Lecture du Haïku Calligramme: centre, gauche, droite
un point rouge
la lumière du grand fanal
l’ombre brisée
◊ Le phare de Goulphar sur la côte sauvage de Belle Ile…
L'Oeil Ouvert : photo et poésie
Haïkus et calligrammes, rêverie sur le monde… le voyage imaginaire d'Ossiane
Lecture du Haïku Calligramme: centre, gauche, droite
un point rouge
la lumière du grand fanal
l’ombre brisée
◊ Le phare de Goulphar sur la côte sauvage de Belle Ile…
Le gris bleu
Sorte d’écran fragile
Est un miroir occulte
Vois tes yeux vermillon
Sont pur éclat de verre
Coupe hyperboloïde
Plis d’ombre
De lumière
http://www.redbubble.com/images/clear.gif
Gris net, granit
édicule de gueule
visible au loin
Un regard encore avant de tout oublier
Un point rouge sang pour dernier battement
Le rire des oiseaux sur le monde des hommes.
Balise.
Fidèle.
Fiable.
Espoir.
Des tresses où ça, qui volétent dans le vent ?
Striction qui rend difficile la diction
Détroit qui éloigne des droits
et pourtant fièrement dressé
le message peut adresser
œil du cyclone
au loin une âme crie
blanc de l’œil noirci
désolé un peu triste
mais ce mot me fais penser à mon meilleur ami
dont j’ai déjà parlé plusieurs fois
—-
après une lutte sans merci
contre cette étrange maladie
il a déposé les armes en quelques mots
que l’on dis parfois sans grandes conséquences:
j’en ai marre!
des mots puisés dans ses dernières forces
forces qu’il avait jusqu’à ces mots couperets;
force qu’il nous l’insufflait par son humour
qui ne faiblissait jamais;
même au plus fort de la souffrance!
quelques mots de détresse
quelques mots
pour arrêter de souffrir
pour arrêter de dépérir
quelques mots comme des larmes
pour signifier l’ acceptation de l’inéluctable!
quelques mots comme une dernière volonté
nous avons accompagné ce silence qui s’est imposé
vers la demeure du silence;
silence qui résonne encore en moi!
la détresse est parfois d’une beauté implacable qui ne laisse aucune issue… MA
Coiffé de rouge
contre les vents un bonnet
un amer pour le marin
Bonsoir, Equipage en détresse ?
Et comment voulez- vous,
avec un titre pareil…
Que je vous trouve
quelque chose de rigolo
A vous mettre entre les oreilles ?:!!!
DETRESSE de la feuille
Qui ne se couvre pas
De signes tangibles
A vous faire rire
A tour de bras….
Mais je ne renonce pas…
Vais encore chercher un peu
Pour effacer la détresse
Que je peux lire dans vos yeux
Biseeeeeeeeeeeeeeeees de Christineeeeeeeee
PS pour OSSIANE :
Tu ne me facilites pas la tâche en ce moment !!!!
est-ce qu’on ressemble à ça christineeeeeeee
http://switchie2.files.wordpress.com/2007/10/rembrand_yeux_gd.jpg
où ça :
http://images.doctissimo.fr/private/photo/hd/9473692947/private-category/chat-gros-yeux-16665255b8.jpg
Détresse
Seigneur ! je suis sans pain, sans rêve et sans demeure.
Les hommes m’ont chassé parce que je suis nu,
Et ces frères en vous ne m’ont pas reconnu
Parce que je suis pâle et parce que je pleure.
Je les aime pourtant comme c’était écrit
Et j’ai connu par eux que la vie est amère,
Puisqu’il n’est pas de femme qui veuille être ma mère
Et qu’il n’est pas de coeur qui entende mes cris.
Je sens, autour de moi, que les bruits sont calmés,
Que les hommes sont las de leur fête éternelle.
Il est bien vrai qu’ils sont sourds à ceux qui appellent
Seigneur ! pardonnez-moi s’ils ne m’ont pas aimé !
Seigneur ! j’étais sans rêve et voici que la lune
Ascende le ciel clair comme une route haute.
Je sens que son baiser m’est une pentecôte,
Et j’ai mené ma peine aux confins de sa dune.
Mais j’ai bien faim de pain, Seigneur ! et de baisers,
Un grand besoin d’amour me tourmente et m’obsède,
Et sur mon banc de pierre rude se succèdent
Les fantômes de Celles qui l’auraient apaisé.
Le vol de l’heure émigre en des infinis sombres,
Le ciel plane, un pas se lève dans le silence,
L’aube indique les fûts dans la forêt de l’ombre,
Et c’est la Vie énorme encor qui recommence !
Léon Deubel
Une nuit au large du Cap finistère
Dans le rail des supertankers
Voilà la courroie qui nous lache :
Plus de feux, plus de radar …
Plus de moteur, plus de sonar…
Plus de pompe, l’eau qui monte…
Pas le temps d’avoir la pétoche
On a réparé à la lampe de poche
Après une heure de brinquebale
Ou les vagues brisaient l’ombre
On a mit le cap vers le grand fanal
Puis on a fait le point : rouge !
Aux bistrots de Vigo
C’était plus rigolo
Déjà au Moyen-âge il existait des phares le long des côtes et à l’entrée des ports, ils étaient faits de troncs d’arbres soutenant un balancier permettant l’entretien d’un feu la nuit et de fumées le jour pour aider les marins à se situer à l’approche des ports ou des passages difficiles. J’ai vu une réplique de ce phare ancestral dans un petit port des Charentes Maritimes, c’était ingénieux.
_____
Prévenir pour ne pas avoir à secourir,
Mettre en lumière les points obscurs
Pour limiter les pièges, les menaces
Mais savoir que malgré toutes précautions
Tout danger reste présent, possible
Qu’il est effrayant ce mot détresse
Qui signifie appel au secours, en urgence
Un cri de souffrance, un cri de désespoir
Une demande à l’aide sous forme d ‘SOS
Il est partout ce cri, il n’est pas que sur la mer
Il est là où il y a adversité, danger, misère,
Maladie, peur, angoisse, et désarroi….
Qu’il est effrayant ce mot détresse
Si présent sur notre planète.
______
Ossiane
Très belle image du phare de Goulphar, très bel Haïku et particulièrement suggestif.
Petit bonsoir en passant, merci pour vos beaux écrits! Coucou Emma et merci Bernard pour le signalement du clone d’Ailleurs; c’est corrigé;-)
Je me doutais qu’avec un tel titre, j’allais en bloquer plus d’un;-) Je ne pensais pas forcément à des choses négatives puisque le phrare est censé sauver des vies:-) Signal de détresse et sauvetage à l’autre bout avec des morts parfois, c’est vrai! J’aime les phares avec leurs faisceaux qui balaient le paysage. Des lumières visibles de très loin. Et puis j’ai pensé également à ces penseurs tel Lévi-Strauss pusiqu’il en est question depuis hier qui par la lumière de leurs pensées éclairent la vie d’une cité et l’empêche de sombrer dans les ténèbres. Je lance la bouée à Christineeeeeeeeeeeee;-))
Bises à l’équipage!
.
Des oiseaux par milliers volent par les feux
par milliers ils tombent par milliers ils se cognent
par milliers aveuglés par milliers assommés
par milliers ils meurent
Le gardien ne peut supporter
les oiseaux il les aime trop
alors il dit tant pis je m’en fous
et il éteint tout
Au loin un cargo fait naufrage
un cargo venant des îles
un cargo chargé d’oiseaux
des milliers d’oiseaux des îles
des milliers d’oiseaux noyés
–
Jacques Prévert
Oups, ça y est,
J’ai raccroché la bouée !
Merci Ossiane
De l’avoir envoyée !
Alors imaginez un phare…
Sans mer,
Sans océan,
En pleine campagne…
Et la manière
Qu’aurait l’équipage
D’en tirer bon parti !
Plus de détresse !
http://gklein.blog.lemonde.fr/files/2009/05/nishi.1243577581.jpg
Biseeeeeeeeeeees du soir !
PS/ Je retourne terminer… mes photos de « frigo » !
Détresse d’une ronde terre
que l’on revêt de vert
de mer de blancs espoirs
de promesses illusoires
Quand un phare pique un fard
c’est soit qu’il est ému
soit qu’il en a trop vu
trop vu pour rester coi
…effaré…
eh! phare eh!
réveille-toi
tu t’étais endormi
http://farm4.static.flickr.com/3567/3789593796_2a49274afc.jpg
Que ne connais-tu d’elle qu’elle n’aurait point frappé
Sur la table du hasard comme un fouet brûlant?
A peine battre des ailes et soudain voir happé
Dans un tourbillon fou dans l’absurde tes frissons.
Tu penses encore à elle, le temps déplie ses heures
Afin de te bercer de son triste sourire
Et que vas-tu me dire, loin du creux de mon cou
Amour que j’ai aimé à défaut de t’avoir
Douce présence, compagnon de la route incertaine?
Que reviennent tes mots doux baigner mes océans
Vacuité du silence assoiffé d’un murmure
Ainsi dois-tu périr Ô amour merveilleux
Livré aux ronds d’écumes que transportent mes yeux!
Ô, maîtresse, ma douleur, de vos bras qui m’enlacent
J’ai le fervent souhait, l’envie de me défaire
Pour vivre j’ai tant pleuré et j’ai tant inventé
Nos rires et m^me nos pleurs, nos plaisirs, nos baisers
Dites-moi, femme, ma détresse qui êtes la bienvenue
Dans les alcôves secrètes des sombres nuits d’octobre
Je ne suis pas votre hôte,ensemble nous n’irons boire
Le vers, l’alexandrin des cœurs en harmonie.
En vous je crois connaître, le chemin de la vie
Ici j’ai bien trop froid,la mer flanque sa colère
Cinglant la côte sauvage et le phare me renvoie
Un écho du passé, je ne veux m’arrêter
Des embruns en lecture, des landes à traverser
Où sont-elles vos campagnes que j’y élise demeure
La douleur est une ville et la détresse amère.
Rachel , too much le chat aux yeux écarquillés )))
merci à vous qui entretenez la bonne humeur à bord malgré la détresse ambiante.
Danger
Effroi
Tenebres
Repli
Ecueuils
Souffrance
Solitude
Enfer
Detresse
desespoir éprouvant tourment râle et souffrance s’écoulent…
D’être S ou avoir peur
d’être N et faire naufrage
d’être R quelques vaches
d’être S ou être soi
d’être N un beau présent
d’être R pur savouré
Des tresses et un visage…et ces mèches qui balaient les rivages…une ombre portée par un regard…. lumière naturelle et sans fard…Des tresses d’une enfance…belle et rebelle…que l’on ordonne et que l’on croise…le temps d’une vacance… Des mèches que l’on croise…rebelles et naturelles…deux tresses sur un visage…Belle Ile est notre enfance…
C’est beau tout ça, bravo à vous tous !
Perçant les embruns
Dans l’espace d’un hublot
Brille le grand fanal
_____
Au loin dans la nuit noire
Dans l’espace hasardeux
Où mon regard se perd
Il veille dans l’anonymat
Et sa lumière me rassure
Ange gardien de tous les risques
Ami de la lune et des étoiles
Veilleur dans la nuit et le brouillard
Cierge qui brûle dans sa robe de granit
Contre toute détresse, la présence d’un phare
Comme un projet, un but, une idéologie
Permet d’avancer avec confiance
Sur les chemins de la vie,
Et naviguer rassuré sur les vagues houleuses
Dans les tempêtes parfois imprévisibles de l’existence.
______
quasar
Jamais l’équipage n’avait vu la Toto dans un tel état. *
Elle bougonnait, ruminait, fulminait, tempêtait, s’ébrouait. Bref, en un mot comme en cent : ça sentait le mauvais caractère à bord du navire.
– M’enfin Toto ! Qu’est-ce qui t’arrives demanda très doucement Lou
– j’suis jalouse !
– Damned ; j’ai compris ! T’es jalouse de ma dentition bien sûr.
Mais tu sais, ce n’est pas donné à tout le monde de n’avoir qu’une dent. Faut être patiente. Faut que toutes les autres tombent avant. Pis c’est de l’entretien parce que tu sais bien qu’elle ne tient qu’à un fil.
Fil que j’astique du matin au soir dit elle en passant un léger coup de chiffon sur celui-ci.
– c’est pas ça chouina la Toto
– j’y suis sursauta Christineeeee. Tu m’envies car, tu n’as d’yeux que pour la cavalière hors pair que je suis !
Hé hé ria Christineeeeeee. Avec beaucoup mais beaucoup d’entrainement tu peux surement arriver à progresser un peu. Je t’ai vu sur l’édredon volant l’autre jour et tu ne manquais pas d’une certaine tenue.
– c’est pas ça dit la Toto
Monique la sage intervint alors. Elle prit la Toto par le cou et lui parla avec une grande douceur !
– Voyons Toto, nous sommes là. Nous t’entourons de toute notre affection. Je déplore bien souvent qu’elle ne soit que virtuelle mais nous ne pouvons malheureusement faire mieux.
Malgré toute la gentillesse de monique la Toto restait inconsolable.
– Houin, houin pleurait elle
– Mais enfin ! vas-tu nous dire une bonne fois pour toute nous dire ce qui ne va pas tempêtèrent les deux Bour®ache.
– j’veux des tresses !!!!!!!
http://tux.crystalxp.net/png/pinguinalulu-obelix—obelux-6743.png
Comme marc !
http://tux.crystalxp.net/png/pinguinalulu-obelix—obelux-6743.png
Bon ce lien là ira mieux car l’autre ne passe pas comme je voudrais
http://www.camping-lido.net/coin/bd/images/asterix/obelix.gif
I speak of love that comes to mind:
The moon is faithful, although blind;
She moves in thought she cannot speak.
Perfect care has made her bleak.
I never dreamed the sea so deep,
The earth so dark; so long my sleep,
I have become another child.
I wake to see the world go wild.
Phare
Pour tous les amoureux qui épuisent leur être
Dans l’attente du facteur qui apporte les lettres
Pour eux tu as laissé une lampe à la fenêtre
Alain
Phare
Marins aventuriers hommes de lettres poètes
Tous ont connu l’amour tous ont chéris la mer
cette figure de femme aux amants secourable
Aux marins redoutables génère des passions
Toi tu gardes la flamme témoin de leur amour
Alain
–
En écho aux liens de Rachel-la-Vraie :
http://www.youtube.com/watch?v=PkB8RqxDloU&feature=fvst
–
Phare
Souvent comme le beau lotus qui sort de l’eau
ton œil est grand ouvert mais ton regard est loin
Alain
Phare
Pour les hommes de mer qui forment l’équipage
Ou l’immigrant amer qui veut tourner la page
Qu’importe le luxe et la richesse des paquebots
Car le navire qui sort en mer n’est pas que beau
Alain
–
Pour que Marc fasse son choix :
http://www.youtube.com/watch?v=CZhtm4uu6pI
–
Ca y est : moi, je dé-s-tresse…
Pas intelligement … mais bon, tant pis !
–
Sourire à tous.
–
–
+ 1 « aime » à intelligemment, bien sûr !
–
détresse le temps qui passe
dépasse les faits
feu rouge feu vert
une brûlure au fer rouge
pousse pousse
le temps qui passe
un jour trépasse
–
Jour trépasse
Dedans ses gris
L’annonce
Du noir de la nuit
Pousse, pousse,
Un tour de passe-passe
Et feux
Pour un autre jour
Feu, ce jour passé
De novembre
En vent, en pluie,
En plis, pas repassés,
Au fer rouge.
–
Phare haut, Pharos, lumière dressée, couronne tressée
pour courir sur la mer la lumière doit bien prendre quelque hauteur
la rotondité pour banale rehausse le fanal
ainsi au loin du loin à belle portée
on peut allier la verticalité à l’horizontalité
monter pour s’étendre
s’élever pour toucher et prétendre
à quelque universalité
sans dominer
sans rudoyer
sans effrayer
juste le rai grisant
qui sauve de l’effroi
sorte de beffroi
juste le clignement salvateur
qui à toute heure
permet d’espérer
de se repérer
puis de trianguler
sans penduler
pas de détracteurs
pour des merveilles
jamais en sommeil
de la sécurité, acteurs
et facteur, du risque
d’amoindrissement
quand, saisissement
on aperçoit la modulation
faisceau qui revient
et pointe fugacement
dans notre direction
un bras tendu
un mot venu
la côte est proche
le signal s’il ne rassure complétement
émet faiblement
lueur d’espoir
Des tresses le matin jamais, Je reste plutôt nature, le regard un peu inquiet certes mais sans plus.
http://threetreesstudios.com/andscifi/wp-content/uploads/2009/06/crazy_hair_do.jpg
(Rachel tu remarqueras quand même 4 dents à mon actif. Ne raconte donc pas n’imorte quoi à la toto!) je file !
Faut il l’avoir connu,
acculé,
sans espoir,
à la dernière extrémité
divaguant,
perdu,
sans repères,
accablé et poussé à bout
pour accueillir
chaque étoile incendiaire
par une nuit d’encre,
chaque vague reflet
qui ferait penser plus que pencher
que la chance a tourné
que rien n’est irréversible
que tout est fragile
que l’autre et l’ailleurs
détient un pouvoir
suggestion
surgissement
surface
respirer un autre air
celui du possible
quand s’apaise
la peur inextinguible
mais aussi se rappeler
qu’entre les scintillements
des vagues effleurées
il y a la place pour le doute
et l’inquiétude
Hello Thierry jolis écrits.
____ ____ ____
La détresse dans sa vie
a suspendu le temps
et banni les frontières
pour s’accrocher à lui
l’étreindre et l’étrangler
Enveloppé ainsi et
perdant la raison
il la voyait le prendre
dans une froide lumière
intermittent regard
qu’il voulait effacer
il se sentait partir
exalté et confus
dans l’univers morbide
où le chagrin se tresse
Et puis tout doucement
l’angoisse a lâché prise
la douleur et la mort
ont repris leur chemin
comme ça sans crier gare
SOS entendu
la lumière converge en beauté
rien ne trouble la sérénité de la mer
le phare est son ami fidèle et bienveillant
Je regardais son visage et plus précisément ses yeux, ils sont le miroir de l’âme.
_____
Au fond de ses yeux
J’espérais voir la lumière
Le phare de l’espoir
_____
Son regard renvoyait l’image d’une détresse profonde, j’aurais tant voulu y voir l’esquisse d’un sourire
Tu me fais bien rire Lou. T’as pas changé depuis la dernière fois (sourire)
J’ai eu la chance de m’offrir voilier dont j’avais toujours rêvé; un mécène du nom de Bourrache avait, sous ce pseudonyme envoyé le l’argent sur mon compte en banque pour l’achat exclusif d’un voilier! ( stipulé dans le contrat!
La seule information que je pu obtenir sur ce bienfaiteur était que c’état une bienfaitrice; une femme m’a t’on dit d’un grand humour (parfois un peu bac à sable) c’est elle qui fait courir la rumeur; je la remerciais donc uniquement par l’intermédiaire d’un blog qui n’était d’ailleurs pas le sien; mais je m’égare de l’histoire que je veux vous conter;
je le mis donc à l’eau ce fameux trois mats, non je plaisante cette coquille de noix avec un grand torchon comme voile , le baptème se fit depuis l’anse de Goulphar sur cette merveilleuse belle ile en mer . par un belle après midi de novembre ; l’air était frais ( froid même 3 degré en dessous de 0) et le vent cinq noeuds nord nord ouest; la mer était relativement calme pour la saison; des creux de trois à quatre mètre; mais n’est pas capitaine qui veut; j’étais le plus heureux de hommes; je tirais des bords très long; je m’éloignais de la cote doucement; j’avais mis ma combinaison de plongée sans masque et bouteille; au cas ou! Le ciel peu à peu se couvrait; donnant à cette belle journée des allures de fin d’après midi; voire carrément de soir; voyant donc la clarté filé aussi vite que mes billets au super marché je décidait de rentrer; mais le vent en avait décidé autrement ; il se mit à forcir et le ciel se croyant en représentation baissa le rideau; en fait j’avais oublié de passé en heure d’hiver) je me retrouvais dans la nuit noire avec comme seule point de repère le phare situé au bout de l’anse! Les vagues devenaient cinglantes ( comme mon banquier); avant le versement de l’argent sur mon compte) j’écopais tant que je pouvais mais avec un panier percé ce n‘est pas vraiment évident; l’eau était noire comme de l’encre ( celle qui souvent servait à écrire mes reconnaissance de dette) soudain une vague plus grande que les autres me renversa et me projeta hors du bateau; j’étais livré aux éléments comme la bourses au requins; heureusement le courant m’entraina sur la plage et je pu regagner ma maison non sans avoir un peur bleu . dommage qu’elle ne fut pas verte comme le dollar) alors merci pour ceux qui voudraient me faire encore un cadeau; je préfère un appareil photo; quoique je me demande si ce n’est pas dangereux la photographie!!!!
Histoire amusante Marc.
Rachel, voyons t’exagères !!! j’ai quand même pas mal changé. Le chameau de la course en témoignerait, la toto, le cheval de Christineeeeee aussi!
http://memegenerator.net/Instances/644/Courage-Wolf-do-you-like-my-hair-NOOOO.jpg
j’avais un superbe dentier à l’époque,je mettais beaucoup de fard et …
J’arrête sinon je vais m’faire enfermer par Ossiane, dans un zoo !!!
D’ailleurs i faudrait qje demande à Ossiane pour m’assssurer si t’es la vraie Rachel où la fausse! Hein… 😉
ce coup là je pars vraiment!!
http://www.youtube.com/watch?v=lzf_aJrFqW0
Phare
Tu vis auprès des vagues qui caquettent comme des poules
Agitées par la houle furieuses comme la foule
Toutes ces vagues qui piquent du bec et claquent des ailes
Tu te dresses parmi elles comme un silo à grains
Alain
Phare
Pour héler le marin
Tu agites ta lanterne
Tu ne dis pas de paroles
Tu sais ce qui console
Alain
Phare
Malgré le mauvais temps les yeux qui t’interrogent
tu demeures impassible tournant comme une horloge
Muet tel une borne tu vois les hommes qui défilent
Emportant dans leur cœur ce qu’ils cherchent dans les îles
Alain
au firmament
des naufragés
la lueur disparaît
au dessus des vides
des phares d’ombres
luisant comme des cristaux de cobalt
étincelant de buée floue
aux parois des temps
immortel vent sur les feuilles emportées d’automne
souffle dans l’allée qui monte au phare
la fraîche rafale
de lune
dansante étoile d’horizon arc-en-ciel
peuple des visages sombres
la lumière est sans transition
sans trahison
les ombres redeviennent des roses
dragées folles de l’amour
trop vite muées…
quelle belles images!
Phare
Les hommes en quête de trésor, pêcheurs de perle
Ou de corail, adorent jouer avec le feu
Alain
c`est une regarde très romantique, très graphique
Bienvenue et merci Emule;-)