Lecture du Haïku Calligramme: droite, gauche, centre.
Lumière d’ocre
Tu inondes mes parois
Fenêtres d’azur
◊ Fanou et Bernard se sont emparés avec émotion de ce palais d’ocre. Beaucoup de souffle dans leurs mots.
Ocre chair de terre, ma blonde pierre éveillée de regards bleus,
« Ouvre à mes désirs des cieux d’airs purs et d’infinies rencontres,
Chante aux arbres millénaires l’éclat de l’orbe sacré,
Offre aux ombres vertes aux fraîches frondaisons
L’apaisement d’une harmonie savante ».
Hier,
Aux marches du palais,
Nous dormirions ensemble.
Mon nid est un palais,
d’où je refais le monde en rêve
bien au sec sous les étais
d’un toit de tuiles qui se soulèvent.
Lorsque le mistral trop violent
me ramènent les rires, les humeurs,
les échos d’un songe d’enfant,
leurs espoirs d’un monde meilleur.
Ma seule fenêtre est grande ouverte
où l’aurore inonde sa féerie,
je régne au dessus de la nature si verte!
les murs se parent de couleurs d’orfévrerie.
Mon domaine s’étend sur l’horizon,
je suis riche d’espace libre,
les oiseaux sont parfois polissons
ils survolent ma pitance et mes livres.
Ils sont ma joie, les amis de solitude,
s’étonnent parfois de mes guenilles
je me console de leur sollicitude
il n’est d’yeux qui se dessillent!…
Je suis leur reine sans palais!!!
c’est dans un chant d’amour que je vais « gouverner »
pour cette nature qu’il faut protèger!!!
◊ Photo de l’arrière de la villa Olmo à Côme.
Mon nid est un palais,
d’où je refais le monde en rêve
bien au sec sous les étais
d’un toit de tuiles qui se soulèvent.
Lorsque le mistral trop violent
me ramènent les rires, les humeurs,
les échos d’un songe d’enfant,
l’espoir d’un monde meilleur.
Ma seule fenêtre est grande ouverte
où l’aurore inonde sa féerie,
je régne au dessus de la nature si verte!
les murs se parent de couleurs d’orfévrerie.
Mon domaine s’étend sur l’horizon,
je suis riche d’espace libre,
les oiseaux sont parfois polissons
ils survolent ma pitance et mes livres.
Ils sont ma joie, les amis de solitude,
s’étonnent parfois de mes guenilles
je me console de leur sollicitude
il n’est d’yeux qui se dessillent!…
Je suis leur reine sans palais!!!
c’est dans un chant d’amour que je vais « gouverner »
pour cette nature qu’il faut protèger!!!
Joyau oublié
Dans un écrin de verdure
Harmonie d’ocres
Ocre chair de terre, ma blonde pierre éveillée de regards bleus,
« Ouvre à mes désirs des cieux d’airs purs et d’infinies rencontres,
Chante aux arbres millénaires l’éclat de l’orbe sacré,
Offre aux ombres vertes aux fraîches frondaisons
L’apaisement d’une harmonie savante ».
Hier,
Aux marches du palais,
Nous dormirions ensemble.
Calligramme et Haïku magnifiques
Je t’embrasse Ossiane
____
Fresque murale
Vestige d’un autre temps
Jaune de Naples
« Je t’inventerai
Des mots insensés
Que tu comprendras » Brel
Palais sur la colline
couleur de crème anglaise
garde ses distances
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Nouveaux commentaires sur:
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https://blog.ossiane.photo/2007/05/04/observatoire/#comments
https://blog.ossiane.photo/2007/02/26/deux/#comments
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Un petit coffret à joyaux
Une pièce pour le musicien
Qui compose le rythme
Du temps délicat
Une autre pour le modèle
En Nature qui se pose
Sur le chevalet de couleurs
Et encore cette plume
Aimante du monde
Qui nage la page blanche
La couturière crée une robe
Façonnée aux odeurs de l’été
Qui sera porté aux nues
Des pièces et des pièces de vie
Qui se vivent pleine vie
Pour la donner à d’autres
Nigra,
j aime beaucoup relire les mots de Jacques Brel qui diling mon tit coeur.
J’adore….les murmures du coeur inventés jamais dits juste doucement inventés dans la beauté de l instant avec l’aimé’e’….
Regard complice
rivière d’artifices
parer au pire
Sous l’ocre des lumières
surgit Oh sagesse en sanguine nature
Emerge ta beauté de tes rayons lumineux.
Je ne m’en lasse pas de ce petit coin de paradis !!
Bises Ossiane
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>>>>>>>>>A tous:
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Bernard a donné les résultats de son jeu poétique sur:
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https://blog.ossiane.photo/2007/04/30/photo-calligramme-haikus-avril-2007/#comments
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Magnifique Fanou et Bernard, j avais adoré à la lecture.. c’est fort tendre et délicat, et aérien, féérique, une bise d’un souffle beau..
Palais
Tu me fais tienne
Je te fais mienne
Parure
Bravo à vous
Bernard et Fanou
Gros bisous
Ton calligramme du jour m’emmène à Venise
Un palais vénitien
Un rêve de lagune
Se lève dans la brume
Des maques vénitiens
Un bal s’annonce
Costumes et parures
Au palais du vieux doge
La fête bât son train
Dans ce palais antique
Courant sous les portiques
Des couples roucoulent
Sous des jeux de masques
Venise dorée
Venise poudrée
Venise grimée
Venise adorée
Un palais ancien
Amphithéâtre flavien
Terre de sienne
Ça donne envie de
Faire les bagages
Et de s’envoler
Vers ce lac magnifique
Mais le plus merveilleux
C’est que l’on pas besoin
Ni de bagages, ni de s’envoler
Pour ce pays de belles poèsies,
De Bernard et Fanou et de tous.
Bernard
Fanou
parmi nous
Les deux
et un palais mystérieux:
Mille fenêtres
aucune porte.
Bravo à vous.
Vous avez dévoilé le palais!
Bises
hors sujet ..(pardon ossiane )
Ogre trouverait son étymologie dans hongrois
Ténèbres d’ogre
Tu inondes les François
Visions d’obscur
Feu
Au palais de l’Elysée
Feu
Au palais d’hiver
Or
A tous les étages
Or
Qui défie le ciel
Parure
D’incendies
Parure
Orgueilleuse
Ocre
Sang de la terre
Ocre
Cri des moissons
Lumières
Qui dorment dans la pierre
Lumières
Qui rient dans l’ombre
Fenêtres
Rets pour le jour
Fenêtres
Sans regards
poésie clandestine
m’as-tu entendue
mes pas sur la terre nue
dans les ruelles embrasées
sans mystère pour le soleil
m’as-tu entendue
les pans de ma burka
couleur de bleu des sables
frôlant le pied des murailles
m’as-tu entendue
l’air frais des moucharabiehs
où filtre le silence ténu
de nos langages muets
m’as-tu entendue
la fenêtre à jalousie
inondant notre chambre
où tes pensées s’envolent
m’as-tu entendue
j’ai écouté les murmures
j’ai deviné les craintes
j’ai perçu les douleurs
ouvre-moi je suis là
notre prison est un palais
où nos voix s’apprivoisent
enfin nos mains se touchent
berce-moi je suis là
des misères faire un courage
de nos pleurs faire un cantique
de nos mots faire un poème
bonsoir les amis,
une grand merci pour vos impressions,et à toi Ossiane pour tes choix.
je suis touchée….en plein vol! javais du mal à sortir des élections, et je vous ai fait partager mes univers. ceux qui me permettent de supporter les « n’importes quoi ». de ce monde.
ici, au salon, nous le refaisons chaque jour , à coups de mots, d’échange d’amitiè, d’amour…. et si c’était çà la solution?
aller dire çà aux hommes de la politique !
j’ai fait deux rectificatifs au texte que j’ai écrit une fois de + trop vite!
il faut lire:
lorsque le mistral trop violent
me ramène les rires, les humeurs,
les échos d’un songe d’enfant,
l’espoir d’un monde meilleur.
bonsoir au salon, et tendresse à vous tousssssssss
Merci Ossiane de m’ouvrir ta porte
en compagnie de Cendrillon, qui nous offre un poème si naturel!
Et je vois qu’elle est accompagnée de charmantes princesses…Merci Annick, Neyde et Maria!
Je découvre ce soir votre blog. Il me fait un bien fou. Comme vous pouvez le lire sur mon blog de ce jour j’avais l’intention ce soir de prendre un bouquin afin de m’évader de ce monde de l’argent, de la finance et autres qui font la fête… Par hasard je tombe sur votre blog et là je m’évade en liant la poésie à la photo…. tout un programme et pourtant… en effet cela fait des années que mes photos sont interpretées par des poètes lors de mes expos. Je débute une nlle exposition à Paris et ce serait avec une grande joie de vous inviter ce jeudi 10 mai au vernissage de celle-ci. VIve la Phoésie ( association PhotoPoésie que je suis entrain de créer ) et encore Merci, ma soirée est sauvée
Pari tenu
Bouddha peste
ta douce rigueur,
rongée par la pelouse,
s’est enracinée
des bribes de ciel bleu
tisser les voiles du navire
planter le décor
Dans ce palais,
Je me suis perdu,
A la recherche de ma Princesse,
Elle avait quitté les lieux,
Je me suis installé devant un bureau,
J’ai griffonné quelques mots,
De tristesse, de solitude,
Et d’amour,
J’ai franchi les portes,
Pour continuer ma quête…
Bisous Ossiane et à vous tous,
OLIVIER
correction
………………………
à la place de:
« dans la ruelle ensoleillée
sans mystère pour le soleil »
………………………
lire:
« dans les ruelles embrasées
sans mystère pour le soleil »
………………………..
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Nouveaux commentaires sur:
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https://blog.ossiane.photo/2006/02/21/2006_02_impromptu/#comments
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>>>>>A tous :
J’ai du mal à trouver du temps pour vous répondre car j’ai des choses urgentes à boucler. Je serai plus rapide dans mes commentaires.
>Fanou et Bernard :
J’ai bien aimé vos poèmes ; vous n’avez pas eu peur de vous moiller dans toute cette ocre qui fait remonter des choses en surface. Bien à vous deux.
Fanou, j’ai corrigé ton poème. Bises.
>Pierre (2) :
Jolie idée ce joyau ; il est vrai que ce sont de villas comme on voit pas très souvent. Bises.
>Maria-D :
J’aime beaucoup tes trois poèmes qui évoquent des temps anciens, la magie de Venise et bien sûr les couelurs si chaudes de la méditerranée. Belle plume tu as, Maria. Je t’embrasse.
>Pam :
Miam, miam 😉 Un peu pimbêche cette villa 😉 Ton association d’idée est amusante 😉 Merci chère Pam, bonne journée.
>nigra :
Je crois comprendre, Nigra, merci à toi.
>Annick :
Ton poème est très réussi avec ce chevalet, cette robe et cette évocation de la musique; il me rappelle l’ambiance du film Meurtre dans un jardin anglais de Peter Greenaway. Merci Annick, je t’embrasse.
>Feu roméo :
Je crois voir à quoi tu fais allusion pour ton premier poème 😉 Merci à toi.
>Bruno :
Beau poème, Bruno qui te change de la prose poétique que as l’habitude d’utiliser 😉 J’ai du mal à quitter ce coin aussi 😉 Bises.
>Cristina :
Toujours tes pensées adorables qui viennent de si loin et qui nous touchent, Cristina. Je t’embrasse.
>amichel :
Tu es tout à fait pardonné, je suis sur la même longueur d’ondes que toi 😉 Ton passage sur l’ocre est magnifique dans son symbolisme par rapport à l’or de l’apparat. Fais attention à la sortie 😉 Je t’embrasse.
>bouldegom :
Ton premier poème est magnifique, bouldegom. Superbe poésie clandestine dans l’univers du sable. Tes haïkus respirent l’espoir. Et ce texte de Nougaro que tu as bien fait de faire remonter à la surface. J’ai corrigé ton poème. Belle après-midi.
> Boutillot-cauquil :
Si j’avais su que mon blog pouvait être bienfaisant, je l’aurais commencé plus tôt 😉 Bonjour Denis, je vous remercie pour ces impressions qui me font très plaisir. Le rêve, l’imaginaire, l’humour, la poésie, la création sont des petite bulles d’espérance et de bonheur à saisir quand ils sont à portée de main pour s’évader. Mots et images font un bon duo car ils expriment tous les deux des émotions qui sont d’autant plus fortes lorsqu’elles sont conjuguées. Dès que j’ai un peu de temps, j’irai vous rendre visite. Très touchée par votre invitation à laquelle je me serai rendue avec plaisir mais malheureusement, je ne vis pas à Paris. Vous êtes le bienvenu sur le blog, au plaisir de vous revoir ici.
>brigetoun :
Hé oui, Brigitte, ce palais est bien campé sur ses fondations dans ce petit trou de verdure. Merci pour le bel haïku.
>Olivier :
Beau poème Olivier plein de la sensibilité qui te caractérise. Belle quête à continuer sans relâche ; je t’embrasse.
S’explose un bouquet de fleurs
En plein dans le mille
Et dégouline l’opaline
Tandis que s’échappe le bonheur
Le ventre de la maison git ouvert
Et l’oeil de passage se sert
Il y a tant à voir l’univers
Tant de mystères que la vie fait faire
Et le pied marche la pierre devenue sable
Le même qui construisit ce palais
Le panier se remplit des années
Et la vie encore une fois écrit sa fable
Certains jours
Le souvenir est trop fort
Certains jours
On n’est paré à rien
Certains jours
Tout tourne mal
Certains jours
Sont si gris…
Certains jours
Les fidèles se manifestent
Certains jours
Un rayon de soleil inattendu se dévoile
Certains jours…
Force toi à sourire
Les étoiles ne disparaissent
Jamais …
Je hais les jours de longue absence
et puis ceux là qui nous foudroient
Il y a des jours sans espérance
de tristes jours comme une croix
J’aime les jours de connivence
au point du jour
au jour le jour
>Annick:
Tu ouvres les fenêtres et laisse échapper tes mots colorés avec plénitude et bonheur. Ca explose de partout, c’est riche, c’est gai, c’est la vie. Ton moral est au plus haut ce soir;-) Je t’embrasse.
>Nigra:
Superbe encore une fois! Simple, beau et fort. J’aime la façon dont tu déroules tes idées noires et ton approche très construite qui aboutit à la lumière d’un sourire, à la beauté de la vie. Bravo à toi.
>feu roméo:
C’est beau aussi Roméo! Cette ocre en vient à évoquer des choses sombres mais toujours avec la petite lueur d’espérance qui donne envie de continuer. Finalement, vous trouvez plein de choses à dire autour de ce palais alors que je doutais de mon choix au départ. Merci pour ta sensibilité.
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Nouveaux commentaires sur:
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https://blog.ossiane.photo/2007/05/04/observatoire/#comments
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>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>> A tous:
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Je n’ai pas réussi à dégager de temps pour réaliser la note que je prévoyais de publier ce soir. Je vais devoir la reporter à demain. Je dois boucler un projet en urgence. J’ai encore de longues heures de travail devant moi cette nuit.
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Merci à vous d’être là si fidèles. Amitiés.
Ossiane
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Rêve de beauté
Rêve de faste
Rêve de succulence
Oh, un vacherin mandarine !!
Olivier,
Ta princesse est là, sûrement !
Là, Trop prêt pour la voir,
Trop loin pour l’imaginer
Trop seule, pour la discerner dans la foule.
SEUL ton cœur te guidera vers elle
Tes yeux pour l’exhaler
Ton sourire pour la convaincre
Ton inconnaissance pour la faire renaître.
Notre princesse est celle que l’on regarde avec le cœur…
Et si elle ressemblait à Cendrillon ! (Relire la note de Bernard !)
Il suffit de laisser sa porte ouverte (ou d’en confier la clef !) (Plus efficace dans ce monde de ouf…)
Et surtout d’ouvrir grand la fenêtre pour y faire pénétrer la lumière…une princesse en a grand besoin …
(Je ne te garantie pas le résultat de cette recette, mais j’espère au moins que ton sourire s’est affiché sur ton visage…)
Bonne journée à vous tous,
intérieur de soi
dans le coffret à bijoux
des aigues-marines
Parure
Ici, dans cette villa éclairée par Ossiane
Des vers fusent de diverses ramures
De grands coeurs se cachent derrière ces armures
Qu’il fait bon se balancer à toutes ces lianes.
Donner aux autres, faire rêver : telle est la devise
Ecrire pour le plaisir, Ecrire pour faire plaisir
Ecrire pour partager nos douleurs, nos joies : c’est notre élixir !
Ecrire l’amour, écrire la passion, sur le papier, cette bise.
Chacun trouve ses mots, chacun trouve sa place
Chacun son style, moderne ou d’antan, passionné(e) ou las(se)
Chacun ajoutant son bijou à cette magnifique parure
Merci Ossiane, merci à vous, je vous quitte mais je reviendrai, c’est sûr !
Chris
le bonjour en passant, je vous relirai en toute tranquillité, dans l’après midi, je vous emmène en ballade en campagne…bises.
votre passage comme une plume m’ a beaucoup plu,mais apres vous le l’ avoir dit ,j’ ai oublié de signer le nom sansdoute.Bonne promenade et peut être donnerez vous de vos nouvelles ?Elles seront les bien venues.
Donc a bientôt? Noisette.
Bon voyage Chris sur votre sentier d’écriture
nos mots voleront vers vous
et les votre un jour nous reviendront
Merci
Palais de vanille
Je te hume je te goûte
Parfums des îles
___
Bisous Ossiane
grands fonds
couchées sur les galets
les balustres du vaisseau
laissent échapper les bulles
des chants
modulés par les vagues
enlisée dans les sables
l’armature des diadèmes
laisse voir les traces
des pierres
érodées par les vagues
englouties par les eaux
les barreaux des prisons
laissent entrer les couleurs
de l’azur
détrempé par les vagues
extirpés des grands fonds
les vestiges du temps
laissent entendre les remous
de la terre
submergée par les vagues
hissés à la surface
les palais de mes rêves
laissent résonner les voix
des bardes
emportés par le vent
enchantés par le ciel
les contes et légendes
laissent dire les mystères
des hommes
égarés dans l’espace
>MTO:
Pêché de gourmandise, MTO;-) Ce palais se transforme en un rêve de sucre coloré. Tu as l’air de bien connaître le vacherin mandarine;-) Merci pour ton humour.
>Fanou:
Olivier sera touché par tes mots.
>Bouldegom:
Magnifiques poèmes plein d’élan et de souffle. Tu as créé un superbe univers proche du rêve intérieur autour de ce vaisseau échoué. Bravo à toi.
>Chris:
Merci de ta gentillesse et de tes mots, Chris. Tu ne peux pas me faire plus plaisir en me disant que tu reçois ces images de cette façon.
Images qui vous donnent matière à rêver, à imaginer et écrire. C’est un très beau cadeau que vous me faites à chaque fois et qui me donne toujours envie de continuer. Bon voyage à toi et reviens-nous vite!
>Annick:
Bonne balade, Annick.
>Noisette:
Je vais bien malgré ma nuit courte et je m’en vais préparer ma nouvelle note. Bien à vous.
>Maria-D:
Bisous Maria; il est temps que je publie une nouvelle note car mon palais est train de fondre sous le sucre et vos papilles gourmandes;-)
je m en prendrai bien une belle tranche ..
du palais des amours..en palais tendre…..
alors je m’en prends une bonne tranche …
je souhaite ta journée pas trop chargée et ton sommeil plus long ce soir, Ossiane, prends soin de toi. BIses.
Après tout, je vais peut-être rester
Car ici, tout le monde prend soin de ces pensées
Parfois, il est dur de garder l’oeil ouvert
Ce monde, maintenant plongé à l’envers
D’un élan, je me remet alors à écrire
Juste quelques mots, pour vous dire
Avec ma touche musicale si caractéristique
Mon accord à moi, c’est la douceur
Si je puis apaiser quelque peu votre douleur
J’en serais ravi. Vous êtes dans la confidence.
Chris
Aire gourmande
Tranche napolitaine
C’est l’heure du thé
j’aime toujours autant
passer ici
me laisser porter par
les formes des mots
du rendu des photos
faut, pourtant,
se frayer un passage au milieu de tous les
commentaires.
l’affluence ne nuit pas
elle témoigne de l’attachement
à la qualité
d’ici.
biZ.
Laurent
La façade se farde et parade
Avec un peu de poudre aux yeux
Elle se fait belle et le veux
Et surgit tout feu dehors
Puissante et fière.
Tandis que sous les arbres
Des enfants jouent et rient
Ou qu’au temple de l’Amour
Se nouent des serments en secret.
Un théâtre, vous dis-je.
Amadeus, à l’affiche, ce soir.
>Annick :
Merci de ton conseil mais je ne vais pas si mal que ça malgré ma plongée dans le sommeil vers 5h du matin. Je suis contente, j’ai bouclé ce que j’avais à faire. Tu as droit à deux tranches, gourmande 😉
>Chris :
Il ne faut pas grand-chose pour te dissuader de partir 😉 Un très bon accord la douceur qui permet de prendre les choses avec philosophie. Merci Chris d’être là.
>Maria-D :
Tu as bien choisi ton heure pour écrire ce haïku 😉 Comme Annick, tu as droit à deux parts 😉
Bises.
>Immemory :
Bonsoir Laurent, tes mots me touchent et je pense que la qualité photographique et humaine de ton blog exercent également une grande attirance. Les gens vont et viennent comme ils veulent, déposent leurs mots librement par pur plaisir d’écrire, de découvrir, de partager. Bonne fin de soirée. Je t’embrasse.
>Pierre (2) de Loire 😉
Superbe poème qui intègre les éléments et les secrets avoués de ce jardin. Théâtre en parure d’ocre pour un fabuleux programme musical. Quels beaux concerts on pourrait organiser en ce lieu. Merci Pierre, je t’embrasse.
Et PASOLINI poète de dire :
« …Ah! Non posso
neanche pronunciaire questa parola della passioni… »
« …Ah! je ne peux même pas prononcer ce mot des passions… »
significatives craintes
doutes
et la haine et la gloire
plus cruelles et mortelles que le désir même
la médiation du vivant
confrontée à l’expérience de l’absolu
nul refuge
nulle halte
harcelé de lui même
Pocolo PASOLINI
je ne peux prononcer ce mot des passions
signification
d’un signe
bleuté d’espaces rectilignes
« prendre d’assauts …Les poursuites brèves
tentations d’eaux
dans les coulisses de l’espérance…
Parure
Pour ce collier de pierres
j’ai descendu à la rivière
pour qu’il donne sa lumière
Porte le à ton cou !
Alain