Lecture du Haïku Calligramme: haut, centre
Autour d’un verre
au comptoir des Voyageurs
nuages du swing
◊ Un bar d’Orléans …
L'Oeil Ouvert : photo et poésie
Haïkus et calligrammes, rêverie sur le monde… le voyage imaginaire d'Ossiane
Lecture du Haïku Calligramme: haut, centre
Autour d’un verre
au comptoir des Voyageurs
nuages du swing
◊ Un bar d’Orléans …
Tant de couleurs
Qu’attirent le regard
au fond du piano-bar
En ivresse d’amour
Les amoureux
ne voient rien
Rouge et noir toujours
Je sors de mon bain c’est mercredi
je pense à toi et à l’histoire que lui a raconté le disciple de Chen
au comptoir d’un bar dans le quartier de la liberté
à Sao Paulo un oiseau et des hommes
et qui voulaient savoir l’oiseau où le ranger
sur quel tabouret quand ils ne voulaient pas le transpercer
c’était avant que les oiseaux trouvent un chemin pour devenir des hommes
c’est sans importance mais c’est comme ça qu’il avait commencé
en lui commandant un verre
puis un autre
pour lui
sans vouloir savoir en précision ce que Clémentine voulait
pourquoi elle s’était posée là où elle allait dans quel but
et les hommes avaient même comparé les plumes de l’oiseau à de la volaille et choisi certaines d’entre elles pour se distinguer les uns les autres
tu es Ossiane
tu es Dilgo
je suis Pierre
tu es Neyde
et ainsi jusqu’au bout on ne sait pas mais Chen avait dit que le premier oiseau était un poème et il était tombé de l’arbre comme une pierre
___
Clavier sang, touches noires
Ecrivent la passagère histoire
D’aventures imaginaires.
Dans un décor psychédélique,
Il n’y a âme qui vive.
Elles errent sur les quais
Au bord de leur vague.
___
Trop tôt ou trop tard
Rouge artifice de vie
Solitude au bar.
Belles couleurs dans ce bar !
Je ne peux venir que rarement en ce moment. Grand bonjour à Neyde.
Amitiés à tous.
Folie colorée
la Loire souterraine
des touches noires
Paradis latin
sur un air de bastringue
la ville s’endort
Un vieux piano bastringue, triste et oublié dans un grenier,
Se rappelait le temps où ses notes faisaient swinguer,
Les jambes des jeunes gens et trembler le cul des filles,
Ses notes chaudement enlacées, roulaient comme des billes.
« Le coffre du piano, était noir comme les dièses,
Les bémols étaient, eux-mêmes, taillés dans l’ébène,
Les blanches ressemblaient à un franc sourire à grandes dents,
La gamme et ses octaves venaient tout droit d’un éléphant.
Fa, fa, si, la, sol, quand vous tourniez demoiselles,
Vos robent volaient et découvraient vos dentelles,
Les gars endimanchés n’en croyaient pas leurs yeux,
En regardant à la dérobée, il approchaient des cieux. (…) »
l’auteur, euh.. j’ai oublié!
Triolet de croches
Le coeur bat la chamade
Un ticket dans la poche
Pour une promenade
Je vais tenter l’expérience des liens:
http://www.dailymotion.com/relevance/search/michel%2Bberger/video/xid67_michel-berger-message-personnel_music
___
Bonne journée
Dans les sombre caves de saint germain
On y danse Jusqu’au petit matin
Au son des saxophones et trompettes
Paris libéré, en liesse fait la fête
J’entends encore ces orchestres
Lionel Hampton, Sidney Bechet
dans cette cave, sous ces voûtes
On enterrait nos peurs et nos doutes.
Sur des airs outre-atlantique
De ces Jazz-man fantastiques
C’est au caveau de la Huchette
Que j’ai rencontré Louisette
Elle était belle cette midinette
Dans sa robe rouge, ses bas noirs
C’était le temps fou de l’ espoir
Le temps ou l’on comptait fleurette
Une nuit à saint Germain des prés
Sous la lune éclairant notre dame
Je lui ai déclaré ma flamme
tendrement nous nous sommes embrassée
Ensemble nous avons dansé
Sur des airs de swing endiablés
Jusqu’au petit matin épuisés
Mais les yeux brillants, ivres de gaîté
Quand je reviens le cœur solitaire
L’œil triste l’humeur atrabilaire
Je revoie nostalgique Louisette
Mon fantôme du caveau d’ la Huchette
Et je danse toute la nuit avec elle
Le cœur transporté après guerre
Et comme antan sous les voûtes
Sa robe ses bas noirs, m’envoûtent.
au comptoir des voyageurs, par hasard, nous nous sommes retrouvés, et le temps d’une soirée, autour d’un verre, tes paroles j’ai bu…….
Merci pour le partage, Mathilde,
quelle présence, quelle mélodie, quel message…EN FORCE DE VIE!
Le souffle du vent
Pianote les chaises
De sa présence
Et les cymbales
Posées au plafond
Donnent le tempo
En tendre mélodie
De bel amour vivant
Un verre posé
Un regard se noie
Puis le tabouret d’à côté
Se laisse séduire
Le regard se tourne
Le moment se vit
Puis le regard de deux
Se laisse ennivrer
Rien qu’une note de la musique
De toi
Tendres mots dessus la portée
Sur moi
De tes souffles et déjà l’envol
Vers toi
Et si bel si haut si profond
En moi
Dans ce piano bar de nos coeurs
De nous
Qui se rapprochent pour s’aimer
C’est dans un piano bar
Que je t’ai rencontré
Et j’ai piqué un fard
Quand tu m’as demandé
Si tu pouvais t’asseoir
A la place d’à côté
Dans ma tour d’ivoire
J’étais intimidé
Esquissant un sourire
Tu me soufflas « bonsoir »
Je m’attendais à pire
Car je broyais du noir
Te rendis ton salut
Les joues bien rougissantes
Tu parus bien ému
Par ma voix tremblotante
Puis le piano a joué
D’un rythme si endiablé
Que tu m’as entraîné
Dans un vrai déhanché
Quand ça s’est terminé
Le corps si essoufflé
On a recommencé
Dans un rock déchaîné
Nous ne manquions d’allure
Et dans nos élancés
Nous cassions la figure
Mais le cœur si enjoué
Quand au petit matin
Le piano s’arrêta
Toi tu gardas ma main
D’un air un peu bêta
Tu m’entraînas dehors
Danser sur les pavés
Nos mains se tenaient forts
quand tu m’as embrassé
et yé yé yé
Y’a pas foule
Aujourd’hui
Au bar
De l’œil Ouvert !
Où sont les voyageurs ?
Pas encore arrivés…
Ou déjà repartis ?
Alors asseyons nous
Confortablement,
Le choix du siège
N’étant pas un problème,
Je m’installerai donc
Sur celui du milieu…
Un à un, ils vont tous arriver
Nous allons faire connaissance,
Tiens, c’est toi Bourrache !
Mais voilà Annick, qui montre
Le bout de son nez !
On va installer Pierre au piano
Marc, tu pourras nous faire danser
Rachel, Sabine, ,
Neyde, Mathilde…
Elles n’attendent que ça !
Oh là Tavernière Ossiane,
Sert nous donc
La boisson que tu préfères !
Et au son des glaçons
Swingant au fond du verre
Nous trinquerons ensemble
A la santé
De l’œil Ouvert !
Pour moi,
Ce sera sans alcool,
C’est moi qui vous reconduirai
En bonne Chef de soirée !
Tchnin tchnin !
sur trois notes brèves
répétées
dans la chaleur de la nuit,
une passion civilisée
A la descente de la Caravelle nous nous sommes sourit
Depuis si longtemps pas un hmme pas une femme
Puis sommes partis dans les rues des faubourgs
Tous deux étions de ces quartiers ou grouille la misere et la vie
Les odeurs qui nous manquaient a l’ un comme a l’ autre.
Pour prendre un verre un petit bar comme je les aimés
D’ un commun accord nous sommes entrés quel plaisir il faisait bon il faissait frais
Une musique de ces années si lointaines nous étions ravis émerveillés
En sirotant notre bibine il me parla de sa femme et de son fils enfin il allait vivre
On s’ intalla dans de confortables faureuils et nous nous sommes endormis
Une musique plus forte un vacarme il fait nuit
Il regarde sa montre ,moi mon horaire .C’ est moi qui t’ accopagne a st Chrarles
Moi je n’ ai qu’ un train pour Belfort et on prend un verre avant ?
Le train m’ emmene dans la nuit je pense a notre rencontre ,a lui
Mais au fait qui « tait t il et comment il s’ appelait ?
Je souris ce matin je vais enfin prendre une douche ce plaisir depuis si longtemps
oublié
De la musique plein la tête un furieuse envie de danser
Sortant du metro Palais -Royal je grimpe les étages quelle chance
J’ entre une voix oubliée de femme = c’ est déja toi ? Tu part quand ?
Pas un mot je prend la douche et je pense a ce garçon qui rentrais chez lui et je fredonne cette romance du piano-bar.Noisette.
Christineeeeeee
si tu vas nous conduire je reste tranquille.
Je vais danser et boire un petit peu dans ce piano bar.
C’est la folie au Blog.
J’arrive intimidée
Un peu juste avant l’heure
Que j’ai tourné
Des ans
En silence
Mon temps
Et déjà tu m’accueilles
Dans ce Piano Bar
Nos regards se revoient
Jamais quittés
Juste en chemins parallèles
Dans leurs vies
Vers leurs si belles destinées
Aimer la vie
Et ne jamais cesser d’aimer
C’est le plus précieux d’une vie
Christineeee, je quitte un peu mon tabouret, laisse mon petit sac à dos, posés sur le comptoir, je sors un peu, et reviendrai,
c’est Notre Histoire Le Piano Bar
Bel après midi à chacun’e’.
Docteur je viens consulter
Car je suis bien ennuyé
Quand j’entends de la musique
J’ai le corps tout frénétique
J’ai mes deux pieds qui gigotent
Vite donnez moi l’antidote
Ou sortez votre stéthoscope
Sinon je tombe en syncope
Ne mettez pas la musique
Cela deviendrait critique
Au secours j’entends un slow
Attention ça va être chaud !
Je suis pris de convulsions
Attention votre compte est bon
Il ne faut pas vous sauver
Car je vais vous rattraper
Docteur pas la camisole
Car ma femme deviendrait folle
Elle est toute émerveillée
Depuis que je sais swinguer
Lalalalala
Lalalalala
lalalalala
c’est plus gai qu’hier non lalalalala……………………………
… d’Orléans ou de la Nouvelle Orléans ? Dans un sourire…
Blues :
——–
Au Snakes bar
le serveur s’appelle
Méphisto
ses cocktails
ont de rouges couleurs
qui flambent
de désir
dans la nuit
du remords
où je bois
jusqu’à l’ivresse
les alcools de l’oubli
ô ma rose d’alabama
mon coeur est parti avec toi
tout le sel
de tes larmes
a rendu
ma vie
bien amère
alors je noie
ma peine
au fond des verres
que je bois
mais la mer
ne se vide pas
verres à verres
ô ma rose d’alabama
mon coeur est parti avec toi
un solo
de trompette
aigu s’élève
son poignard
déchire mon âme
et je saigne
et je bois
verse verse
Méphisto
tes serpents
dansent dans ma tête
et m’etouffent
que brûle
ton maudit bar !
ô ma rose d’alabama
mon coeur est parti avec toi
Au Piano Bar les corps s’avancent, touches bleues touches blues,
Pas d’époque le Rouge et le Noir mais une note bleue puis les corps reculent
Au Piano Bar
Autour de minuit
pas de vautours
pour mes nuits
un bloody mary
et ça me suffit
du côté du blue’s note
on voie quelques notes
qui s’envolent au comptoir
qui a dit que mes nuits
étaient plus belles
que vos jours
qui a vu mon regard
perdu dans un verre
la sueur sur mon front
le vide dans mes yeux
En général et je ne t’ apprendrais rien dans ces endroits
On est fatigués un peu mal quelques part on se dit ,on ne dit rien
Et dans quand on sort on est seule
Tu n’ es pas bien gai Thierry abientot Amitiée de Noisette
Le rouge et le noir
Tabourets impatients d’un
Cul voluptueux
Kirikino (http://www.kirikino.biz)
Lumières
en trompe l’oeil,
Tabourets
Bien en ligne,
fin prêts
pour la nouvelle revue
Du Crazy Horse !
nos blogueurs masculins ont le blues. Vite Christineeeeee envoie des eeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee. en omelette, à la coque, sur le plat, dur, ou en chocolat comme tu veux mais fais vite. Ils vont nous transmettre leur cafard à nous les filles si gaies aujourd’hui.
OK, rachel
reçu 5 SUR 5
J’y travaille !
D’abord, un peu de musique !
Voici un lien sur le site d’un musicien…
Le mieux est d’écouter la musique tout en lisant les textes !
alors, ouvrez plusieurs fenêtres, et bidouillez !
___
http://www.thierry-bourdin.com/piano.php
___
ça donne un peu d’ambiance !
Une cargaison de eeeeeeeeeee en commande !
C’est noté !
Alors, les mecs,
ça swingggggggg ?
merci Christineeeeeee. Venez les filles on va danser ! Ils finiront bien par nous rejoindre sur la piste. On est déchainéeeeeeeeeee
bon j’arrive………….
mince je m’suis pris dans l’ourlet d’mon pantalon
heu les filles siouplait
regardez ailleurs j’suis en calcon j’ai déchiré mon pantalon…
Mais non je vous assure, je vous rassure
je n’ai pas le vin triste, pas plus que le ti punch
le rouge écarlate m’éclate et quand il récite
ses variations lascives il m’agite les incisives
Le rouge est brûlant de fiévre, samedi soir ou pas
comme l’acier en fusion il active nos pulsions
il est dense et nous conduit en cadence
échauffement du swing
ou vitesse du boogie-woogie
be bop ou six temps
tout celà est bien excitant
seul le rythme endiablé
peut nous entraîner
en dehors de nos idées noires
>>>>>>>>>>Bonsoir à tous,
Puisque la musique est au cœur de vos poèmes déposés, du vrai swing avec un petit hommage à un grand pianiste et saxophoniste que j’aime beaucoup : Oscar Peterson qui vient de nous quitter et Ben Webster
http://www.dailymotion.com/relevance/search/oscar%2Bpeterson/video/x2cs3l_oscar-peterson-ben-webster-nilshenn_music
>Neyde :
Oui rouge er noir toujours, les couleurs de la nuit. Merci pour ton beau poème, Neyde 😉 Une rose rouge pour toi 😉
>Dilgo :
Et tu continues tes évocations sans te lasser 😉
>Bourrache :
Un clavier… très rouge, très noir, superbe beau poème Bourrache avec tes mots souvent au bord d’un précipice. Ca me fait penser aux ambiances des tableaux de Hopper. Je t’embrasse.
http://www.artknowledgenews.com/files2007/EdwardHopperNighthawks.jpg
>Annie-Claude :
Endroit un peu désolé en fin de journée, c’est vrai. Merci pour ton beau ressenti. Bises rouges vers ton bleu outremer.
>Pierre :
Oui le piano, musique de jazz que j’aime ; tu dois connaître cet endroit ; il se trouve juste au-dessus des quais sur la petite place.
Merci pour tes beaux poèmes musicaux qui animent cette solitude. Bises du soir.
>l’œil vagabond :
Promenade sur les quais très proches, merci pour ton bel haïku chaloupé 😉 Bises à toi et merci.
>Mathilde :
Grande première Mathilde, ça marche !
>Marc :
La grande époque du jazz à Paris avec tous ces grand musiciens! Superbe poème encore une fois ; tu te projettes à fond dans ces scènes 😉 Tu es très demandé ;-))
>sabine :
Bien ces paroles bues, c’est bien vu 😉
>Annick :
Belle ambiance intimiste dans tes poèmes et bien sûr beaucoup d’amour comme tu sais en donner 😉 Bises club.
>Rachel :
Même chose, rachel, tu t’es projetée complètement dans ce piano bar avec amour et humour;-) Quel talent et quelle ambiance déchaînéeeeeeeeeeee ! On bat la mesure 😉
>brigetoun :
Belle projection musicale avec ces trois tabourets de bar ! Me fait sourire cette passion civilisée, c’est tout toi 😉 Bises du soir !
>Noisette :
C’est bien Noisette de laisser battre ton cœur pour que les mots et sensations s’échappent naturellement de toi. Tu vois, c’est tout simple la poésie 😉 Ton cœur bat vraiment la chamade depuis quelque temps 😉 Bravo à toi !
>Christineeeee :
C’est vrai, il y a moins de monde aujourd’hui mais la nuit ne fait que commencer 😉 Euh Crazy Horse 😉 C’est toi qui le dis ;-)) Tu seras la meneuse de revue 😉 Champagne pour tout le monde !
>Thierry :
Quel déchaînement et déhanchement poétique 😉 J’ai une préférence pour ton dernier poème. Bises.
>Fugitive :
Bien vu Fugitive, je n’y avais pas pensé 😉
>amichel :
Quel beau blues dans ce bar ! Emouvante projection plus douloureuse Michel ! Evocation dont on voit les images défiler comme dans les films. Merci, je t’embrasse !
>Jean-Pierre :
Bonjour, Une jolie façon de jongler avec les notes du clavier et les couleurs de la photo. Ca swingue fort ! Merci à toi.
>Kirikino :
Aie aie aie 😉 De plus en plus audacieux ! Merci Kirikino 😉
Oui, je sais, c’est facile, mais je n’arrive pas à résister. Tant pis j’assume. Mais s’il vous plait, ma faute est bien légère… Ne m’interdisez pas d’antenne.
Bon, c’est parti !
Bar à bâbord, moussaillon
Celui où on n’boit que du bon
Quand on en sort c’est certain,
Mieux vaut avoir le pied marin
Refrain :
Faut quitter les filles
Les bas à résilles
Le noir et le rouge
Voila l’aube qui bouge
Bar à tribord triple buse
Vas-tu sortir de ta cambuse
Dans ce chenal, mets cap au nord
Par là tu rejoindras le bord
Refrain : Faut quitter les filles…
Tonnerre de Brest, timonier,
Tu ne sens pas le vent tourner
La Marie-Jeanne a déhalé
Il va falloir la rattraper
Refrain : Faut quitter les filles…
Encore un lieu à oublier
Encore une femme à quitter
On a beau jeu de dire qu’aux ports
On fait feu de tous nos sabords
Refrain : Faut quitter les filles…
Quand vient le temps d’être sur la mer
Pas de regret, pas de remord
On dit qu’un marin adultère
Aime deux femmes dans chaque port
Refrain : Faut quitter les filles…
A vous revoir la compagnie
Je m’en vas labourer les mers
C’est pas que j’me déplaise ici
Mais vraiment il me faut de l’air
Refrain : Faut quitter les filles…
A propos de mers labourées
Il parait qu’on va m’décorer
J’vous l’donne en mille, vous savez quoué ?
Du mérite agricole, ma foué !
Refrain : Faut quitter les filles…
Je vous l’avais dit plus haut ! C’est facile… Ossiane, coupe si tu veux !
Le piano chantonne
Dans mon cœur résonne
Notre mélodie
Do ré mi fa sol
Ça y’est je décolle
Vers le paradis
Le chat qui ronronne
Mon corps qui frissonne
Et toi qui souris
Le chat qui ronronne
Et mon cœur te donne
A toi pour la vie
Au rythme du jazz
Le coeur en incandescence
Etrange atmosphère
Souvenirs troublants
Mélodies ensorcelantes
Le plaisir extrême
Musique, blues et Jazz
Quand vole au secours de l’âme
La magie des notes.
La douleur houle l’âme
Et fuit ce piano bar
Car tant de nostalgie
Et se marche sa trame
En le créant son art
Qui la panse sa vie
Ce matin rien de particulier
Personne n’ est arriver mais nous sommes le 20 mars et le printemps est là
La grande malade est morte hier soir je me réjouie pour elle
Elle ne souffre plus pourrons nous revoir cette loi scélérate au XXI e siécle évoluer
Quand nous comporterons nous comme des humains
La Paques étant symbole de la P A I X sera t elle un jour enfin
Bonjour a tous Noisette
Bonjour Noisette et à chacun,
je me réjouis avec toi, Noisette, quand la souffrance quitte l’être, et si le seul moyen est la mort, alors qu’on l’offre avec bonté, humanité…ON EST RESTéS des barbares, faut croire…
Et puis, si on a parlé de sa souffrance physique, je n’ai pas entendu qu’on évoquait sa souffrance morale, mentale, psychique, dans un tel drame de vie…LE MONDE EST PITOYABLE…
allez, c’est bon de se retrouver, mais j’avoue, pas trop l’envie de danser swinguer, bien plus de me mettre dans un fauteuil doullet, fermer les yeux, écouter vos beaux textes, et ressentir vos présences…
A tous, une journée aussi PAIX-sible qu’il est possible et … quelques bougies.
Une pensée pour celle qui, enfin, a terminé son voyage de souffrances sur notre drôle de planète. Demain, peut-être, la verrons-nous sourire là-haut une étoile au coin des yeux.
Biz à tous.
Oui , il en a enfin terminé avec ses souffrances!
___
Ecoute eau limpide
dans le creux de ma main
le reflet de mon âme
Ecoute le frisson de la mer
le regret de la terre
Ecoute le satin des étoiles
Et viens me raconter
____
A bientôt
Elle Chantal voulais-je écrire.
Hier au soir….
__
Le piano s’est tu
Sur la place noire de la ville
Froide était la nuit
___
Ce matin….
__
Le printemps absent
Pour un rendez-vous manqué
Hiver en sursis
___
Fraicheur matinale
Joies effacées de l’instant
Espérances décues
___
Chère Ossiane , chers toutes et tous,
A peine entré dans ce rouge piano bar,
Que le pianiste jouait « Georgia on my mind »,
Cette chanson de Monsieur Ray Charles me met des frissons,
Tout en m’accoudant au comptoir, je chantais,
« Garçon, s’il vous plaît, un malibu-ananas !, merci ! »,
Mes yeux se promènent dans la salle,
Un lieu très classe, très intime,
Une main caresse mon cou,
Je ferme les yeux, son parfum m’envahit,
Elle m’embrasse délicatement, ses lèvres douceur,
Ma Belle porte une robe des plus sexys,
Décolleté vertigineux, échancrée,
Mon Amour est resplendissante,
Je l’entraîne au milieu de la piste de danse,
Le piano ronronne « when a man loves a woman » ,
Notre slow se transforme en subtiles caresses,
La soirée ne fait que commencer…
Bisous à Neyde, Annick, Christee, Bourrache, Monique, ec, qui veut danser avec moi ?
Je t’embrasse ma chère Ossiane,
OLIVIER
Ray à écouter ici :
http://www.dailymotion.com/video/x65y5_ray-charles-georgia_music
Percy Sledge et Mickael Bolton :
http://www.dailymotion.com/video/x2a6x6_michael-bolton-when-a-men-loves-a-w_music
Dans mon fauteuil douillet, je te lis Bourrache,
bises de PAIX-sibles pour chacun’e’…au plus du possible…
Monique, je suis passée et repassée, hiser soir, au piano bar, et Le Monde ne permettait pas l’acès dans les blogs du Monde…tristesse hier soir car j avais envie d’écrire, mais joies ce matin de revoir les blogs ouverts…
Vive le printemps
Qu’il vive bel
Au plus léger
Plein de belle vie
De vie au plus près
En vrai de vie
Vive le printemps
évidemment, ton bel texte me plait, mon cher Olivier, et bien plus ta tendresse et ton Humanité, alors je viens danser doucement délicate…bises…
comme quoi, il me suffit d un rien d’une telle douceur si belle, pour me changer d’avis…sourire…bises.
Bar de lignes au ton rouge.
_
Rien qu’Olivier et moi …
« Viens découvrons toi et moi les plaisirs démodés
Ton cœur contre mon cœur malgré les rythmes fous
Je veux sentir mon corps par ton corps épousé
Dansons joue contre joue
Dansons joue contre joue… »
http://fr.youtube.com/watch?v=Pg8hMPtKQ2I
_
Na !
_
c’est le printemps, c’est le printemps, c’est le printemps…..
pour les gourmands, pour les gourmandes,
rendez vous au comptoir des voyageurs,
pour partager une glaçe, ou un sorbet……
Quand je t’ai vu cette après midi
Tu m’avais dis tout est fini,
Mais je ne t’avais pas entendu
Et toute la soirée je t’ai attendu
Tout est bien fini à présent
Je le comprends maintenant
Et j’abandonne tout espoir
Je ne pourrais jamais plus te voir ;
Assis esseulé dans ce piano bar
Mes pensées deviennent noires
Les lumières me semblent ternes
l’impression d’ être dans une caverne
La musique me semble lancinante
Tu étais pour moi si importante
L’ivresse ressemble à une prison
et je déguste l’alcool ce doux poison
pour oublier cette vile faiblesse
de t’avoir trahi pour une maîtresse.
pour un plaisir oh combien volatile,
quelques instants légers et bien futile,
j’ai désormais l’éternité pour espérer
ton pardon inespéré, ma bien aimée.
Trois notes blanches
Trois notes noires
Un rhythm and blues
Au piano bar
Plante l’arme blanche
Trois larmes noires
Pleure le pianiste
En rouge et noir
Facile ? phil alba , peut être !mais ça me plait beaucoup ,bravo!
« hardi les gars vire au guindeau.. »
Rien que Bourrache et moi
« Nous ne nous parlerons pas
Nous oublierons nos voix
Nous nous dirons en silence
L’essentiel et l’importance
Utilisons nos regards
Pour comprendre et savoir
Et le goût de notre peaux
Plus loquace que des mots
Nos bras ne tricheront pas
Nos mains ne mentiront pas
Mais surtout, ne parlons pas »
Hum…
.
22222222222222222222222222222222222222222222222222222222222222222
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Nouveau Commentaire sur:.
Nath est de retour!
https://blog.ossiane.photo/2006/08/13/2006_08_paradis/#comments
.
00000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000
.
Olivier
Je suis venue du parc où je vais marcher et je trouve ton invitation.
Jamais je dis non à mon Prince.
Allons, dansons doucement au son de cette belle musique.
La douleur, la tristesse s’effacent rapidement et la douceur s’installe.
Bises
Beau, Olivier. Merci.
Dis, Neyde, la première danse est pour moi !!!
Blues
Quelques notes musicales
quelques Larmes instrumentales
cette complainte
Loin d’être une plainte.
Fait vibrer la conscience
Fait Jaillir l’inconscience
Des sanglots Venus d’ailleurs
Le tumulte de l’intérieur
Ces pleurs
Ces douleurs
noirs ou blanc
on la même couleur
celle de la détresse
celle de la tristesse
Plus que les mots
A fleur de peau
L’âme Se dévoile
Sans aucun voile
Sans ramdam
Chant déchirant
Dans les champs
Sur le macadam
Loin d’être vérité
N’exprime que la sincérité
La quête de la liberté
Belle variation en rouge !
Au comptoir des voyageurs
Je n’vois pas passer les heures
Je vais m’installer au bar
Et je m’appuie au comptoir
Les volutes de cigarette
Et toutes les vapeurs d’alcool
Vont s’immiscer dans ma tête
Qui peu à peu devient folle
Et je chante le blues
Suis une vraie ventouse
Scotché au comptoir
Crie mon désespoir
Au comptoir des voyageurs
Je vois des visages heureux
Ils me sortent de la torpeur
Qui m’envahit peu à peu
Je voudrais rire avec eux
Ou bien simplement trinquer
Leur faire un signe des yeux
Mais ils se mettent à couler
Et Je chante le blues
On me donne du flouse
Accroché au comptoir
Je n’ai pas fini de boire
Ouiiiiiiii je chante le blues
On me donne du flouse
Scotché au comptoir
Pleure sur mon histoire
–
Au piano bar
Fréquenté par des habitués
Quelque part à l’écart
A deux pas des Champs Elysée
Dans le huitième.
De minuit à cinq heures
On reçoit en plein coeur
Irwing Berlin et Cole Porter
Tout ce qu’on aime
Et qu’un pianiste noir
Calmement joue au piano bar.
Au piano bar
Où mon coeur me traîne parfois
Pour noyer mon cafard
Dans un fond de whisky soda
Et de musique.
Je m’installe en retrait
Là où elle m’aimait
Et tendrement me fredonnait
D’outre Atlantique
Les merveilleux standards
Accompagnés au piano bar.
Au cinéma
Elle aimait à
Voir en V.O.
Les musicaux
Des années trente et quarante.
Puis dans ce bar
On venait tard
Pour qu’ « in the mood »
Tout hollywood
Et nos amours en nos coeurs chantent.
Au piano bar
Accroché à mes souvenirs
Blessé de part en part
Je retourne pour m’étourdir
Par habitude
Et rêver qu’une nuit
Je la retrouve assise
A la place où depuis je vis
Ma solitude
Et recouvrer l’espoir
Entre ses bras au piano bar.
Au piano bar
Témoins de mes amours enfuies
Bourreau de ma mémoire
Agrippé à des mélodies
Dévastatrices
Qui font chanter les heures
Allumant en mon coeur
Des furieuses envies de bonheur
Qui me meurtrissent
Jusqu’à l’aube où je pars
Désenchanté du piano bar.
Où ce vieux complice
De pianiste inspiré
A la voix embrumée
Par l’alcool et par la fumée
Fait que surgissent
Ces précieux moments rares
A jamais liés au piano bar
Précieux moments rares
Liés au piano bar.
–
Charles Aznavour /1997
–
Bonne soirée à tous
Comment ais je pu oublier notre claude, cher claude
« quand le jazz est là, la java s’en va ! »
c’est vrai que depuis la javanaise on a du mal
à danser sur des rythmes indonésiens.
Eh puis il y a du mystére du côté de mister swing
son jab est incroyable, son abattage délirant
jamais dans les cordes, il nous les fait vibrer.
au comptoir on regarde le compteur égrener les heures
on boit jusqu’à plus soif des coktails survoltés
on mange du regard les belles inconnues qui dansent
et dans un sourire enjoleur sur la piste on s’élance
les stridences de la anche, nous aménent à jouer des hanches
les trompettes éclatent en une vocalise éblouissante
le son clair nous traverse, nous fige et érige
l’espace d’un instant le lieu en mausolée
salut charlie je te connais… par coeur
Dans not’ piano’bar
Mon a’mour si grand
Tu me cherches m’a main
Et mon nez vers t’a nuque
Me niche en t’on silence
Et regarde t’out’émue
Les n’ot’de’ton doux coeur
Se poser t’outes nues
Si b’elles veloutées
Sur not’page’rien qu’à nous
Entamant la chanson
Le piano au bar s’accoude
et emplit de ses émois la salle rougissante.
Lou
fort peu de monde….l’espace pour nous…juste quelques notes…d’un beau silence…notre île à nous…du monde rentre….alors on sort…on se cocktaille…main dans la main….le filet d’eau…la lune est belle…besoin de rien…juste on est bien….ma hanche ta main….et nos regards….qui sans se voir…ils se dévorent..mon amour doux….de tout de vrai…à côté de moi..pure vérité…la Loire glougloutte le coeur se danse…et voilà que mes pieds ils ne résistent pas…ils s’arrêtent pour t’embrasser…la lune sourit…la Loire se cligne…je ferme les yeux…quel bel silence…si plein de nous deux…
dans un shaker vous mettez :
1/5 d’Andy Warhol
1/5 de « A Clockwork Orange »
1/5 de Niki de Saint Phalle
1/5 de « 2001 A Space Odyssey »
1/5 de César (le sculpteur, pas l’épileptique assassiné)
secouez bien,
versez,
lentement, lentement,
servez ce cocktail « on the rock »
dans un verre glacé,
à Monsieur Gainsbarre,
seul client de ce piano-bar,
3h du mat dans les étoiles,
3h du mat d’éternité…
Max : deux, trois heures heures plus tard … chagrin d’amour ?
http://fr.youtube.com/watch?v=gqiF–qt1dE
Vodka , Martini et vivre la vie sur fond de piano bar
Bonsoir,
les gens du Piano Bar,
Le coctail de Max
+ Un ptit coup de Jonasz
Si le coeur vous en dit !
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http://www.dailymotion.com/video/x1tstl_michel-jonasz-la-boite-de-jaz…
___
Bourrache,
Ya un blem avec ton lien !
Zut, j’ai loupé mon lien :
http://fr.youtube.com/watch?v=lQ1aSVPuAug
Pour mieux entendre la musique prendre un pisco sour
à ne pas confondre avec les bourbons type sour mash
comme le jack daniel’s
recette: prendre une mesure de pisco (marc de raisin péruvien)
y ajouter du jus de citron vert, du sucre et des blancs battus en neige
mettre au freezer et servir frappé, ça se descend comme rien
mais la remontée est rude!
Recette d’un vieil ami quechua de Cusco
essayée il y a bien longtemps et…ça marche, enfin ça trébuche à la fin.
Celà étend (;)) je préfère un jus de maracuja agrémenté d’épices et de coeur
de chauffe…ça distille vite
on m’a dit qu’il faudrait y aller piano sur les coquetelles, on ne fait pas dans la dentelle, encore des touches à tout !
Orphelin
J’accroche mon blues au pater
Noster, prière de Noctambule,
Et je me paie un vers
de poète en goguette
Au bar de la marine,
Où j’ai le mal de mère.
Les miroirs en conciliabule
Me disent ma mauvaise mine
Me disent qu’il est bien temps,
Une fois passé vingt ans
De ne plus faire l’enfant.
J’accroche mon blues et sans mesure
Je fais des croches sur mon clavier
Je joue des mots comme des notes
C’est comme ça que je me rassure
Sans être certain de bien jouer
Je lance mon spleen à tous mes potes
J’accroche mon blues au pater
Noster prière de noctambule
Mal de père et mal de mère
Me font une vie de funambule
Si tu savais, Ossiane, combien j’aime ton site et tous ceux que je croise sur son fil !
>Phil :
Pas de souci, c’est rare que j’interdise d’antenne 😉 Facile… pas si facile que ça d’écrire une chanson de marin ;-)) On dirait que tu as fait ce métier toute ta vie 😉 Bonne soirée et merci.
>rachel :
Toujours autant de douceur dans tes poèmes qui swinguent. Merci, c’est beau !
>Monique :
Evocations émouvantes en deux temps, le temps du plaisir puis de la déillusion. Musique envoûtante que tes mots évoquent en beauté. Bises du soir.
>Noisette :
Bonne soirée avec la paix retrouvée, Noisette 😉
>Mathilde :
Tu sais bien écrire en sensibilité aussi, Mathilde 😉 Merci beaucoup.
>olivier :
Bonsoir Olivier, Bravo, beaucoup d’amour et de sensualité dans tes mots. Le swing est en toi 😉 Ce piano bar devient très chaud tout d’un coup 😉 Je le taisse avec Bourrache 😉 Bises vers ton sud !
>Annick :
C’est vrai je l’avais oublié le printemps 😉 Explosion d’amour dans tes mots 😉 Il va devenir célèbre ce bar 😉 Je t’embrasse.
>Salade :
Joli jeu de mots qui arrache le sourire 😉 Merci à toi !
>Bourrache :
Je vois que tu es bien occupée 😉
>Sabine :
Printemps un peu frais tout de même 😉 Bises fleuries.
>Marc :
Beau poème d’amour émouvant comme toujours tout comme ce blues lancinant à fleur de peau! Bravo à toi !
>Maria :
Beau Maria ce triolet de notes comparées à des larmes. Merci pour la sensibilité de tes mots. Bises du soir.
>Tietie007 :
Bonsoir et bievenue sur le blog 😉 Merci pour ta visite et ton enthousiasme. Bonne soirée !
>Alix :
Merci pour la chanson, ton choix est judicieux. Bises vers toi.
>Thierry :
Pas mal le Charlie par cœur 😉 Tu sembles avoir une grande habitudes des coktails ; pas facile à trouver tes ingrédients 😉 Bonne soirée et merci.
>Lou :
Bonsoir et bienvenue Lou 😉 Jolie rêverie poétique imagée. Au plaisir de te revoir ici, merci !
>max :
Il me plait ton cocktail artistique 😉 Merci, ton shaker poétique est très bien troussé. Bises vers toi.
>Bruno :
Tchin tchin , Bruno 😉
>Christineeeee :
Ce sera la note la plus musicale du blog 😉
>Phil :
Super si tu te plais ici et contente que mes photos provoquent l’inspiration;-) Ca se sent dans ce que tu écris ; toi qui disais que tu étais très débutant, ce n’est pas tout à fait vrai 😉 Quant aux amis du blog, ils sont très chaleureux 😉 Tu aimes les jeux de mots 😉 Merci pour ce beau blues orphelin, je t’embrasse.
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Nouveau Commentaire sur:
Bernard a fait de la plongée poétique en apnée 😉
https://blog.ossiane.photo/2008/01/30/melodie-2/#comments
https://blog.ossiane.photo/2008/01/16/marcheur/#comments
https://blog.ossiane.photo/2007/08/08/buvard/#comments
https://blog.ossiane.photo/2005/08/01/2005_08_aspiration/#comments
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il y a des bars à ORLEANS, ça alors?
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Nouveau Commentaire sur:
Bernard toujours en plongée;-)
https://blog.ossiane.photo/2005/09/06/2005_09_souffle/#comments
https://blog.ossiane.photo/2005/10/26/2005_10_contemplation/#comments
https://blog.ossiane.photo/2005/10/07/2005_10_rouge/#comments
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Rédigé par: Ossiane | le Jeudi 20 mars 2008 à 20h28| Alerter
perdu
dans la nuit
peau-rouge
des cocktails assassins
Nougaro swing
ta bouche
ta bouche
mélodie
oubliée des cris translucides
vapeurs GIN’S
vapeurs PIM’S
Al Di Meola
et magique nuit
tragique
des bars tangibles
quand danse
ta peau
rouge gorge de mon coeur
pris dans les paresseuses vapeurs
incertaines
de nos corps à corps
ùùùùùùùùùùùùùùùùùùùùùùùùùùùùùùùùùùùùùùùùùùùùùùùùùùùùùùùùù
http://video.google.fr/videoplay?docid=7090390871482877555&q=aldi+meola&total=716&start=0&num=10&so=0&type=search&plindex=1
magique blessure
dans ta main
mon regard
bleu sanglot
trompette swett
dans un bar de BARCELONE
soudaine
frôle
la douceur
« OSSIANE merci
encore merci pour le son de tes photos qui vient du fond du coeur… »
http://video.google.com/videoplay?docid=-8076427844034786494
ta main
sur mon piano
glisse
tes bas
suaves
résonances
dans nos dos
glaces curaçao
nuages
tequila
jambes
frontières
des swings
à la lisière
des lumières
MIRO
peint du jazz
et dans ta nuit
les désirs fauves
poursuivent
une éponge endormie coquelicot de diamant épanouie dans le frisson de la vie
>aspe:
Ca t’étonne tant que cela qu’il y ait des bars à Orléans;-)
Quel superbe poème entre sensualité, peinture musique. Tes tous derniers vers sont magnifiques. Merci beaucoup.
>ASpe:
Merci pour tes deux beaux liens vidéo.
Voilà le lien vers une autre grande musicienne et chanteuse
http://www.dailymotion.com/relevance/search/diana%2BKrall/video/xzji9_diana-krall-cry-me-a-river_music
http://www.dailymotion.com/relevance/search/diana%2BKrall/video/x1zyk6_diana-krall-fly-me-to-the-moon_events
~
Une ombre a effleuré
Le temps qui lasse
En miettes détachées
Des violons pour creuser
Les impasses
Le joug d’une mélodie
Graphique
Combustion réthorique
Un piano accostant
Léger l’horizon grave
La main glissant
Sur les cordes d’une nuit
En imitant les ironies
Comme un cauchemar
Les trappes chaotiques
Une allégorie en retard
Qui ne soit tintamarre
Sans gage un aveu
Si noire est la nuit bleue
De cuir et d’acajou
Les tambours sauvages
En succulence les lattes
D’une morsure
Trempée de soie légendaire
Vélin pourpre
Ourlant de griffes onctueuses
Ton front de symboles
L’humus d’un bouclier
A présent dépouillé
En courbe glacier
L’ombre est passée
Une seule fois
En douleur brutale
Est l’obscurité
~
>Salomé:
Bonjour Salomé, je reste médusée par la beauté de ton évocation et la richesse de ton écriture. Chapeau bas! Merci beaucoup.
Merci Ossiane et à bientôt
Salomé
Ton poème ne peut laisser indifférent, je suis subjuguée par la beauté et l’atmosphère qui se dégagent de ce poème ci-dessus, Bravo.
Avec beaucoup de retard, un petit mix poème et musiques dans l’ensemble jazzy
Au bar des illusions perdues
Claude N. nous avait réunis autour de sa version du « blue rondo à la turk » de Dave B.
http://www.dailymotion.com/video/x4r5xe_nougaro-blue-rondo-a-la-turque_music
Moi qui savais à peine que derrière le thème au piano de « Misty » il y avait Erroll Garner
Toi dont le solo préféré du trompettiste Miles D. était « kind of blue »
…ma couleur préférée
Les années ont passé, bercées au son de tes standards de jazz
Et c’est pourtant un jour d’été,
Loin, si loin de « summer time »
Que je t’ai annoncé que je te quittais
Puis vint le temps de « autumn leaves »
J’ai recommencé à explorer mes anciens paysages sonores
En ai connu d’autres
Mais sans toi
Seule comme le chat de Kipling
Seule?
Non
Il y a toujours eu cette présence lointaine et silencieuse
Celle de celui pour qui
Moi la sédentaire
J’irais volontiers explorer le monde
En murmurant à ses côtés les paroles de Nick C.
« To be by your side »
Et de ses longues années auprès de toi
Toi que j’ai tant aimé
Il ne te reste que l’ombre de mon sourire que tu aimais tant
http://video.google.fr/videoplay?docid=8649064485449565262&q=the+shadow+of+your+smile+sinatra&total=7&start=0&num=10&so=0&type=search&plindex=0
>@nn@ :
Jamais trop tard, Anna;-) J e viens seulement de te libérer de ma cage à spams, désolée. Merci pour cette jolie rêverie musicale sensible en forme de promenade au pays des souvenirs. La musique jalonne souvent de façon marquante nos parcours de vie. Bien à toi.