Arches

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Le pont des mirages, un palais de lumière, silence intérieur

Lecture du Haïku Calligramme: lecture horizontale

Le pont des mirages
un palais de lumière
silence intérieur

A Orléans…

104 réflexions sur « Arches »

  1. Nuit du ver luisant
    Dans les ténèbres de jade
    Cochenilles de lumière

    ***

    Belle nuit Ossiane… une note à la fois profonde et légère… j’aime

  2. ___

    Au coeur d’une bouteille
    Voyage étrange.
    Quelques lueurs
    Pelures d’orange
    Lamelles
    Zestes de citron vert
    Sucettes caramel
    Hirsutes.

    Tâtonner
    La sortie ?

    Se rétrécir
    S’extraire
    Par le goulot.
    Affronter
    La nuit
    Sans fin
    Glauque.
    ___

  3. Halo de lumière
    Dans la nuit noir
    Hésitation…

    l’attrait de l’inconnu
    connaitre pour s’entrevoir…
    se mettre en lumière
    résisister à ces fantasmes
    et s’exposer au risque de se brûler
    mais aussi d’exister…

    la peur de l’inconnu
    s’enfuir pour se fuir
    écouter ses démons
    s’enfoncer dans la nuit
    se cacher et se calfeutrer
    attendre la mort…

  4. des voutes, des routes, déroute
    des arches, des arcs, pas de flêches
    pas outepassés, ni dépassés
    une éclairage diffus, tamisé
    promenade, enfilade
    succession, rythme
    pas d’arche ivre
    pour mémoire
    faiblissante
    faible lueur
    fanal
    sous le voutes
    léger doute
    redouté
    velouté
    frisson
    léger
    courant
    d’air frais
    respiration

    bravo à bernard pour sa série si pleine

    merci ossiane: l’aventure continue

    bonne journée à tous, le vent vient de la galerne comme disait ma grand mère
    dans la mayenne

  5. ___

    Que nous fais-tu là, Bernard, avec ton voyage à l’envers ???

    Emouvant.
    Bouleversant.
    Inquiétant, aussi.

    On a tous encore besoin de tes grains de mots.

    Infiniment.
    ___
    ___

  6. Vertes lueurs
    Les yeux rivés au ciel
    Suivons les pointillés
    Des pois irréels

    Inspirés par le noir
    Le noir de la nuit
    Pétales de lumières
    Alignés côte à côte,
    Fleurs de nuit
    A effeuiller
    Une à une
    Ou grignoter
    Chaque dent
    Comme un petit beurre
    Crotchhhh crotchhhhh crotchhhhh
    Seul imperceptible bruit
    Dans le silence
    De la nuit !

    Biseeeees de Christineeeee

  7. Sous ce grand arc on a posé
    Ton corps a jamais libéré
    De ses peurs et de ses souffrances
    Délivrance

    De ton visage défiguré
    A jamais non identifié
    Tu fus le cerceuil désigné
    Pour la France

    Car vous étiez tous destinés
    A faire de la viande à boucher
    Vous ne pouviez imaginer
    telle souffrance

    Sur la chance il fallait compter
    Pour ce sortir de ce charnier
    L’esprit souvent annihiler
    Circonstance

    Si vos morts avaient pu servir
    De leur folie les hommes guérir
    D’autres horreurs devaient venir
    Edifiantes

  8. Sous ces Arches, te souviens-tu, nous avons ouverts le bal !
    Une valse endiablée ! Nas tu aucun souvenir ma chère Bourrache ? Tu m’étonnes ! A ton regard quand Neyde m’a invité dans sa danse, j’ai senti un soupçon de jalousie… 😉
    Bien sur que non, Mesdames, vous êtes trop bien éduquées pour douter de votre confiance.
    Allez, je vous amène dans mon univers ! Ecoutez !
    http://www.dailymotion.com/video/x23962_jeanjacques-goldman-tournent-les-vi_music

    Au son des violons, sous ces arches, dansons !

    Joyeuses Pâques à toutes et à tous !
    Bisous ma chère Ossiane et à mes cavalières,
    OLIVIER

  9. en echo à rachel

    lettre imaginaire à partir des témoignages
    de lettres de poilus

    Pour que mon enfant sache ce qu’est la guerre
    Soldat inconnu , combattant de l’absurde
    Ma très chère femme , je t’envoie cette lettre
    Car il n’est pas sur qu il me vis un jour en chair

    Je rampe dans les boyaux, comme dans des intestins
    Ou coulent la peur et l’odeur de mort
    Sous une pluie incessante d’obus et de mitraille
    Libérant les entrailles, durant les batailles

    mélangeant Le sang, la terre et formant une bouillie
    Presque identique a celle qui nous nourri.
    Nos larmes ruissellent dans la marre croupie
    Ou nous buvons comme des fauves accroupis

    Là ou poussaient bleuets et primevères
    Je regarde ce désert, cimetière à ciel ouvert
    Ou les obus éclatent et recouvre les corps
    Et éclatent encore et exhument les corps

    Fossoyeur de l’inutile, en habit de ferraille
    Ils Labourent les terres , avant que le sang ne caille.
    Et Quand le silence s’installe, sous les oripeaux
    je n’entend que des râles , et les cris des corbeaux

    Mort au champs d’honneur, au chant de l’horreur
    Héros pour la nation , glorieux soldat inconnu.
    Et quelques erreurs, enterrées dans des profondeurs
    Ecartant les trublions et portant l’héroïsme aux nues.

  10. comdamné à mort!
    comdamné à tord?!
    le pont des soupirs
    la mort , son sourire
    De vie à trépas
    encore étourdi
    de se jugement
    à peine quelques pas
    dérouler sa vie
    le bien le mal
    le vide s’installe
    un dernier rêve
    les gens se lèvent
    vient le bourreau
    se resert l’étau
    le grand cirque
    l’instant critique
    trois derniers mots
    brefs soubresauts
    comdamné à mort
    à qui le tord

  11. ça devient
    de plus en plus
    lugubre…

    Tempête ici bas,
    Vent froid,
    Frimas,
    Noël au balcon,
    Pâques aux tisons !

  12. Traverser ce couloir
    Le vert et Le noir …
    Moi? Jamais, j’ai peur.
    Non, non pas de la couleur
    Mais, Il y a quelqu’un au fond.
    Imagination?
    Tu ne vois rien?
    Mais, oui,
    Il y a quelqu’un devant
    la porte,
    Prés de la fenêtre.
    Une âme ?
    Un être vivant?
    Traverser ce couloir
    Pendant Le noir …
    Moi?
    Jamais, j’ai peur.
    Oui, oui,
    Sont beaux les arches
    Je me souviens de mon école
    On l’appelle Les Arcades
    Ne comptes pas
    sur moi
    Pour aller là-bas
    Pierre m’a racconté sur le Campo Santo.
    Et même dans les Arcades
    Il y a le cercueil d’un vieux professeur…
    Traverser ce couloir
    Le vert et Le noir …
    Jamais, j’ai peur.

  13. christine adamantine

    Lu oui, gubre peut être pas !

    N’attisons donc pas plus ce vent qui affale nos espoirs
    et du balcon ne retenons que la bal et laissons les suffixes
    toulousains au rancard.

    Oui la météo pourrait nous mettre à bas l’espoir
    d’une saison neuve mais dans la dévente
    réside un autre atout.

    Le vent chasse les nuages et ouvre de nouvelles plages
    horaires et pas horreurs, pourtant le ciel ne traîne pas
    en route, lachons l’écoute et détaillons le moutonnement
    qui génére l’étonnement.

  14. «  »Le pont des mirages
    un palais de lumière
    silence intérieur » »

    ◊ A Orléans…,????
    …tombe l’heure verte
    des ombres
    orangées…
    888888888888888888888888888888888888888888888888888888888
    Ossiane, encore une fois tu nous donnes à rêver…C’est comme :
    « dans ta couleur
    les mains tendues
    des blés verts
    chassent
    à jamais l’olive orangée des rires suspendues dans l’agate du silence »

  15. Merci Thierry pour tes paroles optimistes !

    Il est vrai que je suis en manque d’énergie depuis quelque temps, (bronchite, rhume,) et j’ai du mal à recharger mes batteries, à tel point que je n’irai pas monter à cheval ce soir, c’est dire !

    Mais où donc vont les nuages
    poussés par ce vent ?

    Je te laisse déchiffrer les messages des nuages tout à loisir, vu leur nombre, tu vas passer un bon w-end !

    Biseees à tous et toutes
    Christineeee

  16. Tout baigné de vert, je pense aux beignets de tomate verte
    orangées comme les hautes rangées de pilastres qui s’encastrent
    quand aux voutants brisés, ils sont bien portants et pas la risée
    d’un quelconque mandarin qui voudrait tout gober
    mais en lumière polarisée qu’est ce que ça donne ?

  17. Sont arrivés chez moi, vos nuages avec grelons et flocons comme bagages.

    Avec le vent, ça voltige joliment (voyons les choses comme ça…).

    Ma campagne se vêt d’un beau manteau blanc.

    A quelques kilomètres de chez moi, sur l’autoroute, le trafic est bloqué dans les deux sens vient de dire la madame dans mon poste de radio.

    Je connais une poule (ou une cloche ?) qui va avoir froid aux fesses en déposant ses oeufs, dimanche matin.

    Clins d’yeux et sourires (notez le pluriau). On en a bien besoin.

  18. Dans mon petit monde intérieur
    Le courage peut défier la peur
    La dureté et la douceur
    Se côtoient

    Dans mon petit monde intérieur
    Tout est parfois un peu en vrac
    Ça va très vite et patatrac
    Je me noie

    Dans mon petit monde intérieur
    Baigne souvent la tolérance
    Et puis j’avoue la suffisance
    Quelquefois

    Dans mon petit monde intérieur
    Il y a parfois quelques malheurs
    Mais les fondations extérieures
    Les renvoient

    Dans mon petit monde intérieur
    A jamais au fond de mon coeur
    Tu as cette place un peu spécial
    Initiale

  19. Je te suis je suis la.
    A la porte des mirages

    Je t’ai suivi jusque la.
    Enton palais de lumière.

    Jy entend ton silence.
    Intérieur.
    J’y vois ma solitude.
    Intérieure.

    Je te suis je suis la….

  20. Tu es là
    Si de toi
    Dans ce passage solennel
    Je l’aime ce moment
    En infiniment grand
    De tel toi
    Et je te serre
    Intensemment
    De tout mon être

  21. A force voir rouge, il a fini par broyer du noir. Et c’est cela qui l’a conduit sur l’échafaud. Il a donné son sang bien rouge à la veuve toute noire. C’est bien comme ça qu’on l’appelait : la veuve. Ses amants qui perdaient la tête pour elle ne vivaient qu’une seule fois sa terrible étreinte. Vague à lame ou vague à l’âme c’était tout pareil. Et lui, pas plus que les autres, il a résisté. Ha ! oui, il a fait la bravage, il l’a, de loin, regardée bien en face et il lui a dit : « je viendrai pour les noces, ma belle. Tu en as croqué plus d’un mais moi je suis un dur. Tu veux ma tête, c’est ma main que tu auras ! et au panier en plus ! »
    Et puis vint le jour, matin subtile encore, vint l’instant qui devait le voir se coucher sur elle.
    Avant, il avait arpenter le couloir. Sinistre, éclairé par des fluos verdâtres, lumière propre à vous faire tourner les sangs. Il avait compter les tubes, six dans la grande allée, quatre dans l’allée latérale, la dernière avant la porte, la porte de la veuve.
    Il avait humé l’air qui venait des arcades. L’air du large, l’odeur iodée du large. Il avait pensé qu’avec tout ça, il avait oublié de laissé sa boite de pain ouverte et la souris mutine câline coquine qui l’accompagnait depuis, depuis … – avec tout ça, y a quoi perdre la tête – depuis longtemps, n’aurait pas sa ration quotidienne.
    La porte fut franchie, quand il la vit, la veuve, bien bâtie sur ses jambes, avec sa planche en guise de lit, il ne fut plus si sûr. Le rouge le noir, le vert formèrent une bouillie nauséante. La sinistre couleur des noces ne lui convenait plus. Trop tard…Trop tard pour les regrets, trop tard pour recommencer, trop tard.
    Alors pour ne perdre la face, c’est curieux ce qui me vient pensa-t-il, il se la joua courage. Il y alla. Il l’etreignit, la veuve… à lui faire un enfant ! Mais c’est elle qui a gagné. Encore un, un de plus, qui pour elle avait perdu la tête. On peut penser qu’une dernière il vit du rouge avant le noir.

    Mais va savoir !

  22. J’ai attendu le soir
    La nuit sied au silence
    dans sa robe d’émeraude
    Le monde est endormi
    Le sang coule au ralenti
    Et chaque larme qui coule
    Emplit le vase des adieux
    J’erre dans ces lieux
    J’y cherche le repos
    la paix intérieure
    La douce consolation
    Ne cherchez point
    L’objet de mes tourments
    Il est le destin
    Qu’il faut accueillir
    Sur le chemin de la vie

  23. au delà du simple appel des farandoles
    magie perdue
    de l’eau vive
    frêle
    aux vents mouvants
    escapades des terres de brumes
    verte et rose-rouge violine des pensées
    as-tu défini l’horizon?
    ma « douce consolation »
    pirouette absente des absolus…

  24. pour Christineeeeeee

    Préparation : 5 mn
    Cuisson : 3 mn

    Ingrédients (pour 1 personne) :

    – Rhum brun ambré
    – Citron
    – Miel
    – Eau

    Préparation :

    Mettre l’eau à chauffer. Pendant ce temps, presser le jus d’1/2 citron. Dans une chope mettre 2 cuillères à café de miel, le jus de citron, et la valeur d’un bon (petit) verre à liqueur de rhum. Quand l’eau commence à faire de petites bulles, vider dans la chope.
    Boire dès que la température le permet….
    On peut faire varier les proportions des ingrédients en fonction des goûts de chacun.
    Il est vivement conseillé de boire ce grog assis au bord du lit et de se coucher après !

  25. L’oeil ouvert est si plaisant qu’on y voguerait sans jamais accoster. L’équipage d’ailleurs si tendre et si soudé attendrit et bouleverse.

    Les feux verts qui traversent le couloir du temps, s’arrêtent et se soumettent quand les feux rouges s’allument aux portes du présent. Dangereux désir de se consumer…

  26. Quel calme !

    D’où provient cet état léthargique ?

    Hibernation printanière ? …

  27. Si bel trou de serrure
    Se vit l’intime profond
    Qui accroche à ses arches
    Perles de culture
    Et arômes en gouttes
    D’amour bel

  28. coucou Bourrache, c’est si vrai que je me snes d un acme absolu, peut être la résultante de tant d’années éprouvantes..
    Je vous lis attentive, et vous souhaite une belle journée que je vais sortir avec moi pour profiter du vent, du moindre rayon de soleil, de la petite fleur de printemps, d’un arbre, d’un mot bel,
    et j’emmène avec moi, ton album si joli, Ossiane,
    c’est un immense privilège de vie que de l’avoir ouvert un jour…
    bel début de week que je vous souhaite paisible et bel…

  29. que je me sENs d un CALMe absolu…C’est ieux ainsi pour être lue, je dois pas être encore fort réveillée, sourire, bises, oui, je me sens d’un calme, allez je me prendre l’air vif du dehors…belle journée.

  30. Eh ! madame, madame qui dit des choses douces, je te souhaite en particulier et je souhaite à tous et à toutes, et aussi à Ossiane, de doux moments au cours de ce w.e. pascal.

  31. A tous,
    Douces et Belles pensées pour ce week-end de Pâques tout en fraîcheur et grand merci pour toutes ces belles interventions poétiques déposées hier, et un compliment tout particulier à Thierry pour sa belle construction artistique d’hier matin maître d’ouvrage en lettre.
    Bonne promenade Annick dans la campagne, je vais essayer d’en faire autant, le contact nature est nécessaire et des plus vivifiant.

  32. Il me souvient, il y a bien des années, d’avoir voulu teinter mes oeufs de manière « écologique » : plongés dans une casserole avec des épinards, une autre avec des betteraves, une autre avec du bleu de méthylène … ils en sont tous sortis avec une teinte quasi uniforme ! (mais j’vous dis pas pour astiquer mes casseroles après…).
    M’en suis revenue à mes pelures d’oignons.

    Biz et bon W.E. à tous.

    http://www.villiard.com/blog/wp-content/uploads/2007/04/paque.jpg

  33. Deux couleurs : le vert et l’orange étaient les meilleurs amis. Mais comme tous les amis ils leur arrivaient parfois de se disputer. Cela commençait souvent par un rien, une pécadille mais cela s’envenimait par la suite. Ecoutons les.

    – Je suis rayonnante disait l’Orange. Je suis couleur du plaisir, du désir. Je symbolise l’amour universel moi ! J’avive les émotions et participe à la bonne humeur de l’humain.

    – Tout doux répliquait le vert : je suis l’emblème de l’éternité et de la renaissance. J’apporte équilibre, renouveau et acceptation de soi

    – Tu es plutôt un porte poisse se délectait l’orange. Dans les théâtres tu n’as pas ta place. Tu es la couleur de la méfiance.

    – Mais dis moi n’est pas toi qui fait mourir le soleil chaque soir et qui lui donne cette couleur orangée, en le laissant agonir.

    – Laisse moi rire. Je participe à son rayonnement universel. E toi ne donnes tu pas ta couleur aux hommes quand ils sont malades ? Et crois moi ils ne sont pas beaux à voir.

    – Bon là d’accord tu marques un point mais moi on ne me mange pas ma petite. Et puis j’ai donné ma couleur aux grands écrivains de l’Académie. Alors ça ça te dépasse hein !

    – Oui je le conçois. Mais rapproche toi et écoute moi. Si on se mélangeait ça donnerait quoi ? Avec tes qualités et puis les miennes on va faire un feu d’artifice non !

    – Où un arc en ciel, allez viens on a qu’à essayer !

    Bon week end à tous et à toutes sous le froid. Brrrrrr

  34. Etant « villageoise  » par gout je reçois les citadins de la grande ville
    Souvent ils aimeraient venir plus souventcar nos chats sont acceuillants
    Dans la vielle maison chacun trouve sa place on y trouve selon ses gouts
    Livres ,BD, CD etc chacun trouve un endroit tranquillesans oublier la TV pour quelues sportifs acharnés
    La grande table est le centre avec la cheminée qui par ce temps froid joue l’ intérressante
    Un bon gouter pour les petits est un moment privilégié..
    s’il fait soleil le jadin s’animent des voix d’ enfants
    Le plaisir ,avec si peu le plaisir d’ être ensembles etc
    Bon week end a tous Amitiée et P A I X de Noisette

  35. Rachel : orange-vert en côte à côte arc-en-ciel, OK.

    En mélange, ça risque de faire homme TRRRRRRRRRRES malade.

    Clin d’oeil.

  36. Noisette : j’arrive !

    J’emmène avec moi mon tapis blanc. On le déroulera dans le jardin. Les enfants pourront faire des bonshommes de neige…

  37. Bourrache
    attends-moi
    je vais avec toi chez Noisette.
    Je suis aussi une citadine de la grande ville.
    Il y aura un peyit coin pour moi, le coeur de Noisette est si grand!
    Bises, bon WE à tous.

  38. Aspe : je crois que Christineee a suivi ta recette à la lettre … mais en triplant la dose !!! …
    (pour être en forme d’eeeeee demain : c’est sa fête).

    On va lui sonner les cloches…

  39. Vous savez quoi ? … ça m’a tout l’air d’être un jour sans powèmes aujourd’hui …

    Me trompe-je ?

  40. Marcheras tu sous ces arches
    Un jour en patriarche
    En me tenant la main

    Je serai petite vieille
    A l’amour de groseille
    Sucré et rosissant

    Nous aurons dans nos cœurs
    Conservé les saveurs
    De nos corps languissants

    Et quand la mort viendra
    Elle nous entraînera
    Inutile combattant

    Qui de nous deux sera
    L’amputé qui perdra
    Sa moitié attenant

  41. Je vous attends Bourrache et Neyde et celles ou ceux que vous rencontrez

    La porte est ouverte ce sera sympa il y aura du chocolat du pain d’ épices du thé
    Du bon café noir ,du vin pour les autres et puis venez nous verrons apres
    Vraiment je vous attends le vent lui est tjs fidéle à lui même
    Pour venir c’ est simple des que vous arrivez sur l’A28 vous prenez tjs a gauche
    N’oubliez ni Annick ,ni Ossiane a tout de suiteNoisette.

  42. un texte moins noir

    Certains mots, certaines odeurs certaines couleurs, lorsque qu’au détour d’un chemin vous les rencontrez, de souvenirs s’imposent à vous.
    C’est le cas aujourd’hui; cette couleur : orange.
    Avec cet éclat lumineux me revient aussitôt le goût de mon enfance. Dans ce Pays que j’ai quitté il y a tant d’année. Aujourd’hui dans cette ville d’Orléans devant ces arches c’est la lumière du soleil qui vient s’accoler à ma rétine. Ce soleil qui même quand il n’est pas là diffuse sa lumière blanche. Je revois notre maison si belle. Bien sûr comparé au confort d’ici et à l’ameublement aux décorations infinies que l’on peut crée. Cette maison parait spartiate voire donne l’image d’une cahute d’un bidonville. Mais pour moi elle est belle car empli d’amour. Une maison ou toutes les générations s’y côtoient, y vivent, y mangent.
    Dans un joyeux et incessant vacarme. Ma maison aujourd’hui est silencieuse. Anxieuse.
    Avant c’était un mélange de cris de rires et de tintement d’ustensiles pour cuisiner. Aujourd’hui seul le silence de la solitude occupe l’espace.
    Ha, la cuisine ! Ici plus rien n’a d’odeur. La bas tous les aliments et les épices exhale de doux parfums. Je me rappelle du marché ; Des couleurs, des odeurs, et le brouhaha des commerçants. Je revois ces étales aux couleurs éclatantes. Graines de coriandre, cumin et sa saveur légèrement anisée, l’ail. Je sens encore le parfum de ses olives.
    Ici les couleurs sont atones et les odeurs se mélangent à celle du bitume et des gaz d’échappement. Peut être trouverez vous mon propos excessif. Cela n’est peut être que la nostalgie de l’enfance de ce paradis perdu.. Peut être …laisser moi au moins m’y accrocher..
    Mes racines sont ailleurs mon corps et ma vie ici.
    Je suis comme ses champignons avec leur mycélium qui prend ces racines très loin et qui pousse trop vite, il s’adapte à son territoire mais il est fragile….

  43. Qui de la plume ou de l’enclume
    Gagnera l’issu du combat
    J’en parlerai bien à la lune
    Quand elle me porte dans ses bras

    Je sais j’en vois qui rit déjà
    Et qui se gausse un peu ma fois
    Car le vainqueur du combat
    Comme si on ne le savait pas

    Je leur rappell’rai La Fontaine
    Et son lièvre bien suffisant
    Et sa tortue qui dans la peine
    Gagna la course modestement

    Qui de la plume ou de l’enclume
    Gagnera l’issu du combat
    Je miserai bien sur la plume
    Partout la liberté vaincra

    pourvu qu’on ne les oublie pas

  44. Ce qui attire mon regard, dans la troisième photo, c’est ce labyrinthe qui s’annonce au centre sous une voûte, et cette porte rectangulaire fermée sur d’autres dédales…

  45. Salut la compagnie !

    Je sors de ma sieste… C’est le bruit des grêlons qui m’a réveillée !
    Ca va un peu mieux aujourd’hui.
    Merci Aspe pour la recette… on la ressort de temps en temps, Bourrache est très forte pour les soupes, et des fois, j’en fais des pas mal non plus.

    Pas trop d’inspiration en ce moment, mais à vrai dire, il me semble que je ne suis pas la seule.

    J’aime bien le « powème »de Rachel avec la plume et l’enclume : ça me fait penser à qu’est ce qui est le plus lourd : 1 kg de plume ou 1 kg d’enclume ?
    Bourrache tu peux sortir ta balance pour vérifier !

    Hello Noisette : alors tu lances les invitations ? Si tu peux me réserver un chocolat bien chaud et des petits gâteaux, je m’en régale d’avance.

    Coucou Neyde ! Comment vas tu ?

    Marc, texte moins noir il est vrai… mais que de nostalgie…

    Bonjour aussi à Ossiane, la fantomette des arcades !
    sans oublier tous les autres : Alix, Monique, Phil, Annick….

    Bises à vous tous

    Christineeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee

  46. Beaux jeux de couleurs Ossiane dans ces images qui nous transportent dans ton merveilleux et féerique palais de lumière
    ___
    Une douce errance
    Dos à la réalité
    Parcours intérieur

    Mirage tibétain
    Monastère himalayen
    Délire du sommeil

    Arche de verdure
    En procession silencieuse
    Quête de sagesse.

    Il est parfois nécessaire voir obligé de prendre un peu de recul afin de mieux affronter les aléas de la vie, ce blog permet de rester parfois en retrait tout en ne s’y sentant pas exclue mais au contraire entourée de chaleur et de bonne humeur dans un esprit de création et de découverte. Bonne nuit à tous.

  47. phil alba, monique, noisette, christineeee, merci pour votre coucou,
    partie tout le jour en dehors, et un tel voyage intérieur, je ne sais pas si c ‘est ce temps de Pâques, mais quel voyage dans des extrémités…

    Et je lis encore, et quelle viéo Christineee, je suis effrayée evant de telles images…

    ils sont beaux tes mots, Monique..

  48. >Maria :
    Superbe tes animaux luisants 😉 Invitation à l’introspection 😉

    >Bourrache :
    Un poème original plein de saveurs et de mystère. Week-end de Pâques, calme plat, froid de canard, normal 😉 Bises.

    >Pierre :
    Atmosphère de nuit bien retranscrite ! On peut avoir peur 😉 Bises de Pâques.

    >Marc :
    Que de poèmes ! Avec tout ce noir, tu vas chercher les mots dans les profondeurs de ton âme avec émotion, horreur et inquiétude. C’est vraiment noir 😉 Merci pour ta belle plume vivante.

    >Annick :
    Plongée dans un beau sommeil réparateur, Annick 😉 Un beau premier poème. Je t’embrasse.

    >Thierry :
    Un poème graphique arqué ! Le souffle de tes mots passe sous la voûte à toute vitesse comme ce vent d’hiver qui nous assaille;-) Bon week-end et merci !

    >Christineeeee :
    Joli effeuillage de mots lumineux même si la maladie ne te laisse pas de répit ! Bises de la fantomette 😉 Courage à toi pour remonter la pente.

    >rachel :
    Clap, clap clap ! Que de poèmes tu as écrit, ta plume est déchaînée 😉 Quelle belle inspiration émouvante ces arches lumineuses t’évoquent ! Ton monde extérieur et intérieur sortent embellis par tes mots et tes images. Merci pour ta belle écriture.

    >olivier :
    Bises vers toi, je te laisser attraper le tournis avec tes cavalières 😉 Bon week-end !

    >Neyde :
    Neyde, tu vas retrouver les liens vers les poèmes que Bernard a laissés sur d’anciennes notes sur cette note ou la précédente. Je les ai signalés.
    Tu es bien téméraire dans le noir et le vert, Neyde. Mais ces arches sont invitantes. Tu as raisosn de te le laisser porter 😉 Bises de France.

    >aspe :
    Et oui Aspe, nous sommes à Orléans, ville à laquelle j’ai envie de donner un nouveau visage 😉 Ces arches me font penser à un palais d’orient ou du désert. Tu as l’art de faire des compliments 😉 Merci beaucoup!

    >Kirikino :
    Amusant poème à base de vert martien 😉 Tu nous fais rêver d’autres planètes Kirikino 😉 Bises.

    >fauki :
    Bonsoir, Avance vers ces arches de lumière, elles vont illuminer ton chemin d’un nouveau souffle. Pensées chaleureuses, je sens que tu es plein de mélancolie.

    >Phil :
    Bravo Phil avec tous ces jeux de mots ; tu vas faire rude concurrence à d’autres jongleurs de mots 😉 Ta plume se libère en ce moment 😉 Bonne nuit et bon week-end à toi aussi.

    >Monique :
    Pauvre Monique, je te sens si mélancolique et émotive en ce moment. Tu entres, tu sors, tu écoutes, tu médites mais tu es tout de même là. Un grand merci pour tout ça. Je m’en veux un peu de ne pas publier des choses plus souriantes et apaisantes. Ce que tu écris est beau et va un peu dans le même sens que mon palais du désert. Je t’embrasse.

    >Lou :
    Bonjour Lou 😉 On n’accoste jamais ; c’est un voyage perpétuel 😉 Je confirme pour la tendresse et la fidélité de l’équipage 😉 Ils ont des nerfs d’acier à me supporter 😉 Merci pour ta belle réflexion sur les couleurs. Au plaisir de te revoir ici.

    >Alix :
    Bon week-end Alixxxxxx avec tout plein d’œufs en chocolat dans ton jardin de mots ;-))

    >Noisette :
    Bonsoir Noisette, merci pour l’invaitation 😉 Bon week-end bien au chaud, ce froid et cette neige sont redoutables. Pour moi, ce sera un bon café noir avec du pain d’épices s’il te plait;-) Je t’embrasse chaleureusement.

    >Chantal :
    Merci d’apprécier Chantal, j’ai envie de me balader en Loire à ma façon 😉 Bon week-end à toi.

    >Fugitive :
    Tu as raison, quel esprit d’observation 😉 Des arche ste portes en appellent d’autres. Un vrai dédale à imaginer;-) Bonne fin de soirée, je t’embrasse.

  49. En espérant Annick que ta journée dehors t’aura été très profitable, il ne m’a pas été possible d’aller faire ne serait-ce qu’une toute petite balade autour du village, c’est compromis pour demain, donc à lundi peut-être, il faut savoir prendre le temps comme il vient faute de ne pouvoir faire autrement, mes neurones pourtant réclament leur portion d’oxygène.

  50. cela a été mi figue mi raisin, du temps à apprécier le vent vif, parfois un juste rayon de soleil, à regarder les giboulées, à marcher doucement et puis le juste temps ‘après, un Jean Sébastien parfois tellement présent, et avec ses idées où aller…alors un temps comme le temps qui va, ni blanc ni noir, juste le temps…je me sentais fatiguée aujourd’hui, peut être la fin de l hiver… Bien à toi Monique, je te souhaite de pouvoir oxygéner tes neurones au plus vite..BISES.

  51. merci Annick pour ton petit clin d’oeil, je te souhaite une bonne nuit après cette journée un peu particulière et vous embrasse toi et Jean Sébastien.

  52. Je pensais que c’était une simple feuille de papier…avec de la luminosité et de la verticalité…craie noire sur un tapis de neige…qu’il suffisait aux mots de se déposer…Je croyais à une certaine sérénité…au fond de ce flacon je ne voulais surtout pas bouger…contre les parois de verre je voyais le monde se déformer…Mais je ne pouvais plus respirer…Il y avait au dessus de moi un ciel de liège…de plomb sous une apparence de légèreté…et mes couleurs…je les voyais trop vite se dissiper…Mais c’était avant l’orage…avant ce souffle qui au dessus de moi a tout fait exploser… de cette prison de verre je me suis échappé…
    Et tout a basculé…J’ai retrouvé des larmes de pluie sur la feuille de papier…j’ai voyagé ..j’ai aimé……Merci bernard….

  53. Curieuse expérience
    plus j’avance et regarde
    plus je perçois de détails
    bizarre comme impression
    de progresser doucement
    d’appréhender le contenu diffus

    merci à monique pour ces encouragements
    c’est pourtant laborieux à exirper
    mais des arcanes des arcades
    sourd un chant divin

    Bonne soirée à tous
    plus de cocktails…sauf molotov
    en pensant à certains événements
    quarante ans déjà, j’en reviens pas

    Marc et rachel vous étes bluffant, quel souffle, quelle énergie !

    Ossiane: chaque jour je m’émerveille de ta magie renouvelée
    chaque jour j’ai hâte de venir avec vous partager
    vagues souvenirs des affrontements
    à Fresnes et ailleurs

  54. ___

    – Neige –

    N’ai-je
    Eté
    Qu’un flocon
    D’un nid vert
    Empreint tant
    De plumes
    Que l’eau tonne
    Et ses « on-dit » ?
    _

    Ouais, je sais … c’est moins bien que Vivaldi !
    ___

  55. oSSIANE, les arches d’Orléans n’ont évoqué …
    mais dans le vent glacial, gris et neigeux de ce matin, pour tous

    Le Pont Mirabeau

    Sous le pont Mirabeau coule la Seine
    Et nos amours
    Faut-il qu’il m’en souvienne
    La joie venait toujours après la peine

    Vienne la nuit sonne l’heure
    Les jours s’en vont je demeure

    Les mains dans les mains restons face à face
    Tandis que sous
    Le pont de nos bras passe
    Des éternels regards l’onde si lasse

    Vienne la nuit sonne l’heure
    Les jours s’en vont je demeure

    L’amour s’en va comme cette eau courante
    L’amour s’en va
    Comme la vie est lente
    Et comme l’Espérance est violente

    Vienne la nuit sonne l’heure
    Les jours s’en vont je demeure

    Passent les jours et passent les semaines
    Ni temps passé
    Ni les amours reviennent
    Sous le pont Mirabeau coule la Seine

    Vienne la nuit sonne l’heure
    Les jours s’en vont je demeure

    Guillaume Apollinaire (1880 – 1918) http://www.youtube.com/watch?v=90usux4aZ2o
    http://www.youtube.com/watch?v=gJTTOBz7W6E

  56. Noisette,
    puis je arriver en train, les routes sont glissantes, et je n’aime pas trop conduire sur de longues distances…
    Et dans le train, je peux écrire, lire, écouter, rencontrer, découvrir, dialoguer, fermer les yeux, dormir et rêver…Boire un « grog » si j’ai froid…
    Me laisser conduire,…c’est si bon,…

  57. Sur notre peau l’air polaire
    nous envoie son baiser arctique

    Oui bourrache
    celui qui lit vert
    croit déjà que l’empreinte
    du temps se dérobe à sa vue

  58. Bravo et merci Aspe pour cet éloge du train
    pas le train train des convenances ordinaires
    celui qui raille notre indifférence
    nous met sur la voix du dialogue
    donne le temps du partage
    équilibre les paysages
    reflets multiples
    audibles

  59. Et merci pour le chocolat:

    http://cuisine.elle.fr/elle/elle-a-table/fiches-cuisine/tous-les-themes/passion-chocolat

    Moins « hard » que le tien Christine (je parle du lien of course ) encore faut-il qu’ OooOssiane ne me rajoute pas trop de xxxx ( oups!!)
    _
    Sur ces belles paroles et de si bon matin, je vous souhaite de joyeuses Pâques, bises chocolatées à Christine Annick Bourrache Monique..et les autres, mais je n’énumère que les filles (pensées pour Claudie qui vient moins mais que j’embrasse au passage )
    Et maintenant chasse aux oeufs avec mon petit neveu de quatre ans…qui s’impatiente…^^
    Ciaooo:)

  60. ASpeTu arrive comme tu veut le train ce n’ est pas mal quand il fait si froid
    On t ‘ attends a la gare la cheminée sera bien pour te réchauffer avec une boisson
    Bien chaude apres si le coeur t’ en dis il te sera possible d’ aller faire un tour dans la neige les enfant sont déja dehors .Bon je part te chercher Noisette.

    PS une amicale pensée a Thierry .

  61. par dessus le vert d’un corindon
    apprendre le silence intérieur
    aux arches rouges d’un aqueduc

  62. pensées vers toi Alix,
    mmmhh…noisette, j arrive, la belle oeur de chleur et de jolis partages…
    Bellepaix pour chachun’e’.

  63. Bon dimanche, et j en ajoute aussi des lettres…sourire..

    pensées vers toi Alix,
    mmmhh…noisette, j arrive, la belle odeur de chaleur et de jolis partages…
    Belle paix pour chacun’e’.

    c’est plus juste lisible…hein?

  64. Je me terre
    Car ce vert
    Me fait peur

    C’est peut être
    Que mon verre
    Est brouilleur

    C’est promis
    Je me tais
    Dans mon for
    Intérieur

    Car mes vers
    Riment à rien
    J’en ai peur

    Sur ma taie
    Vais m’coucher
    Fais meilleur

    PS : Sur le chemin qui mène chez Noisette il y avait quelques lettres qui traînaient. Si j’ai bien compris certaines doivent être à Annick. Le e est peût être à Christineeeeee, allez savoir.
    Sur ces mots
    pas un mot
    ni mémo
    à personne
    j’aime les « o »
    ça fait d’tort à personne
    et mes maux
    me font taire
    ça n’embétra personne

    Au secours, je perds la boule…………………

  65. La Poule
    Chez Bourrache
    N’a pas eu peur
    De la neige
    Du mauvais temps
    Elle a pondu tant et tant
    Une montagne
    D’eeeeeeeeeeeeee
    Qu’il faudrait bien des paniers
    Pour les ramasser !
    Alors ne vous battez pas
    Il y en aura pour tout le monde !
    A moins que vous ne battiez
    Les œufs en Neige
    N’est ce pas Alix,
    Ça irait bien
    Avec ton chocolat !

    Biseeees à vous tous !
    Christineeeeeeeeeeeeeeeeeee

  66. Christineee, ma Poule aux Yeux d’Or, toutes mes félicitations pour ta production !
    A 0,80 cent l’oeuf, tu vas te faire un p’tit tas de pognon…
    Rassure-moi : tu picores bio, au moins ?

  67. cot cot cot cot cot cot cot cot cot cot cot cot cot cot cot cot cot cot cot cot…;

  68. Les arches enjambent les plus grandes solitudes.
    Là, assise dans l’incompréhension,
    J’attends le retour des étoiles
    Et du printemps qui fleurit robes et collines.

    Pour qui voudra…

  69. Ô le temps
    Il a marché son tant
    En marchant tout devant
    Pour pas se noyer dedans
    Ce temps si loin de toi
    Ô au si plus près de moi
    Que l’âme qui aime émoi
    Elle serre sans effroi

  70. marchons sous les arcades
    allons en promenade
    jouons à cache cache
    sous les arches
    dans la palette de lumières
    coquelicots et primevères
    le silence a les couleurs
    d’un parterre de fleurs
    en sarabande de printemps
    trompons l’ennui du temps
    dans une ronde folle
    en de joyeuses fanrandoles
    jusqu’à voir le ciel bleu
    sous les arcades de tes yeux

  71. Tu es mon si joli
    Chemin sprituel
    De tout corps avec toi
    Alors je prends ta main
    Pour le tromper l’ennui
    Et pour la vivre simple
    La vie dans son plus bel
    Je te cueille une fleur
    Te l’offre avec mon coeur
    Et puis viens je t’enlace
    Tu es mon bel ami
    Alors on s’enserre fort
    Et on l’aime la vie
    Sur notre gazon fleuri
    Notre air si apaisant
    Mon soleil fait pour toi
    La lune comme oreiller
    Je t’aime d’amour précieux
    Dans la grâce du temps

  72. C’est le point de départ
    Un long cheminement
    On s’y perd bien souvent
    On y entre par hasard

    On y joue absorbant
    Sous de bienveillants regards
    Ou fardeau des parents.
    Curieux et buvard

    Tout petit on s’y terre
    se glisse dans les interstices
    petit écheveau de verre.
    s’inscrivent les cicatrices

    dans le dédale des galeries
    l’un prend une voie royale
    l’autre, un raccourci.
    loyale ou déloyale

    parfois en impasses
    quelquefois pétrifiants
    inconscient s’y prélasse.
    heureux dans les tourments

    on ne peut revenir
    au point initial
    ni même ralentir.
    se serait l’idéal

    s’envoler vers l’art
    se diriger vers la lumière
    en pensant à Icare.
    et rejoindre la terre

    tous les sens en éveil
    apprivoiser le temps
    cet ami infidèle.
    continuer en rêvant

    labyrinthe de la vie
    plaisir ou survie
    au bout la sortie.
    l’étreinte et c’est fini

  73. Cela devait arriver…feuille glacée et toujours cette verticalité…mes mots ont dévissé…j’ai essayé de les retenir..en vain…la corde s’est brisée…plus aucun sens à cette histoire déposée…une par une elles sont tombées…consonnes et voyelles en premier…puis les accents et les pointillés…sur le bureau…sur la chaise…..sur le parquet ciré…ma vie éparpillée…des lettres endormies..rêveuses..ou simplement agitées…le chapeau du A sous les jambes du M…le O qui se perdait dans le cou du U…et ce R…qui jouait les silencieux…Je les vois encore doucement se relever…entre elles…se mettre à chuchoter….comme si déja…elles connaissaient leur destinée…Drap de soie…et douce horizontalité…contre elle je me suis égaré…entrainant avec moi ma vie pour un temps consolidé…sur ses lèvres tendrement abandonnées…j’ai laissé l’empreinte de ce mot au parfum d’éternité…

  74. Bonsoir bel équipage et bonsoir Ossiane
    Du « palais de lumière » (l’Oeil Ouvert) où scintillent les éclats de rêve de chacun, parvient le chant doux et harmonieux. Le visiteur traverse « le pont des mirages », lentement de peur de le faire disparaître, soulève les tentures des portes pour accéder au merveilleux. Le « silence intérieur » est fort, l’attente est dense… la musique emplit l’être.
    Moment sublime.

  75. La vie
    Quête sprituelle
    Dans sa marche
    Son pas
    Vers la beauté
    De son être
    Dans tous ses sens
    De vie
    Qui pose ses pas
    Sous les arches en ciel
    Et s’envole

  76. Merci Johal pour ton poème …je suis preneuse, et m’assied près de toi sous les arches dans la lueur verte de l’espoir, près de Lou pour entendre sa musique.
    Merci Alix pour tes souhaits exhaussés et en passant m’arrête chez Noisette boire le verre de l’amitié et de la paix avec tous ceux qui sont arrivés avant moi.
    ___

    Pâques a rempli mon jardin
    Du rires des enfants
    Du bonheur des grands
    De plein de petits oeufs d’amour
    Au goût de chocolat
    Et malgré la froidure
    Il y avait un pafum de printemps.
    __
    Bonsoir et bonne nuit à tous.

  77. >Pierre b :
    Superbes voyages libératoires, Pierre ! Avec toujours beaucoup d’émotion et de beauté. Merci beaucoup.

    >Thierry :
    Merci pour ton regard, Thierry. Pas vraiment de magie mais plutôt des vagues de sensations qui émanent de nous tous.

    >Alix :
    Je ne voulais pas aller dans cette direction ALLLLix 😉 Pardon 😉

    >aspe :
    Merci pour ce pont, j’aime beaucoup Apollinaire. Bises.

    >regard :
    Bravo pour avoir réussi à raccorder en beauté les idées de mon haïku 😉 Bonne journée !

    >rachel :
    Mais non, tu ne perds pas la boule 😉 La source de tes mots ne tarit pas, un grand merci pour tes beaux partages.

    >christineeee :
    Tes versions cocos illustrées avec beaucoup d’humour m’ont beaucoup amusée 😉 Merci pour ta forme retrouvée !

    >johal :
    Je prends sans réserve Johal. Ce que tu as écrit retranscris si bien ce qui peut émaner de ce lieu. Merci pour la beauté de tes mots, je t’embrasse.

    >Annick :
    Merci pour toute la belle tendresse et réflexion intérieure que tu fais tranparaître dans tes évocations poétiques avec émotion. Je t’embrasse.

    >amichel :
    Très jolie poésie printanière qui nous sort de la nuit. Ta farandole de coquelicots éclairent en beauté ce week-end bien tristounet. Je t’embrasse et te remercie.

    >marc :
    Quelle belle inspiration empreinte de grande sensibilité appuyée sur du vécu ! Un grand merci pour ta superbe approche de la vie. Je t’embrasse.

    >lou :
    Bonjour lou 😉 Merci pour ta chaleureuse vision de cet espace. Ce labyrinthe lumineux est un bel hommage à L’Oeil Ouvert qui absorbe avec gourmandise la lumière du jour et de la nuit. Bises.

    >nigra :
    Bonjour Nigra, apparaition poétique fugace, audacieuse et déterminée;-) Bises vers toi.

  78. ARCHERIE DU SILENCE

    Pont des mirages, un arc-en-ciel soliloque dans des échos de guitare électrique, traversé de mille fuseaux horaires sans retenue autre que la glissade d’une luge sur les strates éthérées d’un temps de déconnexion. Les héros d’hier rencontrent ceux de demain à l’intersection des lignes d’aventure, partage sans complexe des vibrations délictueuses de souffles d’ammoniac oxydant les revers stratosphériques de galaxies embrumées. L’instinct de vie prévaut dans des batailles aux allures d’oxymores parcourus par la foudre dans d’angéliques égorgements, les cavaliers chevauchent les dragons et leur souffle mélange l’azote au soufre, créant des carapaces de soie aux destriers qui plongent sur les faunes étranges d’atmosphères incandescentes. Nait du silence le chant qui perpétue d’antiques traditions, sacrifices inutiles sur des pierres aztèques, tauromachies hispaniques sur des arènes de feu, palais de marbre blanc écrémés par la lumière des lasers que stroboscopisent les sabres des nouveaux bushidos, pointes encrées au curare dans le magma hémophile des atomes. Le sang ruisselle sur les genoux de la lumière, arômes de nuit, traces d’argent, couleur sur couleur, pas un cil qui ne soit mordoré dans la fraîcheur de tous les carnages, la joie brûle comme la flamme d’une plaie d’aurore jamais recousue.

  79. >gmc:
    Bien qu’un peu effrayant, cet univers fantastique de bruit et de fureur est riche d’images et fort bien décrit. Merci à toi.

  80. J’aime votre poème. Je pense que votre poème est très bon. Le poème est joli et vous êtes une bonne écrivaine. Le photo avec votre poème est créatif et interessant. Tout les photos des Arches sont jolis.

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