Lecture du Haïku Calligramme: de haut en bas
Le grand sommeil noir
dans les plis de soie blanche
comne un drap glacé
◊ Le lit de la Loire
L'Oeil Ouvert : photo et poésie
Haïkus et calligrammes, rêverie sur le monde… le voyage imaginaire d'Ossiane
Lecture du Haïku Calligramme: de haut en bas
Le grand sommeil noir
dans les plis de soie blanche
comne un drap glacé
◊ Le lit de la Loire
berceuse pour Ossiane :
« Dans le mitan du lit,
Dans le mitan du lit,
La rivière est profonde, lon la,
La rivière est profonde »
le sommeil est un fleuve tranquille
où un rêve parfois descend
un beau navire aux voiles blanches
qui prend le vent
et que les vagues de la nuit
balancent doucement
vers le grand large des étoiles
« Dans le mitan du lit,
Dans le mitan du lit,
La rivière est profonde, lon la,
La rivière est profonde «
calme, doux, calme,
si doux que je vais me rendormir
et attendre pelotonnée
que ma chaleur dégivre les draps glacés,
y suffirai-je ?
Dans le creux de la soie….une page blanche doucement froissée…quelques mots tendres pour t’entourer…des éclats de lumière pour la nuit repousser….un bouquet de pensées pour te réchauffer….dans un souffle délicatement poser….des signes et des baisers d’amitié…Soie blanche et laine mélangées…des broderies et des jours…qui pointent le bout de leur nez….je t’assure Ossiane…..c’est bientôt l’été….Je t’embrasse….Pierre
De soie et de velours
imperceptiblement
l’eau glisse caresse
Ami(es) du jour
Bonjour !
Ma chère Ossiane,
Tes notes
Souvent si tardives
Révèlent
Un certain manque de sommeil !
Dormir comme un loir
En bord de Loire
OUI !
Mais d’un sommeil noir
NON !
Je te propose
Pour l’heure,
Un sommeil très réparateur,
Plein de rêves en couleurs
Avec
De l’action,
Des émotions,
Plein de petits internautes
Gravitant comme des astronautes
Tu pourras ainsi
Toi aussi
Recharger tes batteries
Et si la chance te sourit
Un p’tit voyage astral
Te remontera le moral
A un niveau pas banal !
Alors, au réveil
Pleine de rêves
L’esprit reposé
Le corps réchauffé
Tu pourras repartir
Pour un nouveau
Safari photos
Bonne
Sera la récolte !
Repose toi bien !
Biseeeeees rêveuseeeeees
Mais coloréeeeeeeeeeeees
PS /
Tout ce qui est énoncé
Plus haut
Reste valable
Pour tous les autres malades !
1ère et 2ème Photo :
Maman hérisson
Et BB hérisson
Sur la berge égarés
Ont regagné
Leur nid douillet
Entre les branches
D’un tas de bois
C’est là
Qu’ils sont les rois !
Pas fous
Ces deux là !
Biseeees piquanteeees !
PS :
Et ils vont
faire
des
rêves
en
couleurrrrrrrs
……………………………
sous la plume d’acier
saxo aux accents cuivrés
la peau d’un tambour
…………………………….
andrée wizem
Lit majeur ou lit mineur ?
Malgré le noir et la glace
Reste à l’écoute
Des mots chantent pour toi
Malgré le sombre et mal
Ouvre tes sens
Des ondes chaudes voguent vers toi
Contre les cauchemars et la chute
Cherche l’éveil
Mille couleurs étincellent près de toi
Certaines quêtes sont rudes
Mais chaque pas est une victoire
Alors reprends ta marche…
Des sourires tendres t’accompagnent…
La nuit devint grave
Avec les derniers vers
De la boire jusqu’à la lie
Hallali, Ah là là
Chasser la peur du fleuve
Toutes les fleurs n’y peuvent
A jeter son image
J’imagine
Noyée dans ses pensées
A percer le miroir
Jaillit un cri d’horreur
Elle a la tête ailleurs
Glisse en somme dans le soir
Epouse vagalame
S’éprend de soie sauvage
Du haut de la falaise
Elle voit des goélands
Un drap se tire
Les âmes se reposent
Dans un long sommeil
***
Pensées tendres vers toi chère Ossiane
Ta note est superbe… douce et aimante
Comme une ride sur la peau
Laissée par un pli du drap
Sur ta joue s’est placé le sceau
De ton passage entre mes bras
Matin bonheur
Il y a dans cet espace
Des milliers de contours
Des milliers de menaces
Des rêves sans détour
Des toi des moi des eux
Des rivages étranges
Des amours interdits
Et des malheurs taiseux
Qui recouvrent parfois
Les bas étages de la nuit.
Il y a tout cela
Mais ce soir mon aimé
Dans le lit de mes songes
Se niche ton regard
Et ton sourire d’or
Un espace comblé
Un espace fermé
Un espace oublié
Des humains et du monde
Glissant sur les marges des ports.
Merci Ossiane pour ce voyage entre-deux 🙂
Il souffle un vent de tristesse
Froid, glacial et qui me laisse
Un sentiment d’impuissance;
Infime devant cette existance!
Des rides se forment sur nos faces
Et la nuit assombrit l’horizon!
pourtant continue les saisons
insensibles au temps qui passe.
Seul l’affection et la bienveillance
nous permettent de résister
aux affres, et aux souffrances
Et nous donnent la force d’espérer.
Le soir en suspens
sur les grèves alanguie
ô Loire
tu poses l’ancre
et t’endors
douceur infinie
blottie au coeur du noir profond –
s’y arrêter pour plonger
dans la nuit du monde et des coeurs,
richesse infinie,
plus profond, plus profond –
et pour y accéder
nous vaincrons la froide peur
La nuit,le jour
porter toujours
par devers soi
un peu de soi
sur les chagrins
au grand festin
veille la mer
Dormir, il nous restera le temps d’en rire…
paresseuse caresse
d’une lente lueur orangée
dans nos esprits
embués…
« désirs et doux plaisirs »…
… »pour conclure
vient te coucher
à mes côtés… »
– m’avait-elle dit
surpris et naïf que j’étais
– je savais très bien
qu’elle ne voulait pas dormir…
___
Recette du jour :
Bien récurer la marmite afin d’éviter la contamination.
Versez quelques cuillérées d’huile Corsée, première pression, à froid.
Y faire frétiller les rondelles du temps, lavées, rincées, essuyées et finement émincées (à défaut : poireaux et oignons feront l’affaire).
Ajoutez quelques pommes d’Amour (à défaut : des pommes de terre) découpées en cubes, en croissants de lune suivant votre imagination.
Versez un litre d’Oôôôôssiane.
Ajoutez … de sel, … de poivre.
Une feuille blanche (à défaut : une feuille de laurier).
Laissez mitonner sur fond de musique de Maria-D. , le temps que tout soit à point (ayez l’Oeil ! les points d’interrogation, ça fait tourner la soupe..)
Pour un résultat onctueux, passez au mixer du temps d’avant.
Saupoudrez de « tournures », l’herbe sacrée et secrète de Neyde (à défaut : de persil), d’un nuage blanc de vol de goéland de Bernard (à défaut : de la crème fraîche) et d’un brin de sagesse de Monique.
Gardez au chaud sous les bougies d’Annick jusqu’au moment de servir.
Manquent quelques ingrédients.
Qu’ils ne se froissent !
Marc et l’aile lisse de son hélico vont les prendre en passant.
Y’a si longtemps qu’on n’a plus siroté au resto-bistro de l’Oeil Ouvert …
… ce soir, le p’tit noir est offert.
T’es d’accord, hein, Ossiane ?
_
J’aurais jamais cru que faire une soupe aux poireaux me ferait déc…… autant !
Biz à tous.
___
Bonjour, j’aurais aimé vous chanter des mots doux et joyeux, mais la force de ma mémoire guide ma plume en d’autres résonances,
____
J’ai reçu à vif, la puissance de tes mots
Exorcise ma douleur
Lève le voile sépulcrale
Du miroir glacé de ma mémoire.
Fleuve dévastateur
Tes eaux calmes et trompeuses
Ont versé en mon âme
Leurs torrents de souffrances.
Je couche mon regard
Sur l’image limpide et glaciale
Mais je sais dans les replis de tes draps
L’ampleur de mes blessures
Enfouies dans les remous de tes sables mouvants.
Le week-end approche avec son repos compasateur et le soleil en prime.
Ohhhh, Monique …
Là, on est mal barre …j’ai plus de recette …
Marc, siouplaît, ton hélico…. pour le p’tit noir de ce soir … au bar … de l’Oeil Ouvert …
… et les « eeeeeeeeeeeeee » frais de Christineeeeeeeeee…
J’ai imaginé ce que pourrait dire une personne à quelques mois ou quelques années d’intervalles
« dormir
et pour quoi faire ?
j’ai toute la mort pour dormir moi !
je veux vivre chaque minute de cette vie
pour en savourver les instants les plus précieux
me délecter de cette douceur que je vois dans tes yeux »
« rire
et pour quoi faire ?
je n’ai pas le coeur à sourire moi !
je veux dormir pour ne plus souffrir
et me relever quand je le pourrais enfin
Mais pourrais-je un jour me relever quand la vie n’a plus pour moi aucun goût »
Ainsi va la vie, faites de tempêtes, de tourments, parfois petits ou grands. Tempêtes qui vous laissent anéanties, meurtries, dont on se dit qu’on ne s’en relèvera pas. Mais beaucoup d’entre nous se relèvent certes différents d’avant, clauquediquant, et la vie arrive même à nous sourire à nouveau parfois.
J’aimerai avoir à nouveau une pensée ce soir pour Ingrid Betancourt dont la prise d’otage remontera à 6 ans demain.
Sincères pensées à Ossiane, Neyde, Annick et à tous les autres blogueurs de « L’oeil ouvert » qui traversent des moments difficiles.
AU SORTIR DE LA SIESTE
Dormir est une activité diurne
Gaspillage de l’amateur de shopping
En tout genre
La nuit n’est pas propice au sommeil
Surtout quand la lune est d’argent
Et son sourire une obole
Plus noire est la nuit
Plus brillant le sourire
Les insomniaques savent que la soie
N’a pas de pli sous la couture
Que les paupières dessinent
Dans les méandres de la nuit
pourtant elle avait l’air bonne ta recette Bourrache!
C’est tout ce qu’elle ne peut plus faire, dormir. Et quoi d’autre à part se jeter dans son intérieur infini tandis que lui, juste un homme qui a envie d’elle et qui se souvient de son père, ce qu’il disait de son père, qui le disait peut-être de son père jusqu’au temps, pas si lointain, où certains de ses ancêtres avaient fait les malins. Et elle c’est tout ce qu’elle pouvait faire dans la pleine lune éternelle dormir, et quand elle ne le pouvait regarder l’infini ou lui, s’il ne dormait pas, s’il s’énervait dans cette école maternelle volante, encombrée, lui raconter une histoire, avec ses flux et ses reflux, une histoire à tiroirs avec des amphores et des messages dedans, pleines d’histoires, jusqu’au seuil. C’est autre chose qui commence, au seuil. Mais ce n’est pas encore.
Bourrache !
Très bonneeeee
La soupeeeeeee
M’en régale d’avanceeeee !
Christineeeeee
Dormir
Dormir
Dormir
Réagir
Ouvrir
Sentir
Tenir
Lire
Ecrire
Sourire
Jouir
Rire
Rire
Rire
Un peu de gaieté dans ce monde de brutes. Si j’ai bien compris c’est l’heure de la soupe
Programme pour le week-end
Pas de réveil à sonner
Lever tardif
Bon repas
Sieste
On se remue un peu
Histoire de prendre l’air
Et s’oxygéner les méninges
Dîner léger
La soupe de Bourrache
Etant bien appropriée…
Observer attentivement les poules
Qui vous donneront l’heure du coucher…
Si problèmes pour s’endormir :
1ère méthode :
Choisir un bon pavé à lire
Le plus chiant possible,
Le nombre de lignes lues
Etant fonction de la qualité soporifique
De l’œuvre sélectionnée….
Autre méthode :
Bien allongé(es) sur le canapé
Devant la télé allumée
Un programme que jamais
Vous ne regarderiez en temps normal…
C’est radical !
Une autre ?
Compter les moutons !
1 mouton
2 mouto
3 mout
4 mou
5 mo
6 m
ZZZZzzzzz
ZZZzzzzz
http://fr.youtube.com/watch?v=qCPFRcIl_oI&feature=related
Bourrache !
Ton lien sera bien pour un réveil pas trop speedé !
Heeeeeeeeeeeeeeeu, je suis en discordanceeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee, là !
Un réveil d’août …y’aura du soleil ???
22°C aujourd’hui, c’est pas mal pour un mois de février
alors au mois d’août, qu’est ce que ça va être !
Ben, après l’apéro, on fera … la siesteeeee !
Yesssssssssssssssssss
Et puis, une partie de pétanqueeeeeeeeeeee.
Ah, kil est doux, ce rêve du mois d’août … sous le soleil … exactement
http://www.dailymotion.com/relevance/search/sous%2Ble%2Bsoleil%2Bexactement%2B/video/x23mbp_anna-karina-1967-sous-le-soleil-exa_music
j’aimerais être la belle au bois dormant…..
douce nuit,
tendre nuit,
à mes côtés,
je te promets…..
métro, boulot, dodo….
connais pas.
dans le midi.
Pas de métro,
un peu de boulot,
et beaucoup de farniente……
Merci Bourrache pour tes idées qui ont le mérite de redonner le sourire aux esprits les plus fatigués ; et je peux te dire que la soupe de légumes que tu proposes dans sa large originalité est encore meilleure après une promenade oxygénante à travers la campagne, quelques paroles échangées avec trois beaux chevaux en quête de caresses , quelques notes sifflotées en accord avec les oiseaux, et une petite remontrance à ce petit chien qui voulait me faire peur et qui avait encore plus peur de moi. J’ai échangé le temps d’une balade les berges de la Loire et son ruban d’argent-violine pour les rives du Rhône gris bleuté sous le soleil généreux.
Recette épicurienne par excellence :
Un petit détour par l’Oeil Ouvert,
Une pensée pour chacun
Un bon bain relaxant
Aux huiles essentielles
S’appliquer à savourer tous ces petits bonheurs simples ,
Trouver quelques jolis mots à lire
Puis Dormir la fenêtre entrouverte
Pour se réveiller le matin
Avec le chant des mésanges
Dans la lumière tendre de l’aube.
Bonsoir à tous, Christineeeeee, Sabine, Marc, Rachel, Bourrache, Dilgo, gmc et tous les autres, bonne soirée en compagnie de notre chère Ossiane.
Dormir…ou mourir
Ces photos sont comme une invitation à plonger dans l’oubli éternel
oh, !
Mon amour.
Dans le sommeil,
Toujours,
Mon amour,
Un coin,
Ou je m’émerveille….
Celui,
Ou,
Au plus profond de ma nuit,
Je te retrouve,
Je te reconnais.
Oh,
Mon amour……
Le calme du soir
Reflets du silence dans le miroir
Mon coeur somnole en attendant le jour
Glissent les pensées sur « la soie blanche » du fleuve
A la surface de l’eau ardoisée
Sur les toits recouverts de brume
Une ligne d’horizon s’est perdue.
L’esprit s’égare dans les rêves
L’inconscient prend les rênes
Le corps en flotaison
m’endormir me fait peur parfois
mais quand tu me prends dans tes bras
je me blottis tout contre toi
je m’endors confiante
dormir !
mais qui dort dine
c’est déjà ça de gagné dans la conjoncture actuel
chutt…
ne faites pas de bruit..
je dors…..
Dans la pénombre de la chambre
Nos corps enlacés se détendent peu à peu
Eclairés par lumière tamisée.
Les gestes se font plus lent
Et ton souffle rythme mon cœur.
Doucement je caresse ta peau
Dans une tendre plénitude
Les corps timidement se blottissent
Enveloppée dans une béatitude
L’âme glissant en apesanteur
Vers la nuit et sa torpeur
s’endormir, se tenir…rêver
ce soir, comme à ton habitude, sans un mot, dans le lit tu te glisseras, alors tout doucement, délicatement, dans tes bras, je vais me blottir, et avec une infinie tendresse, et beaucoup d’amour, je vais m’abandonner à toi…… la nuit, je la sais, vas être câline et coquine……
bonne nuit à tous et à toutes……
sur tes cicatrices
le lin seul m’émeut et masque
les ris de la mer
23h34,
je ne suis pas toute seule à avoir l’ âme coquine…..
bonne nuit marc…..
et tes airs Edith
du désir lèvent les voiles
valse souvenir
là haut, dans la colline, à l’abri des regards, il y a le cabanon. A l’echelle de meunier nous sommmes grimpés, impatients, maladroits, malgré les draps glaçés, à la lueur des étoiles, nous avons fait l’amour….. et ensuite épuisés par toutes ses prouesses, un bon gros dodo…ensemble, pour la premiere fois…..
Pour donner du goût à la soupe « romantique » de Bourrache …
Vite un bol, même deux, sert moi tant qu’il y en aura, tous les soirs…L’habitude ne peut contrarier ton tour de mains lorsque tu prépares ta soupe et nous que tu nous la fais déguster…
Et aussi, aux idées câlines et coquines de Sabine, de Rachel et Monique …
A toutes, à tous, quand vient le désir de ne pas dormir…
———————_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_—————–
… »Et dans le silence bleu du matin, tes lèvres en attentes sur mon rêve…
Caresses du bout des doigts l’objet de ta tentation, désir absolu de tes sens,
Parfum de coriandre à la sève de ton ventre… »
Bonjour, ne vous inquiétez pas, je vais bien ; j’avais besoin de prendre un peu de recul. Je vois que vous ne vous êtes pas ennuyés sans moi et c’est tant mieux 😉
>amichel :
Merci pour ta belle berceuse apaisante qui donne envie de retomber en enfance 😉
>Brigetoun :
Beaucoup de chaleur en toi, ça suffira amplement 😉
>pierre b :
Tout à fait un thème pour toi 😉 Je te crois pour l’été 😉 Merci, c’est sympa.
>pierre :
Les Pierre ont de la douceur à revendre 😉 Merci beaucoup.
>Christineeeee :
Les Christineeeeeeeeeeee ont de l’énergie et de la bonne humeur à partager-) Ca fait un bien fou 😉 J’écoute tes conseils !
>andrée :
Il y a un peu de tout ça dans la photo, c’est vrai, merci à toi.
>françois :
Ah bon ça existe ça ?
>Nigra :
Des poèmes toujours superbes qui résonnent fort en chacun de nous. Bravo à toi.
>Bernard :
De l’humour, de jeux de sonorités, de belles images et de la générosité, comme ça te ressemble. Thanks a lot 😉
>Maria :
C’est tout à fait ça. Merci pour ton bel haïku et tes pensées que je te retourne.
>Phil Alba :
Bonjour et bienvenue sur le blog, je vois que tu as suivi mon conseil 😉 Un joli poème plein de tendresse, merci pour le cadeau 😉
>Johal :
Tes mots sont à fleur d’eau et d’âme. Tu t’es glissée en beauté dans ces draps de soie. Un grand merci pour ta sensibilité.
>marc :
Belle sensibilité également chez toi Mac et l’envie ausis de donner beaucoup d’amour. Merci pour ta belle plume.
>sabine :
Beaucoup de spontanéité, de tendresse et d’envie de donner. Jolies pensées câlines 😉 Tu n’es pas la seule ce soir 😉
>aspe :
Tendresse et humour pour toi aussi. Tes poèmes sont délicieux 😉
>Bourrache :
Le plein d’énergie pour toi aussi ; le soleil brille chez toi 😉 Je suis d’accord pour le petit noir et pour ta bonne soupe aussi qui m’a beaucoup amusée;-)
>feu roméo :
Un poème subtil et profond, merci à toi.
>Monique :
Oui Monique, on peut voir ces images de façon terrible ou très douce, je te suis bien là-dessus. Tes mots sont pleins de force et de beauté. Merci également pour ta recette aux huiles essentielles qui apaise. Je t’embrasse.
>Rachel :
Merci pour tes douces pensées et tes réflexions sur la vie que tu exprimes de manière si vivante et poétique. Beaucoup de tendresse là aussi à donner. Bises de la nuit.
>gmc :
C’est beau aussi le monde de la nuit, je suis un peu noctambule. Merci pour ton beau poème.
>@nn@ :
Bonsoir et bienvenue sur le blog 😉 On peut tout imaginer à partir de ce lit scintillant ; merci à toi.
>fauki :
Douce rêverie autour de ce lit blanc. De l’émotion dans ta voix. Merci fauki.
>le sid :
Tes haïkus sont puissants et fouillés ! Le premier est émouvant. Merci pour ta belle écriture.
palette des eaux
la lente écharpe de soie
comme une épure sans fin
J’espère que la nuit, fenêtre entrouverte, fut douce pour tous et n’en a pas épuisé certains (je parle de ceux qui ont dû compter les moutons, bien sûr !).
Biz et belle journée.
Et non
Bourrache,
j’ai pas compté les moutons !
Coucou du matin
pendant que le thé
est mis à chauffer
heure du petit déjeuner
belle journée
ensoleillée !
Contente de te lire
Ossiane !
Mais pour ce qui est
du coucher tôt,
c’est encore loupé !
Comment tu fais ?
A ta place,
je serais « cuite » depuis longtemps !
Biseeeees du sameeeeeedi !
Scintillement
du temps
Immobilité
profonde
suspendue
entre vie
et infini.
Le sommeil est réparateur
l’inconscient en est l’acteur
d’ouverture il est facteur
Le sommeil c’est la détente
pas forcément sous la tente
des songes et des idées noires
Le sommeil nous fait explorer
de la conscience les plis
sans provoquer le repli
Le sommeil est calme et douceur
rien ne vient troubler sa surface
à moins qu’on ne s’enlace
Le sommeil est haché
quelque chose à cacher
là c’est vraiment gaché
Le sommeil c’est ce rivage
qu’on aborde nostalgique
avec ses effets magiques
Merci oSSIANE pour cet apaisant rivage qui laisse venir tant de douceurs
un grand bonjour et beaucoup de soleil des côteaux du Lauraguais
pour tous les visiteurs, et bien sûr des pensées et des mots pour notre chère Neyde.
Thierry,
Mon voisin !
Dans quel village
habites-tu ?
La Lauragaiseeeeeee !
Belle
Loire
In Love
En son lit
Lovée
Luit
Dans la nuit
Et lit
Alanguie
Les vers
Luisants
De la poésie
Endormie…
En ce samedi matin
après un sommeil réparateur
la Loire s’éveille.
Un peu de brume
un reste de fraîcheur
les bancs de sable s’étirent
paresseusement en ses bras
les cormorans à bord guettent.
Il va faire beau.
>Christine: c’est une devinette, chez les lézards ! quand la toponymie nous vient en aide, aux portes du Lauraguais, tout près d’un des bastions citoyen
où le taux de participation aux élections est proverbialement haut et l’engagement associatif aussi.
Pensées affectueuses pour toi Ossiane
Et sur ce chemin ombragé tu m’as pris la main. Tu m’as parlé doucement comme si tu t’adressais à une malade que l’on protège. Tu m’as dis que nos chemins s’arrêtaient là, que tu savais la peine que tu me faisais. Mais que c’était plus fort que toi et que tu me respectais trop pour me trahir, que tu avais rencontré quelqu’un. Malgré toi elle occupait tes pensées du soir au matin. Ironiquement j’ai pensé, qu’en effet, je devais encombrer les tiennes. Je n’ai pas versé une larme. J’ai immédiatement voulu donner le change. J’ai dit que je comprenais. Que pour moi aussi les choses avaient changé depuis quelque temps.
Tu m’as quitté presque soulagé que je réagisse aussi bien à la situation. Je suis resté à la même place, inerte.
Alors le sol s’est dérobé sous mes pieds. Je me refusai à comprendre ce qui m’arrivait. Le temps s’est écoulé sans que je m’en aperçoive. La nuit m’a enveloppé de son drap glacé. Alors les larmes ont coulé.
Thierry !
Si je réponds :
43°16’37 » ; 01°20’51 »
je brûle ?
ou je reste encore dans le froid ?
en tout cas, ça fume un peu du côté des méninges !
Bon après midi quand même !
Bises enfuméeeeeeeeeees
Bon,
je vais essayer un lien « déguisé »
histoire de pouvoir dormir tranquille…
Si ça passe, faites un copier et coller après le http
fr.youtube.com/watch?v=fD_0UEBYfOk&eurl=http://video.google.fr/videosearch?q=dormir&num=10&so=0&hl=fr&start=60
Prison ? pas Prison
What is the question….
J’envoie…
Un jour ou plutôt une nuit, j’en ai déjà rêvé
Je ne sais pas à quoi elle ressemble
Mais elle m’apparaissait douce il me semble
Malgré la tentation je l’ai repoussée
Cétait après un de ces tristes soirs
Ou l’on pleure solitaire dans le noir
Et dans le miroir déformé du monde
On ne perçoit que le vide et l’ombre
Doucement on songe à s’endormir
Fuire au plus loin de la souffrance
Quitter à tout jamais cette existence
Et tranquillement laisser le corps partir
Mais le cœur pense aux êtres aimés
Il chasse de sa force ses viles pensées
Il impose les sourires et l’espoir
La mort attendra seul dans le noir
Bonsoir,
Beau poème Marc, émouvant et grave où l’amour sort vainqueur, plus fort la vie.
__
Le temps suspendu
Dans le silence du fleuve
Frôler l’intemporel
Le jour et la nuit
En une symbiose étrange
L’espoir d’un matin
Symbole de l’eau
Elément originel
La source de vie
Dis moi, tu lis tout ! Il y a de quoi faire une brochure à chaque fois…. La poésie se porte bien et c’est tant mieux…..
Pour moi, cette Loire
Que j’aime tant
a préparé ici ses lamés
somptueux et sombres
tel son limon…. harmonie profonde et majestueuse.
Quel calme, quelle sérénité….
Bonne nuit alors … Les photos sont pleines de sérénité.
Mourir ou dormir
S’endormir sur l’onde
Et partir sur le fleuve
Vers l’autre monde
Vers l’autre ailleurs
Dormir et mourir
Mourir dans l’onde
Et renaître dans le fleuve
Dans l’autre monde
Dans l’autre ailleurs
***
Pensées vers toi
http://fr.youtube.com/watch?v=0-zDH_ekIUg
On m’a toujours dit qu’il fallait se méfier de l’eau qui dort, de son apparence calme, plate et intangible.
C’est vrai que le moindre souffle de vent provoque des ridules concentriques qui s’épanchent et agitent les rives de petits soubresauts.
Pourtant dans l’ondoiement passe le froissement d’une conscience au feuille à feuille qui affleure le sens et avive l’eau dela.
Contre plongée onirique où on y risque peu, des rencontres inattendues
un réveil impromptu.
Avoir le souffle court
C’est le petit jour
Sculpter l’air si sensible
Et le maintenir léger
Au dessus de l’ abîme
Pour que le jour se lève
Sur les rives d’un fleuve.
Voiles mauves des distances
Monde tenu par la main
La-bas ici
Encore au fond de soi.
_
Agréable Dimanche à chacun /chacune.
Thierry : t’as pas dit à Christineeeeeeeee si elle avait gagné avec ses numéros du Loto-du-Lézard …
Clin d’oeil, sourire et biz à tous.
Ici, dimanche ensoleillé.
hi hi hi !
Bourrache !
Tu as devancé mon commentaire…
Le suspense reste entier…
Après avoir tant fumer hier
Je guette Thierry de mon Oeil ouvert !
Mais je sais être très patiente !
Bon appétit !!
M’en vais manger mon rôti !
Biseeeeeeeeeees
Christineeeeeeee
dormir,
tout simplement s’endormir,
pour ne plus penser à rien,
faire le vide,
oublier ses soucis, ses angoisses, t’oublier,
dormir, dormir,
et se laisser berçer par ses rêves……
dormir, pas le temps de dormir, y a bien trop à faire….
il nous faut vivre, rire, s’aimer, partager, sourire, avant de se mourir…..
Le noir engloutit
Mes yeux délavés
D’espoirs abandonnés
Dis moi qu’il existe encore
De la douceur, de l’humanité
Je ne sens plus mon corps …
Le noir engloutit
Mes yeux délavés
D’illusions abandonnées
Dis moi qu’il existe encore
Les yeux de l’été
Je ne sens plus mon corps …
Le noir engloutit
Mes yeux délavés
De rêves abandonnés
Dis moi qu’il existe encore
Les yeux de l’amour
Le sang me glace le corps …
Coucou Ossiane encore flagada ? j’émerge doucement de mon côté (le rhume est tenace cette fois ci)
> tu as gagné un loto lézard Christine ? bonne nouvelle, espérons que Thierry revienne à bord pour nous faire participer Je suis très joueuse également
Bonne après midi
.
22222222222222222222222222222222222222222222222222222222222222222222222
.
Nouveaux commentaires d’Anna et de Aspe sur:
.
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>Christine: je suis peut être allé trop vite en besogne, ou du moins n’ais je pas considéré toutes les étymologies possibles ; la seconde semble venir de l’oiseau
mais comme pour le reptilien il s’agit de racines occitanes. Alors soleil, val, cultures, crêtes, proximité de la grande ville, tout est dit ou presque, quant aux coordonnées je vais aller vérifier, je ne les connais pas par coeur.
Un grand bonjour à Ossiane avec, espérons le, une forme retrouvée.
Merci Thierry pour cette nouvelle indication.
Deuxième proposition :
1°34’00 » ; 43°32’33 » ?
Christineeeeeeeee
___
Les brumes des rhumes s’estompent.
Un lézard se dore au soleil
(huit mai août ?)
(d’où le soleil doux d’août ?).
Tout dépend
Des chiffres
En suspens.
Pas de la question
De compter les moutons…
Ceux-là sautent
Les barrières
Des rêves
Des épuisés.
Le fumé rôti
Se mange à midi.
Pépé-de-la-Vallée,
De deux générations,
Rajeunit.
Un printemps précoce
Fait sont apparition.
Les enfants
Se retrouvent
Avec l’envie
De jouer
Dans la cour de récréation.
Et
Le fleuve
S’écoule.
Paisible.
_
(Me voilà revenue à mon bac à sable, donc :
la cote de mon bulletin du dimanche soir va à nouveau chuter !)
___
Ah Bourrache !
Toujours la pro
du pôt
Aime à dormir debout ! (pour rester dans le sujet du jour)
La balle est dans le camp de Thierry !
Du pôt …
Qu’est-ce à dire ?
Du Po,
Quelle bonne fortune !
Moi, je dors comme un loir,
(komment kon appelle la femelle
du loir : la loire ?),
Au bord de la Lienne,
Petite rivière belge.
Et sur la Loire flottent les Gabares..
Attention de ne pas trop charger
La barque pourrait couler
Adieu veaux vaches moutons
et rat musqué.
Bonjour à tous, et dans ce dimanche tout de gris vêtu, chercher une éclaircie au travers des mots.
___
Dans le lit du fleuve
Où la vie coule lentement
L’ultime espérance
Au sortir de l’ombre
Doucement ouvrir les yeux
Un nouveau départ
Loin à l’horizon
Dans le lit défait du fleuve
Chaleur de l’espoir
Si seulement la puissance des mots pouvaient au delà des frontières apporter ne serait-ce qu’un brin de chaleur.
Bourrache !
C’est où ton village ?
Et ça repart !
Alors christine ça commence par L et ça finit par E et il y a même un blason, récent et pas tiré de l’armorial officiel mais il a de la gueule (en couleur du moins).
Je pense qu’avec une bonne carte d’état major tu va trouver, et puis les jeux de pistes ça nous rappelle des souvenirs sympas, la quête, toujours la quête, pas celle de la charité, non la seule la vraie, trouver son chemin et atteindre les buts que l’on s’est fixé.
Superbe bourrache, tu as le chic pour nous imager des situations.
Bon courage d’autres indices suivent. Bonne soirée à tout le monde, le vent d’autan (en emporte l’évent) ça fatigue la tête, déjà mes mots ne sont plus droits.
Qu’il y a-t-il ?
De mystérieuse vie,
De l’autre, l’inconnu(e),
Du geste qui conduit le chant clair du silence.
Est-il (elle) à cet instant
Invisible et présent(e);
D’y penser est-ce vrai,
Ou signe d’existence?
Encore un soir volage,
Des folies rougeoyantes, un drame de nuages,
Les ombres satinées privées de nos visages.
Entrons dans nos ténèbres
Où les mots d’or se cherchent
A peine déposés aux lèvres veloutées.
Un souffle familier,
Une infime faveur,
Eveille l’eau dormante;
Le rêve effleuré
S’en va à l’aventure,
T’envahit sans te dire
Où sont les mers lunaires.
J’ai gravé noir sur blanc
Le vide et le fuyant
D’une étreinte impalpable,
Un fleuve qui m’emporte et le sable s’épuise au fil des grands courants.
Qu’y a-t-il?
Des reflets, des méandres,
Des sons imperceptibles
Pour ceux qui ne voient pas.
Au gré du vent
Et des cours d’eau
Il va errant
A fleur de peau
Il déambule
Au fil du temps
En somnambule
Le cœur vacant
Au long des jours
Et des chemins
Il vit d’amour
Et de chagrins
Bien trop rebelle
Pour s’habituer
A notre ciel
Moins étoilé
Pierrot lunaire
si dérangeant
Pour les hommes fiers
Et bien pensant
Au gré du vent
Et des cours d’eau
Il va errant
Au fil de l’eau
Jeu de piste Thierry (suite) :
On tourne autour du Po (fortune de Bourrache !)
Exit la deuxième proposition.
Un doute sur la première, mais le blason n’a pas de rouge.
Troisième proposition :
ça commence par un L, ça se termine par un E :
1° 24′ 03 » ; 43°27’10 »
Ya du rouge dans le blason ?
Coordonnées sur Géoportail, En les rentrant, ça t’envoie direct sur le lieu concerné…
Dis moi au moins si c’est sur le bon chemin,
sacrebleu, toute la famille est en train de plancher !
@+
Christineeeeeeeee
Dormi ra
Ra bat-joie
Joie de vivre
Vivre libre
Libre ment
Mentira
Ras-le-bol
Bol de thé
Théodor
Dormira ou ne dormira pas
C’est mon choix
et personne ne me l’imposera
na !
C’est la sortie des classes, là ?
Et l’institutrice qui est pas là pour ramener ses brebis et ses moutons dans les rangs … tout le monde en profite !
Dites, faites gaffe : regardez à gauche, à droite, à gauche, avant de traverser, hein, les enfants !
Surtout, n’oubliez pas de prendre par la main les quelques timides qui ont un peu froid (Sabine, Monique, Rachel, Nath ..). La traversée leur paraîtra plus rassurante …
A ceux qui s’inquiètent un peu de ma réserve, je reviens doucement vers vous et je vais bien 😉 Je préfère faire des pauses quand je ne me sens pas d’attaque plutôt que de dire n’importe quoi 😉 Merci de votre compréhension.
>regard :
Superbe regard ! C’est beau cette écharpe ! merci à toi.
>Bourrache :
Clin d’œil vers toi ! Non, non, la cote est stable 😉
>Christineeeee :
Je ne me couche jamais tôt car ma vie privée est mêlée à ma vie professionnelle. Il m’arrive de travailler la nuit car j’y trouve davantage de calme et d’inspiration 😉
Les Toulousains arrivent en force 😉 Quel jeu de piste en tout cas ! Merci à toi.
>Corinne :
Joli, subtil, fragile et éphémère. Merci pour ta belle écriture.
>Thierry :
Merci à toi, tu habites dans une belle région !
>Pierre :
Belle journée en devenir à travers tes mots. Vois-tu la Loire de chez toi ?
>Maria :
Beau poème entre deux mondes. Merci pour tes pensées musicales, je t’embrasse.
>Marc :
Superbe poème émouvant, marc ! Merci pour ta belle écriture.
>Monique :
Magnifiques haïkus en abstraction et émotion! Belle osmose avec ces éléments que tu connais si bien. Merci beaucoup !
>tubermamie :
Bonjour et bienvenue sur le blog 😉 Oui je lis tout et essaie de dire ce que je ressens avec sincérité. Et quand je ne le sens pas ou que je n’arrive pas à m’exprimer en mots comme c’est un peu le cas en ce moment, je préfère me taire 😉 Ca n’arrive pas souvent ; il faut dire que le niveau des poètes du blog est plutôt élevé 😉 Tu sembles bien connaître ces lieux vu la façon dont tu exprimes ton ressenti poétique. Au plaisir de te revoir ici et un grand merci !
>Michel b :
La nuit fut bonne, calme plat et lisse. Merci à toi.
>Salomé :
Beaucoup de subitlité, de délicatesse dans cette évocation de petit matin ! Belle immersion dans les photos. Merci Salomé pour ta plume sensible.
>sabine :
Le grand vide du week-end, sabine 😉 Ca fait beaucoup de bien de temps en temps. On ne peut pas toujours courir. Bises vers toi.
>Nath :
Ton poème est très émouvant, nath. Comme il te ressemble. Il faut toujours croire en ce que la vie peut donner de meilleur même dans le noir car la lumière parvient toujours à se faufiler. A ta dernière strophe, je réponds Oui. je t’embrasse bien fort.
>Alix :
Merci de prendre de mes nouvelles, Alix 😉 Je ne suis plus flagada et je retrouve l’énergie peu à peu. Merci pour ton beau poème liguérien à propos de ce fleuve qu etu connais si bien. Je t’embrasse.
>Bernard :
Splendide abstraction poétique ! Que ta plume est belle et vivante, Bernard ! Un grand merci pour ton beau retour.
>rachel :
Bravo pour ton poème simple, fluide, clair dont les mots glissent au fil de l’eau. Merci également pour ton humour 😉 Bonne soirée.
> Christine: derniers indices définitifs
l’église de ce charmant village est au croisement des CD94 et 54,d’un côté on descend vers Auzielle, de l’autre on va vers Aigrefeuille et si on continue tout droit on arrive à Préserville, difficile d’être plus précis!
Cependant il me semble que tu touches au but et que ta persévérance est enfin récompensée.
Content d’avoir de tes nouvelles, Ossiane, le pays est superbe mais le vent décoiffe …surtout en ce moment, mais ça peut énerver ou faire dormir.
> Ossiane: je ne vois pas malheureusement la Loire de chez moi. Je suis au bord d’un de ses petits affluents de la rive droite, à 2 km à peine à vol d’oiseau.
A défaut de la voir, je bénéficie de ses ciels et c’est déjà tout un avoir.
Je t’embrasse .
>Thierry !
J’ai trouvé !!
1°33′ 58″ ; 43° 33′ 24″ qui commence par L et se termine par E !
(tu peux me confirmer ?)
Je connais un haut
Château d’eau
Aux couleurs très remarquables
Dominant la Marcaissonne
Nous le ralions de temps en temps
En ballade à cheval !
De ton clocher à mon clocher
20 km les séparent
C’est pas bien loin,
Et pour le vent
C’est confirmé,
Il me décoiffe
Avant de te décoiffer !
Et pour le jeu de piste
Me suis bien amusée !
Biseeeeees ventéeeeeees
Sommeil….
En mon sommeil,
Me suis rappellé,
Une fourchette.
ça parait con,
dit comme ça…
Une fourchette,
au détour des ans
S’était envolée.
Puis, au détour des ans,
Revenue.
Entre les deux,
Jamais, jamais oublié,
que j’ava
Thierry, Christineeeeeee
Par hasard, pur hasard, n’y aurait-il pas dans votre coin un « MOSCOU », pas très loin, à quelques kilomètres et un A aprés le premier L et un L avant le E final…et un code postal 3165.?
Aspe…
….oups….
Pardon….erreur de tpouche clavier…..
…Que j’avais perdu ma fourchette.
Parfois, souvent,
Je la sens.
Elle est accrochée,
A moi.
Pour toujours.
Parfois,
Elle pleure.
Oui,
Fourchete pleure….
Moi,
Qui avance toujours,
De plus en plus près,
du fond du gouffre.
Je lui écris,
Je lui dis :
Pleure pas !
Pleure pas !
Et aussi :
Descends,
si tu veux.
Tu remonteras.
Si tu remontes pas,
je t’accrocherai , fourchette,
à mon bras.
Je suis barge, yes i do.
Tu le sais.
Mémoire…
Bonsoir à tous à qui la nuit vient mettre un terme aux jeux de piste, et devinettes géographiques.
___
Sur le miroir de l’eau
De la Loire tourangelle
En eaux fortes, le ciel
Imprime son humeur,
Il fixe en mon âme
Les couleurs du soir.
Il pleut sur le fleuve
Une myriade d’étoiles
En notes cristallines
Aux reflets d’argent,
En métal précieux
Aux couleurs lavées,
Images tranquilles,
Sons du triangle,
tintements et clapotis
Me bercent dans mon lit
Au baldaquin de soie blanche
bleu et or
Jours étincelants
Rires éclatants
Océan d’espoir
Gris et bistre
Par ces actes cyniques
Ces actes inciviques
L’homme l’a blessée
noir et pourpre
Le sang de la terre
Se mele à la nuit
Et eradique la vie
bonne soiré a vous
Ossiane pensée vers toi
Aspe !
Repérée
La petite capitale de Russie
Pas loin aussi,
C’est de là que t’écris ?
Si c’est le cas
le Hasard fait les choses
de bien curieuse manière !
Attends ta réponse !
Christineeeeeeeeeeee
Christineeeeeeeeeeee
Non je ne suis pas dans le coin, mais j’y suis passé par le passé…, et pas plus tard que mercredi j’étais dans la capitale régionale (toute rose) pour mon travail (je bouge pas mal)…Et puis les Pyrénées…
>fauki :
J’étais loin de m’imaginer que les fourchettes pouvaient être un point de départ pour faire de la poésie 😉 Merci à toi.
>Monique :
Bonne nuit Monique, merci encore une fois pour ce poème lumineux et coloré. Je t’embrasse.
>marc :
De la couleur pour toi aussi dans le noir. Les couleurs de la vie dans toute sa complexité. Bise de nuit.
>Christine et Aspe: dans le mille, vous avez vu juste, un drôle de chateu d’eau écolo et un code postal à qui il manque un zéro, pour le reste les ailes battent
et les corneilles guettent, mais ça baille aussi dans les reliefs adoucis entre Saune et Marcaissone, des tambours parfois ça résonne.
Pour toi Aspe notre sainte mère russie a fait une spécialité goûteuse du Côté d’oloron, entre Béarn et pays basque, un coin superbe ue j’ai visité il y a longtemps, aime tu le village des abeilles c’est un autre bon souvenir avec le jurançon avec ou sans ail.
Bonne journée à tout les deux et bravo pour votre perspicacité.
Merci encore à Ossiane qui nous relie et nous relis et nous propose maintenant ses bras pour nous reposer 😉
Thierry,
si tu retournes à Oloron-Ste-Marie, passe chez ARTIGAREDE, j’ai un petit faible pour le petit « Russe » …mais celui d’Asasp-Arros n’est pas mal non plus …
Et le Jurançon…
Merci Aspe, mais telle était bien mon intention et je me suis toujours demandé si ce n’était pas l’amour des manéges et des montagnes…russes qui avaient conduit à cette appelation surprenante au premier chef.
Quand au Jurançon la cave de Gant en a du bon mais vers Moneins c’est vraiment top , vincent Labatut par exemple ! quel délice.
Bonne soirée
>Aspe et Thierry:
Je j’immisce dans votre conversation;-) Gros manseng, petit manseng, j »aime beaucoup le Jurançon sec et moëlleux. Je ne connais pas le domaine que tu mentionnes mais je le note. Je t’en cite deux que je te recommande chaudement, Domaine Cauhapé et Clos Uroulat qui font partie des tout meileurs de votre belle région. Bien à vous deux.
Ah! Dormir!
Le cauchemar de la maladie
S’irradie
Dans ta tête!
Ah! Dormir!
Rêver,
Voyager
Dans l’espace.
Ni temps, ni mémoire
Ni peur, ni douleur.
rien, rien …
Ah! Dormir!
La nuit s’allonge
C’est un songe.
Et tout d’un coup
Pas de noir
C’est le tout.
Le matin
De satin
Te baigne d’espoir
Ah! Se reveiller!
Se reveiller pour la vie!
– – – – – – – – –
Merci Ossiane
Merci Rachel de tes sincères pensées.
Merci à tous
>Ossiane: oui le cauhapé c’est du tout bon mais j’ai un faible pour le moelleux
et j’ai bu ma dernière bouteille de 90, (1990 je te rassure) il n’y a pas longtemps hélas ! Merci pour ton partage, c’est vrai que nous sommes attachés à ces produits pyrénéens qui exhalent tant de riches senteurs.
bonne nuit.
>Thierry:
J’aime le sec et le moëlleux;-) Ils étaient de 1997 et 1998. Aromatiques, riches et complexes à souhait;-)
>Neyde:
Comme cette note doit résonner fort en toi. Tu vas enfin pouvoir retrouver le royaume des rêves, de l’imaginaire et de nouveau flotter dans la nuit.
> Ossiane: petit fils de vigneron je suis, entre Arbois, Sauvignon et Gamay de Touraine, entre Cot et Cabernet du côté de Blois,entre fraises et asperges, cornichons et cochons ; souvenirs emmélés de soufre et de foudre, de boisé et d’alambic, de tanins et de fouloir, de pressoir et de moût.
J’aime tant le gras des sucres et voir ces ménisques jouer sous la lumière non pour donner du genou mais coller au verre cette sirupeuse impression qui agace plus qu’elle ne glace, et appelle la lampée pour sans gâter le goût affiner le palais.
J’aime plonger mon nez dans un grand verre, sans me déballonner, y errer sans m’énivrer; m’y livrer à une introspective fouille, et que lentement les suaves alcoalates m’imprégnent , me chatouillent les papilles, me fouaillent et me tirent de la rêverie ambiante.
Bonne journée
quelques jours de relache pour remettre du jus et plus de temps pour épancher les souvenirs chers et anciens.
>Thierry;
Joli berceau où tu es né; je connais pas mal de vins des régions que tu mentionnes. Très belle région gastronomique également. Bon break.
ô faute de frappe
l’icône émerge entre la courbe des eaux
origine du monde
(cf. Courbet l’Origine du Monde)
comptes, comptes les moutons
comptes, comptes les brebis
comptes, comptes dans l’édredon
et bientôt tombes endormi