étoile filante
bonheur menthe à l’eau
la voyageuse
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shooting star
happiness mint water
the traveller
L'Oeil Ouvert : photo et poésie
Haïkus et calligrammes, rêverie sur le monde… le voyage imaginaire d'Ossiane
étoile filante
bonheur menthe à l’eau
la voyageuse
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happiness mint water
the traveller
Juste une voile à l’horizon et déjà une impression d’aventure, une aile de papillon entre ciel et mer, une bouteille à la mer, un message du petit pigeon voyageur, un sourire qui se profile au loin ; un haïku plein de fraîcheur des mots de toi, des mots au goût du bleu, au goût du beau. Merci Chère Ossiane
Vers les grands espaces
là où le bonheur exulte
Oiseau migrateur
Où que tu sois ce Jour la Voile te poursuit…
Dans la brume de l’aurore où le regard se perd
Où la couleur du ciel transparaît à peine
Où la mer fait silence sur la voile lointaine
Je savoure l’ample douceur de l’atmosphère
Dans le bleu ou l’eau et le ciel se fondent
Où le silence peut paraître éternel
Où tout devient comme surnaturel
Je laisse mes pensées voguer sur l’onde
Dans cette beauté au monde offert
Où chacun peut puiser sa part de rêve
Où la joie au plus profond de soi s’élève
Je me sens heureuse et l’âme légère
il est beau le haïku,
elle est si belle, l’image,
Cela légère
Et donne force
Dans le tranquille
Qui met les voiles
Pour se respirer
Aimer les ondes
Les belles superbes
Celles que j’aime
belle soirée, Ossiane.
aquarelle en Nord
dans les brumes de chaleur
l’étoile de mer
—
bonjour, j’arrive et je me sens à l’unisson chez vous
Un souffle sur la voile
Le chuchotis des ondes
ô mon ciel comme c’est beau
seule au monde
à fleur du clapotis
errance gris bleue
Vois là à tribord la voile qui monte et s’affiche
s’effiloche quand le loch défile sans pennons ni bannières
amante de l’amer en paille et long drink
elle n’est pas boudeuse de son plaisir
et se love comme la corde sur le pont
attendant le soleil qui réchauffe et qui brasse
Vent arrière, en avant toute, cap à cap, le tenir pour sûr
et sentir les ridoirs se tendre, le pataras vibrer,
et l’écume mousser au sabord
en avant toute, voile ma chérie,
ma si petite mon échappée,
tu es divine dans l’océan,
d’être cette goutte blanche de soi,
dans tout ce bleu cet infini,
ton coeur palpite et je l’entends,
moteur fidèle de l’âme en peines,
qui rame et rame pour avancer,
se blottir tout de contre des ondes,
qui sont si belles de telles lumières…
Bonjour Annick, quelle douce et belle sensibilité dans tes mots, à chacun sa petite voile pour nous accompagner, nous emmener, nous guider, telle une amie fidèle sur la route de la vie.
oui, je souhaite à chacun une petite voile, Monique,
et je reprends tes mots avec une *,
je souhaite tellement
*à chacun sa petite voile
*pour nous accompagner
*pour nous emmener
*pour nous guider,
*telle une amie fidèle
sur la route de la vie
mon coeur ses palpites temps
quand l’amitié sa fidèle
est là et encore là encore
mille pépites de vie
que ce trésor immense
en profondeur extrême
ces lumières si riches
à l’amitié d’amour
belle fin de journée, Monique,
je youpsdegloups dans les dix minutes,
un grand jour,
la découverte pour mon fils et moi,
de la nouvelle dame de la PCH…
sans peurs, sans appréhensions,
dans la tendre confiance avec le temps qui passe,
et qui permet de rebondir avec la précédente dame,
qui part et est libre de sa vie privée à la mener pour elle.
Vent dans les voiles
Souffle
Caresse
Bruissement
Murmure
Sifflement
Rafale
Claque
Secousse
Affrontement
Déchirement
Envolée
Soulèvement
Tourbillon
Tremblement
Instabilité
Fragilité
Ce n’est pas la boudeuse
il n’y a pas de boudoir
pas l’heure des biscuits secs
allo le vent tu nous entends
quand te manifestes tu
pour nous emporter au loin
explorer un bout du coin
Grand pavois ouvre la voie et nous laisse sans voix
tous ces mats et ces vergues en croix quel choix
et c’est à bon droit que les amarres se lâchent
et que les badauds d’esbaudissent
le ciel musarde
vagabond au long cours
fardé de lune
Petite voile
Dis moi
Qui te choisit
Ta voix
Dis au moins
L’entends tu
Cette bouteille
A la mer
Remous
« Toutes ces brumes
Issues de nos chagrins
Tous ces orages
Qui bataillent entre nos tempes
Toutes ces ombres
Qui emmurent l’espérance
Tous ces cris
Qui entravent notre chant
Toutes ces craintes
Qui retiennent nos pas
Toutes les clartés
Qui naissent de ces remous ! »
Andrée Chedid, Territoires du souffle,
Merci Mathilde, pour ce beau texte d’Andrée Chédid.
Hisser la grand’ voile
Partir pour survivre
Au pays des rêves.
oui, merci Mathilde,
j’ai lu et relu vos mots, merci,
sans le dire, je m’en excuse,
merci Jo.S
je les comprend vos mots.
Heinhein,
c’est si bon que *levivre…
Voile
Ma dévoile
Mène moi tendre
Où j’ai envie d’aller
Au plus près de l’amour
à contre-courant
échouer dans le néant
méduser le stress
—
Mettre les voiles
L’expérience de l’unité dévoilée
Vivre la traversée
seul qui sait celle
qui fait souffler
le vent de la vie belle