haMac

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Hamac

La voile se gonfle, balançoire de toile, les yeux bandés

Lecture du Haïku Calligramme: de bas en haut

La voile se gonfle
balançoire de toile
les yeux bandés

« Du vent dans les voiles », une création de Sonia GROS et Sonia KERAVEL.
« Mobiles! Des jardins pour un monde en mouvement »
Festival des jardins de Chaumont-sur-Loire 2007

57 réflexions sur « haMac »

  1. Wow Ossiane, ces hamacs de blancheur sur la verdure sont magnifiques ! Merci de nous faire rêver.
    Baume sur des douleurs internes
    Chemins de lumière dans le jardin
    Des bandes claires
    Tendues vers l’autre bout du monde
    Passage ouvert
    Aux fleurs à l’air et aux mots enfantés
    Les rêves se balancent dans le sourire des voiles
    Candeur des amours innocentes et pures

  2. Dans l’air
    Les voiles
    Main dans la main
    Dansent en ballet
    Sous la musique du vent
    Au sol
    Les sombres
    Capricieuses
    Dessinent
    Demi-cercles
    Sous la lumière du soleil

  3. Terre, air retrouvent la Paix.
    Les bandages entrelacés, lavés de tout sang, balancent la réconciliation.
    Je rêve.

  4. …………………………………………
    les gris emportés
    balayés par ta lumière
    un doux bercement
    …………………………………………
    andrée wizem

  5. Tu pourrais me bander les yeux , m’enchaîner si tu veux
    Tes liens me seront doux car c’est toi que je veux
    Je m’accrocherai à toi comme le souffle à la vie
    Je braverai les lois si l’on nous l’interdit
    Je te suivrai partout dans les ruelles étroites
    Sur les chemins pentus et sur les routes droites
    Je tiendrais fort ta main, je n’aurai peur de rien
    Je goûterai tes lèvres comme un fruit délicieux
    Sentant monter la fièvre d’un désir impétueux
    J’oserai l’impossible, forcerai les remparts
    Dans les moments pénibles, m’accrocherai à la barre
    Et si la route est longue, quand nous nous ferons vieux
    Je m’occuperai de toi, je ferai de mon mieux
    Quand la mort arrivera avec sa grande faux
    Qu’elle nous porte à la rive sans un bruit, sans un mot
    Qu’on grave dans la pierre, à elle et puis à lui
    Qu’on fasse pousser du lierre, et qu’on nous laisse ainsi

  6. deux nymphes se sont croisées
    et ont perdu leurs écharpes
    accrochées par les branches,
    qui se risquera à y grimper
    pour faire des rêves
    sera poursuivi de leur couroux

  7. Lianes de la chair
    *******************************************
    Autour des poignets,
    Enrobant le cou,
    Entourant les chevilles …
    Liens de tendresse,
    Douces attaches,
    Celles de tes baisers.

  8. « Nous » qui voyons les yeux fermés
    « Nous » que les ombres entrelacent
    à mots tissés de soi
    de l’un, de l’autre,
    à filer les écoutes
    des uns, des autres,
    les sillages se nouent
    des souvenirs en « nous »,
    plis des jours et des nuits
    tressés de fleuves pâles.
    Les lumières faseyent
    dans le regard du Maure:
    le rêve en «nous » sommeille
    ________________… à petits pas! Au lit!

  9. comme l’air et le feu
    l’oeil et la lumière
    comme l’étoile et le firmament
    le mot et la plume
    comme le vent et la voile
    la vague et le sable
    comme l’eau et la terre
    le soleil et la lune
    comme deux amants
    si différent l’un de l’autre
    le rêve et la réalité
    se frôlent s’entrelacent!
    souvent ils se séparent
    mais parfois se rejoignent
    pour un instant d’éternité!
    et, quand l’équilibre devient armonie
    nait alors l’inéfable beauté!
    belle journée à chacun

  10. Felix ou helix
    pour la félicité
    il faut l’enturbanner
    hélée au loin mais sans hâte
    halée au près qui n’en rate
    les toiles dansent la gigue
    les voiles sautillent la digue
    Elixir qui nous renvoie à l’horizon
    berceau immaculé
    pour un amour naissant
    invitation à l’arborescent
    et chanter avec Polnareff
    plisse, love me, je suis fou de vous
    et embrasser du regard
    cette brassée de fleurs bleues
    sans que tourne trop la tête

  11. et je vous lis chacun, c’est bel de mots si tendres, si bel Rachel,
    Les voiles se dévoilent
    En se croisant leurs routes
    D’un amour tout de blanc
    Immaculé tellement
    La pause en hamac
    Pour apprécier le temps

  12. et l’étendard de nos amours est dressé
    dans le hamac des paresses
    mon jardin rêvé au plus profond de tes yeux de tendresses…
    …Mais l’histoire ne s’arrête pas là…

  13. mmmmhhh, si tendre, aspe,
    bel matin pour chacun, le hamac se quitte pour se sortir au bourg, délices….bises tendresse.

  14. Des fils entrelacés
    En nous se sont tissés
    Un berceau de tendresse
    Pour les jours de détresse
    Un endroit hors du temps
    Fait d’amour et de vent
    Un repaire très fragile
    Dans les jours difficiles
    Je vais m’y reposer
    Quand je suis fatiguée
    Un moment de répit
    d’inconscience et d’oubli
    J’entends l’onde de l’eau
    Le vent dans les roseaux
    Les oiseaux qui pépient
    Et la vie me sourit

  15. Voies lactées suspendues
    dans les rêves de l’enfance
    L’infini étend sa blancheur
    Dans le jardin d’eden l’innocence
    Les souvenirs s’entrelacent
    Nos jeux nos courses folles sous les draps
    Nous devenions des parachutistes
    Et nos joies remplissaient le ciel

  16. Sur les chemins complexes
    je voudrais trouver le repos
    tant de carrefours et de rencontres
    des points d’ancrage
    mais pas d’abcés de fixation.
    Pas de cordes vibrantes
    mais des linges qui claquent
    des formes arrondies
    mais pas d’arc compassé
    des airs alanguis
    et des corps à reposer
    Bercés par le doux balancement
    soulevé par une houle intérieure
    il n’est pas temps de défouler
    pas plus que celui de refouler
    Lacher prise et mise en conscience
    de tensions qui ne demandent
    qu’à se reclacher
    comme le bateau fait relâche
    faire le plein de provisions
    des nourritures célestes
    dans un milieu agreste
    et contempler le ciel
    la tête dans les étoiles
    avec cette tâche de lait

  17. Y’a du vent dans les voiles
    Nous disait l’amiral
    On largue les amarres
    C’est jour de grand départ
    Déjà l’air iodé
    Emplissait tout mon nez
    Je riais à pleine dent
    Adieu l’enfermement
    Paré pour l’aventure
    Sur les mers futures
    J’irai croiser le fer
    Bravant tempête et mers
    Adieu les bâtiments
    Le ciel grisâtre et blanc
    A moi les océans
    Les mouettes et goëlands
    J’irai chercher trésor
    Dans les mers et les ports
    Et si la chance est là
    J’irai à bout de bras
    Porter à ma chérie
    Un collier si jolie
    Qu’elle parera son cœur
    De ce collier de fleurs

  18. Conjonction entre quiétude et mouvement, temps arrêté et temps qui passe..

    Quiétude
    Les plis de la toile
    Suspendent le vent

  19. Rachel, tes poèmes sont fort beaux, et Thierry et Lou…
    Le hamac ce délicieux
    Du Nord de France
    Entre pommier et guignier
    Se cherche son coin
    Ce jour…
    de cet après midi
    Pour se planter
    Entre deux morceaux de bois
    Peu importe les suspensions
    L’essentiel c’est de vivre son ciel
    En se balançant
    Mais…
    le pommier et le guignier
    C’était un rien charmant
    De pommes à se rouler le sol
    D’oiseaux à se vivre sa branche
    Alors…
    son ciel prendra
    Toute l’importance

  20. Je pars de de vos jolis mots Thierry et Alix
    L’air frémit et ses cordes vibrent
    Les plis de la toile suspendent le vent
    arrêtent le mouvement
    des feuilles et des fleurs
    tissent leur chaleur
    et les toiles blanches
    attendent que s’ épanchent
    les coeurs des artistes

  21. Joli Lou …Et ils seront aimés
    des mots, des sons et des rythmes
    Pliant l’âme d’un poète
    D’une caresse de soie blanche…
    A bientôt

  22. mmmmhhhh, c’est si doux de vous lire, je me laisse aller à vous embrasser tendrement… c’est fort joli tendre de belle page…

  23. Leurs jolis doigts tous blancs
    S’enlacent se frolent s’embrassent
    Murmurent des beautés douces
    Se câlinent si bels
    Tendresses douces caresses
    L’air du vent les parfume
    Maix chut pas déranger
    Les amants éternels
    Sereines sont leur âmes

  24. Liens tissés à travers le temps
    Dans le vent les mots glissent
    Sur voiles et toiles
    Scintillent tes yeux
    Des étoiles filantes

  25. C’est joli, Lou,
    bises tendres pour toi et chacun,
    j’ai beaucoup de plaisir, à être posée devant l’écran, lui m’aime posé devant le petit bois, et de vous lire et d’écrire un peu, depuis une quinzaine, beaucoup d’activités obligées, le calme revient, avec douceur de vivre,
    j’apprécie tellement de vivre avec des arbres et des oiseaux, que j en oublie le lieu si petit, car il est charmant,
    j aime intensemment lire et écrire avec le chuchotement des feuilles qui me murmurent, je n’ai plus qu’à recopier.. sourire et bise tendre…

  26. Helllo bise charmante
    Ah je me laisse aller à vous
    Murmures tendres voluptés
    Assoupie oeil ouvert dans le hamac
    Charmée par l’air du temps

  27. j’ai les jardins en travers de la gorge
    ma nature dresse ses plantes adorées dans le sillon de mon sens de mes sangs
    fils du hamac où es-tu
    dans les allées de Versailles
    chez CLEMENT révolté engagé désobéissant
    la plante est carnivore
    dressée pour tuer
    sève voluptueuse de ma raison
    à la colère des allées
    ça fait mal
    et j’ai mes raisons d’azur parfumé…

  28. COLERE
    Festival des jardins de Chaumont-sur-Loire 2007
    quel
    quel quel QUEL TEL
    le concours est clos
    jardin clos
    tel des illusions
    dans les crayons de la création
    étudiants piègés obsédés
    tel tel éléphants qui passent
    groseilles écrasées au fond du chaudron en cuivre sur les feux des flammes rosées d’amours lisses
    lisses dames
    juges
    dans un jardin
    concours des démonstrations frustrantes des petites mains
    qui a le dos cassé en deux?
    pour le chef-d’oeuvre du jardinier
    hamac qui estomac
    plante plantée à la lune qui pousse ses griffes dans les épines de la vie
    hamac « zones »grises des herbes vertes ombres floues dans les jungles invisibles
    aux doux regards naïfs des passants…
    pigeons plumés pour une décoration en trop trompe l’oeil des vérités pas toujours trop
    trop
    TROP TEL ELEPHANTS
    bonnes a avouer…
    doux enfant rêveur
    manipulés…
    hamac
    trop loin du FANGU…à mon goût…

  29. Je trouve vos mots à tous particulièrement beaux sur cette photo. Merci Annick pour tes gentils commentaires. Cela m’a fait du bien de prendre des vacances, les mots coulent facilement. Lou j’ai particulièrement aimé ton texte sur l’enfance. C’est tellement vrai tout ça. Ossiane je pense que tu es bien occupée en ce moment mais t’inquiètes on comprend et on tient le navire. Les absences des bloggers se font sentir en cette période estivale. Chacun doit recharger ses batteries et c’est bien normal.
    Bonne soirée à tous.

  30. Coucou de la revenanteeeeeee !
    (clin d’oeil à Lou, elle sait pourquoi !)
    Prem’s !
    Je me réserve celui du bas !
    Après la folle nuit d’hier (*)
    Passée à rouler… rouler… rouler…
    Un bon hamac à l’arrivée
    Voilà une chose à ne pas rejeter !
    Biseeeeeeees de Christineeeeeeee
    (*) Bon, je vous raconterai demain pourquoi !

  31. Vous êtes doux
    Vous êtes tendre
    Mon cher Ami
    Alors je me hamacke
    Vos bras aimants
    Et je me laisse bercer
    Tout simplement
    Du justesimplevivre
    Que j’aime partager avec vous
    En Amie plus en corps
    Mon chair Ami
    De vous de moi
    Pour le pur bel de nous

  32. A de Amour
    A de..c’est elle
    Les filets doux
    De blanc vêtu
    Se frissonnent d’aises
    Murmurent en corps
    De soie tellement
    Si jolis vrais
    C’est si fort bon
    Le vrai Amour

  33. C’est tellement beau Rachel, je suis contente tellement que tu te sois ressourcée. C’est bon de lui couper ses ailes sa plume, de l’envoler dans une vacance de tête qui s’émulsionne et retient le tout de bel du bel vécu en beautés tendres, douces vacances.

  34. Décidément, après plusieurs tentatives qui s’avèrent vaines ou insatisfaisantes, je ne peux que constater que rien ne ne sortira de mon crâne de piaf !
    Il ne me reste, après vous avoir lus et relus, qu’à m’installer sur la toile tendue et puis guetter le ciel.
    Cette détente me fera le plus grand bien.
    Avant de laisser mon chapeau de paille retomber sur mes yeux, je vous lance un très amical salut. Le vent de vos poèmes m’entraîne.
    Et c’es très bien.
    Soie lin coton
    Sois l’un qu’ôtons
    Endormissement

  35. C’est de bonheur et d’aise qu’elle se gonfle
    voilage volage et tissage pas sage
    oscillant qu’aussi lent
    bal, en soir étoilé
    convoque en plus de la rosée
    une myriade et des constellations
    dans le mystére parcellé
    je déroule mes rubans
    mes yeux je plisse
    dans le sommeil
    je me hisse

  36. chut, pas de bruit, car les pieds en éventail, dans mon hamac, loin du tulmute estival de la côte d’azur, un peu de repos, chaque jour, je trouve…

  37. Coucou tout le monde, je n’arrive pas à tout faire, alors tout plein de retard en commentaires pas faciles à rattraper, je vais voir ce que je peux faire 😉 Bien à vous !
    >lou :
    Beaucoup de thèmes qui se mêlent dans ton premier poème, que de bonnes choses pour se faire du bien 😉 Et tu continues dans ton hamac en légère funambule que tu es et sur d’anciennes notes que je vais signaler à la fin des commentaires, c’est superbe ! Du baume au cœur de te lire, merci lou 😉
    >Fred :
    Tu nous fais voyager aen beauté u fin fond des tombeaux égyptiens ; ces bandelettes ont bien des choses à nous dire. Merci pour ta belle évocation.
    >bruno :
    Le blanc y est sans doute pour quelque chose 😉 Bises à toi Bruno !
    >bourrache :
    Le blanc toujours qui éclaire le chemin et apaise les esprits. C’est bien vu et bien senti, la bise !
    >neyde :
    Très belle chorégraphie à laquelle je n’avais pas pensé 😉 Manque plus que la musique, merci Neyde !
    >pierre :
    Superbe poème avec ces tresses de mots et de pensées, bien à toi !
    >andrée :
    C’est tout à fait ça ! Que du bon à vivre, merci à toi !
    >sylvie :
    Tant de douces choses écrites, je vais finir par m’endormir sous la brise de tes mots, je t’embrasse 😉
    >salade :
    La belle vie au soleil du sud, n’est-ce pas, visiteur du nord 😉 merci salade !
    >rachel :
    Chapeau bas ! Les vacances t’ont vraiment ressourcée, rachel 😉 Que de beaux, doux et nombreux poèmes tu écris depuis ton retour ! Je te sens vraiment sereine et paisible. Clap clap clap et merci pour ta compréhension à mon égard;-))
    >brigetoun :
    Quelle idée originale ces nymphes ! Toujours accrochées aux branches leurs écharpes 😉 Bises à toi.
    >patricio :
    Ta poésie est très humaine, charnelle et sensuelle. Merci pour ta belle écriture, je t’embrasse.
    >thierry :
    Tu as emprunté de nouveaux chemins de poésie dans tous ces poèmes que j’aime beaucoup 😉 Se laisser porter par la brise, le balancement du hamac est pour quelque chose dans la légèreté de tes mots 😉 Bravo à toi !
    >bernard :
    Tressage, sillage, tissage… ta belle évocation met en lumière ce qui fait notre richesse intérieure. Merci pour ton écriture de toute beauté et subtilité. Bises.
    >marc :
    Tu démarres très fort ta journée poétique en toute simplicité de mots forts! C’est très beau, plein d’amour et léger ! Bravo à toi
    >Annick :
    Tu n’es pas en reste non plus avec ce hamac 😉 100% tendresse et joie de vivre ! Elle est belle la vie 😉 Mais qu’est-ce que le guignier ?
    >fabien :
    Bonsoir fabien et bienvenue sur le blog 😉 Merci pour la visite et ces gentilles impressions. Au plaisir de te revoir ici 😉
    >alix :
    Coucou alix 😉 Tu as tout compris avec ce balancement et le chant du vent 😉 Bien du plaisir à te lire, je t’embrasse.
    >aspe :
    Aïe, on est mal partis si tu n’aimes pas les jardins 😉 C’est vrai, on n’est plus dans le Fangu qui est 100% sauvage mais j’aime aussi beaucoup ce festival que je trouve très poétique et artistique 😉 J’y suis allée deux fois, je n’ai jamais été déçue. Je ne comprends pas Le Monde qui a descendu cette manifestation l’année dernière et cette année tout cela parce que son créateur est décédé il y a deux ans. De vrais et grands artistes donnent du sens à la nature en toute intelligence et subtilité. Même démarche que d’aller visiter un musée. Me crois-tu et y es-tu déjà allé;-)
    >amichel :
    Que de belles images flottantes et longilignes pour décrire ces bandes de toile ! On s’envole avec toi, merci Michel, bise de 23h32 😉
    >Christineeeee :
    Hello dame Christine, you are back;-) Pardonne-moi si je t’ai un peu abandonnée ces dernières heures mais je n’étais pas disponible. Chapeau à toi aussi pour tout ce punch que tu as donné pour ce championnat. Tu fais un bien joli métier. J’imagine que tu es complètement flagada 😉 Bises.
    >phil :
    Coucou phil, raplapla du cerveau toi aussi ;-)) Ca peut arriver, pas d’inquiétude à te faire. Profite bien du hamac avant tout, les idées reviendront toutes seules. Bises du soir.
    >sabine :
    Coucou sabine, bienvenue sur ces terres 😉 Je n’insiste pas et te laisse reprendre le cours de ta sieste ; j’espère que tu es heureuse les pieds en éventail 😉

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    Nouveaux commentaires de lou, feu roméo, rachel, marc, Anna, Annic, thierry, andrée, bernard, aspe que je remercie chaleureusement :
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    https://blog.ossiane.photo/2008/07/21/domination/#comments
    https://blog.ossiane.photo/2008/07/07/tatouage/#comments
    https://blog.ossiane.photo/2007/01/22/jour/#comments
    https://blog.ossiane.photo/2008/07/18/toboggan/#comments
    https://blog.ossiane.photo/2005/02/26/2005_02_premire_neige/#comments
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  39. le guignier a pour fruits, des espèces de reine claudes, je dirais entre reine claude et prune, j’en ai eues pour la première fois, l’an passé, planté il y a 18 ans, c’est souvent le temps qu’un arbre fruitier met pour donner ses plus belles récoltes…

  40. Je sens le vent me balancer lègèrement, me caresser les joues, et mon ame vagabonde par delà mes arcanes, pour trouver des airs profanes, musique nostalgique qui berce mon coeur , que plus rien n’afflige.
    Je trouve celui ci à mon goût. C’est toujours magnifique.
    A bientôt
    Amitiès

  41. alors je te remercie, Ossiane, je me suis plantée pour mon arbre du Nord,
    il n a eu que des fleurs dix sept années,
    et c’est dans sa dix huitième, que sont venus les premiers fruits,
    j avais trouvé que cet arbre ressemblait en fleurs à un guignier vu sur internet,
    je me suis trompée, je reste avec le mystère de mon arbre d’avant…

  42. La balançoire
    Debout sur une balançoire
    Les enfants jouent
    de l’aube jusqu’au soir.
    tendez vous jambes pliez genoux !
    Balancés dans les cieux
    Tout en fermant les yeux
    ivres comme un bateau
    ils vont sentir le vent
    caresser leur visage
    Et libres comme l’oiseau
    Voler dans les nuages
    Dieu que la vie est belle
    quand on est jeune et fou
    Qu’on a le cœur léger
    Et qu’on peut voyager
    Comme la feuille au vent
    Alain

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