes
Petites boîtes toutes pareilles
Y a des médecins, des dentistes
Des hommes d’affaires et des avocats
Ils sont tous tous faits de ticky-tacky
Ils sont tous tous tous pareils
Et ils boivent sec des martinis
Jouent au golf toute l’après-midi
Puis ils font des jolis enfants
Qui vont tous tous à l’école
Ces enfants partent en vacances
Puis s’en vont à l’université
On les met tous dans des boîtes
Et ils sortent tous pareils
Les garçons font du commerce
Et deviennent pères de famille
Ils bâtissent des nouvelles boîtes
Petites boîtes toutes pareilles
Puis ils règlent toutes leurs affaires
Et s’en vont dans des cimetières
Dans des boîtes faites en ticky-tacky
Qui sont toutes toutes pareilles »
____
Mais là il s’agit d’un damier, un peu comme si l’on mettait tous notre pierre pour bâtir un édifice sous l’initiative d’Ossiane le maître d’oeuvre.
Eté un tient et deux tu lauréat
pas de distribution d’épris
une pagaille ordonnée
Scolopendre à souhait
à de quoi nous épater
pas une frise en aparté…non
Bravo à noisette
je suis si content de te lire
bises à tous
brouillard et bruine
comme une ruine
en ce jour font que je rumine
Avec les mêmes, on recommence…
»
A lire, mot à mot
Tapis mendiant sans paroles
Choeur chaud en couleurs
«
Echo (pas entier) à Monique :
http://fr.youtube.com/watch?v=rvRa_23viJI
(j’ai le CD, je les aime bien…)
Noisette, de son âge bien veillant se donne à croquer délicieux fruit de nos sous-bois enchanteresse…
au printemps cette drôle de saisons
au sortir d’une intime charmille,
s’accouple des surprenantes chenilles
peu après, dans les allées courent les chaisons!!!
des chaises vides
invités imaginaires
jeu de Ionesco
un jeu de chaises
théâtre au pied du mur
scène en plein ciel
chaise dans chaise
aux notes multicolores
un concert assis
http://www.dailymotion.com/relevance/search/la%2Bfolie%2Bl%25C3%25A9o%2Bferr%25C3%25A9/video/xdvuk_leo-ferre-la-folie
http://pagesperso-orange.fr/scl/lafolie.htm
Bon WE à tous
Hello la compagnie
Sous le soleil retrouvé
(ça fait du bien) !
J’ai l’impression que l’équilibre est un peu instable :
Cinq par cinq par cinq
Toutes empilées bien serrées
Les Tours de Pise
HAÏKU HAÏKU HAÏKU !
On n’arrête plus !
Biseeeeeeeeeeees penchéeeeeeeeeeeeees
.
Nouveaux commentaires sur:
https://blog.ossiane.photo/2008/11/05/siecle-des-lumieres/#comments
https://blog.ossiane.photo/2008/10/29/couleur/#comments
.
Funambule malgrés le fou rire qui me secoue ,
Toi avec les chaises du brave Eugéne ,sans vouloir changer de sujet
En sortant de l’ école la sienne ,
J’ avais « mal aux dents » te souviens tu !
La mémoire bien présente j’ attends la suite ,
Je pense qu’ avec cegrand bonhomme tu vas nous trouver une musique?
Funambule je t’ attends avec « ton fils sous les pattes « MouKouYou.
Pendant toute sa vie lors de tous ses concerts, Glenn Gould a joué sur une chaise spécialement réalisée pour lui et dont le grincement caractéristique devint la marque musicale du pianiste…
http://www.planetefacility.com/uploads/pics/glenngould_01.jpg
Pour Noisette… donc… 😉
et ceux qui aiment les funambules
http://www.dailymotion.com/relevance/search/le%2Bfunambule/video/x38au1_incroyable-talent-jean-texier
.
Les chaises vides ne sont pas seules; vous les accompagnez en beauté.
Une funambule qui passait par là s’en donne à ceur joie. Je ne savais pas pour la chaise de Glenn Gould;-)
Merci à tous et à toutes!
Bien l’idée de la chenille multicolore! Ce parc offre plein de surprises.
>Belles vacances Annick, reviens-nous en forme!
>Petit coucou vers toi Sylvie, merci de ton poème échevelé;-) Tu participes au damier ?
>Lou, Noisette a parlé, écrit et bien, c’est super ! Je l’ai reçu ce matin;-)
>coucou, véronique, merci pour ta belle poésie en chenille. J’ai essayé de t’inviter à ce jeu du damier par email mais ton adresse ne semble pas bonne; mon message m’est renvoyé. Aimerais-tu participer ?
>bernard joue à son petit timide alors qu’il sait très bien écrire un haïlku;-) Je ne publierai pas le damier tant que je n’ai pas reçu ton poème, na !
>Merci Noisette de t’être manifestée en poésie; tout le monde est très content ici. Ton haïku est magnifique, je maintiens !!! Tu n’es pas du tout en retard; je dirais même que tu es plutôt en acvance par rapport à certains;-) Bises.
>éric, bonjour;-) Oui toutes ces couleurs désordonnées ont un petit brin de folie insouciant. Ca fait du bien par les temps qui courent. Veux-tu participer au damier ?
>Christine, ça tangue un peu mais ça fait du bien;-)
Je continue de tisser ma toile de damier laborieusement mais sûrement et malgré quelques résistances;-)
Bises
Ossiane
.
Pas de chaises à porteurs, les bras m’en tombent
pas de chaise percées non plus, des piéces rapportées
mais pour le steeple chase il faut faire de telles enjambées
le spectacle est terminé
le siècle des lumière brillent encore dans les yeux des spectateurs
qui s’en vont bras dessus bras dessous;
les voix s’éloignent;
on ne distingue plus que les silouettes
que la lune les entoure d’un halo de clarté;
un couple d’ amoureux restent un moment dans la pénombre
main dans la main, le coeur empanaché,
la clairière peu à peu retrouve son calme!
une à une les chaises sont empilées
en attendant la prochaine représentation;
bonne soirée à chacun
Le banquet s’est terminé tard dans la nuit.Le lendemain, le jardinier avait l’ennuyeuse corvée d’empiler les chaises louées.Le camion passe dans une heure.
http://www.youtube.com/watch?v=0s7okeHS8iY
Je sais pourquoi
Toutes ces chaises
Sont là !
Ce sont les chaises
MUSICALES
Il y en a autant
Que de visiteurs
Chez Ossiane
– 1 !
Qui sera le dernier ?
Cette animation vous était proposée par
Christineeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee !
Quelle folie dans ce blog!
Maintenant,
chacun peut choisir sa chaise,
s’asseoir et attendre les autres
pour bavarder … tranquillement.
Bisous à tous.
Rendez -vous galant
Pour un 5 à7
Avec votre chaise…bleue
Ossiane nous fait vraiment délirer
Abientôt
AA
Pour Osianne…;-)… merci
http://www.youtube.com/watch?v=PmzJRGGUGJo&feature=related
.
Merci pour le cadeau Marie;-)
Welcome Neyde !
Merci à tous pour votre folie douce;-)
Bises
.
en discipline colorée,
longue patience,
polyphonie le long d’un mur,
équilibre précaire des voix
joli haikus Noisette et Funambule !
Claudie, j’aime tes chaises survoltées qui explosent d’energie. Elles pourront en sauter des obstacles !
___ ___ ___
Chaises qui n’en finissent pas de patienter
Mur du silence voie de partage
Isolement et souffle coupé
Les illusions bleues retombent sur les rouges
Reste l’air
fier qu’elles se donnent
celui de la chanson
pour un peu d’oxygène
corrige , corrige pas , corrige, corrige pas… corrige.
JoliS haikus avec s, je m’excuse auprès de vos yeux 😉
attente égale détente
la chaise est là pour ça
une bascule…sans portillon
Ni porte ni portillon
pour certaines causes encore
latente est l’espérance
et touchants les espoirs
qui resteront sans voix
Causerie panier en main plein d’argent.Tickets de rationnement, des couleurs au coeurs, le corps des chaises s’en éblouit.
Chaque jour ça me donne une autre idée, ces chaises.J’avais même pensé au choix de Sophie mais la scène est très dure.
Bonjour !
Ici, comme vous pouvez le constater, les chaises sont empilées à l’endroit !
Mais saviez vous qu’on pouvait aussi les empiler à l’envers ?
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http://www.banque-images-photo.com/configurations/www.banque-images-photo.com/images/produits/article/1212.jpg
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Biseeeeeeees du dimancheeeeeeee
Oui mais trop de vertige la tête à l »envers, les couleurs ont toutes diffusé dans le sol Christeeeeeeeneeeeeeeeee!!
Politique de la chaise vide
Tant de sièges pour voir!
Au pied du mur, un cortège d’absents.
Chapelet, procession, ribambelle de silences;
Pardon, un défilé sans queues ni têtes…
Kyrielle, kyrielle et ils sont
Des dizaines, sûrement des centaines,
Pourvus de mille pattes!
Parfois chenille mue?
Que d’âmes se bousculent tout au fond du jardin,
Encore ombres portées, vouées aux frondaisons.
Et les feuilles fanées, rêvent de papillons.
la chaise est toujours à la même place
je n’ai rien changé depuis ton départ;
parfois, ca me rassure, mais c’est rare
certain jours, plus noire ca me glace;
je sais que tu ne reviendra pas
mais je ne peux me faire à cette idée;
ma peau, depuis, si tu voyais c’est ridée,
mais mon amour pour toi c’est pétrifié!
Des chaises éclectiques qui nous électrisent
des sièges à pourvoir mais sans pourboires
comment s’adosser à une horde enfiévrée
la chaise s’affaisse t elle que la fesse s’achéve
et la fête aussi quand les lampions s’éteignent
au bal des ardents l’escarre nous guette
si l’histoire est sans fondement
le polygone se sustentation ne s’agrandit pas
et dans la fournaise c’est bien pas à pas
que s’avancent en rang d’oignons
avec des ruses de sioux
des reposes postérieur
en infraction mineure
Muybridge au mur
futuristes sièges durs
aux dos murmurent
comme dominos
au haîku il faut compter
la marche des pieds
petits casses têtes
métriques mots alignés
pieds à pieds chiffrés
nus et dominos
sans tête points peints de dos
la langue tirée
chaises sans sièges
couleurs pop en automne
corps encore absents
Tohu-bohu de chaises
comme des enfants
bariolés, tumultueux
assagis
pour un moment à peine
en rangs folâtres et indisciplinés
des jeux , des rires
et la joie multicolore
résonnent encore
dans un murmure de fête
le trop-plein de rêve,de vie
toujours près à s’échapper
au premier détour du regard
Peau ridée
Amour pétrifié
Marc , la chaise vide ………
en ce dimanche déjà morose tu me glaces d’angoisse
Raconte nous des haïkus pétillants
AA
Lorsque j’arrive au pied du mur
Je comprends que le spectacle est terminé
Quelque temps de retard,
Il n’y a plus rien à voir.
J’ai longtemps cherché
L’emplacement de la scène,
Sans réaliser que le Parc
Faisait partie intégrante du décor.
Il m’a fallu tout un train de chaises
Pour me le faire comprendre.
Maintenant, lors de mes promenades,
Je n’ai plus besoin, ni de chaises, ni de bancs
Pour apprécier le spectacle ininterrompu
Dans ce paysage qui nous entoure.
L’arbre y est Seigneur
Dans ses feuilles de velours et de satin
Accueillant le concert des oiseaux
Accompagné du chant du ruisseau
Et le bruit et les cris des enfants
Dans le murmure lointain du vent
Théâtre de verdure en panoramique
Où chacun prend son ticket
Au premier matin de sa vie
arletteart quelques citations pour me faire pardonner
Je me plaignais de ne pas avoir de chaussures, jusqu’au jour où j’ai rencontré une personne qui n’avait pas de pieds.
[ anonyme
Il vaut mieux s’en aller la tête basse que les pieds devant.
[ Un Taxi pour Tobrouk (1960) de Denys de la Patellière ]
Citations de Michel Audiard
Je crois qu’on ne peut rêver que si on a les pieds sur terre. Plus les racines sont profondes, plus les branches sont porteuses
[ ]
Citations de Juliette Binoche
On devrait essayer les hommes comme les chaussures. Si ça va, on les garde. Si ils vous cassent les pieds, on les rend le lendemain matin.
[ ]
Citations de Philippe Bouvard
Un optimiste est un homme qui regarde vos yeux, un pessimiste un homme qui regarde vos pieds.
[ ]
Citations de Gilbert Keith Chesterton
Il était si petit qu’on se demanadait comment ses pieds pouvaient toucher le sol.
[ ]
Citations de Lionel Chrzanowski
Toute terre est la même à six pieds de profondeur.
[ L’Otage (1914) ]
Citations de Paul Claudel
Dans la vie, y a pas d’grands, y a pas d’petits. La bonne longueur pour les jambes, c’est quand les pieds touchent bien par terre.
[ ]
Citations de Michel Colucci, dit Coluche
Pied qui court arrive bientôt.
Les pieds sur terre et le cœur à l’envers!
Pour Marc, qui semble très attiré par les pieds, je pense avoir trouvé quelque chose qui va lui plaire !
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http://2.bp.blogspot.com/_f9tjLO8R7Ic/SRTIrnLZ1XI/AAAAAAAACmg/xt0EYVouFds/s1600-h/00aapielaylacarina01.jpg
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Biseeeeees du soir
les chaises d’un vert lumineux
se métamorphosent en d’automne,
et s’amoncèlent comme un tapis de feuilles
C’est tiré du challenge sur l’enfance organisé par rose and photographie
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http://roseandphotograp.canalblog.com/
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Voilà !
Bravo! Marc pour tes aphorismes je vais en retenir quelques uns sur mon petit carnet pour te lire quand je serai morose
Christine rebondit tj en vraie sportive ..mais ce sont les pieds de Maryline???
Leila comme c’est mignon pieds sur terre coeur à l’envers
Tu es devenue bonsaÏ dis ??? …………….toute rétrécie!!!!!
Bonne soirée Amis et Ossiane ? perdue dans sondamier du camp du drap d’or à la recherche de son Haïku -Graal
AA
sympa ces photos de chaises !!! de toutes les couleurs !! C’est très original !!!
derrière le père
la chaise face au mur vide
ils ont bavardé
suis-je en retard
au spectacle une heure court
j’ai raté les chaises
il en est une de moins alerter
un train de chaises
des chaises allant bon train
train train de chaises
Des chaises en train de traîner…traîneau d’hiver sur chlorophylle.
les chaises trainent
s’enlacent et s’embrassent
après la fête
« Je m’étais attardé ce matin-là à brosser les dents d’un joli animal que, patiemment, j’apprivoise. C’est un caméléon. Cette aimable bête fuma, comme à l’ordinaire, quelques cigarettes, puis je partis.
Dans l’escalier je la rencontrai. « Je mauve », me dit-elle, et tandis que moi-même je cristal à pleine ciel-je à son regard qui fleuve vers moi. Or il serrure et, maîtresse! Tu pitchpin qu’a joli vase je me chaise si les chemins tombeaux.
L’escalier, toujours l’escalier qui bibliothèque et la foule au bas plus abîme que le soleil ne cloche.
Remontons! mais en vain, les souvenirs se sardine! à peine, à peine un bouton tirelire-t-il. Tombez, tombez! En voici le verdict: « La danseuse sera fusillée à l’aube avec ses bijoux immolés au feu de son corps. le sang des bijoux, soldats! »
Eh quoi, déjà je miroir. Maîtresse tu carré noir et si les nuages de tout à l’heure myosotis, ils moulins dans la toujours présente éternité. »
Robert Desnos
Un classique…
http://fr.youtube.com/watch?v=gVICotT96H8
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Hello my friends 🙂
Oui arletteart, tu as raison;-) Pas beaucoup le temps de me manifester sur le blog aujourd’hui, je m’active en coulisses sur le damier qui continue de s’agrandir. On a dépassé la quarantaine de contributions. Il y a de belles surprises que vous découvrirez le moment venu;-) J »aimerais pouvoir le remplir complètement; il en faut 64 😉 Un sacré défi tout de même mais très amusant;-) Beaucoup d’échanges et d’allers et retours pour parvenir à tout faire rentrer dans les cases. Temps de crise, il faut se serrer la ceinture;-) Mes cases ne sont ni élastiques ni montées sur ressort.
Et pendant ce temps, vous avez fait le spectacle en faisant la farandole des mots, des images et de l’humour. Cette note fut très joyeuse et insouciante. Elle semble avoir remporté vos suffrages. Un grand merci à vous de l’avoir appréciée autant.
Notre funambule doit être bien fatiguée ce soir après tous ces riches messages, je veux bien lui offrir deux chaises pour la nuit plus un bon chocolat chaud pour l’aider à s’endormir;-)
Bienvenue à rose and photography et ses mots gentils;-)
Je vous signale que Nath a écrit deux beaux poèmes sur
https://blog.ossiane.photo/2005/03/17/2005_03_envol/#comments
https://blog.ossiane.photo/2008/02/04/regarder/#comments
Ne vous inquiétez pas demain si vous ne me voyez pas, je rentrerai tard. Que les pas chinois vous emportent très loin dans le monde des rêves et de la poésie. Belle inspiration. Bises de nuit, à tout bientôt.
Ossiane
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Chairs in a row
never tensed like a bow
but aligned like cows
give us a stange echo
Thierry, my Dear : a stange or a stRange echo ???
Clin d’oeil, hein !
Bourrache so dear, it is not clear
it is not in a ranch bur the R was omitted
we could add today
fabulous snow
and fly of crow
instant elbow