Lecture du Haïku Calligramme: de bas en haut
Vapeurs d’un rêve
battement de paupières
poussières d’un soleil
L'Oeil Ouvert : photo et poésie
Haïkus et calligrammes, rêverie sur le monde… le voyage imaginaire d'Ossiane
Lecture du Haïku Calligramme: de bas en haut
Vapeurs d’un rêve
battement de paupières
poussières d’un soleil
Haut les peurs!
Que personne ne bouge
Suis l’voleur de diamants!!)
Des rêves tombent les lettres
diamants au cœur des mots
en fracas l’écriture
dépose scintillant
l’éclat des idées qui
rebondissent
transportées par leur force
quand en beauté elles dansent
Toi…
diamants dans mon rêve
dans la brume du réveil
un lever de soleil
chaleur du soleil
danse des paillettes de glace
ruisseau de diamants
Averse de diamants
dans l’éclat de ton rire
miroitement des cieux
aux bas maux mama
des gouttes de lait sur ta langue
mon petit trésor
_
PUB :
Pour un bracelet de rêves,
une seule adresse :
l’Oeil Ouvert.
Mieux que la place Vendôme,
un espace où se sertissent les mots
en brillants reflets
des âmes de ses hôtes.
Plus scintillante
que le Koh-I-Noor,
vous y découvrirez
Ossiane, la Joaillière.
_
Que cette journée vous soit bijou.
_
frange brillante,
strass dansant,
animant le flou,
comme une fille
marchant à grands pas
dans la beauté, la douceur,
du crépuscule
Bijou ……… journée scintillante ,Bourrache Merci
Et comme en ce moment nous avons les mêmes lectures ……..!!
un peu de François Cheng ,encore et toujours
« Et nous n’échangerons pas
Le quartz d’ici
Contre les diamants du ciel
Ici la vie vécue
Ici le rêve perdu
Ici le chant enfoui
Ici le rythme rompu
Que nous avons jeté au vent
_à quel âge ingrat ?
Que les cristaux de roche
Ont conservés intacts
A notre inssu «
Vision floue
D’où venons-nous?
Où allons-nous?
Le monde est fou.
Splendide : le mystère de la surface : ni l’intérieur, ni l’extérieur, le vide et le plein à la fois… tout ça avec des strass en lévitation entre deux mondes. Emma
qu’est ce que c’est joli,
me viennent que ces mots là, à l’ouverture,
et en regard de l image, du haiku,
et de tes mots magnifiques que je cite,
°Vapeurs d’un rêve
°battement de paupières
°poussières d’un soleil
mots qui perlent un joyau unique, Ossiane, déjà me viennent ces mots…
Diamants tout contre SON coeur
Un flou de rêve
Qui se souhaite se vivre
Les paupières fermées
Devant les beautés de sa vie
Qui brumisent son âme
De bulles de vie miracles
En éclats purs merveilles
L’instant des retrouvailles
Puis, avoir regardé, lu, les image et mots d’Ossiane,je pose mes premiers mots, et puis, je lève les doigts et vous lis avec attention, et,
comme vous êtes beaux, des précieux, tous précieux, à vous remercier d’être vous de chacun,
et je vous envoie des rayons du soleil qui brille ici…bises.
et pour citer les premières pépites, je me permets de reprendre des mots de chacun et de les serrer chaudement et d’y ajouter mes petits mots. Belle journée scintillante!
Haut les peurs!
diamants au cœur des mots
Toi…
danse des paillettes de glace
dans l’éclat de ton rire
mon petit trésor
Que cette journée vous soit bijou.
dans la beauté, la douceur,
Que les cristaux de roche
Ont conservé intacts
Le monde est fou.
Et nous, on est vivants
Toi et moi
Tes yeux éblouis
Dans mes rêves vaporeux
L’amour en cristal
Bises, Ossiane..et tout l’équipage sur le pont de l’Oeil Ouvert!
et je vous lis, avant de commencer mon jour dehors aussi, et je poursuis avec l’écriture de vous, en vous citant, merci. Belle journée de soleil.
merci Emma et Claudie, pour vos diamants de vous..
et comme je me relis, ci dessus, je me dis, mince, pourquoi SON en majuscule, encore une fantaisie de moi, sans le souhaiter, mais comme je laisse faire mes doigts de moi, je laisse ainsi.
Grande journée, et si c’est mercredi en petits ou plus grands, belle journée à vous serrer d’aimer, c’est si bon!
tout ça avec des strass en lévitation entre deux mondes
l’amour en cristal
Julie vivait sur un petit nuage. Légère, elle parcourait le monde au gré du vent et des courants.
Elle passait son temps à rêver, et à admirer la terre. Chaque jour, un nouveau paysage se précipitait sur ses yeux enchantés. Elle survolait des étendus miroitantes, recouvert deci-delà
De rouleaux d’écume et d’îlots minuscules et verdoyant. Au travers de ces yeux humide de plaisir la terre ressemblait à un kaléidoscope infini.
Certains jours, elle frôlait les montagnes et caressait les grands sapins verts.
Parfois, les montagnes étaient si hautes qu’elle s’élevait encore un peu plus dans les cieux.
De là, elle observait le diadème blanc qui recouvrait le faîte sous une avalanche de lumière et d’ombre. Chaque soir, sur la terre, scintillaient des chapelets d’étoiles filantes. Qui serpentaient dans un enchevêtrement de rubans sinueux ou droits. Par endroit elles ruisselaient le long de haies d’astres scintillant Dans la nuit, elles se raréfiaient, et s’éteignaient une à une pour laisser la place à la place a manteau noir et inquiétant . Alors, elle levait le regard vers les cieux et contemplait en s’endormant le firmament.
L’aurore était le moment qu’elle préférait.Dans ces yeux embués de songes le soleil embrasait les nuages comme un feu de joie ; IL diffusait des halos de couleur sur la terre endormie. Des chants mélodieux s’élevaient dans les airs comme des bulles de musique s’éclatant contre le silence. Un jour une de ces amie décida de ses jeter à corps perdu vers cette terre promise. Une autre la suivit puis une autre.
Pris d’une frénésie incontrôlable elle se jeta dans le vide à son tours….
Une autre fois peut être la suite des aventures de julie
Bonne journée à chacun
merci de vos trésors
Que le rêve de perles qui sautillent
Soit la mer qui chante pour nos cœurs
Que les voyages sur nos écrits
N’aient du mirage que rime de vie.
Que ce visage me soit connu
Halo de paix d’un inconnu
Dont le scintillement venu
Un jour d’hiver, m’est douce lecture.
Que ce chemin me soit offert
En cailloux blancs, épines…douceur
Joyaux dans la plaine des douleurs.
A vous, poèmes sur l’herbe menue
Négligemment jetés au vent
Cristallisés en bulles qui dansent
Dans nos esprits, en mal de plume.
Paillettes où vibrent l’espace, le temps
Y miroite le cœur de l’absent
Sous le strass des beautés l’attend
Mon âme éprise de ses diamants.
Que cette note lui soit bijou
Mes lèvres à le serrer d’aimer
L’aurore ouvrira sa lumière
En diamants de rêves… aux paupières…closes.
Reveil …
battement de paupières…
difficile de sortir de ses rêves…
nuit si douce et si magique…
A tes yeux, je ne suis qu’un rêve…
et je ne peux que le rester…
impossible pour toi, pour moi, de franchir la barrière, et d’aller au delà …
Nommer
Foudre et limon
Ciel et terre
Confondus
Se nommer
Dans le bref
Entre la lueur
D’un chant
Et les serres
De la nuit.
Andrée Chedid
Lever du jour,
Pointe d’aurore…
Ouverture d’un œil
Péniblement,
Le deuxième suit…
Doucement s’évapore
Le flou de mes rêves
En voile très léger
Embué de bulles
Prêtes à éclater !
Cristallisation d’images
Imprimées dans ce qui reste
De ma mémoire endormie
J’essaye d’y voir ainsi
Un peu plus clair
Et refait à l’envers
Le film de ma nuit !
Car il s’en passe des choses
Pendant mes nuits !
Les rêves sont si réels
Qu’on s’y croirait en vie
Que d’aventures n’ai-je pas vécues
Toujours plus rocambolesques
Les unes que les autres
Le plus difficile étant
De remettre à l’endroit
Les innombrables plans…
Et là, je m’y perds !
Ainsi, cette nuit :
Un appartement immense
Dans résidence super standing
Donnant directement sur la falaise
Avec à ses pieds l’océan si grand !
Pour le reste…
Le flou…
Tout se mélange…
Ne restent …
Que des sensations…
Etranges…
Biseeeeeeeeeeeeeeeeeeees vaporeuseeeeeeeeeeeees
PS / Promis, demain, je note « texto » au pied du lit, le film de mes rêves : je mettrai un papier et stylo sur la table de nuit ! Si c’est un cauchemar, et bien tant pis !
J’ai posé mes lorgnons
Pour dévoiler le flou
Des pixels de cristal
Au cœur de ton image.
Sous le soleil je joins les cils :
Des animaux unicellulaires,
Paramécies, protozoaires,
Dansent sous mes paupières.
Bien sur je suis miro
M’informa l’ophtalmo
« Les poussières que vous voyez
De votre œil fermé
Sont les cellulles ! »
Celle que je préfère
Est une douce bulle
Et sa belle geôlière
Une rivière de diam’s aux cils
Garde son œil ouvert.
Dans les vapeurs du rêve
Un visage effacé
Mon amour agacé
De s’offrir au fantôme.
Vous écrire mon ami, le plaisir de vous lire
C’est vous dire tendre ami, mes regrets, mes oublis
Mes tristesses et mes liesses se conjuguent aujourd’hui
C’est le sublime des sens que l’Amour absolu.
Sans alliance légitime, la larme que taire oblige
Goutte sur mes poésies dans le lac des vertiges
Quand l’honneur asservit, dans l’habitude vos noces
Reprisées de soucis enrobées de silence.
Le cœur a sa vieillesse, le cœur a sa beauté
Moi comme ange qu’entretient l’encre de vos caresses
L’aventure est liaison secrète délicatesse
D’un regard tout absent en sa présence secrète.
Riment nos regards, rêve rendez-vous, refrain de vie, cœur clémentine
Les mots font peur, la mort, la guerre, ouvroir de vers en maîtres d’heures
Prière au Père, pouvoir, la peur,poésie pure pour paix sans pleurs
Semis de mots, sol calligrammes sur feuille de soie sous cœur déçu
Aurore, eau pâle aux sources offertes au val des mots en verve d’amie
Couleurs d’enfance, au bleu des cœurs, au rouge qui bouge, arc-en-ciel sens, Oh! bois de coeur
La fraxinelle ou l’herbe frêle, frôlement d’ailes…G….
Quand te dire mon ami les fragrances que j’oublie
Quand murmurer le bruit imposé en silence
A mon parfum au cou dessous parure de reine
Quand t’écrire mon ami se fait joyau de vie
Quand te lire mon ami se répand en empire
De plaisir, de plaisir, tout le strass, les rubis
Les diamants, l’émeraude n’ont de prix à mon cou
Que tes bras en bijoux, que ta voix, dais, abri.
Habiter dans l’instant éphémère et fugace
Que ton rire illumine de sa jeunesse en vol
Habiter ton soupir pour y croiser le vent
Et te rendre doux navire aux vagues de l’océan
Habiter tes pensées, le soir m’y abriter,
Le jour m’illuminer de l’or de tes sourires
Habiter ton regard et parler sans dire mots,
Juste caresser ta peau de mes tendres murmures
Et dormir apaisée au chant des lèvres espiègles
Habiter dans la danse de nos corps amoureux
Et te dire que tout vieux nous aimerons de même
Habiter souvenirs et l’instant qui demeure
En nous, jeunesse fébrile dans le creux de nous-mêmes
Ici…à tout jamais.
Et à leur rendez vous
Le flou s’enlève sa brume
Il et elle se regardent
Emus délicatesse
Déjà se nichent eux
Eclat mille diamants
Le sablier du tant
Egrène ses diamants
Et le sol recouvert
Brille et éclaire le flou
Le réel vit de plein
Sur un cours scintillant
Qui aime l’ombre belle
Pour briller sans soleil
Se palpiter tellement
La vérité beautés
A l’accident de la lumière
A l’événement de l’onde
Parcourir le monde
En substance un photon
Qui caresse ta peau
Et fond comme un flocon
c’est joli, tout simplement joli,
une rivière de diamants,
un équipage serré,
des partages de soleil,
parfois aussi des tempêtes,
de la pluie, du gel, des rayons,
la vie telle comme ça,
la vie dedans ce cours rutilant,
il est bien bel ton bâteau,
Ossiane,
capitaine sur la rivière joyaux
Emue de pagayer dessus en petit matelot à travers tous les temps. Bises d’après midi à l’équipage superbe de vies dedans.
Superbe… photo et haïku
***
La bruine du soir
Trace la lisière du jour
Pluie de pierreries
***
http://fr.youtube.com/watch?v=wN3eoRPM89I
Celle que gemme, je lui offrirai des rivières sans fin
pour lui dire combien m’est précieux ce refrain
et sur la surface adamantine on reprendrait la contine
pour ce faire il faudrait sûrement monter une tontine
mais l’extravagance des sentiments n’a pas de limites
quand des brillants éclats on cherche qui les imite
et comme dans un éblouissement tout soudain
celà ne reviendrait pas à graver une nouvelle loi d’airain
mais sur son cou j’aimerais tant voir alors ruisseler
des monceaux de brillants qui à ses yeux donneraient
Tous les reflets solaires sans la mélancolie du solitaire
yaouh, comme c’est joli, Thierry.
désolée, comme je suis vivante, j ai bien du mal à retenir mes émotions, toujours…BELLE SOIREE.
A l’onde évanescente les périls instationnaires
aux surfaces éblouissantes la cause fractionnaire
aux liquidités géologiques l’ardeur des actionnaires
Pourtant il ne s’agit que de carbone, de simple carbone
certes il est de grande pureté et d’une dureté sans égale
mais pour bon conducteur qu’il soit de la chaleur
c’est d’abord de la chaleur humaine qu’on le veut le vecteur
et sans écarts comme sans écarquiller il va nous deciller
nous charmer pour autant qui croit à l’éternité
Et pour illustrer comme il se doit
Ce carbone si cher à notre Thierry
S’il est bon conducteur de la chaleur
Peut-il être aussi bon pour le consommateur ?
___
http://www.futura-sciences.com/galerie_photos/data/550/20806carbone_tout_faire.jpg
___
Biseeeeeeeeeees et bon’ap !
Christine c’est excellent ….surtout pour les fondus d’alchimie
en général ça se prépare plutôt dans une enclume que dans un caquelon
mais il faut savoir faire monter la température et la pression ;)))
Comme dirait un marabout cinéphile si sa ficelle ne prend pas, riviére sans retour…d’affection, ne vaut pas le déplacement
Toujours aussi plaisant que de venir se promener par ici.
Toujours pas la possibilité de « commander » un agrandissement d’une de ces oeuvres ?
Commander, un vilain mot pour en fait s’émouvoir.
Merci !
Dans mon coffret à bijoux, pas le moindre petit diamants,
mais peu m’importe….
car ma pierre précieuse, mon éclat de chaque jour…
c’est toi mon amour…
Perles sur tes cils
Diamants au bord de mon coeur
Pluie sur la mer
Rêve de douceur
comme c’est tendre Sabine et MTO, des duvets tous doux à poser sur l’oreiller avant de se couetter douceurs….
Un petit bonsoir à tous
__
Et chaque jour , un regard nouveau dans le kaléidoscope, où les petits cristaux de glace, sur fond d’eau ou miroir du ciel aux couleurs pastel, offrent des images de grande beauté si douces à regarder. Le flou environnant laissant percevoir la finesse de ces perlettes fragiles aux reflets irisés.
__
.
Juste un petit coucou… je suis loin de mon ordinateur en ce moment et je rentre tard… pardonnez donc mon manque de réactivité… je suis un peu KO;-)
Je vous l’avais bien dit… je vois que ça se réchauffe dans votre poésie toujours aussi douce et belle … impossible de vous prendre en défaut de qualité… preuve que cet équipage est toujours au top de sa forme;-) Saine émulation entre vous que de cogiter et d’écrire de concert.
Un coucou spécial à Emma la penseuse artiste, à sabine et ses jolis éclats de poésie, à MTO et se r^ves douceur, à Nico que je remercie de sa visite (pas de possibilité de commande pour l’instant;-) et bien sûr plein de bises à tous les autres poètes navigateurs voyageurs de ce navire.
Bonne nuit!
Ossiane
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Nouveaux commentaires sur:
https://blog.ossiane.photo/2009/01/01/an-neuf/#comments
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https://blog.ossiane.photo/2009/01/14/secret/#comments
.
fermeture éclair
des pensées pourraient passer
juste un crocodile
un choix hors le flou
cette profondeur de champ
crépite de bonheur
les billes du présent
entre passé et futur
sont notre horizon
roule ta bille
et me suis, de soie vêtue
en lucidité
Dans le flou de ma pensée ensommeillée
Les mots sont encore silence ,du rêve émerveillé
Brillance
Et si Julie , l’amie de Marc a sauté d’une étoile
Pour rejoindre son coeur ,en un battement de paupière
Il ne reste en ce matin immaculé
Q’une poussière d’argent étoilée
Hello !! AA
Flous en cristaux
Des contours s’esquissent
L’infini d’une présence.
Merci Annick pour ton commentaire doux et soyeux.
Je vous l’avais promis hier
Un résumé de mes rêves
De cette nuit…
Et bien ce matin…
FLOU GAUSSIEN !
(à 250 pixels !)
Essayez pour voir !
C’est pire que sans lunettes !
Biseeeeeeeeeeeeeeeees floutéeeeeeeeeeeeeeees
Coucou MTO,
c’est quoi un flou gaussien, christineeeeeee…..
M’en jetez plus la vue
Vous les éclats brillants
Je vous ai vus de vous
Vous êtes éclatants
Et je vous suis fidèle
Comme le petit poucet
Qui ramasse chaque caillou
Pour retrouver sa mine
Simplicité de l’être
Simplement bel vivant
Et mes baisers pour vous
Se splitchent dans un ciel grand
Et je vous dis merci
D’être vous tellement
rebonds de baies molles
désir d’aller sur l’ile là
floue de laitance folle
Coucou Annick !
Réponse à ta question :
Un flou « gaussien » à 250 p, ça donne…
Cette imageeeee… toute fraîche pondueeeee !
___
http://4.bp.blogspot.com/_30E2V-5E6Nc/SXheS0GCi5I/AAAAAAAACVY/XQyGbM8UBqc/s1600-h/flou.jpg
___
Biseeeeeeeeees !
mmmmmmmmhhhh, c’est beau, Christineeeee,
alors je suis dans le flou gaussien aussi, et je savais même pas son nom à mon flou…sourire!
et je reregarde ton flou gaussien, Christineeeee, et je souris ma pêche du jour…
Qui oserai se gausser de ce flou
serait un fieffé filou
et pour le floutage
il n’y a pas d’âge
pas plus que pour les interdits
car les sens interdits
tatonnent et anonnent
et personne ne paie l’annone
quand au danone….
c’est juste quand ça pédale…un peu flou
décidément ma vue baisse
et à des pitreries je m’abaisse
Douceur et romantisme dans ce haïku, un instant génésique sublime, les mots jaillissant du flou de la pensée tels des sommets dans les brumes de l’aube
__
Pâle comme un murmure
Quand sourd une mélodie
L’ombre du rêve
Le flou de la brume
Imperceptible brillance
Perles du soleil
Friselis de mots
D’un rayonnement intérieur
Aux sons argentins
___
Et puisque nous sommes dans le domaine du rêve, ces quelques mots de Philippe Jaccottet, qui s’accordent avec cette note aux couleurs douces et feutrées :
« Songe à ce que serait ton ouïe
Toi qui es à l’écoute de la nuit
Une très lente neige de cristal »
Les premiers mots de mon commentaire concernent le haïku d’Ossiane
« Vapeurs d’un rêve
battement de paupières
poussières d’un soleil »
C’est vraiment très beau Ossiane
mise au point:grise.
bémol à la clef
des douleurs profondes ou vagues
s’exhalent des rondes pures
http://www.autour-des-auteurs.net/magazine/magazine_n05.html
« un grain. »
(+IKB).
L’éclat de mes yeux
une rivière de diamant
que je pose sur ta peau
http://fr.youtube.com/watch?v=Xim4qvw_n4A&feature=related
demain, je m’achète des lunettes milliardfoyers,
car c’est tellement incroyable de découvertes de vues de vies, encore et encore, de lire comme une image peut être perçue ainsi ou ainsi…
Bijoux de sable argent
Coulent de mes doigts
Douces offrandes
Prismes mille éclats
en effervescence
poussières du diamant
alchimie du oui
Entendez-vous retomber la poussière
Et glisser la lumière
Que de secondes viennent de s’écouler
Assez assez au secours
Albert-Birot
Après le flou vient le net
la mise au point n’est pas aberrante
les effets de coin n’offrent pas de rentes
dans l’à peu près et l’entre deux
on accomode mais est ce si facile
des muscles ronds qui font des bonds
et puis le ponctum proximum
qui comme un majordome
fixe la limite du linoleum
on focalise mais sans foyer
notre axe erratique est décalé
on oralise, on vocalise et sans rayer
on voudrait plus d’une couddée
mais pas passer de la cornue à la cornée
alors on plisse et on ride
on lache la bride
coure vers les formes
imagine de nouvelles bornes
émiettez donc le champs visuel
donnez lui des aspects irréels
http://www.youtube.com/watch?v=Us-TVg40ExM
Prends ma main, suis moi, sur le chemin des rêves je t’entraîne, même si l’avenir y est incertain, je te promets que mon amour pour toi, ne cessera d’étinceller, à jamais, tel un diamant …
Alors il va être tenté de vous suivre, Sabine, et puis vous verrez bien,
l’amour cela se cultive, une pointe d’or, un brin d’argent, une goutte de parfum, un tendre geste, délicatesse, attention, distance, qui aime aimer aime tout simplement d’amour vivant…ondes diamants, regards profonds, silences pleins, paroles jolies….
Ah Annick! tu es un si touchant personnage! Je suis émue…comme tu dis.
Foule sentimentale qui me floue le mental
à voir tant de brillantissimes tressautements
j’aurais bientôt le coeur en emmental
Des fards d’eau qui pésent au propre hier
des nénuphars qui s’emparent du présent
et des flares qui colmatent demain
Mon ditgoogle, un flare? heu?
mmmmmhhh, alors si cr’est pour faire joli….
Touchée Leila…
.
petit coucou tout net après le flou gaussien de Christineeeee 😉
>Belle inspiration regard, merci !
>Très beau morceau ce goddbye d’Archive, nigra !
Et je vous lis et découvre vos perles de mots dans la brume de cette soirée d’hiver. Toujours très beau ce qu’écrit Jacottet ! Merci à toi Monique ainsi qu’à tous les poètes du blog et à Albert Birot que je découvre;-) ! Ce que vous dites est très touchant et je vous lis en silence devant tant de beauté exprimée.
Bises du soir
Ossiane.
.
et c’est bon que mon dico, mon ditgoogle m’aide pour les beaux textes de Thierry, mon vocabulaire limité, bises du soir, un repas en ESAT ce soir.
et sur google la photo pour exprimer flare est jolie….
Mon flair me trompe en plus de ma vue basse
et pourtant il n’y a pas d’impasse
pas plus que d’impair sauf à être malléable
Merci annick mais ce n’est que si peu mérité
à qui pourrais je donc dire my flare lady ;)))
Quel plaisir pour les yeux et l’esprit chez vous Ossiane encore ce soir ! Les mots sont autant de plaisir que les photos…
Une excellente soirée à vous
Bonjour Osiane,
Ton site n’est pas tout à fait une découverte, je l’avais déjà visité il y a quelques mois. C’est l’occasion, grace au classement de Monsieur Dubois, de revenir. C’est toujouts avec le même ravissement. De ce pas je mets un lien vers ton site dans mes amis photograhes. Je serais très honoré si tu pouvais faire de même
Je reviendrais maintenant plus souvent
Amicalement
Pierre, alias masmoulin
Elle est superbe cette image.
Toute élégante
Douce cristalline
Elle murmure
Des sons intimes
Car quand le souffle
S’approche se donne
L’image se vit
Intensemment
Le doigt remue
Douces paillettes
Et le doux gel
Chante de plaisir